Quantcast
Channel: JEAN-MARIE LEBRAUD
Viewing all 5649 articles
Browse latest View live

EN SYRIE ON MASSACRE DANS L' INDIFFÉRENCE GÉNÉRALE !!!

$
0
0

Le plus grand massacre de Chrétiens en Syrie s’est déroulé dans l’indifférence générale

Posted On 24 nov 2013
By : 
 

img-1

Hommes, femmes et enfants torturés à mort, charniers, églises détruites : l’un des plus grands massacres de Chrétiens en Syrie a été récemment perpétré par les « rebelles » jihadistes, soutenus par l’Administration Obama et l’UE.

 

Les médias sont restés silencieux à leur habitude.

Ci-dessus, la photo de trois membres d’une famille, torturés à mort, puis jetés dans un puits par les terroristes islamiques opposés à Bashar al Assad.

 

Ce massacre d’innocents, à cause de leur foi, a eu lieu à Sadad, une très ancienne petite ville chrétienne syriaque-orthodoxe, si ancienne qu’elle est même mentionnée dans l’Ancien Testament. La plupart des habitants de la région sont pauvres, la petite ville étant située dans une zone désertique entre Homs et Damas.

Fin octobre, «  les forces de l’opposition » des islamistes « modérés », soutenues par les USA et l’UE, envahirent et occupèrent la petite ville durant une semaine, avant d’être expulsées par l’armée syrienne.

Quarante-cinq Chrétiens, hommes, femmes et enfants furent tués, certains atrocement torturés à mort. Les 14 églises de Sadad, dont certaines très anciennes, furent pillées et détruites.

Les corps de 6 personnes appartenant à la même famille furent retrouvés au fond d’un puits, un sort tragique, de plus en plus souvent réservé à ces « sous-humains » de « Chrétiens » par les combattants d’Allah.

Les jihadistes tournèrent une vidéo sous-titrée en anglais des personnes qu’ils massacrèrent sans pitié en hurlant leur cri de victoire islamique « Allahu Akbar» (ce que l’ignare de John McCain a comparé au « Thank God » chrétien) :

Une autre vidéo, tournée après la libération de la ville, montre d’autres atrocités graphiques :

« Ce qui s’est passé à Sadad constitue le plus grave et le plus important massacre de Chrétiens ayant eu lieu en Syrie depuis deux ans et demi … » C’est en ces mots que s’exprima l’Archevêque Selwanos Boutros Alnemeh, métropolite syro-orthodoxe d’Homs et Hama.

Quarante-cinq civils innocents furent martyrisés sans raison, dont plusieurs femmes et enfants, et nombre d’entre eux furent ensuite jetés dans des fosses communes.

D’autres civils furent menacés et terrorisés.

Trente personnes furent blessées et dix portées disparues. Pendant une semaine interminable, 1500 familles furent prises en otages et utilisées comme boucliers humains. Parmi elles, des enfants, des personnes âgées, des jeunes gens et jeunes filles.

Toutes les maisons furent pillées et les propriétés détruites.

Les églises furent vandalisées et désacralisées, des livres anciens détruits, ainsi que des meubles précieux… recouvertes de graffitis hostiles au christianisme.

Ce qui s’est passé à Sadat est le plus grand massacre de Chrétiens en Syrie, le second au Moyen Orient, après le terrible attentat perpétré en Irak en 2010 dans l’Eglise de Notre Dame du Salut, au cours duquel des jihadistes, liés à al-Qaïda, prirent d’assaut l’église pendant la messe et tuèrent 60 Chrétiens.

Sur des graffitis, écrits sur une église par les extrémistes qui attaquèrent l’église St Théodore à Sadad, on peut lire : « Dieu est grand (Allahu Akbar) – Al Nasra (Gabhet Al Nasra) et les petits-fils du prophète (Ahfad Al Rasul) »

Le massacre de Sadat n’est que la pointe de l’iceberg

La persécution subie par les Chrétiens en Syrie depuis le début de la guerre est effrayante : décapitations, églises bombardées, enlèvements, viols, déplacements de centaines de milliers de Chrétiens.

Un mois avant Sadad, un autre ville chrétienne, Mal’loula, l’une des rares villes où l’on parle encore l’Araméen, la langue du Christ, fut assiégée par les jihadistes, ses églises détruites et pillées, ses habitants forcés de se convertir à l’islam ou mourir.

Eglise de Sadad

Eglise de Sadad

Religion de paix, continuent à nous susurrer nos islamophiles, christianophobes ravis de voir la déferlante islamique s’abattre sur nos pays  « rances et moisis » par les valeurs de la civilisation judéo-chrétienne.

Voici les dernières paroles d’un Chrétien qui refusa de vendre son âme au dieu islamique, furent : « Je suis Chrétien et si vous voulez me tuer à cause de ma foi en Christ, je n’y vois aucune objection. »

Nous avons appelé au secours, mais personne ne nous a écoutés

L’Archevêque conclut son cri du coeur en déclarant :

« Nous avons appelé au secours, mais personne ne nous a écoutés. Où est la conscience chrétienne ? Où est la conscience humaine ? Où sont mes frères ? Je pense à toutes les personnes souffrantes, qui se trouvent aujourd’hui dans le deuil et dans la gêne : j’ai la gorge nouée et mon cœur saigne pour ce qui est arrivé dans mon archidiocèse.

Quel sera notre avenir ? Nous demandons à tous de prier pour nous ».

Quel média officiel aurait le cran de faire son travail d’information, objectivement, sans craindre de se faire traiter de raciste, d’islamophobe, de fasciste, en publiant ce cri de révolte, le récit de cette ville martyre, afin de rendre hommage aux victimes innocentes des « rebelles » syriens, ces criminels jihadistes, encouragés, soutenus par la classe politique et les philosophes de salon ?

Serge Trifkovic* originaire d’une région européenne particulièrement familière avec les « joies » du jihad islamique, répondit à l’Archevêque comme suit :

«Il est maintenant un fait bien établi, que cette non-conscience humaine se trouve à la Maison Blanche et dans les bureaux d’édition des médias occidentaux « mainstream ».

  Essayez de rechercher « Sadad » (ou Saddad) sur le site internet du Département d’Etat, ou celui du NY Times, de CNN, de la BBC, de la RTF, ou des organisations de défense des Droits de l’Homme, des ONG, etc.

Le problème, apparemment ignoré par l’Archevêque, ne réside plus dans l’indifférence de l’élite occidentale envers la disparition imminente du christianisme dans les terres de sa naissance, mais dans sa contribution active à ce génocide, en cours. Chypre (1974) et les Balkans (1991-1999), servirent de terrain d’essai, l’Irak (2003 à nos jours) en est la preuve concluante.

En Syrie, l’administration Obama reste déterminée à soutenir les « rebelles » – (seulement les «modérés», comme les assassins de Chrétiens, l’armée libre syrienne.)

En voyant l’une des vidéos arabes tournée après le massacre de Sadad et montrant les corps mutilés des membres d’une même famille, retirés du puits où ils furent jetés après avoir été torturés et tués par les jihadistes, un parent de la malheureuse famille, les yeux remplis de larmes, déclara :

«Ce que j’avais de plus précieux dans l’univers, ma famille, n’est plus, je suis maintenant seul, mais grâce à Dieu, je suis entouré de gens de cœur, épris de paix et qui ont décidé de rester, malgré les dangers. »

«J’aimerais dire aux jihadistes : « retrouvez vos esprits. » Les problèmes du monde ne peuvent être résolus que par l’intelligence et la connaissance. Assez de folie. Les gens sont à bout de nerfs. Assez, assez, retrouvez vos esprits ; vous les gens, vous les humains, retournez à votre humanité, assez de crimes. »

Rosaly : les jihadistes exultent de joie en massacrant des innocents et rendent gloire à leur divinité lunaire en hurlant Allahu akbar.

Le Chrétien, dont la famille a été décimée par les fous d’Allah, leur demande tout simplement de retrouver l’infime parcelle d’humanité qui sommeille peut-être en eux. Là est toute la différence.

Comme un signe des temps, c’est un Syrien, un oriental, qui évoque le rationalisme et l’humanité, des valeurs de la civilisation judéo-chrétienne, alors que l’Occident post chrétien est gouverné par la propagande, l’émotivité, le sensationnalisme, l’endoctrinement insensé, le tout dans l’aveuglement le plus complet.

Rosaly : serait-ce là l’avenir des Chrétiens d’Occident, si les Musulmans devenaient un jour majoritaires dans nos pays et instauraient la loi maléfique d’Allah ?

Le refus des élites occidentales, de protéger leurs peuples, leurs nations contre les futurs jihadistes de la cinquième colonne, momentanément déguisés en agneaux, constitue la plus grande trahison de notre histoire.

 

*Mr Trifkovic, historien, journaliste et analyste politique est l’auteur de : The Sword of the Prophet: History, Theology, Impact on the World* ainsi que Defeating Jihad: How the War on Terrorism Can Be Won – in Spite of Ourselves*.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source : Largest Massacre of Christians in Syria Ignored”by Raymond Ibrahim (traduit, adapté et commenté par Rosaly)

 

 

- See more at: http://www.dreuz.info/2013/11/le-plus-grand-massacre-de-chretiens-en-syrie-se-deroule-dans-lindifference-generale/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29#sthash.OGJEqKe9.dpuf


IMMIGRATION ET JOURNALISME ! ENQUÊTE ! ( TÉLÉRAMA )

$
0
0

 

REVUE DE PRESSE !

 

Immigration clandestine : les journalistes de “Zone interdite” sont-ils allés trop loin ?

 

ENQUÊTE | Des journalistes français auraient organisé le voyage de clandestins de la Libye vers l'Europe.

 

Enquête sur les zones d'ombre d'un reportage controversé.

 

Le 23/11/2013 à 00h00- Mis à jour le 25/11/2013 à 11h09 

 


Emmanuelle Anizon et Marie-Hélène Soenen - Télérama n° 3332

© Tony Comiti Production / Capture d'écran

© Tony Comiti Production / Capture d'écran

Mise à jour 22 novembre : Cet article publié mercredi 20 novembre dans Télérama a fait réagir dans de nombreux médias. 
Interrogé sur Europe 1, Tony Comiti a réfuté qu'un de ses proches ait conseillé aux trois clandestins de prendre chacun de 5 000 à 7 000 euros en échange de leur silence. « C'est de la diffamation pure ! ». C'est pourtant vrai. Nous maintenons d'autant plus ces affirmations que avons écouté l'enregistrement sonore de cette conversation.
Tony Comiti a par ailleurs affirmé que le fait de déposer plainte permettait aux clandestins de rester en France le temps que la justice fasse son travail, et que beaucoup utilisent cette « stratégie »« C'est faux, s'insurge Jérémie Assous, leur avocat. Cette plainte ne leur confère aucun droit à rester sur le territoire français ».
Une réalité qui renforce évidemment la thèse d'Emile, Elie et Joseph, lorsqu'il expliquent simplement vouloir qu'on leur « rende justice ». E.A. et M.H.S.

 

Vous le verrez peut-être, ce dimanche 24 novembre 2013 : le reportage est saisissant.

D'abord parce que trois migrants sont filmés au plus près, dans leur périple du Sud libyen jusqu'à Paris, notamment leur effroyable traversée de la Méditerranée.

Saisissante aussi cette voix off qui, lorsque les clandestins espèrent monter enfin dans un train pour la France, prononce ces mots : « Des liens se sont tissés. Devant leur détresse, nous avons décidé de prendre en charge leurs billets. »

Etonnant que des journalistes avouent enfreindre deux lois : celle de leur profession, en modifiant volontairement le cours de l'histoire qu'ils filment ; celle de leur pays, en finançant l'entrée illégale de clandestins en France.

Non seulement ils le font, mais surtout ils le disent.

Ils y ont été un peu obligés : lesdits billets sont aujourd'hui des preuves à charge déposées par les Camerounais dans le bureau de l'avocat Jérémie Assous.

Car, à peine arrivés à Paris, Elie, Joseph et Emile se sont retournés contre leurs « bienfaiteurs », comme l'a révéléLe Nouvel Observateur, et ont déposé plainte contre X pour « aide […] à l'entrée et au séjour irrégulier, soumission à des conditions de travail et d'hébergement contraires à la dignité humaine, risques causés à autrui, omission de porter secours et escroquerie. »

Le départ/les promesses

Sud libyen. Veille de Noël 2012. A Mourzouq, « ville étape pour de nombreux clandestins qui cherchent à se refaire une santé financière », les reporters Paul Comiti et Olivier Azpitarte chargent leur contact de trouver des candidats à l'immigration fiables, francophones.

On leur amène Elie, grand gaillard posé de 24 ans, Emile, 19 ans, son jeune protégé, et le flamboyant Joseph, fervent catholique de 28 ans, adepte de belles chaussures et de high-tech.

Trois Camerounais échoués ici un peu par hasard, depuis plusieurs années.

 

Joseph, avant son départ de Libye, exposait ses riche

Joseph, avant son départ de Libye, exposait ses richesses sur son compte Facebook.

Le reportage ne le précise pas, mais ils gagnent correctement leur vie sur des chantiers.

Et pourtant, ils acceptent ce départ précipité. En deux jours, Joseph tente de vendre ses iPad, téléphone et ordinateur, et Elie de céder le (minuscule) salon de coiffure qu'il vient juste d'ouvrir.

Pourquoi ? Bien sûr, la vie à Mourzouq est difficile : le racisme des Libyens est étouffant, la menace de racket permanente, la guerre bruit encore.

Bien sûr, la France fait rêver. « Y a de grands immeubles, les Champs-Elysées, du travail, tout ce que je veux », s'enthousiasme Emile face caméra.

 

Mais traverser la Libye jusqu'en Europe coûte jusqu'à 10 000 euros et de longs mois d'avancée périlleuse aux mains de passeurs souvent tortionnaires.

Pour Benoît Hazard, anthropologue spécialiste des migrations africaines en Europe, le choix de ce parcours par des Camerounais (Africains de l'Ouest, donc) « ne paraît pas très réaliste ».

Ils privilégient des filières moins dangereuses, comme le Maroc.

La plupart des Africains qui osent cette terrible traversée jusqu'à Lampedusa sont anglophones, beaucoup viennent d'Érythrée et de Somalie. « Emile, Elie et  Joseph n'ont pas hésité parce qu'ils rêvent tous de partir, et que la présence de journalistes leur assure plus de sécurité », explique Olivier Azpitarte. « On a tout abandonné parce qu'ils nous ont promis des papiers, du travail, un logement en France »,réplique de son côté le trio : « Ils nous ont dit que le producteur avait le bras long.

Et qu'Olivier, ancien de la Légion, nous aiderait à y entrer… »

Difficile de dire qui a promis quoi, qui a fantasmé quoi.

Sur Facebook, où journalistes et clandestins ne cessent d'échanger pendant ces huit mois, Olivier Azpitarte écrit à Elie : « Et tu sais que si la Légion t'engage, tous les problèmes administratifs sont réglés. »

Les interventions sur le voyage

 

Joseph, Emile et Elie, à Paris, octobre 2013. ©

Joseph, Emile et Elie, à Paris, octobre 2013. © DR

Les journalistes ont payé les billets de train pour la France. Qu'ont-ils payé d'autre ? Presque rien, à en croire la production.

Presque tout, affirment les migrants. Le voyage a-t-il été « facilité » par compassion ou pour le rendre plus compatible avec les impératifs de tournage – notamment de temps – d'une production télé ? L'équipe espérait embarquer pour Lampedusa dès janvier.

