Quantcast
Channel: JEAN-MARIE LEBRAUD
Viewing all articles
Browse latest Browse all 5872

TRIBUNE LIBRE, LIBRE PROPOS ET CONSTAT !

$
0
0
Les ghettos n’en sont plus, les dernières enclaves s’épuisentLa semaine dernière, Jérôme Bourbon taillait dans son éditorial un (nouveau) costume au désastreux François Hollande mimant le matamore face à la Syrie tout en s’aplatissant lamentablement devant le Crime en France. Pitoyable pantin qui devance les doléances de ses maîtres : Sionistes en haut, idéologues antifrançais en bas. Bref François Hollande, qui porte très mal son prénom, est le président de l’Etranger par excellence. Un être traité en serpillière qui se moque de la sécurité des Français comme de sa première carte du PS. Il est, encore, l’arbitre qui choisit toujours le pire en faisant mine de vouloir contenter tout le monde. Mais il est en cela aidé par une drôle d’équipe… Et à ce propos Valls et Taubira constituent les deux faces d’une même pièce, l’agitation fantasque du premier permettant d’adoucir la réalité ultra laxiste et permissive progressivement mais rapidement instaurée par Taubira et ses acolytes idéologiques.  A une période charnière où les conditions de sécurité publique se détériorent chaque jour, où les assassinats et la violence débridée s’accomplissent sur fond d’un climat « social » déchaîné, n’est-il pas légitime de se demander si les conséquences de l’excessive tolérance de ce gouvernement qui laisse en liberté des néo-barbares semant la terreur sur leur passage ne sont tout simplement pas recherchées ? Même si nous ne savons si ces funestes autorités hexagonales trouveront encore je ne sais quel sociologue stipendié capable de disserter sur je ne sais quelle baisse fantasmagorique de la délinquance, ou un grossier criminologue comme le « super Frère Trois points » Alain Bauer. Les crimes et crapuleries se déroulant de plus en plus en bas de chez la ménagère affolée, il faudrait en effet un prestidigitateur  de génie pour apaiser les bonnes gens justement angoissés  par une délinquance qui n’est plus jugulée et que l’on ne veut plus, et cela ouvertement, juguler !Une litanie non exhaustive de faits barbaresMême si nous avions la place et le temps nécessaires pour élaborer une liste exhaustive des infractions et des crimes perpétrés en Hexagonie, nous ne pourrions le faire pour la simple et bonne raison que de plus en plus de faits délinquants sont cachés par la police et par les media ! Nous apprenions ainsi, il y a quelques jours, et un mois après le déroulement des faits, qu’un homme atteint d’une balle dans les poumons avait pris en otage toute l’équipe d’un service soignant au sein d’un hôpital marseillais avec un revolver fourni tranquillement par un complice. Personne n’a évidemment porté plainte, et l’arme ayant disparu après les soins, le blessé vindicatif fut relâché dans la nature…Cependant la litanie de faits morbides que nous pouvons dresser en dit déjà long, très long, sur l’étendue de la contamination délinquante française. Tout le monde parle de Marseille et de ses 15 ou 16 « règlements de compte » (et la mort du fils Anigo) mais ces liquidations internes au milieu ne constituent que l’arbre qui cache la forêt fort dense d’ultra violence. Dans la cité phocéenne, un jeune homme de 18 ans a été tabassé (la mâchoire brisée en mille morceaux) au mois d’août par une dizaine de « jeunes » parce qu’il était… roux ! Toujours à Marseille, un automobiliste  a été blessé par balle par un « motard » en colère…  Un autre a été transporté à l’hôpital avec un trou traversant littéralement son crâne. Lorsque les policiers se sont rendu compte qu’il ne s’agissait pas de l’effet d’un tir de Kalachnikov mais de celui d’un magistral coup de couteau, la police judiciaire s’est dessaisie de l’enquête ! Malheureusement la néo-barbarie ne se cantonne pas aux Bouches-du-Rhône. Tous les faits relatés ici se sont déroulés la semaine dernière, à Marseille ou ailleurs. Dans le Val-de-Marne, à Limeil-Brévannes, un enfant découvre le cadavre d’une femme attachée à un arbre. Même jour, on retrouve une femme de 47 ans égorgée chez elle à Carvin dans le Pas-de-Calais. Le même jour, un homme de 28 ans est poignardé gratuitement à Laon. Le 4 septembre, un policier est lynché par 10 chances pour la France à Aix-les-Bains. Le 1er septembre, une interminable fusillade à la Kalachnikov a lieu à Clamart : 3 blessés graves. 