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OBAMA MAUVAIS PERDANT ! TRIBUNE LIBRE !

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Obama mauvais perdant

Publié par  le 11 août 2013 dans Éditoriaux
Obama mauvais perdant

 
 
Après son revers militaire en Géorgie, son échec en Syrie, où son soutien massif aux terroristes jihadistes ne peut venir à bout de la résistance d’Assad, il restait à Washington son arme ultime, la campagne de presse anti-russe.

Après son revers militaire en Géorgie, son échec en Syrie, où son soutien massif aux terroristes jihadistes ne peut venir à bout de la résistance d’Assad, il restait à Washington son arme ultime, la campagne de presse anti-russe. Désespérée, la Maison Blanche compte que les bataillons de militants gays envoyés sur ce front seront plus efficaces que les soldats et instructeurs de l’armée américaine à Tbilissi ou Istanbul.

Nous avons pu apprécier la discipline de nos médias nationaux subventionnés, adoptant comme un seul homme la position du Département d’État. Le Figaro pousse la servilité jusqu’à faire porter la responsabilité du gel à la Russie, abandonnant une fois de plus son statut de journal sérieux pour celui de fanzine atlantiste.

Madeleine Leroyer et ses amis démocrates de la presse française souhaitent-ils que Snowden soit livré aux États-Unis ?

La décision d’annuler le sommet n’appartient pas, de toute façon, à Barack Obama. Il est bon de rappeler que ce dernier n’est que Président des États-Unis, c’est-à-dire pas grand-chose, face à l’État profond incarné parfaitement par le Congrès et l’inénarrable John McCain.

Ce dernier, jamais avare d’une bourde, menace désormais la Russie du bouclier anti-missile et de l’extension de l’OTAN, alors que les administrations américaines successives nous ont expliqué pendant 25 ans que ni l’un ni l’autre n’étaient dirigés contre la Russie.

Que l’on s’imagine la situation inverse ! Un dissident russe du FSB se réfugie aux États-Unis, quel suspens ! Barack Obama va-t-il livrer ce défenseur de la démocratie à la Russie ?

Début septembre 2013, Alexei Navalny subira la double-peine de sa condamnation pour escroquerie et de son échec électoral, les deux punitions étant parfaitement méritées.

Que se passera-t-il si l’agitateur se réfugie à l’ambassade américaine à Moscou, sera-t-il livré aux autorités russes ? C’est peu probable.

Le paradoxe est que, grâce à Snowden et grâce à la publicité faite autour de son refuge en Russie, Obama vient de proposer plus de transparence dans l’application des lois totalitaires du « Patriot Act ».

Sans donner aucune leçon, la Russie est ainsi en train de faire avancer les libertés publiques dans une Amérique rongée par le « soft totalitarism » occidental.

Xavier Moreau     


http://www.realpolitik.tv/2013/08/obama-mauvais-perdant/


RÉSISTANCE ET " RECONQUISTA " !

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La « Reconquista » passe par la résistance de chacun d’entre nous : deux exemples

Le courrier des lecteurs de ce jour 5 août 2013 est un formidable encouragement pour nous tous, contributeurs bénévoles, qui nous efforçons –non sans risques –(Voir l’Edito de Cyrano) de réinformer, du mieux que nous le pouvons, de dénoncer les mensonges, les mensonges par omission, les traîtrises de la bande de bouffons qui nous tient lieu de gouvernement, avec en tête les deux « vedettes », j’ai nommé « Manolo » et Christiane…

Les initiatives de Riposte Laïque se sont multipliées depuis 6 ans pour alerter, alerter encore et toujours, au risque de nous répéter, car malheureusement il y a encore beaucoup d’autruches…

Bien sûr, les premiers responsables de la terrible situation dans laquelle se trouve notre pays aujourd’hui, sont les politiques de tous bords, les médias aux ordres, les « pisse-copie » qui ne méritent même pas le nom de journalistes ! Mais encore…

Chaque citoyen, qui, un jour ou l’autre, a baissé les yeux, fait semblant de ne pas voir et de ne pas entendre, s’est laissé « marcher sur les pieds », insulter sans réagir, a sa part de responsabilité…

Oui, je connais bien la réponse, on me l’a faite à de nombreuses reprises : « oui, mais je n’ai pas envie de prendre un coup de couteau ! » Bon, il y a eu ceux « qui voyaient des nains partout » maintenant il y a ceux et celles qui voient des couteaux partout !! N’exagérons rien !

Vous penserez peut-être : facile à dire, mais pas facile à faire.

Certes, il faut un peu de courage…et quelquefois aussi d’imagination, rester calme, et surtout mesurer les risques, l’environnement. Il n’est pas question de jouer les Don Quichotte, mais de cesser de se conduire en dhimmis.

Avoir toujours présent à l’esprit qu’ils sont « forts avec les faibles, faibles avec les forts » que leur force apparente ne tient qu’au fait qu’ils ne rencontrent jamais, ou presque, de résistance.

Il faut que la peur change de camp, et pour cela : Résistance, voilà le maître-mot.La « Reconquista » est à ce prix ! Et pour preuves de ce que j’avance, je vais vous narrer deux expériences personnelles.

Première expérience :
Dans un bureau de poste, il y a de cela 1 ou 2 mois. Deux guichets, tous deux occupés, 2 ou 3 personnes qui attendent à bonne distance pour respecter la confidentialité.

Je me mets dans la file d’attente.

Très longue attente. Arrive mon tour d’aller au 1er guichet libre.

A ce moment-là, arrive un maghrébin (environ 55/60 ans) qui vient se « coller » derrière les deux personnes encore occupées aux guichets.

Je n’ai pas hésité une seule seconde, je suis allée immédiatement lui taper sur l’épaule en lui disant : « La queue, c’est là-bas… » .

Bien évidemment, il a prétendu qu’il ne savait pas, qu’il n’avait pas vu, mais a obtempéré, non sans me lancer au passage : « Vous voyez, il n’y a pas de problème », ce à quoi j’ai répondu sur le même ton : « Eh bien, s’il n’y a pas de problème, tout va très bien ! ».

Je me suis alors retournée vers la personne qui se trouvait derrière moi – un autre maghrébin, pour voir sa réaction : aucune… On ne va pas critiquer « un frère » !!!

 

Deuxième exemple de résistance :
Cela se passait il y a un bon nombre d’années. Pour me rendre à mon travail j’effectuais quelques minutes de marche à pied, pour rejoindre le métro.

Sur mon trajet, chaque matin, je rencontrais immuablement le même maghrébin (50/55 ans) « Haut comme 3 pommes assises », qui, chaque jour en me croisant, me faisait des gestes obscènes… Je ne réagissais pas, me disant qu’il finirait bien par se lasser. Erreur.

Au bout d’un certain temps, comme cela commençait sérieusement à m’énerver, j’ai dû, un jour, le traiter de « connard » ou quelque chose d’approchant ! Aucun effet.

Là, vraiment exaspérée, je me suis mise à réfléchir me disant qu’il y avait sans doute autre chose à faire. Et j’ai trouvé.

Le jour suivant, même scénario, sauf que cette fois, en le regardant bien droit dans les yeux, je l’ai traité de « Kelb » qui, en arabe signifie « chien » la pire insulte pour un musulman. J’ai lu la stupéfaction sur son visage.

Pour moi, il n’était pas question de changer de trajet.

Donc, le lendemain, même rencontre, mais cette fois, il a filé tout droit, semblant ne pas me voir !

Et le jour suivant…je ne l’ai pas rencontré, pas plus que les autres jours. Il avait carrément disparu !! Je ne l’ai jamais revu !!!

Victime d’un vol, la sénatrice PS Laurence Rossignol est en colère : « Le premier problème de l’insécurité, c’est la lâcheté collective. » – Fdesouche.com

 

Source :   Oriana Garibaldi    http://ripostelaique.com/la-reconquista-passe-par-la-resistance-de-chacun-dentre-nous-deux-exemples.html

LA MORT DE JÉRÉMIE ET LES FAUX-CULS DE L' UMPS .....

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TRIBUNE LIBRE
 
11 août 2013

Marseille : les faux-culs de l’UMPS sont les vrais coupables de la mort d’un jeune homme de 23 ans

 

 

Ce n’est pas un fait divers de plus (1)…

C’est le reflet cruel et sordide de la vie  quotidienne à Marseille pour tous ceux qui n’ont pas la chance de faire partie de la socialo-ump-écolo-bobocratie locale qui se gargarise des mots de « métissage », « multiculturalisme », « culture du Sud », « immigration, chance française »… tout en s’enfermant à Malmousque,  au Roucas  Blanc ou à  Bonneveine…

Marseille, capitale européenne de la « Culture »… La belle blague… De la culture de l’insécurité, du cannabis, du fumier sociétal constitué de cette immigration à frontières ouvertes qui fait entrer tout et n’importe qui  à partir du bled nord africain, de l’Afrique  subsaharienne, des anciens pays de l’Est d’où déboulent les voyageurs permanents… oui…

Car là est le vrai problème. (2)

Tous ces élus -  socialos et umpistes ensemble, tous ensemble, ouais! -, véritables apparatchiks et professionnels de la politique, qui viennent se lamenter, la bouche en cul de poule et toute honte bue devant l’agression  fatale de ce jeune « autochtone », citoyen ordinaire  sans « histoire » qui a eu la malchance de croiser un voyou haineux et transplanté, pour déplorer l’insécurité permanente qui caractérise cette ville et réclamer de la police partout, sont les mêmes qui , depuis 40 ans, ouvrent les frontières sans retenue aucune, cultivent l’immigration légale comme illégale, déversent sur les quartiers où ils entassent ces populations déracinées et souvent incultes, des masses d’argent « électoral » qu’ils prennent sur le travail des individus et des entreprises, cultivent l ‘aveuglement laxiste devant les concentrations de voyous qu’ils organisent de fait, ferment les yeux sur l’économie illégale qui nourrit ce  marigot putride en espérant qu’elle assurera « la paix sociale », caressent dans le sens de leurs barbes les musulmans les plus  rétrogrades (pléonasme!) afin qu’ils servent « de grands frères », comme ils disent, dans ces cités où nul ne pénètre et où la loi de la République est absente, et où règne de plus en plus la loi de la communauté  religieuse agressive, sexiste, ségrégationniste de l’islam…

Oui, aujourd’hui, devant chaque tragédie marseillaise – chaque jour, donc, car chaque jour il y a des dizaines d’agressions de rue et de règlements que l’on qualifie « de comptes » –  ils déversent leur compassion hypocrite et  exposent leurs postures d’idiots de village tandis que, en même temps, ils votent les lois qui organisent la délinquance en ouvrant encore plus les frontières  pour accueillir encore plus de futurs déracinés de l’Est de l’Europe comme du Nord de l’Afrique ou de l’Afrique subsaharienne, à l’encontre même des besoins et avis des populations en place.

 

Aujourd’hui, à Marseille, de quartiers entiers sont squattés par une faune dont l’assimilation par le travail et le respect des lois et des valeurs de la République n’est que le plus petit des « soucis »…

Au contraire : ces populations, achetées par l’assistanat social mis en place par les socialo-écolo-umpistes et l’économie souterraine  - tolérée par les autorités civiles qui en usent comme d’un moyen de « paix sociale »- voient dans cette situation un bon moyen de vivre entre elles, accrochées à la société historique, laborieuse, respectueuse  de  son organisation démocratique et laïque qui les a accueillies (sans qu’on lui ait demandé son avis, d’ailleurs) comme le lierre est accroché à l’arbre, pour en pomper « la substantifique moëlle »…

Egorger un passant pour lui dérober son téléphone portable  signe le crime par son mode opératoire… et témoigne d’une sous-culture qui renvoie l’individu coupable  dans le domaine d’une bestialité qui nous replongerait dans les siècles les plus obscurs de notre Histoire…

Mais, justement, nous ne sommes plus au  7ème siècle après Jésus-Christ, et ceux qui voudraient nous replonger en ces temps passés n’ont pas de place ici…

Mais  que des responsables politiques utilisent à des fins politiciennes, de posture électorale  et de déculpabilisation hypocrite ce qui est le fruit de la politique  immigrationniste, laxiste, complaisante aux voyous, qu’ils mènent depuis quarante ans, relève de l’obscénité, de la manipulation, de la pestilence qui suit ces professionnels de la politique simplement préoccupés de leur « carrière ».

Il est vrai que quand on voit un sénateur socialiste, président de conseil général, trois fois mis en examen et renvoyé devant un tribunal  être toujours en place et membre de son parti, on ne peut que mesurer l’état de délabrement moral et institutionnel dans lequel se trouvent ces gens qui se sont appropriés tous les pouvoirs… et s’expliquer  mieux l’absence de retenue des bandes de voyous occupant les cités du Nord et du Centre marseillais (mais du Sud, aussi) qui se sentent d’autant plus confortées dans leur malfaisance qu’elles servent de base électorale « populaire » à la caste politicienne, socialo-écolo-front de gauche surtout.

Il est temps de balayer tout ça, tous les Menucci, Caselli, Fructus, Ghali, Jibrayel, Pezet, Masse et autres Guérini, Ciot, Carlotti  et de donner au seul projet susceptible de nettoyer cette fange la place qu’il mérite.

Et, bien entendu, ce n’est pas du côté de l’ineffable Gaudin et de sa clique ump-centriste qu’il faut regarder !

Source :   Empédoclatès

1 – http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/08/10/01016-20130810ARTFIG00274-marseille-un-etudiant-gravement-poignarde-en-plein-centre-ville.php

2 – http://ripostelaique.com/economie-illegale-violence-criminelle-immigration-la-gangrene-des-cites-marseillaises.html

 

Posté par nonpenseeunique à 16:31 - -Commentaires [0] - Permalien [#

 
 
 

Immigration-scandale : la préfecture des Bouches-du-Rhône traite 900 dossiers d’immigrés chaque jour !