Mais la mer démontée rejetait encore, quelques jours auparavant, des corps de naufragés.

Des gros bateaux tentent la traversée, mais ne veulent pas de caméras à bord.

 

Le tournage est repoussé au printemps, les journalistes repartent à Paris, et confient les Camerounais… à leur contact libyen, qui les héberge contre des travaux dans sa maison. Le film n'évoque pas cet épisode. Sur Facebook, les échanges montrent à quel point ce voyage n'est plus seulement celui des migrants. Tout se mélange : les trois jeunes hommes se plaignent du contact (qui les maltraite) aux journalistes, ce dernier se retourne contre la production après un incendie : « Quelqu'un doit payer […] sinon je vais faire travailler les Africains des semaines et des semaines jusqu'à ce que ça rembourse les dégâts. »

Elie, Emile et Joseph supplient les journalistes – qui attendent qu'ils aient un peu économisé – de revenir. Pour la traversée, les journalistes négocient eux-mêmes les tarifs avec les passeurs et font en sorte qu'à Lampedusa une vedette soit en alerte en cas de naufrage. En Italie, les Camerounais tournent à leur demande des images en caméra cachée (voir ci-dessous). Quand Elie envoie par texto : « Je suis enfermé au camp, pas un sou en poche, pas de téléphone pas de voiture, comment veux tu ke je trouve un appart Olive, entre nous ? », Olivier répond : « la voiture, Camille l'a. Le tel aussi ».

Camille, c'est une journaliste de 22 ans qui remplace Paul Comiti lorsque l'équipe revient, en juin, pour la traversée en mer. Le grand reporter a été écarté du tournage après semble-t-il de violentes disputes avec son producteur de père. Camille Courcy  paiera aussi les fameux billets de train. « Ne pas donner de fric, c'était l'ordre de départ. Mais en Italie on n'allait pas les laisser crever. Camille a appelé, j'ai dit on paie. J'assume », nous explique le producteur, Tony Comiti.

Au fil des épreuves, les liens se renforcent. On parle enfants, inquiétudes, projets. Paul Comiti est appelé « Papa Paul ». Olivier Azpitarte, « Capitaine ». Et Emile tombe amoureux de Camille...


Vidéo tournée dans le camp pour clandestins de Catane, en Italie

 

L’arrivée/l’atterrissage

Le 13 juillet, les caméras filment Elie et Joseph accueillis chacun (pour quelques jours ?) par un compatriote. Le désespoir du jeune Emile, que personne ne vient chercher, est poignant. Que va-t-il devenir ? On lui trouve un hébergeur d'une nuit. Le film s'arrête là. Pas la vie. Pour les désormais clandestins, les téléphones ne répondent plus facilement. Tony Comiti est en vacances en Corse. Olivier et Camille sur le départ.

« Papa Paul » accueille Emile une nuit, la production paie deux nuits d'hôtel. Mais sur Facebook, le ton change. Le 16 juillet, Olivier Azpitarte à Elie : « J'ai reçu un message d'Emile il me saoule !!! [...] Je ferai ce que j'ai dit mais pas sous la pression. » Le 17 juillet, Camille à Emile : « Ce n'est pas moi qui vous ai promis le paradis. Qu'est-ce que je peux faire pour vous de plus que ce que j'ai déjà fait ? Je n'ai ni argent, ni logement, ni influence, et une tonne de travail sur les bras [...].Surtout que j'ai complètement troué mon compte en banque pour votre voyage. »

Pour les Africains, séparés, ballottés au gré d'hébergeurs qui se lassent, l'atterrissage est violent et le retour, inenvisageable. Ni en Libye, où la rumeur de leur collaboration avec les journalistes – notamment les caméras cachées – a énervé les passeurs. Ni au Cameroun, où ils n'envoient plus d'argent à leurs familles depuis leur départ du Sud libyen.

Ils auraient pu essayer de négocier avec la production « 5 000-7 000 euros » et se taire, comme le leur a suggéré un proche de l'équipe. Mais ils portent plainte, ce qui, de la part de clandestins, est plutôt rare. Tony Comiti crie à la manipulation. M6 – qui a refusé de répondre à nos questions – fait le gros dos et, à l'heure où nous bouclons cet article, maintient la diffusion.

Lors de nos rencontres, dans ces gares où ils venaient furtivement de leurs abris aussi temporaires que secrets, Elie arrivait encore à sourire, Emile retenait à peine ses larmes, Joseph, rageur, ressassait ses richesses passées. C'était un reportage pour les uns. La vie pour les autres. Et ça finira donc en procès.

 


Bande-annonce mise en ligne par M6

SOURCE ET PUBLICATION:   Télérama n° 3332

QUID ! DES TRANSFUGES ! ILS ONT ESSAYÉ ET L'ON QUITTÉ ???

$
0
0

Ils ont essayé le Front national, mais ils l'ont quitté, atterrés

Deux transfuges de l'UMP et du Front de gauche ont finalement décidé de quitter le parti.

 Par Francetv info 

Mis à jour le 25/11/2013 | 14:12 , publié le 25/11/2013 | 11:46

PARTAGER

Ils se disent déçus du Front national.

Après Arnaud Cléré dimanche, Nadia Portheaultou Benoît Girard, c'est au tour d'une autre candidate du Rassemblement Bleu Marine (RBM), le parti satellite du FN pour les municipales, de claquer la porte.

Dans une interview à Libération (article abonnés), lundi 25 novembre, Anna Rosso-Roig explique pourquoi elle ne se présentera pas à Marseille (Bouches-du-Rhône) sous l'étiquette RBM.

Qu'ils soient transfuges d'un autre parti ou simples citoyens à l'origine, ils expliquent avoir découvert un parti différent de ce qu'ils imaginaient. "Quand on voit Marine Le Pen à la télévision, on ne peut pas imaginer à quoi ressemble l'arrière-boutique", explique Arnaud Cléré à Rue89.

Un parti "non républicain" et "dictateur"

Militant UMP, Arnaud Cléré décide en mai 2013 de nouer une alliance avec le FN

pour les municipales à Gamaches (Somme) et d'adhérer au parti Souveraineté indépendance et liberté, associé au Front national.

Six mois plus tard, il s'en mord les doigts. "J'ai commis l'erreur de m'allier avec un parti non républicain, sectaire et dictateur qu'est le FN", explique-t-il.

Pour appuyer ses propos, il raconte une réunion, mi-octobre, à Hénin-Beaumont

(Pas-de-Calais), avec les têtes de liste et quelques colistiers du nord de la France. "J'ai vu des tatouages de croix gammées sur deux ou trois personnes", assure-t-il. Mais le FN dément et promet des poursuites judiciaires.

De son côté, Anna Rosso-Roig décrit elle un FN marseillais "beaucoup plus radical que Marine Le Pen". "Monsieur Ravier [tête de liste du FN à Marseille] et beaucoup

de responsables estiment que le Rassemblement Bleu Marine est trop doux, accuse

-t-elle. Ils pensent qu'il faut utiliser la méthode forte".

Un parti "xénophobe" et "homophobe"

Les deux transfuges ont surtout été choqués par l'ambiance et le vocabulaire des militants FN.

 "Ici, ils sont contre des gens, pas pour un projet", explique Anne Rosso-Roig, qui rapporte qu'à chaque règlement de comptes, ses anciens camarades se

réjouissaient d'"un chômeur de moins"

"Ils sont aussi obsédés par le cosmopolitisme, ajoute-t-elle. Dans une ville comme Marseille, ce n'est pas possible.

On ne peut pas se présenter contre toute une partie de la population !" Elle précise

au passage que Stéphane Ravier définit le viol comme un "rapport amoureux qu'une partie des deux souhaite. La deuxième pourrait faire un effort".

Arnaud Cléré dit lui avoir "été choqué par les propos homophobes et xénophobes

des militants". Et d'ajouter : "Ils parlent sans arrêt de 'pédé', de 'pédé', de 'pédé', ça me fait froid dans le dos." Début novembre, Nadia Portheault dénonçait déjà une "arrière-boutique spécialisée dans les blagues vaseuses sur les Arabes et les homos"

. Un responsable de la fédération de Haute-Garonne lui aurait même glissé, selon

elle :"Toi et tes enfants, vous êtes bons pour le four."

Deux fois candidat dans les Ardennes, Benoît Girard regrettait lui le poids de ce discours xénophobe par rapport aux thématiques sociales. 

"Le vote FN [procède] beaucoup plus d'un réflexe 'anti-immigré' que d'une aspiration collective à sortir d'un système socio-économique vécu par beaucoup comme une donnée imperméable au questionnement", expliquait-il à L'Union.

Source et publication:  http://www.francetvinfo.fr/elections/municipales/ces-candidats-aux-municipales-qui-claquent-la-porte-du-fn_466844.html#xtor=EPR-2-[newsletterquotidienne]-20131126-[lespluscommentes/titre1]-[]


ET AUSSI


Le 26 novembre 2013
Ces ex-néo-marinistes effarouchés ont cru trouver dans le RBM un tremplin pour occuper des places...

Ce dimanche, Jean-François Copé confirma une rumeur qui bruissait : l’énième défection d’un candidat Bleu Marine ayant rallié l’UMP… d’où il avait été exclu, en mai dernier, pour avoir fait alliance avec le Front national, en couchant sur sa liste des membres de ce parti.

L’intéressé, Arnaud Cléré, éleveur de chèvres, tête de liste aux municipales dans la Somme, dont le parcours politique « témoigne d’un comportement erratique » (successivement membre du RPR puis du MPF qu’il quitta pour l’UMP, avant d’en être exclu pour rejoindre le SIEL en mai 2013, puis du FN auquel il a adhéré il y a trois semaines), selon Paul-Marie Coûteaux qui vient de le suspendre du SIEL (Souveraineté, Indépendance Et Libertés, membre avec le FN du Rassemblement Bleu Marine), se justifie de façon assez grotesque, ayant découvert, horresco referens, que le FN était, tout uniment,« non républicain, sectaire, dictateur, homophobe », choqué d’avoir prétendument vu deux personnes « avec des croix nazies sur le bras ».

Le même n’avait pas ces pudeurs de pucelle lorsqu’il affirmait, il y a quelques mois, que les gens du FN « n’ont ni la lèpre, ni la gale ».

Le même avait encore confié à votre serviteur la joie de retrouver au sein du SIEL l’esprit gaulliste des origines dévoyé par une UMP ambivalente, mondialisée et électoraliste.

Un tel esprit de constance laisse pantois. L’homme a des convictions. Mais lesquelles ?

Il n’est d’ailleurs pas seul à trahir de tous côtés. Nadia Portheault, candidate à la mairie de Saint-Alban rapporte à son tour avoir été témoin de propos racistes et homophobes. Transfuge du Front de gauche, Anna Rosso-Roig, à Marseille, a déserté, elle aussi, le navire frontiste, jugé « trop radical ».

D’aucunes de ses innocentes victimes objecteront, en aparté, qu’elles ont subi des pressions de leur ancien parti.

La chose n’est pas inenvisageable, quand on sait que l’ancêtre de l’UMP recrutait chez les nervis du SAC (Service d’Action Civique) et que le PS a toujours laissé les sales boulots de l’ombre à ses alliés d’extrême gauche.

La vérité est que ces ex-néo-marinistes effarouchés ont cru trouver dans le RBM un tremplin inespéré pour occuper rapidement des places sans même adopter la posture humble du catéchumène faisant patiemment ses preuves et, surtout, sans attendre avec confiance le verdict – forcément honorable – du suffrage universel.

L’ascension de Marine Le Pen, la dédiabolisation de son parti, la défiance générale à l’égard du syndic de faillite UMPS, tout cela a tourné la tête de ces néophytes enfiévrés qui, aux romans initiatique des Chevaliers de la Table ronde, ont préféré l’enivrante essence des parvenus qu’exhalait Madame Sans-Gène.

La différence, c’est qu’une blanchisseuse, même ayant convolé avec un maréchal d’Empire, demeurait fidèle à Napoléon. C’est un travers de nos temps actuels où la durée est trop facilement sacrifiée au mouvement perpétuel qui s’apparente à ce que Pierre-André Taguieff dénommait le « bougisme ».

 

http://www.bvoltaire.fr/aristideleucate/le-quart-dheure-warholien-des-felons,42629?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=217b355536-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-217b355536-30403221

MUNICIPALES: LE GUIDE DU FUTUR ÉLU FN !

$
0
0

Par Francetv info 

Mis à jour le 25/11/2013 | 10:45 , publié le 25/11/2013 | 10:33

PARTAGER

Le FN ne veut pas rater le train des municipales, afin de former ses cadres et

conquérir le pouvoir. Pour pallier l'inexpérience de ses candidats, le parti a donc

édité un Petit guide pratique de l'élu municipal Front national, que le Huffington Post s'est procuré dimanche 24 novembre. "Les élus FN se doivent d'incarner une alternative sérieuse et sans faille (…), vous serez scrutés de près", prévient le livret.

Même si le Front national prévoit officiellement une "vague bleu marine" pour les municipales, le guide s'attache avant tout à définir "le rôle de l'élu municipal FN d'opposition""Nous savons que l'immense majorité de nos élus siégeront dans l'opposition", reconnaît le secrétaire général adjoint du FN, Nicolas Bay, contacté

par le Huffington Post.

Que faut-il retenir de ce document de 70 pages,édité à plus de 2 500 exemplaires ?

"Vous aurez très souvent à voter contre"

Ce guide pratique est d'abord une liste de consignes de vote. "Vous aurez très souvent à voter contre les projets de la municipalité et à vous abstenir", prévient-il. 

"Le vote 'pour' concernera uniquement des mesures secondaires qui vont dans le

bon sens."

Ce principe édicté, le guide détaille "les positions de vote à respecter impérativement". L'élu FN doit par exemple voter contre le budget, le plan local d'urbanisme, les comptes-rendus d'activité des organismes extérieurs para-municipaux (HLM), les grands travaux, les subventions à certaines associations jugées "communautaristes" ou "politisées" (comme SOS Racisme) et les appels d'offre – par crainte des scandales politico-financiers.

Le cynisme électoral n'est pas loin. "Méfiez-vous particulièrement des 'grands projets', qui peuvent sembler séduisants", prévient le guide. Car "si le grand projet

est bon, les électeurs retiendront que c’est le maire qui l’a porté" ; il n'y a donc "

aucun bénéfice politique" à en retirer. Et "si le grand projet s’avère (comme c’est

bien souvent le cas) bidon et extrêmement coûteux, vous n’aurez aucune marge de manœuvre", poursuit-il. Mieux vaut donc voter contre.

"Vous n'êtes pas là pour copiner"

Ce guide pratique met également en garde les élus Front national contre les tentations du pouvoir. "Vous avez été élu(e) pour servir vos concitoyens et non pour vous servir", martèle le texte, qui cite pêle-mêle des places VIP pour les matchs de foot, l'embauche d'un proche ou des cadeaux en nature.

Le parti va encore plus loin, en tentant de limiter au maximum les relations de ses élus avec les autres membres du conseil municipal. "Vous n'êtes pas là pour copiner", écrit-il. "Méfiez-vous du leitmotiv utilisé par vos adversaires : 'Travaillons ensemble dans un esprit consensuel pour le bien commun !'"

"Communiquez"

Enfin, la brochure exhorte ses élus à communiquer un maximum. "Voilà, la [première]séance [municipale] est terminée (…) Il vous reste encore une chose essentielle à faire 'COMMUNIQUER'""Savoir faire c'est bien, mais maintenant vous devez faire savoir", ajoute-t-elle.

