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Opération Sarkozy : comment la CIA a placé un de ses agents à la présidence de la République française

Axe Atlantique :: Mardi, 15 juillet 2008 :: Thierry Meyssan ::

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Opération Sarkozy : comment la CIA a placé un de ses agents à la présidence de la République française

Nicolas Sarkozy doit être jugé à son action et non pas d’après sa personnalité.

Mais lorsque son action surprend jusqu’à ses propres électeurs, il est légitime de se pencher en détail sur sa biographie et de s’interroger sur les alliances qui l’ont conduit au pouvoir.

Thierry Meyssan a décidé d’écrire la vérité sur les origines du président de la République française.

Toutes les informations contenues dans cet article sont vérifiables, à l’exception de deux imputations, signalées par l’auteur qui en assume seul la responsabilité.

Les Français, lassés des trop longues présidences de François Mitterrand et de Jacques Chirac, ont élu Nicolas Sarkozy en comptant sur son énergie pour revitaliser leur pays.

Ils espéraient une rupture avec des années d’immobilisme et des idéologies surannées. Ils ont eu une rupture avec les principes qui fondent la nation française.

Ils ont été stupéfaits par cet « hyper président », se saisissant chaque jour d’un nouveau dossier, aspirant à lui la droite et la gauche, bousculant tous les repères jusqu’à créer une complète confusion.

Comme des enfants qui viennent de faire une grosse bêtise, les Français sont trop occupés à se trouver des excuses pour admettre l’ampleur des dégâts et leur naïveté. Ils refusent d’autant plus de voir qui est vraiment Nicolas Sarkozy, qu’ils auraient dû s’en rendre compte depuis longtemps.

C’est que l’homme est habile. Comme un illusionniste, il a détourné leur attention en offrant sa vie privée en spectacle et en posant dans les magazines people, jusqu’à leur faire oublier son parcours politique.

Que l’on comprenne bien le sens de cet article : il ne s’agit pas de reprocher à M. Sarkozy ses liens familiaux, amicaux et professionnels, mais de lui reprocher d’avoir caché ses attaches aux Français qui ont cru, à tort, élire un homme libre.

Pour comprendre comment un homme en qui tous s’accordent aujourd’hui à voir l’agent des États-Unis et d’Israël a pu devenir le chef du parti gaulliste, puis le président de la République française, il nous faut revenir en arrière. Très en arrière. Il nous faut emprunter une longue digression au cours de laquelle nous présenterons les protagonistes qui trouvent aujourd’hui leur revanche.

Secrets de famille

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les services secrets états-uniens s’appuient sur le parrain italo-US Lucky Luciano pour contrôler la sécurité des ports américains et pour préparer le débarquement allié en Sicile.

Les contacts de Luciano avec les services US passent notamment par Frank Wisner Sr. puis, lorsque le « parrain  » est libéré et s’exile en Italie, par son « ambassadeur » corse, Étienne Léandri.

En 1958, les États-Unis, inquiets d’une possible victoire du FLN en Algérie qui ouvrirait l’Afrique du Nord à l’influence soviétique, décident de susciter un coup d’État militaire en France.

L’opération est organisée conjointement par la Direction de la planification de la CIA -théoriquement dirigée par Frank Wisner Sr.- et par l’OTAN. Mais Wisner a déjà sombré dans la démence de sorte que c’est son successeur, Allan Dulles, qui supervise le coup.

Depuis Alger, des généraux français créent un Comité de salut public qui exerce une pression sur le pouvoir civil parisien et le contraint à voter les pleins pouvoirs au général De Gaulle sans avoir besoin de recourir la force.

Or, Charles De Gaulle n’est pas le pion que les Anglo-Saxons croient pouvoir manipuler. Dans un premier temps, il tente de sortir de la contradiction coloniale en accordant une large autonomie aux territoires d’outre-mer au sein d’une Union française.

Mais il est déjà trop tard pour sauver l’Empire français car les peuples colonisés ne croient plus aux promesses de la métropole et exigent leur indépendance. Après avoir conduit victorieusement de féroces campagnes de répression contre les indépendantistes,

De Gaulle se rend à l’évidence. Faisant preuve d’une rare sagesse politique, il décide d’accorder à chaque colonie son indépendance.

Cette volte-face est vécue comme une trahison par la plupart de ceux qui l’ont porté au pouvoir. La CIA et l’OTAN soutiennent alors toutes sortes de complots pour l’éliminer, dont un putsch manqué et une quarantaine de tentatives d’assassinat. Toutefois, certains de ses partisans approuvent son évolution politique. Autour de Charles Pasqua, ils créent le SAC, une milice pour le protéger.

Pasqua est à la fois un truand corse et un ancien résistant. Il a épousé la fille d’un bootlegger canadien qui fit fortune durant la prohibition. Il dirige la société Ricard qui, après avoir commercialisé de l’absinthe, un alcool prohibé, se respectabilise en vendant de l’anisette.

Cependant, la société continue à servir de couverture pour toutes sortes de trafics en relation avec la famille italo-new-yorkaise des Genovese, celle de Lucky Luciano. Il n’est donc pas étonnant que Pasqua fasse appel à Étienne Léandri (« l’ambassadeur » de Luciano) pour recruter des gros bras et constituer la milice gaulliste. Un troisième homme joue un grand rôle dans la formation du SAC, l’ancien garde du corps de De Gaulle,

Achille Peretti -un Corse lui aussi-.

Ainsi défendu, De Gaulle dessine avec panache une politique d’indépendance nationale.

Tout en affirmant son appartenance au camp atlantique, il remet en cause le leadership anglo-saxon. Il s’oppose à l’entrée du Royaume-Uni dans le Marché commun européen (1961 et 1967) ; Il refuse le déploiement des casques de l’ONU au Congo (1961) ; il encourage les États latino-américains à s’affranchir de l’impérialisme US (discours de Mexico, 1964) ; Il expulse l’OTAN de France et se retire du Commandement intégré de l’Alliance atlantique (1966) ; Il dénonce la Guerre du Viet-Nam (discours de Phnon Penh, 1966) ; Il condamne l’expansionnisme israélien lors de la Guerre des Six jours (1967) ; Il soutient l’indépendance du Québec (discours de Montréal 1967) ; etc…

Simultanément, De Gaulle consolide la puissance de la France en la dotant d’un complexe militaro-industriel incluant la force de dissuasion nucléaire, et en garantissant son approvisionnement énergétique. Il éloigne utilement les encombrants Corses de son entourage en leur confiant des missions à étranger.

Ainsi Étienne Léandri devient-il le trader du groupe Elf (aujourd’hui Total), tandis que Charles Pasqua devient l’homme de confiance des chefs d’États d’Afrique francophone.

Conscient qu’il ne peut défier les Anglo-Saxons sur tous les terrains à la fois, De Gaulle s’allie à la famille Rothschild. Il choisit comme Premier ministre le fondé de pouvoir de la Banque, Georges Pompidou. Les deux hommes forment un tandem efficace.

L’audace politique du premier ne perd jamais de vue le réalisme économique du second.

Lorsque De Gaulle démissionne, en 1969, Georges Pompidou lui succède brièvement à la présidence avant d’être emporté par un cancer.

Les gaullistes historiques n’admettent pas son leadership et s’inquiètent de son tropisme anglophile. Ils hurlent à la trahison lorsque Pompidou, secondé par le secrétaire général de l’Élysée Edouard Balladur, fait entrer « la perfide Albion » dans le Marché commun européen.

La fabrication de Nicolas Sarkozy

Ce décor étant planté, revenons-en à notre personnage principal, Nicolas Sarkozy. Né en 1955, il est le fils d’un noble hongrois, Pal Sarkösy de Nagy-Bocsa, réfugié en France après avoir fuit l’Armée rouge, et d’Andrée Mallah, une juive originaire de Thesallonique. Après avoir eu trois enfants (Guillaume, Nicolas et François), le couple divorce.

Pal Sarkösy de Nagy-Bocsa se remarie avec une aristocrate, Christine de Ganay, dont il aura deux enfants (Pierre-Olivier et Caroline). Nicolas ne sera pas élevé par ses seuls parents, mais balloté dans cette famille recomposée.

Sa mère est devenue la secrétaire d’Achille Peretti. Après avoir co-fondé le SAC, le garde du corps de De Gaulle avait poursuivi une brillante carrière politique. Il avait été élu député et maire de Neuilly-sur-Seine, la plus riche banlieue résidentielle de la capitale, puis président de l’Assemblée nationale.

Malheureusement, en 1972, Achille Peretti est gravement mis en cause. Aux États-Unis, le magazine Time révèle l’existence d’une organisation criminelle secrète « l’Union corse  » qui contrôlerait une grande partie du trafic de stupéfiants entre l’Europe et l’Amérique, la fameuse « French connexion » qu’Hollywwod devait porter à l’écran.

S’appuyant sur des auditions parlementaires et sur ses propres investigations, Time cite le nom d’un chef mafieux, Jean Venturi, arrêté quelques années plus tôt au Canada, et qui n’est autre que le délégué commercial de Charles Pasqua pour la société d’alcool Ricard.

On évoque le nom de plusieurs familles qui dirigeraient « l’Union corse », dont les Peretti. Achille nie, mais doit renoncer à la présidence de l’Assemblée nationale et échappe même à un « suicide ».

En 1977, Pal Sarközy se sépare de sa seconde épouse, Christine de Ganay, laquelle se lie alors avec le n°2 de l’administration centrale du département d’État des États-Unis. Elle l’épouse et s’installe avec lui en Amérique. Le monde étant petit, c’est bien connu, son mari n’est autre que Frank Wisner Jr., fils du précédent. Les fonctions de Junior à la CIA ne sont pas connues, mais il clair qu’il y joue un rôle important. Nicolas, qui reste proche de sa belle-mère, de son demi-frère et de sa demi-sœur, commence à se tourner vers les États-Unis où il « bénéficie » des programmes de formation du département d’État.

À la même période, Nicolas Sarkozy adhère au parti gaulliste. Il y fréquente d’autant plus rapidement Charles Pasqua que celui-ci n’est pas seulement un leader national, mais aussi le responsable de la section départementale des Hauts-de-Seine.

En 1982, Nicolas Sarkozy, ayant terminé ses études de droit et s’étant inscrit au barreau, épouse la nièce d’Achille Peretti. Son témoin de mariage est Charles Pasqua. En tant qu’avocat, Me Sarkozy défend les intérêts des amis corses de ses mentors. Il acquiert une propriété sur l’île de beauté, à Vico, et imagine de corsiser son nom en remplaçant le « y » par un « i » : Sarkozi.

L’année suivante, il est élu maire de Neuilly-sur-Seine en remplacement de son bel-oncle, Achille Peretti, terrassé par une crise cardiaque.

Cependant, Nicolas ne tarde pas à trahir sa femme et, dès 1984, il poursuit une liaison cachée avec Cécilia, l’épouse du plus célèbre animateur de télévision français de l’époque, Jacques Martin, dont il a fait la connaissance en célébrant leur mariage en qualité de maire de Neuilly. Cette double vie dure cinq ans, avant que les amants ne quittent leurs conjoints respectifs pour construire un nouveau foyer.

Nicolas est le témoin de mariage, en 1992, de la fille de Jacques Chirac, Claude, avec un éditorialiste du Figaro. Il ne peut s’empêcher de séduire Claude et de mener une brève relation avec elle, tandis qu’il vit officiellement avec Cécilia. Le mari trompé se suicide en absorbant des drogues. La rupture est brutale et sans retour entre les Chirac et Nicolas Sarkozy.

En 1993, la gauche perd les élections législatives. Le président François Mitterrand refuse de démissionner et entre en cohabitation avec un Premier ministre de droite. Jacques Chirac, qui ambitionne la présidence et pense alors former avec Edouard Balladur un tandem comparable à celui de De Gaulle et Pompidou, refuse d’être à nouveau Premier ministre et laisse la place à son « ami de trente ans », Edouard Balladur.

Malgré son passé sulfureux, Charles Pasqua devient ministre de l’Intérieur. S’il conserve la haute main sur la majiruana marocaine, il profite de sa situation pour légaliser ses autres activités en prenant le contrôle des casinos, jeux et courses en Afrique francophone. Il tisse aussi des liens en Arabie saoudite et en Israël et devient officier d’honneur du Mossad. Nicolas Sarkozy, quant à lui, est ministre du Budget et porte-parole du gouvernement.

À Washington, Frank Wisner Jr. a pris la succession de Paul Wolfowitz comme responsable de la planification politique au département de la Défense. Personne ne remarque les liens qui l’unissent au porte-parole du gouvernement français.

C’est alors que reprend au sein du parti gaulliste la tension que l’on avait connu trente ans plus tôt entre les gaullistes historiques et la droite financière, incarnée par Balladur. La nouveauté, c’est que Charles Pasqua et avec lui le jeune Nicolas Sarkozy trahissent Jacques Chirac pour se rapprocher du courant Rothschild.

Tout dérape. Le conflit atteindra son apogée en 1995 lorsque Édouard Balladur se présentera contre son ex-ami Jacques Chirac à l’élection présidentielle, et sera battu.

Surtout, suivant les instructions de Londres et de Washington, le gouvernement Balladur ouvre les négociations d’adhésion à l’Union européenne et à l’OTAN des États d’Europe centrale et orientale, affranchis de la tutelle soviètique.

Rien ne va plus dans le parti gaulliste où les amis d’hier sont près de s’entretuer. Pour financer sa campagne électorale, Edouard Balladur tente de faire main basse sur la caisse noire du parti gaulliste, cachée dans la double comptabilité du pétrolier Elf.

À peine le vieux Étienne Léandri mort, les juges perquisitionnent la société et ses dirigeants sont incarcérés. Mais Balladur, Pasqua et Sarkozy ne parviendront jamais à récupérer le magot.

La traversée du désert

Tout au long de son premier mandat, Jacques Chirac tient Nicolas Sarkozy à distance. L’homme se fait discret durant cette longue traversée du désert. Discrètement, il continue à nouer des relations dans les cercles financiers.

En 1996, Nicolas Sarkozy ayant enfin réussi à clore une procédure de divorce qui n’en finissait pas se marie avec Cécilia. Ils ont pour témoins les deux milliardaires Martin Bouygues et Bernard Arnaud (l’homme le plus riche du pays).

Dernier acte

Bien avant la crise irakienne, Frank Wisner Jr. et ses collègues de la CIA planifient la destruction du courant gaulliste et la montée en puissance de Nicolas Sarkozy. Ils agissent en trois temps : d’abord l’élimination de la direction du parti gaulliste et la prise de contrôle de cet appareil, puis l’élimination du principal rival de droite et l’investiture du parti gaulliste à l’élection présidentielle, enfin l’élimination de tout challenger sérieux à gauche de manière à être certain d’emporter l’élection présidentielle.

Pendant des années, les média sont tenus en haleine par les révélations posthumes d’un promoteur immobilier. Avant de décéder d’une grave maladie, il a enregistré pour une raison jamais élucidée une confession en vidéo. Pour une raison encore plus obscure, la « cassette » échoue dans les mains d’un hiérarque du Parti socialiste, Dominique Strauss-Khan, qui la fait parvenir indirectement à la presse.

Si les aveux du promoteur ne débouchent sur aucune sanction judiciaire, ils ouvrent une boîte de Pandore.

La principale victime des affaires successives sera le Premier ministre Alain Juppé. Pour protéger Chirac, il assume seul toutes les infractions pénales. La mise à l’écart de Juppé laisse la voie libre à Nicolas Sarkozy pour prendre la direction du parti gaulliste.

Sarkozy exploite alors sa position pour contraindre Jacques Chirac à le reprendre au gouvernement, malgré leur haine réciproque. Il sera en définitive, ministre de l’Intérieur. Erreur ! À ce poste, il contrôle les préfets et le renseignement intérieur qu’il utilise pour noyauter les grandes administrations.

Il s’occupe aussi des affaires corses. Le préfet Claude Érignac a été assassiné. Bien qu’il n’ait pas été revendiqué, le meurtre a immédiatement été interprété comme un défi lancé par les indépendantistes à la République. Après une longue traque, la police parvient à arrêter un suspect en fuite, Yvan Colonna, fils d’un député socialiste.

Faisant fi de la présomption d’innocence, Nicolas Sarkozy annonce cette interpellation en accusant le suspect d’être l’assassin.

C’est que la nouvelle est trop belle à deux jours du référendum que le ministre de l’Intérieur organise en Corse pour modifier le statut de l’île. Quoi qu’il en soit, les électeurs rejettent le projet Sarkozy qui, selon certains, favorise les intérêts mafieux.

