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FRANCE: ASSAD ET SES RÉSEAUX ??? TRIBUNE LIBRE !

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Révélations explosives – Les réseaux français d’Assad

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Michel Garroté – Rédacteur en chef – J’ai maintes fois écrit que je ne soutiens ni le régime syrien, ni les rebelles syriens.

J’ai publié de nombreuses analyses qui, sources et preuves à l’appui, ont démontré la médiocrité de la plupart des analyses diffusées par les médias français. Cela dit, je viens de lire une investigation plutôt intéressante sur les appuis dont le régime syrien semblerait bénéficier en France.

Ainsi donc, sur lexpress.fr, Vincent Hugeux et Hala Kodmani publient cette investigation au vitriol, qui en écorche quelques-unes et quelques-uns au passage (extraits adaptés ; lien vers source en bas de page) : « La compagnie des disciples français de Bachar el-Assad a ses stars, ses jeunes premiers, ses seconds rôles, ses héros masqués et ses figurants candides, accourus de tous les horizons.

Le facho y côtoie le gaucho.

Le pieu musulman y coudoie l’islamophobe, le laïcard radical, le catho intégriste, l’altermondialiste de stricte obédience, le négationniste impénitent. Mais nombre d’entre eux s’enivrent du même breuvage, cocktail où se mêlent, selon un dosage aléatoire, l’anti-impérialisme, la haine d’Israël -fût-elle affublée des atours de l’antisionisme et le culte un rien nostalgique des régimes « forts ».

Le tout relevé d’une mesure de complotite chronique. L’appât du gain ? Il peut, çà et là, stimuler les vocations; mais pèse bien moins, à l’heure de s’engager sur le chemin de Damas, que les lubies idéologiques. Si notre tribu ne compte que peu d’adeptes -quelques dizaines d’activistes-, si ses manifestations parisiennes ne rassemblent qu’un maigre noyau de fidèles, les outils de la planète Web, les réseaux sociaux et les médias dits alternatifs dopent son audience.

D’autant que le même militant peut, pseudonymes à l’appui, sévir sous diverses bannières.

A l’extrême droite du portrait de famille, un personnage retient l’attention: Frédéric Chatillon, 44 ans. Ancien patron du Groupe union défense (GUD), phalange estudiantine encline à singer les rituels néonazis, ce colosse gominé, air rogue et veste de cuir, apparaît notamment en octobre 2011 en marge d’un meeting pro-Bachar ponctué de saluts hitlériens.

Lui a fondé dès 1995 la société Riwal, « agence spécialisée dans le conseil en communication, la création graphique et l’événementiel », matrice flanquée treize ans plus tard d’une filiale baptisée Riwal Syria, censée œuvrer à la « promotion des sociétés privées et des institutions publiques syriennes en France ». A commencer par le ministère du Tourisme, client généreux.

La maison Chatillon doit pour l’essentiel sa bonne fortune – et le décuplement d’un capital au sein duquel figure le copain et associé Axel Loustau, patron de l’entreprise de gardiennage Vendôme Sécurité – au parrainage des Tlass, dynastie baasiste autrefois très en cour et prompte à financer l’impression d’affiches et d’ouvrages révisionnistes ».

« Sunnite, le père Mustapha fut ministre de la Défense ; quant au fils Manaf, général placé à la tête d’une unité d’élite, il a fait défection en juillet. « Trahison d’enfant gâté » instantanément fustigée par le site Infosyrie.fr, autre planète de la galaxie Chatillon, domiciliée elle aussi rue Vineuse, dans le XVIe arrondissement.

Cette « agence de ré-information » s’emploie, comme son nom l’indique, à corriger les ravages d’une couverture mensongère de la tragédie syrienne. Présidente du Front national, Marine Le Pen minimise le rôle joué à ses côtés par l’ami Frédéric, croisé sur les bancs de la fac de droit d’Assas, mais relégué au rang de « prestataire de services ».

Services éminents : comme l’atteste un documentaire de Canal +, le « fournisseur » Chatillon a veillé à l’automne 2011 au bon déroulement de la virée romaine de « Marine ».

Son épouse, Marie d’Herbais, fille d’une ex-élue régionale frontiste de Picardie, présente le blog vidéo de Jean-Marie Le Pen.

Le tropisme baasiste du FN a la vie dure. Compagnon et bras droit de la conseillère municipale d’Hénin-Beaumont, Louis Aliot invoquait le 17 août une imaginaire « parité dans les massacres » pour renvoyer dos à dos le régime de Damas et la rébellion.

Assadolâtre certifié, l’ »effroyable imposteur » Thierry Meyssan, mérite de figurer au centre de la photo.