Le 21 mai, le préfet des Bouches du Rhône a publié un communiqué pour le moins ahurissant (1) : voulant se justifier auprès des « bonnes âmes » qui font la charité avec l’argent des autres, il a révélé, à son corps défendant sans doute,  le nombre exorbitant d’étrangers accueillis dans notre pays et le poids administratif et financier (personnel, interprètes, locaux, paperasse…) de cet accueil !

Et si les chiffres donnés ne concernent pas que les nouveaux arrivants, ils affirment que notre pays voit affluer, avec la bénédiction de ses dirigeants et des « bien pensants-droits de l’hommistes » qui n’en subissent aucune conséquence, des masses d’individus qui n’y ont rien à faire…

Gageons que dans ces masses informes, personne, en haut lieu, ne se demande si, potentiellement, on ne trouve pas un Mérah, ou un de ces primitifs sanguinaires de Londres… ou encore un de ces futurs proxénètes (2) ou voleurs à la tire (3) qui sont légion en région PACA, et partout ailleurs en France… ou même un de ces trafiquants par nature (4), ou encore un de ces voyous qui polluent la vie des simples travailleurs (5)!

Aucun membre de ces « zélites » bienveillantes avec l’argent du contribuable de base ne s’inquiète de savoir que deux tiers de ces arrivants massifs n’ont même pas le niveau intellectuel d’un élève du primaire ( situation mise en exergue par un rapports de l’OCDE en septembre 2008) ni que la plupart ne parle ni ne comprend le français…

Ni encore qu’il s’agit essentiellement de populations pour lesquelles les valeurs de laïcité et de démocratie, de respect de la personne humaine et de la femme,  ne sont que  des formules impalpables ne relevant aucunement de leur fonds culturel…

Ni surtout qu’il s’agit de groupes humains particulièrement taraudés par une religion archaïque et négatrice de nos valeurs essentielles, sexiste et ségrégationniste, séparatiste par l’introduction d’un communautarisme religieux… (Faut-il encore la nommer?)

Mais il y a plus…

Ces masses d’individus, ces grappes familiales qui se pressent aux guichets de notre Nation pour en recevoir la manne de l’assistanat et les droits qui vont sans devoirs, ils viennent faire quoi, en France?

Dans un pays où il y a 3 000 000 de chômeurs (et autant d’emplois précaires ) ces gens là, ils vont travailler où ? Ici, à Marseille, va-t-on les trouver chaque matin boulevard du Capitaine Gèze où les « négriers » modernes, eux aussi souvent issus de l’immigration, viennent les appâter par le travail clandestin, au vu et au su de tous les politiciens locaux, de tous les entrepreneurs du coin, de tous les responsables administratifs du secteur?

Dans un pays où la crise du logement sévit, ces gens là, ils vont loger où ? Vont-ils s’entasser dans les cités du nord de Marseille, dans les trous insalubres de Belsunce ou les immeubles pourris de la Belle de Mai et aggraver la situation existante, cultivée par toutes les aides sociales au logement et la « préférence » aux étrangers imposée par le pouvoir existant? Sans omettre ici les coûts induits par la marmaille abondante de ces populations migrantes …

Dans un pays où les budgets de la santé et de la couverture sociale sont dans le « rouge », où les taxes et cotisations se multiplient de jour en jour (dernière en date : la CASA…), ces gens là, ils vont se soigner comment ? En grevant encore l’horrible CMA/CMU qui donne à ceux qui n’ont jamais cotisé plus de droits et de ressources qu’à ceux qui payent leur quote-part chaque mois?

Dans un pays où la dette publique et sociale est abyssale, où les fonds de retraite s’épuisent au point que le pouvoir en place va  pousser au maximum le temps de cotisation, ces gens-là, qui apportent avec eux non seulement un « besoin d’emploi » pour l’adulte mais encore une « potentialité d’emploi » pour leurs descendants existants ou à venir (et quand on sait que la récession frappe notre économie… on sait aussi qu’il n’y aura pas de créations de nouveaux emplois de longtemps !), ne font, en fait, qu’alourdir tous les coûts sociaux et toutes les fiscalités…sauf pour les entrepreneurs qui s’en servent comme volant de main d’oeuvre pesant sur les rémunérations et les conditions de travail de ceux qui, justement, travaillent.

Dans des villes et des banlieues polluées par une violence permanente et toute la gamme de l’économie illégale, ces gens là,  vont- ils abonder les réseaux, les « bandes », les « nourrices » ?  Vont-ils s’insérer dans le fumier nauséabond des voyous de quartier, des voleurs de rue, des agresseurs de citoyens « de base »? Vont-ils passer leur temps à « suivre les camions » ou à « désengainer les câbles électriques »?

Il est criminel pour notre pays de laisser ainsi ses frontières ouvertes, et les Français seraient bien inspirés de réfléchir sérieusement au dépérissement de leur situation personnelle, sociale, sociétale et économique portée par ces afflux de migrants dont nul n’a besoin…

Nul ? A l’exception de la caste politicienne PS-UMP qui, depuis plus de 30 ans, organise cette immigration tous azimuts pour le plus grand plaisir des donneurs d’ordres du patronat français et européen, des forces financières apatrides de la mondialisation (à la libre circulation des capitaux, des biens et des services correspond la libre circulation de la main d’oeuvre et des individus)… pour le plus grand intérêt de ceux qui, à la tête de la « Globalisation » qui nous écrase, veulent tuer les Nations et leurs peuples respectifs pour n’avoir affaire qu’à des consommateurs abrutis de matérialité et encadré par les idéologies rétrogrades des religions complices…

Devant cet état de fait : Résistance… Reconquête de l’espace, de la Nation, de l’identité, des valeurs, de l’Histoire de la France…

Citoyens de ce pays que les responsables élus depuis quarante ans détruisent, levez-vous et cassez le « Système »…

Empédoclatès

1 –http://www.maritima.info/depeches/societe/marseille/22272/immigration-900-personnes-recues-chaque-jour-a-marseille.html#.UZvdIByiWGQ.facebook

2 – http://www.laprovence.com/article/actualites/2367788/bouc-bel-air-un-reseau-de-proxenetes-roumains-demantele.html

3 – http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2366556/des-voleurs-en-serie-arretes-sur-le-marche.html

4- http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/trafic-de-cocaine-a-toulouse-quatre-personnes-ecrouees-7853189.html

5- http://www.laprovence.com/article/actualites/2355351/la-ligne-de-ter-marseille-aix-sous-haute-surveillance.html

 

RIHAN CYPEL CONTRE BRUNO GOLLNISCH ........

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Rihan Cypel contre Gollnisch : le plus ouvert n’est pas celui qu’on croit !

cypel

 

 

Le 11 août 2013

  
Joris
Karl
Journaliste.

La semaine passée a été l’occasion d’un échange musclé – par médias interposés – entre le porte-parole du PS, Eduardo Rihan Cypel, et Bruno Gollnisch, vice-président du FN.

Ainsi, ce dernier, lors d’une vidéo diffusée sur son blog, a qualifié le socialiste de « Français de fraîche date », ce qui, étant donné la récente naturalisation du Libano-Polono-Brésilien (en 1998, à l’âge de 23 ans), n’est qu’information factuelle.

Pour Gollnisch, Rihan Cypel, chantre obsessionnel de « l’ouverture aux autres », fait donc « penser à ces gens que vous invitez chez vous et qui, une fois qu’ils y ont pris pied, veulent y faire venir un petit peu tout le monde ».

Sans doute poussé par l’envie de se faire un nom dans le combat « antifasciste », le socialiste a immédiatement crié au scandale, déclarant vouloir porter plainte contre ces paroles jugées « insupportables » par son mouvement. « C’est la première attaque publique aussi forte et ignoble que j’ai subie, mais ça fait des mois, c’est vrai, que je reçois quelques messages à caractère raciste, sans doute parce que je suis exposé dans les médias et en première ligne de défense républicaine contre l’extrême droite », assure-t-il.

Pauvre petit bouchon, et modeste avec ça. À quand une statue au maquis des Glières pour le héros intrépide de la lutte « antifasciste » sans « fascistes » ?

François Hollande disait, non sans une certaine pertinence, que Juppé représentait physiquement l’impôt.

Rihan Cypel, lui, représente physiquement la suffisance, de plus empesée d’approximations, dans chaque débat télévisé.

On l’a vu tour à tour face à Marion Maréchal, Gilbert Collard ou Florian Philippot : en vérité, Rihan Cypel est avant tout un donneur de leçons professionnel qui aurait ingurgité, au petit déjeuner, doxa socialiste en même temps que langue française.

On relèvera aussi la trajectoire, comment dire, fulgurante de ce représentant de la « diversité »: diplômé de Sciences Po, entré au PS en 2004, il devient conseiller municipal quatre ans plus tard à Torcy avant d’être élu conseiller régional d’Île-de-France en 2010.

En juin 2012, il poursuit son parcours éclair en remportant la législative dans la huitième circonscription de Seine-et-Marne.

Clone fascinant du politiquement correct, dès qu’un micro se tend, le moulin à prières se met en route : « République », « métissage », « extrême droite » jusqu’à plus soif.

Quant à son honnêteté intellectuelle, ou sa myopie manifestement doublée d’une forte presbytie, on repassera, surtout lorsque affirmant sur Radio Classique qu’il y a « des drapeaux à croix gammées » dans les défilés du Front national…

Après la violente réaction de l’autoproclamé défenseur de la République, Gollnisch a répondu… en un excellent portugais.

Ça aurait pu être en japonais, étant donné la nationalité d’origine de son épouse, ou encore en d’autres langues, mandarin ou malais, qu’il parle couramment.

Bref, il n’y a qu’à demander !

Eduardo Rihan Cypel est certes un Français de fraîche date ; mais avant tout politicien ayant déjà atteint la date de péremption.

Pis, peut-être même un brin franchouillard, une fois comparé au patriotisme vigoureux de Bruno Gollnisch, patriotisme se trouvant de plus mâtiné d’un cosmopolitisme des plus élégants.

Bref, le “repli frileux sur soi” n’est pas toujours là où l’on croit l’attendre.

LA VOIX DE LA RUSSIE, UNE AUTRE VOIX !

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Le journal hebdomadaire de la Voix de la Russie est en ligne !
Réalisé par la rédaction de ProRussia.tv pour La Voix de la Russie, ce rendez-vous hebdomadaire traitera des actualités russe, française et internationale sous un angle résolument novateur et indépendant, loin du conformisme présent dans bon nombre de rédactions…

Cliquez sur l'image pour accéder à la vidéo.
(Version HD, par chapitre, exportable et transcription sur www.prorussia.tv)

Au sommaire de ce n°46 du lundi 12 août 2013 :
  • Les Français sont en vacances, Hollande à la Lanterne, ce serait presque une promesse pour la rentrée
  • Championne du chômage et de l'immigration, Roubaix c'est la France de demain
  • Caprice de gosse américain, Obama annule sa rencontre avec Vladimir Poutine
  • Il y a 5 ans, la Russie sauvait l'Ossétie du Sud du massacre otano-géorgien et mettait fin au monde unipolaire
  • La pédophilie, plaie des sociétés saines et vice des pseudo-élites occidentales
  • Découvrez la Russie en Île de France à travers ses églises orthodoxes 
  • Sur son plateau moscovite, l'émission "à bâton rompu" reçoit le comte de Rochambeau, gastronome français
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TOULOUSE: JEUNES FILLES ET DES " CHANCES POUR LA FRANCE " ?

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REVUE DE PRESSE 


Agressées place du Capitole lors d'un enterrement de vie de jeune fille

Publié le 10/08/2013 à 08:11, Mis à jour le 11/08/2013 à 10:33

 

La place du Capitole./Photo DDM, archives.

La place du Capitole./Photo DDM, archives.

«Ils ont gâché ma fête.

Ils ont pourri ma soirée, mon week-end, mon mariage !» La femme qui s’exprime est en colère.

 

Et le temps qui passe ne la calme pas. «S’attaquer à un groupe de femmes, quel courage !

En plus à une dizaine.

 

 

`De quel droit ces gens m’insultent ?

` De quel droit frappent-ils ma sœur?

 De quel droit tapent-ils sur une adolescente de 16 ans ? C’est une honte !»

 

Jeudi après-midi, avec un groupe de huit copines, Carole déambule dans Toulouse.

À deux jours de son mariage, cette future maman de 29 ans - «Je suis enceinte de cinq mois» - a l’intention de s’amuser.

Alors elle se promène avec ses copines qui lui ont attaché un pénis gonflable sur la poitrine. Place du Capitole, de jeunes garçons s’approchent et commencent à lâcher des insultes sur fond de religion. «Il n’y a eu aucune provocation de notre part.

Même, devant leur agressivité, nous nous sommes écartées vers la cour Henri IV pour enlever notre déguisement», explique la future mariée.

Mais ce repli n’a pas eu l’effet escompté. «Au départ, sur la place, ils étaient cinq ou six mais bien plus nombreux après.

Ils nous ont tiré les cheveux, arrachés nos perruques, traitées de salopes et de putes, de filles impures !»

Les coups pleuvent sous le regard des passants. «Personne n’a bougé, merci.

Même l’agent de sécurité du Capitole.

Je l’ai vu passer la tête et vite repartir dans son bureau. Quel courage !» Peut-être cet homme est allé donner l’alerte.

Très vite, en effet, des policiers nationaux et municipaux sont arrivés.

Huit suspects ont été interpellés. Des garçons âgés de 10 ans (!), 12, 15 et 21 ans.

En garde à vue, tous ont expliqué être intervenus pour «séparer» agresseurs et victimes.

Ils ont été laissés libres hier. L’enquête se poursuit.

L’exploitation des vidéos permettra peut-être d’identifier les agresseurs. C’est le seul incident qui a marqué cette nuit d’après ramadan.