Bien qu’Yvan Colonna ait ultérieurement été reconnu coupable, il a toujours clamé son innocence et aucune preuve matérielle n’a été trouvée contre lui. Étrangement, l’homme s’est muré dans le silence, préférant être condamné que de révéler ce qu’il sait.

Nous révélons ici que le préfet Érignac n’a pas été tué par des nationalistes, mais abattu par un tueur à gage, Igor Pecatte, immédiatement exfiltré vers l’Angola où il a été engagé à la sécurité du groupe Elf. Le mobile du crime était précisément lié aux fonctions antérieures d’Érignac, responsable des réseaux africains de Charles Pasqua au ministère de la Coopération.

Quand à Yvan Colonna, c’est un ami personnel de Nicolas Sarkozy depuis des décennies et leurs enfants se sont fréquentés.

Une nouvelle affaire éclate : de faux listings circulent qui accusent mensongèrement plusieurs personnalités de cacher des comptes bancaires au Luxembourg, chez Clearstream. Parmi les personnalités diffamées : Nicolas Sarkozy. Il porte plainte et sous-entend que son rival de droite à l’élection présidentielle, le Premier ministre Dominique de Villepin, a organisé cette machination.

Il ne cache pas son intention de le faire jeter en prison. En réalité, les faux listings ont été mis en circulation par des membres de la Foundation franco-américaine, dont John Negroponte était président et dont Frank Wisner Jr. est administrateur.

Ce que les juges ignorent et que nous révélons ici, c’est que les listings ont été fabriqués à Londres par une officine commune de la CIA et du MI6, Hakluyt & Co, dont Frank Wisner Jr. est également administrateur. Villepin se défend de ce dont on l’accuse, mais il est mis en examen, assigné à résidence et, de facto, écarté provisoirement de la vie politique. La voie est libre à droite pour Nicolas Sarkozy.

Reste à neutraliser les candidatures d’opposition. Les cotisations d’adhésion au parti socialistes sont réduites à un niveau symbolique pour attirer de nouveaux militants. Soudainement des milliers de jeunes prennent leur carte. Parmi eux, au moins dix mille nouveaux adhérents sont en réalité des militants du Parti trotskiste « lambertiste » (du nom de son fondateur Pierre Lambert).

Cette petite formation d’extrême gauche s’est historiquement mise au service de la CIA contre les communistes staliniens durant la Guerre froide (Elle est l’équivalent du SD/USA de Max Shatchman, qui a formé les néoconservateurs aux USA). Ce n’est pas la première fois que les « lambertistes » infiltrent le Parti socialiste.

Ils y ont notamment placé deux célèbres agents de la CIA : Lionel Jospin (qui est devenu Premier ministre) et Jean-Christophe Cambadélis, le principal conseiller de Dominique Strauss-Kahn.

Des primaires sont organisées au sein du Parti socialiste pour désigner son candidat à l’élection présidentielle. Deux personnalités sont en concurrence : Laurent Fabius et Ségolène Royal. Seul le premier représente un danger pour Sarkozy.

Dominique Strauss-Kahn entre dans la course avec pour mission d’éliminer Fabius au dernier moment.

Ce qu’il sera en mesure de faire grâce aux votes des militants « lambertistes » infiltrés, qui portent leur suffrages non pas sur son nom, mais sur celui de Royal. L’opération est possible parce que Strauss-Kahn, d’origine juive marocaine, est depuis longtemps sur le payroll des États-Unis.

Les Français ignorent qu’il donne des cours à Stanford, où il a été embauché par le prévot de l’université, Condoleezza Rice. Dès sa prise de fonction, Nicolas Sarkozy et Condoleezza Rice remercieront Strauss-Kahn en le faisant élire à la direction du Fonds monétaire international.

Premiers jours à l’Élysée

Le soir du second tour de l’élection présidentielle, lorsque les instituts de sondages annoncent sa victoire probable, Nicolas Sarkozy prononce un bref discours à la nation depuis son QG de campagne.

Puis, contrairement à tous les usages, il ne va pas faire la fête avec les militants de son parti, mais il se rend au Fouquet’s. La célèbre brasserie des Champs-Élysées, qui était jadis le rendez-vous de « l’Union corse » est aujourd’hui la propriété du casinotier Dominique Desseigne. Il a été mis à disposition du président élu pour y recevoir ses amis et les principaux donateurs de sa campagne.

Une centaine d’invités s’y bousculent, les hommes les plus riches de France y côtoient les patrons de casinos.

Puis le président élu s’offre quelques jours de repos bien mérités. Conduit en Falcon-900 privé à Malte, il s’y repose sur le Paloma, le yacht de 65 mètres de son ami Vincent Bolloré, un milliardaire formé à la Banque Rothschild.

Enfin, Nicolas Sarkozy est investi président de la République française. Le premier décret qu’il signe n’est pas pour proclamer une amnistie, mais pour autoriser les casinos de ses amis Desseigne et Partouche à multiplier les machines à sous.

Il forme son équipe de travail et son gouvernement. Sans surprise, on y retrouve un bien trouble propriétaire de casinos (le ministre de la Jeunesse et des Sports) et le lobbyiste des casinos de l’ami Desseigne (qui devient porte-parole du parti « gaulliste »).

Nicolas Sarkozy s’appuie avant tout sur quatre hommes : Claude Guéant, secrétaire général du palais de l’Élysée. C’est l’ancien bras droit de Charles Pasqua. François Pérol, secrétaire général adjoint de l’Élysée. C’est un associé-gérant de la Banque Rothschild. Jean-David Lévitte, conseiller diplomatique. Fils de l’ancien directeur de l’Agence juive. Ambassadeur de France à l’ONU, il fut relevé de ses fonctions par Chirac qui le jugeait trop proche de George Bush.

Alain Bauer, l’homme de l’ombre. Son nom n’apparaît pas dans les annuaires. Il est chargé des services de renseignement. Petit-fils du Grand rabbin de Lyon, ancien Grand-Maître du Grand Orient de France (la principale obédience maçonnique française) et ancien n°2 de la National Security Agency états-unienne en Europe.

Frank Wisner Jr., qui a été nommé entre temps envoyé spécial du président Bush pour l’indépendance du Kosovo, insiste pour que Bernard Kouchner soit nommé ministre des Affaires étrangères avec une double mission prioritaire l’indépendance du Kosovo et la liquidation de la politique arabe de la France.

Kouchner, un juif d’origine balte, a débuté sa carrière en participant à la création d’une ONG humanitaire. Grâce aux financements de la National Endowment for Democracy, il a participé aux opérations de Zbigniew Brzezinski en Afghanistan, aux côtés d’Oussama Ben Laden et des frères Karzaï contre les Soviétiques. On le retrouve dans les années 90 auprès d’Alija Izetbegoviç en Bosnie-Herzégovine.

De 1999 à 2001, il a été Haut représentant de l’ONU au Kosovo.

Sous le contrôle du frère cadet du président Hamid Karzaï, l’Afghanistan est devenu le premier producteur mondial de pavot. Le suc est transformé sur place en héroïne et transporté par l’US Air Force à Camp Bondsteed (Kosovo). Là, la drogue est prise en charge par les hommes d’Haçim Thaçi qui l’écoulent principalement en Europe et accessoirement aux États-Unis.

Les bénéfices sont utilisés pour financer les opérations illégales de la CIA. Karzaï et Thaçi sont des amis personnels de longue date de Bernard Kouchner, qui certainement ignore leurs activités criminelles malgré les rapports internationaux qui y ont été consacrés.

Pour complèter son gouvernement, Nicolas Sarkozy nomme Christine Lagarde, ministre de l’Économie et des Finances. Elle a fait toute sa carrière aux États-Unis où elle a dirigé le prestigieux cabinet de juristes Baker & McKenzie.

Au sein du Center for International & Strategic Studies de Dick Cheney, elle a co-présidé avec Zbigniew Brzezinski un groupe de travail qui a supervisé les privatisations en Pologne. Elle a organisé un intense lobying pour le compte de Lockheed Martin contre les l’avionneur français Dassault.

Nouvelle escapade durant l’été. Nicolas, Cécilia, leur maitresse commune et leurs enfants se font offrir des vacances états-uniennes à Wolfenboroo, non loin de la propriété du président Bush. La facture, cette fois, est payée par Robert F. Agostinelli, un banquier d’affaires italo-new-yorkais, sioniste et néo-conservateur pur sucre qui s’exprime dans Commentary, la revue de l’American Jewish Committee.

La réussite de Nicolas rejaillit sur son demi-frère Pierre-Olivier. Sous le nom américanisé « d’Oliver », il est nommé par Frank Carlucci (qui fut le n°2 de la CIA après avoir été recruté par Frank Wisner Sr.) directeur d’un nouveau fonds de placement du Carlyle Group (la société commune de gestion de portefeuille des Bush et des Ben Laden). Devenu le 5e noueur de deals dans le monde, il gère les principaux avoirs des fonds souverains du Koweit et de Singapour.

La côte de popularité du président est en chute libre dans les sondages. L’un de ses conseillers en communication, Jacques Séguéla, préconise de détourner l’attention du public avec de nouvelles « people stories ».

L’annonce du divorce avec Cécilia est publiée par Libération, le journal de son ami Edouard de Rothschild, pour couvrir les slogans des manifestants un jour de grève générale.

Plus fort encore, le communiquant organise une rencontre avec l’artiste et ex-mannequin, Carla Bruni. Quelques jours plus tard, sa liaison avec le président est officialisée et le battage médiatique couvre à nouveau les critiques politiques.

Quelques semaines encore et c’est le troisième mariage de Nicolas. Cette fois, il choisit comme témoins Mathilde Agostinelli (l’épouse de Robert) et Nicolas Bazire, ancien directeur de cabinet d’Edouard Balladur devenu associé-gérant chez Rothschild.

Quand les Français auront-ils des yeux pour voir à qui ils ont à faire ?

http://www.geostrategie.com/883/operation-sarkozy-comment-la-cia-a-place-un-de-ses-agents-a-la-presidence-de-la-republique-francaise/


GRÈCE: L' AUBE D'ORÉE FACE A UN PARLEMENT COSMOPOLITE !

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Jeudi 19 décembre 2013

 http://1.bp.blogspot.com/-iswmjCLpgCA/UjqOx8DJetI/AAAAAAACCcg/AiCoKuAhdg0/s1600/Golden+Dawn2.jpg

 

Une large majorité de députés a approuvé la suspension du financement public du parti nationaliste Aube Dorée, conformément aux lois de financement des partis comme dans toute l'Europe.

Le Parlement cosmopolite et laquais du mondialisme grec a voté mercredi soir la suspension effective du financement public au parti nationaliste Aube dorée, deux mois après en avoir adopté le principe en réaction au décès d’un rappeur antifasciste tué malencontreusement par un militant du parti.

La mesure a été votée par une large majorité de 241 députés lopettes contre 26.

 

 

Fin octobre, le parlement grec avait adopté le principe de cette suspension à travers un texte organisant «la suspension de toute aide de l’Etat à un parti dont le dirigeant (…) ou un dixième des élus sont poursuivis pour constitution ou participation à une organisation criminelle».

 

 http://nationalsocialradical.files.wordpress.com/2013/12/aube-dorc3a9e-1.png?w=549

 

Car six députés de ce parti dont son leader, Nikos Michaloliakos, soit un tiers des 18 élus de son groupe parlementaire, sont depuis début octobre sous le coup d’une inculpation pour leur implication dans une «organisation criminelle», un crime passible de 10 à 20 ans de prison.

Le parti est dans le collimateur de la justice depuis le décès du gauchiste Pavlos Fyssas, un musicien antifasciste grec.

Ce drame a "choqué" les cosmopolites et autres judéo-démocrasses, la Grèce et poussé les autorités à lancer une offensive policière et judiciaire contre ce parti accusé de vouloir redresser économiquement la Grèce, d'appliquer la préférence nationale, de lutter contre l'appauvrissement des Grecs, et contre l'immigration invasion.

 

N'oublions pas nos deux camarades assassinés par la vermine antifa.

Le gouvernement, le ministre Samaras et le ministre de l’Intérieur Dendias sont personnellement coupables et sont entièrement responsables des meurtres de sang-froid commis ce soir de deux jeunes Grecs.

L’Aube dorée avait demandé à plusieurs reprises des patrouilles de police pour nos bureaux locaux, qui ont été attaqués dans le passé et ont été les cibles permanentes des terroristes.

Le gouvernement a non seulement refusé, mais a retiré la protection policière existante, à laquelle nous avons légalement droit.

Le ministre crapuleux n’a pas seulement permis, mais a incité les groupes terroristes, à agir à la tombée de la nuit pour attaquer nos jeunes.

La haine du gouvernement et des médias contre l’Aube dorée, telle qu’elle s’est exprimée depuis un mois, a mis l’arme dans les mains des assassins.

L’Aube dorée exige une enquête immédiate sur cette l’affaire, l’arrestation des criminels et leur châtiment dans toute la sévérité de la loi.

Nous demandons instamment à tous les Grecs de rester calmes et unis dans ce moment critique pour notre Patrie.

Nous exprimons notre profonde tristesse à la Grèce pour la perte de deux jeunes enfants, deux personnes que nous considérons comme des membres de notre famille.

 

(de l'Europe pas de l'Euroland)

 

A la faveur de la crise et de ses retombées sociales qui frappent la Grèce depuis quatre ans par le biais des banques corrompues, spéculatrices et mondialistes, les nationalistes sont entrés pour la première fois au Parlement aux dernières élections en juin 2012 avec 7% des voix.

Le financement des partis est proportionnelle à leur score électoral et Aube dorée a bénificié 1,2 million d’euros, ce qui a rendu fou la presse grecque corrompue par le cosmopolitisme et le mondialisme rampant qui détruit l'Europe toute entière.


Source et publication:   http://france.eternelle.over-blog.com/

 

 

 

LA DÉFENSE DU DROIT SUR " LE PORT D' ARMES " ! ARGUMENTS .....

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Communauté : Les libéraux français - 

Publié dans : Liberté individuelle

Jeudi 19 décembre 2013

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Défense du droit de porter des armes

 

 

2002

 

 

Nombreux sont ceux, même parmi les libéraux, qui restent insensibles à l'argumentation selon laquelle le droit de porter des armes relève de la liberté individuelle.

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Pour les libéraux qui se rapportent aux principes du droit naturel, le droit de porter des armes relève du droit naturel à l'auto-défense.

L'auto-défense est pour eux le premier de tous les droits individuels, celui garant de tous les autres – car un droit non défendu ne vaut rien.

Nulle autorité ne pouvant revêtir un pouvoir qui ne lui a pas été délégué, et nul ne pouvant déléguer un pouvoir qu'il n'a pas, il est inconcevable que des agents de l'État (policiers, militaires) aient le droit de porter les armes pour défendre les citoyens si ce droit n'appartient pas déjà aux citoyens, qui peuvent librement choisir de le déléguer ou d'en faire usage eux-mêmes.

Mais soit qu'ils rejettent cet argument (souvent sans discussion), soit qu'ils le considèrent comme secondaire (aussi sans discussion), les adversaire du droit de porter des armes prétendent n'être sensibles qu'à des arguments utilitaristes ou conservateurs.

Aussi est-ce de ce point de vue que je vais aborder la question.

 

 

 

L'effet dissuasif

Les prohibitionnistes pointent constamment vers le danger que représente le fait que des hommes soient armés.

Mais la question n'est pas de savoir s'il doit y avoir des hommes armés; elle est de savoir si les seuls hommes armés seront les policiers et les criminels, ou si les citoyens honnêtes aussi le seront.

Les criminels seront toujours armés et aucune loi ne les désarmera.

La loi peut les forcer à cacher leurs armes, mais ils sauront toujours le moment venu être plus armés que leurs victimes.

Les lois prohibant le port d'armes ne sont pas autre chose que des lois qui désarment des victimes potentielles. Il est donc absurde de prétendre que le port d'arme libre conférerait un avantage aux criminels.

Les armes sont en fait le plus grand égalisateur entre les hommes.

Entre la bande de grosses brutes épaisses habituées aux bagarres de rue et leur victime potentielle, gringalet tranquille ou faible femme, un pistolet chargé est l'assurance que les relations resteront courtoises; quoique, s'il s'agit d'une bande contre une seule femme, une mitraillette Uzi serait plus adaptée.

J'ai déjà été agressé, été témoin d'agressions, de rackets, d'intimidations, etc., et je peux attester qu'aucun de ces incidents n'aurait eu lieu si les victimes et témoins honnêtes avaient été aussi armés que les agresseurs.