Le texte esquisse ainsi le contenu d'un premier tract, pour remercier ses électeurs et récapituler son programme. Et de rappeler : "N'oubliez pas d’y faire figurer une photo des élus municipaux FN devant la mairie."

Et les médias ne sont pas oubliés. "Pensez aussi à fournir systématiquement aux journalistes présents aux séances municipales vos interventions écrites" pour 

"rompre la glace avec les médias", insiste le guide

http://www.francetvinfo.fr/politique/municipales-2014-les-trois-commandements-du-fn-a-ses-futurs-elus_466764.html

FRANCE: LE DÉLUGE DES SUBVENTIONS .....

$
0
0
Le 25/11/2013

DÉLUGE DE SUBVENTIONS

Parfois, à force de réclamer la transparence des institutions publiques, on l’obtient.
Ce n’est pas sans misères, mais le résultat en vaut la chandelle.

Parfois, à force de réclamer la transparence des institutions publiques, on l’obtient. Ce n’est pas sans misères, mais le résultat en vaut la chandelle.

C’est ainsi que, dans les données disponibles sur data.gouv.fr, on trouve le détail des subventions distribuées, d’années en années.

L’analyse de ces distributions d’argent des autres est fort instructif.

En effet, n’importe quel citoyen un minimum attentif aux impôts qui lui sont prélevés doit se demander si, parfois, il n’y aurait pas comme un petit coulage dans la façon dont l’argent est dépensé.

Et même si, bien sûr, l’évidente solidarité nationale impose un consentement à l’impôt des plus tendres, il est parfois nécessaire de s’assurer que l’un ou l’autre élu n’aurait pas malencontreusement ripé au moment de faire un chèque pour l’une ou l’autre association dont il serait fortuitement le président, ou dont le trésorier serait inopinément un membre de sa famille (au sens strict ou au sens politique)…

Et grâce à cette joyeuse manie de l’ « open-data », on se retrouve à présent avec cette possibilité délectable de fouiller dans les comptes de la Nation.

Fouiller est ici le terme adéquat tant les données sont volontairement obscurcies dans le jargon administratif ; à ceci près, cependant, force est de constater qu’on retrouve bien tout comme il faut, dans les « jaunes » édités chaque année.

 

Pour ce petit billet détendu de l’analyse économique succincte, j’ai choisi les années 2011 et 2012 (i.e. les jaunes du PLF 2013 et du PLF 2014).

Tax Money

Quelques manipulations de données CSV plus tard, on obtient quelques jolis graphiques qui illustrent assez bien différents problèmes et soulèvent quelques interrogations.

D’une part, en ces périodes de restrictions, on a un peu de mal à comprendre pourquoi l’État distribue ainsi un peu plus d’un milliard d’euros en 2011 dans différentes associations qui vont de la formation professionnelle à celle des boulistes de telle localité. Après tout, la formation est quelque chose qui devrait être du ressort des entreprises, des individus, éventuellement d’un accord liant les premières aux seconds, et, pour tout dire, pourrait être envisagé dans le cadre de l’éducation nationale (on n’est plus à une propagande près). Pourquoi l’état finance-t-il cela ? Quant aux boulistes et autres associations sportives ou vidéo-ludiques, seules les contorsions actuelles du sens des mots permet de placer ça dans les missions de l’État et dans le cadre de son nécessaire soutien aux activités qui permettent d’entretenir le lien social, la paix sociale, le sport social et la distribution sociale de pognon social. Une fois débarrassé de la gangue de novlangue, les subventions correspondantes ressemblent largement à une distribution de bonbons pour réjouir les uns et calmer les autres…

D’autre part, l’analyse des chiffres de 2011 et 2012 laisse assez peu de doute sur la tendance générale de ces distributions. Tendance un peu alarmante puisqu’elle se traduit essentiellement par une véritable explosion des subventions distribuées. On découvre en effet que leur montant total s’établissait ainsi à 1.229 millions d’euros en 2011, et qu’il atteint 1.855 millions en 2012.

Sapristi ! Une augmentation de 50% (!), que voilà de la bonne grosse austérité bien violente ! Il semblerait, au vu de ces chiffres, que certains n’ont pas subi la crise avec la même difficulté que d’autres. Et si on comprend que certaines associations sont effectivement à 100€ de donation près, certaines autres ont tout de même trouvé dans le budget de l’État un secours … grossissant au cours des années.

Et lorsqu’on regarde un peu les grandes masses, l’impression de foutage de gueule s’installe franchement. Par exemple, si l’on rassemble par ministère les largesses qui furent distribuées, on se rend compte que ce qui relève du pur régalien (i.e. l’intérieur, les affaires étrangères, la justice et la défense) ne représente jamais une très grosse proportion de ce qui est donné par l’Etat. Pire : cette proportion tend à diminuer dans le temps. Ainsi, en 2011, les associations qui dépendent de ministères régaliens sont subventionnées à hauteur de 10% des montants totaux distribués.

subventions 2011

En 2012, les mêmes associations ne comptent plus que pour un petit 5% maigrichon. Décidément, il ne fait pas bon être attaché à l’un des piliers de l’Etat français lorsqu’on est une association demandeuse de subventions en France !

subventions 2012

On m’objectera sans doute qu’on peut très bien avoir une diminution relative des « subventions régaliennes » si les subventions, en général, augmentent largement (ce qu’elles font) sans pour autant avoir une diminution absolue des montants impliqués. Il n’en est rien : les associations qui dépendent des ministères régaliens voient bien le robinet à subvention se fermer ; seule la Défense limite un peu l’assèchement, mais sinon, les chiffres sont éloquents d’une année à l’autre et donnent ceci :

subventions - regalien seul

Comme on le voit, on passe d’un total (régalien seul) de 133 millions d’euros à 88. Là, pour le coup, l’austérité commence à se faire sentir.

Mais plus intéressant, ce qui n’est pas du régalien, lui, en profite dans le même temps pour remplir sa besace et même largement plus ; pour rire, j’ai réintroduit ce qui avait été retiré du précédent graphique.

La différence étant sensible, cela écrase un peu les ministères régaliens, mais on distingue nettement que l’austérité, pour ces associations, c’est définitivement pas maintenant :

subventions - regalien et non regalien

Au delà de ces aspects de répartition un peu fastidieux qui montrent à qui en doutait encore que l’Etat n’est plus qu’un immense diffuseur d’ambiance à base de pognon cramé dans des associations colorées, citoyennes, festives et parfaitement limitées à des intérêts bien particuliers et non pas du tout collectifs, les données permettent des fouilles dont les résultats sont lourds de signification sur ce que ceux qui sont à l’embouchure du robinet sont capables de faire pour s’y abreuver sans complexe.

On aura un petit mouvement de recul lorsqu’on découvrira que les associations pour les loisirs des administrations financières touchent plus de 34 millions d’euros (6 millions pour l’ATSCAF et 28 pour l’EPAF). C’est vraiment mignon d’apprendre que les gens qui collectent nos impôts s’octroient eux-mêmes, après une consultation et d’âpres débats avec eux-mêmes, plusieurs dizaines de millions d’euros pour leurs loisirs.

On ne s’étonnera pas de découvrir par exemple qu’en 2011, les 10% des associations les mieux dotées (2198) touchent plus d’un milliard d’euros en tout, soit 514 K€ en moyenne pour celles-là.

En revanche, les 90% restantes devront se contenter d’une dotation de 8486€ en moyenne. Si l’on voulait vraiment se moquer de nos solidaires à nos frais, on pourrait noter que le coefficient de Gini dans cette répartition montre clairement un écart très important entre les associations riches et les associations pauvres…

En pratique, cette différence n’est pas amusante puisque quoi qu’il arrive, le contribuable en est de sa poche.

Mais de façon générale, ces chiffres montrent surtout l’incroyable décontraction avec laquelle les institutions jouent avec l’argent du contribuable.

On peut se demander pourquoi autant d’associations Loi 1901 sont créées pour, par exemple, gérer les restaurants d’entreprises de la fonction publique ; pourquoi ces administrations emploient-elles un tel montage pour ce genre d’activités ?

Pourquoi demande-t-on implicitement à tous les contribuables de participer de façon directe au financement de la Fédération Française de Ski (près de 4 millions d’euros) ? Le ski est-il un droit de l’homme ?

Le ski peut-il décemment être mis au même plan que les Restos du Cœur (qui reçoit aussi sa part, modeste, de financements publics) ?

Pourquoi tout le peuple français est-il ponctionné pour que seulement certains puissent s’adonner à leurs loisirs ?

Pourquoi, mais pourquoi donc ces associations ne se contentent-elles pas des cotisations de leurs nombreux membres ?

Si elles intéressent tant de monde, elles n’auront pas de mal à rassembler les cotisations qu’il leur faut et dans ce cas, aucun besoin de subventions !

Et si elles ne peuvent survivre sans subvention, peut-être n’intéressent-elles pas suffisamment de monde et ne méritent-elles pas de recevoir l’argent public, de la collectivité, donc de tous ?

Mais surtout, comment ne pas voir dans cette distribution permanente et croissante d’argent des autres, qui échappe royalement à tout contrôle effectif du peuple, un parfait déni de démocratie ?

Comment ne pas voir qu’en plus d’être des nids de prébendes et de sinécures pour amis du pouvoir, qu’en plus des sources évidentes de corruption que ces arrangements offrent à tous les élus, à chaque étage du mille-feuille français, ces associations, en venant téter aux subventions publiques, détournent l’argent de la collectivité pour des intérêts privés ?

Devant ces chiffres consternants, comment justifier le moindre consentement à l’impôt, expression dont s’abreuvent nos crétins gouvernementaux à mesure que la grogne monte ?

source:  h16free.com/

Publié par Rédaction le 25/11/13
Source et publication:  http://www.observatoiredessubventions.com/2013/deluge-de-subventions/

QUELQUES ANNONCES ! DES RENDEZ-VOUS NATIOS !

$
0
0

 

Après quelques mois d'absence -bien involontaire- nous avons le plaisir de vous annoncer l'ouverture de notre nouvelle boutique en ligne.  

http://www.leon-degrelle.org/boutique/

Vous pourrez nous retrouver dimanche prochain, le 1er décembre 2013
à la XVIIIe Table Ronde de Terre et Peuple qui se tiendra à l'Espace Jean Monnet 47 rue des Solets à Rungis 94150 (accès RER : station La Fraternelle). 



Vous pourrez aussi nous voir à la 
Fête des Patriotes qui se deroulera à Lyon le samedi 7 décembre 2013. Renseignement à cette adresse : http://fetedespatriotes.fr/


Bien à vous 
Le Cercle des Amis de Léon Degrelle

SUR MARS AVEC CURIOSITY ......

$
0
0

Le Point.fr - Publié le 26/11/2013 à 06:05

Le robot a été immobilisé 4 jours pour un incident sur son alimentation électrique.

La panne serait sans gravité, mais les équipes redoublent d'attention.

Photo d'illustration. Autoportrait de Curiosity. © NASA/JPL-Caltech/MSSSPhoto d'illustration. Autoportrait de Curiosity. © NASA/JPL-Caltech/MSSS

 
 
Par 

À la une du Point.fr

L'anomalie a été détectée le dimanche 17 novembre alors que, comme chaque jour depuis le début de sa mission martienne, Curiosity transmettait à ses pilotes des données sur son état de santé. Au niveau de l'une de ses lignes d'alimentation électrique qui lui distribue d'ordinaire du 32 volts, Curiosity signalait une petite déperdition faisant planer, sur cette machine à 2,5 milliards de dollars, la menace d'un court-circuit.

Aussitôt, les équipes d'ingénieurs du Jet Propulsion Laboratory de la Nasa, qui veillent au bon fonctionnement du robot explorateur, décidaient d'interrompre toutes les opérations scientifiques en cours pour procéder à un diagnostic.

"Après environ quatre jours d'investigations, l'hypothèse d'un court-circuit a pu être écartée. Il s'agit seulement d'un élément un peu conducteur qui permet une petite fuite d'énergie. L'ensemble des instruments du robot sont conçus pour faire face à ce genre de petites variations.

Nous avons donc pu reprendre une activité normale dès vendredi", indique Olivier Gasnault, responsable des opérations scientifiques de l'instrument Chemcam du rover à Toulouse. "Ce type d'incident n'a rien de très surprenant sur une mission spatiale.

Ces pannes sont le plus souvent intermittentes et il faut s'attendre à ce qu'elles se multiplient au fur et à mesure de l'avancée de la mission", relativise le chercheur à l'Institut de recherche en astrophysique et planétologie (Irap, rattaché au CNRS) de Toulouse.

Pour autant, les ingénieurs de la Nasa continueront de veiller au grain : de petits incidents comme celui-ci peuvent affaiblir le système et, s'ils surviennent en cascade, provoquer une panne plus sérieuse. "À chaque incident de ce type, un dossier est créé afin d'améliorer le suivi et aussi pour contribuer à de nouvelles missions", indique Olivier Gasnault.

Car s'il est vrai que Curiosity a déjà rempli sa mission première, à savoir montrer que Mars avait été autrefois habitable, ses pères espèrent qu'il permettra d'en apprendre encore beaucoup plus.

Puisse-t-il battre le record de longévité de son grand frère Opportunity qui continue d'alimenter les chercheurs en informations précieuses près de dix ans après son arrivée sur la planète rouge. 

Consultez notre dossier spécial : "À la conquête de Mars"


Source et publication:  http://www.lepoint.fr/science/sur-mars-curiosity-victime-d-une-baisse-de-tension-26-11-2013-1761777_25.php#xtor=EPR-6-[Newsletter-Matinale]-20131126


.ET AUSSI


 

 

 

 Comment aller sur Mars ?

Aussi simple que ça......! Tout simplement génial.

Clique sur la planète

L' ÉDITO DE CYRANO ! RÉSISTANCE ET COMBAT !

$
0
0

EDITO DE CYRANO

Nouvelle marche contre le racisme : 5 millions de musulmans repartent vers l’Afrique

Lors des assassinats de Toulouse, puis à l’occasion de l’affaire du tueur fou, tous nos éditorialistes, derrière l’inimitable Fourest, ont déliré sur un assassin qui serait forcément de type européen, aurait le crâne rasé, serait membre du Front national, lecteur de Finkielkraut et de Camus, et abonné à Fdesouche, Boulevard Voltaire et Riposte Laïque.

Bref, un Breivik français. Malgré le camouflet Merah et Dekhar, ils persistent à nous faire le coup du racisme et de la République en danger, et envisagent meetings et manifestations de masse, avant la fin de l’année, pour que la gôche apporte les réponses à la hauteur des enjeux.

Je vous propose, quant à moi, un autre scenario, né de la fertile imagination d’un de nos lecteurs, que j’ai du plaisir à partager avec vous.

Depuis le début du mois, l’humoriste franco-marocain Jamel Debbouze est encensé par l’intelligentsia parisienne à l’occasion de la sortie le 27 novembre 2013 du film « la Marche » dans lequel il joue et qui relate la Marche des beurs partie de Marseille en octobre 1983.

Le comédien fait la une de Libération, de Télérama, du Nouvel Observateur et des Inrockuptibles.

Mais quelques semaines plus tard, patatras ! La dure réalité rattrape le comédien, le réalisateur et les producteurs malheureux de « la Marche ».

Les chiffres espérés ne sont pas au rendez-vous, le bête public franchouillard autant que celui issu de la diversité boudent largement le film.

Couverture reconquistaRLDébut décembre 2013, c’est un Jamel Debbouze blessé qui se retire à Trappes et se cloître non pas dans l’ancienne abbaye mais dans la mosquée d’obédience marocaine, refusant toute interview.

