24/05/2013 – 12h00
PARIS (NOVOpress) - Samedi 25 mai à Paris, rencontre-dédicaces de 14 heures à 17 heures avec Gérald Pichon, l’auteur de “Sale Blanc”. Rendez-vous librairie Notre Dame de France 21 rue Monge 75 005 Paris / Métro : Maubert-Mutualité
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ET AUSSI
NANTES (NOVOpress Breizh) – Accompagné de Fabrice Robert, président du Bloc identitaire (BI), Gérald Pichon (ci-dessus) était à Nantes pour présenter « Sale blanc, chronique d’une haine qui n’existe pas », un essai sur le racisme anti-blanc.
Très longtemps ignoré pour des raisons idéologiques évidentes, ce phénomène – lié à la mise en place en France d’une société multiculturelle – est devenu une réalité quotidienne, dont on commence à parler.
Après une introduction de l’animateur local du BI, Fabrice Robert a fait le bilan du travail accompli depuis 10 ans et rappelé les objectifs de son mouvement.
Selon lui, en effet, le Bloc identitaire n’est pas un parti mais un réseau rassemblant des associations locales qui agissent dans tous les domaines pour mettre en œuvre une contre-culture et un contre-pouvoir. Une sorte de « lobby » de défense des Français de souche, en quelque sorte.
Pour y parvenir, le BI lance des campagnes transversales comme celle sur la viande Halal. Il participe également aux mouvements comme celui qui s’oppose à la loi Taubira . Le BI se veut à la fois un aiguillon et un éveilleur.
Ces actions, comme les Assises sur l’islamisation, l’opération sur le chantier de construction de la mosquée de Poitiers, le refus du rachat de la France par le Qatar, ont donné à ce mouvement, estime Fabrice Robert, une notoriété remarquable. Le terme « identitaire » est devenu une marque dans le paysage politique, repris par les médias bien au-delà des actions propres au BI. Il est aussi imité dans d’autres pays (Italie, Autriche, Allemagne entre autres) où des groupes s’organisent sur son modèle.
Avant d’entrer dans le vif du sujet, Gérald Pichon a tenu à préciser qu’il utilise le terme de « blanc » par défaut car cela est trop restrictif pour définir une population qui ne se résume pas à la couleur de sa peau.
Il en est de même pour le mot « racisme », la haine développée contre les autochtones dépassant largement cette notion.
Construit en deux parties, son livre commence par faire un état de l’importance de la réalité cachée de ce racisme anti-blanc qui sévit en France depuis 30 ans dans l’indifférence du pouvoir politique, des médias et des associations censées lutter contre le racisme. Puis il s’interroge sur les raisons de cette situation mais aussi de l’absence de réaction des victimes.
Cela provient de la volonté de l’oligarchie d’organiser « le Grand Remplacement », selon la formule de l’écrivain Renaud Camus. Dans ce but, il était nécessaire, selon G. Pichon, de culpabiliser les Français de souche pour détruire leur capacité d’auto-défense.
Dans la seconde partie, l’auteur analyse comment cette haine de soi a été inculquée aux Français blancs. Il montre comment la promotion d’une société multiculturelle et multiraciale légitime la violence contre les Blancs. Il insiste sur le rôle de l’Education nationale, sur la politique de discrimination positive en faveur des populations d’origine non européenne.
Cela relève, rappelle G. Pichon, de ce que le sociologue Guillaume Faye a baptisé « Le système à tuer les peuples ».
Dans cet esprit, il conclut en insistant sur le danger de réagir en promouvant un « white power » qui ne répond en rien à cette politique. De même, il ne faut pas rentrer dans la logique « victimaire » qui est étrangère à la culture européenne.
En conclusion,
Gérald Pichon affirme qu’il faut «garder l’espoir car l’histoire n’est jamais figée» et «se battre sur tous les fronts pour promouvoir notre identité.»
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