2 jours plus tard une nouvelle fusillade aurait blessé d’autres caïds qui se sont faits « soignés » ailleurs… Le 1er septembre encore, un adolescent est poignardé par une bande de « jeunes » dans un bus dans le 14ème arrondissement de Paris : La victime est dans un état critique. Un peu plus tard à Vincennes, onze étrangers s’évadent du centre de détention. Le 29 août à Bondy, un jeune homme est blessé aux deux jambes par des tirs de… Kalachnikov. Au même moment, à Strasbourg, les policiers découvrent le corps d’un homme assassiné dans son appartement. A Lille, le 3 septembre, le gérant d’une station de lavage est abattu par deux hommes. Il s’agirait d’un règlement de compte (à mille kilomètres de Marseille). A Noyal-Pontivy, dimanche 1er septembre, 64 voitures sont incendiés délibérément dans un champ servant de parking à l’occasion d’un spectacle dont les bénéfices devaient alimenter une œuvre caritative. La ville de Colombes comme Clamart est sous l’empire de la Kalach’ : « Les habitants craignent un petit Marseille ».  Dans le Var, un enfant de 5 ans a été découvert sans vie dans un camion le 5 septembre dernier.  Le même jour, un ouvrier sans histoires est blessé par balle, cible mouvante d’un tireur introuvable… Encore le 5 septembre un Mahorais SDF de 25 ans a pulvérisé tous les ordinateurs du Pôle Emploi du Puy en Velay avant de mettre à terre trois policiers dont l’un est toujours grièvement blessé. La violence est partout et se rit des ghettosEt nous ne parlons pas du terrible climat antifrançais que les autorités ont laissé croître à Perpignan où les Blancos se retrouvent avec un couteau sous la gorge pour un oui ou pour un non ; à Lyon où les pompiers se font fracasser comme leurs collègues de la Région parisienne et de Toulouse ; à Metz où le 17 août Nicolas et Cyril se sont faits sauvagement agressés à la machette par Hocine et Lahcen ;  sur les plages durant cet été où les policiers n’auraient jamais observé « une telle violence » ! A Clermont Ferrand où les chauffeurs de bus se font agresser les uns après les autres par des « issus de la diversité » de 14 ou 15 ans. A Grenoble où le gérant d’une supérette se fait agressé pour 20 centimes pendant qu’une jeune fille se fait larder de coups de couteau par l’un de ces innombrables marginaux… A Saint-Etienne où une femme meurt égorgée en plein supermarché. A Brest où les buralistes se font cogner pour un regard jugé incorrect… A Lure, en Haute-Saône, un retraité de 89 ans a été le 2 septembre dernier ligoté puis torturé par trois individus à la recherche de quelques billets. Souffrant de diverses hémorragies internes et de traumatismes crâniens, le malheureux a du être opéré en urgence. Son état est critique.A tous les niveaux, dans toutes les villes et régions de France, la violence augmente en des proportions fantastiques. La mort rôde désormais partout, la délinquance n’est plus du tout  cloisonnée dans telle ou telle cité malfamée. Le ghetto délinquant n’existe plus. Le crime, en France, est ce qui circule le mieux. Les Quartiers nord de Marseille constituent surtout des couveuses pour délinquants, mais ils savent les exporter. Auparavant, il était parfaitement légitime de dire que des sortes d’enclaves délinquantes existaient, voire des ghettos qui servaient en définitive d’abcès de fixation à la France tranquille. Ce temps est révolu, la septicémie s’est déclarée. L’ensemble du corps national est atteint par l’infection. La délinquance, la violence ne sont plus ghettoïsées ! Ce sont la quiétude, le soulagement d’un instant, la sécurité momentanée qui sont désormais enclavés.  Nous ne voulons pas dire par là qu’il n’y a pas plus de violence à Marseille qu’à Guéret ou qu’il n’y a pas plus d’immigration à Marseille qu’à Guéret (Marseille est en effet la ville la plus délinquante, et la Seine-Saint-Denis le département le plus délinquant de France) mais que le meurtre s’est banalisé, l’agression contre le petit Blanc démocratisée, et que les bandes ethniques se sont (comme) disséminées. Evidemment la République refuse d’admettre la réalité, de voir en face le visage hideux de son petit bébé vomissant tous les poisons qu’elle lui a fait ingurgiter.  