 

Les quartiers sont notamment restés très calmes toute la nuit.

 

Source et publication:    http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/10/1687608-agressees-place-capitole-lors-enterrement-vie-jeune-fille.html

 

 

LES MENACES D' AL-QAIDA ........

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Al-Qaïda promet de libérer ses membres détenus chez "les tyrans"

Par LEXPRESS.fr, publié le 12/08/2013 à 08:20

Le chef de la branche yéménite d'Al-Qaïda Nasser al-Whaychi a annoncé lundi son intention de porter secours aux membres du réseau terroriste emprisonnés à l'étranger, sans préciser quels pays il visait. 

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La branche yéménite d'Al-Qaïda est soupçonné d'être à l'origine des menaces d'attentats qui ont poussé plusieurs pays à fermer leur ambassades au Moyen-Orient et en Asie  


 

Le chef d'Al-Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa), Nasser al-Whaychi, a promis de libérer les prisonniers membres du réseau extrémiste, dans un message mis en ligne dans la nuit de dimanche à lundi.

Dans ce message intitulé "lettre aux captifs dans les prisons des tyrans", le chef de la branche yéménite d'Al-Qaïda affirme que "la détention (des prisonniers du réseau) ne saurait durer". 

"L'emprisonnement ne va pas durer et les chaînes vont se défaire", insiste le chef jihadiste en promettant aux prisonniers d'Al-Qaïda "une sortie rapide".  "Vos frères sont en train d'abattre les remparts et les trônes du mal (...) et la victoire est à portée de main", ajoute-t-il encore. 

"Nous sommes sur le même navire, certains se trouvent sur le pont et d'autres en cale et chaque équipe doit son salut à l'autre", a encore affirmé le chef d'Aqpa. 

Ancien bras droit d'Oussama ben Laden, Nasser al-Whaychi est à la tête de la branche du réseau qui est considérée la plus active par les Etats-Unis. 

Aqpa est soupçonné d'être derrière les menaces d'attentats ayant justifié la fermeture de missions diplomatiques américaines dans une vingtaine de pays dont le Yémen. 

Avec 
 
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-orient/al-qaida-promet-de-liberer-ses-membres-detenus-chez-les-tyrans_1272843.html?xtor=EPR-181-%5BXPR_Quotidienne%5D-20130812--143559538@256319395-20130812094725#7uaLVFIYtkPusdv7.99 

LE MOT RACE A ÉTÉ SUPPRIMER ! ALORS ! L' ANTIRACISME SANS RACE ???

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L’antiracisme sans races, ça va être compliqué !

races

 

 

Le 11 août 2013

 
Alain
de Benoist
Intellectuel, philosophe et politologue.
Revue Eléments
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Entretien réalisé par Nicolas Gauthier

Le mot « race » vient d’être officiellement supprimé des documents officiels.

En finir avec le mot pour éradiquer les maux : n’est-on pas une fois encore en pleine pensée magique ?

D’ailleurs, s’il n’y a pas de races, comment peut-il y avoir du racisme ?

Et de l’antiracisme, au passage ?

Rassurez-vous. Si elle affirme en effet ne plus reconnaître « l’existence d’aucune prétendue race », la République française déclare toujours qu’elle « condamne le racisme ».

En fait, ce qui va être plus difficile à justifier, c’est la condamnation pour « incitation à la haine raciale », c’est-à-dire pour incitation à la haine de quelque chose qui n’existe pas.

Il va aussi être plus difficile de justifier l’apologie du métissage, qui désigne désormais un mélange d’entités imaginaires, voire la promotion de la « diversité », puisqu’« il n’y a pas de diversité des races » (François Hollande, 12 mars 2012).

Enfin, comme les gens s’entêtent à voir et reconnaître des « races » autour d’eux, il va falloir les persuader qu’ils sont victimes d’une illusion d’optique.

Tous mes vœux à ceux qui voudront se charger de cette tâche !

Cela dit, vous n’avez pas tort de parler de pensée magique, puisqu’on confond les mots et les choses.

On pourrait aussi parler de démonologie, dans la mesure où il s’agit d’énoncer des formules rituelles et des mantras pour exorciser les “pensées mauvaises”. Mais on ne peut qu’être frappé également de la concomitance entre l’affirmation de la non-existence des races et l’offensive de l’idéologie du genre, qui raisonne à partir de prémisses identiques.

La race serait comme le sexe une « construction sociale » sans réalité substantielle. D’où une même stratégie, typiquement orwellienne, de substitution lexicale : « population » au lieu de « race », « genre » au lieu de « sexe », « parent » au lieu de « père » et « mère ».

L’idée sous-jacente est que lutter contre le racisme implique de nier l’existence des races, tout comme lutter contre le sexisme conduirait à nier l’existence des sexes.

La réalité est évidemment qu’on peut accorder aux hommes et aux femmes les mêmes droits sans exiger d’eux qu’ils deviennent androgynes. Et qu’on n’assurera pas l’égalité par la négation de la diversité, ou par sa réduction à la mêmeté.

 

Que disent d’ailleurs les scientifiques de cette notion pour le moins controversée ? Y a-t-il unanimité sur le sujet ?

L’étude des races a beaucoup évolué depuis l’approche typologique du XIXe siècle.

Dans son livre paru au Seuil en 2008, L’humanité au pluriel, Bertrand Jordan souligne que l’analyse de l’ADN permet de définir des groupes d’ascendance au sein de l’espèce humaine, que « les différences génétiques entre groupes humains existent » et qu’elles « sont ancrées dans l’histoire déjà longue de l’humanité ». Le fait est que depuis le premier séquençage du génome humain (2001), les travaux se multiplient sur les marqueurs génétiques qui identifient des appartenances de groupes.

La diversité humaine n’est donc pas seulement individuelle, mais aussi collective, la prise en compte de ces pools génétiques permettant de retracer la phylogénie des populations humaines.

Ce n’est évidemment pas qu’une affaire de peau, puisqu’en médecine légale on peut aussi bien identifier l’appartenance ethnique par l’examen du squelette ou celui de l’ADN.

Comme l’écrivaient Nancy Huston et Michel Raymond dans Le Monde du 17 mai dernier, dire que l’espèce humaine s’est diversifiée au cours de l’évolution en populations qui possèdent des marqueurs génétique distincts est une simple constatation, qui n’implique aucun jugement de valeur.

À partir de là, certains chercheurs tiennent à conserver le mot « race », d’autres non, ce qui n’a finalement pas une grande importance : le « débat sur les races » est finalement plus affaire de sémantique que de biologie moléculaire ou de génétique des populations. Vous noterez au passage qu’en 2008, Barack Obama a publié un livre intitulé De la race en Amérique. Et que les statistiques ethniques sont d’usage courant aux États-Unis.

C’est ce qui a permis de savoir que Barack Obama n’a dû son élection qu’aux “minorités”…

N’exagérons rien. Dans les seize élections présidentielles qui ont eu lieu aux États-Unis entre 1952 et 2012, un seul démocrate, Lyndon B. Johnson en 1964, a recueilli une majorité de votes chez les Blancs.

Quant à Obama, il a séduit plus de Blancs que nombre de ses prédécesseurs démocrates. Neuf candidats démocrates, tous Blancs, ont recueilli un pourcentage de votes de l’électorat blanc inférieur à celui obtenu en 2012 par Obama
(39 %). Jimmy Carter, par exemple, n’avait recueilli que 33 % des votes de cet électorat en 1980.

Vous-même, qui avez écrit deux livres pour condamner le racisme (Contra el racismo et Europe, tiers monde, même combat), pouvez-vous résumer votre pensée sur la question ?

Vaste sujet ! Le Dictionnaire historique et critique du racisme qui vient de paraître aux PUF, sous la direction de Pierre-André Taguieff, ne compte pas loin de 2000 pages…

Disons pour faire bref qu’il est essentiel de bien distinguer les théories d’un côté (dont l’étude relève de l’histoire des idées), et de l’autre les comportements (dont l’étude relève de la sociologie). Les théories racistes sont celles qui, soit postulent une inégalité entre les races, soit considèrent l’appartenance de race comme facteur essentiel de l’histoire des hommes, ce qui implique la toute-puissance du déterminisme racial. Il n’y a plus grand monde aujourd’hui pour souscrire à ce genre de théories. Au sens des comportements, le “racisme” est une attitude de méfiance ou d’hostilité irraisonnée, souvent instinctive et spontanée, envers ceux qui appartiennent (ou qu’on croit appartenir) à une autre race. Cette méfiance ou cette hostilité n’a évidemment pas besoin d’être “théorisée” pour se manifester. Ce n’est qu’une forme parmi d’autres d’altérophobie ou d’hétérophobie, c’est-à-dire d’allergie à l’Autre-que-nous.

J’y ajouterai une troisième forme de racisme. C’est celle qui consiste à déclarer les différences inexistantes, superficielles ou sans importance. On ne stigmatise plus l’Autre, on dit seulement que cet Autre n’existe pas, qu’il n’est en définitive que le Même.

Ce racisme-là se pare souvent du masque de “l’antiracisme”.

Plus pervers, il n’en est aussi que plus dangereux.


DRONES, SURVEILLANCE ET RENSEIGNEMENTS EN TEMPS RÉEL !

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Que sont ces drones qui volent au-dessus de nos têtes?

Il va falloir s'habituer à leur présence dans le ciel français, selon un rapport du Centre d'études stratégiques aérospatiales, qui propose par exemple de s'inspirer de la surveillance des talibans pour l'appliquer à celle des repaires de malfaiteurs ou des camps illégaux.

Un drone israélien de surveillance REUTERS/Gil Cohen Magen

- Un drone israélien de surveillance REUTERS/Gil Cohen Magen -

Les drones de l'armée française ne survolent pas que l'Afghanistan et le Mali. Ils sont aussi utilisés sur le sol français.

 

Une publication récente à La Documentation Française du Centre d'études stratégiques aérospatiales,Les drones aériens: passé, présent et avenir, décrit avec précision les cinq expériences menées jusqu'ici.

Elles n'avaient pas fait l'objet d'analyses aussi détaillées par l'armée, qui en tire enseignements et perspectives.

 

A chaque fois, les drones sont déployés pour d'importants événements internationaux, afin d'assurer la «police du ciel […] l'une des missions fondamentales de l'armée de l'air», écrit le commandant David Sécher, lieutenant-colonel de l'armée de l'air et officier de renseignement.

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Leur emploi s'inscrit dans les «dispositifs permanents de sûreté aérienne» (DPSA), sous les ordres d'un officier général dépendant directement du Premier ministre. L'objectif:

«Neutraliser toute velléité terroriste ou politique non dûment autorisée, prévoyant d'utiliser la troisième dimension pour contourner les dispositifs de sécurité terrestres.»

Mais pas seulement.

G8, Lourdes, 14 juillet

A peine rentrés d'une mission au Kosovo, les drones F-Hunter, des drones israéliens auxquels ont succédé les actuels Harfang, sont sollicités pour le G8 d'Evian en 2003.

Positionnés sur l'aérodrome d'Annecy, ils sont mobilisés en «collaboration étroite avec les forces de police», guidant les unités de gendarmerie mobiles et de CRS grâce à leur vue du ciel.

L'année suivante, ils sont déployés à Granville pour le 60e anniversaire du débarquement et servent notamment à sécuriser les déplacements des chefs d'Etats présents.

En septembre 2008, les drones Harfang viennent d'être livrés à l'armée de l'air lorsqu'ils participent au dispositif prévu pour la visite du pape à Lourdes.

C'est à l'occasion du G8 de Deauville que l'expérimentation des drones va le plus loin, et dépasse l'utilisation dans le cadre du «dispositif permanent de sûreté aérienne».

Selon le commandant Sécher, à cette occasion, les drones n'ont pas été cantonnés à la police de l'air. En l'absence de «menaces aériennes majeures»«le drone Harfang a pu être mis temporairement à la disposition d'autres autorités pour des missions de surveillance terrestre».

La préfecture a ainsi pu «suivre en permanence l'évolution des contre-manifestations […] puis anticiper toute action potentielle d'un groupe d'activistes installés dans un village “autogéré” dans le forêt de Montgeon».

Comme pour le G8 d'Evian en 2003, les forces de l'ordre déployées ont pu compter sur les moyens de l'armée de l'air pour organiser les opérations de maintien de l'ordre.

Car «le cœur de métier des drones MALE [reste] la surveillance en temps réel», aérienne ou terrestre.

Le dernier exemple en date remonte au 14 juillet 2012, pour lequel«un système complet» avait été déployé sur la base aérienne d'Evreux afin d'assurer la sécurité du défilé militaire sur les Champs-Elysées.  

Contacté par Slate.fr pour préciser la doctrine d'emploi des drones militaires sur le territoire français, le service d'information du ministère de la Défense et de l'armée de l'air affirme d'abord que les drones Harfang ne sont pas utilisés dans ce cadre.

 

Avant de se raviser à la lecture d'extraits de l'ouvrage.

Par email, le lieutenant-colonel Christophe Fontaine, commandant de l’escadron de drones «Belfort», rappelle l'intérêt du drone, «acteur majeur de la surveillance» car «discret, multicapteur et persistant» qui peut dès lors être «mis en alerte et appuyer l'action de l'Etat au même titre que d'autres moyens de la Défense».

L'utilisation de drones en France par les autorités a fait l'objet de nombreuses interrogations ces dernières années.

Les forces de police et de gendarmerie ont tenté à partir de 2007 une expérimentation avec Elsa (pour Engin léger de surveillance aérienne), mais elle n'a pas été reconduite.

Lors d'un autre de ces grands événements internationaux,le sommet de l'Otan à Strasbourg en 2009, un exemplaire d'Elsa s'était écrasé, ravivant les craintes sur les possibles accidents.

Les unités d'intervention, comme le GIGN, disposent de mini-drones.

 

Pour lutter contre les trafics? Maîtriser les flux migratoires?

