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COMMUNIQUÉ DU CERCLE NON CONFORME !

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mercredi, 04 décembre 2013

Lille, 14 décembre : conférence du Cercle non conforme

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Le 14 décembre 2013, le Cercle Non Conforme et Terre et Peuple organisent dans le Nord à partir de 18h30 une conférence ayant pour thème: Crise ou offensive du capital ? 

Nos invités seront Roberto Fiorini, secrétaire général de Terre et Peuple, grand connaisseur des questions socio-économiques, et Xavier Eman, journaliste non-conforme et militant associatif.

Ils aborderont autant les aspects théoriques que pratiques de cette question.

A la suite de la conférence est organisé un repas chaud (entrée, plat, dessert, boisson).

Pour vous inscrire envoyez IMPÉRATIVEMENT un mail àreservation.cnc@gmail.com avec vos coordonnées pour signaler votre inscription, connaître l'adresse de paiement et obtenir le lieu.

 

CENTRAFRIQUE : CHRÉTIENS CONTRE MUSULMANS !

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Par Francetv info 

Mis à jour le 05/12/2013 | 19:53 , publié le 05/12/2013 | 10:33

• Des violences entre miliciens chrétiens anti-balakas et ex-rebelles musulmans de la Séléka, désormais au pouvoir, ont fait plus de 100 morts, jeudi 5 décembre, dans la capitale centrafricaine, Bangui. 

Cinquante-quatre cadavres ont été retrouvés alignés dans une mosquée.

Une cinquantaine de corps ont été recensés à la morgue de l'un des hôpitaux de la ville, et de nombreux autres cadavres jonchent les rues de la capitale, selon l'envoyé spécial de France 2, Nicolas Bertrand.

• Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté une résolution autorisant la France à intervenir militairement au côté de la Misca, une force composée de soldats africains de plusieurs pays opérant en Centrafrique, dans le but de rétablir l'ordre et de stabiliser le pays. Le texte prévoit également un embargo sur les armes.

• Quelque 600 soldats français sont aussi sur le terrain, dont 250 déployés dans Bangui. "Cet effectif sera doublé d'ici quelques jours, pour ne pas dire quelques heures", a déclaré François Hollande, jeudi, lors d'une allocution. Le président a précisé : "Cette intervention sera rapide, elle n'a pas vocation à durer."

• Le président centrafricain, Michel Djotodia, a décrété un couvre-feu qui entre en vigueur jeudi à 18 heures et court jusqu'à vendredi 6 heures.

A LIRE AUSSI

Retrouvez ici l'intégralité de notre live #CENTRAFRIQUE

19h53 :  Oui à l'intervention en Centrafrique. 

19h53 :  Remettons de l'ordre en France avant de s'occuper de l'Afrique...

19h53 :  Nous avons suffisamment de problèmes à régler chez nous avant d'aller s'occuper de ce qui se passe ailleurs. Quelle tristesse.

19h53 :  L'intervention de la France en Centrafrique vous fait réagir dans les commentaires. 

19h32 :  François Hollande a donc annoncé une action militaire"immédiate" de la France en Centrafrique. Voici, en vidéo, son intervention à l'issue d'un conseil restreint de défense à l'Elysée. 

 (FRANCE TELEVISONS)

19h26 :  François Hollande précise que "le gouvernement fournira toutes les explications au Parlement dès la semaine prochaine".

19h23 :  François Hollande annonce une action militaire"immédiate" de la France en Centrafrique.

19h35 : "L'intervention sera rapide et n'a pas vocation à durer. Je suis sûr de son succès. J'en rendrai compte régulièrement aux Français."

#CENTRAFRIQUE François Hollande a détaillé l'intervention française en Centrafrique à l'issue d'un conseil restreint de défense convoqué autour de lui l'Elysée.

19h20 :  François Hollande fait en ce moment une déclaration solennelle sur la Centrafrique à l'issue d'un conseil restreint de défense convoqué autour de lui à l'Elysée. Son intervention est à suivre ici

19h11 :  D'anciens membres de la Séléka patrouillent ce soir dans les rues de Bangui, nous rapporte Nicolas Bertrand, envoyé spécial sur place de France 2.  

18h27 :  Peut-on comparer "l'intervention de la France" en Centrafrique, avec celle du Mali (qui à mon sens a été justifiée et "bien" menée) ?

18h03 :  En visite à Paris, le Premier ministre centrafricain demande "une intervention immédiate" de la France dans son pays. Voici sa déclaration. 





(EVN)

17h49 : Centrafrique ferme "jusqu'à nouvel ordre" sa frontière avec la République démocratique du Congo. 

17h20 :  Environ 1,3 million de personnes ont besoin d'une aide alimentaire en République centrafricaine en raison des troubles intérieurs, selon l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture. 

17h03 : violences dans la capitale centrafricaine, Bangui, ont fait au moins 105 morts, selon un nouveau bilan établi par Reuters.

16h27 : Hollande réunit un conseil restreint de Défense à 18 heures, après le vote de l'ONU autorisant une intervention française en appui à la force africaine en Centrafrique.

16h22 :  Voici des images tournées par les reporters de France 3 dans les rues de Bangui ce matin. On peut y entendre les tirs et détonations d'armes lourdes qui sèment la confusion dans la capitale centrafricaine.  

16h16 :  Le Conseil de sécurité de l'ONU a voté à l'unanimité de ses 15 membres un mandat aux forces françaises pour intervenir en République centrafricaine afin de rétablir la sécurité, en appui à une force panafricaine. 

Par ailleurs, le Conseil de sécurité impose un embargo d'un an sur les ventes d'armes à la Centrafrique.

16h13 : Conseil de sécurité de l'ONU autorise la force africaine et les troupes françaises en Centrafrique à faire usage de la force pour protéger les civils. 

16h12 : autorise une intervention française en appui à la force africaine en Centrafrique.

15h53 :  A Bangui, la capitale, plus de 80 cadavres ont été découverts dans une mosquée et dans les rues, rapportent des journalistes de l'AFP.

15h35 :  Un point sur les  violences meurtrières qui ont éclaté dans la capitale centrafricaine : dans le seul hôpital communautaire de Bangui, l'ONG Médecins sans frontières recense 10 morts et 65 blessés, victimes de tirs ou d'armes blanches. 


Ce bilan partiel, qui ne concerne que l'un des hôpitaux de la ville, laisse présager un nombre élevé de victimes dans cette nouvelle vague de violences dans un pays livré à l'anarchie. Pour mieux comprendre la situation, lisez cet article.

15h04 :  Oui à l'intervention de nos militaires pour les ressortissants français, mais une fois la paix rétablie ? 

15h03 :  Alors que le budget de l'armée est en baisse, que nos soldats sont souvent équipés avec des équipements au rabais (mauvais souliers, gilets pare-balles bas de gamme, etc...), que les salaires sont a minima, malgré leur mise à disposition constante, va-t-on partout s'immiscer ? Charité bien ordonnée commençant par soi-même, il faut que l'Afrique se prenne un peu en charge.

15h03 :  Non à l'engagement de soldats français en Afrique ! Pas un soldat hors du Territoire national. Non au néocolonialisme. 

15h02 :  La France doit-elle intervenir en Centrafrique, où les affrontements mortels se multiplient ? Alors que Paris attend un vote à l'ONU pour déployer ses soldats, vous êtes partagés sur une éventuelle intervention armée dans les commentaires. 

14h45 :  Voici une photo prise par le reporter France 2, Nicolas Bertrand, qui se trouve actuellement à Bangui, la capitale centrafricaine, où ont lieu des affrontements mortels. On peut y voir un soldat congolais de la force d'intervention d'Afrique centrale patrouiller.  

13h48 : @anonyme #CENTRAFRIQUE Environ 1250 Français vivaient en Centrafrique avant le début de cette nouvelle crise politique et humanitaire. En mars déjà, quand les rebelles du Séléka ont renversé dans la violence le régime du président Bozizé, une centaine de ressortissants Français ont quitté le pays. 


A l'heure actuelle, il n'y a pas de rapatriement organisé par la France. Mais des soldats de l'armée française ont été déployés à Bangui pour protéger nos ressortissants. Par ailleurs, Paris "déconseille formellement" les voyages en Centrafrique.

13h45 :  Savez-vous combien de Français vivent en Centrafrique ? Et si un éventuel rapatriement est envisagé par la France ? Merci. 

13h40 : président Djotodia décrète un couvre-feu dans la capitale centrafricaine, Bangui, de 18 heures à 6 heures du matin.

13h26 : morts et 65 blessés dans un hôpital de Bangui après des tirs, selon Médecins sans frontières. 

13h06 : Terreur, viols, coups de machette...   Les populations civiles prises dans les combats entre les miliciens chrétiens et les ex-rebelles musulmans de la Séléka témoignent de la barbarie qui règne actuellement en Centrafrique.

 Retrouvez ici leurs témoignages.   (SIA KAMBOU / AFP)


12h42 :  "Ces (250) soldats se sont déployés pour sécuriser nos ressortissants et des points sensibles et de regroupement", à Bangui, capitale de la Centrafrique, où des combats ont éclaté, indique le porte-parole de l'état-major des armées françaises.  
  Au total, quelque 600 hommes ont pour l'instant été déployés par l'armée française en Centrafrique


12h39 : "Un peu plus de 250 militaires" français sont déployés dans Bangui pour assurer la sécurité des ressortissants français et"des points sensibles" de la capitale centrafricaine, selon le porte-parole de l'état-major des armées françaises. 

12h28 : accrochages qui ont éclaté dans la nuit à Bangui continuent, affirme un porte-parole de l'armée française. 

12h22 : Alors que des tirs ont fait au moins 23 morts et 64 blessés dans la capitale Bangui, la France attend cet après-midi le feu vert de l'ONU pour intervenir en Centrafrique. Soutenez-vous l'intervention française pour rétablir la paix en Centrafrique ? C'est notre question du jour, votez ici.   

Pour en savoir plus sur ce qu'il se passe en Centrafrique, voici un article qui vous résume tout

11h57 : Les combats dans la capitale Bangui ont fait au moins 23 morts et 64 blessés, selon l'agence Reuters. 

11h56 : Je vous conseille de lire l'article de mon collègue Gaël Cogné, qui propose une séance de rattrapage et répond à neuf questions essentielles sur la situation dans ce pays.

11h56 : Bonjour, que se passe-t-il exactement en Centrafrique ?

11h20 : Voici des précisions sur les victimes des combats de ce matin à Bangui. Selon Médecins sans frontières, il y a des "blessés par balle, par arme blanche" et des "polytraumatisés", probablement des personnes qui ont lourdement chuté en fuyant leurs quartiers dans la panique.

10h53 :  Les blessés ont été conduits à l'hôpital communautaire de Bangui, où Médecins sans frontières a dépêché une équipe médicale et chirurgicale, précise le chef de la mission de l'ONG en Centrafrique, Sylvain Groulx. MSF indique ne pas pouvoir donner de bilan précis dans l'immédiat.

10h48 : Les combats à Bangui, la capitale, ont fait plusieurs morts et des blessés, affirme Médecins sans frontières. 

10h35 :  Comme nous vous l'indiquions, le chef de la diplomatie, Laurent Fabius, affirme que quelque 1 200 soldats français participeront à l'intervention en Centrafrique, après le vote d'une résolution à l'ONU, prévu aujourd'hui. Voici ses déclarations. 

(BFMTV)

10h15 : Toujours selon Nicolas Bertrand, journaliste de France 2 présent sur place, les violences survenues ce matin à Bangui ont fait des victimes. 

Trois personnes ont été tuées à coups de machette, et un chauffeur de taxi a été abattu au "Km5", une zone située à 5 km de la capitale, par des ex-combattants de la Séléka, "nombreux et lourdement armés" d'après un témoin.

10h12 :  Un train transportant des soldats français et leurs blindés roule en direction de la frontière centrafricaine depuis l'est du Cameroun.

  (REUTERS)

09h49 :  Des habitants qui courent dans les rues de Bangui. Des tirs d'armes automatiques qui résonnent. De violents combats ont éclaté ce matin dans la capitale centrafricaine. 

(REUTERS)

09h36 : France Info a réalisé un reportage dans un centre pédiatrique de Bangui, la capitale, où des enfants victimes de l'attaque qui a fait 12 morts à Baoli, hier, sont pris en charge. Les victimes sont des musulmans de l'ethnie peule. Ils accusent les anti-bakalas (des chrétiens) d'avoir perpétré ce massacre. Les témoignages sont poignants. Ecoutez l'un d'entre eux. 





08h57 : Autour de 1 200 soldats interviendront dans le pays de manière assez rapide, indique Laurent Fabius sur BFMTV et RMC.

Selon le ministre des Affaires étrangères, la résolution sur une intervention militaire française sera adoptée à l'unanimité ce soir à l'ONU. Le Parlement français sera ensuite consulté, précise-t-il.

08h43 : Des soldtas français patrouillent dans Bangui. Nicolas Bertrand, journaliste de France 2, présent sur place, a aperçu une trentaine de militaires français, embarqués dans des blindés, se diriger vers le centre de la capitale centrafricaine où des affrontements entre milices ont éclaté ce matin. 