Le maniement des armes requiert une formation, dit-on.

Certes, mais celle-ci est minime, bien plus simple qu'un permis de conduire. En quelques heures d'entraînement, la faible femme sera à égalité avec ses agresseurs potentiels quant à sa capacité de tirer à bout portant.

Par comparaison, avec la prohibition du port d'arme, même avec quelques milliers d'heures de cours d'arts martiaux, elle ne pourra jamais espérer être à la hauteur pour se défendre contre un voyou musclé et encore moins contre deux ou toute une bande.

Elle le sera encore moins si ces voyous sont armés d'un cutter ou canif ou d'autres armes blanches impossibles à prohiber, voire d'une vraie arme – puisqu'ils ne respectent pas la loi.

Les armes sont le plus grand égaliseur entre les baraqués et les gringalets!

Le géant de deux mètres spécialiste en arts martiaux n'osera pas s'en prendre à la plus minuscule petite vieille s'il soupçonne qu'elle ou un témoin puisse être armé (incertitude donc qui, autant que l'esthétique, suppose aussi le droit de cacher une arme que l'on porte).

Ainsi, la familiarité de tout une nation avec les armes assure qu'au sein de cette nation, les relations entre individus même désarmés resteront courtoises.

Il est impossible de demander à des personnes âgées de se défendre elles-même, dit-on.

Mais, avec la liberté de porter les armes, ces personnes âgées auraient appris depuis longtemps à se défendre; elles vivraient à côté de voisins armés, et se feraient accompagner de personnes armées pour tout déplacement dangereux en dehors des sentiers battus; à défaut de voisins, amis ou parents, elles loueraient des gardes.

Au contraire des prétentions alarmistes des prohibitionnistes, en rendant toute délinquance dangereuse, la liberté de porter les armes aurait des retombées positives pour la sécurité même des personnes incapables de se défendre elles-mêmes.

Pensez-vous vraiment que l'interdiction de porter des armes empêche aucunement quiconque d'agresser un petit vieux sans défense?

La peur de se faire surprendre par un témoin, un voisin, un parent, ou pire, un garde, armé, voire une victime elle-même récalcitrante et armée, en fera réfléchir plus d'un.

Le risque d'être pris n'augmentera pas, mais la sanction en cas de surprise, si, et cela a un effet dissuasif certain.

 


 

Le droit de port d'arme est considéré comme une liberté fondamentale aux Etats-Unis, pour garantir que les élus et le gouvernement auront toujours à craindre les citoyens si le gouvernement devient oppressif.

Les élites gouvernementales et les élus qui cherchent à supprimer ce droit aux Etats-Unis, ou qui y sont parvenus comme Pierre Laval (Premier ministre du maréchal Pétain) en France considèrent que les citoyens sont inférieurs au "bien commun" ou à l'Etat. Ils considèrent que les élus sont supérieurs aux peuples.

Ils ont tord.

En savoir plus :

http://www.gopfrance.fr/droit_de_port...

 

Les bandes armées

Les adversaires du droit de porter les armes feront miroiter le spectre de bandes armées dominant le pays. Mais c'est là un argument non fondé, car la liberté d'organiser son auto-défense permet de lutter plus efficacement contre le crime organisé.

Tout d'abord la question à poser est celle de savoir d'où surgiraient ces bandes armées, là où elles n'existent pas déjà?

Encore une fois, la prohibition ne touche que les honnêtes gens; les bandes criminelles armées ayant vocation à faire leur loi le peuvent déjà, dans tous les endroits abandonnés par la police, et il n'y a aucune raison pour que de nouvelles bandes apparaissent là où les citoyens honnêtes seraient plus difficiles à agresser.

Quant aux voyous qui ne sont actuellement armés que de couteaux, qui leur suffisent à faire la loi, ils pourront bien s'armer de pistolets, mais nous avons vu plus haut que face à des victimes potentielles tout aussi armées, ils y perdent en pouvoir d'intimidation.

L'idée selon laquelle il y aurait une horde de criminels fantômes tapis dans l'ombre et qui n'attendrait que la liberté de port d'arme pour les citoyens honnêtes avant que de se manifester est tout bonnement ridicule.

Même dans les quartiers difficiles où des bandes font actuellement la loi, la majorité silencieuse est composée de citoyens honnêtes, qui se terrent pour survivre sans encombre, à défaut de pouvoir se défendre.

L'intérêt de tous ces citoyens honnêtes est que l'ordre public soit respecté, et s'ils avaient la liberté d'organiser leur propre défense, en s'armant soi-même mais aussi en louant les services de polices privées, alors ils ne laisseraient pas les petits malfrats régner en maîtres.

D'aucuns prendront comme exemple tel pays arriéré où règnent des bandes armées pour dénoncer la liberté de porter des armes. Mais encore une fois, ces bandes règnent sur des populations désarmées; ces populations qui restent armées sont celles qui restent libres, tandis que celles qui sont désarmées sont sous la botte d'une bande ou d'une autre.

Supprimez cette liberté, le pays sera toujours aussi pauvre et aura maintenant une dictature militaire soutenue par la faction toujours armée.

La violence armée et l'arriération des pays pris en exemples vient d'ailleurs le plus souvent de guerres pour ou contre des dictatures militaires, causées par une volonté d'oppression gouvernementale. L'absence d'armes dans la population est alors une des conditions de la domination du régime totalitaire passé ou présent, tandis que l'existence d'armes non-gouvernementales représente le seul espoir de liberté pour ceux qui les détiennent.

Pour voir l'effet de la liberté de port d'arme sur un pays, il faut comparer sa situation avec celle de pays de richesse similaire où les populations civiles sont désarmées, et voir dans quels pays la situation s'améliore le plus vite.

À ce titre, les États-Unis et la Suisse, où règnent une relative liberté de port d'arme, sont aussi des pays relativement plus avancé que le reste du monde occidental du point de vue du respect des libertés individuelles comme de la richesse. Aussi, il est pour le moins douteux de prétendre que la liberté de port d'armes mène à la domination par des bandes armées.

Historiquement, les États modernes sont nés de la conquête et de la domination et dans ces États, de l'Antiquité au Moyen Âge et jusqu'à la fin de l'Ancien Régime, le port d'arme a toujours été la marque distinctive de l'homme libre, par opposition au membre d'une nation dominée, au serf, à l'esclave.

La première mesure avant tout massacre ou répression a toujours été le désarmement des futures victimes. La reconquête du port d'arme par les bourgeois des villes franches a été la marque de leur affranchissement vis-à-vis des féodaux. La fin de l'Ancien Régime a aussi entraîné la fin du privilège du port des armes.

Mais les classes dirigeantes des États-nations contemporains veulent nous faire croire qu'on est plus libre en n'ayant pas le droit de se défendre soi-même, pour nous faire accepter volontairement notre nouvelle servitude.

Les classes politiques électives ont remplacé les classes politiques héréditaires dans une domination plus subtile, mais non moins oppressive, capable un jour d'envoyer des générations entières se faire trucider au nom de la patrie dans des guerres coloniales et impérialistes, capable un autre jour de dépouiller les classes productives des trois quarts de leurs revenus (bien plus que sous l'Ancien Régime).

Les non-arguments

setka.jpgDe nombreuses autres sortes de non-arguments fleurissent. Selon certains, la liberté de porter les armes serait justifiée dans les grands espaces de l'Ouest américain, mais pas dans les zones urbaines peuplées de l'Europe ou même de l'Amérique moderne.

C'est oublier un peu vite que le taux de criminalité est, et a toujours été, plus élevé dans les villes, et que dans celles-ci pas plus qu'à la campagne la police ne prétend défendre la victime au moment de son agression – dans les deux cas, la victime sera seule face à son agresseur, et ne pourra appeler la police, si elle a survécu, qu'après coup.

Un autre non-argument de circonstance consiste à dire que le port d'arme convient à la mentalité américaine, mais pas à la mentalité européenne.

Outre le fait que le port d'arme était encore libre en Europe jusqu'au milieu du vingtième siècle, il ne semble pas que les immigrants européens en Amérique aient jamais eu de mal à s'adapter à la chose.

Les hommes peuvent parfaitement s'adapter sans que leurs mentalités passées ne posent aucune barrière réelle au retour à la liberté.

Ce non-argument relève du renversement causal entre droit et mentalité.

Certains verront aussi dans diverses statistiques une augmentation du nombre de crimes par arme à feu dans les pays où ils circulent librement, sans voir qu'elle est plus que compensée par une diminution des crimes sans arme à feu – l'assassin adapte son arme à la législation, mais sa victime meurt ni plus ni moins à coups de machette ou de couteau – et au final, ce qui compte est que le taux de criminalité est moindre là où règne la liberté.

D'autres compteront les accidents dus aux armes à feu, sans les mettre en rapport ni avec les accidents de la route, ni avec les coups de couteaux et autres agressions évitées, etc., avant de tirer des conclusions.

Les statistiques montrent surtout l'effet dissuasif de la liberté de porter des armes en général et des armes cachées en particulier, et que le crime est plus fort là où les citoyens honnêtes sont entravés par une législation prohibitive et dans les quartiers où les honnêtes gens sont moins armés.

Elles montrent enfin que la sévérité de la justice (la « tolérance zéro ») a fait réellement reculer le crime là où la prohibition des armes l'a fait avancer.

La charge de la preuve

C'est bien à ceux qui préconisent la prohibition, et non la liberté, le monopole, et non la concurrence, que devrait revenir la charge de la preuve.

Ce sont les prohibitionnistes qui réclament des mesures coûteuses pour interdire, qui exigent de chacun le sacrifice d'une liberté qui ne nuit pas a priori à autrui. C'est à eux à tout le moins qu'il revient de justifier leur position.


Notons d'ailleurs que si personnellement ils ne désirent pas porter d'arme, et déléguer leur droit à une quelconque police (voire à ne pas s'en servir du tout), et à refuser l'entrée de leur logis, de leur propriétés à quiconque en porte, nul ne leur conteste ce droit, à eux ni à quiconque partagerait leurs thèses.

C'est bien eux qui veulent forcer les autres à vivre selon leurs critères, et non pas le contraire.

 

  Par François-René Đặng-Vũ Bân Rideau 

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Acquisition et détention d'armes

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Droit de port d'armes

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Droit au port d'armes

De Wikiberal:

Pour la plupart des libéraux, le droit de porter des armes relève de la liberté individuelle et du droit à l'auto-défense. Il serait absurde, pour un libéral, de défendre le droit à la vie, et en même temps d'empêcher les personnes de se défendre comme elles l'entendent.

Comme dans le cas de l'interdiction de la drogue, la prohibition ne profite qu'à ceux qui ne la respectent pas (marché noir, trafics), tandis que ceux qui se conforment docilement à laloi sont les premières victimes.

L'État trouve souvent intérêt à réprimer le droit au port d'armes pour des raisons de "sécurité publique". Quand bien même l'État aurait légitimité à protéger les gens d'eux-mêmes (un paternalisme que les libertariens refusent), force est de constater sa défaillance quotidienne à protéger les citoyens des délits et crimes. L'État, qui est le plus grand acheteur (ou vendeur) d'armes, bombes, missiles, avions de chasse, etc., est mal placé d'un point de vue moral pour défendre une telle interdiction. La prohibition du port d'armes participe à la réduction des libertés, l'histoire montre qu'il s'agit là d'une des premières décisions que mettent en œuvre les dictatures (par exemple le nazisme en 1933).

Objections courantes

Affiche de l'UDC suisse contre le contrôle des armes
  • Le port d'armes n'est défendu que par quelques « fêlés de la gâchette ».

C'est un argument ad hominem classique : n'osant pas attaquer un droit légitime, on attaque ceux qui défendent ce droit. Les policiers et les soldats sont-ils des "fêlés de la gâchette" ?

  • Le port d'armes libre profite aux criminels (ou aux déséquilibrés).

Les criminels se soucient peu de la loi et pourront toujours être armés (dans tous les pays où le port d'armes est limité, il y a un marché noir des armes très actif et assez facile d'accès[1]) ; en réalité la prohibition profite avant tout aux criminels, leurs victimes étant désarmées.

Aux États-Unis, la logique qui interdit le port d'armes sur un campus quand n'importe qui peut y pénétrer et tirer sur des gens désarmés (« tueries scolaires ») est criminelle.

Il faut noter que dans l'esprit des révolutionnaires de 1789, établir un contrôle des armes revenait à instaurer de nouveau des privilèges :

 « Il est impossible d’imaginer une aristocratie plus terrible que celle qui s’établirait dans un État, par cela seul qu’une partie des citoyens serait armée et que l’autre ne le serait pas ; que tous les raisonnements contraires sont de futiles sophismes démentis par les faits, puisque aucun pays n’est plus paisible et n’offre une meilleure police que ceux où la nation est armée. »
    — Assemblée nationale, séance du mardi 18 août 1789,, Le Moniteur universel, n° 42, p. 351

Mirabeau était d'avis d'inscrire ce droit dans la Déclaration des Droits de l'Homme et du citoyen, il avait même proposé l'article 10 suivant (article 11 dans les Mémoires de Mirabeau) :

 « Tout citoyen a le droit d’avoir chez lui des armes et de s’en servir, soit pour la défense commune, soit pour sa propre défense, contre toute agression illégale qui mettrait en péril la vie, les membres ou la liberté d’un ou plusieurs citoyens. »

Cependant, les membres du Comité des Cinq[2] considérèrent que « le droit déclaré dans l’article 10 non retenu était évident de sa nature, et l’un des principaux garants de la liberté politique et civile que nulle autre institution ne peut le suppléer »[3]

  • Le port d'armes libre augmente la criminalité.

On constate que la légitime défense a un effet dissuasif, les pays (États-UnisSuisse…) où règne une relative liberté de port d'armes, sont aussi des pays plus avancés que le reste du monde du point de vue du respect des libertés individuelles et n'ont pas une criminalité supérieure, au contraire. D'après Pierre Lemieuxles taux de crimes violents sont 81% plus élevés dans les États restreignant plus sévèrement le port d’armes[4].

Il est en fait très difficile d'établir une corrélation entre la quantité d'armes à feu en circulation et le taux d'homicide. Des pays où les armes à feu sont interdites ont des taux d'homicide bien supérieurs à celui des États-Unis. En Suisse, le port d'armes est resté libre de 1848 à 1998, et la première fusillade de masse n'est survenue qu'en 2001 (14 morts le 28/09/2001 au parlement de Lucerne) deux ans après la prohibition du port d'armes passée au niveau fédéral en 1999. On estime qu'il y a encore dans ce pays de 4 à 6 millions d'armes à feu pour une population de 8 millions d'habitants.

  • Puisque la fonction d'une arme à feu est de tuer, elle devrait être interdite.

Cette conception souvent avancée est erronée. Une arme à feu peut également avoir comme fonction de menacer un agresseur dans le but de se défendre (ou seulement de le blesser pour le mettre hors d'état de nuire).

Un usage passif, à but défensif, de l'arme à feu est parfaitement légitime, n'enfreint les droits de personne et permet au contraire de protéger ceux de son propriétaire.

Tuer n'est en réalité qu'une des fonctions possibles d'une arme à feu au même titre que pour les voitures par exemple (on peut se servir d'une voiture pour écraser quelqu'un, mais les voitures ne sont pas prohibées pour autant).

Si les armes à feu devraient être interdites, on ne voit pas pourquoi cette interdiction ne concernerait pas également les policiers, les gendarmes et les militaires.

  • Le port d'armes entraîne de la part de l'État une surveillance accrue des citoyens, car la population devient alors une menace bien plus importante pour la sûreté de l'État en cas de troubles ; ainsi si le libre port d'armes augmente la liberté individuelle, il entraîne la réduction d'autres libertés.

Ce point de vue est infirmé par les divers classements mondiaux (dont Reporters Sans Frontières) des pays du point de vue du respect des libertés individuelles ou du point de vue de l'indice de démocratie de The Economist Group.

Le port d'armes s'intègre de façon cohérente dans l'ensemble des libertés individuelles ; dès lors qu'il est autorisé, il serait incohérent de voir les libertés restreintes sur d'autres plans d'importance égale.


source: http://www.lumieres-et-liberte.org/article-fran-ois-rene-rideau-fare-defense-du-droit-de-porter-des-armes-121682399.html

LE COUP DE GUEULE D' ANDRÉ BERCOFF !