Non seulement parce que l’aveu du  phénomène délinquant qui atteint actuellement ses plus hautes eaux noircirait considérablement le blason de la Gueuse, mais aussi parce que cette dernière a plus que jamais pour ambition de mélanger racialement les habitants hexagonaux, Français et allogènes, jusqu’au melting-pot irréversible, jusqu’au métissage intégral et à la disparition de toute francité génétique.  Pour atteindre cet objectif, le Système doit minimiser au maximum ce phénomène pathologique pour empêcher à tout prix les réactions d’auto-défense, de protection ethnique des Français supposant, parfois à juste titre, qu’il existe une corrélation entre forte présence immigrée et une certaine forme de délinquance. Comment en effet exalter le vivre-ensemble (déblatéré initialement par des sociologues-fonctionnaires) tout en admettant publiquement, même implicitement, la cruauté des néo-barbares ?La fracture sociale stigmatisée pour empêcher toute fracture racialeLes cadres et autres fonctionnaires chargés d’une manière ou d’une autre de la « communication » (c’est-à-dire de la propagande) doivent appliquer le bon discours à la bonne situation sociale pour, à chaque fois, faire accepter à des populations autochtones des phénomènes objectivement inacceptables.  Mais franchement, nous nous demandons comment ces spécialistes du mensonge parviennent à sidérer, encore, des individus simplement pourvus d’un cerveau ?  Au mois d’août, Le Monde  interviewait le docteur Nelly Lavillunière, médecin et psychologue des pompiers de Paris qui ont subi durant l’été (et aujourd’hui encore) de très violentes et gratuites agressions. Si la psy admet « percevoir de la souffrance » chez les pompiers confrontés à une animosité inouïe,  elle refuse de les considérer comme des victimes. « Les conditions d’exercice du métier, déclare-t-elle, sont plus difficiles. Ils ne peuvent plus compter sur le mythe du héros », ose-t-elle plus loin !  Et l’on croit rêver lorsqu’elle affirme sans sourciller cette phrase qui restera dans les annales de la forfaiture : « La mission reste la même mais il leur faut s’adapter aux évolutions sociétales » ! En quoi la véritable guerre menée par des néo-barbares en casquette constituerait-elle une évolution (non sociale mais) sociétale ?! L’indécence au service de l’idéologie républicaine qui tue et de « leur » plan mortifère !Toujours dans Le Monde, ce quotidien vespéral encore sacralisé par l’Engeance, un article lyssenkiste a présenté, au mois d’août dernier,  la fracture sociale comme la conséquence exclusive du comportement raciste de la famille blanche. Thème étudié ici : les colonies de vacances qui ne mélangeraient pas suffisamment les races. Euh pardon ! Les classes sociales (supposées)… Horrible attitude ! Les parents d’enfants des villes ou des quartiers « non connotés » ne souhaiteraient pas vraiment que leurs gamins passent leurs vacances avec des chances de Corbeilles ou de Saint-Denis… Les salauds ! Racistes patentés gangrenés de préjugés nauséabonds ! Jocelyne, salariée d’une association organisatrice de colonies de vacances, met les point sur les i : « Nous organisons, avant chaque période de vacances, des réunions de présentation des séjours auprès des familles. Cette  année, lors d’une réunion dans un grand comité d’entreprise parisien, une maman a souhaité annuler le séjour de sa fille, car la colo accueillait également un petit groupe inscrit par une ville de Seine-Saint-Denis. Lors d’une autre réunion dans une grande ville des Hauts-de-Seine, j’ai vu des parents grimacer lorsque nous avons annoncé que l’autre moitié du groupe venait de l’Essonne. La pression existe bel et bien pour que nous évitions cette mixité sociale au sein de séjours. La dérive étant de se diriger vers des colos ghettos, pour les riches d’un côté, pour les pauvres de l’autre ». Pas sûr que les parents incriminés ici divisent la population hexagonale entre riches et pauvres…François-Xavier Rochette.
Les ghettos n’en sont plus, les dernières enclaves s’épuisent





La semaine dernière, Jérôme Bourbon taillait dans son éditorial un (nouveau) costume au désastreux François Hollande mimant le matamore face à la Syrie tout en s’aplatissant lamentablement devant le Crime en France.


Pitoyable pantin qui devance les doléances de ses maîtres : Sionistes en haut, idéologues antifrançais en bas.


Bref François Hollande, qui porte très mal son prénom, est le président de l’Etranger par excellence. Un être traité en serpillière qui se moque de la sécurité des Français comme de sa première carte du PS. Il est, encore, l’arbitre qui choisit toujours le pire en faisant mine de vouloir contenter tout le monde. Mais il est en cela aidé par une drôle d’équipe…


Et à ce propos Valls et Taubira constituent les deux faces d’une même pièce, l’agitation fantasque du premier permettant d’adoucir la réalité ultra laxiste et permissive progressivement mais rapidement instaurée par Taubira et ses acolytes idéologiques.

A une période charnière où les conditions de sécurité publique se détériorent chaque jour, où les assassinats et la violence débridée s’accomplissent sur fond d’un climat « social » déchaîné, n’est-il pas légitime de se demander si les conséquences de l’excessive tolérance de ce gouvernement qui laisse en liberté des néo-barbares semant la terreur sur leur passage ne sont tout simplement pas recherchées ?

Même si nous ne savons si ces funestes autorités hexagonales trouveront encore je ne sais quel sociologue stipendié capable de disserter sur je ne sais quelle baisse fantasmagorique de la délinquance, ou un grossier criminologue comme le « super Frère Trois points » Alain Bauer.


Les crimes et crapuleries se déroulant de plus en plus en bas de chez la ménagère affolée, il faudrait en effet un prestidigitateur de génie pour apaiser les bonnes gens justement angoissés par une délinquance qui n’est plus jugulée et que l’on ne veut plus, et cela ouvertement, juguler !

Une litanie non exhaustive de faits barbares

Même si nous avions la place et le temps nécessaires pour élaborer une liste exhaustive des infractions et des crimes perpétrés en Hexagonie, nous ne pourrions le faire pour la simple et bonne raison que de plus en plus de faits délinquants sont cachés par la police et par les media !

Nous apprenions ainsi, il y a quelques jours, et un mois après le déroulement des faits, qu’un homme atteint d’une balle dans les poumons avait pris en otage toute l’équipe d’un service soignant au sein d’un hôpital marseillais avec un revolver fourni tranquillement par un complice.

Personne n’a évidemment porté plainte, et l’arme ayant disparu après les soins, le blessé vindicatif fut relâché dans la nature…
Cependant la litanie de faits morbides que nous pouvons dresser en dit déjà long, très long, sur l’étendue de la contamination délinquante française. 
Tout le monde parle de Marseille et de ses 15 ou 16 « règlements de compte » (et la mort du fils Anigo) mais ces liquidations internes au milieu ne constituent que l’arbre qui cache la forêt fort dense d’ultra violence. Dans la cité phocéenne, un jeune homme de 18 ans a été tabassé (la mâchoire brisée en mille morceaux) au mois d’août par une dizaine de « jeunes » parce qu’il était… roux !

Toujours à Marseille, un automobiliste a été blessé par balle par un « motard » en colère… Un autre a été transporté à l’hôpital avec un trou traversant littéralement son crâne.

Lorsque les policiers se sont rendu compte qu’il ne s’agissait pas de l’effet d’un tir de Kalachnikov mais de celui d’un magistral coup de couteau, la police judiciaire s’est dessaisie de l’enquête ! 

Malheureusement la néo-barbarie ne se cantonne pas aux Bouches-du-Rhône. Tous les faits relatés ici se sont déroulés la semaine dernière, à Marseille ou ailleurs. Dans le Val-de-Marne, à Limeil-Brévannes, un enfant découvre le cadavre d’une femme attachée à un arbre.

Même jour, on retrouve une femme de 47 ans égorgée chez elle à Carvin dans le Pas-de-Calais. Le même jour, un homme de 28 ans est poignardé gratuitement à Laon. Le 4 septembre, un policier est lynché par 10 chances pour la France à Aix-les-Bains.