La France compte 410 hommes à Bangui, où ils contrôlent l'aéroport. Ils devraient être rapidement rejoints par 800 soldats français supplémentaires.

Le Conseil de sécurité de l'ONU a voter une résolution en ce sens ce soir.

07h25 : Selon Nicolas Bertrand, journaliste de France 2 envoyé sur place, ce sont bien des miliciens chrétiens "anti-balakas" (anti-machettes) qui ont mené une attaque sur la ville de Bangui, affrontant les ex-rebelles musulmans de la Séléka (qui ont renversé le président Bozizé).

Les soldats de la Fomac, la force multinationale d'Afrique centrale composée de soldats africains de plusieurs pays, ont dû également ouvrir le feu pour protéger des bâtiments officiels.

06h59 : Si vous n'avez rien compris à la situation en Centrafrique, notre journaliste Gaël Cogné répond aux neufs questions que vous n'osez pas poser.  
 (XAVIER BOURGOIS / AFP)


06h56 : Selon une journaliste de la chaîne qatarie Al-Jazeera sur Twitter, qui cite des soldats français, l'attaque en cours à Bangui serait menée par des milices anti-Balakas (anti-machettes), des groupes d'autodéfense de paysans chrétiens exaspérés par les pillages et les exactions. 

06h15 : Libération consacre justement sa une aujourd'hui à l'intervention militaire française dans ce pays, qui fait l'objet aujourd'hui d'une résolution votée à l'ONU. 

06h12 : D'après le reporter de France 2, un message a été transmis aux équipes de l'ONU présentes dans la ville. Il leur donne l'ordre de ne pas quitter leur domicile.

06h10 : Selon Nicolas Bertrand, journaliste de France 2 envoyé sur place, ces tirs nourris sont échangés entre les soldats de la Fomac, la force multinationale d'Afrique centrale composée de soldats africains de plusieurs pays, et des assaillants inconnus pour l'heure. 

06h08 : Ces tirs d'origine inconnue dans l'immédiat ont débuté vers 5h30 dans la zone du PK-12, dans le nord de la ville, puis se sont étendus à d'autres quartiers de la ville, notamment non loin du centre-ville, dans la zone du fleuve.

06h05 : Des tirs d'armes automatiques et des détonations plus lourdes sont entendus dans plusieurs quartiers de Bangui, la capitale centrafricaine.

 

    source et publication:  http://www.francetvinfo.fr/monde/centrafrique/direct-suivez-les-combats-en-centrafrique-et-le-vote-au-conseil-de-securite-de-l-onu_475018.html#xtor=EPR-51-[alerteinfo]-20131205-[bouton]-[]

FRANCE : LA JUSTICE QUI POUSSE A BOUT ......

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Jeudi 5 décembre 2013


lien direct de la vidéo : http://vk.com/video231636035_166920207

source : 20H de TF1 du 4 décembre 2013

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« Je ne vis plus. » Ces mots sont ceux d’une habitante du quartier de la Redoute, à Fontenay-sous-Bois. Le 31 octobre, la retraitée de 58 ans a été agressée par trois individus qui se sont introduits à son domicile.

Depuis, les malfaiteurs ont été remis en liberté et placés sous contrôle judiciaire. Une décision que la victime ne supporte pas.

Traumatisée par leur retour dans le quartier, la retraitée a tenté de mettre fin à ses jours, dans la nuit de lundi à mardi.

Elle raconte sur Europe 1 son traumatisme.

« Ils m’ont mis un couteau de boucher sous la gorge« .

Le 31 octobre, il est 10 heures quand la retraitée entend sonner à sa porte.

Un individu lui indique alors qu’il s’agit du facteur. Méfiante, elle ouvre, en laissant toutefois la chaîne de protection.

Là, les trois malfaiteurs défoncent la porte et s’en prennent à la retraitée qui se trouve au téléphone avec sa fille. « Ils m’ont jetée au sol, bâillonnée, mis un couteau de boucher sous la gorge et m’ont cassé un doigt en m’arrachant le téléphone des mains » raconte-t-elle au Parisien.

Après lui avoir volé tous ses bijoux, les trois agresseurs quittent les lieux. Interpellée par les cris de sa mère, la fille de la victime arrive trop tard sur les lieux.

Quelques jours plus tard, les trois suspects, dont deux mineurs, sont interpellés. Ils ont en effet été confondus par leur ADN laissés sur le scotch ayant servi à bâillonner la victime.

Le parquet de Créteil ouvre une information judiciaire et les trois jeunes sont mis en examen. Mais le juge des libertés et de la détention décide toutefois de les remettre en liberté et de les placer sous contrôle judiciaire.

Et malgré leur interdiction de se rendre dans le Val-de-Marne, deux d’entre eux sont de retour dans le quartier de la Redoute.

Une situation insupportable pour cette retraitée qui a tenté de mettre fin à ses jours lundi soir. 

« Qu’on puisse s’acharner comme ça sur moi, c’est de la barbarie. Je n’en pouvais plus. Il fallait que je meure, il fallait que je parte, c’était moi ou eux.

J’avais un sentiment d’impuissance parce que personne ne s’occupait de nous.

On est livré à nous-même. Je suis quoi ? Je ne suis pas victime, je suis rien, je ne suis plus un être humain.

Alors j’ai décidé de partir, de mourir » explique-t-elle au micro d’Europe 1.

Vidéo :

Ils vont au restaurant du coin, manger leur kébab, et moi je suis prisonnière chez moi. Ils vivent là, moi je ne vis plus.


Ses agresseurs reviennent dans sa cité : « je ne… par Europe1fr

(…) Europe 1

Source :http://www.citoyens-et-francais.fr/article-fontenay-sous-bois-ses-agresseurs-remis-en-liberte-elle-tente-de-se-suicider-maj-video-121446715.html

HISTOIRES DE PUTES !!! TRIBUNES LIBRES ET POINT DE VUE !

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Les putes ne pourront plus faire la pute – le métier est désormais chasse gardée des médias

Posted On 04 déc 2013

Prostitute

L’Assemblée vient d’adopter la proposition de loi pénalisant les clients de prostitués. Je suis admiratif devant tant d’intelligence.

Les députés ont bien entendu tout prévu : les prostituées vont retrouver un emploi comme dames pipi pour ne pas être trop dépaysées.

Concernant les proxénètes, il se dit qu’ils pourraient eux-aussi rester dans leur éléments en assurant la surveillance des pervenches afin d’alléger le gouvernement, et améliorer le rendement des PV.

Madame_Pipi

Le texte punit l’achat d’actes sexuels d’une contravention de 1 500 euros.

En cas de récidive, l’infraction deviendra un délit puni d’une peine d’amende de 3 750 euros.

Imaginons ce qui est prévu pour les obsédés sexuels : on leur coupe les couilles ?

Alternative à l’amende ou sanction complémentaire, un « stage de sensibilisation à la lutte contre l’achat d’actes sexuels » est prévu par la loi.

Là, j’imagine plus du tout…

 Je me demande s’il existe une seule personne, dans l’hémicycle, pour vraiment croire que la prostitution va disparaitre – avec ou sans cette loi de clowns.

D’un coté, ils veulent légaliser la drogue pour que les gens arrêtent, et de l’autre ils veulent interdire la prostitution pour que les gens arrêtent…

Va-t-on assister à l’effet augmentation du prix de l’essence où les gens se mettent dans la queue pour remplir leur réservoir ? Là, ils vont la mettre pour se le faire vider.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Albert Bertold pour Dreuz.info.

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Désormais les députés français iront aux putes en Allemagne et en Suisse

Posted On 04 déc 2013
 

Venusia-1

Les députés français (y compris ceux qui ont de discrètes maîtresses tarifées) ont adopté mercredi 4 décembre une proposition de loi hypocrite et inutile (sauf pour l’Etat qui va taxer un max) qui sanctionne les clients de prostituées d’une amende de 1’500 euros.

Pour y remédier, une maison close de luxe de 4.500 m2 doit ouvrir dans une petite commune voisine de Sarrebruck en Allemagne.

Elle sera capable d’accueillir entre 50 et 60 femmes et plus d’une centaine de clients, explique son futur gérant, Michael Beretin. « Nous prévoyons un grand nombre de clients français, en raison de la proximité avec la frontière et aussi du contexte législatif en France », ajoute Beretin.

Dans un local partenaire à proximité, les Français représentent 65% de la clientèle.

A Sarrebruck et environs, il y a en outre le FKK club 214, le Poppstall, le FKK Prestige ou encore la Villa Venizia.

 

A Genève, les Français connaissent déjà le http://www.venusia.ch/.

 

Au lieu de verser 1’500 euros d’amende, par pute, à ce putain d’Etat français, les habitants de l’Hexagone iront désormais encore plus souvent à Sarrebruck et à Genève.

 

 

C’est moins cher et moins faux-cul.

 

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TUNISIE: FRÉRES MUSULMANS ET FRÉRES ENNEMIS......

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 Selon Mezri Haddad, Moncef Marzouki a adhéré aux Frères Musulmans depuis 1998.


5 Décembre 2013  


Dans sa lettre ouverte à Moncef Marzouki que Tunisie-Focus vient de publier sous le titre de « Mensonge, voici ta vérité », Mezri Haddad a fait des révélations importantes sur son ex-ami de lutte et sur les raisons de leur séparation.

C’est la première fois qu’il attaque avec une telle virulence ce qu’il appelle la « crapule présidentielle ».

 

C’est le fameux « Livre noir » qui a réveillé le lion blessé.


Selon Mezri Haddad, Moncef Marzouki a adhéré aux Frères Musulmans depuis 1998.
lors que la Tunisie a perdu sa Souveraineté, que son économie est en faillite, qu’elle s’apprête à subir une vague d’attentats qui peut la plonger dans l’anarchie civile, et que son endettement est comparativement onze fois supérieur à celui du gouvernement Mustapha Khaznadar, dont la gestion devait « justifier » le traité du Bardo, tu as choisi de divertir la horde pour prolonger ton règne avilissant et perpétuer le mythe de la « révolution » bouazizienne.
 
C’est-à-dire la conspiration islamo-atlantiste, qui s’est terminée par le coup d’Etat du 14 janvier 2011.
 
De cette diversion de bas étage, nul n’est dupe, pas même la horde et à plus forte raison le peuple tunisien, qui a fini par comprendre l’ampleur de l’imposture du « printemps arabe », mais pas au point de suivre l’exemple égyptien dans son admirable sursaut patriotique. 

Fidèle en infidélité, tu n’as pas résisté à la tentation d’assouvir ta basse vengeance en essayant de souiller l’honneur de journalistes, d’avocats et d’intellectuels, y compris les plus illustres de ce pays, dont je ne citerai ici que le père de l’archéologie tunisienne, Mhamed Hassine Fantar, l’éminent professeur Mongi Chemli, Mohamed Mahjoub, Noureddine Mejdoub, Mohamed Salah al-Jabri, Lafif Lakhdar, Jaafar Majed, Moncef Souissi, Olfa Youssef…
 
Des noms qui rappellent la richesse et la grandeur de la pensée tunisienne autant qu’ils mettent en exergue ta petitesse intellectuelle et ta leucémie éthique et politique. 

A dire vrai, je ne suis pas déçu qu’un tel torchon, le « Livre noir », ait pu voir le jour. Je suis même ravi que certains scribouillards et avocassiers y figurent, parce qu’ils ont hurlé avec les loups, qu’ils ont pris part au lynchage des patriotes et qu’ils ont contribué au mythe de la «révolution du jasmin », par conformisme, par opportunisme ou par lâcheté.
Ils savent désormais que lorsqu’on apporte sa pierre au mensonge, on finit toujours par en payer le prix.
Mais, puisque mon nom est associé aux leurs, je ne peux qu’en être solidaire, beaucoup plus par conviction que par compassion. 

Par conviction, car je n’ai jamais cru à cette « révolution », ni à ses « martyrs », ni à ses slogans fumeux, ni à ces valeurs phosphorescentes, ni à ses figures emblématiques de la gauche encéphalopathique. Dès son accouchement par césarienne, je n’y voyais qu’une convulsion sociale dont le déclenchement est aussi mystérieux que la naissance du Christ.
Heureux ceux qui ont cru sans voir, disait si justement le fils de Marie ! Je n’y voyais qu’une conspiration islamo-atlantiste, aux visées géopolitiques néocoloniales dépassant de loin « l’insignifiante » Tunisie.
Tout au plus qu’un remake de la révolte arabe de 1916, dont les troupeaux ont été menés par le très pieux Lawrence d’Arabie, fondateur de la monarchie qui porte ce nom infâme et véritable messie de l’hérésie wahhabite. 

Lorsque les Tunisiens ont été libéré de leur indépendance, et pour faire peau neuve, on m’a demandé de présenter mes excuses au sacro-saint peuple. Dans la solitude des vaincus et la certitude des philosophes, j’ai répondu que c’est au peuple de s’excuser auprès de la Nation !
On m’a demandé de retirer de mon anthologie le mot « Horde », j’ai répondu que la horde a manifesté, que la horde a voté, et que la horde est au pouvoir. 

