"NOUS AVIONS UN CAMARADE "

 

 

 

Les coupables de l’engloutissement français ne sont pas ceux qui peuplent les mosquées, voilent leurs femmes et torturent les animaux dans les abattoirs à très grande échelle, ce ne sont même pas ceux qui remplissent les prisons mais ce sont d’abord et prioritairement les Collabos et les Traitres qui bradent une nation ancienne, plantée dans ses fondations millénaires par un Empereur romain,

Jules César.

 

 

Les capitalistes et les socialistes, les libéraux et les communistes, en une génération, salissent, mentent, transgressent, trahissent, livrent, volent, violent, trichent, liquident, en accusant les nationalistes et les identitaires, les patriotes et les résistants d’EXTREMISME ... mot magique inventé par des voyous pour disqualifier tout ce qui résiste à la chosification du mondialisme.

 

 

En une génération seulement 15 millions de musulmans importés en France. A la clé l’arnaque du travail que le Français de souche ne voulait prétendument pas faire. Puis l’arnaque des 6% de mélange pour faire avancer la mobylette. Et au-dessus de 30% de mélange, la mobylette redevient un bourriquot chargé dans un univers de poubelles déversées par des fenêtres.

 

 

Veil Simone, rescapée des camps, la kapo de l’épuration ethnique, la loi portant son nom, cri de guerre et de victoire de toutes les connes les plus hystériques d’un cimetière nommé désir: 1,1 enfant par souchienne. La libération du corps, l’éradication du foetus, encombrement fachisant d’une liberté enfin conquise sur la prise de tête. Vivre enfin à la commande et fixer merveilleusement à la semaine, au jour, à l’heure, à la minute, à la seconde, au millionnième de seconde la distance qui sépare un infanticide d’un débarras.

 

 

Dans le même temps, les connes coalisées, fières de financer le transfert, la prise en charge, le paiement de la santé, du chômage, des allocations familiales de la musulmane d’Afrique du Nord et de la musulmane de l’Afrique sub-saharienne – 3,4 enfants et 4,5 enfants chacune – pour coloniser même malgré elles un peuple dégénéré qui réclame de mourir dans les hululements touristiques pathétiques de femmes décervelées sorties de la souche asséchée de ce qui fut la gauloise et la gallo-romaine, convaincues de devoir faire de la place à tous les sous capables affamées de la planète.

 

 

Sinon, gare ! La sentence de racisme aggravé tombe !

 

Les profanateurs de tout ce qui est sacré, les clochards friqués des Assemblées, les perroquets de la Pensée Unique Télévisée, les Juges et tous les greffiers de la décrépitude enthousiaste se liguent pour faire de l’Europe ce que les Salafistes font des pays conquis par l’islam. Ils détruisent, ils lapident, ils violent ...

 

 

Et toutes les gouapes adipeuses d’un Occident en phase terminale, de danser de joie dans l’extase de l’Ecologie et du Pétard Idéologique enfin fumé.

 

 

Quelle différence y a-t-il entre un taliban qui détruit des trésors archéologiques à coups d’explosifs et un Ministère français de la Culture qui subventionne l’immersion de la Face du Christ dans merde et pisse subventionnées ?

 

 

Le seul extrémisme c’est celui des salauds et des vendus qui liquident la France, le seul extrémisme c’est celui de la République DSK-HUZAC. Avant toute entreprise de relève nationale, un seul objectif impératif: Dresser l’acte d’accusation de TOUS les participants et de tous les complices de ce sabordage collectif.

 

 

Et le sacrifice de notre très cher camarade Dominique Venner n’aura pas été vain. Le bourgeois nanti qui se plaint pour l’invasion, pour ses impôts, pour l’insécurité, pour la décadence dans tout, pour l’impasse halallique qui se profile, combien paie-t-il tous les mois pour la cause de la Résistance ? Oui combien ? Sans compter tous les abrutis qui se lassent dès que Jean Moulin n’a pas la tête exacte de Jean Moulin, ni son chapeau, ni son écharpe, ni sa shoah, ni son contexte mythologique, ni ses mythes ...

 

 

Dominique Venner s’est sacrificiellement suicidé à 78 ans, un âge où ce suicide adolescent ne se fait plus. Parce que les vieillards craignent de mourir. L’instinct de génération ne domine plus chez eux l’instinct de conservation.

 

 

Dominique Venner s’est sacrificiellement suicidé dans le saint des saints des sanctuaires chrétiens de l’Europe. N’en déplaise aux folkloriques adeptes d’Odin et de son gui, ce militant historique de la cause européenne, cet éveilleur de l’âme européenne est venu mettre fin à ses jours de manière violente au coeur nucléaire de la patrie charnelle de Jeanne Hachette, de Geneviève de Paris et de Jeanne d’Arc.

 

 

Au coeur même de cette maison d’amour que le Christ délivre par sa Parole et par son Verbe, cet intellectuel de l’action, ce militant de l’honneur et de la droiture, est venu déposer son corps et son âme au pied du Mystère Incarné comme on dépose son sac parce qu’on ne peut plus faire un pas de plus. Le mâle qui tue sauve le monde. Comme Drieu La Rochelle – “Le suicide c'est la ressource des hommes dont le ressort a été rongé par la rouille”. – Comme Yukio Mishima devant l’Académie militaire de Kyoto accomplissant le Seppuku rituel, comme Claude Tenne, samouraï épuisé, se visant le coeur dans une nuit d’hiver de la Place de la Bourse à Toulouse, Dominique Venner a rappelé que l’égoïsme est le pire de tous les faux calculs.