Lorsqu’il en ressort une semaine plus tard, il n’est plus le même. Jamel l’illuminé prétend avoir reçu la visite de Jibril.

L’archange l’aurait choisi pour délivrer un nouveau message sacré à l’oumma : le big boss, Allah lui-même, a changé ses plans et demande aux croyants de cesser immédiatement l’application de la sainte mission de propagation de la loi universelle du coran, du moins d’une manière provisoire.

En effet, il est trop tôt pour établir le grand califat mondial et l’Europe doit – pour l’instant – être épargnée.

Sensible au sort des fidèles souffrant de discrimination dans les pays occidentaux, Allah-le-miséricordieux appelle tous les musulmans de France à la quitter pour revenir dans le giron du Dar-al-islam. 

De cette fantastique révélation, va naître un projet fou qui devait en quelques années bouleverser notre société.

Le 15 décembre 2013, Jamel Debbouze (dont certains prétendent qu’il aurait été encouragé et conseillé par les penseurs René Marchand et Renaud Camus) adresse un communiqué aux rédactions des principaux journaux, rapidement relayé par les autres médias.

L’humoriste « visité » par Jibril devenu le nouveau messager d’Allah appelle à une nouvelle « Marche contre le racisme », beaucoup plus ambitieuse que celle de 1983.

Il rappelle que cette dernière n’a eu qu’un impact médiatique minime et que le bilan, 30 ans après, est déplorable : La société française s’est communautarisée ; certes, l’islam a bien envahi l’espace public mais au lieu d’entraîner des conversions massives, il a plutôt provoqué une réaction naturelle de rejet des Français, décidemment insoumis et épris de liberté de pensée, de laïcité et de justice. Jamel, toujours inspiré par Jibril, explique alors son dessein divin : organiser une Marche des populations islamiques de France vers l’Afrique du Nord.

A coup sûr, le départ massif d’une composante de notre pays qui s’est avérée insoluble dans la Nation française, mettra enfin un terme à ce racisme larvé insupportable qui, depuis tant d’années, ternit l’image de notre République une et indivisible.

D’abord critiqué par ses pairs, Jamel Debbouze, armé d’un bagout qui n’a rien à envier à celui d’un célèbre bédouin mecquois du VIIe, stimulé par sa nouvelle grâce coranique, et à force de promettre des lendemains et des muezzins qui chantent, finit tout de même par convaincre l’ensemble de ses coreligionnaires.

valeursactuellescouvertureLa première Marche de 1983 avait rassemblé une petite quarantaine d’individus ayant effectué 750 kilomètres entre Marseille et Paris.

La seconde Marche en rassemblera 5 millions et parcourra 1 500 kilomètres, entre Marseille et Algésiras, avant d’embarquer vers le Maghreb.

C’est ainsi que le 31 décembre 2013, le néo-prophète Jamel en tête, la Marche se met en branle, direction l’Afrique.

Cinq millions de Maghrébins, de nationalités française, algérienne, marocaine et tunisienne constituent une imposante colonne de plusieurs kilomètres de long. Pour rassurer les Français désemparés, les historiens s’empressent de rappeler qu’il y a eu de grands précédents.

A juste titre, ils citent l’exode forcé d’un demi-million d’Européens d’Afrique du nord qui, en 1962, ont dû choisir la valise plutôt que le cercueil et quitter leur terre natale, abandonnant la vieille Afrique romaine aux bouchers halals du FLN.

Ce déplacement demeure cependant largement inférieur à celui intervenu en 1947 à l’occasion de la partition des Indes britanniques où 12,5 millions de musulmans et d’hindouistes se sont entrecroisés, les uns marchant vers l’Inde et les autres vers le Pakistan.

Fin janvier 2014, ce n’est pas sans émotion que les derniers éléments de la formidable colonne franchissent la frontière franco-espagnole. En effet, plusieurs dizaines de milliers d’accompagnateurs autrefois appelés « sous-chiens » ont tenu à gentiment escorter les migrants jusqu’au col du Perthus, dans les Pyrénées Orientales.

Les larmes aux yeux, ces Français regardent la cohorte des marcheurs bigarrés, portant keffiehs, gandouras, kamis, burqas ou capuches de racailles, s’éloignant lentement du poste frontière.

Le choc est tel chez les Français que certains ne peuvent contenir des cris et des rires nerveux et que beaucoup se prennent dans les bras comme pour mieux se soutenir.

Pendant que les Français se remettent de leurs émotions, la Marche affronte courageusement la longue traversée de la Catalogne puis de l’Andalousie jusqu’à Algesiras. Les voilà déjà dans le port andalou où les attendent des centaines de ferries (affrétés généreusement par Bercy) prêts à les débarquer à Tanger, Alger ou Tunis.

Certains policiers moqueurs de la Brigade des stup de Paris ont qualifié la Marche de Jamel de « go-slow » inversé, faisant probablement allusion aux go-fast en provenance du Maroc.

L’histoire n’est pas finie. Très vite, d’autres communautés s’inspirent de la nouvelle Marche des beurs de Jamel et annoncent qu’elles aussi, vont retourner vers leur terre d’origine chérie.

Déjà, se forme spontanément une autre Marche composée de gens du voyage, aussitôt surnommée par des esprits espiègles « la route du Rom ».

Elle prend la direction des Balkans, talonnée par une immense colonne turque partie d’Alsace qui la dépasse en nombre et en vitesse. « La Marche turque » ainsi qualifiée par quelques commentateurs certainement plus malicieux que mélomanes, est en route vers la grande plaine d’Anatolie.

Dernière manifestation de ces grands mouvements de populations qui auraient immanquablement provoqué un sentiment de jalousie chez le camarade Staline s’il avait pu les observer, on annonce une dernière Marche, celle des « intellectuels de la pensée dominante », formée par une centaine de journalistes, avocats, présidents d’associations progressistes et autres professionnels patentés de l’antiracisme qui refusent de continuer à vivre dans un pays moisi rejetant l’idéologie multiculturelle.

C’est l’ancien ministre Jack Langqui en prend la tête, abandonnant la présidence de l’Institut du monde arabe. Joyeusement – ou plutôt gaiement – sur des airs de techno et de rap, il conduit cette pittoresque colonne boboïde, tel Hans le joueur de flute des frères Grimm qui, jadis débarrassa la bonne ville de Hamelin de ses nuisibles.

A la recherche du nouvel Al-Andalus, cher à l’ancien ministre islamophile, ils prennent la direction du Qatar, cet émirat moderne et attractif, tellement courtisé par les « élites » françaises du début du XXIe siècle.

Largement composée d’anciens maoïstes, cette dernière colonne est surnommée « la Lang marche » par certains chroniqueurs un rien provocateurs.

Le 31 décembre 2023, 10 ans après la 2nde Marche contre le racisme de Jamel, la France fait un bilan édifiant :

-         85 milliards d’euros d’économie dans le budget annuel, conformément aux prévisions du rapport Posokhlow, soit 850 milliards d’économies sur la période

-         Les établissements pénitentiaires s’étant vidés progressivement, seule une cinquantaine de maisons d’arrêt sont conservées (contre 191 actuellement)

-         Les effectifs de la police nationale et de la gendarmerie baissent de 40%. Dans le même esprit, les milliers de fabricants, distributeurs, installateurs d’alarmes, de portes blindées, d’antivols se recyclent avant de faire faillite. Les centaines de sociétés de gardiennages connaissent la même situation (de toute façon, leurs employés étaient déjà partis avec la Seconde Marche)

-         Des villes entières sont réinvesties par les Français, les lois de la République sont appliquées sur tout le territoire, mettant un terme à l’impunité des anciens habitants.

La rénovation urbaine ne se fait plus forcément par des démolitions spectaculaires et des programmes coûteux de promotion immobilière, mais par le changement des populations.

Dans les quartiers désertés suite à la Seconde Marche, de nouveaux habitants français ou européens éduqués et respectueux des règles de la République s’installent, provoquant une chute spectaculaire de la délinquance et un renforcement de la cohésion nationale.

-         Les 2 200 anciennes mosquées de France deviennent des petits bistrots populaires (où sont servis pinard et saucisson), des librairies ou des commerces de proximité

-         Le taux de chômage passe de 11% à 5%

-         avec la baisse progressive de la dépense publique, les impôts ont chuté de plus de 50%

-         les Français perdent enfin le rang de premiers consommateurs d’antidépresseurs dans le monde. Au contraire, ils redeviennent le peuple joyeux, fraternel, solidaire, entreprenant, dynamique, fier de son passé et confiant en son avenir.

Je sais, après les couvertures nauséabondes de Minute sur Taubira et de Valeurs Actuelles sur l’immigration, ce n’est pas bien de publier un tel édito, dans un climat délétère de haine et d’islamophobie rappelant les heures les plus sombres de notre histoire.

Mais cela fait tellement du bien, et complète si remarquablement le livre de René Marchand, Reconquista ou Mort de l’Europe…

 RR Affiche marche 8 décembre
 

COMMANDER LES AUTOCOLLANTS DE RIPOSTE LAIQUE

http://ripostelaique.com/acheter-nos-autocollants.html

AGENDA

Dimanche 1er décembre De 14 heures à 19 heures. Pierre Cassen (Opération Pédalo) et René Marchand (Reconquista ou Mort de l’Europe) feront partie des cent écrivains invités au 18e Salon Littéraire du Bnai Brith Paris, et y dédicaceront leurs livres.

Salons de la Mairie du 16e arrondissement
71 av. Henri Martin – 75116 Paris
M° Pompe Entrée libre

Dimanche 8 décembre

14 heures, place Denfert Rochereau.

Manifestation de Résistance républicaine, pour défendre la laïcité et les jours fériés chrétiens.

 

LE MICROCOSME DU MACROCOSME ! TRIBUNE LIBRE !

$
0
0

 

 

 L’ambassade du Qatar à Paris : le temple où gauche et droite fraternisent (audio)


26 Novembre 2013

Ils étaient tous là pour festoyer le départ de leur bien affable ami, Mohamed Jaham Al-Kuwari.

Jamais le départ d’un ambassadeur n’a réuni autant de personnalités du monde politique, du spectacle, des médias, de la finance et du sport.

Il ne manquait à cette réception royale que François Hollande, qui avait d’ailleurs remis à l’ambassadeur qatari, le 17 octobre dernier, l’insigne de commandant de la légion d’honneur.

 

Mais parmi les heureux convives, il y avait un intrus : Gaylord Van Wymeersch, un journaliste de France Inter, qui a pu réaliser un reportage à l’harissa bien piquante, pour l’émission « Là-bas si j’y suis » de Daniel Mermet.


L’ambassade du Qatar à Paris : le temple où gauche et droite fraternisent (audio)
’était le 12 novembre dernier, à l’ambassade du Qatar à Paris. Les réceptions y sont régulières et légendaires, pour ce qu’on y croise, ce qu’on y déguste et ce qu’on y ingurgite comme meilleur champagne Halal !
Mais celle du 12 novembre dernier était exceptionnelle, puisqu’elle a été organisée à l’occasion du départ de l’ambassadeur du Qatar en France, après une décennie très active en matière de diplomatie du chèque et d’entrisme wahhabite! 

Comme l’écrit sur son site le jeune Frère musulman franco-marocain, dont le prophète n’est pas Mohammed mais Qaradaoui, « Beaucoup de monde avait donc répondu à l'appel.
Des acteurs majeurs du CAC 40 d'abord avec la présence de hauts représentants de Total, Véolia, Vivendi et même de la Caisse des dépôts. Une apparition logique étant donné les liens économiques de plus en plus forts qu'entretient le Qatar avec la France. Plusieurs écrivains et journalistes aussi (…)
Mais le cœur de l'assistance était surtout composé de personnalités politiques de tous bords qui, par leur présence, ont souhaité témoigner leur amitié à un diplomate qui semblait faire l'unanimité tant à droite qu'à gauche ». 

Effectivement, Mohamed Jaham Al-Kuwari rassemble à droite comme à gauche. Face à la montée de Marine le Pen, c’est lui que les partis politiques français devraient choisir pour les prochaines élections présidentielles !
Ce rassembleur, qu’on ne devrait pas laisser quitter la France, exerce sur l’intelligentsia politique, économique, culturelle et médiatique un pouvoir de transcendance qui dépasse de loin celui du pape.
Il en a les qualités et, surtout, les moyens. 

Quelles sont donc ces illustres personnalités du monde politique, du Show-biz et des médias, qui se sont ruées sur la table de son excellence comme des abeilles sur une ruche ?
Nous allons en dresser la liste, grâce à l’émission de France Inter « Là-bas si j’y suis », de Daniel Mermet, diffusée le 19 novembre dernier et que vous pourrez réécouter sur le lien en fin de cet article. 

Il s’agit de Dominique de Villepin, Manuel Valls, Michèle Alliot-Marie, Claude Guéant, Ségolène Royal, Michel Rocard, Hubert Védrine, Yamina Benguigui, Dominique Baudis, Azouz Begag, Frédéric Mitterrand, Jack Lang, Bertrand Delanoë, Frédéric Lefebvre, Malek Boutih, Bruno Leroux, Nicolas Bays, Michel Vauzelle, Renaud Donnedieu de Vabres, Emmanuel Todd, Jean Daniel, Anne Roumanoff, Abd al-Malik, Maurice Leroy, Tahar Ben Jelloun, Stéphane Hessel, Pascal Boniface, Jean Plantu, Régis Debray, Georges Malbrunot, Christian Chesnot, Yves Thréard, Maurice Szafran, Enrico Macias…

Comme l’écrit si bien notre Frère musulman franco-marocain, « Cet aréopage de personnalités politiques de premier plan démontre l'étendue du réseau que s'était constitué l'ambassadeur du Qatar.
Un réseau qu'il a pris soin de cultiver durant sa décennie d'exercice ».
Celui qui vient d’un émirat où rien ne pousse a été, en effet, un excellent cultivateur. 

Tout ce beau monde ignore bien évidemment les atteintes graves aux droits de l’homme qu’un reportage publié par The Guardian en septembre dernier a dénoncé, particulièrement au sujet de l’esclavage que subissent 500 000 travailleurs étrangers. Selon le dernier rapport d’Amnesty International, qui a enfin daigné parler de cet émirat réactionnaire et esclavagiste, il y a eu parmi ces travailleurs étrangers payés 100 euros par mois, 44 morts « accidentels » rien qu’entre le 4 juin et le 8 août 2013.

Tout ce bon monde ignore la notation du The Economist, en termes de progrès démocratiques, qui accorde à l’émirat du Qatar la 138ème place, juste avant la Biélorussie !
Ce microcosme du macrocosme parisien ignore le cas du poète Mohamed Al-Ajami, condamné à perpétuité (peine ramenée à 15 ans de travaux forcés) pour avoir critiqué le tyran bédouin.
Frédéric Mitterrand et Bertrand Delanoë ignorent qu’au pays où les petites filles sont mariées à l'âge de 10 ans, l’homosexualité est passible de 5 ans de prison et de 90 coups de fouet. 

Et puisque nos illustres invités de l’illustrissime Mohamed Jaham Al-Kuwari n’ont à la bouche que le respect des droits de l’homme et les délices gastronomiques de Fauchon, ignorent-ils que des dizaines de leurs concitoyens sont en prison ou retenus en otages, parce qu’ils ont osé réclamer leurs droits.
 