Depuis, grâce aux 7000 voix empruntées par la secte des Frères musulmans, elle-même redevable de l’argent sale de Qatraël et des Etats-Unis, la horde est au sommet de l’Etat, incarnée dans ce qu’il y a de plus vil et de plus détestable chez les Tunisiens. Se sachant provisoire, la crapule présidentielle qu’un caprice de l’Histoire a hissée à la tête d’un pays vassalisé, est empressée de parachever sa sinistre légende en détruisant les icônes de la Patrie. Les nains n’existent que dans la disparition des géants. Oui mon « cher » Moncef, tu n’arrives pas à la cheville du plus petit journaleux que tu as fourré dans ta liste noire et dont j’avais été la cible expiatoire bien avant que tu n’en deviennes l’objet de dérision. A plus forte raison les illustres journalistes et les personnalités académiques dont tu as voulu souiller l’honneur parce qu’ils t’ont toujours méprisé, aussi bien au moment de ton supplice imaginaire qu’à l’époque de ta présidence chimérique. 

Mais le livre noir que tu viens de pendre n’est pas seulement l’œuvre d’une âme tourmentée, d’un esprit rongé par le ressentiment et gangrené par la haine. C’est aussi l’œuvre d’un renégat, l’effort titanesque d’un esclave exécutant au détail près un cahier des charges dicté par les « libérateurs » de la Tunisie, qui entendent effacer de ce pays soumis toute trace de résistance et de patriotisme. Tu es, tu devais être, tu ne pouvais qu’être à la Tunisie que ce que Jalel Talabani, Ahmed Chalabi et Ibrahim Jaafari furent pour l’Irak, sous le régime proconsulaire de Paul Bremer. 

L’Irak, première pomme de discorde entre nous, après des années de lutte commune pour la démocratie en Tunisie. En 1998, j’étais à Bagdad, comme tous les six mois, à soutenir mes frères irakiens, lorsque tu m’as laissé un message hypocrite dans lequel tu t’expliquais sur la naissance du CNLT, sans moi, en raison du veto de Mustapha Ben Jaafar et de ses amis, me disais-tu. Archiviste, j’ai gardé cette cassette sonore que je rendrai publique et dans laquelle tu me suppliais de ne pas réagir à l’imminente déclaration de naissance du CNLT. Tu ne savais pas à l’époque que je m’attendais bien à cette trahison, pour avoir compris au détour d’une conversation amicale avec Mohamed Mokhtar Arbaoui et Jalloul Azzouna, qui se trouvaient également à Bagdad pour un symposium des écrivains arabes, que mon nom ne sera pas associé aux fondateurs du CNLT. Et pour cause : l’ami de Tarek Aziz ne pouvait pas faire partie d’une association qui comptait bien sur l’appui médiatique et financier des Etats qui ont participé à la destruction de l’Irak. Il fallait renoncer à la cause irakienne pour embrasser la nouvelle cause droit-de-l’hommienne de la soldatesque bushienne. C’est ainsi que les résistants de la première heure ont été ostracisé au profit des collaborateurs de la première heure. 

Une année après, en compagnie de Haytam Manna et de ta fille, tu viendras chez moi me soutenir le même discours et me prier de ne pas quitter l’opposition. Mais ma décision était déjà prise : la compagnie des autocrates est bien moins pénible que la fréquentation des démagocrates. Autrement dit, la contribution à la réforme, plutôt que le soutien des mercenaires et des renégats. Une année plus tard, en avril 2000, lorsque j’ai décidé de rompre un exil de 12 ans, Mustapha Ben Jaafar m’avouera devant témoin (Taïeb Zahar), qu’il n’y était absolument pour rien dans cette affaire que tu avais monté de toute pièce. 

Seconde pomme de discorde, la question islamiste. Tu sais et ils savent qu’avant que je ne découvre leur Taquiyya et leur antipatriotisme congénital, j’étais l’artisan de ton rapprochement avec les islamistes, comme d’ailleurs avec Mohamed Mzali et Ahmed Bennour. Si tu ne te souviens plus du dîner chez Habib Mokni, en 1995, celui-ci doit s’en rappeler. Ce soir d’hiver torride, j’avais exigé qu’avant toute entente avec les islamistes, ils devaient d’abord t’accorder une aide matérielle, puisqu’ils ne manquaient pas de moyens. Sur le chemin de retour chez moi, dans la banlieue sud de Paris, tu étais heureux comme un gosse que le coffre de ma voiture contienne le dernier cri des ordinateurs portables. Premier cadeau de Ghannouchi à Marzouki ! Il y en a eu bien d’autres par la suite. Mais, il y a plus grave que ce petit cadeau. Il y a ce que tes amis que tu as trahi et tes compatriotes que tu as vendu ignorent jusqu’à ce jour, c’est-à-dire ton adhésion à la secte des Frères musulmans dès 1998. C’était pour toi le seul moyen de gagner la confiance du grand prêtre, Rached Ghannouchi, et de disqualifier les autres stripteaseuses de l’islamisme « modéré », à savoir Ahmed-Néjib Chebbi, Mustapha Ben Jaafar et Hamma Hammami. Tu as embrassé la dogmatique islamiste comme on embrasse la « religion » maçonnique : dans l’initiation occulte et le secret absolu. Dès lors, les droits de l’homme sont devenus pour toi ce que l’islam est pour Rached Ghannouchi : une litanie subversive au service d’une ambition maladive. Toute ta vie, tu as couru derrière les droits de l’homme pour attraper le pouvoir.    
  
C’est exactement ce que j’avais écrit dès 2002, dans mon livre « Carthage ne sera pas détruite », que ton torchon noir cite comme pièce à charge dans un procès sans contradiction et sans révision. Dans ton torchon noir, tu as réitéré ce que tu avais scribouillé sous divers pseudonymes depuis l’édition de mon livre en 2002, et même avant sa parution. Comme tes acolytes du microcosme parisien et londonien, tu t’attendais, en effet, à une apologie du régime et à un panégyrique de celui que je traitais déjà d’usurpateur lorsque tu soutenais publiquement sa candidature aux élections de 1989. Mais vous avez été tous déçu, la canaille du RCD comme la racaille de l’opposition. Comme l’avait écrit à l’époque l’académicien Maurice Druon, « Faute de préfacer ce livre somptueux et sans concession pour le pouvoir et pour l’opposition, je peux dire que Carthage ne sera pas détruite est l’œuvre d’un penseur qui a préféré le politique à la politique, la méditation à la médisance, la réflexion philosophique aux ratiocinations politiciennes, la voie réformiste à l’aventurisme révolutionnaire ». Je m’abstiendrais ici de citer d’autres intellectuels ou journalistes tunisiens.   

Je sais que mon livre t’avait piqué au vif, nonobstant sa hauteur morale et son objectivité politique. Une semaine après sa sortie aux éditions Du Rocher (et non pas La Roche, comme l’écrivent par inculture tes scribes), je t’avais surpris chez Ahmed Kédidi en train d’en discutailler le fond et d’en peser les conséquences. Sur la table du jardin, il y avait mon livre ainsi qu’un dictionnaire ! Arrivé à l’improviste, je vous ai salué tous les deux et je vous ai rapidement laissé à vos palabres hautement politiques. Pour que les lecteurs de ton torchon noir comprennent ta vindicte à mon égard, voici quelques passages de Carthage ne sera pas détruite. 

Page 381 : « L’on se demande si par transparence, ce mouvement politique nouvellement lancé par Moncef Marzouki (CPR), ne devrait pas plutôt s’appeler Congrès pour la République islamique ! Comme le feu et l’eau, le laïcisme et l’intégrisme n’ont jamais fait bon ménage. A moins de l’entendre dans le sens khomeyniste, qutbiste ou tourabiste du terme, ce qui semble être le cas du fondateur du CPR, on ne refait pas la République avec les ennemis de la République. Celle-ci n’a d’ailleurs pas besoin d’être refaite : Bourguiba l’a instaurée il y a 46 ans et, faute de la décréter résolument laïque, il a veillé à ce qu’elle soit radicalement anti-islamiste. C’est affligeant de constater que l’intellectuel le plus laïc –celui dont j’avais été l’un des rares à soutenir la candidature symboliques aux élections présidentielles de mars 1994 au moment où d’autres ironisaient sur sa vanité avant de se réjouir de son arrestation- soit aujourd’hui amené à courtiser les islamistes en les présentant comme des républicains et des démocrates parfaitement honorables et aucunement violents». 

Et comme mon livre était, selon toi et tes complices, une « commande » de Ben Ali et la condition pour me faire pardonner, voici ce que j’écrivais sur son ennemi mortel, Moncef Marzouki : 
Page 382 : « Le cas de Moncef Marzouki incarne à lui seul ce qu’il faudrait bien finir par appeler la quintessence des maladresses politiques commises ces dix dernières années, le grand gâchis politique tunisien : voilà un homme qui a passé sa vie à défendre les valeurs laïques et républicaines, à militer sincèrement pour le triomphe de l’idéal démocratique, à combattre par sa plume alerte et son discours tranchant la pensée intégriste, et qui se trouve aujourd’hui acculé à une alliance avec les islamistes pour abattre le régime bénalien.
Ce n’est pas seulement l’échec d’un intellectuel laïc, authentiquement dévoué au respect des droits de l’homme, mais c’est également l’échec d’un gouvernement qui n’a pas su attirer vers lui ses alliés naturels contre l’ayatollachie ghannouchienne, ni même conserver ceux et celles qui se sont rangés à ses côtés et qui, de 1987 à 1995, ont été ses défenseurs les plus résolus ». 

Parce le courage et la loyauté sont de mes vertus, d’autres ennemis mortels de Ben Ali ont eu droit à mes éloges, comme Mohamed Mzali, Ahmed Bennour, Ahmed Ben Salah, Abdelhamid Skhiri, Mohamed Charfi…ou des ennemis moins mortels, comme Mohamed Sayah, Mansour Moalla, Hédi Mabrouk…
Ce serait trop long de multiplier les citations relatives pas seulement à Moncef Marzouki, mais à des personnalités patriotiques de l’opposition, à la corruption qui gangrène le régime, aux atteintes à la liberté d’expression, à la Justice qui est aux ordres, à la police de la pensée, à la défense du bourguibisme, à l’hégémonisme du RCD,…autant de thèmes qui répondent bien évidemment aux attentes de mon bienfaiteur Ben Ali !
Mais comme le Livre noir de Marzouki en parle, je ne peux pas ne pas citer cet autre passage de mon livre au sujet Des Masques, lun des torchons de propagande du régime bénalien.   

Page 336 : « Nous faisons allusion aux torchons dont la littérature de caniveau avait beaucoup plus nui au prestige de la Tunisie que servi la cause du régime. Les Masques, pour ne prendre que cet exemple, dont le scribouillard –un ancien agent congédié par les RG français- voulait mieux faire qu’un pseudo-journaliste tunisien, a trainé dans la boue tous les opposants ainsi que des personnalités représentatives d’ONG françaises. Ce faisant, c’est la Tunisie dont ces margoulins avaient usurpé la défense, qui a été discréditée et non point les ennemis de la Tunisie ». 

Si mon livre était une « commande » rétribuée par le régime, comme tu l’as toujours soutenu et comme tu viens de l’écrire dans ton torchon noir, pourquoi ne figure t-il donc pas dans le tableau (pp.43-47), qui mentionne tous les livres que le régime a soutenu et financé via l’ATCE ? Est-ce une omission de tes apprentis-plumitifs, ou une honnêteté intellectuelle bien involontaire ?
Autre anachronisme symptomatique de malversation et de falsification, cette phrase tirée d’une lettre que j’aurais adressée à Abdelwahab Abdallah et où je lui disais : « Par ce livre, mon objectif premier et final consiste à restaurer l’image de marque de notre pays et de notre président ». Cette lettre est datée du 11 juin 2006, alors que mon livre a été édité en septembre 2002 ! 

Mais si je ne l’ai pas dit à l’époque, je peux l’écrire aujourd’hui : oui, parmi les buts stratégiques de mon livre, il y avait bel et bien la restauration de l’image de la Tunisie et la dénonciation de l’alliance entre les archéo-islamistes et les néo-bolcheviques.
Oui, j’ai soutenu la République bourguibienne contre les vermines de ton espèce et en attendant l’éclipse de Ben Ali, qui était bien plus honorable que toi.
Oui, j’ai rendu à ce régime ses titres de noblesse et de faiblesse.
Et bien plus important que tout cela, dans mon livre, il y avait surtout une pensée politique s’inscrivant dans la grande lignée du réformisme et du patriotisme tunisiens, ainsi qu’une vision prospective d’une Tunisie souveraine, moderne et démocratique, à l’abri de tes frères en secte, les islamo-atlantistes. 

Je n’ai pas le temps et ce n’est pas le lieu de répondre aux autres inepties concernant mes articles, qui ont été publié dans les plus grands quotidiens de la presse internationale, ou concernant les honnêtes gens dont tu as livré en pâture les noms. Je me contente seulement de te dire que, si j’avais monnayé tous mes articles comme tu marchandais ta littérature « mercenariale » avec Al-Jazeera, je serai aujourd’hui dans une situation financière bien plus confortable. Mais la frugalité, le mépris même de l’argent, je les tiens de mon défunt père communiste.
 