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André Bercoff : "Le fossé se creuse de plus en plus entre une France abritée et une France exposée"

André Bercoff : “Le fossé se creuse de plus en plus entre une France abritée et une France exposée”

 
 

19/12/2013 – 17h00


PARIS (NOVOpress) - Dans “Je suis venu te dire que je m’en vais”(Éditions Michalon), André Bercoff pousse un puissant coup de gueule contre l’hémorragie des talents français.

Il offre en outre à ses lecteurs un formidable exercice de dissection de la France telle qu’elle ne va pas, de cette France “en dormition”.
Entretien exclusif réalisé pour Novopress.

Sur le plan des causes de l’émigration française, vous vous attaquez à une fiscalité excessive et braconnière. Vous ne contestez pourtant pas la légitimité de l’impôt.

D’où vient le fait qu’au-delà de son “volume”, il soit désormais inacceptable ?

Comment pourrait-il redevenir légitime aux yeux des Français ?

Ce qui est devenu inacceptable aux yeux des très nombreuses personnes que nous avons été amenés à rencontrer, c’est l’impression que le fisc est, de plus en plus, pour les princes qui nous gouvernent, l’horizon indépassable de notre temps et qu’il ne touche plus seulement les classes riches ou aisées, mais une classe moyenne en panne d’avenir et en précarisation plus ou moins forcée.

Beaucoup m’ont dit qu’ils comprennent très bien que l’on paye des impôts, à condition de savoir où va l’argent et à quoi et à qui il sert.

La légitimité ne pourra revenir qu’avec la transparence.

 

Je suis venu te dire que je m'en vais"  d'André Bercoff

“Je suis venu te dire que je m’en vais” d’André Bercoff

Vous soulignez, à juste tire, l’injustice d’un système qui est incapable de frapper assez fort les extrêmement riches – soit les entreprises du CAC 40 et les “500″ du classement Challenges – et qui pourtant développe une énergie redoutable à traquer et matraquer les PME et les “Français moyens”.

Une hypocrisie de plus en France normale ?

Hypocrisie ? Non : ce qui reste quand on a tout oublié et qu’on ne veut ni dégraisser le mammouth, ni toucher véritablement à la dépense publique.

Les sympathiques héros du CAC 40 ont tout compris : ils appartiennent – pour plus de la moitié – à des investisseurs étrangers et 80% de leurs activités sont situées hors de France.

 

Ce qui leur permet de payer des impôts dans les herbes vertes d’une fiscalité plus légère, c’est-à-dire partout ailleurs qu’ici. Reste à tondre les millions de moutons qui ne peuvent se permettre la transhumance vers des pâturages d’outre-frontières.

Il est rare d’entendre les médias évoquer l’insécurité et les conséquences négatives de l’immigration massive comme raisons de départ de milliers de français.

C’est pourtant l’un des points que vous avez choisi de souligner …

C’est en effet ce que nous avons entendu à plusieurs reprises.

Des hommes et des femmes évoquaient le sentiment de n’être plus protégés, la nuit, dans les transports en commun ou ailleurs. Un sentiment vague mais omniprésent.

Mais soyons clairs : ils ne liaient pas l’insécurité à l’immigration ; en ce qui concerne celle-ci, revenait souvent l’argument selon lequel ils ne comprenaient pas pourquoi l’aide publique allait aussi massivement à des primo arrivants, voire même aux clandestins qui bénéficiaient d’emblée de l’AME, ainsi que d’autres avantages, alors que des millions de Français vivent sous le seuil de pauvreté.

Sur ces sujets également, ils voudraient savoir le montant de ces dépenses, la répartition, bref, une fois de plus, une transparence cruellement absente.

La France, qui a pourtant mis au monde des personnalités d’élite pendant plus d’un millénaire, semble avoir désormais le dégoût de l’excellence.

D’où vient ce poison mortel ? Est-il l’enfant coupable de 1789 et de 1968 ?

Je ne crois pas. Il est toujours facile de désigner des boucs émissaires et il est d’autres dates qui sonnent beaucoup plus fort dans le renoncement national : par exemple 1940…

La « normalisation » vient à la fois du laxisme de l’Education nationale (90% de bacheliers), de la culture effrénée de l’assistanat et de l’énarchie, moule à fabriquer des élites qui n’ont rien de plus pressé, à 25 ans, que d’imiter leurs aînés sexagénaires. La consanguinité et l’excellence font toujours mauvais ménage. La grandeur ne naît que dans les chemins de traverse.

L’expatrié type nous parait facilement cernable : originaire d’un milieu “bourgeois”, élève des grandes écoles et désormais cadre sup’. Après votre enquête, pouvez-vous nous décrire qui il est réellement ?

Cet archétype existe, bien sûr, mais ne représente pas du tout, aujourd’hui, la majorité des expatriés. J’ai rencontré de nombreux jeunes de 20 à 25 ans qui n’avaient pas fait d’études poussées et qui partaient, non parce qu’ils n’aimaient pas la France, mais qu’ils se voyaient condamnés à un avenir sans limite, de stages et de CDD.

De San Francisco à Sydney, de Londres à Shanghai, vous avez des dizaines de milliers de Français dans des restaurants, des hôtels, des salons de coiffure, et pas seulement à la Bourse, dans le monde de l’entreprise ou dans la haute technologie.

J’ai rencontré une jeune femme, simplement bachelière, qui a fait fortune dans le macaron à Sydney…

La palette est large.

Deux concepts que vous avancez dans votre livre me semblent essentiels. Tout d’abord celui de la nouvelle fracture sociale, non pas selon les “classes” traditionnelles mais selon les emplois “protégés” et les emplois “vulnérables”.

Ensuite, ce que vous appelez la France à trois vitesses. Pouvez-vous revenir sur ces deux points ?

Il me semble effectivement que le fossé se creuse de plus en plus entre une France abritée et une France exposée.

Encore que la garantie de l’emploi est moins assurée qu’autrefois, mais surtout que si l’on additionne les bombes à retardement de la retraite, de la sécurité sociale et de la dette, l’avenir pousse de plus en plus de gens à ne compter que sur eux-mêmes.

Si, dans certains milieux, la lutte des places a remplacé la lutte des classes, on ne compte plus les chefs de petites entreprises qui se retrouvent en faillite et démunis, les cadres supérieurs qui connaissent de plus en plus le chômage, bref, une bourgeoisie désemparée et dont le statut est parti sans laisser d’adresse.

Trois niveaux donc : la France des méga-riches, de la haute fonction publique et des rentiers, qui peut continuer de dormir tranquille ; celle de la classe moyenne en plein déclassement et précarisation ; et enfin le reste de la population que l’on aide légitimement de diverses manières, tout en faisant semblant de ne pas savoir que, comme disait Michel Rocard, l’on ne pourra accueillir toute la misère du monde sans en payer le prix.

Même si vous en exposez, à plusieurs endroits, les conséquences négatives, vous n’envisagez à aucun moment de nous mettre en retrait du “jeu de la mondialisation”, pourquoi ?

Parce que, contrairement à beaucoup, je pense que mondialisation et identité sont les deux faces positives de la même médaille. Le grand visionnaire des médias, Marshall MacLuhan, affirmait : « C’est parce que le monde est devenu un village global que va sonner le retour des tribus ».

C’est la mondialisation qui a permis à des centaines de millions d’Asiatiques de sortir de la misère, et c’est elle qui réveille les identités et surtout qui les fait connaître par le Net et les hautes technologies, et c’est très bien ainsi.

38 % des français qui voudraient quitter leur pays, ce sont 62 % qui souhaitent y rester, n’est-ce pas à la fois surprenant et encourageant ?

Soyons clairs : il ne s’agit en aucun cas, pour le moment, et heureusement, d’une émigration massive. Dans mon livre, je cite des prospectives selon lesquelles il y aurait plus de trois millions d’expatriés en 2020.

Ce qui est beaucoup plus préoccupant, c’est la perception généralisée de cette envie de partir parce que l’avenir est bouché, envie qui trotte dans beaucoup plus de têtes que ne l’affirment les sondages.

 

C’est cela qu’il faut combattre en s’attaquant enfin au mal français. Le temps n’est plus de le décrire, mais d’en finir.

Propos recueillis par Pierre Saint-Servant

Crédit photo : Yves Colas (c).

Je suis venu te dire que je m'en vais"  d'André Bercoff

Je suis venu te dire que je m’en vais” d’André Bercoff

 

Source et publication:   http://fr.novopress.info/149694/andre-bercoff-fosse-se-creuse-en-france-abritee-france-exposee/

REVUE DE PRESSE ET TRIBUNE LIBRE !

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"Voulez-vous gagner des milliards ?", propose la Suisse à la France
Le Point.fr - Publié le 19/12/2013 à 18:12
 
 
De NOTRE CORRESPONDANT À GENÈVE, 
 
En acceptant de signer un accord global avec la Suisse concernant tous ses exilés 
 
 

Le 5 novembre dernier, Bruno Bézard, le directeur général des finances publiques, rencontre discrètement à Zurich Jacques de Watteville, le tout nouveau secrétaire d'État suisse aux questions financières internationales (SPI). Ce dernier est un brillant diplomate francophone de 62 ans. Il a représenté la Suisse à Bruxelles et à Pékin. Sa nouvelle mission : tenter de conclure un accord bilatéral avec la France afin de régler "le passé", à savoir la question des comptes non déclarés qui empoisonne les relations entre les deux pays.

Jacques de Watteville ne souhaite pas s'exprimer sur ce dossier si sensible.

D'autant que les relations entre Paris et Berne se sont nettement refroidies depuis que les députés suisses ont rejeté ce mois-ci, à une très large majorité, une convention sur les successions pourtant signée en juillet entre la France et la Confédération.

Toutefois, le secrétariat d'État confirme au Point.fr que "des discussions techniques sont en cours ou agendées pour poursuivre ces travaux", sur "les différentes questions fiscales en suspens entre les deux États".

Accord global franco-suisse

"En ce qui concerne la régularisation du passé, la question de savoir si celle-ci sera réglée de façon bilatérale ou non, fait partie des discussions (confidentielles) et est encore ouverte", ajoute le Département fédéral des finances.

Plutôt que de laisser Bercy courir encore pendant des décennies après ses exilés fiscaux afin de les convaincre (ou de les contraindre) de se régulariser, la Suisse propose un accord global.

Un accord semblable à celui baptisé "Rubik", que les Helvètes ont réussi à signer avec la Grande-Bretagne et l'Autriche.

De quoi s'agit-il ? Les clients britanniques et autrichiens conservent l'anonymat, le secret bancaire est préservé, en contrepartie, les banques suisses prélèvent à la source sur leurs comptes un impôt sur les revenus du capital, les sommes sont ensuite reversées aux deux pays.

Sociétés immatriculées à Panama

Londres et Vienne reçoivent ainsi depuis 2013 de gros paquets d'argent sans avoir besoin de traquer leurs évadés fiscaux.

Seulement voilà, peut-on faire confiance aux banques suisses pour ponctionner leurs clients ? Encore faut-il connaître la nationalité de ces derniers.

Souvent, les plus fortunés se cachent derrière des sociétés ou des fondations immatriculées à Panama ou aux îles Vierges.

La France et l'Allemagne ont refusé Rubik.

"On peut imaginer un Rubik différent, non anonyme cette fois. En fait, les banquiers suisses souhaitent trouver rapidement un accord avec la France. Ils ne veulent pas payer pour leurs clients, être poursuivis en justice pour avoir violé le droit français !" souligne l'avocat Philippe Kenel, spécialisé en matière de délocalisation des personnes fortunées en Suisse et en Belgique.

Un accord-cadre signé entre les deux pays pourrait permettre de prélever un impôt forfaitaire de 20, 25 ou 30 % sur tous les comptes non déclarés appartenant à des Français.

Pas seulement sur les revenus du capital, mais surtout sur le capital.

En contrepartie, les fraudeurs ne seraient pas poursuivis. Cela peut représenter beaucoup d'argent, que la France empocherait rapidement.

L'économiste Gabriel Zucman, chercheur à Berkeley, auteur de La richesse cachée des nations, évoque le chiffre de 180 milliards d'euros d'argent français caché en Suisse.

Récupérer jusqu'à 54 milliards

En théorie, un impôt forfaitaire de 20 % permettrait de récupérer 36 milliards d'euros ; 30 %, 54 milliards d'euros ! "Je suis favorable à un accord global. Il faut enfin trouver un arrangement entre nos deux pays", insiste Claudine Schmid, députée UMP des Français établis en Suisse.

En revanche, le socialiste Yann Galut, spécialiste des questions de fraude fiscale, n'est pas favorable à un accord global avec la Suisse, pays qu'il accuse de se comporter comme "le coffre-fort de l'évasion fiscale du monde entier". "Il faut effectivement régler le passé... mais à nos conditions.

Que les évadés se régularisent, payent ce qu'ils auraient dû payer en France, auquel s'ajoutent des pénalités", lâche le député du Cher, précisant qu'il ne parlait pas au nom de Bernard Cazeneuve, le ministre du Budget.

 

Bref, pas question d'accorder le moindre "cadeau"à des fraudeurs au moment où le gouvernement demande beaucoup d'efforts aux Français.

 

source et publication:  http://www.lepoint.fr/economie/voulez-vous-gagner-des-milliards-propose-la-suisse-a-la-france-19-12-2013-1772681_28.php#xtor=EPR-6-[Newsletter-Matinale]-20131220

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FRANCE: IMMIGRATION/INVASION ! QUAND ? LE RÉVEIL !

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PEUT-ÊTRE LE 26 JANVIER 2014 !  " JOUR DE COLÈRE "


Vendredi 20 décembre 2013

boulevard-voltaire-islam

Peut-on assimiler un islam par essence sectaire et dominateur, si différent des traditions européennes ?


Le programme pour la France de Léonora Miano, lauréate camerounaise du prix Femina, se veut limpide.

Le temps est venu de payer la facture et de laisser la place aux anciens colonisés comme un juste retour de balancier.

Du reste, si les Africains sont malheureux, c’est toujours de notre faute.

La preuve ? Ils nous haïssent au point de s’empresser de débarquer chez nous.

Tout va bien, n’ayez pas peur de la mutation, vous ne mourrez pas de la disparition du monde connu, dit la donzelle dont la candeur n’a d’équivalent que la machination de ceux moins francs qui mettent en œuvre l’agenda de la rétro-colonisation.

Jusqu’à quel point peut-on accepter d’être minoritaire en France ? À partir de quel seuil une population submergée, humiliée, traitée de raciste et d’infâme prend les armes contre ses envahisseurs ?

L’islam est la première religion de France par le nombre de pratiquants. Les 15 % de musulmans forment l’avant-garde d’une Reconquista qui ne dit pas son nom, dans les esprits autant que dans les salles de prière, voulue et entretenue par des élites acceptantes et repentantes.

Angélisme exterminateur ou félonie,la France est le maillon faible occidental de l’entreprise d’africanisation et de reconquête musulmane.

Qui pourra croire qu’il n’y a pas une cohérence entre les prises d’otages crapuleuses de Français et la déstabilisation visant à former un Sahelistan sous l’égide d’Al-Qaïda et de l’AQMI, entre le climat insurrectionnel des banlieues et la réislamisation des populations d’origine africaine, entre les nocences des petites brutes et des caïds et la djihad en faveur du voile et de la burka, entre la campagne de victimisation islamophobe et la frappe financière déployée par le Qatar, jusqu’au soutien par les pétromonarchies des salafistes et des Frères musulmans ?

Les offensives au Mali, au Tchad, en Centrafrique, au Niger se font dans la zone d’influence française, suite à l’implosion tribale de la Libye provoquée par Sarkozy et son ange noir Lévy, suivi du retour de la charia. Hollande en chef de guerre nous fait songer au Guy Mollet égaré entre tiers-mondisme et jusqu’au-boutisme.

L’avancée du mahométisme en Côte d’Ivoire, au Sénégal, au Nigeria, au Soudan montre la puissance irrésistible de cette poussée.

Les États-Unis et nos voisins européens sont imprudents de faire confiance à la France pour l’endiguer.

La menace est telle que l’Angola, jaloux de ses succès à l’autre bout du continent, interdit l’islam et qu’Erdoğan va prêcher le multiculturalisme auprès des Turcs d’Allemagne et des Balkans.

Les trois questions que les médias ne poseront pas :

>> Peut-on assimiler un islam par essence sectaire et dominateur, si différent des traditions européennes ?

>> Peut-il s’accepter en religion minoritaire alors qu’il n’en a jamais été ainsi ailleurs ?

>> Sachant qu’une société implose à un seuil de 30 % de culture minoritaire et que nos sensibles représentent déjà un quart de la jeunesse française (60 % en Île-de-France), à quand la guerre civile ?

source link

LA GARE SNCF DE VILLEFRANCHE-SUR-ROUERGUE ET SA CRÈCHE ?