Des footballeurs, des hommes d’affaires, des entrepreneurs, des cadres, des travailleurs, dont la dignité et la liberté dépendent du bon vouloir d’un cheikh bédouin. Ignorent-ils le cas de leur compatriote Hafid Adnani, ex-proviseur du lycée français Bonaparte à Doha, qui a été « diplomatiquement » expulsé pour avoir dit Non aux ingérences wahhabites dans l’enseignement républicain.
 
Et le cas de Franck Choinard, ex-proviseur du lycée franco-qatari Voltaire à Doha, qui a connu le même sort en octobre 2012, avec dix autres professeurs du même lycée.
Et les cas de Zahir Belounis (footballeur), Stéphane Morello (entraineur), Jean-Pierre Marongiu et Nasser al-Awartany (chefs d’entreprise)…
 
Et la liste est encore bien longue, comme celle des invités de monsieur Al-Kuwari, qui est loin d’être exhaustive. Son excellence n’était pas un cultivateur biologique mais industriel ! 
   
Lilia Ben Rejeb 

 

A lire aussi notre article du 30 octobre 2013 :  

France/Qatar : La Légion d’honneur qui déshonore la France

 France/Qatar : La Légion d’honneur qui déshonore la France   - 30/10/2013

La nouvelle est passée quasi inaperçue, si ce n’était une brève du Figaro : le président de la République française vient de remettre, le 17 octobre dernier, l’insigne de commandant de la légion d’Honneur à l’ambassadeur du Qatar en France. On sait...
 
 
 
Source et publication:   http://www.tunisie-secret.com/L-ambassade-du-Qatar-a-Paris-le-temple-ou-gauche-et-droite-fraternisent-audio_a726.html
 

A VOS AGENDA ! AVANT QU'IL NE SOIT TROP TARD !

$
0
0
26 novembre 2013

JEUNESSES PATRIOTIQUES ET LE PARTI DE LA FRANCE / BRETAGNE !

A VOS AGENDA !



POUR LES ADHÉRENTS , SYMPATHISANTS ET LEURS AMIS !

RÉUNION DE COHÉSION ET FESTIVE !


BRETAGNE: MARTINE LE HIDEUX DANS LE MORBIHAN ! LE 19 JANVIER !

 

Martine Lehideux est une femme politique française.

Ancienne députée européenne et conseillère régionale d’Île-de-France, est actuellement une cadre du Parti de la France.

Et aussi , en présence de :

Du Major Michel Madoré Secrétaire Général du Cercle National des Combattants et aussi Délégué du CNC Bretagne !

                               ----------------------------------------------------------

A l'invitation des quatres délégués départementaux du PdF et de Jean-Marie Lebraud, délégué régional du PdF pour la Bretagne, Martine LE HIDEUX présidera un déjeuner-débat LE 19 JANVIER 2014


La participation aux frais est de 27 €.


Transport et co-voiturage : Brest, Quimper,Lorient, Rennes et St Bieuc !  

Pour tous renseignements et réservations :

Daniel :  Tel : 06 65 61 08 62

 

Blog : http://pdf.bretagne.over-blog.com/

Mail : pdfbretagne@



Rassemblons la Droite nationale sur ses valeurs et organisons l’Alliance des Patriotes.


La droite nationale française, riche de ses personnalités et sensibilités, vit un des tournants de son histoire avec le départ de Jean-Marie Le Pen de la présidence du Front national.

Le vieux modèle du parti unique autour d’une seule personnalité disposant des pleins pouvoirs avait douloureusement montré ses limites au moment de la rupture avec les partisans de Bruno Mégret, ainsi qu’avec les anciens et récents départs forcés, les exclusions et les suspensions d’un très grand nombre de cadres et militants

Ce modèle est aujourd’hui totalement archaïque, inadapté aux réalités humaines et à l’évolution de la société française ainsi qu’aux nécessités politiques du futur.

Les modes de fonctionnement à établir d’une nouvelle droite nationale unie et conquérante doivent tourner le dos à ceux du siècle dernier.

Dorénavant, chaque militant de la cause nationale doit être respecté et associé pleinement et réellement aux décisions et aux projets, en privilégiant l’organisation décentralisée, locale et régionale et l’enracinement électoral.



Dans l’expression actuelle de la légitime résistance nationale, nous voyons émerger une multitude de remarquables initiatives individuelles ou collectives, culturelles, médiatiques ou politiques.

Ces démarches qui sont souvent locales ou régionales procèdent toutes d’une même volonté de défense de nos identités et de nos valeurs.

Elles démontrent la capacité d’une partie du peuple français à refuser le déclin historique, la soumission culturelle, l’abandon de nos valeurs et de nos droits ainsi que la colonisation étrangère.

C’est cette synthèse identitaire de nos traditions, cultures et héritages, locaux, provinciaux, nationaux et européens qui doit pouvoir s’exprimer et se réaliser politiquement. Il faut que chacun prenne conscience que c’est par la coopération de toutes nos initiatives que s’organiseront les succès de demain.


Il est par ailleurs clair que face au véritable défi de civilisation imposé par la colonisation migratoire et l’islamisme révolutionnaire, l’affirmation de notre héritage historique, de notre identité française, de nos racines chrétiennes et de nos valeurs spirituelles sont un socle puissant et salvateur de convictions, de liberté et d’actions en faveur de nos compatriotes.

Si notre pays a un corps physique et géographique et un esprit culturel et politique, notre rôle est aussi de préserver et de défendre en priorité l’âme de la France.

N’oublions pas que notre identité nationale est la communion, naturelle, historique, culturelle et spirituelle entre le peuple français et la terre de France.

Une France sans âme ne serait plus rien d’autre qu’une pitoyable et dérisoire République citoyenne et laïque.

Comme il est dangereux et affligeant d’entendre aujourd’hui, de la part de personnages qui prétendent obtenir une part de la droite nationale en héritage, proférer des discours jacobins, laïcistes et républicains.

Cette pensée obtuse, archaïque et ringarde mène de toute évidence aux idéologies sectaires et aux cultures de mort.


Nous devons aussi, en réponse au déclin économique et social réaffirmer notre attachement aux notions de libertés économiques, de promotion de l’initiative privée, de refus du collectivisme, de promotion de la propriété individuelle et du modèle familial traditionnel.

C’est sur la base d’un Etat véritablement national, d’une politique économique protectrice, d’une politique sociale et familiale réservée exclusivement aux Français que nous pourrons offrir une voie alternative au libéral-mondialisme, au socialo-mondialisme et au pouvoir totalitaire du cartel bancaire et de la finance mondiale.

La résistance sur nos valeurs, le renouveau et l’adaptation de notre projet national aux défis du siècle et la volonté de rassemblement, par une alliance politique et électorale des mouvements nationaux, constituent les vecteurs essentiels de la reconquête et de la libération nationales.

Quoi qu’il advienne, Le Parti de la France, s’imposera, comme un véritable mode de résistance en remplissant sa mission de défense du peuple français et des intérêts de la France. Il le fera en ouvrant grand ses portes à tous les militants de la droite nationale soucieux de la survie de la France française.


Carl LANG

 

SOUTENIR ET ADHÉREZ AU PARTI DE LA FRANCE !

Adhésions :

Adhésion simple : 30 €
Adhésion de soutien : 50 €
Bienfaiteur : 100 € (ou plus)


 

Le Parti de la France
6, Allée des Templiers
78860 Saint Nom La Bretèche

Tel : 09 67 17 81 36 - Fax : 01 41 10 81 36

Email : lepdf@orange.fr

TRIBUNE LIBRE À RENAUD CAMUS !

$
0
0

Djamel Debbouze incarne à

merveille le remplaçant

triomphant…

jamel-debbouze
Le 27 novembre 2013
La France peut parfaitement intégrer des individus, elle l’a toujours fait. Elle ne peut pas intégrer des peuples.

Dans une interview accordée à Atlantico il y a quelques jours, Alain Finkielkraut dit ceci : « Renaud Camus a raison d’avoir peur, mais je trouve effrayante l’expression de son effroi.


Pour décrire un danger réel, il use lui-même d’un langage dangereux qui ne rend pas justice à la pluralité des situations : dans quel peuple doit-on ranger les immigrés qui s’intègrent ? »

Qu’aimeriez-vous lui répondre ?

Que je suis désolé qu’on se serve de moi pour lui nuire.

Que je lui suis très reconnaissant de sa loyauté parfaite à réaffirmer notre amitié en toute occasion, alors qu’elle lui fait du tort.

Que je comprends très bien son insistance d’autre part à marquer les différences d’analyse entre nous.

Que pour ma part je ne crois pas “dangereuse” l’expression de “Grand Remplacement”, puisqu’elle est marquée du sceau de la vérité, et même de l’évidence.

Qu’il suffit de descendre dans la rue, de prendre le métro, de parcourir le pays, de regarder la télévision, de voir un Djamel Debbouze, remplaçant triomphant, traiter comme un chien devant des millions de téléspectateurs un David Pujadas, remplaciste complaisant, à l’occasion d’un film, La Marche, qui ressuscite la grande tradition du cinéma colonialiste — douleur et abnégation des colonisateurs, leur détermination, leur héroïsme, leur triomphe final, que Debbouze incarne à merveille —, qu’il suffit de tous ces spectacles quotidiens pour se persuader de la pertinence, hélas, de l’expression.

Quand aux immigrés qui s’intègrent, il faut les ranger dans notre peuple, bien entendu.

Je le répète depuis des lustres : la France peut parfaitement intégrer des individus, elle l’a toujours fait. Elle ne peut pas intégrer des peuples.

Et le discours antiraciste est totalement irréaliste et trompeur quand il prétend déconnecter complètement l’origine et la citoyenneté, les appartenances diverses, ethniques, religieuses, civilisationnelles et l’appartenance nationale, les peuples, puisqu’il faut désormais le pluriel, et la nation.

Les présupposés d’une telle conception appellent de leurs vœux un homme nouveau et les appels à l’homme nouveau ont toujours été le prélude aux pires tragédies.

Cet homme nouveau, d’autre part, il est aussi peu souhaitable que possible : ce n’est pas l’homme éclairé, c’est l’homme hébété, l’homme remplaçable, déculturé, abruti par l’enseignement de l’oubli et par l’imbécilisation médiatique.

Et parallèlement à son émergence resurgit en masse, comme par hasard, l’homme archaïque, celui d’avant le contrat social et le pacte d’in-nocence, non moins hébété, mais fanatique et violent.

Il poursuit en citant Léonora Miano, qui vient de recevoir le prix Femina : « Vous avez peur d’être culturellement minoritaires, mais ça va se passer, ça va se passer ! Ça s’appelle une mutation.

L’Europe va muter, elle a déjà muté. Il ne faut pas avoir peur. »

Selon Finkielkraut, elle dit la même chose que vous en inversant les signes. Et il déplore que l’on vous fasse grief « d’exprimer sous une forme inquiète et négative ce qu’il est permis aujourd’hui et peut-être bientôt obligatoire de glorifier ».

Vous avez un sentiment d’injustice vous concernant ?

Que les colonisateurs soient ravis de la colonisation et les colonisés un peu moins, c’est normal.

Ce sont les partisans indigènes du Grand Remplacement qu’on s’explique mal.

Le gouvernement voudrait faire passer une loi permettant d’étendre de façon considérable les possibilités de capter les données numériques personnelles.

La CNIL est muette jusqu’à présent. Nous dirigeons-nous vers une américanisation et une restriction de nos libertés toujours plus importantes de notre société ?

Américanisation, vous êtes modérée. Mais le chaos prendra de vitesse l’État policier.

Samedi, en Bretagne, les bonnets rouges ont été sifflés par les principales organisations syndicales, qui critiquent « une montée des poujadismes ». Ils ont raison ?

J’ai de la chance, j’ai déjà épuisé mes quatre mille signes autorisés…


 

COMMENTAIRES 

Jacques Verdier ·  Meilleur commentateur · Audencia Nantes

Les colonisés d'hier sont devenus les colonisateurs d'aujourd'hui, c'est là le problème. Seulement ce que l'on ne veut pas reconnaître, c'est qu'ils ne nous apportent rien et plus est, ils nous coûtent ;ceci avec la complicité de cette anti-france qui nous gouverne depuis des décennies et la bien pensence de cette fausse droite qui se croît de droite et qui participe à l'anéantissement de notre pays avec toute la gauche réunie.

Oui la France a toujours su accueillir des étrangers mais ces étrangers d'alors n'avaient qu'une ambition: devenir français la main sur le coeur et combien l'ont prouvé dans les conflits du vingtième siècle. Ceux-là nous pouvons les accueillir avec joie comme nous l'avons fait naguère parce qu'ils arrivaient avec le seul but de s'assimiler, c'est à dire devenir français à part entière et non pas de s'intégrer (intégrer= entrer dans un ensemble avec ses particularités). Quand on arrivera à faire cette différence et à mettre les moyens de la faire respecter alors on pourra parler d'immigration raisonnée.

 

Marcus Graven ·  Meilleur commentateur
Deux Bouse tient son rôle. Vedette du showbiz tendance Canal +, bête dans son couple (est-ce nécessaire de citer le nom de la belle), franco-maghrébin au passé peu reluisant le long d'une voie de chemin de fer entre Paris et Nantes - ce qui est un attrait pour la bobosphère qui a toujours préféré les voyous-, Deux Bouses est le sommet de la pyramide de la bien-pensance.
On le connaît. On laissera ses films pourrir dans le grand cimetière des nanars.
Ce qui pose problème ce sont les complices français de souche du Grand Remplacement.
Certes l'Education nationale et son bourrage de crâne qui a modifié durablement les têtes, certes les associations liberticides aidées par les lois Pleven, Gayssot, Taubira qui ont incrusté la crainte dans nos esprits, peuvent expliquer cette perte définitive du lien avec le réel, cette reductio ad hitlerum du présent.
Ceci suffit-il à expliquer cette inconscience collective, l’intolérance de ces "indignés" professionnels et amateurs, leur certitude de combattre pour la victoire du Bien, leur besoin d'effacer le passé, de gommer le visage de la France?
Ne sommes-nous pas face à une idéologie qui en assignant à ses opposants les rôles de nazis, de chiens, de colonialistes nauséabonds à l'ardent désir de changer l'humain. d'être la créatrice d'un homme nouveau ?
N'est-il pas plus que temps d'entrer dans une résistance beaucoup plus dure, plus consistante contre ce meilleur des mondes qui se construit sous nos yeux et sur nos vies?
 
François Lorre ·  Meilleur commentateur · Lycée Descartes à Tours France
Intégrer des individus ne pose pas de problème, quand il s'agit de distiller harmonieusement quelques notes de couleur, d'exotisme ou de différence culturelle au sein de notre communauté française occidentale et pétrie de racines chrétiennes tout au moins sur le plan culturel. Nous avons malheureusement dépassé depuis longtemps notre capacité d'absortion de la différence qui rend déjà différend la France d'aujourd'hui. Le mal être français tient pour une grande part au sociétal. Le mariage gay en a été une illustration. Dans un monde ou la technologie et les progrès de la science bouleverse bon nombre de nos habitudes, nous avons besoin de nous raccrocher à ce qui jusqu'à présent apparait encore comme du concrêt: les valeurs traditionnelles de notre pays, son histoire, ses coutumes et la richesse de ses production qui font sa renommée. Quand on s'aperçoit qu'il devient difficile de trouver des restaurants de cuisine française dans certains coins de france, que nous devons nous plier à des rites musulmans pour consommer notre viande, que Noël et Paques disparaissent du vocabulaire dans les medias, que des immigrés clandestins qui ont violé nos frontières reçoivent des aides de l'Etat, et sont défendus par des associations diverses, on peut se dire que l'anti France est à la besogne. Puisqu'avec l'onction du gouvernement tout est fait pour une collaboration objective avec cette anti France, je me dit qu'il y a une "axe du mal" auquel se prêtent des politiques qui devraient être étouffés de honte devant la trahison et la lacheté de leur comportement vis à vis de la France. De quels tribunaux relèvent-ils? Celui du peuple dans les urnes.