D’autant que c’est lui qui aurait recommandé Chatillon aux Tlass, alors en quête d’un propagandiste de choc. A 54 ans, le fondateur du Réseau Voltaire pérore sans désemparer sur les plateaux d’Al-Manar, la chaîne du Hezbollah libanais, ou de la télévision d’Etat syrienne, où il lui arrive d’accuser nommément tel reporter parisien de jouer les espions pour les services français.

L’examen attentif de sa logorrhée délirante et narcissique laisse peu de place au doute: le cas Meyssan relève au mieux de la psychanalyse.

Au gré d’un parcours chaotique détaillé par Fiammetta Venner dans un essai incisif, ce fabuliste a ferraillé tour à tour en faveur de l’intégrisme catholique, de la cause homosexuelle, de la pornographie, de la laïcité, du kadhafisme et de la théocratie iranienne.

On l’a même vu s’agiter au sein d’un Comité de vigilance contre l’extrême droite, auprès de Bernard Tapie, puis de l’actuelle garde des Sceaux, Christiane Taubira. On épargnera au lecteur la liste complète des graphomanes bacharophiles et de leurs sites favoris. Avec toutefois trois mentions spéciales ».

« L’une attribuée à un certain Louis Denghien, dont Infosyrie.fr, TSS (Tout sauf Sarkozy) et le Réseau Voltaire hébergent la prose volontiers ordurière. Une autre à Ginette Skandrani, ex-écolo atteinte par la névrose révisionniste.

La troisième au sinistre humoriste Dieudonné, dont le premier pèlerinage damascène, accompli en compagnie de Meyssan et de Chatillon, date de 2006. Vecteurs traditionnels du lobbying en faveur des despotes « fréquentables », les groupes d’amitiés parlementaires font preuve cette fois d’une sobriété rare.

D’autant qu’à l’instar du député socialiste Gérard Bapt, ceux qui les animent ont d’emblée pris leurs distances avec le raïs alaouite. De même, si elle exaltait encore le 21 mars 2011, à la faveur d’un dîner et sur un mode mélancolique, l’ »excellence » du lien bilatéral, l’Association d’amitié France-Syrie, assemblée d’ambassadeurs retraités et de vieux syrianologues, se tient coite. Nul doute en revanche que la volonté, patente jusqu’en 2004 chez Jacques Chirac puis ranimée dès 2007 par Nicolas Sarkozy, de normaliser la relation Paris-Damas afin d’exister sur l’échiquier proche-oriental, aura stimulé le tropisme arabophile de la diplomatie bleu-blanc-rouge. « Nous avions tous misé sur les promesses réformistes du jeune Bachar, concède un témoin privilégié.

Mais jamais il n’y eut envers la Syrie de compromissions à l’irakienne. » Allusion aux égarements de deux anciens barons du Quai d’Orsay grisés par les largesses pétrolières de Saddam Hussein. Jamais ? L’impayable Roland Dumas, ministre des Affaires étrangères de François Mitterrand, dont la liaison avec la fille de Mustapha Tlass parasita l’écran radar franco-syrien.

Dans l’ombre, quelques émissaires familiers de l’Elysée ont ensuite orchestré la romance Sarko-Assad. Parmi eux, l’ancien ministre de l’Information libanais, Michel Samaha, intime du raïs aux abois, arrêté le 9 août dernier à son retour de Damas pour transport d’explosifs ; et l’affairiste Ziad Takkiedine, lui aussi fils du pays du Cèdre, conseiller occulte de Claude Guéant ».

« Les stratèges du bacharisme à la française font bien sûr leur miel de l’angoisse – légitime – qu’alimente chez les chrétiens le sort de leurs frères syriens, promis à les en croire aux cimeterres des hordes djihadistes. « Le risque de récupération est indiscutable, admet Mgr Pascal Gollnisch, directeur général de l’Œuvre d’Orient, association caritative liée à l’archevêché de Paris.

Qu’il soit commis par le régime ou par les rebelles, tout carnage reste inacceptable.

Mais on ne peut placer sur un même pied une insurrection mal structurée et un Etat doté de blindés et d’avions de guerre. » « Nourrir l’opposition frontale entre chrétiens et musulmans est une ânerie, avance en écho un autre prélat. Que récusent d’ailleurs nos cousins de Syrie ».

Autant dire que ces hommes d’Eglise réprouvent le discours et l’activisme frénétique de l’étrange sœur Agnès-Marie-de-la-Croix, prieure libanaise du couvent Saint-Jacques-le-Mutilé de Qâra, non loin de Homs.

Réputée proche des services de renseignement du pouvoir, louangée par Meyssan et consorts, cette routarde repentie a fermement cornaqué maints reporters étrangers adoubés par les autorités. « Manipulée et manipulatrice », soupire un diplomate ».

« Animé par Anas Alexis Chebib, radiologue à Tulle (Corrèze), un Collectif pour la Syrie a également épaulé divers journalistes français en quête d’un visa. