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TRIBUNE LIBRE , POINT DE VUE ET CONSTAT ........

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Ces journalistes d’extrême-gauche payés par tous les Français

6 novembre 2013, 19:22 Auteur :   
 

Ligue_communisteParmi tous les scandales politiques en France, en voici un dont personne ne parle jamais, et dont les conséquences sont pourtant immenses.

Le service public compte un nombre incalculable de journalistes clairement d’extrême-gauche.

Cela ne serait pas aussi gênant si le service public comptait également nombre de journalistes libéraux, et conservateurs, mais tel n’est pas le cas.

L’extrême-gauche et la gauche ont viré en 1981 tous ceux, comme Philippe Nemo (qui travaillait sur France Culture), qui travaillaient sur le service public et qu’on pouvait classer à droite. Ils ont également cessé d’inviter les personnalités classées à droite, libérales, conservatrices et libérales-conservatrices.


Seuls ceux qui se disaient encore de gauche, bien que clairement de droite (comme par exemple Jean-François Revel ou Alain Finkielkraut) pouvaient encore être invités sur les antennes publiques, voire animer une émission sur le service public. Tous les autres ont dû subir le diktat gauchiste, qui parvenait encore malgré tout à parler de médias à la solde du patronat (sic) et de l’ultra-libéralisme (re-sic). Dans le même temps, un journaliste qui citait une seule fois Présent lors d’une revue de presse (pendant laquelle il citait aussi L’Humanité et Marianne à toutes les revues de presse) était viré sur-le-champ.

L’école Là-bas si j’y suis

L’émission du gauchiste antisioniste radical Daniel Mermet gangrène France Inter depuis près de 25 ans, et constitue un vivier de journalistes et producteurs gauchistes de premier choix pour les médias de service public, qui le gangrènent à leur tour. Daniel Mermet vient de le rappeler, dans un article où il se défendait des accusations portées contre lui par d’anciens salariés.

Il cite, sans même s’en rendre compte, de multiples noms prouvant la main mise de l’extrême-gauche sur la radio de service public : “Daniel Mermet et cinq autres journalistes au cachet assurent les reportages de l’émission. Equipe actuelle : Giv Anquetil, Antoine Chao, Charlotte Perry, Gaylord Van Wymeersch, Anaëlle Verzaux. [...] Il faut rappeler que beaucoup d’excellents réalisateurs de France Inter y ont fait leur début et y ont appris leur métier : Bruno Carpentier, Christophe Imbert, Violaine Balet, Antoine Chao, Christian Rose, Khoï N’Guyen, Yann Chouquet, Anne Weinfeld, Lauranne Thomas, Antoine Dabrovski, Franck Haderer, Lucie Akoun… Il faut parler des reporters qui ont commencé à Là-bas et sont devenus producteurs ; Sonia Kronlund, Joseph Confavreux, Olivia Gesbert sur France Culture. Zoe Varier, Giv Anquetil, Hervé Pauchon sur France Inter…


N’oublions pas François Ruffin, qui a longtemps travaillé pour Là-bas si j’y suis, et qui a pu ainsi financer son journal gauchiste Fakir, même s’il était par ailleurs également salarié par le Monde diplomatique, mecque du gauchisme et de l’anti-mondialisation en France.

Nous avions d’ailleurs analysé que Le Monde diplomatique faisait partie des plus invités de l’émission, en compagnie de gens de gauche et d’extrême-gauche, quasi-exclusivement, ce qui fait de cette émission un énorme outil de propagande du néo-communisme en France, sur argent public, depuis 25 ans.

Imaginez n’importe laquelle des émissions de Radio Courtoisie sur France Inter à la place de Là-bas si j’y suis, chaque jour pendant 25 ans, et vous aurez une petite idée de ce que peut représenter le militantisme politique payé par tous.Là-bas si j’y suis ne me dérangerait pas si France inter ou une autre chaîne de Radio France offrait également son antenne à des militants libéraux, conservateurs, ou libéraux-conservateurs, mais tel n’est évidemment pas le cas.