 

 

Source et publication:  http://www.bvoltaire.fr/renaudcamus/djamel-debbouze-incarne-merveille-le-remplacant-triomphant,42747?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=bc8d398e36-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-bc8d398e36-30403221

 

TRIBUNE LIBRE, POINT DE VUE ET CONSTAT !

$
0
0
Mercredi 27 novembre 2013

phillipot briois marine« Je représente un visage nouveau qui répond à une attente des médias », Marine Le Pen à l’AFP

À propos de Marine Le Pen et des invertis : « Marine Le Pen, c’est le phénomène Dalida, elle est adulée par un encadrement gay, elle a toujours fréquenté la nuit gay, de même que son père a toujours eu des personnes homosexuelles parmi ses amis. Le Pen(père) n’aime pas les folles, ni la revendication communautaire.


Si un mec correspond à son idée de la virilité, mais est gay, il s’en fout.


Ce sont des gens très bohèmes », racontait Nicolas Lebourg en entretien aux Inrocks.


Si la posture du père n’est pas à reprocher, la fille pose problème.

 

« Pourquoi les gays sont passés à droite » était titré un article de Didier Lestrade dans Le Seuil de 2012, où l’on apprenait que nombre d’entre eux s’estimant menacés par l’islam rejoignent les rangs de « l’extrême droite »… !

 

gay-prideSauf que c’est Marine Le Pen elle-même qui les a attirés vers le Front National en prétendant les défendre (dans ces mêmes revues) face un islam hostile à l’homosexualité.

 

 

Ce qui démontre clairement que, tiraillée entre son électorat et ses « lieutenants » (invertis), Marine Le Pen a été et sera contradictoire d’une déclaration à l’autre, comme avec l’exemple de la Manif pour tous, en défendant la notion de famille traditionnelle tout en appellant pas pleinement à manifester « pour la défense de l'institution du mariage »

 

Ce sont les revues Minute et Têtu qui ont dédié des numéros sur le sujet, livrant même les noms de chacun des militants invertis publics intégrés au sein du parti politique.

 

Espérons tout de même que, lorsque le président d’honneur ne sera plus, la Gay Pride ne se déroulera pas directement dans les locaux du Front National !

 

Source  http://www.thomasjoly.fr/article-le-rassemblement-bleu-inverti-par-florian-rouanet-121315593.html

LA POLITIQUE ET LE TOTALITARISME HUMANISTE ! TRIBUNE LIBRE !

$
0
0

La franc-maçonnerie ou le totalitarisme humaniste

 

 

« La franc-maçonnerie n’a jamais été a-politique et si elle a cru l’être, elle s’est trompée sur sa nature. »
(Thomas Mann, La Montagne magique.)

 

Quand on commence à approcher le terrain de la franc-maçonnerie, il faut s’armer d’une extrême vigilance, au point qu’en dépit des travaux monumentaux de Scholem, Puech ou René Le Forestier, on risque encore de s’y perdre, ce qui ne serait pas pour lui déplaire, étant entendu que la maçonnerie a toujours des secrets froidement gardés derrière son rideau rouge, lesquels continueraient de nous échapper ;  elle se définit d’abord par un processus d’initiation en se réclamant de la tradition orale, comme une sorte de gigantesque téléphone arabe.

 

 

En loges, que l’on soit apprenti, compagnon ou maître, on passe toujours par plus supérieur que soi.

Ce dernier aurait un secret appelé à devenir nôtre, ce qui participe à stimuler l’insatisfaction intellectuelle.

Au reste, tout l’attrait de la maçonnerie réside en ses mystères, au sens propre du terme.  C’en est même le laboratoire. 

Une salle de musculation à gnoses. Une secte, devenue religion.

 

La Franc-maçonnerie : une école-sanctuaire

Il s’agit d’une école, à plus forte raison puisqu’elle est l’instigatrice de l’école de la République, « sanctuaire de la nation » (Jack Lang).

 

Elle est d’abord une secte institutionnalisée en 1717 en multiples obédiences qui ne doivent leur existence… qu’à l’Eglise, raison pour laquelle on l’a souvent présentée comme une « contre-Eglise », une église sans Révélation. Le sociologue des religions, Rodney Stark, définit une secte par rapport à une REACTION devant une orthodoxie déjà existante, en se réclamant d’un retour à la pureté doctrinale et rituelle originelle ; c’est pourquoi le christianisme n’est pas une secte juive puisqu’il n’entend pas abolir le judaïsme (et pas n’importe lequel) mais le continuer – aucune rupture n’est revendiquée, contrairement au gnostique, Marcion.

Le cas de la maçonnerie est emblématique de la structure politique de la République française et peut-être Jean-Luc Mélenchon en résume l’ambiguïté la plus frappante. Voilà un homme qui se vante d’être un rationaliste athée pur jus (stoïcien, pour être exact – ce qui n’est plus du tout la même chose…), en prenant soin de tacler, dès qu’il en a l’occasion, toutes les religions jugées « aliénantes » (et surtout le catholicisme avec son « âge des ténèbres » médiéval, selon un réflexe manichéen quasi congénital chez les gnostiques) et qui, de l’autre, est membre du grand Orient de France, un des plus éminents organes du laïcisme. On ne peut pas faire comme si cela n’existait pas ; on pourrait se demander quel eût été le sort de Mélenchon en 1920 où, lors du Congrès de Tours, l’un des impératifs du communisme était l’interdiction d’appartenir à une loge maçonnique, considéré comme une trahison de classe.

Une telle contradiction qui voudrait que toute religion fût aliénante sauf la maçonnerie, prend des accents quelque peu schizophrènes, c’est certain. L’ennui est de rappeler combien sa position est le coeur même de la République quand celle-ci a voulu séparer les deux ordres, en oubliant une donnée anthropologique désormais acquise : le temporel est aussi religieux. Et, comme toute religion moderne, il y a des pratiquants et des non pratiquants.

 

En finir avec l’anathème « complotiste ! »

Ce sujet n’est pas une fixation catholique, loin s’en faut. Si certains comme Philippe Ploncard d’Assac (La maçonnerie) sont ouvertement catholiques, d’autres comme le philosophe Pierre Dortiguier ou l’historien Eric Saunier le ne sont pas (à notre connaissance) ; lui-même franc-maçon (et protestant), Roger Dachez a publié des travaux tout à fait remarquables sur le sujet. Le témoignage de Maurice Caillet (J’étais franc-maçon), ancien vénérable du Grand Orient et devenu catholique depuis, semble le plus instructif. Dans ses vidéo et écrits, l’évangéliste protestant, Bill Schnoebelen, a rapporté, le plus synthétiquement possible, la mentalité maçonnique, jusque dans ses sphères lucifériennes.

Il est vrai que ce sujet a souvent été mis en avant pour entretenir le fameux anathème : « théorie du complot ! » - sophisme digne d’interprétation philosophique, facilement déconstruit par une analyse anthropologique, laquelle observe très justement que l’homme se définit d’abord par ses relations, loin d’être cet aérolithe jeté dans le monde comme s’évertuent à le professer encore les philosophies de l’absurde.

Si nous parlons de la maçonnerie, c’est par devoir, d’autant qu’elle le veut bien – et, ceci, de plus en plus, au nom d’une logique de la transparence qui la dépasse. Elle nous y invite au nom de son sacro-saint pluralisme, et, surtout, on a tendance à minimiser ce qui constitue la République, avec ses contradictions.

En Histoire, par exemple, on étudie le féodalisme (mais de moins en moins) ou le monde islamique, afin d’approcher les sociétés selon les périodes, mais on ne parle jamais du maçonnisme pour expliquer la civilisation libérale. Jamais.

Pourquoi ? Un tel silence peut s’expliquer en raison d’un conditionnement. Nous avons tellement intériorisé le libéralisme qu’il irait de soi, du libertaire au libéral « modéré ».

Le critiquer serait déjà suspect, inconséquent voire irrationnel. Tant pis. Il se trouve que tous ces courants ont une matrice.

Aux naïfs de bonne volonté qui continueraient d’agiter leur joker « Théorie du complot ! » pour évacuer toute analyse de fond en prenant soin, toujours, de se réfugier dans un persiflage mondain ou dans la grille de lecture psychanalytique, nous invitons à découvrir les travaux de Pierre Hillard, en vue d’offrir des éléments de réponse suffisamment éloquents en matière de géo-politique moderne, laquelle a pour projet un Nouvel Ordre Mondial ;  d’ailleurs, ce n’est plus une théorie délirante mais un fait : la plupart des frères assument ouvertement l’avènement d’un Nouvel Ordre Mondial, une société civile généralisée dont l’ONU est déjà le coeur diplomatique, en étroite collusion avec le royaume bancaire.  Si nous ne sommes pas dans le secret des cœurs, on ne peut nier les faits, les desseins revendiqués, les relations, les réseaux, les lobbys qui sont l’empreinte même de l’être humain, son enracinement évolutif. Celui qui s’arrête à l’histoire officielle est comme ce géologue qui s’arrête à la surface du terrain qu’il se refuse de creuser.

Attitude parfois suffisante, sans doute, mais superficielle si l’on désire connaître la racine des phénomènes, au risque de s’y brûler à la manière d’Yves Montand dans le célèbre film (« complotiste ! »), I comme Icare.

En outre, on pourrait s’amuser à analyser les grandes tragédies grecques ou les pièces de Shakespeare, pour ne citer qu’elles, en restant fidèle au très politiquement correct « théorie du complot » = pathologie = paranoïa !

S’il fallait refuser le complot au nom de bonnes intentions, que deviendrait Aaron dans Titus Andronicus ou Shylock dans Le Marchand de Venise ?

On devine déjà les inquisiteurs du « politiquement correct » hurler au racisme et à l’antisémitisme de Shakespeare en raison de la couleur de peau d’Aaron ou de la judéité de Shylock.

Dans un autre ordre de configuration, dans les cas où, par tous les moyens, nous devrions suspendre les intentions dissimulées pour arriver à nos fins, il faudrait se figurer tous les entraîneurs de chaque équipe de sport révéler, avant chaque match d’importance, la tactique adoptée en fonction de l’adversaire ; au poker, chacun devrait révéler son jeu avant d’abattre ses cartes ; à la chasse, tous les chasseurs avertiraient l’animal avant le coup de fusil pour donner raison aux bien-pensants qui ont encore décidément bien « du mal » à valider la réalité du péché originel.

Sans minimiser l’aléatoire des relations, nous refusons de sombrer dans la naïveté irénique de l’humanisme des Lumières, surtout lorsqu’il s’agit de porter un regard sur l‘homme occidental. S’il est un devoir de révéler les mauvaises intentions, il est aussi un devoir de révéler en quoi elles sont mauvaises.

Or, au nom de cet a priori facile et confortable, on refuse de considérer les relations entre les individus ; nous serions des êtres triomphants de toute influence, monades humaines égocentrées, capables de choisir selon notre droite raison.

Dans la réalité, ce n’est pas le cas. « Le tout est nécessairement antérieur aux parties » – nous sommes « zoon politikon », nos relations jouent sur notre comportement, au point de supplanter bien souvent nos supposés calculs rationnels.

Avec l’anathème « théorie du complot », Shakespeare ne ferait plus autorité ; il serait regrettable de se passer d’un tel sondeur de l’âme humaine… S’il existe une hystérie dans la paranoïa, il en existe une autre dans le procès thérapeutique de l’anti-paranoïa.

Toutefois, cet anathème traduit une intelligence (souvent inconsciente, hélas) de la victime, l’autre nom du christianisme. On sait, au moins depuis Saint Irénée de Lyon, ce que contient de satanique toute intention accusatoire et on refuse la stigmatisation, laquelle sacralise la victime; ce rejet de la stigmatisation est une exigence spécifiquement chrétienne, comme l’a très bien mis en évidence Vivien Hoch dans son article (lire ici). En conséquence, il ne s’agit pas d’attaquer les personnes qui ont leur parcours, leurs aventures – les francs-maçons sont souvent des personnes honnêtes, aimables et civilisées -, mais de manifester les doctrines, surtout quand celles-ci n’obéissent à rien de bien raisonnable. D’ailleurs, « ils ne savent pas ce qu’ils font »… et ils n’ont surtout pas envie de le savoir. Hélas, en détruisant toute médiation nécessaire dans la vie d’une personne, l’optimisme humaniste de la maçonnerie occulte la réalité du mal qui « existe dans le monde [et] a des effets sur lui, mais ni le modèle rationaliste ni sa démystification critique ne sont capables de le reconnaître. Leur candeur naïve est blâmable car, occultant le mal, elle participe de son emprise sur le monde et les êtres qui l’habitent. » (Jean-Pierre Dupuy, Avions-nous oublié le mal ?)

Aux yeux de Dupuy, le mal est l’absence de médiation, laquelle s’intensifie à mesure que les individus se transforment en automates avec un bout de sexe et un estomac, sans tradition, sans histoire, intégralement déracinés ; une telle horizontalité totalitaire est susceptible d’éclater dans une violence pure, un « coup de théâtre » sans précédent, une catastrophe qu’Orwell n’aurait pas écrite.

D’autre part, loin de nous l’intention de manifester une quelconque fascination pour l’aliénation (à la manière d’un « Deleuze/Guattari »), mais rappelons simplement que le paranoïaque n’est pas forcément dans le faux. Dostoïevski a très bien montré la lucidité du patho-logique. Que l’on se souvienne de Stavroguine, démon à l’intelligence froide, baudelairien, machiavélien. Il est fou, oui, mais délirant de logique.

Enfin, en guise d’exigence et parce qu’il n’est pas le lieu de faire de l’esthétisme – auquel cas, Kubrick serait une judicieuse illustration, dont le dernier film, Eyes Wide Shut, ce n’est pas un hasard, s’interroge précisément sur ce sujet… (digne d’être « son » Salo ou les 120 journées de Sodome pasolinien) -, du patho-logique, nous ne préférerons garder ici que la logique, par précaution.  Si pathologie il devait y avoir, force est de constater qu’elle se place du côté de laschizophrénie des laïcistes, comme il nous reste à le vérifier.

 

La religion des Droits de l’Homme

Cette précision faite, place à l’éclairage sur cette religion du progrès. Derrière le rideau rouge, quelle est sa mentalité ? Quelle est sa finalité ? Comment pense-t-elle l’homme ?

Habiles chercheurs de puces et idiots utiles de la maçonnerie, les relativistes corrigeront déjà en insistant sur « ses » visions du monde. Il ne faudra pas les contredire : tout cela est vrai.

Il existe au sein de la maçonnerie des divisions infinies, pour ne pas dire des guerres : la branche spiritualiste, cryptocatholique et légitimiste sur le plan politique (celle d’un Maistre), la branche déiste et anglomane (réformiste, mais légaliste) de l’autre ; enfin, la branche acquise aux Lumières et favorable aux idées révolutionnaires (matrice des clubs de la Révolution) ; bref, une maçonnerie rationaliste, déiste et mystique avec à chaque fois, un positionnement politique différent, partagé entre libéralisme anglo-saxon, réforme aligné sur les idéaux de la Révolution, puis sur le régime impérial français et, enfin, légitimisme de la maçonnerie traditionnelle. (p.1184, Oeuvres, Joseph de Maistre).

