Les patriotes ne peuvent pas manifester avec Dieudonné et ses voilées
Valls et ce gouvernement d’islamo-collabos notoires, amis du Qatar et de l’Arabie saoudite, ne pouvaient rêver mieux.
Dieudonné, autre islamo-collabo, ami, lui, de l’Iran, vient d’annoncer, après son interdiction de Nantes, sa volonté de participer à « Jour de Colère », le 26 janvier prochain.
Au cœur d’un affrontement grotesque, où l’Etat socialiste a violé les règles de droit les plus élémentaires pour le faire taire, Dieudonné entend continuer à jouer son rôle de rebelle, sans se rendre compte qu’il n’est qu’un idiot utile de ce gouvernement.
En effet, ce régime voyait avec une grande inquiétude converger sur Paris, le 26 janvier prochain, des colères patriotiques complémentaires comme celle des Bonnets rouges, des Contribuables associés, de ceux qui ne veulent pas du Grand Remplacement, ni d’une immigration de peuplement, et pas davantage de l’islamisation de notre pays.
Bien sûr que Valls et sa clique écolo-socialiste préfèrent voir descendre dans la rue des racailles, souvent islamisées, multipliant les quenelles, qui, à cause de l’imbécillité de ce gouvernement, et de la stupidité de trop d’élites juives, ont transformé un humoriste sur le déclin en héros de la liberté d’expression.
Bien évidemment qu’en interdisant les spectacles de Dieudonné, avec l’appui d’un seul magistrat du conseil d’Etat, s’appuyant sur le concept flou de « dignité humaine », Valls et ce régime préparent d’autres interdictions.
On peut faire confiance à la communauté musulmane, après le spectacle offert par le Crif et la Licra, pour demander à leur tour des sanctions contre toute critique de l’islam, qui, bien évidemment, blesserait les croyants, au nom du même respect de la « dignité humaine ».
C’est pourquoi, ce samedi 26 janvier, il convient d’être clair. Il était, selon nous, légitime de défendre la liberté d’expression de Dieudonné, au nom d’un discours voltairien, et de s’opposer aux sales méthodes de Valls et de ce gouvernement, soutenus par la bobocratie, la clique dite anti-raciste et nombre d’organisations juives.
Mais les patriotes qui se reconnaissent dans les thèmes de « Jour de Colère », l’amour de la civilisation française, le refus du Grand Remplacement, de l’immigration de peuplement, d’une France Orange Mécanique et de l’islamisation de notre pays, ne peuvent défiler avec lui, aux côtés de barbus et de voilées, et de tous ceux qui rêvent justement de mettre fin à notre modèle pour mieux y implanter l’islam.
Il serait gravement erroné de penser que des colères antagoniques construiront un meilleur rapport de forces, face à ce pouvoir. Ce serait trahir l’esprit de la résistance patriotiques qui se construit. C’est ce qu’expliquera, ce jeudi 16 janvier, à Paris, Pierre Cassen, dans un débat avec Béatrice Bourges, organisé parReconquête.
Dans le contexte où Elisabeth Lalesart, jeune femme née en Iran, auteur de « Pas de voile pour Marianne » lance un véritable appel, dans cet ouvrage, aux Français à défendre leur pays menacé et insulté quotidiennement, nous devons être dans la rue, par milliers, pour exiger le départ de ce gouvernement, et du pathétique Hollande, et cela au plus vite, mais aussi crier notre ras-le-bol de l’islam.
Ras-le-bol de ses imams, de ses prédicateurs, de sa violence quotidienne, de son racisme, de son sexisme, de son antisémitisme, de son homophobie, de son voile, de son halal, de ses mosquées, de son ramadan, de ses égorgements rituels, de son obscurantisme et de son objectif final, le grand califat.
Ras-le-bol des Dieudonné, payé par l’Iran, qui encourage les chrétiens à se convertir à l’islam, et réclame, telle une Taubira, à notre pays de s’excuser des traites négrières, sans signaler le rôle des bourgeoisies noires et des musulmans dans ce domaine.
Ras-le-bol des adeptes de la repentance coloniale.
Ras-le-bol de ce gouvernement qui précipite notre pays vers l’abîme, et encourage ouvertement, par sa politique judiciaire, les racailles islamisées à agresser nos compatriotes en toute impunité.
Ras-le-bol de Hollande, Valls, Taubira et leur clique, Dehors !
Cela devient une question de salubrité publique, pour la survie de notre France : tous dans la rue, le 26 janvier, à Bastille… mais sans Dieudonné, sa colère « antisioniste » et ses supporters majoritairement musulmans, qui, par leur présence, torpilleraient l’initiative.
Source et publication: http://ripostelaique.com/