Pas de voile pour Marianne : le livre dont la France avait besoin
Une conférence-dédicace se tiendra, le dimanche 12 janvier, à partir de 16 heures, en présence de l’auteur, Elisabeth Lalesart, et de l’équipe de Riposte Laïque, Café du Pont-Neuf, 14, quai du Louvre, 75001.
Les Français encore amoureux de leur pays doivent écouter intégralement cette interview, et ce cri d’amour d’une jeune femme, venue d’ailleurs, pour notre pays.
https://www.youtube.com/watch?v=MYy0arqzXU0
Nos lecteurs avaient déjà fait connaissance d’Elisabeth Lalesart, à l’occasion de la manifestation de Résistance républicaine, le 8 décembre dernier. Née en Iran en 1967, elle avait pris la parole, à la fin de la marche, place d’Italie, et, pendant 7 minutes, avait expliqué à nos compatriotes que leur pays était beau, qu’ils étaient accueillants, et qu’ils ne devaient plus le laisser salir par des gens venus le détruire.
http://www.youtube.com/watch?v=Mz-hR30WKYY
Dans le même esprit, elle nous propose, édité par Riposte Laïque, un livre de 170 pages, disponible dès ce jour, intitulé : « Pas de voile pour Marianne, Pour que la France ne devienne jamais l’Iran ». La préface est de notre ami René Marchand. Dans cet ouvrage, en quatre parties, Elisabeth nous parle d’abord, à travers l’histoire de sa famille, de l’Iran d’avant 1979, un pays très évolué, qui avait atteint le niveau de vie de certains pays occidentaux.
Dans la deuxième partie, elle nous décrit l’horreur islamique, qui, depuis 1979, a transformé en cauchemar quotidien la vie de millions d’Iraniens, et principalement des femmes. Les exemples qu’elle cite sont souvent épouvantables et à peine croyables. Elle nous décrit également les méthodes qu’ont utilisées les islamistes pour renverser le régime du shah, et les complicités, américaines et françaises, qu’ils ont obtenues.
Dans la troisième partie, elle nous parle d’une France qu’elle redécouvre en 1985, après l’avoir connue dix ans plus tôt. Elle nous décrit les premiers changements qu’elle constate, et notamment la fin de ce qu’elle appelle la France de l’excellence, au profit d’un égalitarisme du bas. Ce passage, et les exemples qu’elle cite, est des plus révélateurs.
Dans la quatrième partie, elle nous parle de ses différentes expériences françaises, comme présidente d’une association de parents d’élèves, ou bien comme syndicaliste à la CGT, où elle nous apprend quelques pratiques peu ragoûtantes de bureaucrates syndicaux. Spécialisée dans la vente du pétrole et du gaz, elle nous narre également une expérience tunisienne, en pleine période de ce que les médias appelaient les révolutions arabes.
Mais c’est la fin qui est poignante. Elle alerte nos compatriotes, en leur disant son inquiétude de revoir, dans la France qui est devenue sa vraie patrie, le même phénomène que celui qu’elle a connu, trente-cinq ans auparavant, en Iran. Sa conclusion est sans ambiguïté.
« J’aime ce pays et son peuple qui a si souvent montré aux autres le chemin de la liberté. Je m’enivre de ses odeurs, de l’air souterrain du métro parisien jusqu’à celui iodé des Lecques. Je me sens enveloppée et remplie tout à la fois par la culture, la créativité, la gentillesse et la bienveillance ambiante. Pour avoir vu et ressenti tout cela, je me sens réellement privilégiée.
Malheureusement, ce privilège aujourd’hui on prétend me l’enlever. L’expression de cet amour pour la patrie France s’est mue en grossièreté, en insanité. Si j’insiste toutefois pour le rappeler, je deviens aussitôt suspecte, quand on ne me taxe pas carrément de fascisme !
Français, réveillez-vous ! Regardez ce que vous êtes et comment vous l’êtes devenus et par qui, soyez fiers de ce que vous possédez, de ce que vos ancêtres vous ont légué, parfois jusqu’au sacrifice du sang, pour que vous ayez vos droits, vos libertés, celles-là même dont des malfaisants aujourd’hui tentent avec succès, en se jouant de votre naïve bonté, de vous déposséder. Soyez fiers encore de ce que vous avez su, mieux que personne, bâtir siècle après siècle. Et ne laissez plus personne vous prétendre que vous ne valez rien !
« La France aimez-la ou quittez-la » dit-on. Une phrase affreuse et reprise à tout bout de champ dont je vous propose l’alternative « la France, aimez-la et gardez la ». Battez-vous pour elle parce qu’elle en vaut la peine, défendez-la, protégez-la et réapprenez à l’aimer, car désormais elle n’a plus que vous ».
A une époque où la clique du Cran, Taubira, Rokhaya Diallo, Esther Benbassa, Moussaoui, les journaleux bobos de type Fourest-Askolovitch n’arrêtent pas de cracher sur notre pays, et de qualifier de racistes ceux qui osent le défendre, ce livre, écrit par une jeune femme née en Iran, est un trésor.
Dans un contexte où la clique antiraciste, soutenue par Taubira et Valls, multiplie les projets de lois liberticides, Elisabeth Lalesart nous parle d’une France qui incarne la liberté partout dans le monde, d’un pays à l’histoire glorieuse, et demande à nos compatriotes de ne pas baisser la tête, mais de réagir.
Quand les Verts réclament la fin de la France, quand Mélenchon regrette que Charles Martel ait gagné à Poitiers, quand ce gouvernement commande un rapport sur l’intégration qui assassine la France et son histoire, cette femme, née en Iran, crie son amour de ce qui est devenu son pays, et appelle à le défendre. Elle donne l’exemple, en s’engageant politiquement, et en menant une liste aux prochaines municipales, à Saint-Cyr-sur-Mer.
Nous espérons que ce livre sera lu par un maximum de Français, mais surtout qu’Elisabeth sera invitée sur les plateaux de télévision, d’abord à TV-Libertés (dont nous attendons le lancement avec impatience) pour que ce discours soit enfin entendu par la majorité des nôtres.
Une conférence-dédicace se tiendra, le dimanche 12 janvier, à partir de 16 heures, en présence de l’auteur, Elisabeth Lalesart, et de l’équipe de Riposte Laïque, Café du Pont-Neuf, 14, quai du Louvre, 75001.