Il faut le reconnaître : toutes ces variations, charme de la maçonnerie, sont justes. Cela ne signifie pas pour autant qu’un invariant est inaccessible. Or, cet invariant existe ; c’est ce que nous entendons relever pour la suite de notre enquête.

 

 

Même s’il n’est pas le lieu de mettre l’accent sur le symbolisme maçonnique, il est utile de relever la signification de l’oeil dans le triangle, représentation du « Dieu horloger », la Liberté avec un L brisant les chaînes de la servitude (l’Ancien Régime), laquelle participe à convertir le vieil homme en Homme nouveau, le Républicain, selon une imitation paulinienne renversée jusque dans la symbolique du serpent se mordant la queue. Le bonnet phrygien peut renvoyer à Mithra, souvent représenté sous les traits d’un jeune homme coiffé d’un bonnet phrygien, plongeant un poignard dans le cou d’un taureau, selon les mystères qui étaient célébrés en son honneur dans le monde hellénistique puis à Rome avec, en plus des tauroboles, des épreuves initiatiques et parfois des sacrifices humains ; quant aux faisceaux des licteurs, tout le monde fera le rapprochement :  la maladie de la « romanite »…

La franc-maçonnerie a une histoire, des codes, des rites, une philosophie d’existence qui ne peuvent s’expliquer sans insister sur le fameux « Dieu horloger », ce Dieu abstrait, totalement indifférent aux occupations humaines. Pas de salut ni de possibilité de perdition. Il est « au-dessus », un point c’est tout – ce déisme justifie, par exemple, l’annulation de la prière.

La maçonnerie spéculative s’est constituée une histoire à partir de la maçonnerie dite « opérative » ; les premiers maçons sont en fait des gnostiques : un gnostique est quelqu’un qui prend des symboles religieux et les mêlent à d’autres avec toujours cette idée qu’il faut revenir à un état de pure nature. Ils sont les constructeurs des cathédrales, en partie. Aussi, il existe un mythe fondateur : Hiram, l’architecte du Temple de Salomon, aurait été tué par d’autres compagnons. Nous n’avons aucune trace scripturaire de ce meurtre (mais Hiram est dans les Rois de la Bible) ;  c’est principalement une tradition orale, au départ. La finalité de la maçonnerie est lareconstruction du temple de Salomon, vécu comme l’âge d’or des supposés maçons opératifs, les premiers initiés de l’histoire.

Il existe des dogmes dans la franc-maçonnerie qui justifient, en partie, l’adhésion d’ un initié – ajoutons que cet initié est présenté aux frères par cooptation. Si vous voulez vous faire baptiser, il vous suffit de rentrer dans une église et de vous confier à un prêtre. Si vous voulez être franc-maçon, il faut connaître un frère, avoir souvent un bon portefeuille (les ouvriers se font rares dans les loges), et adhérer aux dogmes de ses temples :

1) Le syncrétisme : Toutes les religions sont dignes d’être appréciées au même niveau d’exigence. L’une n’est pas plus supérieure qu’une autre. (ce syncrétisme se justifie par rapport au dogme premier, à savoir : le déisme). La religion est ici convertie en spiritualité, une conviction sans la verticalité du dogme, ce qui revient à dogmatiser l’humeur.

2) Le relativisme : Aucune vérité n’est définitive. La morale est contingente, évolue, n’est pas transcendantale. Ce qui est vrai aujourd’hui sera faux demain. Il s’agit d’une morale pratique et évolutive (on pense à Kant, lui aussi héritier du nominalisme occamien).

Jamais le déisme n’a fait l’objet d’une analyse métaphysique digne de ce nom, bien que Tresmontant en ait révélé définitivement l’ineptie pour manifester le rationalisme intégral duthéisme. La franc-maçonnerie se situe dans un courant qui vient du Moyen Age et qui, le sachant ou non, a pour héritage le nominalisme. Ce dernier, qui « accorde réalité aux individus et non aux relations, aux éléments et non aux ensembles, est très fort chez nous. En fin de compte, ce n’est qu’un autre nom de l’individualisme, ou plutôt l’une de ses faces. On se propose en somme de l’analyser, et il refuse d’être analysé : en ce sens l’opposition est sans issue. Il ne veut connaître que Jean, Pierre et Paul, mais Jean, Pierre et Paul ne sont des hommes que du fait des RELATIONS qu’il y a entre eux. » (Louis DumontEssais sur l’individualisme, p.24)

Par exemple, la fameuse phrase « Je ne suis pas d’accord avec vous mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous puissiez le dire » ne se convertirait jamais par la suivante : « Je ne suis pas d’accord avec vous mais je me battrai jusqu’à la vie pour que vous cessiez de vivre de représentations.« 

Ce qui importe pour les francs-maçons, ce ne sont pas les personnes, mais les idées. Cela rejoint l’antique gnose : le monde est jugé mauvais, la matière est mauvaise ; ce qui est pur, ce sont les idées, la spéculation, royaume du pur esprit, la Pistis Sophia. Tel est le « geste » métaphysique de la maçonnerie qui a des conséquences réelles dans la vie quotidienne.

Ainsi, quand Lucien Neuwirth, franc-maçon, propose la loi autorisant la contraception en France en décembre 1967, il le fait avec les meilleures intentions du monde, d’après sa mentalité de départ : la liberté des moeurs et la primauté d’une politique néo-malthusienne qui traduit un rejet gnostique du corps. Puisque le corps est périssable, on peut le déconsidérer, jouer avec selon nos caprices, comme de la pâte à modeler.

 

Egalité : Il n’y en a aucune dans la franc-maçonnerie ; il est question d’une égalité potentielle, jamais réelle. 1. Les femmes sont dans des loges spécifiques, séparées de celles des hommes, alors que, chose amusante, la parité hommes/femmes a été pensée dans les loges2. il y a le monde profane séparé de celui des initiés, les élus.
De plus, il faut connaître un franc-maçon pour y rentrer. Les ordres sont séparés : compagnon, apprenti, maître.

Liberté : L’autre nom du self-made man : toujours plus loin dans la maîtrise de soi. C’est un pélagianisme qui ne dit pas son nom ; Pélage considérait qu’on pouvait atteindre le salut de son propre chef. La liberté est une fin en soi pour le maçon, quand elle est un moyen pour le catholique, reconnaissant la motion prévenante de Dieu, plus communément appeler la Providence, c’est-à-dire la causalité voulue selon la bonté divine. La Liberté maçonnique s’inscrit dans l’héritage de l’individualisme : nous passons des relations entre hommes aux relations deshommes aux objets. (Homo Aequalis, Louis Dumont)

Fraternité : hédonisme ; la recherche du plaisir, telle est la finalité. Libertinage, divorces, IVG, PACS, euthanasie, etc. Il y a quelque chose de séduisant dans cette philanthropie sans médiation. Très souvent, le franc-maçon agit « pour le bien » (de l’humanité) – il en est même souvent convaincu ; mais de quel bien s’agit-il ? Où est le bien et le mal lorsqu’on est dans le subjectivisme moral et qu’on sacralise malgré soi sa propre conscience ? Inévitablement, ils évoluent selon les moeurs et les humeurs, servant de relais à un consumérisme utilitaire.

 

Ancien médecin chirurgien-gynécologue, Maurice Caillet fait observer dans Hédonisme et christianisme que « l’hédoniste instrumentalise, chosifie l’objet de son désir. Il n’aime pas l’autre, il veut le posséder, comme un vulgaire objet de consommation » (p. 35) ; il n’y a plus que des conjoints, de simples instruments de jouissance égoïste ;  la contraception provoque l’incapacité d’aimer vraiment, le vagabondage sexuel compulsif, comme une drogue, et la frigidité accompagnée d’anxiété.

3) Enfin, l’universalisme abstrait se traduit en mondialisme technocratique. C’est abstrait et anti-organique. Il n’y a pas de pouvoir personnel. C’est le royaume de la technocratie. La politique est pragmatisme, Realpolitik détaché de toute finalité ; la justice et son droit abstrait se réduisent à simple ajustement digne d’un code de la route rawlsien. (cf Le sacrifice et l’envie, Jean-Pierre Dupuy)

 

Fascisme de l’impersonnel : l’individualisme

 

« Le fond de mon enseignement consistera à te convaincre de ne pas craindre la sacralité et les sentiments, dont le laïcisme de la société de consommation a privé les hommes en les transformant en automates laids et stupides, adorateurs de fétiches. » (Pier Paolo Pasolini, Lettres luthériennes)

Dégénérescence du christianisme, la franc-maçonnerie ressemble à un jeu de rôle sacré, où l’on assimile « une fiction à laquelle on adhère » pour reprendre Roger Dachez. Paradoxe du maçon, il s’agit d’assumer une distanciation avec le réel tout en jouant un personnage sacralisé, maître du verbe. C’est l’occasion de mettre en évidence l’immanentisme des loges, doctrine selon laquelle les maçons se croiraient consubstantiels à la divinité.

Il est inutile d’être franc-maçon pour adopter leurs dogmes dans le quotidien ; le conditionnement est tel qu’il devient difficile pour beaucoup d’y échapper, si bien que l’expression « laïcs non-pratiquants » prend tout son sens, à la manière d’un Michel Onfray qui serait plutôt un « laïc militant ». En réalité, ils ont tellement intégré le relativisme, l’auto-suffisance et l’utilitarisme qu’ils sont devenus des prières vivantes du credo franc-maçon. Il suffit de lire La culture du narcissismede Christopher Lasch pour être saisi de l’influence contagieuse d’une vision du monde prédatrice et infantile, au point que toute la mentalité de la maçonnerie s’est imposée en norme comportementale depuis au moins deux  siècles. 

« L’économique comme catégorie majeure représente le sommet de l’individualisme et, comme tel, tend à être suprême dans notre univers. » (Louis Dumont, Homo Aequalis I, p.75)

Le mythe de l’individualisme repose sur la primauté de l’individu coupé de toute finalitétranscendante quand ce dernier se comprend par rapport à ses relations qui l’in-forment ; il n’est pas un aérolithe « jeté dans le monde ». La meilleure méthode pour étudier une société donnée, c’est de révéler les dogmes, les rites et les interdits qui la constituent. Si jamais on commence avec l’a priori individualiste, alors, dans notre cas, nous n’aurons pas conscience des dogmes de notre société.

C’est pourquoi une grille de lecture holiste s’impose (= dire ce qu’est notre société) afin de penser l’individu, ce qui témoigne d’une exigence réaliste, aristotélicienne : « Le tout est nécessairement antérieur aux parties. » (La politique, Livre I, chapitre 2)

Hélas, si jamais on adopte la méthode opposée, si jamais on place l’individu avant le groupe, on se condamne à des erreurs de perspective inévitables, quitte, parfois, à devenir complices d’un système qu’on aurait intériorisé malgré soi. Pour mieux le comprendre, il est important d’insister sur ce fait anthropologique : un individu est avant tout le « produit » d’un milieu dans lequel il vit. Il ne peut en sortir qu’en ayant conscience de ce milieu.

De fait, le coeur de notre civilisation a pour dogme l’individualisme ; derrière le rideau rouge de la franc-maçonnerie se révèle l’ultime interdit : une indifférence libérale à l’égard du religieux, trahissant un présupposé digne de la philosophie des Lumières, selon lequel la religion est assimilée au fanatisme, quand, au contraire, la religion est mère des civilisations ; le sacré contient la violence, dans la mesure où, pour mieux unir une communauté, il expulse, par le sacrifice, tout ce qui serait susceptible de créer des violences intestines, en premier lieu l’uniformité entre les membres du groupe.

Nous nous sommes efforcés de porter l’attention sur les racines religieuses de ce  libéralisme. C’est Claude Tresmontant qui a su pointer une telle ambiguïté :

« La foi est personnelle mais ne peut pas être communiquée ; et qu’en conséquence la foi doit rester dans le domaine privé et ne doit jouer aucun rôle en politique : La politique, c’est l’ordre de la nature et de la raison. La foi, c’est du surnaturel, et elle ne fait pas partie de l’ordre de la raison et de la science. Les deux domaines, la théologie et la politique, sont ainsi séparés, exactement comme chez Kant, le croire, la foi, le Glauben, – et le savoir, le Wissen, la science. »

« Du point de vue des hommes politiques qui professent l’athéisme, c’est parfait. Le système est parfaitement satisfaisant. L’homme politique athée laisse volontiers à son collègue religieux, comme on dit, ses croyances plus ou moins irrationnelles, à la condition qu’il ne les fasse pas intervenir dans le domaine politique. »

« Désormais les questions de fond ne relèvent plus de la discussion rationnelle. Elles relèvent de ce que nos hommes politiques appellent pudiquement et en baissant les yeux, leur sensibilité politique. »

(Claude Tresmontant, Christianisme et politique, p.107)

Mais que fera-t-on quand on reconnaîtra que cette sensibilité n’est pas fondée en raison et qu’elle répond à une mentalité gnostique, elle-même ritualisée ? Que l’athéisme, comme le panthéisme, est religieux, beaucoup trop religieux, puisqu’il divinise indûment l’univers en lui prêtant des pouvoirs et des capacités qu’il ne possède pas ?

C’est pour cette raison qu’on peut être franc-maçon et l’ignorer comme monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir ; la formule « non pratiquant », en définitive, relève du sophisme – en réalité, on est une pratique. On n’est jamais statique. Nos actes disent quelque chose. L’être est une action comme l’a définitivement démontré Maurice Blondel.

Si les sondages, le rituel du vote dans un isoloir, le rituel du « débat » entre les deux adversaires du second tour, les hymnes nationaux, les fêtes nationales, le rôle de l’économie et de la justice sur ce sol enfin débarrassé de toute sacralité supposée aliénante, ne relèvent en rien, c’est entendu, d’une quelconque empreinte religieuse, alors l’être humain, même l’individualiste tolérant qui s’en va guerroyer (un autre rite) au nom de ses valeurs, n’a définitivement rien à voir avec ce méchant sacré. Définitivement.

Ce qui nous a paru intéressant, ce n’est pas de révéler l’existence du laïcisme, son projet délirant, sa morale absurde ou ses fantasmes de malade, mais de vérifier combien, en dépit de sa tentative libertine, il est impossible d’échapper à un espace sacrificiel au point que « Ceux qui, au nom de leur précieuse différence, refusent systématiquement de se plier à la moindre coutume (= toute manière de vivre partagée) tendent généralement à développer, en retour, un grand nombre demanies individuelles (qui ne sont que des coutumes et des cérémonies privées), et, surtout, un grand potentiel de haine et de colère (auto)destructrice. » (Jean-Claude Michéa, L’empire du moindre mal, p.140)

 

© Jérémy Marie, pour Itinerarium

source et publication:  http://www.itinerarium.fr/la-franc-maconnerie-ou-le-totalitarisme-humaniste/
 

SLOVAQUIE : ATTENTION A LA PROPAGANDE COSMOPOLITE .......

$
0
0

Victoire nationaliste en Slovaquie : le lobby sioniste appelle à interdire les partis nationalistes européens

Les nationaux de Slovenska Pospolitost défilent, pas une oreille rouge ne bouge

BREIZATAO – ETREBROADEL (26/11/2013) Marian Kotleba, le dirigeant du parti nationaliste slovaque Slovenska Pospolitost (Fraternité slovaque), a été élu gouverneur de la Région administrative de Banská Bystrica.

Il a gagné lors du deuxième tour face au candidat du Parti social-démocrate Smer-SD Vladimir Manka soutenu par l’ensemble de l’établissement politique, par 55,7% des voix contre 44,3%.

Marian Kotleba a fait campagne contre la criminalité tsigane.