De même que ta boulimie pour l’argent et ta servilité à l’égard du roitelet de Qatraël, tu les tiens de ton père, richissime commerçant au Maroc et servilement lié au Makzen. Je ne dirai pas plus sur lui, ni sur ta première épouse, ni sur tes deux filles, ni sur les 6300 euros que tu percevais du ministère français de la Santé sans travail effectif, parce que tes collègues Français ne supportaient plus ta présence à l’hôpital de Bobigny. Les initiés savent à quel titre et pour quel genre de services tu touchais un tel salaire ! Chargé de mission à la Présidence, j’avais 2200 euros par mois.
 
Ambassadeur à l’UNESCO, j’étais moins payé que ma collègue éthiopienne: 3300 euros ! 

Lorsque, dans trois mois, le reste de ma réponse sortira dans mon « Livre noir des mercenaires qui ont trahi leur pays, de 1989 à 2011 », tu ne seras peut-être plus là pour la lire, car je te prédis, sans te la souhaiter, mon cher ex-ami, une fin tragique !
 
Mais l’opinion publique tunisienne le lira et elle saura alors qui, parmi les noms dont tu as voulu salir l’honneur, ont loyalement servi leur Patrie, et qui parmi ceux dont tu as fait l’éloge, juste après tes 12 pages auto-hagiographiques, ont contribué à la destruction de la défunte Tunisie, en vendant leur âme à un émirat bédouin et à d’autres Etats atlantistes.
Elle saura également pour quelles raisons et en contrepartie de quoi tu as ouvert les archives de l’Etat tunisien à Al-Jazeera, dont tu étais le « minable » collaborateur, comme l’a affirmé l’un de tes ex-éphémères conseillers, aujourd’hui exilé en France. 

Avec ces deux livres noirs –si j’excepte un troisième que d’autres réaliseront après la victoire de la Résistance sur le néocolonialisme- les patriotes et les collabos seront alors devant le tribunal de l’Histoire, seule instance habilitée à rendre son verdict.
 
Oui, cher ex-ami, ni toi, ni ton ramassis d’anciens larbins de Hamad et Mozza, ou collaborateurs de la chaine islamo-sioniste, ni ta justice transitionnelle, ne pourront rendre un verdict équitable et définitif.
 
Cela est du ressort du tribunal de l’Histoire, comme les archives sont de la compétence des historiens et d’eux seuls.
 
 Source et publication:      http://www.tunisie-secret.com/Selon-Mezri-Haddad-Moncef-Marzouki-a-adhere-aux-Freres-Musulmans-depuis-1998_a738.html?preaction=nl&id=22802330&idnl=151195&

Mezri Haddad, Tunisie-Focus du 5 décembre 2013     
 
 

CENTRAFRIQUE :UN CONFLIT RELIGIEUX , CHRÉTIENS CONTRE MUSULMANS !

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VIDEO. Centrafrique : un général accuse les partisans de l'ex-président de massacres

Une centaine de morts ont été dénombrés jeudi dans les rues de

Bangui, la capitale de la Centrafrique.

Certaines images filmées par les équipes de France 3 envoyées sur place peuvent choquer.

(JEAN-YVES SERRAND, MARC SAVINEAU et FRANCK PAIRAUD - FRANCE 3 )Par Francetv info 

Mis à jour le 06/12/2013 | 06:41 , publié le 05/12/2013 | 20:24

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Une centaine de morts ont été dénombrés, jeudi 5 décembre à Bangui, la capitale de la Centrafrique.

Le pays est en proie à de violents heurts entre miliciens chrétiens anti-balakas et ex-rebelles musulmans de la Séléka, désormais au pouvoir.

 Les habitants de la ville craignent que le conflit religieux s'embrase.

Certains cadavres de musulmans ont été rassemblés dans une mosquée du centre-ville. D'autres gisent dans les rues voisines, abandonnés sur le bas-côté.

Les corps portent des marques de blessures à l'arme blanche et par balles.

Les images filmées par nos confrères de France 3 sur place peuvent choquer. 

Une action militaire "immédiate"

Un général de l'armée centrafricaine, membre de la Séléka, qui a porté au pouvoir un président musulman, affirme devant la caméra de France 3 que les acteurs de ces massacres sont les "éléments de Bozizé", l'ex-président déchu. 

L'ONU a autorisé jeudi les forces françaises à intervenir en Centrafrique en appui à une force internationale.

Le président français, François Hollande, a annoncé une action militaire "immédiate" pour aider à protéger la population et rétablir la stabilité en Centrafrique.

source et publication:   http://www.francetvinfo.fr/monde/centrafrique/video-un-general-centrafricain-accuse-les-chretiens-des-tueries-de-bangui-ce-jeudi_475676.html#xtor=EPR-2-[newsletterquotidienne]-20131206-[lestitres-coldroite/titre3]-[]

UN CANDIDAT COMMUNISTE CONTRE LA CONSTRUCTION D' UNE ÉGLISE .....

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Bordeaux : le candidat communiste à la Mairie contre la construction d’une église…

 

Mais il est favorable à l’érection d’une mosquée…

Candidat pour le Front de Gauche à la mairie de Bordeaux, le communiste Vincent Maurin a annoncé aujourd’hui sur son blog, dans un article intitulé « Ginko: la messe est dite ? », son opposition à la construction d’une église dans l’éco-quartier à Bordeaux Lac.

Conseiller municipal, celui-ci s’opposait déjà en 2012 à la construction d’un établissement privé catholique dans ce même quartier. Pour Vincent Maurin, « Ville de Bordeaux, Bouygues et Diocèse se sont mis d’accord (…)

Pourquoi alors ne pas réserver un espace dédié à l’accueil d’urgence des personnes sans domicile ou à besoins sociaux-médico particuliers, comme je l’ai proposé en séance CUB ».

Financé par le diocèse de Bordeaux, l’évêché compte notamment sur les ventes de deux lieux de culte promis à la destruction (Christ Rédempteur à Talence et Notre-Dame de Lourdes) pour assurer la construction de cette nouvelle église.

Si Vincent Maurin accuse la ville de Bordeaux et la Communauté Urbaine de « favoriser le culte catholique », ce dernier soutient paradoxalement la création d’un nouveau lieu de culte islamique pour répondre à la demande « d’une partie de la population des Aubiers » !

Source : Infos Bordeaux

 

 - See more at: http://www.christianophobie.fr/breves/bordeaux-le-candidat-communiste-a-la-mairie-contre-la-construction-dune-eglise?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+Christianophobie+%28Observatoire+de+la+christianophobie%29#sthash.aHzqRW8r.dpuf

BRUXELLES/UKRAINE: LA DÉMOCRATIE TOTALITAIRE EN ACTION .......

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TRIBUNE LIBRE, POINT DE VUE !

 

Ukraine : le coup d’état bruxellois - La démocratie totalitaire en action

UKRAINE : LE COUP D’ÉTAT BRUXELLOIS

 

 

La démocratie totalitaire en action



Jean Bonnevey 
le 03/12/2013 
Il y a eu en Ukraine une révolution orange. On sait que c’était un leurre.
 
 
Il s’agissait d’une opération préparée par les Usa et leurs alliés pour renverser un régime pro-russe au nom de la démocratie libérale alignée sur les intérêts économiques de l’occident.
 
 
Le mouvement présenté comme spontané avait été préparé avec une formidable logistique mise en place par des mouvements humanitaires financés par les américains et dans un but de subversion démocratique.

Le résultat immédiat de la Révolution orange fut l'annulation par la Cour suprême du scrutin et l'organisation d'un nouveau vote le 26 décembre 2004 qui voit la victoire de Viktor Iouchtchenko avec 52 % des voix contre 44 % pour son rival Viktor Ianoukovytch.
 
Sa présidence est cependant entachée de crises politiques multiples avec les gouvernements successifs.
D'un point de vue géopolitique, la Révolution orange marque un rapprochement de l'Ukraine avec l'OTAN et avec l'Union européenne.
 
Pro-européen convaincu, mais accusé de russophobie dans un pays très divisé entre l'est russophone et l'ouest plus pro-occidental, Iouchtchenko battra très vite des records d'impopularité.
Il ne parviendra pas à gérer les problèmes de la crise économique mondiale de 2008-2010 dans un pays qui en est fortement affecté.
 
 
La révolution orange était considérée comme close par la victoire du pro-russe Viktor Ianoukovitch à l'élection présidentielle ukrainienne de 2010. Quant à Iouchtchenko, il recueillera seulement 5,45 % des voix. Comme quoi !

Ce qui se passe aujourd’hui est peut être une deuxième révolution orange.
 
En tout cas les manifestants contestent une décision d’un gouvernement légalement élu.
 
 
C’est le refus de la signature d’un accord avec l’Europe de Bruxelles et un nouveau rapprochement avec Moscou qui est à l’ origine de ces manifestations qui veulent renverser le pouvoir, ce qui, n’en déplaise à Washington, est tout de même la définition d’une révolution.

Tout cela bien sûr est préparé pour stopper le retour en force de la Russie sur la scène internationale et rendre en fait à Poutine la monnaie de sa pièce de Damas.
 
 
Ces manifestations sont devenues « incontrôlables » et leurs instigateurs utilisent des « méthodes illégales » pour renverser le pouvoir, s'est indigné dans la journée le premier ministre ukrainien, Mykola Azarov. « Ce qui se passe présente tous les signes d'un coup d'Etat. C'est une chose très sérieuse. Nous faisons preuve de patience, mais nous voulons que nos partenaires ne pensent pas que tout leur est permis », a-t-il ajouté. 

« Nous ne considérons certainement pas des manifestations pacifiques comme des coups d'Etat», a déclaré le porte-parole du président Barack Obama, Jay Carney.
 
Emboîtant le pas aux diplomates de Bruxelles, le président français François Hollande et le premier ministre polonais Donald Tusk avaient condamné plus tôt « les violences ».

Les médias soutiennent la révolution et ont même trouvé une figure emblématique. Ce n’est plus une blonde ukrainienne mais une brute de boxeur qui serait également- pourquoi pas – un intellectuel  raffiné. Le chef du parti libéral Oudar est donc l'opposant le plus en vue.
 
 
Cet ancien boxeur – il a été champion du monde dans la catégorie poids lourds – est entré en politique il y a quelques années pour rapidement s'imposer comme l'une des étoiles montantes de l'échiquier politique ukrainien.
 
Malgré un physique impressionnant (2,02 m pour 110 kg) et sa forte médiatisation, son manque de charisme lui est reproché, tandis que sa légitimité politique reste à construire.

Candidat malheureux à la mairie de Kiev en 2006, le seul mandat qu'il a exercé est celui de député, depuis 2012.
Ces derniers jours cependant, devant la foule de manifestants, ses discours étaient les plus applaudis et son nom fréquemment scandé. Klitschko, qui a fait de la lutte contre la corruption sa principale bataille, est respecté dans le pays pour avoir bâti honnêtement sa fortune, par ses victoires sportives, et non par des affaires frauduleuses.
 
Voila la boxe devenu subitement  à nouveau pour les journalistes «  un noble art » et un sport éthique….adieu Rocky.

Reste à savoir si le judoka Poutine laissera ses alliés ukrainiens être mis Ko par un boxeur aux gants préparés par Bruxelles et Washington.
 
 
Source et publication:  http://metamag.fr/metamag-1703-Ukraine---le-coup-d’etat-bruxellois-La-democratie-totalitaire-en-action.html

L' UNION SACRÉE CONTRE LE GRAND REMPLACEMENT ......

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Et si nous faisions l’Union

sacrée contre le racisme

anti-blanc ?

boulevard-voltaire-racisme-anti-blancs
Le 6 décembre 2013
Nos gouvernants veulent voir disparaître notre histoire, chassée des manuels scolaires, remplacée par celle des empires africains.

Nous avons touché le fond de la haine anti-Français, de la haine anti-blanc, la semaine dernière quand un certain Joyce, se disant surveillant en école primaire, a tweeté sa jubilation parce que, systématiquement, il punit les petits « babtous » (toubab, en verlan, comprendre « tout blanc », mot originaire d’Afrique de l’Ouest).

Résistance républicaine n’aura les 5 ans requis pour porter plainte au tribunal contre le racisme qu’en 2015 : nous avons donc signalé la chose au procureur de la République.

Il y a une autre façon de montrer son refus et sa révolte devant ces actes inqualifiables qui touchent nos enfants, c’est de défendre l’ensemble de nos traditions, de nos valeurs, de notre patrimoine, en nous unissant derrière notre histoire et notre héritage à la fois gréco-romain et chrétien, tous ensemble, main dans la main.

Républicains et royalistes, bonapartistes et démocrates, chrétiens et athées, amoureux de 1789 et amoureux de Clovis, laïques et anti-laïques, en laissant derrière la porte nos divergences et nos ressentiments pour faire front, ensemble, avec le sentiment d’appartenir à la même nation, au même peuple. Parce qu’ils sont en danger.

Nous sommes en guerre. La guerre que nous font ceux qui veulent le Grand Remplacement dont parle Renaud Camus.

Face à eux, il faut faire l’Union sacrée.