Les anciens de “Rouge”

Rouge était le journal de la Ligue communiste révolutionnaire, au moment où ce mouvement politique appelait de ses vœux la dictature : “La France est entrée dans la phase de préparation à un affrontement généralisé pour la conquête du pouvoir. Il est indispensable de voir s’ériger le prolétariat armé en classe dominante dotée d’une organisation centralisée de la violence, en vue d’un Etat dictatorial et transitoire.” (1)

Quels sont les journalistes (en fait les militants) qui viennent de Rouge et qui travaillent aujourd’hui dans les médias de service public ?

Voici quelques noms, mais cette liste n’est évidemment pas exhaustive.

Edwy Plenel : le premier d’entre eux, évidemment, a sa chronique régulière sur France Culture (dans “les Matins”), il est aussi producteur de “Lignes de fuite” sur France Culture, et il est un des principaux invités des médias français, qui ne manquent jamais de relayer la moindre “enquête” de Médiapart, notamment au sujet de la fraude fiscale, sans jamais rappeler que ce média en ligne fraude lui-même le fisc.


Il a aussi un temps été chroniqueur pour France Ô, où il pouvait déblatérer ses inepties gauchistes :

Plenel oublie de dire que la France libre était majoritairement constituée d’antisémites, de gens de l’Action française, ou de la Cagoule, De Gaulle lui-même était d’ailleurs maurassien, de même que Daniel Cordier, secrétaire de Jean Moulin, mais ça il préfère l’oublier, tout comme le fait que la gauche, sa belle gauche, était à Vichy.


Quant aux colonisés, ils étaient beaucoup plus nombreux contre la France libre, sous les ordres du maréchal Pétain, que dans la France libre, il suffit de se rappeler la défaite de De Gaulle à Dakar, qui a failli mener à son suicide.

Danièle Ohayon : journaliste à France Info, elle travaille sur le service public depuis 1988, soit exactement 25 ans (le deuxième mandat de Mitterrand a eu du bon pour ces gens-là).

Je vous laisse faire le calcul du nombre de bêtises qu’elle a pu raconter à nos compatriotes, sur une des radios d’information les plus écoutées de France. “Edwy Plenel devra partager son bureau avec une militante qui elle aussi veut devenir journaliste.

Elle travaille aujourd’hui à France Info : Danièle Ohayon, alors compagne d’Alain Brossat, un des grands idéologues de la Ligue, très lié à Daniel Bensaïd et donc à Krasny (surnom de Plenel). Elle n’a pas conservé d’images marquantes de cette cohabitation qui durera tout de même dix-huit mois.” (2)

Daniel Psenny : ce nouveau président de l’association des journalistes médias a lui aussi fait ses classes à Rouge, puis au Monde.

Il travaille régulièrement sur les médias de service public, notammentFrance Inter où il a une chronique dans l’émission de Pascale Clarke (journaliste très gauchiste elle aussi), et par le biais de documentaires. “Journaliste au Monde depuis 1997, Daniel Psenny est spécialiste des médias et de la télévision depuis plus de trente ans. Il a fait ses premiers pas dans la presse au service photo du quotidien Le Matin de Paris en 1980 puis fut rédacteur dans la presse télé.

Il rejoint le service médias-télévision de Libération en 1986 puis Le Monde où il travaille à la rubrique Economie et au supplément Télévisions. Il est co-auteur du documentaire La main noire diffusé sur France 3 en 2011, et co-auteur avec l’écrivain Gilles Perrault du téléfilm La vénitienne diffusé sur Arte en 2010.” Source

Les anciens de Rouge ou ex-trotskystes ayant travaillé dans le “privé”

En France la notion de privé n’a pas beaucoup de sens quand on parle des médias, car ils sont subventionnés comme nulle part ailleurs au monde.

Ainsi on peut considérer que les anciens de Rouge qui travaillent ou ont travaillé dans un média non étatisé travaillaient quasiment pour l’État, d’autant qu’ils étaient gauchistes donc défenseur d’un État le plus lourd et le plus bureaucratique possible.

La rumeur parisienne devient alors aussi péremptoire que l’ascension d’Edwy Plenel paraît inexorable. Un à un, les anciens de Rouge entrent au sein de la rédaction. Après Georges Marion, Jean-Paul Besset, Marc Couty, Michel Samson, Daniel Psenny, François Bonnet, Paul Benkimoun… Au total, plus d’une trentaine. D’anciens lambertistes comme Laurent Mauduit et Sylvain Cypelles ont rejoints, et des pablistes comme Bruno Caussé ou Catherine Simon.

Les chiffres parlent: plus de 15 % d’anciens trotskistes dans la rédaction selon des trotskistes encore en activité dans le quotidien, c’est effectivement hors normes.

« Les trotsko–balladuriens font la ligne éditoriale », résuma Jean-François Kahn lors du lancement de son hebdo, Marianne, en visant explicitement le duo de direction Plenel-Colombani.

En ce qui le concerne, Edwy Plenel assume sa part: « Le trotskisme comme expérience et comme héritage fait à jamais partie de mon identité, non pas comme un programme ou un projet, mais comme un état d’esprit, une vieille critique faite de décalage et d’acuité, de défaites et de fidélitésl. »La revendication du passé, en quelque sorte.” (3)

Marc Couty : ancien de Rouge, je ne sais pas ce qu’il est devenu, je n’ai pas retrouvé sa trace dans les méandres du ouaib.

Philippe Cohen : le journaliste qui vient de nous quitter était un ancien trotskyste.

Michel Field : idem.

Le Canard enchaîné et le Monde, deux viviers de gauchistes

“On voit bien le profil qui se dessine : des communistes en rupture de ban, des socialistes sans carte, des trotskystes fourbus, Le Canard, journal non partisan et volontiers sceptique, appréciait les militants pour peu qu’ils aient pris quelque distance vis-à-vis de leurs Églises respectives.” (4)

Georges Marion : une fois parti de Rouge, il intégra le Canard enchaîné puis rejoignit Edwy Plenel auMonde.

Michel Samson : ancien de Rouge, a rejoint le Monde, lui-aussi.

Denis Pingaud : ancien de Rouge, une des plus politiques du Monde, devenu conseiller politique en communication.

Dominique Pouchin : ancien de la LCR, il a rejoint le Monde (un de plus) où il s’occupe des pages étranger, puis de Libération où il sera rédacteur en chef au moment des charniers de Timisoara. Il déclare alors : « Tout nous laissait penser, y compris les images qui arrivaient, que l’info était vraie. » (5) Un grand professionnel, donc.

Jean-Paul Besset : ancien de Rouge, qui fut 10 ans rédacteur en chef au Monde (décidément bien peu journal neutre et objectif, mais nid de gauchistes), puis rédacteur en chef de Politis (média d’extrême-gauche aussi), il est actuellement député EELV.

SANS OUBLIER TOUS LES JOURNAUX DE GAUCHE ET D’EXTREME-GAUCHE SUBVENTIONNES, DE LIBERATION A L’HUMANITE EN PASSANT PAR POLITIS, LE NOUVEL OBS ET LE MONDE.


Conclusion

La main-mise d’une tendance politique sur les médias doit être dénoncée, quelle que soit cette tendance politique.


Or tout le monde semble s’être accomodé du fait que nos médias, publics comme privés, étaient littéralement noyautés et infestés par le gauchisme, ce qui est forcément visible dans les contenus produits, qui dépendent finalement assez peu des propriétaires des médias, même et surtout quand ceux-ci sont privés.

_______________

(1) Manifeste de la LCR, 1971

(2) Enquête sur Edwy Plenel, Laurent Huberson, Le cherche midi, octobre 2008, p. 158

(3) Christophe Nick, Les Trotskistes, pp. 572-573.

(4) Laurent Martin, Le Canard enchaîné, histoire d’un journal satyrique, Nouveau monde éditions, 2005, p. 390

(5) Libération du 4 avril 1990

 

source et publication:  http://www.enquete-debat.fr/archives/ces-journalistes-dextreme-gauche-payes-par-tous-les-francais-50945


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