Mais le débat est retombé, contrairement aux Etats-Unis, où il gronde. Le sénateur républicain Rand Paul a pris la tête de la fronde contre l'utilisation par le FBI de drones sur le territoire américain.

Les auteurs de l'ouvrage Les drones: passé, présent et avenir sont prolixes sur les possibles mutualisations interministérielles.

D'autant que la flotte de drones, composée de deux Harfang aujourd'hui, va être renforcée par l'achat de douze drones comme le prévoit le livre blanc sur la Défense publié cette année –deux MQ-9 Reaper ont déjà été commandés aux Etats-Unis.

«L'utilisation la plus évidente serait celle effectuée par les ministères de l'Intérieur et des Finances (Douanes), notamment pour la surveillance des banlieues, le suivi de trafics en tout genre, la maîtrise des flux migratoires», détaille le commandant Sécher.

Plus loin, un autre auteur, le colonel Bruno Mignot, qui commande le Centre national des opérations aériennes, propose d'utiliser les drones MALE  pour «surveiller en toute discrétion et pendant une longue durée [des] campements illégaux, [des] repaires de malfaiteurs», en s'inspirant de l'expérience contre «les lieux de réunions des talibans en Afghanistan».

Dans son email, le lieutenant-colonel Christophe Fontaine explique que la présence de drones en France est importante pour l'entraînement des équipages, pour subvenir aux besoins ponctuels ou planifiés et poursuivre «l'acculturation des autorités en charge du contrôle aérien et des populations au fait dronique».

Autrement dit, habituer à la fois les autorités et les citoyens à la présence de drones au-dessus de leur tête.



L'AUTEUR

Journaliste passé par Owni, Pierre Alonso observe la cyber-guéguerre, les technologies de surveillance et l'hacktivisme.@pierre_alonso en 140 caractères. 

 

Source et publication:  Pierre Alonso    http://www.slate.fr/story/76136/drones-france

LES " JOIES DU VIVRE ENSEMBLE " , UNE SÉNATRICE EN FAIT LES FRAIS !

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Insécurité : la sénatrice Rossignol agressée ou l’arroseur arrosé…

laurence-rossignol

 

 

Le 13 août 2013

  
Robert
Albarèdes

Ancien maire PCF de Gréasque (13850)

Bonjour, Madame la Sénatrice,

Vous avez, le 14 juillet dernier, subi une agression que vous relatez dans Le Courrier picard.

À 14 heures, devant un distributeur, à Compiègne, un homme vous a volé, en pleine rue et devant témoins, l’argent que vous veniez de retirer.

Vous l’avez vainement poursuivi, et vous avez déclaré en déplorant le fait que personne ne vous ait aidée : « Le premier problème de l’insécurité, c’est la lâcheté collective. » Non, madame…

Le premier problème de l’insécurité, c’est votre politique d’immigration massive légale et illégale depuis trente ans, et la “libre passoire” instaurée, avec votre aval, par les accords de Schengen.

Le deuxième, c’est le laxisme politique et judiciaire de votre parti fusionné UMPS envers les voyous.

Le troisième, c’est votre ministre de l’Intérieur, petit matamore et pantin articulé qui gesticule et ânonne autant qu’il est inefficace (il ne faut pas froisser votre nouvel électorat d’origine maghrébine et de confession musulmane).

Le quatrième, c’est votre ministre supposée de la Justice dont le laxisme n’a d’égal que l’ignorance historique et la haine de notre pays…

Le cinquième, c’est que dans cette propension à protéger les voyous, si je m’attaque à l’un d’eux pour défendre une victime et que par malchance, je lui occasionne de graves blessures, « votre justice » me conduira en garde à vue et en prison où l’on me dénichera, à moi, simple citoyen, une place que l’on ne trouve pas aux vrais voyous.

 

Chère madame Rossignol, vous venez donc de goûter, à l’instar de millions de Français agressés (et souvent avec des conséquences bien plus graves que celles que vous avez subies), aux joies du « vivre ensemble » que vous prônez depuis des décennies et à celles de l’insécurité que votre politique promeut en cajolant tous ceux qui prennent notre pays pour une poubelle.

Veuillez agréer, Madame, mes salutations républicaines.

LES " PEPONNES " DÉTRUISENT NOTRE PATRIMOINE ......

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Le Point.fr - Publié le 13/08/2013 à 08:37

Il y a en France quelque 45 000 églises, la plupart non classées.

Face au coût de leur entretien, les maires choisissent de les abattre.

Le clocher de l'église Saint-Pierre dominait Gesté (Maine-et-Loire). Elle a été détruite suite à une décision du conseil municipal.Le clocher de l'église Saint-Pierre dominait Gesté (Maine-et-Loire). Elle a été détruite suite à une décision du conseil municipal. © E. Lizambard / Maxppp/Le Courrier de l'Ouest

 
 

C'est, en entrant dans la nef, le silence saisissant d'un patrimoine menacé : l'église de Sainte-Gemmes-d'Andigné (Maine-et-Loire) résiste à une vague de démolitions lancées par des maires - cinq déjà détruites à travers la France depuis le début de l'année. "Toute la nef devrait disparaître", dit à l'AFP Benoît Patier, 51 ans, président de l'Association de sauvegarde de l'église Sainte-Gemmes-d'Andigné, montrant l'imposante nef de quatre travées promise à la destruction.

Le maire, Jean-Claude Taulnay, qui n'a pas souhaité être interviewé, veut détruire cette nef bâtie il y a 148 ans en tuffeau, pierre de taille tendre de la région, et la remplacer par un bâtiment circulaire en béton coiffé d'un toit en zinc. Il estime toute restauration trop onéreuse pour ce village de 1 500 habitants. "Restaurer l'église coûterait entre 1,2 et 1,5 million d'euros", explique M. Patier, citant des devis de cabinets indépendants. "Le projet du maire coûte 2,7 millions d'euros : garder l'église coûterait deux fois moins cher.""On ne comprend pas", dit Christian Boullais, 72 ans, vice-président de l'association.

45 000 églises en France

La maquette, présentée à la mairie, montre une structure moderne accolée à l'ancien clocher. Mais, conscient de la qualité de l'église, l'État a réagi : une instance de classement a été entamée, gelant toute démolition pendant un an. "Le maire nous menace maintenant d'un procès", dit à l'AFP la chef du patrimoine au ministère de la Culture, Isabelle Maréchal.

L'État fait néanmoins valoir qu'il ne peut tout classer. Il y a en France 45 000 églises paroissiales, dont 35 % bâties au XIXe siècle, dans leur immense majorité non classées. "Des maires tirent à tort la conclusion qu'ils peuvent démolir", explique Isabelle Maréchal.

Or, depuis la loi de séparation de l'Église et de l'État, en 1905, l'entretien des bâtiments revient aux communes. 

Ces dernières soulignent qu'elles n'en ont parfois plus les moyens et que seulement 4,5 % des Français vont à l'église le dimanche, la pratique religieuse étant en forte baisse en France depuis les années 1970. De leur côté, les évêques veulent éviter tout affrontement. "Ils ferment les yeux sur le patrimoine pour acheter une forme de paix sociale", dit à l'AFP Maxime Cumenel, de l'Observatoire du patrimoine religieux. 

Le Maine-et-Loire en première ligne

L'évêque d'Angers, Mgr Emmanuel Delmas, est l'un des plus décriés : son diocèse, où Saint-Aubin-du-Pavoil (1864) et Saint-Pierre-aux-Liens de Gesté (1862) viennent d'être détruites, est le plus touché par la vague des démolitions. 

Lire notre article : "La triste histoire de l'église de Gesté" 

Mais le phénomène concerne toute la France : viennent d'être démolies les églises de Saint-Blaise-du-Breuil (Allier), en Auvergne, Saint-Pie-X dans l'Hérault, Saint-Jacques-d'Abbeville (Somme) en Picardie. Également menacées, les églises de Plounérin (Côtes-d'Armor), en Bretagne, et Lumbres (Pas-de-Calais) ont été sauvées. À Arc-Sur-Tille (Côte d'Or), en Bourgogne, le maire a perdu les élections à cause de son projet de démolition.

"Un village dont l'église a été détruite est défiguré"

C'est l'image d'Épinal des villages français qui est menacée, selon les défenseurs du patrimoine. "Un village dont l'église a été détruite est défiguré", estime Jean-Louis Hannebert, de la Société pour la protection des paysages et de l'esthétique de la France. Une image tellement symbolique de la France profonde que François Mitterrand, au grand dam de certains laïcs, l'avait choisie pour illustrer son slogan victorieux de 1981, "La force tranquille".

Pour les protéger, "l'outil le plus adapté est l'Aire de valorisation de l'architecture et du patrimoine (AVAP)", précise Isabelle Maréchal. C'est aux régions et aux communes de mettre en oeuvre cette protection, souligne-t-elle. 

De la petite route qui mène à Saint-Aubin-du Pavoil, on voyait apparaître le fier clocher du village. Il a été, en janvier, le premier à tomber.

Rasé comme à la Révolution, lorsque cette ville fut punie pour avoir hissé le drapeau blanc de la royauté. "Ça fait un vide considérable", déplore Michel de Vitton, 69 ans, dont l'épouse avait pris la tête de l'association de sauvegarde.

À la place de l'autel, on peut voir un minuscule espace derrière une baie vitrée, sous un toit en zinc : Il tient désormais lieu d'église. 

 

http://www.lepoint.fr/culture/une-vague-de-demolition-d-eglises-menace-le-patrimoine-13-08-2013-1713609_3.php#xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20130813

 

Don Camillo reviens !!!

TRIBUNE LIBRE , POINT DE VUE ET CONSTAT ........

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Ecrit le 12 août 2013 à 11:26 par Eric Martin dans Poing de vue
 

Pour faire oublier Ali Hamadou, Valls et les médias mettent en avant le militaire «d’extrême droite radicale»

Le fait que le principal suspect, un certain Ali Hamadou (un SDF multirécidiviste, qui a déjà eu affaire à la justice française pour vols, violations de domicile, rébellions, dégradations, recel, petits trafics de stupéfiants…), soit d’emblée qualifié par Manuel Valls de « déséquilibré », que le ministre de l’Intérieur ait demandé à chacun « d’éviter les surenchères et les polémiques déplacées » (comme si les faits ne suffisaient pas à créer la polémique !), qu’il avait jugé la proposition d’Eugène Caselli, président pourtant PS de la communauté urbaine de Marseille, de placer toute la ville en « zone de sécurité prioritaire » comme « (n’ayant) aucun sens » rend encore plus insupportable le décès dimanche de Jérémie Labrousse, des suites de l’agression au couteau gratuite dont il a été la victime jeudi vers 23h30, boulevard d’Athènes.

On apprend aussi que son portable pourrait avoir été volé par une tierce personne pendant ou peu après l’agression, le procureur adjoint évoquant pudiquement un  »vol d’opportunité ».

Voilà qui rappelle furieusement le scandale des détroussages de victimes de la catastrophe ferroviaire de Brétigny-sur-Orge !

La presse française tente d’étouffer l’affaire

Ce lundi matin, l’affaire ne figure pas en page d’accueil du site du Nouvel Obs qui réservait par contre une place de choix au fait qu’à Lyon, « un militaire qui projetait de tirer sur une mosquée (a été) arrêté », précisant que « l’homme de 23 ans, sergent dans l’armée de l’air » est « proche des idées de l’extrême droite radicale ».

Si on se sert de la barre de recherche, on tombe bien sur une dépêche de l’AFP traitant de l’agression mortelle de Jérémie, mise en forme par notre confrère, mais, comme par hasard, elle omet de donner aux lecteurs le nom du principal suspect, ce dont s’étonnent d’ailleurs plusieurs internautes…

Idem pour LExpress.fr, qui n’évoque pas le drame en page d’accueil, et qui, dans l’article qu’il consacre à Jérémie (on le retrouve dans les archives grâce à la fonction recherche, à croire que l’affaire a eu lieu il y a plusieurs semaines !), se refuse à indiquer à ses lecteurs que le meurtrier présumé s’appelle Ali.

Liberation.fr ne cite pas davantage son nom et insiste lourdement sur le fait qu’il serait « déséquilibré ».

 

Google Actualités, qui reflète les tendances des médias français, évoque d’ailleurs en Une l’affaire du militaire « d’extrême droite radicale » :

Pour faire oublier Ali Hamadou, Valls et les médias mettent en avant le militaire d'extrême-droite

L’affaire Jérémie ? Elle fera certainement la Une des médias si on retrouve dans les affaire d’Ali « de la littérature d’extrême-droite » ou de quoi le traiter de « suprémaciste blanc ».

Ou si l’agresseur s’appelle en fait Jean-Charles.

Il ne faudrait surtout pas vous donner l’envie de « mal voter » aux prochaines élections…

 

http://www.ndf.fr/poing-de-vue/12-08-2013/pour-faire-oublier-ali-hamadou-valls-et-les-medias-mettent-en-avant-le-militaire-dextreme-droite-radicale

QUI SONT NOS GOUVERNANTS ? TRIBUNE LIBRE .....

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billet du 12/082013

 

Qui sont vraiment nos gouvernants?

 

10 Août 2013

 

Qui sont ces gens qui nous gouvernent, quels sont leurs idéaux profonds ?

 

On aurait tort de croire que nos adversaires n’ont pas de but à long terme pour notre société, ou qu’ils veulent imiter un système qui a déjà existé quelque part.

 

En d'autres termes ce ne sont pas des socialistes MRP, ou SFIO, ou des socio démocrates, ce ne sont même pas des marxistes, et quand je les traites de socialo trotskistes, c’est uniquement dans leur stratégie de prise de pouvoir commencée il y a bien longtemps.