Il nous faut faire, à une grande échelle, ce que nous avons réussi un certain samedi de juin 2012 à Vannes : un après-midi houleux consacré à l’immigration, avec des interventions de régionalistes, d’indépendantistes bretons, d’européistes… face à la jacobine souverainiste de service que je suis. Cris, protestations, agressivité, échanges doux-amers…

L’ambiance était plus qu’électrique quand on vint nous annoncer l’arrivée menaçante de musulmans de la cité voisine avec cailloux et bombes lacrymogènes en l’absence de toute police, retenue, en petit effectif, à l’autre bout de la ville.

Et là, le miracle eut lieu. Nous nous sommes tous retrouvés main dans la main pour faire face et, quand l’un des nôtres se retrouva en danger aux mains de l’agresseur, tout le monde fonça dans une mêlée hallucinante mais ô combien réjouissante.    Et victorieuse.

Comment dire la soirée que nous partageâmes ensuite sans la trahir ? Comment dire ce sentiment euphorique que nos divergences n’avaient aucune importance face au danger, que nous appartenions au même peuple et que l’heure n’était pas à la lutte politique ?

Comment dire ce bonheur de l’accolade sincère de l’indépendantiste ayant traîné le Gueuse dans la boue tout l’après-midi à la jacobine, accompagnée d’une invitation à venir manger breton chez lui à la première occasion ?

Nous gardons tous un souvenir ébloui de ce jour.

Et c’est exactement cela que nous devons faire à l’échelle de la France.

Nos gouvernants veulent voir disparaître notre histoire, chassée des manuels scolaires, remplacée par celle des empires africains.

Ils veulent voir disparaître notre héritage chrétien : tantôt ils veulent remplacer deux de nos jours fériés chrétiens par une fête juive et une fête musulmane ; tantôt ils chassent de l’espace public et même des écoles crèches et sapins, ou refusent les couronnes accompagnant la galette, parce qu’elles portent le mot chrétien« Épiphanie »

Chaque manifestation de Résistance républicaine est destinée à se battre contre ce remplacement de peuple et de civilisation.

Ce sera encore le cas dimanche prochain, nous partirons à 14 h place Denfert-Rochereau pour la défense de la laïcité et de nos fêtes chrétiennes, deux facettes de nos traditions et de notre identité.

RR Affiche marche 8 décembre

PDF, imprimer, envoyer à un ami      http://www.bvoltaire.fr/christinetasin/et-si-nous-faisions-lunion-sacree-contre-le-racisme-anti-blanc,43498?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=46ae4c8cec-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-46ae4c8cec-30403221

AUSTRALIE: L' ISLAM, RELIGION DE PAIX ET D' AMOUR ....

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Jeudi 5 décembre 2013

Quand ils n’égorgent pas les mécréants, les musulmans se massacrent entre eux…

La violence est une routine chez les illuminés d’allah, c’est le way of life de l’islam, la belle religion de paix, d’amour et… de coups de poignard.


Cette fois-ci, direction l’Australie dans la banlieue nord de Melbourne où un musulman excité de 22 ans a voulu pénétrer dans le centre islamique du coin faisant office de mosquée et poignardé 3 de ses coreligionnaires qui l’empêchaient d’entrer.

Les flics australiens sont finalement intervenus et ont neutralisé l’adorateur du dieu totalitaire et de son prophète sanguinaire à coup de taser.


Bilan : un musulman mort, 2 autres blessés… Ils sont vraiment, ils sont vraiment phénoménaux… la la la la   la la  la… Source : theAustralian.com.au


Ne pleurez pas les voilées, votre pieu coreligionnaire est parti rejoindre les 72 vierges au paradis d'allah…


Photo prise après la tuerie. Source : Abc.net.au


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La vidéo de ce énième crime islamique.

 
 
 
http://revoltes-en-europe.over-blog.com/article-australie-tuerie-a-l-entree-d-une-mosquee-1-musulman-mort-2-blesses-tous-poignardes-121455869.html

LE PARTI DE LA FRANCE S' AFFICHE ......

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Vendredi 6 décembre 2013

http://chevaliersdesgrandsarrets.files.wordpress.com/2012/09/referendum.jpgLe Conseil constitutionnel a validé la loi instaurant un « référendum d’initiative partagée », qui devrait être possible dès 2015.

 

Né de la volonté de Nicolas Sárközy en 2008, cette inutile loi ne présente aucun intérêt.

 

Aucune initiative n’a de chance d’aboutir si elle naît en dehors du Système.

La loi exige de réunir, pour espérer voir être lancée une procédure de référendum, en plus de 10 % des électeurs inscrits, 20 % des députés et sénateurs.

Cela représente 4,5 millions de citoyens et 185 élus.

Pire : le référendum demeure à l’initiative des parlementaires qui propose la loi au Conseil constitutionnel qui valide la demande.

 

Les noms des personnes soutenant un référendum seront publics – on imagine une proposition de loi destinée à lutter contre la mafia… – et les campagnes pour recueillir les votes populaires strictement encadrées notamment au point de vue financier avec des plafonds imposés.

 

Et si, dans les mois qui suivent la validation du projet de référendum, une loi sur un thème proche est examiné par le Parlement, aucun référendum ne sera organisé.

Cette loi est clairement destinée à étouffer la voix de la majorité silencieuse mais pourrait, au contraire, bénéficier à une extrême-gauche très organisée et très influente au Parlement malgré son large rejet par le peuple.

 

Source


Vendredi 6 décembre 2013

En Normandie :

 

http://a397.idata.over-blog.com/5/21/93/77/Divers/Divers-20131203_230354.jpg

 

http://a136.idata.over-blog.com/5/21/93/77/Divers/articletracts/articletracts-20131203_233241.jpg

 

En Saône-et-Loire :

 

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MANDELA ET LE GÉNOCIDE DES BLANCS ! CHUT !!!!

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Le Génocide des Blancs en Afrique du Sud. 

par David Duke

Pendant que toute la presse aux ordres verse des larmes de crocodile suite à la mort de l’ethnocidaire Mandela, nous préférons proclamer fièrement "RIP Eugène Terre’Blanche !"

Soutien inconditionnel à nos camarades Blancs, victimes silencieuses de la folie multiculturelle.

Et merci à David Duke de remettre les choses dans l’ordre.

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 Bernard Lugan flingue le bilan catastrophique de Nelson Mandela

INCIVILITÉS NON! UNE INFRACTION ! " ON VA METTRE UNE PALETTE " ???

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Vienne - Poitiers -

" On part, on a trop peur de se faire planter ! "

03/12/2013 05:38
Un individu a forcé les portes vitrées à coups de pieds. Il a réussi à pénétrer dans le magasin pour voler de la vodka. - Un individu a forcé les portes vitrées à coups de pieds. Il a réussi à pénétrer dans le magasin pour voler de la vodka.Un individu a forcé les portes vitrées à coups de pieds. Il a réussi à pénétrer dans le magasin pour voler de la vodka.
 
Un individu a forcé les portes vitrées à coups de pieds. Il a réussi à pénétrer dans le magasin pour voler de la vodka.

Poitiers .

Agressée violemment en septembre, victime d’un vol samedi soir, la gérante du Spar des Trois-Cités jette l’éponge et crie sa colère.

Elle le reconnaît, elle-même : c'est un coup de gueule, une envie de déverser sa colère qui l'a poussée, hier matin, à réagir sur le compte facebook du journal.

Quarante-huit heures après un cambriolage et une interpellation mouvementée, Agnès Raguenaud ne se remet pas.

 Agressée violemment par deux jeunes filles

« Nous sommes là depuis le mois de juin avec mon mari, ce n'est plus possible.

Nous allons partir, il ne se passe pas un mois sans que nous soyons obligés d'aller à l'hôtel de police.

Tous les jours, il y a un groupe, une minorité, une dizaine de jeunes qui sont là.


Ils font peur aux gens, ils s'alcoolisent. Passé 17 h, plus personne ne veut venir chez nous.

On a perdu sur le chiffre d'affaires depuis le mois de novembre. Mais ce qui se passe ici, on a l'impression que ça n'intéresse personne ! »


Samedi soir alors que le magasin vient de fermer, la gérante et son mari repèrent plusieurs personnes. « Il y en a un qui avait le visage masqué, qui a commencé à mettre des grands coups de pieds dans les portes vitrées. Il a réussi à rentrer, il a pris de la vodka.

Heureusement il y a deux commerçants qui sont arrivés. Le monsieur de la boutique exotique, il a peur de rien, il l'a plaqué au sol et on a appelé la police.

C'est terrible, ce monsieur, il est d'origine africaine et l'autre il lui disait " Tu vas quand même pas défendre des Blancs ! " On va où là ? ! »


Ce cambriolage, jugé hier en comparution immédiate (lire ci-dessous), arrive après une violente agression vécue par la commerçante.


« C'était en septembre. J'avais repéré une jeune fille de quinze ans qui avait planqué une bouteille de vodka dans ses vêtements. Je l'ai interpellée, elle était avec une copine. Je me suis fait massacrer.

Je n'en peux plus. C'est un peu lâche, mais on va partir. Je suis triste pour notre personnel, ils sont en or, mais je n'en peux plus.

J'ai trop peur que l'on se fasse planter. Il y a déjà les menaces, les dégradations sur la voiture. »


En septembre dernier, certains avaient haussé le ton, proposant une réaction forte. « Il était question de fermer le centre commercial durant deux heures pour que les autorités réagissent.

Et puis, rien ne s'est fait. »

repères

« Nous sommes présents et réactifs dans ce secteur », indique le commissariat central interrogé sur l'ambiance ressentie par certains au centre commercial du Clos-Gaultier. « Il y a une politique de partenariat avec les élus, les bailleurs, les associations qui nous font remonter les problèmes.

A cette saison, il y a plus de monde qui stationne à couvert dans ce type de galerie.

Il faut trouver la bonne limite de tolérance entre des groupes qui sont juste présents et des comportements qui peuvent importuner les gens, des incivilités…

A l'approche des fêtes, la présence est renforcée. »

repères

Il part en détention en attendant son procès prévu le 20 décembre

La prison, il ne l'a jamais connue. Et il voulait l'éviter à toutes forces. Le tribunal correctionnel en a décidé autrement hier. Au vu du manque de garanties de représentations de Sofiane Djedoui.

Lui qui demandait un délai pour préparer sa défense, il la préparera depuis Vivonne.

Son procès est fixé au 20 décembre prochain.


A 25 ans, le jeune homme venait de quitter le domicile familial sur un clash, samedi.

Après, il est parti s'alcooliser. Une demi-bouteille de vodka lui donne du cœur à l'ouvrage pour passer à l'action tandis que deux de ses copains font le guet dans le centre commercial des Trois-Cités.


Sofiane, au visage masqué d'après la gérante du magasin, frappe les portes à coups de pied. Il repart avec quatre bouteilles de vodka.


Une condamnation pour des faits similaires en juin le place en situation de récidive.

La révocation d'un sursis de quinze mois est réclamée au vu de l'évolution récente du jeune. Il paraît prendre avec légèreté les soins qu'il doit suivre pour combattre l'alcool et le parcours d'insertion qui lui est demandé de respecter.

Peintre de formation, il ne travaille plus depuis 2011.


« Je viendrai », promet Sofiane qui dit redouter l'incarcération. « Je ne demande qu'à être honnête.

Après ce qui s'est passé, je ne sais pas comment vous garantir que je ne vais rien faire. »


Le procureur réclame son incarcération, au grand dam de l'avocate de Sofiane. MeChloée Lucas-Vignier conteste l'automaticité de la prison lors des comparutions immédiates. « Il faut relativiser les faits.

C'est un vol avec effraction. Il a un rendez-vous dans deux jours pour son insertion. »


Le renvoi du procès, il arrange aussi Jean-Luc Raguenaud. « Je vais pouvoir faire les devis pour la porte », confie le commerçant.

En attendant, il faut gérer le quotidien et une porte qui ne ferme plus. « Le centre ferme à 20 h, ça va.

On va mettre une palette. Mais, le matin, il va falloir que je sois présent à 5 h du matin. »

Emmanuel Coupaye
 

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Source et publication:  http://www.lanouvellerepublique.fr/Vienne/Actualite/Faits-divers-justice/n/Contenus/Articles/2013/12/03/On-part-on-a-trop-peur-de-se-faire-planter-!-1710268

TRIBUNE LIBRE À ÉRIC ZEMMOUR .....

L' AFRIQUE DU SUD : TRIBUNE LIBRE À BERNARD LUGAN !

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vendredi 6 décembre 2013

Nelson Mandela : l’icône et le néant

 
Communiqué de Bernard Lugan[1]
(6 décembre 2013)

Né le 18 juillet 1918 dans l’ancien Transkei, mort le 5 décembre 2013, Nelson Mandela ne ressemblait pas à la pieuse image que le politiquement correct planétaire donne aujourd’hui de lui.

Par delà les émois lénifiants et les hommages hypocrites, il importe de ne jamais perdre de vue les éléments suivants :
 
1) Aristocrate xhosa issu de la lignée royale des Thembu, Nelson Mandela n’était pas un « pauvre noir opprimé ». Eduqué à l’européenne par des missionnaires méthodistes, il commença ses études supérieures à Fort Hare, université destinée aux enfants des élites noires, avant de les achever à Witwatersrand, au Transvaal, au cœur de ce qui était alors le « pays boer ». Il s’installa ensuite comme avocat à Johannesburg.
 