Le 1er septembre, une interminable fusillade à la Kalachnikov a lieu à Clamart : 3 blessés graves. 2 jours plus tard une nouvelle fusillade aurait blessé d’autres caïds qui se sont faits « soignés » ailleurs… Le 1er septembre encore, un adolescent est poignardé par une bande de « jeunes » dans un bus dans le 14ème arrondissement de Paris : La victime est dans un état critique.

Un peu plus tard à Vincennes, onze étrangers s’évadent du centre de détention. Le 29 août à Bondy, un jeune homme est blessé aux deux jambes par des tirs de… Kalachnikov.

Au même moment, à Strasbourg, les policiers découvrent le corps d’un homme assassiné dans son appartement.
A Lille, le 3 septembre, le gérant d’une station de lavage est abattu par deux hommes. Il s’agirait d’un règlement de compte (à mille kilomètres de Marseille).

A Noyal-Pontivy, dimanche 1er septembre, 64 voitures sont incendiés délibérément dans un champ servant de parking à l’occasion d’un spectacle dont les bénéfices devaient alimenter une œuvre caritative.

La ville de Colombes comme Clamart est sous l’empire de la Kalach’ : « Les habitants craignent un petit Marseille ». 
Dans le Var, un enfant de 5 ans a été découvert sans vie dans un camion le 5 septembre dernier. Le même jour, un ouvrier sans histoires est blessé par balle, cible mouvante d’un tireur introuvable…

Encore le 5 septembre un Mahorais SDF de 25 ans a pulvérisé tous les ordinateurs du Pôle Emploi du Puy en Velay avant de mettre à terre trois policiers dont l’un est toujours grièvement blessé. 

La violence est partout et se rit des ghettos


Et nous ne parlons pas du terrible climat antifrançais que les autorités ont laissé croître à Perpignan où les Blancos se retrouvent avec un couteau sous la gorge pour un oui ou pour un non ; à Lyon où les pompiers se font fracasser comme leurs collègues de la Région parisienne et de Toulouse ; à Metz où le 17 août Nicolas et Cyril se sont faits sauvagement agressés à la machette par Hocine et Lahcen ; sur les plages durant cet été où les policiers n’auraient jamais observé « une telle violence » !

A Clermont Ferrand où les chauffeurs de bus se font agresser les uns après les autres par des « issus de la diversité » de 14 ou 15 ans. A Grenoble où le gérant d’une supérette se fait agressé pour 20 centimes pendant qu’une jeune fille se fait larder de coups de couteau par l’un de ces innombrables marginaux… A Saint-Etienne où une femme meurt égorgée en plein supermarché. A Brest où les buralistes se font cogner pour un regard jugé incorrect… A Lure, en Haute-Saône, un retraité de 89 ans a été le 2 septembre dernier ligoté puis torturé par trois individus à la recherche de quelques billets. Souffrant de diverses hémorragies internes et de traumatismes crâniens, le malheureux a du être opéré en urgence. Son état est critique.
A tous les niveaux, dans toutes les villes et régions de France, la violence augmente en des proportions fantastiques. La mort rôde désormais partout, la délinquance n’est plus du tout cloisonnée dans telle ou telle cité malfamée. Le ghetto délinquant n’existe plus. Le crime, en France, est ce qui circule le mieux. Les Quartiers nord de Marseille constituent surtout des couveuses pour délinquants, mais ils savent les exporter. Auparavant, il était parfaitement légitime de dire que des sortes d’enclaves délinquantes existaient, voire des ghettos qui servaient en définitive d’abcès de fixation à la France tranquille. Ce temps est révolu, la septicémie s’est déclarée. L’ensemble du corps national est atteint par l’infection. La délinquance, la violence ne sont plus ghettoïsées ! Ce sont la quiétude, le soulagement d’un instant, la sécurité momentanée qui sont désormais enclavés. Nous ne voulons pas dire par là qu’il n’y a pas plus de violence à Marseille qu’à Guéret ou qu’il n’y a pas plus d’immigration à Marseille qu’à Guéret (Marseille est en effet la ville la plus délinquante, et la Seine-Saint-Denis le département le plus délinquant de France) mais que le meurtre s’est banalisé, l’agression contre le petit Blanc démocratisée, et que les bandes ethniques se sont (comme) disséminées.