 

Le socialisme dans son application moderne correspond à un partage plus absolu des richesses, et dans un cadre Marxiste, la dictature du prolétariat et l’appropriation par l’État des moyens de production ne changent pas en réalité les fondements de notre civilisation, c’est un gouvernement dictatorial, on a remplacé les nobles et les riches par les dignitaires du parti, il ne peut y avoir d’évolution ou d’ascenseur social que dans ce cadre et non pas dans les compétences professionnelles, et si on n’est pas content on va en prison, bref une bonne vieille dictature.

 

Sur le plan moral de la famille, ces régimes sont en général plus stricte que les nôtres, et je ne parle même pas des discriminations racistes.

 

Nos socialistes n’ont rien à voir non plus avec les démocrates américains ou le Labor Britannique qui serait plutôt classé à droite en France, en fait on ne peut même pas les appeler socialistes, car leur projet va beaucoup plus loin, et c’est en cela qu’il est dangereux, car une dictature peut prendre fin, un changement de civilisation non.

Et c’est là toute la différence

 

Sans aller chercher bien loin, quelques citations de M. Peillon aurait déjà dû nous mettre la puce à l’oreille.Par exemple, les enfants n’appartiennent plus à leur parent, mais à l’état, ou encore il faut supprimer le déterminisme familial.

 

De quoi s’agit-il ? D’une vieille idée maçonne tendance grand orient qui au passage n’est plus reconnu par la loge mère britannique, comme quoi tous les individus sont égaux, il n’y a pas vraiment de sexe, de famille, il y a uniquement la collectivité, bien entendu en corollaire, pas de responsabilité individuelle, et pas de liberté, mais pour mettre cette civilisation, cet homme nouveau en marche, il faut détruire la civilisation précédente.

 

Cette mise en œuvre a commencé depuis bien longtemps, et nous y avons tous participé sans voir le réel danger.

 

La libération des mœurs, le progrès scientifique on ouvert de grandes perspectives, mais elles pouvaient être prises de plusieurs façons.

 

Notre civilisation judéo-chrétienne, même si je n’ai que la foi du charbonnier est basée sur la famille, et les avancées scientifiques sont là pour aider l'hommes, prenons deux exemples.

 

L’avortement, il est de fait, et je sais que certain ne serons pas d’accord avec moi, que l’autorisation légale de l’avortement a permis d’éviter des avortements clandestins et leur cortège de décès mais c’est un dernier recours, on ne doit se servir de l’avortement qu’en cas d’extrême urgence, santé de la mère, viol… ce n’est pas un moyen de contraception, et il faut l’expliquer, l’avortement n’est pas à mon avis un atout de libération de la femme, quand on le pratique c’est un échec, et bien nos matérialistes scientifiques, eux vous diront que c’est un moyen comme un autre; puisque la science le permet.

Il en est de même pour la GPA, qui ne devrait être le dernier recours de couples en mal d’enfant, et bien l’on considère qu’une paire, (couple homosexuel )peut utiliser cette technique puisqu’elle existe.

 

Ce qui veut dire que la morale et les bases de la société sont soumises à la science, alors que la science est là pour aider l'homme.

 

Alors si effectivement la science doit tout permettre, on comprend toute leur attitude, et comme d’autre part l’égalitarisme doit être absolu, on supprime toutes les différences, y compris la différence de sexe, puisque à la limite, il n’y aura bientôt plus besoins de corps pour fabriquer un enfant.

 

C’est bien évidemment une déviation pernicieuse de la science quand on regarde les lois qui passent sur l’éducation, la théorie du genre à l’école, l’éducation laïque, le mariage pour tous…on comprend mieux;

 

Dans ce cadre là effectivement les enfants appartiennent à l’état qui s’occupe de tout de la naissance à la mort, par euthanasie bien sur quand l'individu ne sert plus la collectivité, Attali a même fixé cet âge à 65 ans.

 

Ce raisonnement scientifique est effectivement le plus pernicieux qui soit et je pense que Goebbels ne l’aurait pas renié, il ne gêne pas les financiers, au contraire, puisque l’homme devient un pion esclave de la société, on lui donne quelques droits à titre de hochet, par exemple de se marier entre gays, et bientôt dans la même famille, la dérive ne fait que commencer.

En réalité ces mots qu’ils emploient comme les nouveaux droits sont des attrapes nilgauts pour nous stigmatiser comme liberticide lorsque l’on refuse ce pseudo nouveau droit.

 

Ce raisonnement philosophique est dangereux, inique, et nous amène directement au meilleur des mondes de Huxley, à nous à le dénoncer avec la plus grande vigueur, ce changement de civilisation et encore plus dangereux que toutes les crises économiques que nous subissons, car il a pour but de nous retirer toute individualité.

 

Source et publication:  http://respublica.overblog.com/billet-du-12/082013-qui-sont-vraiment-nos-gouvernants

NATATION: UNE ATTEINTE À LA DIVERSITÉ !

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HUMOUR !

Bonne journée et si vous le pouvez profitez bien de la plage ou de la piscine
 
La natation bientôt interdite ?
 
 

FRANCE : LA PIEUVRE AMÉRICAINE DANS LES BANLIEUES !

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DOSSIER
 
L’offensive américaine sur les banlieues françaises 
 

[bien plus perceptible que celle du Qatar]

« La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique.


Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique (...) sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort. ».


Ces mots surprenants sont ceux du défunt président français François Mitterrand.

Ils pourraient prêter à sourire plus qu’à les prendre au sérieux, sauf pour ceux qui s’inquiètent de l’offensive du Qatar, qui vient de promettre au gouvernement français de s’occuper des quartiers défavorisés, en échange du rachat d’un peu de dette française.


Pourtant les banlieues françaises ne sont pas seulement visées par le Qatar mais également par de nombreux stratèges du département d’état américain, qui ont développé une stratégie à long terme basée sur la démographie des jeunes français issus de l’immigration africaine qui implique, à terme, une prise progressive de pouvoir et d’influence en France pour ces minorités.

C’est un câble datant du 25 janvier 2007 publié par Wikileaks qui révèle cette étonnante affaire.


L’ambassade américaine y affirme clairement développer une politique active de soutien et de développement envers les communautés afro-arabes de France, en visant clairement les jeunes musulmans français.

Les premiers éléments de cette politique furent fixés en 2001, juste après le 11 septembre, alors qu’il semblait vital au département d'état de tenter d'améliorer l'image de l’Amérique aux yeux des musulmans d'Europe.

Mais c’est suite aux émeutes françaises de 2005, que le président Obama nomme en 2009 Charles Rivkin comme nouvel ambassadeur des États-Unis en France. Celui-ci va alors par le biais de l’ambassade développer une intense campagne de lobbying auprès de jeunes français issus de l’immigration.


Cette campagne prendra différentes formes : l’organisation de voyages sponsorisés aux Etats-Unis dans le cadre de programmes politiques, des déplacements de l’ambassadeur dans des zones sensibles à forte concentration de population d’origine immigrée, l’organisation de visites de stars américaines issues de la diversité dans ces quartiers, ou encore l’organisation d’événements (politiques ou artistiques) avec des jeunes français issus de la diversité.

L’ambassadeur est principalement assisté dans ses activités de lobbying en direction de ces minorités par Mark Taplin, un diplomate de carrière, spécialiste des méthodes d’influence et du soft-power.


Ancien attaché de Presse adjoint en 1994 à l’ambassade américaine à Moscou il a ensuite travaillé en Ukraine, Moldavie et Biélorussie de 1999 à 2004, année de la révolution de couleur en Ukraine.

L’année suivante, en 2010, l’ambassade américaine à Paris rédige un câble dans lequel l’ambassadeur Charles Rivkin explique les activités américaines en direction des minorités. Le câble décrit la crise de la représentation nationale en France, la nécessité pour les américains de développer une stratégie pour la France, de s’engager dans un discours positif, de mettre en avant un exemple fort, lancer un programme agressif de mobilisation de la jeunesse, l’encouragement des voix modérées, une diffusion des meilleures pratiques, l’approfondissement des compréhensions du problème, et enfin le ciblage des efforts.


Le câble a été traduit et il est consultable ici, il est plus qu’explicite et mérite d’être lu. Il y est clairement expliqué que l’opération n’a comme intérêt final que de faire progresser les intérêts américains en France via la prise de pouvoir progressive de jeunes français issus de la diversité.


Bien sur de nombreuses associations et fondations américaines opèrent depuis longtemps pour s’assurer du soutien à l’Amérique au sein des élites françaises, que l’on pense à la très célèbre fondation Franco-américaine, au club Jean Moulin (destiné à créer un projet d’opposition au gaullisme) ou encore plus récemment au conseil national pour les visiteurs internationaux.



Mais la nouveauté de cette politique de séduction est qu’elle est focalisée sur des communautés ethnico-religieuses en France et notamment sur les jeunes musulmans.

Cette activité diplomatique vise donc les élites françaises tout comme les sites internet de la communauté immigrée en France.


Sont cités notamment comme relais les sites oumma et saphir, qui ont confirmé leurs bonnes relations avec l’ambassade des Etats-Unis en France (voir ici et la).



Mais des personnalités publiques et politiques issues de la diversité ont également été visées, comme par exemple Rokhaya Diallo, Reda Didi (ex-responsable du mouvement socialiste écologiste français les Verts qui a notamment publié un ouvrage À nous la Franceracontant son expérience américaine). Il y a aussi Ali Soumaré (ancien candidat PS aux élections régionales), Almamy Kanouté, (militant associatif et à la tête d'une liste indépendante à Fresnes),



Najat Belkacem, ancienne porte-parole de Ségolène Royal, et aujourd’hui membre du gouvernement français, ou encore Said Hammouche, fondateur du cabinet de recrutement Mozaïk RH, qui vise à favoriser la diversité dans les entreprises françaises.


Enfin, le rappeur Axiom, qui a lui aussi participé à ce programme et publié un ouvrage intitulé J'ai un rêve, appelant à lancer, en France, une vraie dynamique de lutte des droits civiques, sur le modèle américain. Cette liste n’est pas exhaustive.

Plus surprenant, ce travail de lobbying des minorités cible particulièrement les musulmans français. L’ambassade américaine a par exemple contribué à lancer une association nommée Confluences, destinée à promouvoir les minorités et particulièrement la minorité musulmane dans la région lyonnaise, tout autant qu’ à lutter contre les discriminations. L’attaché culturel du consulat américain à Lyon siège au conseil d’administration de l’association.






Plus récemment, c’est une maison des Etats-Unis qui a été créée, destinée à informer les Lyonnais sur l’Amérique. Notre ambassadeur est aussi fortement intéressé par les « écoles de la seconde chance » destinées à favoriser l’intégration des jeunes défavorisés, souvent issus des agglomérations cosmopolites des grandes villes françaises.

Ce travail en faveur des minorités défavorisées est plus limpide lorsque l’on lit le vibrant hommage rendu à l’ancien directeur de Sciences Politiques Richard Descoings, décédé dans des circonstances sordides aux Etats-Unis au début de cette année.



On sait le travail énorme fourni par Richard Descoings pour ouvrir Sciences Po à la nouvelle diversité française, et aux minorités des quartiers dits défavorisés.

Au passage, la presse française, qui a applaudi cette initiative au nom de l’égalitarisme social et républicain a curieusement passé sous silence la gestion financière catastrophique de l’établissement.

Les ingérences américaines prennent parfois d’autres formes : BBC News a révélé que les États-Unis avaient très largement financé un manga japonais (Manga to promote US-Japan military alliance) destiné au jeune public japonais afin de le convaincre de l'intérêt de l'alliance militaire entre les États-Unis et le Japon (et notamment le maintien de la base américaine d'Okinawa, de plus en plus contestée par la population).

A titre de comparaison, une « action culturelle » destinée à la France : En décembre 2010 est apparu aux Etats-Unis un nouveau super héros de bande dessinée appelé Nightrunner. Le personnage s’inspire de Billi Asseiah, un sunnite algérien de 22 ans immigré en France et installé à Clichy-sous-Bois. Incarnant les valeurs de justice, d'honneur et de droiture, il secourt la veuve et l'orphelin selon l'expression consacrée.


Il défend aussi et surtout les intérêts de sa communauté (les musulmans) injustement attaquée. Un élément d'autant plus inquiétant que le premier épisode de la BD se déroule durant les émeutes de banlieues de 2005 en France.


Accompagné par un ami, Bilal, alors âgé de 16 ans, est injustement pris à partie par la police, passé à tabac alors qu'il n'a rien fait de mal. Ensuite, son ami est abattu après avoir incendié un commissariat.



Bilal devient alors Nightrunner pour rétablir l'ordre juste et démocratique.


Figurant dans Annual Batman Detective Comics n" 12, nul doute que ce Batman d'un nouveau genre n'apparaisse prochainement dans les kiosques français, en particulier dans les banlieues.

En outre et toujours selon Wikileaks, dans un texte envoyé en janvier 2010 par l’ambassadeur Rivkin, on peut lire cette phrase plus que surprenante: « Nous continuerons et renforcerons notre travail avec les musées français et les enseignants pour réformer le programme d’histoire enseigné dans les écoles françaises, pour qu’il prenne en compte le rôle et les perspectives des minorités dans l’histoire de France ».


De façon surprenante une loi est alors votée en France en septembre 2010.


Cette loi réduit ou supprime la partie des manuels d’histoire consacrée à certains personnages historiques français ou à certains événements de l’histoire de France, dans les programmes de certaines classes, au profit des cultures étrangères. Ainsi Clovis, Charles Martel, Hugues Capet, Louis IX, dit Saint Louis, François Ier, Louis XIII ont disparu des instructions officielles des classes de sixième et de cinquième des lycées.

Le programme des classes de sixième des lycées passe par exemple sans transition de la fin de l'Empire romain au IIIe siècle à l'empire de Charlemagne, soit une impasse de six siècles. Les « invasions barbares » des IVe et Ve siècles, pourtant fondamentales dans l'histoire de l'Europe, ne sont même plus évoquées. Louis XIV n’apparaît plus sous le nom de « Roi Soleil ». La partie qui lui est consacrés s’intitule « Émergence du roi absolu ». L’étude de la Révolution et de l’Empire est abrégée afin de mieux étudier les civilisations extra-européennes à certaines périodes.