2) Il n’était pas non plus ce gentil réformiste que la mièvrerie médiatique se plait à dépeindre en « archange de la paix » luttant pour les droits de l’homme, tel un nouveau Gandhi ou un nouveau Martin Luther King. Nelson Mandela fut en effet  et avant tout un révolutionnaire, un combattant, un militant qui mit « sa peau au bout de ses idées », n’hésitant pas à faire couler le sang des autres et à risquer le sien.
Il fut ainsi l’un des fondateurs de l’Umkonto We Sizwe, « le fer de lance de la nation », aile militaire de l’ANC, qu’il co-dirigea avec le communiste Joe Slovo, planifiant et coordonnant plus de 200 attentats et sabotages pour lesquels il fut condamné à la prison à vie.
 
3) Il n’était pas davantage l’homme qui permit une transmission pacifique du pouvoir de la « minorité blanche » à la « majorité noire », évitant ainsi un bain de sang à l’Afrique du Sud. La vérité est qu’il fut hissé au pouvoir par un président De Klerk appliquant à la lettre le plan de règlement global de la question de l’Afrique australe décidé par Washington. Trahissant toutes les promesses faites à son peuple, ce dernier :

- désintégra une armée sud-africaine que l’ANC n’était pas en mesure d’affronter,
- empêcha la réalisation d’un Etat multiracial décentralisé, alternative fédérale au jacobinisme marxiste et dogmatique de l’ANC,
- torpilla les négociations secrètes menées entre Thabo Mbeki et les généraux sud-africains, négociations qui portaient sur la reconnaissance par l’ANC d’un Volkstaat  en échange de l’abandon de l’option militaire par le général Viljoen[2].
  
4) Nelson Mandela n’a pas permis aux fontaines sud-africaines de laisser couler le lait et le miel car l’échec économique est aujourd’hui  total. Selon le Rapport Economique sur l’Afrique pour l’année 2013, rédigé par la Commission économique de l’Afrique (ONU) et l’Union africaine (en ligne), pour la période 2008-2012, l’Afrique du Sud s’est ainsi classée parmi les 5 pays « les moins performants » du continent sur la base de la croissance moyenne annuelle, devançant à peine les Comores, Madagascar, le Soudan et le Swaziland (page 29 du rapport).
Le chômage touchait selon les chiffres officiels 25,6% de la population active au second trimestre 2013, mais en réalité  environ 40% des actifs. Quant au revenu de la tranche la plus démunie de la population noire, soit plus de 40% des Sud-africains, il est aujourd’hui inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994[3]. En 2013, près de 17 millions de Noirs sur une population de 51 millions d’habitants, ne survécurent que grâce aux aides sociales, ou Social Grant,qui leur garantit le minimum vital.
 
5) Nelson Mandela a également échoué politiquement car l’ANC connaît de graves tensions multiformes entre Xhosa et Zulu, entre doctrinaires post marxistes et « gestionnaires » capitalistes, entre africanistes et partisans d’une ligne « multiraciale ». Un conflit de génération oppose également la vieille garde composée de « Black Englishmen», aux jeunes loups qui prônent une « libération raciale » et la spoliation des fermiers blancs, comme au Zimbabwe.
 
6) Nelson Mandela n’a pas davantage pacifié l’Afrique du Sud, pays aujourd’hui livré à la loi de la jungle avec une moyenne de 43 meurtres quotidiens.
 
7) Nelson Mandela n’a pas apaisé les rapports inter-raciaux. Ainsi, entre 1970 et 1994, en 24 ans, alors que l'ANC était "en guerre" contre le « gouvernement blanc », une soixantaine de fermiers blancs furent tués. Depuis avril 1994, date de l’arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, plus de 2000 fermiers blancs ont été massacrés dans l’indifférence la plus totale des médias européens.
 
8) Enfin, le mythe de la « nation arc-en-ciel » s’est brisé sur les réalités régionales et ethno-raciales, le pays étant plus divisé et plus cloisonné que jamais, phénomène qui apparaît au grand jour lors de chaque élection à l’occasion desquelles le vote est clairement « racial », les Noirs votant pour l’ANC, les Blancs et les métis pour l’Alliance démocratique
  
En moins de deux décennies, Nelson Mandela, président de la République du 10 mai 1994 au 14 juin 1999, puis ses successeurs, Thabo Mbeki (1999-2008) et Jacob Zuma (depuis 2009), ont transformé un pays qui fut un temps une excroissance de l’Europe à l’extrémité australe du continent africain, en un Etat du « tiers-monde » dérivant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violences, réalité en partie masquée par quelques secteurs ultraperformants, mais de plus en plus réduits,  le plus souvent dirigés par des Blancs.
 
Pouvait-il en être autrement  quand l’idéologie officielle repose sur ce refus du réel qu’est le mythe de la « nation arc-en-ciel » ? Ce « miroir aux alouettes » destiné à la niaiserie occidentale interdit en effet de voir que l’Afrique du Sud ne constitue pas une Nation mais une mosaïque de peuples rassemblés par le colonisateur britannique, peuples dont les références culturelles sont étrangères, et même souvent irréductibles, les unes aux autres.
Le culte planétaire quasi religieux aujourd’hui rendu à Nelson Mandela, le dithyrambe outrancier chanté par des hommes politiques opportunistes et des journalistes incultes ou formatés ne changeront rien à cette réalité.
  


[1] La véritable biographie de Nelson Mandela sera faite dans le prochain numéro de l’Afrique Réellequi sera envoyé aux abonnés au début du mois de janvier 2014.
[2] Voir mes entretiens exclusifs avec les généraux Viljoen et Groenewald  publiés dans le numéro de juillet 2013 de l’Afrique réelle  www.bernard-lugan.com
[3] Institut  Stats SA .

 
 

VITICULTURE: ON MARCHE SUR LA TÊTE.......

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28 novembre 2013, 01 h 03

raisin bioRaisin dans une vigne en agriculture biologique
© C. Magdelaine / notre-planete.info

Aujourd'hui, un viticulteur encourt 30 000 euros d'amende et 6 mois d'emprisonnement pour avoir refuser de traiter, à titre préventif, sa propre production avec des pesticides .

Retour sur une affaire étonnante qui révèle l'incompatibilité et l'incompréhension entre deux modes de production agricole : le conventionnel et la biodynamie.

Juin 2013 : dans le cadre de la lutte contre un insecte vecteur d'une maladie de la vigne, la cicadelle (Scaphoideus titanus), agent vecteur de la flavescence dorée[1], un arrêté préfectoral impose "dans toutes les vignes en production ou non (...) une application unique d'un insecticide disposant d'une autorisation de mise sur le marché pour cet usage."

Ceci sur "l'ensemble des vignobles de la Côte d'Or excepté ceux du Châtillonnais et de l'Auxois".

Emmanuel Giboulot, viticulteur engagé en biodynamie[2], un mode de culture relativement proche de l'Agriculture Biologique, exploite 10 ha de côtes-de-beaune et de hautes-côtes de nuits.

Or, la biodynamie rejette catégoriquement l'épandage préventif de pesticides. C'est pourquoi, au début de l'été 2013, il refuse de traiter ses vignes contre la flavescence dorée, comme l'exige l'arrêté. Comme d'autres viticulteurs qui s'y opposent, il s'expose alors aux dispositions pénales prévues à l'article L 251-20 du code rural et de la pêche maritime, c'est à dire "six mois d'emprisonnement" et "30 000 euros d'amende", rien que ça.

Emmanuel Giboulot, exploitant bio[3], est alors contrôlé par la direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt (Draaf), fin juillet et fait aujourd'hui l'objet d'une convocation devant le délégué du procureur de la République du tribunal d'instance de Beaune pour infraction au Code rural.

Quand la biodynamie est rattrapée par le système productiviste et conventionnel

Emmanuel Giboulot se défend : utiliser un insecticide tuerait aveuglément tous les insectes de ses vignes, or son mode de production se base notamment sur des auxiliaires pour prévenir les ravageurs et certaines maladies.

De plus, son exploitation n'utilise aucun pesticide depuis 43 ans et n'a jamais contribué à la propagation de la flavescence dorée. Enfin, il s'agit d'un traitement préventif et non curatif : "Je ne voulais pas utiliser de produits chimiques dans mes parcelles, que ma famille cultive en bio depuis 1970", indique Emmanuel Giboulot, soulignant le dilemme auquel sont confrontés nombre d'exploitants.

Pour les viticulteurs bio, un seul insecticide permet de lutter contre la cicadelle tout en conservant leur label : le Pyrevert, à base de pyrèthre naturel – extrait des fleurs séchées du chrysanthème. "Mais cet insecticide n'est pas sélectif : il tue non seulement la cicadelle mais aussi la faune auxiliaire nécessaire aux équilibres naturels dans le vignoble, dénonce le viticulteur. Il détruit par exemple le typhlodrome, un acarien prédateur naturel des araignées rouges qui se nourrissent de la sève de la vigne."

Or, "le Pyrevert, même s'il est d'origine naturelle, est nuisible pour l'environnement : c'est un neurotoxique qui peut affecter les insectes, mais aussi les oiseaux, les animaux et même les viticulteurs selon les doses utilisées", confirme Denis Thiery, directeur de l'unité santé et agroécologie du vignoble à l'INRA.

Mais pour Olivier Lapôtre, chef de service à la Draaf Bourgogne, "cette maladie, la flavescence dorée, est la plus grave de la vigne. Elle ne contribue pas à faire baisser le rendement, elle est tout simplement mortelle". 11 hectares de vignes ont été arrachées en 2012 à cause d'elle et il n'est pas question de prendre le moindre risque pour les vignobles voisins alors que trois cas ont détecté trois cas en Côte d'Or cette année.

Pour Séverin Barioz, directeur de la confédération des appellations de Bourgogne (CAVB), les viticulteurs ne peuvent se soustraire au traitement : "Cela ne fait plaisir à personne de traiter. Mais il faut éradiquer cette maladie afin de stopper la propagation. D'ailleurs, cette problématique est aussi présente pour les côtes-du-rhône qui vont être obligés d'arracher des ceps."

Aujourd'hui la profession est divisée.

D'un côté, elle est apeurée par les ravages de la flavescence dorée qui peuvent anéantir des années de travail, ils voient donc d'un mauvais oeil le "laxisme" de leurs collègues engagés en agriculture bio ou biodynamique qui refusent la mesure préventive.

En effet, ceux-ci pourraient favoriser l'extension de la maladie et rendre son contrôle difficile avec des dégâts importants.

D'un autre côté, le risque n'est peut-être pas aussi étendu qu'annoncé, en témoignent les 40 ans d'exploitation sans traitement d'Emmanuel Giboulot. Mais c'est surtout la peine encourue qui est clairement disproportionnée : comment peut-on sérieusement infliger une sanction aussi lourde[4] à un viticulteur qui n'a finalement rien fait de mal, alors que sur des affaires bien plus dramatiques, le laxisme pénal est devenu monnaie courante en France ?

La justice tranchera cette question mais cette affaire montre une fois de plus l'incompatibilité flagrante entre le mode de production conventionnel, relativement simpliste dans sa démarche : tout risque est écarté par un traitement phytosanitaire préventif, massif et large (peu importe les conséquences sur les écosystèmes et les populations) et des modes de production bien plus pertinents, exigeants et durables et qui ont nourri l'humanité avec un certain succès pendant des millénaires.

En attendant, une page Facebook de soutien au viticulteur a été mise en place.

Notes

  1. La flavescence dorée, maladie de quarantaine, est une jaunisse de la vigne particulièrement contagieuse et incurable. Elle est causée par un phytoplasme : micro-organisme qui circule dans la sève. La maladie se caractérise par une décoloration des feuilles et un non aoûtement des bois. Présente dans la plupart des régions viticoles du sud de l'Europe, elle occasionne de fortes pertes de récolte et peut compromettre la pérennité des vignobles. Lorsque les premiers cas sont détectés, il faut arracher tous les pieds atteints et maîtriser les populations de cicadelles vectrices (Flavescence Bourgogne).
  2. L'agriculture biodynamique représente une démarche globale et non pas seulement une technique agricole. Initiée par Rudolf Steiner en 1924, elle soutient le développement d'organismes agricoles individualisés insérés dans leur environnement terrestre (terroir) et cosmique, garants de santé, d'équilibre et de pérennité pour la terre, l'agriculture et l'homme (Demeter). La biodynamie est plus exigeante que l'agriculture biologique mais étonne aussi par certaines de ses techniques ésotériques qui s'appuient davantage sur des croyances mystiques que sur la science.
  3. Les viticulteurs en bio en Bourgogne représentent 13 % de la surface en vignoble. Or, 50 % des viticulteurs en bio ont été contrôlés.
  4. En juin 2013, un viticulteur bio du Vaucluse qui n'avait également pas respecté la loi a été reconnu coupable d'infraction. Mais il a été dispensé de peine après avoir accepté de reprendre les traitements phytosanitaires de son vignoble.

Sources

QUAND LE FN POURFENDAIT NELSON MANDELA LE TERRORISTE !

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Quand le FN pourfendait le «terroriste» Nelson Mandela

Dénonciation d’un «assassin» qui a «ruiné son pays», présentation de l’apartheid comme une «utopie», rébellion contre les sanctions économiques…

Si Marine Le Pen a salué «une grande voix de l’Afrique», le discours tenu par son parti un quart de siècle plus tôt était tout autre.

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«Avec la mort de Nelson Mandela, c’est une grande voix de l’Afrique qui s’éteint.» La présidente du FN Marine Le Pen a salué, vendredi 6 décembre, la mémoire du héros de la lutte contre l’apartheid, disparu la veille à l’âge de 95 ans, dont elle estime que, «par patriotisme et par amour de son peuple», il a «réussi à sortir son pays de la guerre civile en le préservant des déchirures», remportant une «victoire sur la division, la haine et la revanche».


Interrogée sur France Inter, fin juin, au début de l’agonie du prix Nobel de la paix 1993, la députée européenne avait déjà salué une «figure d’apaisement» qui a permis la sortie d’«un système évidemment profondément contestable, condamnable et injuste». Une déclaration qui avait provoqué un incident avec l’animateur Patrick Cohen, qui avait rappelé les positions beaucoup plus ambiguës de Jean-Marie Le Pen sur le sujet, s’attirant en retour le qualificatif de «Radio Bolcho».



 

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Car le FN a, dans le passé, tenu des propos très durs sur Nelson Mandela. En janvier 2002, Jean-Marie Le Pen, alors en pleine dédiabolisation présidentielle, avait certes expliqué tenir «en estime» l’ancien président sud-africain pour sa «grande capacité à établir la paix et la réconciliation entre les Africains du Sud»Il avait même tenté, en vain, d’organiser une rencontre –qui avait avorté, officiellement, selon le FN, pour des «raisons de calendrier», Marine Le Pen avançant elle aujourd’hui l’hypothèse de pressions de Jacques Chirac.

Mais son parti tenait encore un discours très dur sur le leader sud-africain dans son programme:

«Alors que nos dirigeants ne cessent de donner aux Français des leçons “d’antiracisme”, nous avons soutenu l’accession au pouvoir de Nelson Mandela en Afrique du Sud, puis son successeur, qui sont en train de ruiner le pays en provoquant l’exode des Blancs.»

«Ni ému, ni ravi» par sa libération

Cinq ans plus tôt, Bruno Mégret, qui faisait alors encore partie du FN, avait lui fait débaptiser dans sa ville de Vitrolles les rues Nelson-Mandela et Dulcie-September. 

Cette dernière, une militante anti-apartheid, avait été abattue à Paris en 1988 en pleine campagne présidentielle, suscitant la réprobation du gouvernement de cohabitation tandis que Le Pen parlait d’un «règlement de comptes entre terroristes».

Au moment de la libération de Mandela, le dirigeant frontiste estimait que «le système de l’apartheid était un système de développement séparé. Peut-être était-ce une utopie».

 Il expliquait également à L’Heure de vérité que l’évènement ne l’avait «ni ému, ni ravi», en raison d’«une espèce de méfiance à l’égard des terroristes quel que soit le niveau auquel ils se situent».

Déjà, en 1985, il se plaignait dans son livre La France est de retour que «la conscience universelle [soit] mobilisée contre l’Afrique du Sud sous prétexte que les noirs n’auraient pas le droit de vote, alors qu’il s’agit, personne ne le nie, du pays où le niveau de vie des noirs est le plus élevé d’Afrique».

Des propos ni ponctuels, donc, ni isolés à la tête d’un parti pour qui le régime de Pretoria a longtemps incarné un rempart contre l’expansion communiste en Afrique australe (Mozambique, Angola…).

En juin 1986, National-Hebdo, le magazine du FN, écrivait ainsi que «la revendication symbole de la lutte anti-apartheid est la libération de Nelson Mandela, militant communiste et terroriste.

[...] Mandela le bolchévique balaiera Tutu-menchévique quand l’évêque aura fini d’être utile».

«Masquer l’échec du marxisme en Afrique»

En ce milieu des années 1980 où la libération de Nelson Mandela et la fin de l’apartheid devenaient des causes mondiales, on trouvait d’autres propos similaires dans la bouche de dirigeants du FN (dont beaucoup sont depuis disparus ou ont quitté le parti).

Y compris dans des hémicycles, celui du Parlement européen, après le succès des élections de 1984, ou de l’Assemblée nationale, grâce à l’introduction de la proportionnelle en 1986.

En septembre 1985, lors d’un débat sur la situation en Afrique du sud au Parlement européen, l’eurodéputé FN Olivier d’Ormesson (qui quittera le FN après l’épisode du «point de détail») dénonçait ainsi «une opération de diversion pour masquer l’échec du marxisme en Afrique».

En juin 1990, lors de la visite de Mandela, tout juste libéré, à Strasbourg, Bruno Gollnisch, actuel membre du bureau politique du FN, s’étonnait lui, au nom des eurodéputés d’extrême droite, que «le Parlement européen reçoive officiellement un homme qui refuse jusqu’ici d’abandonner la violence terroriste».

La venue de Mandela dans la capitale alsacienne sera d’ailleurs l’occasion d’un violent incident entre deux eurodéputés socialistes du Benelux et Jean-Marie Le Pen et son lieutenant Bernard Antony (qui a aujourd’hui quitté le parti), les premiers nommés demandant aux élus frontistes si le discours du leader sud-africain ne leur avait pas coupé l’appétit…

L’affaire se terminera par un crachat et une gifle.

Des dirigeants socialistes du Parlement européen s’interrogeront aussi, trois ans plus tard, sur le fait que le FN ait fait estrade commune dans certains événements avec Clive Derby-Lewis, un homme politique sud-africain condamné à la prison à vie en 1993 pour sa participation à l’assassinat d’un dirigeant de l’ANC, Chris Hani.

«Un homme qui a été arrêté pour avoir assassiné un tas de gens»

A Paris aussi, les élus FN se déchaînèrent en plusieurs occasions. En octobre 1986, lors de l’examen du budget, Edouard Frédéric-Dupont, ancien RPR brièvement passé au FN, lançait ainsi:

«La libération de Mandela est une obsession dans certains pays. Mais c’est le plus grand terroriste du monde!

C’est un homme qui a été arrêté pour avoir assassiné un tas de gens. M. Mandela a même dit que si on le libérait, il recommencerait!»

En novembre 1987, son collègue Jean-Pierre Stirbois s’insurgeait lui contre l’embargo envers l’Afrique du Sud, qui empêchait Dassault d’y vendre ses avions:

«Vaut-il mieux vendre des Mirage à un pays qui s’engagea pour défendre nos libertés pendant les deux guerres mondiales au prix de milliers de morts et conserver l’emploi à des centaines de travailleurs français, ou vaut-il mieux vendre des armes en touchant des pots-de-vin pour son parti à un pays ennemi, responsable de la mort et de la prise en otages de citoyens français?»

La même année, Stirbois avait tenté de faire voter un amendement punissant, au titre de la loi de 1881, l’apologie par la presse des «atroces attentats commis par l’ANC en Afrique du Sud par le supplice du collier».

 Et avait alors raconté dans l’hémicycle sa rencontre avec le président sud-africain Piers Willem Botha:

«Le 11 novembre 1986, [...] j’étais en Picardie dans un petit village qui s’appelle Longueval. Pourquoi? Parce que, ce jour-là, un chef d’Etat d’un grand pays déposait une gerbe à la mémoire des 16.000 de ses compatriotes qui étaient venus défendre nos libertés en 1914 et qui avaient péri en cette occasion. Je me suis rendu compte qu ‘il y avait ce jour-là certes des députés mais qu’il s’agissait exclusivement de députés du Front national

Stirbois était à l’époque membre du groupe d’amitié parlementaire France-Afrique du Sud, qui organisa en juillet 1987, comme le rappelle Politis, un voyage d’études très contesté en Afrique du Sud, alors que l’arrestation là-bas d’un coopérant français accusé d’être un «porteur de valises» de l’ANC, Pierre-André Albertini, avait tendu les relations entre Paris et Pretoria.

«Il faut aller voir là-bas, messieurs! Il ne suffit pas de lire la Pravda pour savoir ce qui se passe en Afrique du Sud! [...] Une expérience unique est en train de se dérouler sous nos yeux, la création d’un véritable Etat multiracial… [...] Soweto, c’est une ville comme certains corons du Nord avec des petites maisons, des moyennes et des plus riches…», s’exclamera quelques semaines plus tard le député FN Jean-Pierre Schenardi, membre d’une délégation où l’on comptait également Bruno Gollnisch.

Le propos le plus polémique n’était cependant pas venu du FN, mais du député RPR Jean Kiffer, qui avait déclaré à son retour en France que l’apartheid n’«existait plus et que la paix et la sécurité régnaient».

Car à l’époque, les déclarations sulfureuses sur Mandela n’émanaient pas que de l’extrême droite, mais aussi de l’aile la plus conservatrice de la droite.

 

Symbolisée, par exemple, par Jacques Médecin, maire apparenté RPR de Nice, qui jumela sa commune avec le Cap au milieu des années 1960 et écrivit, quelques années avant de mourir en exil en Uruguay, que Mandela et Desmond Tutu auraient dû recevoir «le prix Nobel de la haine».

Jean-Marie Pottier

Source :  Slate.fr

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GRAND BLEU, GRAND FROID DANS LE GRAND NORD......

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Une Russe nage nue avec des bélugas sous la glace

 Quand le Grand bleu rencontre le Grand froid dans le Grand Nord. 

Ce reportage, réalisé en 2011, revient sur l’exploit extraordinaire de l’apnéiste russe Natalia Avseenko, et a été mis en ligne dans sa version russe en 2013 sur le site de partage de vidéo Youtube.

Cette jeune athlète, âgée à l’époque de 36 ans, a littéralement donné son corps à la science en acceptant de participer à une expérience scientifique dans le but d’approcher, puis d’apprivoiser les célèbres bélugas, ces baleines blanches qui peuplent notamment les eaux glacées de la mer Blanche.

femme nue arctique béluga

Photo prise par Viktor Lyagushkin, qui a accompagné Natalia dans son exploit

Mais avait-elle réellement besoin de se mettre nue ?

“Oui”, ont répondu les experts marins, d’après le quotidien anglais Daily Mail, qui a été un des premiers a traité l’exploit. Selon eux, les bélugas ne supportent pas d’être en contact avec des matériaux artificiels tels que des combinaisons de plongée.

Une baignade qui n’est cependant pas à la portée de tout un chacun.  

Un individu moyen sans combinaison adéquate survivrait tout au plus cinq minutes dans les eaux glaciales de l’Arctique, souligne le Daily. Natalia, en plus d’être l’une des plus grandes apnéistes du monde, est également une experte en yoga et techniques de méditation et respiration : elle est à même de retenir son souffle dans une mer inférieure à zéro degré durant dix minutes et quarante secondes – un record absolu.

A l’en croire, nager avec des bélugas dans leur milieu naturel avait toujours été un rêve pour elle, et plusieurs mois de préparation ont été indispensables avant de le réaliser.

bélugas femme

Viktor Lyagushkin

Outre ces images incroyables, il est tout de même nécessaire de préciser que le but de l’action n’est pas seulement de montrer une femme nageant d’égal à égal avec des bélugas, mais de dompter ces cétacés afin de les capturer puis les envoyer dans des aquariums du monde entier. 

Le béluga est en effet l’une des rares espèces de cétacés que l’on rencontre dans les aquariums d’Occident.

Leur popularité est en grande partie due à leur couleur caractéristique et à leurs mimiques faciales.

Leur population à l’état sauvage est estimée à 100 mille individus.

Le film original a été réalisé par Natalia Ouglitskikh, cette version sous-titrée en français est proposée d’après La sirène des bélugas,  de Claude Lenoir.

Nue femme bélugas

Viktor Lyagushkin

Source :   http://www.lecourrierderussie.com/2013/12/05/russe-nue-belugas-glace/

 

LE RAPPORT PISA ......PAS GRAVE ???

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La France championne … du

décrochage

Classement PISA

Méfiez-vous quand on vous dit que ce n’est pas si grave que cela. Le classement international PISA vient de tomber.

Pour la France, c’est non seulement une chute mais aussi une dégradation générale.

Tous les élèves sont touchés.

Sur les 65 pays participants, 25 connaissent une amélioration des performances de leurs élèves, 25 restent stables et 15 voient leurs résultats reculer.

Parmi ces derniers, la France.

En 2003, la proportion des élèves de 15 ans très performants à l’évaluation PISA était légèrement au-dessus de la moyenne de l’OCDE, ils ne sont maintenant plus que dans la moyenne de l’OCDE. Eh oui, même si les journaux ont oublié d’en parler, ces faits sont pourtant dans les premières lignes du rapport PISA rendu public dans le monde entier ce 3 décembre.

Traiter le malaise en diffusant les méthodes efficaces partout

Notre école est malade. Pour la soigner, une cure existe.

Il suffit d’aller regarder ailleurs. Ce n’est plus un secret. Les pays qui arrivent à faire réussir tous leurs élèves sont les pays qui emploient des méthodes efficaces, c’est-à-dire des pays qui recommandent à leurs enseignants d’employer telle ou telle méthode.