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Jeudi 19 décembre 2013

Ce n’est pas explicitement dit dans l’article paru le 18 décembre sur le journal en ligne Centre Presse Aveyron mais qui voudrait en France faire interdire une crèche à part les musulmans ?


De mémoire d’homme a t-on déjà entendu parler de retirer une crèche parce que cela serait un signe ostensiblement religieux ?


La scène se passe à  Villefranche-sur-Rouergue où des cheminots ont installé une crèche dans la gare SNCF de la ville pour les fêtes de fin d’année.


La direction régionale de Toulouse a demandé de la retirer au plus vite parce que cela aurait choqué un usager de voir ce signe religieux dans un lieu public. Sur le coup, les cheminots ont refusé d’appliquer l’injonction mais ont quand même masqué la crèche.


Le pire, selon un salarié : c’est que nous savons de qui provient cette plainte… 


Source : CentrePresseAveyron.fr


Qu’on nous prouve qu'un mahométan n’a pas fourré ses babouches dans cette histoire, signe parmi tant d'autres d’un conflit à venir…


La crèche masquée

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Les exactions contre la chrétienté en Syrie. Ils commencent par interdire les signes religieux autre que ceux de l'islam (chez nous aujourd'hui)... pour finir par détruire les églises et massacrer les chrétiens.

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Eglise détruite en Syrie par les islamistes

 
 
http://revoltes-en-europe.over-blog.com/article-villefranche-de-rouergue-aveyron-les-musulmans-veulent-ils-faire-interdire-une-creche-121684330.html

CENTRAFRIQUE: LA BELGIQUE FAIT UN EFFORT ?

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La Belgique est prête à un effort supplémentaire en Centrafrique mais dans un cadre européen

19 décembre 2013 – 18:04 

Le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, s’est-il avancé trop vite en déclarant croire “pouvoir affirmer que nous aurons bientôt des troupes au sol qui seront apportées par nos collègues européens” en Centrafrique?

Le Quai d’Orsay avait par la suite confirmé ces propos mais sans toutefois préciser les pays concernés.

Quels sont donc ces pays prêts à déployer des troupes au sol pour épauler les 1.600 militaires français de l’opération Sangaris, lancée en Centrafrique le 5 décembre dernier par le président Hollande, après en avoir reçu le feu du Conseil de sécurité des Nations unies?

Porte-parole du gouvernement, Mme Najat Vallaud-Belkacem a donné deux pistes, à l’issue du Conseil des ministres du 18 décembre.

“Des échanges ont eu lieu, notamment avec les autorités belges et les autorités polonaises”, a-t-elle déclaré. “Il y aura des annonces précises à la fin du Conseil européen (des 19 et 20 décembre) mais ce que je peux vous dire, c’est que la volonté de nos partenaires, en particulier la Belgique et la Pologne, est bel et bien d’apporter des renforts.

Sous quelle forme? ce sera précisé dans les jours à venir”, a-t-elle ajouté.

La veille, la Belgique avait pourtant fait savoir que l’envoi éventuel de 150 soldats à Bangui – hypothèse évoquée par une source militaire belge – était “prématuré”. Quant à la Pologne, elle fit savoir qu’il n’en était pas question…

Interrogé sur les ondes d’Europe1, ce 19 décembre, le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a abordé cette question. “Je ne confirme rien tant que les gouvernements ne se sont pas exprimés.

Pour l’instant, nous avons un soutien logistique, et j’en espère un au sol parce que cela permettrait d’accélérer notre pénétration dans les autres villes”, a-t-il expliqué.

Comme quoi, le format de 1.600 hommes est insuffisant, contrairement à ce qui avait été jusque-là affirmé par les autorités françaises…

Sans doute y verra-t-on plus clair à l’issue du Conseil européen dédié à la Politique européenne de sécurité et de défense (PESD)… Mais en attendant, ce n’est pas encore le cas.

 

 

Ainsi, après avoir rappelé que la Belgique avait mis à la disposition des forces françaises 2 avions de transport, le Premier ministre belge, Elio Di Rupo, a affirmé, à son arrivée au sommet en question, que son pays est prêt à “éventuellement examiner” la possibilité d’une contribution supplémentaire à une force internationale de maintien de la paix en Centrafrique, “mais dans un cadre européen” et “certainement pas sur un plan uniquement bilatéral”.

Quant à savoir si cette contribution pouvait prendre la forme d’un envoi de troupes au sol, Elio Di Rupo a été catégorique : “dans l’état actuel des choses, nous n’avons absolument discuté de cela au niveau du gouvernement belge”.

Et “c’est une demande française”, a-t-il conclu.

 

 

Source et publication : Zone Militaire   http://www.opex360.com/


AFRIQUE : RDC/ONU , COMME UN PROFOND DÉGOUT ? ( MARTIN KOBLER )

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 RDC-ONU] : Pas d’impunité pour les groupes armés

Force onusienne {JPEG}Selon la mission des Nations Unies au Congo (Monusco)¹, la tuerie, perpétrée entre le 13 et le 14 décembre, a fait plus d'une vingtaine de morts dans l’Est de la République Démocratique du Congo.

 

Après la victoire militaire de l’armée congolaise un accord de paix historique signé entre Kinshasa et les ex rebelles du mouvement du 23 mars à Nairobi, Kenya « laissant entrevoir un espoir de pacification dans le pays ». 

Ainsi est-on en droit de s’interroger sur le massacre au nord Kivu plus précisément à Beni. On ne peut que se poser sérieusement de questions sur la possibilité de dialogue politique entre Kigali et les rebelles hutus des FDLR

 La Monusco dénonce le massacre à Beni

En effet, le massacre a eu lieu dans les villages de « Musuku et Mwenda », en territoire de Béni, les 13 et 14 décembre, selon la mission onusienne en RDC.

Les victimes, dont des femmes et des enfants auraient été tuées pour la plupart à l'arme blanche ».

Les rebelles ougandais des ADF-NALU  pointés du doigts . « Comble de l’horreur : trois filles mineures auraient été violées par les assaillants avant d'être décapitées

.Le corps mutilé et démembré d'un enfant aurait en outre été retrouvé sur un arbre, dans le village de Musuku, précise Monusco dans le communiqué.

Le chef de la Mission, Martin Kobler a exprimé son "profond dégoût". »

La Monusco ne cite pas les auteurs présumés de l'attaque. Mais les rebelles ougandais des ADF-NALU pointés du doigts . [Forces alliées démocratiques Armée nationale pour la libération de l'Ouganda].Mais qui sont vraiment les rebelles Ougandais ADF-NALU ? 

En réalité, « ADF-NALU est née au milieu des années 1990 de la fusion de deux groupes armés opposés au président ougandais Yoweri Museveni, au pouvoir depuis 1986. La composante Nalu [Armée nationale pour la libération de l'Ouganda] a depuis lors disparu, mais le mouvement conserve son appellation d'origine ».

Petit à petit, ces combattants se sont radicalisés. Aujourd'hui uniquement composée d'islamistes, « l'ADF-Nalu est dirigée depuis 2007 par Jamil Mukulu, un chrétien converti à l'islam.

Kampala accuse régulièrement l’ADF-Nalu d’être liée aux Shebab², ces islamistes somaliens. Les États-Unis l'ont placée sur leur liste d'organisations terroristes dès 2001 et Jamil Mukulu est visé par des sanctions de l'ONU depuis 2011 et de l'Union européenne depuis 2012 ».

La Monusco, qui a demandé l'ouverture d'une enquête "dans les plus brefs délais", a indiqué qu'elle avait renforcé ses patrouilles dans les zones et qu'elle utiliserait "tous les moyens nécessaires pour assurer la protection des populations [...]. 

Ces atrocités ne resteront pas impunies, les auteurs ne connaîtront pas de répit, tant qu'ils n'auront pas répondu de leurs actes devant la justice", a déclaré le chef de la Monusco ».

  L’Etau se serre sur les rebelles hutus Rwandais

 La Monusco et l’armée congolaise continuent à traquer les rebelles Rwandais de force démocratique de libération du Rwanda(FDLR) au Nord Kivu au nord ouest de Goma.

Selon Martin kobler « la priorité numéro un de la Monusco est désormais les FDLR³.

Il ajoute la victoire de l’armée congolaise contre les rebelles du mouvement du 23 mars(23) début novembre,offre la possibilité de se concentrer sur d’autre groupes armés ». Les rebelles hutus ,accusés d’avoir commis de génocide, « sont aujourd’hui une menace pour la population locale des zones où ils évoluent, même si leur but reste de renverser le régime du président Paul Kagame ».

Mais pourquoi, le Président Paul Kagame n’ouvre pas un dialogue politique avec les rebelles hutus des FDLR ? est ce que l’option militaire peut ramener la paix durable au Rwanda et dans la région des grands lacs ?

De toute évidence,. depuis la victoire militaire de l’armée congolaise, « les FDLR ont envoyé plusieurs lettres à la Monusco.

Ils ont demandé l'ouverture d'un dialogue avec Kigali sous l'égide de la communauté internationale comme ce fut le cas entre le M23 et les autorités congolaises »

Mais pour les autorités rwandaises, « il est toujours hors de question d'ouvrir un dialogue avec les FDLR.

Les rebelles hutus Rwandais sont un mouvement , non seulement qui a commis le génocide en 1994,mais aussi ils véhiculent une idéologie génocidaire ». 

« Donc c’est un problème plutôt qui concerne le désarmement, la démobilisation et la justice ». « Ce n’est pas un problème politique ».

Par Ferdinand LUFETE

 

Notes : 

[1] La MONUSCO a remplacé la précédente opération de maintien de la paix - la MONUC - le 1er juillet 2010, selon le mandat établi par la résolution 1925 (2010) du Conseil de sécurité du 28 mai. Ce changement reflète la nouvelle phase dans laquelle le pays est entré.

La MONUSCO est autorisée à recourir à tous les moyens nécessaires pour mener à bien son mandat concernant, entre autres, la protection des civils, du personnel humanitaire et des défenseurs des droits de l’homme immédiatement menacés de violence physique, ainsi que le soutien du Gouvernement de la République démocratique du Congo dans ses efforts de stabilisation et de consolidation de la paix.

 [2] Shebab est un groupe islamiste somalien issu de la fraction la plus dure de l’union des tribunaux islamiques , qui milite pour l’instauration de charia.

[3] Les Force démocratique de libération du Rwanda(FDLR) : Sont un groupe armé formé en République Démocratique du Congo en 2000 Défendant les intérêt des Hutus Rwandais réfugiés en RDC.

 

YEMEN / FRANCE ,TERRE DE DJIHAD ???

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INFO LE FIGARO - Ils séjournaient à Dammaj, un centre du salafisme mondial, soumis au blocus des rebelles chiites.

 

Deux Français tués au djihad au Yémen

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Il n'y a pas que la Syrie comme terre de djihad.

Depuis de nombreuses années, le Yémen, pays pauvre du sud de la péninsule arabique et patrie ancestrale d'Oussama Ben Laden, accueille de nombreux «étudiants» venus du monde entier pour y parfaire leur connaissance de l'islam sunnite.

Après un passage par Sanaa, la capitale, on les retrouve en général au centre islamique Dar al-Hadith (la Maison du verset) de Dammaj, ville de 15.000 habitants dans la province de Saada voisine de l'Arabie saoudite, au nord du pays.

Or Saada est le foyer des rebelles houthistes, une secte d'inspiration chiite qui lutte tout à la fois contre le pouvoir central et les salafistes de Dammaj. Une guerre meurtrière à l'intérieur de l'islam qui se mène à l'abri des regards indiscrets.

Depuis deux mois, les insurgés houthistes assaillent à l'arme lourde le repaire salafiste. «Deux Français ont été tués au cours des affrontements», révèle au Figaro un diplomate au Quai d'Orsay.

L'un d'eux, surnommé Abou Jamal al-Maghrebi, serait originaire de Nice, avec une ascendance marocaine, comme son nom de guerre l'indiquerait.

Une poignée d'autres Français - une demi-douzaine, accompagnés de leurs familles, selon nos informations - seraient toujours prisonniers du blocus imposé par les houthistes.

L'un d'eux Ayyoub Abou Mouad al-Faransi (littéralement «le Français», en arabe) a tout de même pu rédiger sur le site Dammaj-fr.com l'éloge funèbre «du martyr Abou Jamal tombé dans l'explosion d'un obus de mortier de 120 mm tiré par les mécréants terroristes houthistes».

Sur la Toile, les étudiants du centre islamique décrivent des pluies d'obus qui s'abattent toute la journée sur le village, ne distinguant pas les enfants des adultes.

L'aide des tribus sunnites voisines paraît dérisoire. «Nous sommes victimes d'une extermination que même les Palestiniens n'ont pas subie et les maisons tombent sur les têtes de leurs habitants», s'alarme sur Internet un apprenti djihadiste.

L'Iran derrière les rebelles

Si les sites islamistes regorgent d'informations, la presse yéménite, elle, observe un strict black-out ; tandis que les ambassades occidentales, qui ont des ressortissants islamistes morts ou blessés à Dammaj, attendent que la Croix-Rouge internationale puisse de nouveau accéder à la madrasa salafiste. «Nous avons pu nous y rendre le 24 novembre pour la dernière fois, affirme une porte-parole du CICR jointe au téléphone à Sanaa.

Nous avons évacué une quarantaine de blessés, mais nous savons qu'il y en a encore un grand nombre dont l'état est grave et nécessite des soins qui ne peuvent être apportés sur place», ajoute la porte-parole.

Les djihadistes tués sont en général enterrés sur place.

Ce n'est pas la première fois que des salafistes français meurent à Dammaj. Le 4 janvier 2012, le site Ansar al-Haq annonçait la mort d'un «frère français, qui s'était organisé pour faire rentrer en France sa femme et ses trois enfants» avant de violents combats contre les houthistes.

En 2007, un autre Français avait été tué, et un Franco-Algérien blessé dans une attaque houthiste.

Depuis, les services de renseignements scrutent d'éventuels retours dans l'Hexagone de ces électrons libres de la guerre sainte.

L'Arabie saoudite voisine soupçonne l'Iran d'aider militairement les houthistes au nom de sa défense des chiites à travers le monde.

source et publication: http://www.lefigaro.fr/international/2013/12/19/01003-20131219ARTFIG00599-deux-francais-tues-au-djihad-au-yemen.php

APRÈS 68 ? ENSEIGNANTS TERRORISÉS ! ET ILS N' ONT QUE 10 ANS !

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Vendredi 20 décembre 2013

Ils  sont âgés de seulement 10 ans… et terrorisent déjà leurs professeurs. Des enseignants se sont fait porter pâles mardi pour protester contre les attaques dont ils sont victimes.

Et qui sont le fait de leurs propres élèves. Ces derniers, scolarisés en classe de CM1 et CM2, sont suspectés d’insultes à répétition envers leurs professeurs.

Une situation qui semble susciter un certain embarras du côté de l’Inspection académique.

Surtout une violence verbale. La situation s’envenime depuis la rentrée à l’école maternelle Jacques-Yves-Cousteau, à Petite-Rosselle, en Moselle. « Il y a eu des insultes et même des coups de la part des écoliers à l’encontre de leurs professeurs », assure un parent d’élève interrogé par Le Républicain Lorrain….

« Un choc psychologique » pour les enseignants. 

Face à cette situation, les enseignants se disent impuissants. Les punitions semblent sans effet et les procédures d’exclusion ont été écartées.

Une impasse pour les professeurs qui étaient absents mardi. Même le directeur de l’établissement s’est joint au mouvement. « Moi-même et mes collègues avons été mis en arrêt de travail pour la journée, pour choc psychologique », confie Jérôme Bernard.

Une réunion en janvier. Au moment de déposer leurs enfant à l’école, les parents ont donc découvert des salles de classe vides.

Ni la mairie, ni l’association de parents d’élèves n’avaient été mis au courant de l’action des professeurs….

Les parents concernés soutiennent leurs enfants.

Mais selon une source contactée par Europe 1, les parents concernés soutiennent leurs enfants et s’introduisent même en salle de classe pour invectiver les professeurs…

Europe1

source   http://www.citoyens-et-francais.fr/article-a-10-ans-ils-tyrannisent-leurs-enseignants-121699841.html

J' AVAIS UN CAMARADE .....JEAN-PIERRE NOUS A QUITTÉS !

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Navigation des articles

 

 

 RAPPEL 

 

Début 2011, Carl Lang, président du Parti de la France, a chargé Jean-Pierre Dellac de mettre en place un service d'ordre du Parti de la France, d'où la création du Service d'Encadrement et de Protection (SEP).