Evidemment la République refuse d’admettre la réalité, de voir en face le visage hideux de son petit bébé vomissant tous les poisons qu’elle lui a fait ingurgiter. Non seulement parce que l’aveu du phénomène délinquant qui atteint actuellement ses plus hautes eaux noircirait considérablement le blason de la Gueuse, mais aussi parce que cette dernière a plus que jamais pour ambition de mélanger racialement les habitants hexagonaux, Français et allogènes, jusqu’au melting-pot irréversible, jusqu’au métissage intégral et à la disparition de toute francité génétique.


Pour atteindre cet objectif, le Système doit minimiser au maximum ce phénomène pathologique pour empêcher à tout prix les réactions d’auto-défense, de protection ethnique des Français supposant, parfois à juste titre, qu’il existe une corrélation entre forte présence immigrée et une certaine forme de délinquance. Comment en effet exalter le vivre-ensemble (déblatéré initialement par des sociologues-fonctionnaires) tout en admettant publiquement, même implicitement, la cruauté des néo-barbares ?


La fracture sociale stigmatisée pour empêcher toute fracture raciale


Les cadres et autres fonctionnaires chargés d’une manière ou d’une autre de la « communication » (c’est-à-dire de la propagande) doivent appliquer le bon discours à la bonne situation sociale pour, à chaque fois, faire accepter à des populations autochtones des phénomènes objectivement inacceptables. Mais franchement, nous nous demandons comment ces spécialistes du mensonge parviennent à sidérer, encore, des individus simplement pourvus d’un cerveau ?


Au mois d’août, Le Monde interviewait le docteur Nelly Lavillunière, médecin et psychologue des pompiers de Paris qui ont subi durant l’été (et aujourd’hui encore) de très violentes et gratuites agressions. Si la psy admet « percevoir de la souffrance » chez les pompiers confrontés à une animosité inouïe, elle refuse de les considérer comme des victimes. « Les conditions d’exercice du métier, déclare-t-elle, sont plus difficiles. Ils ne peuvent plus compter sur le mythe du héros », ose-t-elle plus loin !


Et l’on croit rêver lorsqu’elle affirme sans sourciller cette phrase qui restera dans les annales de la forfaiture : « La mission reste la même mais il leur faut s’adapter aux évolutions sociétales » ! En quoi la véritable guerre menée par des néo-barbares en casquette constituerait-elle une évolution (non sociale mais) sociétale ?! L’indécence au service de l’idéologie républicaine qui tue et de « leur » plan mortifère !
Toujours dans Le Monde, ce quotidien vespéral encore sacralisé par l’Engeance, un article lyssenkiste a présenté, au mois d’août dernier, la fracture sociale comme la conséquence exclusive du comportement raciste de la famille blanche. Thème étudié ici : les colonies de vacances qui ne mélangeraient pas suffisamment les races. Euh pardon ! Les classes sociales (supposées)… Horrible attitude ! Les parents d’enfants des villes ou des quartiers « non connotés » ne souhaiteraient pas vraiment que leurs gamins passent leurs vacances avec des chances de Corbeilles ou de Saint-Denis… Les salauds ! Racistes patentés gangrenés de préjugés nauséabonds ! Jocelyne, salariée d’une association organisatrice de colonies de vacances, met les point sur les i : « Nous organisons, avant chaque période de vacances, des réunions de présentation des séjours auprès des familles.


Cette année, lors d’une réunion dans un grand comité d’entreprise parisien, une maman a souhaité annuler le séjour de sa fille, car la colo accueillait également un petit groupe inscrit par une ville de Seine-Saint-Denis. Lors d’une autre réunion dans une grande ville des Hauts-de-Seine, j’ai vu des parents grimacer lorsque nous avons annoncé que l’autre moitié du groupe venait de l’Essonne.


La pression existe bel et bien pour que nous évitions cette mixité sociale au sein de séjours.


La dérive étant de se diriger vers des colos ghettos, pour les riches d’un côté, pour les pauvres de l’autre ». Pas sûr que les parents incriminés ici divisent la population hexagonale entre riches et pauvres…

source et publication:   François-Xavier Rochette.    https://www.facebook.com/

Viewing all articles
Browse latest Browse all 5872

Trending Articles