Et si nous faisions l’Union
sacrée contre le racisme
anti-blanc ?
Nous avons touché le fond de la haine anti-Français, de la haine anti-blanc, la semaine dernière quand un certain Joyce, se disant surveillant en école primaire, a tweeté sa jubilation parce que, systématiquement, il punit les petits « babtous » (toubab, en verlan, comprendre « tout blanc », mot originaire d’Afrique de l’Ouest).
Résistance républicaine n’aura les 5 ans requis pour porter plainte au tribunal contre le racisme qu’en 2015 : nous avons donc signalé la chose au procureur de la République.
Il y a une autre façon de montrer son refus et sa révolte devant ces actes inqualifiables qui touchent nos enfants, c’est de défendre l’ensemble de nos traditions, de nos valeurs, de notre patrimoine, en nous unissant derrière notre histoire et notre héritage à la fois gréco-romain et chrétien, tous ensemble, main dans la main.
Républicains et royalistes, bonapartistes et démocrates, chrétiens et athées, amoureux de 1789 et amoureux de Clovis, laïques et anti-laïques, en laissant derrière la porte nos divergences et nos ressentiments pour faire front, ensemble, avec le sentiment d’appartenir à la même nation, au même peuple. Parce qu’ils sont en danger.
Nous sommes en guerre. La guerre que nous font ceux qui veulent le Grand Remplacement dont parle Renaud Camus.
Face à eux, il faut faire l’Union sacrée.
Il nous faut faire, à une grande échelle, ce que nous avons réussi un certain samedi de juin 2012 à Vannes : un après-midi houleux consacré à l’immigration, avec des interventions de régionalistes, d’indépendantistes bretons, d’européistes… face à la jacobine souverainiste de service que je suis. Cris, protestations, agressivité, échanges doux-amers…
L’ambiance était plus qu’électrique quand on vint nous annoncer l’arrivée menaçante de musulmans de la cité voisine avec cailloux et bombes lacrymogènes en l’absence de toute police, retenue, en petit effectif, à l’autre bout de la ville.
Et là, le miracle eut lieu. Nous nous sommes tous retrouvés main dans la main pour faire face et, quand l’un des nôtres se retrouva en danger aux mains de l’agresseur, tout le monde fonça dans une mêlée hallucinante mais ô combien réjouissante. Et victorieuse.
Comment dire la soirée que nous partageâmes ensuite sans la trahir ? Comment dire ce sentiment euphorique que nos divergences n’avaient aucune importance face au danger, que nous appartenions au même peuple et que l’heure n’était pas à la lutte politique ?
Comment dire ce bonheur de l’accolade sincère de l’indépendantiste ayant traîné le Gueuse dans la boue tout l’après-midi à la jacobine, accompagnée d’une invitation à venir manger breton chez lui à la première occasion ?
Nous gardons tous un souvenir ébloui de ce jour.
Et c’est exactement cela que nous devons faire à l’échelle de la France.
Nos gouvernants veulent voir disparaître notre histoire, chassée des manuels scolaires, remplacée par celle des empires africains.
Ils veulent voir disparaître notre héritage chrétien : tantôt ils veulent remplacer deux de nos jours fériés chrétiens par une fête juive et une fête musulmane ; tantôt ils chassent de l’espace public et même des écoles crèches et sapins, ou refusent les couronnes accompagnant la galette, parce qu’elles portent le mot chrétien« Épiphanie »…
Chaque manifestation de Résistance républicaine est destinée à se battre contre ce remplacement de peuple et de civilisation.
Ce sera encore le cas dimanche prochain, nous partirons à 14 h place Denfert-Rochereau pour la défense de la laïcité et de nos fêtes chrétiennes, deux facettes de nos traditions et de notre identité.