Non seulement, dans ces pays les ministères de l’Éducation se prononcent, mais ils font mieux encore : ils diffusent ces méthodes, les recommandent et poussent les professeurs à travailler en réseau pour échanger leurs trucs et astuces.

Une telle posture des départements éducatifs des différents pays qui sont devenus des puissances éducatives n’entament en rien la liberté pédagogique, les enseignants sont libres dans leur classe seulement ils connaissent les méthodes qui sont plébiscitées par leurs collègues les plus performants, ceux qui obtiennent de bons résultats avec leurs élèves.

Faire connaître les méthodes efficaces aux enseignants évite de les laisser patauger, d’essuyer des échecs et de tout réinventer alors que d’autres ont déjà fait le chemin. C’est ce gâchis, à l’origine du malaise enseignant français, qui pourrait être évité. Cela permettrait aux enseignants du primaire de ne plus redouter une rentrée des classes, quand ils sont en charge d’un CP, avec le défi à relever : avoir réussi à transmettre correctement la maîtrise de la lecture et de l’écriture à tous les élèves, avant la fin de l’année.

Cela permettrait aussi à des élèves de redécouvrir les joies de l’utilisation du boulier en classe, un objet ludique qui permet à tous les pays asiatiques de confisquer les premières places du classement international PISA. Mettre des bouliers dans les classes ne coûte rien. Donner un iPAD et autre tablette à chaque élève, c’est la ruine de l’Éducation nationale et une ruine pas seulement pécuniaire !

Le talon d’Achille de la France

L’enquête PISA, nous révèle que le système éducatif français est plus inégalitaire en 2012 qu’il y a 9 ans. Dans le rapport PISA 2012, on peut lire : « en France, les élèves issus d’un milieu socio-économique défavorisé n’obtiennent pas seulement des résultats nettement inférieurs, ils sont aussi moins impliqués, moins attachés à leur école, moins persévérants [...] par rapport à la moyenne des pays de l’OCDE. »

Il faut certainement plus de moyens humains à certains endroits, ne serait-ce que pour pouvoir gérer des groupes de niveau. Mais attention si l’on accepte de mettre “plus de maîtres que de classes”, dans les écoles où les enfants sont très éloignés de la langue, il faut que cet effort financier demandé à la nation toute entière paye.

Or pour qu’il paye, il faut qualifier le “plus de maîtres que de classes”. Il ne faut pas un enseignant en plus. Il faut un référent mathématiques, un référent lecture qui soit responsable des résultats des élèves dans toutes les classes. Ce référent doit avoir l’autorisation de pouvoir transformer les méthodes utilisées dans les classes, il doit pouvoir entrer dans les classes, il doit pouvoir conseiller et guider les enseignants.


Une mesure aussi importante que celle du “plus de maîtres que de classes” doit être pensée, ce maître ne doit pas tomber du ciel et devoir lutter pour être reconnu au sein de l’établissement, il doit au contraire avoir une lettre de mission et que cette lettre de mission soit connue de tous les enseignants de l’établissement qui vont devoir travailler avec lui pour trouver des solutions.

Olivia Millioz et Paola Carruolo
 
publié le 6 décembre 2013http://www.soseducation.org/le-petit-reporter/061213/la-france-championne-du-decrochage.php?utm_source=mail_061213&utm_medium=lien_simple&utm_campaign=newsletter&IdTis=XTC-FZHX-FUW7EN-DD-AJ70O-G02



EMPLOIS ET FONDS DE PENSION: D' ACCORD, PAS D' ACCORD ???

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France, l’impact des fonds de pension sur l’emploi

Environ 300.000 emplois pourraient être créés

en 3 ans

La vraie réforme des retraites est le passage à la capitalisation. L’IREF en a calculé les performances chiffrées : des retraites d’un montant supérieur au dernier salaire perçu.

C’est ce vers quoi se sont orientés la plupart des pays européens, comme les Pays-Bas.

Mais la retraite par capitalisation est gérée par les fonds de pension qui créent des emplois car ils investissent dans les entreprises et l’immobilier.

L’IREF a calculé ce que les fonds de pension pourraient apporter à la France en termes d’emplois.

• Si les fonds de pension en France étaient aussi dynamiques qu’aux Pays-Bas, investissant alors près de 4 milliards de dollars par an, ils permettraient la création de 264 000 emplois sur la période 2013-2017

• Si des fonds de pension participaient à des investissements à hauteur de 1 milliard d’euros par an, cela représenterait la création de 88 000 emplois à horizon 2017, c’est-à-dire une baisse de plus de 2% du chômage.

• Un emploi créé par des fonds de pension en France coûterait 2 fois moins cher qu’un emploi d’avenir !

La dégradation de la note souveraine de la France par Standard & Poors fait écho au recul du pays dans le classement Doing Business 2013.

Ces deux événements traduisent en réalité un même phénomène : la méfiance des investisseurs à l’égard d’une économie morose.

Dans ce contexte, les expériences américaine et néerlandaise apportent une solution simple, bien qu’inattendue, qui consiste à orienter les investissements des fonds de pension vers l’économie réelle, et en particulier à destination des secteurs les plus touchés par la crise.

Sommaire

>Les stratégies gagnant-gagnant des fonds de pensions américains et néerlandais

>Investissements immobiliers des fonds de pension : perspective française

>Références


Les stratégies gagnant-gagnant des fonds de pensions américains et néerlandais

L’objectif principal des fonds de pension est d’offrir la plus grande rentabilité à leurs épargnants pour un minimum de risques.

L’avantage de ces fonds réside dans leur effet de « taille » qui leur permet de constituer des portefeuilles complexes dans lequel le risque de chaque actif est atténué par l’ensemble des autres actifs du portefeuille.

Aussi, il n’est surprenant que les fonds de pension orientent la plus grande partie de leurs capitaux vers des placements financiers, souvent très structurés, ce qui contribue grandement à détériorer leur image et à provoquer la suspicion des détracteurs de la finance.

Pourtant, à y regarder de plus près, il semblerait que cette conclusion soit à nuancer.

En effet, aux Etats-Unis tout comme aux Pays-Bas, deux des nations accueillant les plus gros fonds de pension au monde, une part des placements de ces fonds bénéficie directement au secteur réel sans pour autant perdre de rentabilité.

Aux Pays-Bas, les actifs des fonds de pension représentent 160 % du PIB, aux Etats-Unis, 75 % du PIB contre …0.33 % du PIB en France.

Actifs des fonds de pension (en % du PIB)
FRANCEPAYS-BASETATS-UNIS
0.33 %160 %75 %
OCDE, 2012

Ces investissements, appelés ETI (Economically Targeted Investments) remplissent un triple objectif : générer un rendement élevé pour les épargnants, faciliter la création d’emplois et promouvoir le développement durable.

Ils peuvent prendre la forme de participation à un trust, de rachat des dettes de grandes et moyennes entreprises ou encore d’investissement direct dans un projet économique précis. Majoritairement, ces investissements se font à destination du secteur de la construction immobilière, et plus particulièrement de la construction de logements pour les revenus modérés.

Bien que les investissements immobiliers ne représentent qu’une part minime du capital total des fonds de pension, leurs effets sur le secteur réel demeurent substantiels.
Ainsi, sur la période 1995-2011, les fonds de pension américains ont investi 1,22 milliards de dollars par an dans la construction de logements à loyers modérés et les investissements dans le secteur réel ont représenté 4 milliards de dollars par an pour les fonds de pension néerlandais.
La part de ces investissements dans le total des actifs des fonds de pensions s’élève à moins de 0,004%, ce qui démontre clairement le potentiel productif de ces fonds, si leurs investissements venaient à être favorisés par les pouvoirs publics.

L’exemple américain est le seul à avoir fait l’objet de statistiques. Durant l’année 2011, certains fonds ont utilisés leurs capitaux pour relancer l’activité de territoire en récession.

Ainsi, à San Francisco, le fonds ALF-CIO Housing Investment Trust a permis d’embaucher 270 ouvriers du bâtiment pour construire des logements à destinations des ménages les plus pauvres de la région.

De même, le Building Investment Trust a investi 353 millions de dollars dans le Maryland pour développer le complexe de locaux commerciaux « Ritchie Station Marketplace », ce qui a permis d’embaucher 1000 personnes dans le secteur de la construction.

Investissements immobiliers des fonds de pension : perspective française

Sur la période 1995-2011, les fonds de pension américains ont investi, directement, près de 21 milliards de dollars dans l’immobilier résidentiel, permettant ainsi l’embauche de plus de 161 000 ouvriers et employés dans le secteur immobilier.

Investissements immobiliers des fonds de pension (en milliards de dollars)
et effet direct sur l’emploi


PNG - 22.4 ko

Sources : Wasser (2011), Zelinsky (2009). Calculs P&J Conseils, IREF.

A la lumière de ces chiffres américains, il apparaît que l’activité des fonds de pension pourrait avoir un impact remarquable sur l’économie française.

En effet, en France, le secteur immobilier est très tendu tout en représentant une part non négligeable de l’activité totale : 14% du PIB et 8% de l’emploi.

Aussi, une croissance de 10% des investissements immobiliers entraine une hausse de 0,3 point de croissance.

Or, les études du NBER ont démontré que dans le cas français, une hausse de 1 point de croissance entraine une augmentation de 0,57% de l’emploi. A partir de ces statistiques, il est possible de chiffrer, approximativement, l’effet qu’auraient les fonds de pension s’ils pouvaient investir autant en France qu’aux Etats-Unis ou aux Pays-Bas.

L’investissement immobilier s’élève à 217 milliards d’euros en France.

Si des fonds de pension participaient à cet investissement à hauteur de 1 milliard par an (à peine plus qu’aux Etats-Unis mais 4 fois moins qu’aux Pays-Bas), cela représenterait une hausse de 0,02% soit une augmentation de 0,006 point de croissance.

L’effet peut paraître infime, mais cela représente alors 0,003% d’emplois en plus, soit la création de 88 000 emplois à horizon 2017, c’est-à-dire une baisse de plus de 2% du chômage.

De même, si les fonds de pension en France étaient aussi dynamiques qu’aux Pays-Bas, investissant alors près de 4 milliards de dollars par an, ils permettraient la création de 264 000 emplois sur la période 2013-2017, c’est-à-dire qu’ils seraient responsables d’une baisse de plus de 6% du chômage.

Enfin, comme le montre l’exemple néerlandais, l’influence des fonds de pensions sur des secteurs aussi rigides que l’immobilier est aussi positive à long terme. En effet, au cours des 20 dernières années, l’emploi dans le secteur de la construction a baissé de 8% en France, alors qu’il augmentait de 20% aux Pays-Bas.

Alors que le coût de la création de 150 000 emplois d’avenir est estimé à 3.45 mds d’euros, les fonds de pension pourraient créer en France de – vrais - emplois à un coût d’environ 11 400 euros/emploi contre 23 000 pour un emploi d’avenir !

Ainsi, il apparaît clairement qu’en période de dette publique importante, nécessitant de restreindre les dépenses mais aussi d’augmenter les prélèvements, les investissements de fonds de pension, dirigés vers les secteurs en crise, représentent une alternative favorable aussi bien à la reprise économique de moyen terme qu’à la création d’emplois à court terme.

En replaçant la question des fonds de pension dans une perspective de cycle politique, il apparaît que la libre entrée des fonds de pension en France, dès la fin 2013, garantirait une création nette d’emplois en 2017, et accroîtrait dans le même temps la flexibilité du marché immobilier.

En d’autres termes, l’investissement de ces fonds permettrait de réellement renverser la courbe du chômage avant la fin du l’actuel mandat présidentiel.

Novembre 2013. Etude réalisée par l’IREF (Nicolas Lecaussin et Lucas Léger) en collaboration avec le cabinet P & J Conseil.

Références

Antipa, P., & Schlalck, C. (2010). Impact of Fiscal Policy on Residential Investment in France. Dans O. De Brandt, T. Knetsch, J. Penalosa, & F. Zollio, Housing Markets in Europe (pp. 385-406). Berlin : Springer Berlin Heidelberg.
Boivie, L., & Almeida, B. (2009). Pensionomics : Measuring the economic impact of state and local pension plans. Washington DC : National Institute on Retirement Security.
Bouveret, et al. (2010). L’évolution du marché immobilier en France. Economie et Prévision , 2 (193).
Egebo, T., Richardson, P., & Lienert, I. (1990). Model of Housing Investment for the Major OECD Economie. 14.
Kapsos, S. (2005). The employment intensity of growth : trends and macroeconomic determinants. Employment Stategy Papers .
OECD. (2013, October). Annual Survey of Large Pension Funds and Public Pension Reserve Funds : Report on pension funds’ long terme investments. OECD.
Wasser, M. (2011, March). Creating Good Jobs for Our Communities : Pension Dollars at Work. Americain Rights at Work Education Funds , pp. 1-6.
Zelinsky, E. (2009). Interpretive bulletin 08-1 and economically targeted investing : A missed opportunity. Southeran California Law Review , 82, 11-18.

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Source et publication   http://fr.irefeurope.org/France-l-impact-des-fonds-de-pension-sur-l-emploi,a2697
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