 

 

Il a rappelé en un seul geste crucial et éternel, à tous ses compagnons de jeunesse, qu’il était resté leur chef malgré les cinquante années d’errance écoulée : Alain de Benoist, François d’Orcival, Patrick Buisson, Patrick Devedjian, Gérard Longuet, Alain Madelin, Guy Teissier, Serge Didier, Claude Goasguen et tellement d’autres, partis dans la décrépitude des honneurs lépreux dans leurs appartements de luxe et dans leurs thébaïdes de pachas des médias et de castes aurifères se souviennent ce soir de leur honneur perdu ?

 

 

L’homme n’a qu’une majesté qui est de savoir mourir. Le pacifisme la lui dénie, la démocratie la méprise. Il est peu d’amours sur la terre pour lesquels on soit prêt à mourir. L’amour du pays en est un.

 

Les voluptés remplissent le monde mais ce sont les idées qui le mènent et les fous furieux de la Trilatérale, de Bilderberg et les abrutis des universalismes et de la suffisance d’Alma Mater oublient qu’aucune espèce animale n’apporte à la mort plus de frénésie que l’homme. Aucune ne s’épure ni ne s’entre-tue davantage. La femme dressée à la parité démocratique est venue ajouter du trouble au flou. Chez l’animal il n’y a que les instincts qui s’affrontent. Chez l’homme il y a les idées.

 

 

Une croyance qui diffère porte en soi un ordre de mort. Tout idéal est un prétexte à tuer. L’homme qui déteste la mort dans les heures calmes de la vie, l’accepte naturellement dans le combat. Les guerres s’éteindront sur la terre quand s’éteindra l’amour.

 

 

Dominique Venner, comme Guillaumet dans la Cordillère des Andes marchant parce que les siens pensaient qu’il marchait s’ils pensaient qu’il était vivant, n’a pas agi par devoir. Il a agi par droiture et il a agi par amour. Le héros comme la mère n’ont point de mérite. Ils agissent par instinct. Les braves peuvent donner leur vie. Le héros l’offre.

 

 

 

 

L’âme et le corps sont tout d’une seule pièce chez les hommes mais ils sont distincts chez le héros. Le corps du héros comme celui du saint ne sont qu’un valet d’armes. Les jours de la tragédie sont comme des jours de noces pour le brave. La seule famille intime du héros, ce sont les humbles. La maternité comme l’héroïsme ne trouvent que de la volupté là où il n’y a que peine et effort. Les mères héroïques ne voudraient que des nouveaux-nés !

 

 

Les héros ne sont sans doute parfois tentés que de vivre et Dominique Venner a parcouru un très long périple avant de parvenir, armé, devant l’autel du Dieu chrétien pour lui jeter sa vie aux pieds comme Vercingétorix jeta ses armes aux pieds de son vainqueur.

 

 

La demeure de l’héroïsme est dans la région des idées. Comme les saints, les héros sont d’abord les grands de l’esprit. L’audace de Dominique Venner est folie et incompréhension pour qui craint. Elle est raison et mission accomplie pour celui qui voit clair. La fatigue déconsidère.

 

 

A 78 ans Dominique Venner est monté au sommet de la tranchée avec la détermination qu’il avait quand il dirigeait la Fédération des Etudiants Nationalistes et animait Europe Action et les Cahiers Universitaires.

 

 

Le Lieutenant Degueldre avait prévenu le Général Massu : “Vous me faites prêter le serment de l’Algérie Française mais attention, j’irai jusqu’au bout de ce serment”.

 

 

Le vieux général Massu avait mille ans. Il était mort et enterré depuis longtemps. Tant pis pour tous ceux, sans ressources, qui ont besoin des titres pour s’accroupir et se prosterner instantanément. Les titres, les légions d’Honneur et les fauteuils solennels camouflent les larves qui ont aussi leur pâte de camouflage.

 

 

Le Lieutenant Degueldre est allé au bout du lieu de sa beauté parce que le héros n’a pas besoin de repos dans sa volupté.

 

Dominique Venner a laissé à ses compagnons honteux le soin d’apprendre à raser les murs pour le restant de leur vie. Il se trouvera de plus idiots encore pour venir dispenser des propos glaireux sur le nom du chevalier mort sous la voute christique. Il a laissé au pauvre monde des mouches du coche la naissance, la fortune et les vanités ... Ces épiciers et ces notaires, ces réalistes en feu se reconnaitront. Ils ne seront pas les bienvenus aux funérailles.

 

 

Dans son tombeau comme face à l’autel où il s’est fait l’holocauste désespéré de son peuple et de sa RACE, Dominique Venner n’est à jamais paré que de ses vertus.

 

 

 

XXX

 

 

Militant de base de la F.E.N.

 

(Europe Action

 

Cahiers Universitaires)

 

R.E.L.

 

M.J.R

 

ORDRE NOUVEAU

 

FRONT NATIONAL

 

M.N.R .

 

Bloc Identaire

 

Réseaux Identité

 

 

 

Source :  Merci Jacques O.