Nous proposerons cette épopée pour l’enregistrement au Guinness Book, d’un record dans la catégorie « dogmes verts ».
Nous avons la certitude qu’il sera homologué.
Le passage de 2013 à 2014, aura été fêté à bord de « l’Akademic Shokalsky », navire russe affrété pour cette expédition, par des climatologues australiens, voulant commémorer le centième anniversaire du voyage polaire de Sir Douglas Mawson.
Cette expédition de 1913 – 1914 de l’explorateur, avait été réalisée dans des conditions extrêmement difficile et dramatique, puisque deux de ses compagnons trouvèrent la mort à l’époque durant cette équipée.
Mais cette nouvelle mission voulait surtout prouver la disparition de la banquise.
Le bâtiment russe compte 52 passagers encadrés par 22 hommes d’équipage.
Les « scientifiques » emmenés par Chris Turney, capitaine de l’expédition, voulaient démontrer les ravages catastrophiques du soi-disant réchauffement climatique, dogme absolu du GIEC.
Leur aventure commence le 28 novembre 2013. Leur navire quitte le port de Hobart en Nouvelle-Zélande avec des « chercheurs » et quelques touristes, plus ou moins de couleur verte. Le cap est mis sur l’Antarctique.
Nous sommes à l’été austral et forts de leurs certitudes, ils se disent que c’est un excellent moment de l’année, car la banquise est en principe en repli. Ils sont donc certains de voir fondre les glaces au fur et à mesure de leur avancée vers le sud-est.
Le 24 décembre, nos chevaliers réchauffistes, doivent affronter une tempête terrible, leur navire se retrouve captif des glaces et le reste malgré tous leurs efforts. Sûrement la preuve absolue du réchauffement climatique.
Piégés dans une banquise qui s’est gonflée de 5 mètres de glace, ils se voient contraints de lancer un SOS.
Des brise-glaces arrivent rapidement à leur secours. Deux de ces navires, le français « l’Astrolabe » et l’australien « Aurora Australis » en mauvaise posture sont obligés de rebrousser chemin.
Comble de l’ironie le brise-glaces chinois « Snow Dragon », arrive relativement près de « l’Akademic Shokalsky », mais lui aussi reste coincé par la banquise.
Il n’avait de « Dragon » que le nom.
A bord, la sénatrice écolo du Parti Vert australien, Janet Rice, doit sûrement regretter de s’être embarquée dans cette galère.
Les réserves de nourriture sont heureusement pour eux suffisantes et, à l’heure où nous écrivons ces lignes,un sauvetage par hélicoptère a été réalisé.
Nous voulons souligner tout le ridicule de ce genre de situation. Des dogmatiques sont bernés par leurs phobies délirantes.
Il suffisait pourtant de se référer aux vraies publications scientifiques qui sont disponibles.
Surtout pas dans les bibliothèques des illuminés du GIEC, mais dans les très sérieuses publications scientifiques.
Des mesures très précises sont enregistrées par des satellites spécialisés, qui eux annoncent des chiffres non manipulés.
De 1979 à 2012, la superficie de la banquise antarctique est passée de 17 millions de km² à 18,1 millions de km².
Une augmentation suffisamment significative pour inciter les réchauffistes à refroidir leurs ardeurs.
La banquise antarctique ne s’évapore pas, elle s’agrandit !
JACQUES D’EVILLE