C'est la poisse, la guigne, la scoumoune...
Deuxième jour de deuil pour le petit monde de la bobocratie médiacratique. Après le tirailleur fou "de type européen" qui finalement s'avère être Abdelhakim Dekhar, un "Mosellan"gauchiste très exotique, le braqueur qui vient fort justement d'être expédié par un commerçant de Sézanne et dont le nom a été caché le plus longtemps possible est ou plutôt était Fatihe Mehenni, une indéniable "chance pour la France" du Val-de-Marne qui plus est une sorte d'artiste issu de la "planète rap" !
Le nuisible était un multirécidiviste de 36 ans, déjà condamné 10 fois dont 2 fois pour vol avec arme.
L'obstiné avait été surnommé dans les médias "le braqueur de Noël" pour sa prestation dans un centre commercial le 24 décembre 2000 où il avait tiré en l'air pour se dégager avec son butin avant d'être piteusement alpagué par la police.
Condamné à 10 ans de réclusion en octobre 2003, le truand avait été bénéficié d'une libération conditionnelle en juin 2010.
Cerise sur le gâteau, pas moyen cette fois d'inquiéter l'honnête commerçant qui était autorisé à détenir un Glock 9mm et dont la défense légitime est avérée puisqu'il ne pouvait pas savoir que le malfrat le menaçait avec une arme de type gomme-cogne parfaitement ressemblante à une arme à feu réelle.
On atteint là le sublime dans la malchance pour le politiquement correct : un multirécidiviste issu de la diversité, grand amateur de rap, fort légitimement abattu par un commerçant gaulois.
C'est la Taubira qui va être contente !
Source http://www.thomasjoly.fr/article-sezanne-la-truanderie-diminue-ses-effectifs-par-yves-darchicourt-121392682.html
Après avoir convoqué les médias dimanche 1er décembre devant l'ambassade d'Ukraine à Paris, cinq activistes de la nébuleuse Femen ont tenu à manifester à leur façon contre le refus du président ukrainien Viktor Ianoukovitch de se soumettre aux pressions de l'Union Européenne et d'adopter le démocrasseux « modèle européen » plutôt que de se rapprocher de Vladimir Poutine.
Connues surtout pour se mettre à poil en toute occasion, les cinq drôlesses ont cette fois innové. Toujours évidemment mamelles à l'air et couvertes d'inscriptions - comme « Yanukovych piss off » (dégage) - elles se sont mises à croupetons en rang d'oignon et sont parvenues à s'émouvoir suffisamment le rognon en harmonie pour ouvrir les vannes de concert sur des portraits du président ukrainien au cri de « l'Ukraine en Europe ».
Rien que du distingué dans une belle illustration de politique de pissotière. Il leur reste quand même à apprendre le caniveau ! Tirons la chasse !