 

Âgé de 63 ans, aujourd'hui retraité, Jean-Pierre Dellac a travaillé dans le domaine de la sécurité pendant près d'un demi-siècle.

 

Marié, père de deux enfants et grand-père de trois petits-enfants, ce patriote français a milité durant 27 ans au Front National (où il fut notamment coordinateur DPS de la région "Grand Est") avant d'en démissionner début 2010 et de rejoindre le Parti de la France, ne se retrouvant plus dans les orientations politiques de Marine Le Pen et de son entourage.

 

SEP-logo.jpgLa devise du SEP est « Servir, Encadrer, Protéger ». Il recrute dans toute la France afin d'assurer la protection et la sécurité des différentes manifestations et activités du Parti de la France.

 

Jean-Pierre Dellac nous a quittés

Âgé de 64 ans, il est le Chef et le fondateur du service d’ordre du Parti de la France, le Service d’Encadrement et de Protection (SEP).

 

Jean-Pierre Dellac a milité et travaillé dans le domaine de la sécurité pendant près d’un demi-siècle et notamment durant 27 ans au Front National où il fut Coordinateur du DPS.

 

Marié, père de deux enfants et grand-père de trois petits-enfants, ce grand patriote français nous a quittés le 18 décembre, dans la nuit.

Nous présentons à Maryvonne, son épouse, et a toute sa famille toutes nos pensées et nos prières.


J’avais un camarade 

 



Site : http://jean-marielebraud.hautetfort.com/
 
Blog : http://pdf.bretagne.over-blog.com/
Mail : pdfbretagne@orange.fr
 
Tel : 06 65 61 08 62
 
 

VÉRITÉS SUR LES "ROMS" ? DEUX POIDS, DEUX MESURES !

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Le 20 décembre 2013
 

Vérités sur les Roms ? Valls relaxé, Le Pen condamné

 

Prétendre vouloir étouffer une parole par la loi ne fait que mettre en branle des forces qui pourraient se révéler bien plus violentes.

Ecrivain, musicienne, plasticienne.

Coïncidence du calendrier, les gens de justice étaient ce jeudi 19 décembre fort occupés.

 

La commission des requêtes de la Cour de justice de la République et le tribunal correctionnel de Paris avaient en effet à y trancher des histoires de Roms.

Pas à statuer sur des vols de poules dans les jardins, de porte-monnaie dans le métropolitain ou de câbles électriques au long des voies ferrées, non, mais de propos révoltants portant sur des présupposés racialistes.

La première instance, chargée de juger les ministres en exercice, avait à statuer sur une plainte déposée par le MRAP contre le ministre de l’Intérieur Manuel Valls qui, le 24 septembre dernier, avait déclaré que les Roms étaient « des populations qui ont des modes de vie extrêmement différents des nôtres et qui sont évidemment en confrontation », et qu’ils ont « vocation à revenir en Roumanie ou en Bulgarie ».

Le MRAP portait aussitôt l’affaire en justice, dénonçant « un sentiment de rejet à l’encontre des Roms. Il exhorte à la violence, à la haine et à la discrimination raciste. » 

Notez bien : pas raciale, la discrimination, mais raciste.

Le second accusé est Jean-Marie Le Pen, président d’honneur du Front national.

Un an avant le ministre, soit le 22 septembre 2012 lors de l’université d’été du parti à La Baule, il déclarait que les Roms « comme les oiseaux, volent naturellement ». Plainte du MRAP, de l’UEJF et de la LICRA.

Les deux cours ont donc rendu leur verdict ce 19 décembre. Malgré son poil noir, le ministre de l’Intérieur a été blanchi : « Il n’apparaît pas [que ces propos] excèdent les limites admissibles de la liberté d’expression », ont dit les sages. Subséquemment, « en l’absence d’éléments de nature à caractériser le délit dénoncé, la plainte doit être classée ».

Circulez, citoyens, il n’y a plus rien à voir, vu que ladite décision n’est pas susceptible d’appel.

Le Pen, contre qui le parquet réclamait aussi deux mois de prison avec sursis – excusez du peu –, a été condamné à 5.000 euros d’amende pour « injure à caractère racial ».

Notez bien : racial, le caractère, pas raciste.

Soyons clair : incriminer les propos de Manuel Valls est d’une idiotie sans fond et l’acharnement des associations antiracistes à traquer la moindre virgule déplacée produit un effet exactement inverse au but recherché.

Quant au vieux menhir, sa sortie témoigne une fois de plus de son goût prononcé pour le calembour et le coussin péteur, travers de celui qui s’est nourri aux blagues de Zappy Max et de Fernand Raynaud dans une époque où l’on pouvait encore railler l’avarice des Auvergnats, la paresse des Corses et le goût pour la picole des Bretons.

Reste que l’un s’en sort et l’autre pas.

Que l’on semble faire un subtil distinguo sémantique entre l’incitation à caractère raciste ou à caractère racial (!?).

Que, surtout, la « justice » ne juge pas en fonction des faits incriminés mais de qui les commet. Si tout le monde s’en doutait, c’est maintenant ouvertement assumé.

Toutes ces lois mémorielles dérivées, celles qui transforment les historiens curieux et jusqu’aux sociologues pointilleux en délinquants potentiels, celles qui interdisent aux démographes de compter et aux journalistes de raconter, ont un effet terriblement pervers.

Comme le disait à ce propos Philippe Bilger,« empêcher le débat démocratique nuit à la vérité ».

Prétendre naïvement vouloir étouffer une parole par la loi et la condamnation ne fait que mettre en branle des forces qui pourraient se révéler bien plus violentes.

 

Source et publication:  http://www.bvoltaire.fr/mariedelarue/verites-sur-les-roms-valls-relaxe-le-pen-condamne,45106?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=7619f0e747-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-7619f0e747-30403221

TRIBUNE LIBRE, LIBRE PROPOS ET CONSTAT !

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Les loups du Front national sont entrés dans Paris

Posted On 19 déc 2013
 
 

 

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Michel Garroté, réd en chef  –-  Jérémie Pham-Lê a effectué un intéressant reportage — publié par lexpress.fr — sur les têtes de listes du Front national à Paris pour les élections municipales de 2014 (extraits adaptés et commentés ; voir lien vers source en bas de page).

Ils sont presque tous là, alignés sur une table où trônent des roses rouges et blanches, tirés à quatre épingles. Face aux photographes, ils affichent une moue amusée pour les plus âgés, un sourire quelque peu crispé pour les plus jeunes (ndmg – des roses rouges et blanches ; il manque les bleues marine).

A la brasserie Le Triomphe ce mercredi, à deux pas des Champs-Elysées, le Front national a levé le voile sur ses 17 têtes de listes pour les municipales parisiennes de 2014. 16 seulement sont présentes : Paul-Marie Coûteaux, candidat dans le VIe arrondissement et ancien chevènementiste, a été retenu. Quant aux trois arrondissements manquants, le Ier, le IIe et le XIXe, les candidats ne sont pas encore connus (ndmg – à la brasserie Le Triomphe…).

Pour le reste, c’est non sans fierté que Wallerand de Saint-Just, candidat FN à la mairie de Paris, a présenté ses troupes. « Nous présentons notre meilleur visage », assure l’avocat de 63 ans, tête de liste dans le XVe pour affronter la socialiste Anne Hidalgo. « Ce n’est plus l’atmosphère d’avant, ce n’est plus le FN qui faisait de la figuration à Paris ». Le parti de Marine Le Pen a d’ailleurs mis le paquet pour combler la relative inexpérience politique de son équipe parisienne (ndmg – le meilleur visage qui n’est plus l’atmosphère d’avant présenté par un militant FN âgé de 63 ans, un vieux loup du parti, c’est cocasse).

Parmi les 17 candidats, dont l’âge s’étend de 19 à 71 ans, figurent deux énarques, deux normaliens, deux avocats, un ingénieur, un professeur des universités, un commandant de police, un chirurgien-dentiste. Pour la couche populaire, qui représente pourtant le cœur de cible électoral du FN, il faut repasser : tout juste deux commerçantes complètent le panel. Finies les simples opérations de dédiabolisation et de normalisation : à Paris, le FN donne dans l’élitisme, capitale oblige (ndmg – la soi-disant élite représente quel pourcentage de la population parisienne ? 1% ? 2% ?).

L’autre point notable dans l’équipe frontiste est le non-respect de la parité. Sur les 17 candidats, seules 4 sont des femmes. Un choix clairement assumé par le parti : « Cela ne me gêne pas. La couleur de la peau, l’origine, l’orientation sexuelle, le sexe, on s’en fout ! », s’exclame Wallerand de Saint-Just, sous les acclamations des membres féminins de son équipe (ndmg – ce bon vieux Wallerand se fout de la couleur de la peau, de l’origine, de l’orientation sexuelle et du sexe ; il est carrément devenu socialiste avec l’âge Wallerand).

Les jeunes en revanche, n’ont pas été oubliés. Deux étudiants de 19 et 24 ans et deux jeunes trentenaires ont été investis. Tous propres sur eux et bien coiffés, ils restent bien silencieux durant la conférence officielle. Aucun ne prend la parole et la déclinaison de leur CV est assurée par le chef de file (ndmg – le même chef de file ayant allégué deux minutes plus tôt que le FN ce n’est plus l’atmosphère d’avant).

Il faut attendre la fin du discours de Wallerand de Saint-Just pour que ces jeunes loups, soudain bien plus à l’aise, s’expriment. « Non, il n’y a pas de pression lié à notre âge », sourit Gaëtan Dussausaye, le benjamin de l’équipe et candidat dans le XIe arrondissement. Car les jeunes ont été coachés durant six mois par Louis Aliot, le numéro 2 du FN (ndmg – Dussausaye, c’est français ça ?).

« Uniquement des formations administratives et techniques, pas de communication », jure Marie-Amélie Dutheil de La Rochère, 32 ans, tête de liste dans le XIIIe arrondissement. Tous les candidats FN aux municipales doivent suivre des cours obligatoires et payants pour apprendre à bien gérer une ville. A cela s’ajoutent des réunions tous les dimanches avec le patron Wallerand de Saint-Just, pour que ce dernier leur apprenne « tous les aspects juridiques et financiers de Paris » (ndmg – pas de formation en communication, prétend Amélie Dutheil de La Rochère…).

Bref, les jeunes du FN assurent qu’ils ne sont pas là par hasard. Et leurs éléments de langage sont déjà bien rodés (ndmg – donc il y a bien eu formation en communication, n’en déplaise à la jeune Comtesse de la Rochère). Voient-ils la politique différemment que leurs ainés ? « Il y a peut-être une profondeur historique qui habite davantage certains mais en tout cas personne n’est d’extrême-droite dans cette équipe », glisse Luc Le Garsmeur, 32 ans, tête de liste dans le Xe arrondissement. Des mots presque identiques à ceux de Marine Le Pen, conclut Jérémie Pham-Lê sur lexpress.fr. Fin des extraits adaptés et commentés ; voir lien vers source en bas de page (ndmg – il aurait pu ajouter « si je mens je meurs », le jeune Luc Le Garsmeur ; et de quelle « profondeur historique » parle-t-il au juste ? Les jeunes loups du FN étant formés, y compris en histoire, par les vieux de la vieille, de quelle « profondeur historique » s’agit-il ?).

Reproduction autorisée avec mention :

M. Garroté réd chef www.dreuz.info

Source :

http://www.lexpress.fr/actualite/politique/fn/municipales-a-paris-le-fn-montre-son-meilleur-visage_1308585.html

Premier post scriptum : Jean-Marie Le Pen a été condamné ce jeudi à 5.000 euros d’amende pour ses propos sur les Roms. Le président d’honneur du Front national avait dit que les Roms « comme les oiseaux » voleraient « naturellement ». Le tribunal correctionnel de Paris l’a déclaré coupable d’injure publique envers un groupe de personnes en raison de son appartenance à une ethnie. Pour le parquet, il s’agissait sans conteste d’une injure à caractère racial, tandis que l’avocat de Jean-Marie Le Pen, Me Wallerand de Saint-Just, avait plaidé la relaxe, soutenant que son client faisait de l’humour.

Deuxième post scriptum : la cour d’appel de Paris a autorisé la sortie de Le Front national des villes et le Front national des champs s’il est expurgé de quatre passages litigieux. Steeve Briois, secrétaire général du FN, et Bruno Bilde, conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais, avaient obtenu le 12 décembre en référé l’interdiction de publier l’ouvrage Le Front national des villes & le Front national des champs d’Octave Nitkowski, aux éditions Jacob-Duvernet, s’il n’était pas expurgé de quatre passages litigieux.

Troisième post scriptum : Marine Le Pen peut toujours changer le nom de son parti, les Français ne perdront jamais de vue le côté « répugnant » du FN, écrit le journal conservateur londonien The Times. Durant les deux années qui se sont écoulées depuis qu’elle a hérité du parti de son père, Marine le Pen s’est efforcée de redorer l’image de sa formation d’extrême droite. Agée de 45 ans, la nouvelle dirigeante du Front national (FN) n’en fait pas mystère : la dédiabolisation* est son objectif principal, et elle a transformé le vilain parti de Jean-Marie le Pen en une force plus apaisée et moins misogyne.

Il est donc logique que, le FN s’attendant à réaliser une percée en 2014 [élections municipales et européennes], Le Pen fille* souhaite se débarrasser de son nom sulfureux et de son flamboyant logo tricolore. Le FN, créé en 1972 et issu du mouvement fasciste Ordre nouveau, a trop tendance à rappeler le temps des gros bras en veste de cuir, des catholiques intégristes et des nostalgiques de l’Algérie française.

La nouvelle appellation, qui pourrait comporter le mot « patriote », doit être susceptible de séduire aussi bien les fonctionnaires que les femmes à des postes de responsabilité qui envisagent de voter pour elle lors des prochaines échéances.

Quant au logo, le « Front » pourrait se doter de sa version de la croix de Lorraine, symbole utilisé par Charles de Gaulle pour rallier à lui ses compatriotes pendant la guerre. Le parti s’emploie à faire main basse sur l’héritage gaulliste depuis le jour où Jean-Marie Le Pen a commencé à piétiner les plates-bandes de Jacques Chirac dans les années 1980. [Le vice-président du FN, Florian Philippot, utilise le symbole gaulliste pour sa campagne municipale à Forbach.]

Le Pen père* n’est pas enthousiaste à l’idée de dire adieu* au FN, même si lui-même n’a parfois pas hésité à user d’appellations moins douteuses. Lors de l’élection de 1986, il l’avait ainsi rebaptisé : Rassemblement national.

Ce n’est pas la première tentative de Marine Le Pen pour ravaler la façade de sa formation. En 2012, s’étant retrouvée troisième au premier tour de la présidentielle, elle avait aligné les candidats du FN aux législatives sous la bannière du Rassemblement bleu Marine. Le but n’en était pas seulement d’échapper à l’image attachée au FN, mais aussi au caractère dynastique de son nom de famille, ce qui est révélateur. Le Pen fille* sait qu’il est bien plus facile aux gens de dire qu’ils sont « avec Marine » que « je vote Le Pen ».

Elle soutient que son mouvement, qui réclame la sortie de l’euro, la fin de l’immigration et une diminution des importations, n’est ni de gauche, ni de droite. La perspective de voir des maires « marinistes » faire irruption dans les municipalités et une phalange de députés entrer au Parlement européen inquiète les partis traditionnels. Toutefois, ceux qui gardent la tête froide soulignent que les électeurs français ont toujours fait preuve de bon sens.


Le vote Front national a toujours été avant tout un vote de protestation, et le choix d’un nouveau nom ne suffira pas à masquer le côté répugnant d’un parti que la majorité des Français continue d’exécrer. * En français dans le texte.



- See more at: http://www.dreuz.info/2013/12/les-loups-du-front-national-sont-entres-dans-paris/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29#sthash.4t7EtW34.dpuf

TRIBUNE LIBRE, LIBRE PROPOS ET CONSTAT !

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Les loups du Front national sont entrés dans Paris

Posted On 19 déc 2013
 
 

 

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Michel Garroté, réd en chef  –-  Jérémie Pham-Lê a effectué un intéressant reportage — publié par lexpress.fr — sur les têtes de listes du Front national à Paris pour les élections municipales de 2014 (extraits adaptés et commentés ; voir lien vers source en bas de page).

Ils sont presque tous là, alignés sur une table où trônent des roses rouges et blanches, tirés à quatre épingles. Face aux photographes, ils affichent une moue amusée pour les plus âgés, un sourire quelque peu crispé pour les plus jeunes (ndmg – des roses rouges et blanches ; il manque les bleues marine).