Réagissant à cette victoire démocratique, le lobby sioniste international, par la voix du Congrès juif Européen, a appelé les gouvernements européens et l’UE à faire interdire tous les partis nationalistes dans le cadre “d’un plan d’action”.

C’est le Congrès juif Mondial qui avait exigé du gouvernement grec l’interdiction d’Aube Dorée, parti nationaliste grec, et obtenu l’arrestation de plusieurs de ses dirigeants.

 

Cette action n’a cependant guère entamé la côté de popularité du parti nationaliste grec, qui en un mois a regagné l’essentiel de ses intentions de vote, malgré une propagande cosmopolite renforcée par le gouvernement pro-sioniste grec.

 

(1403)

 

Short URL: http://breizatao.com/?p=16213

NANTES TRISTAN ET YSEULT! LE BALLET SYMPHONIQUE CELTIQUE .....

$
0
0

 

Tristan & Yseult, le ballet symphonique celtique le 7 mars 2014 au Zénith de Nantes

France 3 Pays de la Loire a souhaité soutenir cette toute nouvelle production Tristan & Yseult, qui raconte l'une des grandes légendes celtiques et sans nul doute la plus tragique des histoires d'amour.

  • Par Sandrine Quéméneur
  • Publié le 25/11/2013 | 14:53, mis à jour le 25/11/2013 | 14:57

L'histoire

Après avoir vaincu le monstrueux Morholt (Guerrier géant qui ravageait le pays de Cornouailles), le jeune Tristan venu d'Armorique est sacré champion du royaume par le roi Marc'h qui très vite le considère comme le fils qu'il n'a jamais eu. Mais mortellement blessé durant le combat, Tristan quitte secrètement les Cornouailles afin de mourir loin du Roi Marc'h qu'il affectionne tant...Tristan est retrouvé à demi mort sur les rivages de l'ile verte par la belle Yseult fille de Donnchadh, roi d'Irlande et ennemi juré du Roi Marc'h. Incantations, magie et charmes de la belle ressuscitent le champion de Cornouailles. Tristan et Yseult ne font plus qu'un. Loin du monde ils savourent un amour absolu. Mais l'idylle sera de courte durée. Les guerriers de Donnchadh surveillent les côtes irlandaises. La mort dans l'âme, Yseult renvoie Tristan parmi les siens.De retour à la cour du Roi Marc'h, Tristan est célébré tel le héros qui sut vaincre la mort. Durant les festivités, le roi, veuf depuis des années, annonce la fin des guerres fratricides qui perdurent entre la Cornouailles et l'Irlande.

Et pour sceller la réconciliation entre les deux pays, il épousera la fille du Roi Donnchadh, Yseult. Pour aller quérir en Irlande sa future épouse, le Roi Marc'h missionne celui en lequel il a le plus confiance : Tristan, son fils adoptif, son champion, son ami...

Ce fils tant aimé qui plus que jamais n'ose révéler son amour pour Yseult. Ainsi commence au château de Tintagel, une triangulaire légendaire où l'amour et le mensonge sont de chaque instant...

La danse exulte la passion, la musique transcende la tragédie afin que le spectateur soit en immersion totale au cœur de la plus célèbre des histoires d'amour.


Le disque : une sortie pour la fête des amoureux le 14 février 2014

Alan Simon, l'auteur-compositeur de la trilogie "Excalibur" (double disque de platine, 200 000 spectateurs), de l'album concept "Gaia" ou encore de l'opéra-rock "Anne de Bretagne", s'apprête à offrir un nouveau souffle aux éternels amants. "Tristan et Yseult" sera disponible en album le vendredi 14 février 2014 et sera sur scène le vendredi 7 mars 2014 pour sa première mondiale au Zénith de Nantes Métropole. Le disque : c'est le jour de la Saint-Valentin que sortira le 10è album studio du Nantais Alan Simon. Réalisé en Bretagne, Irlande, Angleterre, Australie, Etats-Unis et Italie, l'album est une oeuvre pour instruments symphoniques et celtiques incluant 20 titres originaux. Évoquant chronologiquement l'histoire des amants du merveilleux, Alan Simon souhaite offrir au public une oeuvre romantique ou mouvements symphoniques, chansons et complaintes ponctuent un nouvel opus défendu avec passion par plus de 120 musiciens. Pour magnifier la partition originale, l'auteur-compositeur breton a étroitement collaboré avec le chef d'orchestre et arrangeur américain Lee Holdridge (à qui l'on doit notamment le chef d'oeuvre: "Jonathan Livingston le Goéland"). Un an de studio aura été indispensable pour achever ce nouvel album-concept dont le livret de 48 pages permettra de suivre la totalité de l'histoire en trois langues (français, breton et anglais). Le livret est somptueusement illustré par l'institut d'enluminures médiévales basé à Angers et dirigé par le maitre enlumineur Barbara de Monchy. Enfin le mixage est signé Marco Canepa, longtemps ingénieur du son du troubadour Italien Angelo Branduardi et de Paolo Conte mais aussi d'Alan Simon depuis la trilogie "Excalibur".

La scène

Trois semaines après la sortie de l'album, le vendredi 7 mars 2014 à 20h30, "Tristan et Yseult" sera transposé pour la première fois sur la grande scène du Zénith de Nantes Métropole : une création offerte tout d'abord au public nantais avant de partir en tournée européenne fin 2014.

 Le spectacle associe 60 artistes en live dont un symphonique, six musiciens irlandais, quatre chanteurs – acteurs, douze talentueux danseurs irlandais et dans les rôles de Tristan et d'Yseult deux grands danseurs solistes classiques (dont les noms seront révélés en octobre prochain lors d'une conférence de presse prévue à Nantes) et deux grandes voix : celle de la jeune Soprane celtique Siobhan Owen et celle du charismatique Roberto Tiranti.

 Pour cette première, une mise en lumière somptueuse sera signée Roque Ségovia (à qui l'on doit "Les nuits magiques" du festival interceltique de Lorient mais aussi les créations Excalibur en Allemagne et l'opéra rock "Anne de Bretagne" au Château des Ducs de Bretagne). Les enluminures créées par Barbara de Monchy seront animées et projetées sur huit oriflammes géantes qui encadreront la grande scène du Zénith.

Les chorégraphies sont réalisées en étroite collaboration avec les danseurs sous la direction de Nikolaï Androsov à qui l’on doit Cyrano de Bergerac, Casanova, et de nombreux grands spectacles internationaux. Il a collaboré à plusieurs reprises avec le Bolchoï de Moscou, mais aussi avec de grandes étoiles reconnues mondialement (Patrick Dupond, Marie Claude Pietragalla, …).

Les danseurs irlandais sont chorégraphiés par Catriona Ni Leamhcan (par ailleurs chorégraphe d'Avalon Celtic Dance). Le spectacle est mis en scène par Alan Simon qui interprètera le rôle du roi Marc'h, Roi de Cornouailles et père adoptif de Tristan. Il donnera ainsi la réplique au célèbre fondateur du groupe Ange, Christian Décamps. Ce dernier incarnera (après François II duc de Bretagne pour l'opéra "Anne de Bretagne" et Merlin pour "Excalibur live à Brocéliande") le Roi Donnchadh, Roi d’Irlande, père de la belle Yseult, et ennemi juré.

Tout savoir sur le spectacle, cliquez ici


Source et publication :  http://pays-de-la-loire.france3.fr/2013/11/25/tristan-yseult-le-ballet-symphonique-celtique-le-7-mars-2014-au-zenith-de-nantes-364671.html


MUNICIPALES 2014 ! CES MUSULMANS EN RENFORT DE LA GAUCHE.?... .....

$
0
0

 

Municipales 2014 : les musulmans appelés à s'inscrire pour voter

Rédigé par La Rédaction | Mardi 26 Novembre 2013


 


 

 

 
es élections municipales approchant, des responsables musulmans sont plus nombreux à inciter leurs fidèles à aller voter en mars 2014.
 
C’est le cas de Hassan Iquioussen, membre éminent de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), également imam de la mosquée d'Escaudain, dans le Nord. 

Dans une vidéo intitulée « Vite ! Agissez avant qu'il ne soit trop tard ! »et mise en ligne lundi 25 novembre, Hassan Iquioussen, conférencier très écouté en France, incite la jeunesse « à assumer leur devoir de citoyens » pour « participer au développement de notre société »


« Notre société doit évoluer dans le bon sens.

On doit ordonner le bien (…), essayer de faire barrage à l’injustice et au mal et pour que cela se fasse, il faut nous engager politiquement et l’engagement commence par l’inscription sur les listes électorales » avant le 31 décembre que l'imam estime être « un devoir spirituel, moral, politique, citoyen ». 

« L’avenir n’est pas toujours glorieux pour les citoyens de confession musulmane aujourd’hui qui sont stigmatisés en permanence par certains politiques qui sont sans foi ni loi, qui trahissent les principes de notre République », conclut-il. Hassan Iquioussen ne donne pas pour autant de consignes de vote. La charge du choix - ou du non-choix pour certains - incombera aux électeurs.
 

  •  

 
source et publication:  http://www.saphirnews.com/Municipales-2014-les-musulmans-appeles-a-s-inscrire-pour-voter_a17990.html

ISLAM ! VOILE ! GYNÉCOLOGUE EN COLÈRE .....

$
0
0

Gynécologue en colère : “Je ne compte plus le nombre de fois où des femmes m’ont dit être obligées de porter leur voile”

Posted On 27 nov 2013
 

niqab-09g

Cela m’est arrivé dans mon exercice (gynécologue) d’avoir à examiner une femme en burqa noire avec les gants et le visage complètement couvert.

Je lui ai dit que si elle voulait que je l’examine il fallait qu’elle enlève tout ça, y compris le visage.

Elle a accepté sans un mot. Si elle avait refusé, je l’aurais priée de sortir.

A une autre qui avait un voile qui montrait le visage et qui, voile enlevé, avait une magnifique chevelure noire et longue, j’ai exprimé ma tristesse qu’elle cache une telle splendeur.

Elle m’a répondu qu’elle était OBLIGEE.

 Je ne compte plus le nombre de fois où, parlant de leur voile les femmes m’ont dit être obligées.

D’autres aussi ont rétorqué avec une grande fierté que c’était leur religion.

Celle-là je ne les ai plus revues et tant mieux.

J’avais envie qu’elles se disent entre elles que je n’aimais pas le voile.

 

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Erinye pour Dreuz.info.

- See more at: http://www.dreuz.info/2013/11/gynecologue-en-colere-je-ne-compte-plus-le-nombre-de-fois-ou-des-femmes-mont-dit-etre-obligees-de-porter-leur-voile/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29#sthash.WtjgHTPN.dpuf

DANS LES COULISSES DU GRAND JOURNAL DE CANAL+ ???

$
0
0

Une ex-miss météo dénonce les coulisses du Grand Journal de Canal Plus

 

Miss Météo du Grand journal durant la saison 2011/2012, Solweig Lizlow garde un souvenir amer de cette expérience télé.

Aujourd’hui encore, celle qui vit désormais à New York, pour poursuivre sa carrière de mannequin, ne mâche pas ses mots lorsqu’il s’agit de se remémorer son passage sur Canal+.

[...]. Dans un entretien à Purepeople.com, elle avait raconté que son «calvaire» au Grand journal avait commencé dès le premier jour.

«J’avais eu ces quelques mots de bienvenue de la part de deux des chefs du Grand journal : «Tu sais Solweig, tu es le choix de Canal+, mais tu n’es absolument pas le nôtre.»

Je vous laisse imaginer la magnifique année que j’ai passée, entre censure permanente et humiliation.»

Lassée de ne pouvoir placer ses idées pour sa chronique de Miss Météo, elle avait rapidement renoncé.

«Au bout d’un moment tu laisses tomber, tu crées le personnage qu’ils attendent de toi, avait-elle ajouté.

Une pouffe décérébrée à la voix nasillarde dont la mission est de séduire les «7-13 ans» et les «cadres sup’» selon leurs termes. [...]

La jeune mannequin dit avoir été «choquée» par l’attitude des gens du milieu.

 «J’ai dû cohabiter chaque jour avec des gens hautains et dédaigneux de la classe sociale qu’ils jugeaient inférieure à eux, lâche-t-elle.

[...]. Avec le recul, je retiens que la télévision n’est qu’un tissu de mensonges.

On choisit ce que l’on veut montrer de soi, il faut être un peu comédien et pas mal lèche cul.»

Et de conclure que «les gens connus de la télévision sont en majorité des gros cons et des gros beaufs».

TV Mag Le Figaro

source :   http://www.fdesouche.com/437417-un-ex-miss-meteo-denonce-les-coulisses-du-grand-journal-de-canal-plus

DANS LES COULISSES DU GRAND JOURNAL DE CANAL+ ???

$
0
0

Une ex-miss météo dénonce les coulisses du Grand Journal de Canal Plus

 

Miss Météo du Grand journal durant la saison 2011/2012, Solweig Lizlow garde un souvenir amer de cette expérience télé.

Aujourd’hui encore, celle qui vit désormais à New York, pour poursuivre sa carrière de mannequin, ne mâche pas ses mots lorsqu’il s’agit de se remémorer son passage sur Canal+.

[...]. Dans un entretien à Purepeople.com, elle avait raconté que son «calvaire» au Grand journal avait commencé dès le premier jour.

«J’avais eu ces quelques mots de bienvenue de la part de deux des chefs du Grand journal : «Tu sais Solweig, tu es le choix de Canal+, mais tu n’es absolument pas le nôtre.»

Je vous laisse imaginer la magnifique année que j’ai passée, entre censure permanente et humiliation.»

Lassée de ne pouvoir placer ses idées pour sa chronique de Miss Météo, elle avait rapidement renoncé.

«Au bout d’un moment tu laisses tomber, tu crées le personnage qu’ils attendent de toi, avait-elle ajouté.

Une pouffe décérébrée à la voix nasillarde dont la mission est de séduire les «7-13 ans» et les «cadres sup’» selon leurs termes. [...]

La jeune mannequin dit avoir été «choquée» par l’attitude des gens du milieu.

 «J’ai dû cohabiter chaque jour avec des gens hautains et dédaigneux de la classe sociale qu’ils jugeaient inférieure à eux, lâche-t-elle.

[...]. Avec le recul, je retiens que la télévision n’est qu’un tissu de mensonges.

On choisit ce que l’on veut montrer de soi, il faut être un peu comédien et pas mal lèche cul.»

Et de conclure que «les gens connus de la télévision sont en majorité des gros cons et des gros beaufs».

TV Mag Le Figaro

source :   http://www.fdesouche.com/437417-un-ex-miss-meteo-denonce-les-coulisses-du-grand-journal-de-canal-plus

VIOLENCE CONJUGALE ET IMMIGRATION .......

$
0
0
Jeudi 28 novembre 2013

http://violencesintrafamilialestpe.e-monsite.com/medias/images/carte-violence-1.jpg

 

http://www.defrancisation.com/photos/delinquance/carte-mosquees-immigration.png

 

Pas sûr que Najat Vallaud-Belkacem, dont l'objectif est surtout de stigmatiser le beauf blanc alcoolo qui cogne forcément sur sa femme (et vote mal), ait poussé l'analyse jusqu'à la comparaison de la carte de France des violences faites aux femmes et la répartition des populations étrangères et musulmanes sur le territoire...

 

source:   http://www.thomasjoly.fr/article-la-carte-de-la-violence-conjugale-et-celle-de-l-immigration-superposables-121333443.html

Viewing all 5649 articles
Browse latest View live




Latest Images