Il y a au choix des enseignants: « la Chine des Hans à son apogée », c'est-à-dire sous le règne de l'empereur Wu (140-87 avant J.-C.), ou « l'Inde classique aux IVe et Ve siècles ».


Au sein de la partie « Regards sur des mondes lointains» on trouve l'empire du Ghana (VIIIe-XIIe siècles), l'empire du Mali (XIIIe-XIVe siècles), l'empire Songhaï (XIIe-XVIe siècles) ou le Monomotapa (XVe-XVIe siècles).


On y trouve aussi l'étude de la naissance et du développement des traites négrières en 3 heures, alors que la totalité de l’histoire de la Révolution de 1789 et de l’Empire ne se fait qu’en 8 heures. Enfin de grandes parties de l’histoire de France sont aussi désormais optionnelles et au choix du professeur.

Ces décisions de modification des programmes scolaires ont été prises en France au nom de « l’ouverture aux autres civilisations de notre monde ».

Quelles conclusions faut-il tirer de cette activité diplomatique américaine dirigée vers les minorités françaises visibles et simultanément de ces changements de contenu des manuels scolaires français ?

Tout d’abord les américains sont dans une démarche impérialiste de promotion de leur modèle de société. Cette logique impérialiste vise à établir un modèle de société unique et une vision commune de l’histoire, en Europe et en Amérique, une Amérique dans laquelle les bébés de souche européenne ne sont déjà plus majoritaires, une Amérique dans laquelle les minorités deviendront majorité a l’horizon 2050.

Ensuite on peut douter que ce modèle de société soit applicable a la France et aux nations européennes, dont l’homogénéité ethnique et culturelle ancienne n’a été que récemment bousculée par une immigration post coloniale et majoritairement d’une autre religion, ce qui n’est pas le cas aux Etats-Unis ou les minorités sont très majoritairement chrétiennes.

Enfin, ces stratégies de réseaux et d’influence présentent un réel danger pour la France. L’intégration réussie des nombreuses vagues d’immigration que la France à connu dans le passé s’est toujours réalisée sans aucune revendication ethno-religieuse mais par un processus complexe d’assimilation généralement volontaire, bien différent du modèle communautaire américain, modèle qui pourtant semble se développer dans plusieurs pays européens qui connaissent une forte immigration.


De toute évidence, les difficultés que la France rencontre actuellement avec ses minorités sont liées au développement rapide de la communautarisation, qu’elle soit identitaire, sociale et ethnico-religieuse.


Sur le territoire, des sous cultures transversales se sont développées, qui sont indépendantes voire hostiles à l’identité française.

Pour la France, pays chrétien et européen dont l’avenir est en Europe, cette activité d’ingérence est extrêmement négative.


En accroissant les sentiments communautaristes et revendicatifs de minorités ethniques et religieuses à l’égard de l’état français, les américains prennent le risque de créer des tensions qui pourraient aboutir à un point de non retour.


En outre, cette agression en règle contre le modèle assimilationniste choisi par la France pourrait avoir des conséquences explosives, lorsque l’on sait que les revendications ethno-religieuses s’ajoutent à des revendications régionalistes déjà sous-jacentes.


http://french.ruvr.ru/2012_11_03/France-offensive-americaine/
http://french.ruvr.ru/2012_11_06/93646488/

QUELQUES SUGGESTIONS A MADAME TAUBIRA ! TRIBUNE LIBRE !

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Lundi 12 août 2013

(Traduit de l’anglais : « On colonialism, slavery, racism and repentance : Four suggestions to French Justice Minister Christiane Taubira » – article de l’auteur, daté de juin 2013, à ce jour non publié, disponible sur demande)

Par Jean Marie Blanc

D’après un récent article de Joseph Bamat dans France 24 International news (http://www.france24.com/en/20130512-france-minister-taubira-land-reform-slavery-caribbean-reparations-hollande), le Ministre de la Justice Christiane Taubira souhaite redistribuer les terres, dans les départements d’outre-mer des Caraïbes, en faveur des descendants des esclaves d’origine africaine – projet chaleureusement accueilli par le « Conseil Représentatif des Associations Noires » (CRAN). Ces informations méritent, me semble-t-il, quelques remarques et suggestions.

Tout d’abord – que ce soit clair –, je suis absolument convaincu du fait que la colonisation a été une monstrueuse erreur politique : Les nations européennes n’auraient jamais dû mettre les pieds dans les pays d’outre-mer, que ce fût en Afrique ou ailleurs.

Nos missionnaires, nos médecins, nos ingénieurs, prétendaient y apporter le développement, l’humanisme et la démocratie, mais cela n’a servi à rien parce que les peuples concernés n’avaient pas la maturité culturelle nécessaire.

Cette démarche prétentieuse ne respectait pas le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, et surtout, selon l’éthique actuelle, l’esclavage a été un crime.

Cette erreur nous a déjà coûté très cher, mais il semble que Christiane Taubira souhaite nous la faire payer encore plus.

Ri7Taubira à la Justice2N’oublions pas, néanmoins, que le colonialisme a été, depuis l’antiquité, une coutume très répandue. Par exemple, les Îles Caraïbes auxquelles Mme Taubira s’intéresse furent d’abord occupées par des migrations successives d’Indiens d’Amérique du Sud – en dernier lieu des Arawaks, au 4e siècle.

Cette peuplade plutôt pacifique fut exterminée par des envahisseurs guerriers caraïbes (au 9e siècle), qui à leur tour furent écrasés par les colonisateurs français (au 17e siècle).

Aujourd’hui, les derniers descendants Caraïbes ne semblent avoir aucun complexe de culpabilité au sujet de la triste fin des Arawaks, et ne regrettent que la confiscation de leurs terres par les Français. Et quoi qu’il en soit – quelle surprise ! – Mme Taubira ne s’intéresse apparemment pas aux Indiens, mais seulement aux Africains…

Donc, le colonialisme a été si fréquent et si répandu dans l’Histoire, que légiférer sur des réparations ad hoc dans chaque pays – sauf à considérer que la culpabilité ne devrait retomber que sur la France – risque d’être une tâche assez compliquée. Mais au moins, si l’on suit la logique de notre Garde des Sceaux, je peux espérer voir reconnaître une vieille injustice dont mon pays fut victime.

En effet, mes ancêtres Gaulois furent vaincus et colonisés par les Romains en 52 avant J.C., et la France peut donc aujourd’hui, de bon droit, porter plainte contre l’Italie. Je suis conscient bien sûr du fait que ce pays, en triste situation économique, n’est que peu solvable, mais je me contenterais, de sa part, d’excuses publiques.

Ma première suggestion à Mme Taubira est donc de mobiliser le Gouvernement pour qu’il effectue les démarches nécessaires à cet effet – ça mettra sûrement de l’ambiance dans les prochaines réunions des Instances européennes.

L’esclavage, dans nos territoires des Antilles et de la Guyane (d’où proviennent les ancêtres de Mme Taubira) a été une affaire juteuse entre le 17e et le 19e siècle : 11 millions de pauvres types y furent transférés depuis la côte africaine – ce n’est pas rien.

Mais ces pauvres types, qui bien entendu étaient achetés à des marchands africains, n’ont compté que pour une part relativement faible au sein d’un énorme commerce qui s’étendait à l’époque sur toute l’Afrique : La traite interafricaine (entre royaumes africains) a porté sur 14 millions d’esclaves, tandis que la traite arabo-musulmane en a commercialisé environ 17 millions (1).

Néanmoins, comme c’est bizarre, la loi rédigée par Mme Taubira reconnaissant l’esclavage comme un crime contre l’humanité ne concerne que la seule traite transatlantique (ainsi que celle de l’océan Indien), laissant de côté la majeure partie de l’esclavage africain – peut-être a-t-on oublié d’en parler à Mme Taubira…

Et pourtant, la traite arabo-musulmane mérite qu’on s’y intéresse – une pratique parfaitement légale selon le Coran, et qui perdura du 8e au 20esiècle.

Des razzias étaient perpétrées dans toute l’Afrique sub-saharienne, et les esclaves étaient commercialisés à Alger, Khartoum, Médine et Zanzibar (entre autres), pour l’approvisionnement de la clientèle arabe, particulièrement dans les Émirats.

Par ailleurs, la piraterie en mer Méditerranée et des razzias sur les côtes d’Europe du sud permettaient de capturer différents types d’esclaves chrétiens, notamment des jeunes femmes blanches qui étaient fort appréciées dans les harems arabes. Je pense donc – et ceci sera ma seconde suggestion – que Christiane Taubira devrait parfaire son œuvre mémorielle et de justice concernant l’esclavage en stigmatisant la responsabilité arabo-musulmane en ce domaine et en en demandant réparation aux pays du Golfe Persique – qui, à la différence de l’Italie, sont dans une situation financière confortable. Sans aucun doute, nos nouveaux amis du Qatar ne manqueront pas de lui apporter leur aide.

Il n’en reste pas moins que, dans nos départements des Antilles et de Guyane, les populations noires ont pleinement conscience que l’esclavage est désormais considéré comme un crime et que la France doit payer pour cela – en dépit du fait qu’elle fut un des premiers pays à abolir l’esclavage. Compte tenu de ce fort ressentiment, on peut se demander pourquoi ces populations, qui ont tant souffert des crimes de la France et qui s’en plaignent toujours tant aujourd’hui, ne retournent pas dans leurs pays africains d’origine.

On peut, plus encore, se demander pourquoi tant d’immigrants, venus de Haïti et du Surinam, tentent désespérément de pénétrer respectivement en Guadeloupe et en Guyane : Ne leur a-t-on pas dit que la France est une nation horriblement raciste et xénophobe ?

Sachant cela, il apparaît à l’évidence que le projet simpliste consistant à redistribuer quelques hectares de terre à une poignée de descendants d’esclaves est absolument insuffisant : seule une totale libération peut constituer une réparation digne de ce nom.

Ma troisième suggestion à Christiane Taubira est donc de presser le Gouvernement français d’accorder à ces territoires une indépendance complète et définitive.

Bien sûr, leurs peuples auront à s’adapter aux conditions de vie qui sont celles de Haïti, de Cuba ou du Surinam, mais l’auto-détermination a un prix…

Quant aux citoyens de la Métropole, ils seront très intéressés d’apprendre qu’ils paient annuellement 16 milliards d’Euros (dont 7 milliards de « mesures spécifiques ») pour les départements et territoires d’outre-mer (2) – merci, joyeux contribuable ! –, alors que le Gouvernement rogne sur les retraites et sur les services publics pour économiser quelques milliards… Cela vaudrait donc la peine de nous débarrasser de tous ces pays-là – et un tel projet ne susciterait-il pas l’enthousiasme du Conseil Représentatif des Associations Noires, le CRAN ?

Terminons, justement, par ce CRAN qui mérite, par lui-même, une dernière remarque. Croyez-le ou non, l’existence d’un mouvement tel qu’une « Association Noire » n’est pas raciste du tout. Si ça l’était, nos vaillants groupes de pression antiracistes – Ligue des Droits de l’Homme (LDH), Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP), ou encore SOS Racisme – ne manqueraient pas de s’y opposer – tant ils sont prompts à poursuivre en justice tout journaliste, écrivain ou responsable associatif qui ose exprimer la moindre critique relative à l’Islam ou à l’immigration massive.

Non seulement le CRAN n’est pas raciste, mais en outre Joseph Bamat, dans son article de France 24, le qualifie de « groupe de veille antiraciste de premier plan » – remarquable distinction pour une communauté « 100% Noire »… Cela étant, le bon côté de la chose est que des associations « 100% Blanches » ne devraient pas non plus être considérées comme racistes – et ça tombe bien, parce qu’on en a besoin.

En effet, dans de nombreux quartiers urbains et suburbains, la population arabe et africaine issue de l’immigration est telle que les Blancs européens, s’ils ne fuient pas vers d’autres lieux (en anglais : « white flight »), se retrouvent en situation vulnérable dans le nouvel ordre sociopolitique : Dans la rue, ils peuvent être traités de « face de craie », « salaud de blanc », « fils de chienne », ou « sale pute », sans parler du risque d’être physiquement agressé.

Malheureusement, les associations soi-disant antiracistes mentionnées plus haut sont tellement occupées à poursuivre en justice les gens politiquement incorrects qu’elles n’ont pas le temps de s’intéresser aux plaintes pour insultes et pour coups et blessures (du moins pour autant que la victime ne soit pas plus ou moins basanée, bien entendu).


C’est là que des Associations Blanches pourraient être utiles, ce qui me conduit à ma quatrième suggestion au Ministre de la Justice Christiane Taubira : Promouvoir la création de telles associations et les doter d’un cadre national qui pourrait s’appeler « Conseil Représentatif des Associations Blanches » (CRAB), et qui serait bien entendu subventionné en tant qu’association reconnue d’utilité publique… Nul doute que le CRAN et les autres lobbies antiracistes seront, pour cela, de bon conseil.

Un dernier mot : Sous des dehors humoristiques, cet article est assez pessimiste : Un sérieux risque existe, en effet, que des citoyens français de souche, s’ils sont trop longtemps pris pour des idiots par leurs dirigeants, en particulier sur le plan de la Justice, soient tentés de faire justice eux-mêmes. Et ce ne serait pas humoristique du tout.

Jean-Marie Blanc

(Août 2013)

(1)                              Voir l’article de Bernard Lugan : « La traite arabo-musulmane ? 17 millions d’esclaves ! » – Boulevard Voltaire, 11 janvier 2013 :

http://www.bvoltaire.fr/bernardlugan/la-traite-arabo-musulmane-17-millions-desclaves,8027

LA FRANCE OU LA RÉPUBLIQUE , LE DÉBAT......