A la brasserie Le Triomphe ce mercredi, à deux pas des Champs-Elysées, le Front national a levé le voile sur ses 17 têtes de listes pour les municipales parisiennes de 2014. 16 seulement sont présentes : Paul-Marie Coûteaux, candidat dans le VIe arrondissement et ancien chevènementiste, a été retenu. Quant aux trois arrondissements manquants, le Ier, le IIe et le XIXe, les candidats ne sont pas encore connus (ndmg – à la brasserie Le Triomphe…).

Pour le reste, c’est non sans fierté que Wallerand de Saint-Just, candidat FN à la mairie de Paris, a présenté ses troupes. « Nous présentons notre meilleur visage », assure l’avocat de 63 ans, tête de liste dans le XVe pour affronter la socialiste Anne Hidalgo. « Ce n’est plus l’atmosphère d’avant, ce n’est plus le FN qui faisait de la figuration à Paris ». Le parti de Marine Le Pen a d’ailleurs mis le paquet pour combler la relative inexpérience politique de son équipe parisienne (ndmg – le meilleur visage qui n’est plus l’atmosphère d’avant présenté par un militant FN âgé de 63 ans, un vieux loup du parti, c’est cocasse).

Parmi les 17 candidats, dont l’âge s’étend de 19 à 71 ans, figurent deux énarques, deux normaliens, deux avocats, un ingénieur, un professeur des universités, un commandant de police, un chirurgien-dentiste. Pour la couche populaire, qui représente pourtant le cœur de cible électoral du FN, il faut repasser : tout juste deux commerçantes complètent le panel. Finies les simples opérations de dédiabolisation et de normalisation : à Paris, le FN donne dans l’élitisme, capitale oblige (ndmg – la soi-disant élite représente quel pourcentage de la population parisienne ? 1% ? 2% ?).

L’autre point notable dans l’équipe frontiste est le non-respect de la parité. Sur les 17 candidats, seules 4 sont des femmes. Un choix clairement assumé par le parti : « Cela ne me gêne pas. La couleur de la peau, l’origine, l’orientation sexuelle, le sexe, on s’en fout ! », s’exclame Wallerand de Saint-Just, sous les acclamations des membres féminins de son équipe (ndmg – ce bon vieux Wallerand se fout de la couleur de la peau, de l’origine, de l’orientation sexuelle et du sexe ; il est carrément devenu socialiste avec l’âge Wallerand).

Les jeunes en revanche, n’ont pas été oubliés. Deux étudiants de 19 et 24 ans et deux jeunes trentenaires ont été investis. Tous propres sur eux et bien coiffés, ils restent bien silencieux durant la conférence officielle. Aucun ne prend la parole et la déclinaison de leur CV est assurée par le chef de file (ndmg – le même chef de file ayant allégué deux minutes plus tôt que le FN ce n’est plus l’atmosphère d’avant).

Il faut attendre la fin du discours de Wallerand de Saint-Just pour que ces jeunes loups, soudain bien plus à l’aise, s’expriment. « Non, il n’y a pas de pression lié à notre âge », sourit Gaëtan Dussausaye, le benjamin de l’équipe et candidat dans le XIe arrondissement. Car les jeunes ont été coachés durant six mois par Louis Aliot, le numéro 2 du FN (ndmg – Dussausaye, c’est français ça ?).

« Uniquement des formations administratives et techniques, pas de communication », jure Marie-Amélie Dutheil de La Rochère, 32 ans, tête de liste dans le XIIIe arrondissement. Tous les candidats FN aux municipales doivent suivre des cours obligatoires et payants pour apprendre à bien gérer une ville. A cela s’ajoutent des réunions tous les dimanches avec le patron Wallerand de Saint-Just, pour que ce dernier leur apprenne « tous les aspects juridiques et financiers de Paris » (ndmg – pas de formation en communication, prétend Amélie Dutheil de La Rochère…).

Bref, les jeunes du FN assurent qu’ils ne sont pas là par hasard. Et leurs éléments de langage sont déjà bien rodés (ndmg – donc il y a bien eu formation en communication, n’en déplaise à la jeune Comtesse de la Rochère). Voient-ils la politique différemment que leurs ainés ? « Il y a peut-être une profondeur historique qui habite davantage certains mais en tout cas personne n’est d’extrême-droite dans cette équipe », glisse Luc Le Garsmeur, 32 ans, tête de liste dans le Xe arrondissement. Des mots presque identiques à ceux de Marine Le Pen, conclut Jérémie Pham-Lê sur lexpress.fr. Fin des extraits adaptés et commentés ; voir lien vers source en bas de page (ndmg – il aurait pu ajouter « si je mens je meurs », le jeune Luc Le Garsmeur ; et de quelle « profondeur historique » parle-t-il au juste ? Les jeunes loups du FN étant formés, y compris en histoire, par les vieux de la vieille, de quelle « profondeur historique » s’agit-il ?).

Reproduction autorisée avec mention :

M. Garroté réd chef www.dreuz.info

Source :

http://www.lexpress.fr/actualite/politique/fn/municipales-a-paris-le-fn-montre-son-meilleur-visage_1308585.html

Premier post scriptum : Jean-Marie Le Pen a été condamné ce jeudi à 5.000 euros d’amende pour ses propos sur les Roms. Le président d’honneur du Front national avait dit que les Roms « comme les oiseaux » voleraient « naturellement ». Le tribunal correctionnel de Paris l’a déclaré coupable d’injure publique envers un groupe de personnes en raison de son appartenance à une ethnie. Pour le parquet, il s’agissait sans conteste d’une injure à caractère racial, tandis que l’avocat de Jean-Marie Le Pen, Me Wallerand de Saint-Just, avait plaidé la relaxe, soutenant que son client faisait de l’humour.

Deuxième post scriptum : la cour d’appel de Paris a autorisé la sortie de Le Front national des villes et le Front national des champs s’il est expurgé de quatre passages litigieux. Steeve Briois, secrétaire général du FN, et Bruno Bilde, conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais, avaient obtenu le 12 décembre en référé l’interdiction de publier l’ouvrage Le Front national des villes & le Front national des champs d’Octave Nitkowski, aux éditions Jacob-Duvernet, s’il n’était pas expurgé de quatre passages litigieux.

Troisième post scriptum : Marine Le Pen peut toujours changer le nom de son parti, les Français ne perdront jamais de vue le côté « répugnant » du FN, écrit le journal conservateur londonien The Times. Durant les deux années qui se sont écoulées depuis qu’elle a hérité du parti de son père, Marine le Pen s’est efforcée de redorer l’image de sa formation d’extrême droite. Agée de 45 ans, la nouvelle dirigeante du Front national (FN) n’en fait pas mystère : la dédiabolisation* est son objectif principal, et elle a transformé le vilain parti de Jean-Marie le Pen en une force plus apaisée et moins misogyne.

Il est donc logique que, le FN s’attendant à réaliser une percée en 2014 [élections municipales et européennes], Le Pen fille* souhaite se débarrasser de son nom sulfureux et de son flamboyant logo tricolore. Le FN, créé en 1972 et issu du mouvement fasciste Ordre nouveau, a trop tendance à rappeler le temps des gros bras en veste de cuir, des catholiques intégristes et des nostalgiques de l’Algérie française.

La nouvelle appellation, qui pourrait comporter le mot « patriote », doit être susceptible de séduire aussi bien les fonctionnaires que les femmes à des postes de responsabilité qui envisagent de voter pour elle lors des prochaines échéances.

Quant au logo, le « Front » pourrait se doter de sa version de la croix de Lorraine, symbole utilisé par Charles de Gaulle pour rallier à lui ses compatriotes pendant la guerre. Le parti s’emploie à faire main basse sur l’héritage gaulliste depuis le jour où Jean-Marie Le Pen a commencé à piétiner les plates-bandes de Jacques Chirac dans les années 1980. [Le vice-président du FN, Florian Philippot, utilise le symbole gaulliste pour sa campagne municipale à Forbach.]

Le Pen père* n’est pas enthousiaste à l’idée de dire adieu* au FN, même si lui-même n’a parfois pas hésité à user d’appellations moins douteuses. Lors de l’élection de 1986, il l’avait ainsi rebaptisé : Rassemblement national.

Ce n’est pas la première tentative de Marine Le Pen pour ravaler la façade de sa formation. En 2012, s’étant retrouvée troisième au premier tour de la présidentielle, elle avait aligné les candidats du FN aux législatives sous la bannière du Rassemblement bleu Marine. Le but n’en était pas seulement d’échapper à l’image attachée au FN, mais aussi au caractère dynastique de son nom de famille, ce qui est révélateur. Le Pen fille* sait qu’il est bien plus facile aux gens de dire qu’ils sont « avec Marine » que « je vote Le Pen ».

Elle soutient que son mouvement, qui réclame la sortie de l’euro, la fin de l’immigration et une diminution des importations, n’est ni de gauche, ni de droite. La perspective de voir des maires « marinistes » faire irruption dans les municipalités et une phalange de députés entrer au Parlement européen inquiète les partis traditionnels. Toutefois, ceux qui gardent la tête froide soulignent que les électeurs français ont toujours fait preuve de bon sens.


Le vote Front national a toujours été avant tout un vote de protestation, et le choix d’un nouveau nom ne suffira pas à masquer le côté répugnant d’un parti que la majorité des Français continue d’exécrer. * En français dans le texte.



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JUSTICE INTERNATIONALE ET DES LYCÉENS ÀLA HAYE ???

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SOCIETE CIVILE

France : Des lycéens de Coutances au procès Karadzic à la Haye

France : Des lycéens de Coutances au procès Karadzic à la Haye

vendredi 20 décembre 2013 par BH Info - 0

 

Des élèves de Coutances ont observé de près le fonctionnement de la justice internationale, en séjour à La Haye, en Hollande.

53 élèves de Terminale du lycée Lebrun de Coutances, membres des Sentiers de la Mémoire, junior association qui travaille autour de la mémoire des génocides et crimes de masse, se sont rendus au mémorial de la Shoah le 15 décembre et à La Haye le lendemain. Ils étaient accompagnés par cinq adultes de l’association et Jean-Michel Baudoin, proviseur du lycée Lebrun.

A La Haye, deux temps forts étaient au programme : ils ont assisté aux audiences du procès de Radovan Karadzic, ancien chef politique des Serbes de Bosnie, criminel de guerre présumé, jugé pour crimes contre l’humanité, crimes de guerre et génocide lors de la guerre de Bosnie de 1992 à 1995.

Ils ont ensuite pu échanger avec deux juristes canadiens.

L’après-midi, ils ont parcouru la ville hollandaise à vélo.

Une visite axée sur deux thématiques : la situation et la déportation des juifs de Hollande et les organismes et institutions faisant de La Haye une capitale du droit international et de la paix.

Ce bref séjour a été riche en enseignements et en intensité. Il aura permis aux jeunes de voir s’écrire sous leurs yeux des pages de l’histoire sur la guerre de Bosnie et de voir à l’oeuvre la justice internationale.


Source : http://www.lamanchelibre.fr/coutanc...

http://www.bhinfo.fr/spip.php?page=article&id_article=3757

L' IMPOSTURE DÉMOCRATIQUE ! TRIBUNE LIBRE !

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Samedi 21 décembre 2013

La réalité n'est pas toujours conforme à notre intuition: certaines "évidences" ne correspondent parfois à aucune réalité.

 

democratie-guerre.jpg


Ainsi, par exemple, pendant le dernier quart du XIXème siècle, on a cherché à axiomatiser l'arithmétique (programme de Hilbert), en considérant comme évident que c'était possible.

Mais le théorème de Gödel a sonné le glas de cette espérance.

De même, l'idée démocratique cherche à mettre en application le concept de "volonté générale".

Or la "volonté générale" n'existe pas, tout simplement, et on le sait depuis longtemps, grâce aux :

 

gangstermind004.jpg


Théorèmes d'impossibilité d'Arrow, de Gibbard-Satterthwaite, théorème du Chaos majoritaire:

 


 

Annexe 1: MyMithra a demandé à des démocrates "rationalistes" ce qu'ils pensaient du théorème d'Arrow :

Quand l' "Union Rationaliste" rejette la rationalité

Annexe 2 : Pourquoi vouloir mettre en oeuvre la "volonté générale" est identique à vouloir appliquer "2+2=5".

 

images-copie-1.jpgDans le langage courant, les 3 hypothèses de non manipulabilité, d'unanimité et de non dictature sont implicites dans le concept de "volonté générale". Mais dans ce cas les choix collectifs ne sont pas transitifs: ils sont donc incohérents, c'est-à-dire que l'ensemble des choix collectifs est une proposition P contradictoire. (exemple: P = "La collectivité préfère strictement X à Y, Y à Z et Z à X"). Néanmoins, en démocratie, on considère qu'il existe au moins une proposition P satisfaisant aux 3 hypothèses et qui soit vraie. Mais comme P est contradictoire, P est donc en même temps fausse et sa négation nP est donc vraie aussi.

 

Appelons A la proposition "2+2=5".
Nous savons que pour toute proposition a, si p est vraie, alors (p ou a) est vraie.
Mais si p est une proposition vraie et fausse, alors  nP est vraie aussi.
Donc p est fausse donc (p ou a) est vraie implique: a est vraie.
Ceci est valable en particulier pour A et P.
Donc, si on cherche à appliquer un choix collectif P, son contenu étant considéré comme vrai (par hypothèse démocratique), comme il est également faux (puisqu'incohérent),
alors cela revient à considérer comme vraie n'importe quelle proposition, en particulier A: "2+2 = 5".

Ainsi, l'idée de la démocratie est bien d'appliquer le principe suivant : "2+2 = 5".

 

Annexe 3: Des critiques de mon interprétation du théorème d'Arrow et mes réponses:

 

Ici


 

Kenneth Arrow

De Wikiberal:

Kenneth Joseph Arrow, né le 23 août 1921 à New York, est un économiste américain. Il est co-titulaire, avec John Hicks, du prix « Nobel d'économie » en 1972 pour ses travaux sur la théorie des choix collectifs et la théorie de l'équilibre général.

images-copie-2.jpgL'apport de Kenneth Arrow, à la pensée libérale et à la théorie de l'organisation, concerne essentiellement son intérêt à la notion de l'apprentissage, de connaissance et de la confiance qu'il introduit dans son article de 1974.


Les firmes disposent de cette faculté de fournir à leurs membres un langage commun ou un code. Kenneth Arrow a examiné le rôle des codes propres à l'entreprise.

Il a noté que l'apprentissage des canaux d'information au sein d'une entreprise et les codes de transmission de l'information ont une valeur de compétence uniquement en interne. L'apprentissage d'un code par une personne physique est un acte d'investissement personnel qui constitue également une accumulation de capital pour l'organisation.

Le partage de la valeur confiance dans une société agit comme un « lubrifiant social » qui a des effets sur la performance. Son travail permet de comprendre également l'évolution des entreprises, non pas vue comme un effet mécanique et subissant des ordres hiérarchiques mais découlant d'un processus naturel et culturel.

Kenneth Arrow appartient au courant dominant de l'école néo-classique avec une défense absolue de l'individualisme méthodologique :

"Il n'est pas vraiment nécessaire pour l'entreprise d'être l'unité fondamentale de l'organisation dans l'invention, il y a beaucoup de raisons de supposer que des talents individuels comptent beaucoup plus que l'entreprise en tant qu'organisation".

Le théorème d'Arrow

loadimg.pngDans sa thèse Choix social et valeurs individuelles (1951), Arrow généralise un résultat déjà obtenu par Condorcet en montrant qu'il est impossible de définir l'intérêt général à partir des choix individuels. On ne peut définir de façon cohérente une préférence collective en agrégeant des préférences individuelles. Les décisions d'un état (même démocratique) ne peuvent donc pas être légitimes. Ce "théorème d'impossibilité" s'énonce ainsi (en simplifiant, car il s'agit d'un théorème mathématique de théorie des ensembles qui réclame une démonstration élaborée) :

Il n'existe pas de fonction de choix social (un système de vote) qui puisse convertir des préférences individuelles en une décision agrégée cohérente, hormis dans le cas où la fonction de choix social coïncide avec les choix d'un seul individu ("dictateur"), indépendamment du reste de la population.