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La France ou la République : enfin le vrai débat commence

Jacques Philarchein a écrit un article exceptionnel  par le contenu et la qualité de la réflexion qu’il recèle. (1) Il pose une question essentielle qui n’a que trop tardé à être placée au cœur du débat : la France ou la République ?

Le couvercle de la marmite étant ainsi ouvert, l’ébullition qui agitait le petit monde des résistants, jusque-là contenue,  éclate au grand jour. Il était temps.

La bataille des mots est fondamentale et Victor Hallidée l’a très bien souligné dans un récent billet, nouvelle contribution au débat. (2)

En effet, nous ne gagnerons pas si nous employons le lexique de l’ennemi, c’est-à-dire en nous soumettant à sa logique.

Cette question est particulièrement cruciale et je l’ai soulevée à plusieurs reprises, dans des discussions avec des amis résistants, depuis  la réunion fondatrice de Résistance républicaine. Il nous revient donc d’imposer notre lexique, pour nous rassembler, donner du sens à notre combat et opposer notre propre logique à celle de l’adversaire. (3)

Alors, la France ou la République ?

De mon point de vue, il est dérisoire de se réclamer aujourd’hui de la république, présentée comme le parangon de la vertu, héritière des Lumières et tout le tralala, selon la narration lénifiante dont des générations de Français ont été bercés et bernés depuis Michelet.

On pourrait même remonter jusqu’à l’abbé Siéyès pour découvrir l’origine de cette rhétorique et comprendre quelles sont ses visées.

Car enfin, qu’est-ce que la République ? Rien du tout, une abstraction.

14 juillet 2013La République n’existe que dans la mesure où il y a des hommes qui la font exister. Et ces hommes, organisés en coteries, voire en mafias, ont conçu un système de pouvoir fondé sur des institutions taillées  à leur mesure aux fins d’assouvir  leurs appétits, au préjudice du peuple et de la nation. 

On pourra dire tout ce qu’on voudra mais, dans un bilan, on ne pourra dissimuler que les hommes qui incarnent cette république, peu importe le numéro qu’on lui donne, ont fait la guerre de Vendée,  livré les travailleurs aux patrons en les privant de droits pendant près d’un siècle, fait tirer sur les ouvriers et les mineurs, persécuté les congrégations, asservi par la colonisation des populations qui ne leur ont rien fait, filé les uns après les autres des scandales retentissants et, non contents, travaillent aujourd’hui à la dissolution de la France. (3)

Non, ce n’est pas la France qui déçoit comme le suppose Christine Tasin (4),  ce qui est hors-sujet. 

Ce qui déçoit, c’est  le système républicain et sa démocratie « représentative », confectionné pour permettre à des minorités puissantes et structurées d’imposer  leurs vues, leur lexique, leurs normes et leurs intérêts  à une majorité subissante.

La République ne peut être identifiée à la France, dont elle n’est qu’une étape dans une longue histoire.

S’identifier à la république et à ses « valeurs » au point d’en faire une idole,  c’est  rejeter des pans entiers de l’histoire de ce cher pays pour n’en retenir, comme au supermarché, que l’article désiré : sa France, « la France que nous aimons », comme disent Martine Aubry et tant d’autres imposteurs.

Le débat ouvert par Paul-Antoine Desroches, Jacques Philarcheïn  et quelques autres a tout intérêt à se poursuivre et à s’enrichir. Nous y avons tous à gagner.

Peut-être débouchera-t-il sur une charte, un document écrit, un programme rassembleur à l’exemple de celui du CNR, un texte qui définisse clairement les objectifs et la stratégie à déployer pour les atteindre, et qui hiérarchise les priorités. Un document accepté par tous et auquel chacun, quelle que soit sa sensibilité, peut se référer.

 

A défaut, les résistants en resteront au stade groupusculaire, menés au gré des humeurs de petits chefs querelleurs.

Un stade marginal, inopérant et ne produisant que des concerts de pleureuses.

Ahmed Ghlamallah

(1) http://ripostelaique.com/la-resistance-patriotique-senracine-dans-la-france-avant-que-detre-republicaine-ou-jacobine.html

(2) http://ripostelaique.com/pour-gagner-la-guerre-des-mots-il-faut-utiliser-france-plutot-que-republique.html

(3) Les termes de dhimmi et de dhimmitude sont, par exemple, absolument à bannir. Le terme de collabo, qui est pertinent,  présente l’avantage de désigner clairement l’ennemi et, à la différence des deux premiers, ne renvoie pas à un statut juridique.  Dans un autre registre, il est légitime de contester l’appellation de Lumières, qui sous-entend qu’elles ont été précédées de ténèbres, ce qui est évidemment faux.

(3) La France d’aujourd’hui n’a plus de frontières, n’a plus de monnaie, n’a quasiment plus de droit national et bientôt plus de peuple.

(4) http://ripostelaique.com/parce-que-la-france-les-decoit-ils-sen-prennent-a-la-republique-et-a-la-laicite.html

L' ÉDITO DE CYRANO ! CES COMBATS CONTRE NOTRE CIVILISATIONS !

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EDITO DE CYRANO

La France est en train de crever

Dès le lendemain de la victoire de Hollande, un de nos contributeurs, Michel Tonarelli, écrivait cet article terrible : Dans 260 semaines, le mot fin sera écrit au bas de l’Histoire de France.

http://ripostelaique.com/dans-260-semaines-le-mot-fin-sera-ecrit-au-bas-de-lhistoire-de-france.html

C’est une chose que d’annoncer une catastrophe longtemps à l’avance, c’en est une autre que de se retrouver le jour venu les pieds en plein dedans.

 

C’est une chose que d’avertir, il y a plus d’un an, que l’élection de Hollande déboucherait sur des lendemains qui ne chantent pas, c’en est une autre que de constater, aujourd’hui et chaque jour un peu plus, l’effrayante progression de la maladie : la vitesse à laquelle la doulce France se métamorphose en hideux Frankistan ; la vitesse à laquelle la République jadis encore un peu démocratique se transforme en dictature toujours plus répressive pour certains (cloués au Mur des Cons), toujours plus complaisante pour d’autres (gavés des milliards de nos impôts) ; la vitesse à laquelle l’idéologie délirante de la gôche, imposée de force sans tenir le moindre compte de la réalité, ravage la société ; la vitesse à laquelle une République officiellement encore laïque s’affuble d’une religion d’Etat avec la croyance la plus épouvantablement arriérée qui soit et s’y ensevelit comme dans un suaire ; la vitesse à laquelle les zélites françaises qui pètent de trouille devant cette religion agressive se muent de dhimmis honteux en kollabos affichés et fiers de l’être ; la vitesse à laquelle ces mêmes zélites prostituent la France à leurs différents grands et petits maîtres internationaux, comme si la France n’était plus qu’une vieille putain décatie à refiler au plus offrant ou au plus vicelard : l’Amérique, l’Allemagne, l’Europe, le Qatar, l’Arabie Saoudite, l’Algérie sans parler de tous les autres machins non élus qui décident pour nous, et à notre place, de notre destin (FMI, OMC, OTAN, etc.).

Tout cela au nom de grands principes, cela va de soi, mais défigurés ou devenus fous : dogme droit-de-l’hommiste, égalité poussée jusqu’au grotesque, vivre-ensemble obligatoire, laïcité invoquée chaque fois qu’elle est violée, modernité, compétitivité, etc.

Ri7France va crever4

La France est en train de crever

Juste trois exemples révélateurs glanés dans l’actualité de ces dernières semaines :

— À Brétigny-sur-Orge, le 12 juillet, des « jeunes » détroussent les victimes du déraillement du train Paris-Limoges, puis volent et caillassent les secours au point qu’il faut l’intervention des CRS pour les faire déguerpir.

Les grosses légumes (Hollande, Ayrault, ministres, autorités préfectorales) arrivées sur place à la vitesse du TGV, ainsi que les médias kollabos et les responsables de gôche qui se bousculent devant les caméras, tous, immédiatement et avec un bel ensemble de perroquets bien dressés, nient les faits qu’ils qualifient de « fausse rumeur de la fachosphère » (le syndicat de policiers à l’origine de la « rumeur » en question présentant la tare rédhibitoire d’être classé à droite).

Pourtant, le Procureur de la République confirme, le 24 juillet, au moins 2 vols alors que 4 plaintes ont été déposées.

Et si l’accident est officiellement dû à la défaillance inexpliquée d’une éclisse, qu’on se rassure, la possibilité d’un sabotage a été immédiatement écartée par Hollande, grand expert ès-aiguillages s’il en est.

À ce jour, aucun perroquet bien dressé n’a reconnu nous avoir pris pour des cons.

— À Toulouse, le 2 août, des « jeunes » agressent et caillassent les secours appelés pour aider une jeune femme à accoucher à son domicile ; sans doute que la meuf n’était pas une voilée.

— Le lendemain, dans le même quartier décidément accueillant, des « jeunes » agressent, frappent et caillassent les pompiers venus au secours d’une femme âgée victime d’un traumatisme crânien après une chute ; celle-ci devra finalement être emmenée (« exfiltrée » ?) par sa famille.

Sur ces deux derniers faits, Valls à Gaz a parlé de comportements « d’une bêtise sans nom » ; c’est le moins, en effet.

Même si, actuellement, saison estivale oblige, les médias kollabos nous parlent surtout de sea, sex and sun, nous avons quand même été informés de ces faits, surtout le premier en raison de sa gravité, tandis que les deux autres ont malheureusement peu retenu l’attention.

Comme si tout cela était normal en Normalie de Normal 1er.

Comme si tout cela n’était que « bêtises » de « jeunes » un peu chahuteurs dans des quartiers « sensibles » ou « défavorisés » toujours un peu « chauds » en été (ramadanesque de surcroît), selon le charabia de la culture de l’excuse que nous connaissons par cœur. Mais réfléchissons bien au point commun de ces trois faits : en 2013, vingt-et-un siècles après l’Âge du Fer, en France, un pays riche d’une civilisation millénaire et d’un art de vivre réputé, en Europe de l’Ouest qui a longtemps été le centre flamboyant du monde, des individus peuvent agresser les secours et dépouiller les cadavres en toute impunité !

Cette constatation m’épouvante comme un cauchemar ou un film d’horreur, sauf que ce n’est ni un cauchemar ni un film d’horreur mais la réalité crue du pays dans lequel nous vivons. J’ai été horrifié en apprenant les événements de Brétigny ; je l’ai été de nouveau en apprenant ceux de Toulouse car ils montrent que ces comportements se banalisent à la vitesse de la lumière.

Or, aucune société humaine civilisée ne peut tolérer de tels comportements car ils sont aux antipodes de ce qu’est une civilisation ; c’est la solidarité des individus unis face aux dangers qui a permis de bâtir des sociétés vivables, c’est la certitude que mes voisins viendront spontanément à mon secours si ma maison brûle et que je ferai de même pour eux, sans me poser de question ; c’est ce dévouement réciproque qui permet à la collectivité de survivre et ça ne date pas d’aujourd’hui puisque c’est la solidarité de la famille, puis du clan, puis de la tribu, puis de la société qui a permis à nos lointains ancêtres humanoïdes, pourtant mal pourvus par la nature, de survivre envers et contre tout et de finir par dominer le monde.

Ri7Racaille chérie  de taubiraDépouiller les cadavres, voire les blessés qui réclament une aide d’urgence, agresser les secours, c’est une pulsion de mort déchaînée, un retour à la sauvagerie de nos origines il y a des millions d’années, une régression vertigineuse vers une bestialité que des siècles d’éducation n’ont manifestement pas suffi à éradiquer.

Si la loi oblige à porter secours à autrui puisqu’elle punit la non-assistance à personne en danger, elle n’a pas prévu de punir l’agression de personne en danger, et pour cause puisqu’il s’agit là d’un tabou d’origine anthropologique (voire même génétique), fondamental pour tout être humain civilisé et qui n’a pas besoin d’être écrit.

Ces individus qui ont commis de telles saloperies sont-ils des êtres humains civilisés ? Évidemment non, et parler de comportements « d’une bêtise sans nom » est une bêtise sans nom : ce n’est pas une simple « bêtise », avec ou sans nom, ce sont des actes contre-nature et criminels, des actes qui mettent leurs auteurs au ban de l’humanité, des actes qui les désignent comme des bêtes dangereuses et malfaisantes qui ne relèvent plus de la sociologie mais de la zoologie, et qu’il faut éliminer sur le champ et sans autre forme de procès car c’est la seule réponse sensée qu’une société décidée à se défendre doit leur donner.

On n’en est malheureusement pas là car notre société n’est pas du tout décidée à se défendre, et comme chaque âme sensible à la souffrance animale le sait, nos forces de l’ordre ont été tellement émasculées par les pouvoirs capitulards successifs qu’à chaque « échauffourée », leur préoccupation unique est de ne blesser personne dans le camp des « divers » d’en face, quitte à se laisser tirer dessus à l’arme de guerre sans riposter ; c’est que ça la fiche mal pour la propagande du pouvoir lorsque la simple « échauffourée » en question vire soudain à l’émeute ultra-violente généralisée de 3 jours et 3 nuits ; donc, les forces de l’ordre qui obéissent aux ordres se bornent à se protéger elles-mêmes puis à faire retraite clopin-clopant en laissant le moins possible des leurs sur le carreau, la répression du crime ce sera pour plus tard ; pour la protection des citoyens honnêtes, pourtant le premier devoir de l’État, ce sera pour encore plus tard ; et pour la défense de la civilisation contre la barbarie, ce sera, c’est promis, à la Saint-Glinglin.

La France est en train de crever

Dans la France d’aujourd’hui, on peut donc mourir après un accident ou une maladie parce que les secours d’urgence dont on a un besoin vital sont tombés dans un guet-apens organisé par des « défavorisés » pour se distraire ou s’enrichir ou pour faire comme la bande de racailles de la cité d’à-côté.

Dans la France d’aujourd’hui, les victimes d’une catastrophe peuvent être dépouillées par des voyous qui ne pensent qu’à leur faire les poches en les laissant crever dans leur sang au lieu de leur porter secours.

Dans la France d’aujourd’hui, ces faits devraient tous nous épouvanter, nous montrer que ça va trop loin, que les fondements de la société partent en morceaux, que des mesures radicales doivent être prises et mises en œuvre de toute urgence, mais ça ne fait qu’un petit tour aux journaux télévisées avant de céder la place à des infos plus passionnantes (comme les croustillants ébats de Nabilla).

Car dans la France d’aujourd’hui, quand les zélites ne parviennent plus à minimiser la violence intolérable des faits, elles nient les faits purement et simplement, elles nient une réalité qu’elles ne contrôlent plus depuis longtemps, laissant ainsi la population seule et désarmée à la merci des bêtes sauvages.

Dans la France d’aujourd’hui, les zélites sont criminelles en bandes organisées et complices des crimes qu’elles laissent se commettre.

RI7TBBLes trois calamiteuses jpegL’ensauvagement de la France décrit par Laurent Obertone dans sa France Orange Mécanique n’est pas un fantasme d’extrême-droite, « un tissu d’âneries qui sert le FN » (Nouvel Obs, toujours bien inspiré) mais la glaçante réalité.

La mort par égorgement du jeune Jérémie, 23 ans,  à Marseille, en est une nouvelle illustration.

Je souhaite vivement qu’une de ces arrogantes crapules qui nous bassine matin, midi et soir avec sa morale de pacotille soit elle-même un jour victime de ce qu’elle prétend n’être qu’un tissu d’âneries, un fantasme, un préjugé, un racisme franchouillard, et qu’elle y laisse une bonne poignée de plumes, de dents, d’argent et plus encore si affinités, ça lui donnera peut-être une meilleure appréciation de la réalité telle qu’elle est et telle que nous devons la subir en silence.

La France est en train de crever

Et pendant que la France sombre ainsi dans la barbarie, pendant que le niveau de violence toléré augmente inexorablement, pendant qu’une guerre de moins en moins sourde et de plus en plus violente s’installe partout, certains patriotes discutent du sexe des anges ; ou sodomisent des mouches pour ceux qui préfèrent les travaux pratiques.

N’y a-t-il vraiment rien de mieux et de plus urgent à faire ? Allons-nous nous laisser assassiner ou nous révolter ?

« Les droits [naturels et imprescriptibles de l'Homme] sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression. » Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, art. 2

Winston Churchill disait : “Si la guerre est horrible, la servitude est pire. Si vous ne vous battez pas pour vos droits quand vous pouvez vaincre sans verser le sang, si vous ne vous battez pas quand la victoire est certaine et peu coûteuse, le moment viendra où vous devrez vous battre contre tout espoir, avec des chances de survie très minces.

Et il y a pire : peut-être devrez-vous vous battre sans la moindre chance de vaincre, parce qu’il vaut mieux périr que de vivre en esclaves. »

MANIF 14 SEPTEMBRE - libertépourestebanA méditer. Si ce texte vous touche, préparez-vous à manifester nombreux aux côtés de Riposte Laïque, Résistance républicaine et de tous ceux qui, au sein du Collectif pour la Défense des Libertés Publiques, appellent, le 14 septembre prochain, les Français à descendre dans la rue contre la répression socialiste, qui ne touche que ceux qui refusent l’ordre nouveau des Hollande-Valls-Taubira.

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Vous pouvez adresser un chèque de 24 euros (5 euros de frais de port compris), à l’ordre de Riposte Laïque, à l’adresse suivante : Riposte Laïque, BP 10001, 78570 Chanteloup-les-Vignes.

Union européenne : 27 euros. Autres pays : 30 euros.

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QUAND LES PARLEMENTAIRES SE " BATTENT " POUR ALLER AU QATAR ?

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Le Point.fr - Publié le 14/08/2013 à 08:22 - Modifié le 14/08/2013 à 09:19

Et si derrière la critique systématique des actions de ce pays du Golfe se cachait le stade suprême de l'islamophobie, s'interroge Sihem Souid.

 

Vue de Doha, capitale du Qatar.Vue de Doha, capitale du Qatar. © WITT/SIPA

 
 
 

Il est bien sûr permis de critiquer le Qatar, à l'instar de tous les pays du monde.

Néanmoins, avec le Qatar, on a dépassé le stade de l'irrationnel.

Voilà un pays riche de près de deux millions d'habitants et de sa rente pétrolière et gazière, qui ne réclame aucune aide internationale pour son développement, qui joue un rôle pacificateur dans les relations internationales et qui est pourtant accablé par une classe politique toujours en verve quand il s'agit de clouer des Arabes au pilori.

Il faut savoir - ce qui est encore plus étonnant, pour ne pas dire plus - que, lorsque le Qatar convie tous ces messieurs à "colloquer", ils répondent tous présents. 

Récemment, peu de temps avant la fin de la session parlementaire, en mai dernier, Doha organisait son fameux forum où se rencontrent des personnalités du monde entier. Quel pays est venu avec la délégation la plus nombreuse ?

La France, avec 80 personnes. Les Anglais n'étaient que 24.

Ce qu'on ne sait pas, c'est que les parlementaires hexagonaux se sont "battus" pour être dans l'avion.

Au point que le président du groupe d'amitié France-Qatar au Palais-Bourbon avait été obligé de rappeler à l'ordre chacun des partis représentés.

On les comprend. Se rendre au Qatar est une magnifique expérience.

Femmes ou hommes, on s'y sent en sécurité. Pour les abonnés aux clichés, les dames se promènent sans tuteur et vêtues comme bon leur semble.

Avec ou sans voile, colorées de mille facettes. Les rues sont sûres. Du point de vue de la sécurité, ça ne rigole pas au Qatar, la vidéosurveillance, adorée par nos politiques, notamment à l'UMP, y est une alliée appréciable.

Les night-clubs sont accessibles grâce à un badge magnétique, impossible d'échapper à ses responsabilités en cas de mauvais comportements, bagarres ou autres faits.

Quand la Chine rachète des vignobles, le vin devient-il taoïste ou confucéen ?

Tous les partis politiques devraient saluer la réussite du Qatar ; en plus, avec une famille royale francophone, la France a tout à gagner à devenir son alliée privilégiée.

En réalité, tout le monde a compris que ce qui pose problème, aux observateurs, journalistes et autres acteurs de la vie politique, c'est l'islam.

On peut lire régulièrement des diatribes anti-Qatar, y compris en France, dans la presse progressiste partant du postulat qu'un pays musulman n'est pas très catholique.

Un petit État souhaite injecter de l'argent pour aider des PME, y compris dans les quartiers populaires, et voilà que surgit le spectre de l'islamisation.

Quand la Chine rachète des vignobles, le vin devient-il taoïste ou confucéen ?

Comme pour le PSG, quel complexe de pouvoir rivaliser parmi les plus grands clubs de foot du monde !

La France a désormais une équipe qui compte dans ses rangs les meilleurs joueurs du monde, de Zlatan Ibrahimovic à Cavani - acquis pour la modique somme de 64 millions d'euros. Les supporteurs, élus ou non, ne voient plus le spectre d'une islamisation rampante, mais bien un élan formidable pour un club qui fait la fierté de tout un pays.

D'ailleurs, en ce qui concerne le PSG, il n'y a pas de risque que le drapeau du Qatar flotte au sommet de la tour Eiffel. À Doha, on cultive la discrétion.

 

 

source et publication:  http://www.lepoint.fr/invites-du-point/sihem-souid/sihem-souid-halte-au-qatar-bashing-14-08-2013-1713930_421.php#xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20130814

LES ISLAMISTES ALGÉRIENS APPEL À LA GUERRE CONTRE LES KABYLES !

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Mercredi 14 août 2013

Le 3 août, des centaines de personnes ont mangé en public en plein ramadan à Tizi-Ouzou en Kabylie pour affirmer la liberté de conscience et dénoncer l'Inquisition de l'État.

 Un rassemblement s'est tenu à Montréal le même jour par solidarité. 


Dans cette interview diffusée sur Dzaîr le 4 août au JT Soir, Samia Ait Tahar, initiatrice de cette action, explique la démarche des non-jeûneurs :



 

Les réactions ne se sont pas fait attendre.

Les non-jeûneurs se sont attirés les foudres du Haut conseil islamique d'Algérie. (source : AFP via 20 minutes) :

«Nous condamnons avec force cette attitude qui relève de la provocation et de l'exhibitionnisme», déclare le HCI qui critique cette «minorité d'individus» qui ont affiché «avec ostentation leur non respect du jeûne en plein jour».


L'instance officielle affirme sa «solidarité avec la population de Tizi Ouzou et à sa tête les imams et les forces politiques représentatives de la région qui se sont fermement opposés à cette minorité de semeurs de discorde».

Citant l'un des préceptes de l'islam sur la liberté de conscience, le HCI estime que les manifestants «ne se seraient pas livrés à une telle provocation s'ils n'étaient encouragés par certains cercles à l'intérieur du pays, notamment certains médias, mais aussi à l'étranger et qui oeuvrent à déstabiliser notre Nation».

 

Ils ont également suscité une violente réaction des islamistes, dans un langage qui n'est pas sans rappeler celui des fanatiques ayant massacré 200.000 Algériens dans les années 1990. (source : Tamurt.info):


Les islamistes appellent à une guerre contre le peuple Kabyle.

Le déjeuner contre l’inquisition organisé, samedi dernier, à Tizi Wezzu, a provoqué l’ire des arabisants et des islamistes. [   ]

Ils ont violemment critiqué les militants du MAK (Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie) et le président du Gouvernement provisoire kabyle, Ferhat Mehenni.


Un appel est lancé à tous les Algérois de brûler le drapeau Kabyle et les poster du MAK, le mercredi prochain, 07 aout.

Selon un militant du MAK qui a été présent à Alger, les intégristes ont appelé au meurtre de tous les militants de la cause berbère.

Cela s’est passé en présence des éléments des services de sécurité qui n’ont pas réagi à ces appels aux meurtres.

«Nous demandons à nos frères Moudjahidine dans les maquis de Kabylie - allusion faite aux terroristes - de raser toutes les églises en Kabylie et de liquider physiquement tous les mécréants», a lancé un barbu. 

 

source

L'Islam religion de paix et de tolérance qui respecte les individus...

En tout cas en Kabylie comme en syrie les catholiques et juifs ne vivent pas dans la peur !


ET AUSSI


Mercredi 14 août 2013

 

Ces rassemblements-déjeuners dans l'espace public de la République démocratique algérienne ne devraient pas être interprétés comme des actes contre la religion musulmane.

Non ! Ces êtres humains ne sont ni des mécréants, ni des "koufars" encore moins des renégats, des apostats, des fauteurs de troubles et surtout pas des personnes qui cherchent à semer la discorde et la zizanie entre les Algérien-ne-s et à plonger le pays dans la fitna (désordre).

Non ! Ce groupement d'individus à Tizi Ouzou et à Aokas était représenté par des personnes humaines qui au fond posent la question de la liberté de conscience, sujet fondamental et éminemment démocratique qui nécessite d'être mis au cœur des débats de la République algérienne.

La liberté, du latin liber qui signifie "libre", de conscience, du latin conscientia, c'est-à-dire "for intérieur", est, en effet, le point essentiel que les "Dé-Jeûneurs" du 3 août à Tizi Ouzou et à Aokas ont mis en évidence à travers leur mobilisation citoyenne qui a suscité tant de haine, de rancoeur et de rancune.

Certains ont été jusqu'à considérer cette initiative comme un acte de souillure.


La visite de Ali Belhadj, l'ex-dirigeant de l'ex-Front Islamique du salut (FIS) et de bien d'autres religieux venus d'autres villes d'Algérie, le lendemain de ce rassemblement sur le lieu du déjeuner "démocratique" n'avait-elle pas pour unique objectif de purifier cette ville de l'action "blasphématoire" des "Dé-Jeûneurs" de la République ?

 

La liberté de conscience est l'un principes garanti par des textes législatifs internationaux et nationaux. L'article 18 de la Déclaration des Droits de l'Homme stipule que "toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites".

La Constitution algérienne (1996/2002/2008) dans son article 36 met l'accent sur "l'inviolabilité" de la liberté de conscience et de la liberté d'opinion de même que l'article 32 garantit "les libertés fondamentales et les droits de l'homme et du citoyen".

 

A la lumière de ces principes universels qui constituent des droits naturels, chaque personne humaine dispose de la liberté de choisir ses croyances et son propre système de valeurs et de principes qui guident et structurent son existence.

Le rôle d'un Etat de droit est justement de garantir à chaque individu ce droit fondamental et inaliénable à la liberté de conscience et ainsi la possibilité de croire ou de ne pas croire ou encore de changer de religion.

L'égalité et la liberté sont des conditions sine qua non pour l'instauration d'une démocratie et d'une co-existence pacifique dans la société algérienne.

Tant que l'Islam continue à être institué religion d'Etat (article 2 de la Constitution algérienne); tant que le Politique, le droit, l'institution familiale et bien d'autres aspects de la vie publique et sociétale seront régis par l'idéologie religieuse, il ne saurait y avoir d'égalité, de liberté et de respect de la personne humaine dans sa diversité et ses spécificités.

La religion ne doit en aucun cas être une autorité politique dont la fonction est de régenter le champ politique, juridique et les rapports sociaux et familiaux.

La religion est une affaire strictement personnelle et privée.


 La sécularisation de tous les aspects des affaires de la République algérienne, publiques et familiales est une voie à privilégier et à envisager, à moyen et à long terme. Et que chacun et chacune prêche en son for intérieur.

 

source

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