Plus précisément, étant données les hypothèses suivantes :

  • 1a. hypothèse de rationalité : si un individu préfère une option A à une option B, la présence d'une troisième option C ne doit pas intervertir cette préférence (en particulier, il y a transitivité : si B est préféré à C et C est préféré à A, il est impossible que A soit préféré à B) ;
  • 1b. hypothèse d'anonymat (invariance par permutation) : le choix collectif ne dépend pas de qui émet une préférence individuelle ;
  • 2. universalité : il existe toujours un choix collectif, quelles que soient les préférences de chaque individu (pas de restriction sur les préférences individuelles) ;
  • 3. unanimité (principe de Pareto, ou "non-masochisme du groupe") : lorsqu'une certaine option est préférée par tous à une certaine autre, la fonction de choix social associe cette même préférence à la société ;
  • 4. indépendance des options non-pertinentes (impossibilité de "manipulation") : le classement relatif de deux options ne doit dépendre que de leur position relative pour les individus et non du classement d'options tierces ;
  • 5. non-dictature : il n'existe aucun individu ("dictateur") pour lequel la liste de ses choix personnels coïncide avec le choix collectif, quelles que soient les préférences des autres.

le théorème d'Arrow affirme alors qu'il est impossible de satisfaire en même temps aux 5 conditions : si les 4 premières sont satisfaites, la 5ème ne l'est pas.

La conséquence de ce théorème est que la prétention de la démocratie (qu'elle soit directe ou représentative) à exprimer une "volonté générale" est une imposture : la "volonté générale" n'existe pas, et les politiciens n'obéissent qu'à leur intérêt particulier. On ne peut non plus affirmer que la démocratie soit systématiquement, et par nature, meilleure que ladictature (car il peut y avoir des "despotes éclairés" aussi bien que des "démocrates totalitaires").

Ce théorème confirme ce qu'on peut comprendre intuitivement assez facilement : si Pierre préfère A, Paul préfère B et Jean préfère C, il ne peut y avoir de "choix collectif" de Pierre, Paul et Jean. La règle de la majorité n'est qu'une règle qui ne peut définir un choix collectif légitime. Tocqueville l'expliquait déjà :

"Qu'est-ce donc une majorité prise collectivement sinon un individu qui a des opinions et le plus souvent des intérêts contraires à un autre individu qu'on nomme la minorité ? Or, si vous admettez qu'un homme revêtu de la toute-puissance peut en abuser contre ses adversaires, pourquoi n'admettez-vous pas la même chose pour une majorité ?" (De la Démocratie en Amérique)

Henri Lepage souligne le fait paradoxal que ce théorème, apparemment en faveur des thèses libérales, peut être invoqué pour justifier l'existence d'une élite qui décide au nom de l'intérêt général, puisque cet intérêt ne saurait être défini à partir de l'agrégation des intérêts individuels :

Le "paradoxe d'Arrow" a pour résultat de conforter l'idéologie libérale : il jette d'emblée une suspicion sur tout ce qui vient de l’État, puisqu'il démontre que la véritable démocratie n'existe pas et ne peut pas exister.
C'est une arme contre toutes les idéologies "étatisantes". Mais il a aussi un effet exactement inverse : celui de légitimer l'existence d'une élite particulière détentrice de "l'intérêt général" ; et donc, de nous prédisposer à tomber dans le piège qui consiste à voir dans les individus qui font l'Etat (ses élus, ses ministres, ses fonctionnaires) d'abord les agents de l'intérêt général, avant de voir les hommes eux-mêmes et les règles qui conditionnent leur comportement.

Malgré la défiance qu'il suggère à l'encontre de toute solution étatique, l'une des conséquences du "paradoxe d'Arrow" est de nous conduire à une acceptation trop passive des processus modernes d'extension du phénomène étatique. (Henri LepageDemain le capitalisme, 1978)

Voir aussi : théorème de l’électeur médian, loi d'airain de l'oligarchie.


300px-Diagram_for_part_one_of_Arrow-s_Impossibility_Theorem.pngPreuve du théorème d'Arrow

Soit I l'ensemble de la population et A l'ensemble des choix possibles A = (a,b) .

J est une partie décisive pour (a,b) si pour tout élément i de J ( groupe de personne ou individu ) si i préfère a à b alors globalement a est préféré a b).

Soit J partie décisive minimal et j appartenant à J et une situation de Condorcet. z appartenant à A.

j : a préféré à z et z préféré à b.

J privé de j : b préféré à a et a préféré à z

I privé de J : z préféré à b préféré à a

Alors on a a préféré à z car J décisive mais b n'est pas préféré à a car sinon J privé de j serait décisive et J ne serait pas minimal.

D’où a préféré à b et a préféré à z or la relation de préférence individuelle de l'individu i est un pré-ordre ( i.e réflexive et transitive) et b préféré à z est impossible d’où z préféré à b.

Au final, on a a préféré à z et z préféré à b qui sont les préférences de j.

On obtient une situation de procédure dictatoriale.


source et publication:   http://www.lumieres-et-liberte.org/article-l-imposture-democratique-121707459.html


SYNDICATS ET SANS-ABRI ! ALORS MADAME DUFLOT !!!

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Sans abri: « Ne pas laisser de bâtiments vacants », dit Cecile Duflot.

Prenez les châteaux de la CGT et de FO !

 
Madame la ministre Duflot, comme vous je suis sensible au sort des sans abris.
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Comme vous, j’ai cherché des solutions pour les loger durant les dures journées d’hiver, et comme vous, je considère qu’il ne faut pas laisser de bâtiments vacants. Alors voici une liste de châteaux vacants.
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Voici 14 magnifiques châteaux, soit plusieurs milliers de lits inoccupées, qui appartiennent à la CGT, FO, etc, et à divers comités d’entreprises – souvent des entreprises publiques.
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Et, vous le disiez si justement concernant les bâtiments des églises, « je ne comprendrais pas que les syndicats ne partagent pas vos objectifs de solidarité ».
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o-o-o-o-o-o
Château de Fontenay-les-Briis propriété de la branche CGT de la RATP. Situé aux portes de Paris dans un parc de 74 hectares, dont près de 40 hectares de forêt, avec deux cours de tennis, deux restaurants, un mini-golf, un étang à truites, et trente chambres :
 

Fontenay les briis CGT

 

Le château de la Brévière, au coeur de la forêt de Compiègne. Il appartient à Force Ouvrière qui sera j’en suis sûr ravi de le mettre à votre disposition :

 

Chateau de la brévière-FO

 
 
Avec ses 36 hectares de vignes dans le Sauternes, voici le château Lafaurie-Peyraguey du CE de GDF-Suez :
 

Chateau Lafaurie Peyraguey

 
Les pieds dans l’eau, avec ses 31 chambres dont 5 suites, 2 salles de restaurant, jacuzzi, saunas etc… Castellamare du CE de la Snecma :
 

Castellamare CE Snecma

 
Le château du Plat, à Vallière dans la Creuse, entouré de plusieurs bâtiments, et qui appartient au Comité d’Entreprise de la RATP, possède 114 hectares de terres, des forêts et des prairies, et des écuries avec une trentaine de chevaux. Le château est en bon état, car le CE vient de faire d’énormes travaux, auto-financés sur son pactole de 50 millions d’euros par an :
 

Chateau du Plat – RATP

 
Château de Montreul de la Fédération des Organisations Sociales des PTT :
 
Château de Montreul Federation œuvres sociales PTT

Château de Montreul – PTT

 
A seulement quelques kilomètres des superbes plages de Honfleur, Trouville et Deauville, dans un parc boisé de 3 ha, le Château de Prêtreville appartient au Comité d’Entreprise de la Caisse d’Allocations Familiales du Val d’Oise. Il est composé de 8 bâtiments :
 
le-chateau-de-pretreville de la CAF du Val d'Oise

Chateau-de-Pretreville – CAF Val d’Oise

 
 
Au cœur de la Bourgogne, le château de Ragny. Un véritable château médiéval du XIIe siècle qui appartient à la Banque de France qui l’a confié à son au Comité d’Entreprise. En été, il accueille des centaines d’enfants en colonies. Tennis et piscine font naturellement partie des prestations de base :

Chateau de Ragny CE- banque de France

 
 
 
L’association Ageforel (Association de Gestion des Foyers de la Région Ferroviaire de Lyon) gère le château de La Bachasse. Propriété de la SNCF depuis 1947, c’est une jolie bâtisse du XIXe siècle avec un parc de 8 hectares au cœur de Sainte-Foy-Lès-Lyon :
 

Château de La Bachasse

 

Le Comité d’entreprise de la SNCF est également propriétaire du magnifique château du Vernay, à Challuy, au sud de Nevers, qui comprends terrains de tennis, piscines, parc privé et forêt :

 

Chateau-Plagny-Vernay-CE-SNCF

Dans le Nord, le Comité d’Entreprise d’EDF GDF à majorité CGT est propriétaire du château de Cappelle-en-Pévèle, dit aussi château du Béron. Piscine couverte chauffée et deux tennis. Une riche propriété foncière :
 

Château de Cappelle-en-Pévèle – CE EDF

 
Château de Sainte-Croix du CE de l’EDF,  dans l’Ain :
 

Château de Sainte-Croix – CE EDF

 
 
Sublime château d’Agecroft du CE de l’EDF sur la Côte d’Azur :
 

Château d’Agecroft – EDF

 
Château de Blomard dans l’Allier, toujours au CE de l’EDF :
 

Château de Blomard – EDF

 
Château de Vaux à Argenton-sur-Creuse, également au CE de l’EDF :
 

Château de Vaux – EDF

 
La CGT possède le très beau château de Courcelle-sur-Yvette, dans l’Essonne :
 

château de Courcelle – CGT

 
Château de Bierville à Boissy-la-Rivière, non loin d’Etampes – CFDT :
 

Chateau de Bierville – CFDT

 
Ce ne sont que des exemples, les syndicats vous donneront les adresses des autres châteaux.
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Vous pourrez également réquisitionner très utilement les milliers de lits des centaines de maisons de vacances des comités d’entreprises et des syndicats, dont ils seront ravis de vous donner la liste par solidarité pour les plus démunis Wink
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Je crois, Madame la ministre, que le problème des sans abris, avec ma modeste contribution, est réglé.
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L' INVASION QUE L' ON NOUS CACHE ! ( SUITE )

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Samedi 21 décembre 2013

drapeau eurabia europe islamique

La cérémonie des Mokhtar Awards se déroulera le 22 décembre à Paris.

Objectif : »Mettre en lumière cet islam dont les médias ne parlent pas, celui des musulmans du quotidien».

 

Le site des Mokhtar Awards présente les vidéos en compétition.

Parmi celles-ci, une vidéo dont le titre «L’invasion qu’on nous cache» fait allusion à la Une de Valeurs actuelles «L’invasion qu’on cache» parue le 26 nocembre 2013. (Le Point)

La France va mal. Un climat d’insécurité et de tension y règne …

Mais qui sont les réels responsables ?

La vidéo commence par la vision d’une France « traditionnelle » et tendue (police, armée, drapeau, statue de Jeanne d’Arc, Marseillaise….) suivie de celle d’une France paisible où des musulmans nous adressent leur « salam aleykoum ».

Lu sur El Watan : Non ce n’est pas une plaisanterie ! Juste une manifestation cinématographique qui se déroulera le 22 décembre aux Docks de Paris.

 Signe particulier : projection uniquement de cinéma «hallal». Bienvenue aux Mokhtar Award !

Ensuite cette vérité. Peu reluisante, elle semble caractériser une réelle stigmatisation d’une communauté qui s’entend, se voit et se lit dans les médias.

Quand on pose la question à l’un des organisateurs du festival, il va droit au but : «Nous avons créé ce festival afin de libérer la parole islamophile.

Nous souhaitons donner aux musulmans et aux non-musulmans la possibilité de s’exprimer sur leur quotidien par le prisme du cinéma et de la vidéo. Nous avons un jury de professionnels.

La sélection s’est bien passée.

Le ressenti par rapport à ça est positif. Les mises en scène sont fines, les images belles.

Nous avons ri, pleuré… et il est important que les musulmans deviennent acteurs de leur propre image.»

source      http://www.citoyens-et-francais.fr/article-les-mokhtar-awards-l-invasion-qu-on-nous-cache-video-121705995.html

 

ET AUSSI 

L'ISLAM RELIGION DE PAIX ET D' AMOUR ?

 

La Sharia arrive en France: une femme est rouée de coups par 7 musulmans parce qu’elle ne respecte pas assez le ramadan

 

Le week end dernier, un groupe de musulmans ont frappé une jeune musulmane en lui disant :
Tu es la honte de l’Islam, car tu vas faire la fête un jour de Ramadan

La jeune musulmane laïque participait à l’organisation d’une fête, le week-end dernier, à Viviez.

 Rentrant chez elle, la jeune femme, qui habite Decazeville, a été agressée par un groupe de sept musulmans, dans la nuit de vendredi à samedi dernier.

Les musulmans pieux ne tolèrent pas qu’un musulman, et à fortiori une musulmane, qui est considérée par la religion de l’islam comme inférieure à l’homme, désobéissent à la Sharia, la loi de l’islam. 
Alors qu’elle était au volant de sa voiture, les sept musulmans, qui la suivaient, la coincent à deux voitures, descendent, la traînent hors de sa voiture, et commencent à la rouer de coups.
 

Traumatisée, la jeune femme rentre chez elle, et ressort pour aller porter plainte au commissariat.

Hélas, les sept mahométans qui la surveillaient la coincent une nouvelle fois et la frappent encore plus violemment en la menaçant de mort si elle recommence et en lui lançant :

Tu es une mauvaise musulmane. Tu es la honte de l’Islam, car tu vas faire la fête un jour de Ramadan.

La police a ouvert une enquête, qui n’ira nulle part : nous apprendrons (peut-être) que ces racailles sont des récidivistes, et qu’ils ont (peut-être) déjà fait plusieurs séjours en prison, dont ils ont été à chaque fois relâchés au bout de quelques semaines.

Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :


© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

http://www.midilibre.fr/2012/07/22/decazeville-agressee-au-pretexte-d-etre-une-mauvaise-musulmane,537757.php

 

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SOLSTICE D' HIVER ! ( YVES DARCHICOURT )

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samedi, 21 décembre 2013

Solstice d'hiver : un cycle nouveau commence !

238172108.jpgYves Darchicourt

Solstice ! Solstice d'hiver !

Ce 21 décembre sera le jour le plus court de l'année. Le soleil paraît vaincu, la lumière qui est espoir, chaleur et vie semble avoir succombé devant l'obscurité qui est résignation, froid et mort.

Durant la prochaine nuit pourtant, l'astre du jour va concentrer ses forces et se préparer à reprendre sa course ascendante dans le ciel.

C'est la "nuit suprême", la "Mère des Nuits", qui précède la renaissance flamboyante du Soleil Invaincu et au cours de laquelle, depuis des temps immémoriaux, les hommes d'Europe ont aidé la lumière vacillante à vaincre les ténèbres par les grands feux, les bûches gravées de l'âtre et les chandelles qui brûlent dans les demeures ornées des branches de l'arbre toujours vert..

C'est aussi la longue nuit durant laquelle on partage la joie festive avec ceux en qui on se reconnaît, ceux de la race, du clan, de la famille, ceux de la même terre, des mêmes racines, de la même mémoire, du même imaginaire.

La nuit où l'on sait que rien ne meurt tout à fait, que la lumière "blondeur spirituelle" est en germe dans l'obscurité comme les jeunes pousses le sont dans la terre gelée, que les aïeux revivent en nous comme nous revivront par ceux qui nous suivent et que le crépuscule des Dieux lui-même sera suivi de la naissance d'un monde nouveau et d'un renouvellement de la puissance divine.

Nous, Européens, vivons un crépuscule. Celui des idéologies mortifères destructrices des peuples et des nations, celui de la décadence programmée, de la "bienpensance" obligatoire, de la haine de soi, du renoncement et du reniement.

Celui du règne des élites auto-proclamées, des corrompus et des fortunes anonymes et vagabonde. Celui de l'anormalité érigée en mode de vie, du métissage, de l'Histoire instrumentée, des traditions bafouées.

Celui de l'arasement, de l'indifférenciation, des espèces humaines en voie de disparition et de la dissémination de "l'homme gris".

Un crépuscule qui ne peut qu'aboutir à la nuit sombre et glacée du chaos mondial. Mais une nuit où, comme autant d'étoiles du Destin, brilleront encore les petites flammes que, nous européens, nous devons de faire naître et d'entretenir, les petites flammes de la résistance identitaire à l'obscurantisme mondialiste qui finiront par susciter l'immense brasier qui dévorera les ténèbres.

Et nos peuples qui sont d'un âge immense repartiront pour un cycle nouveau.

 
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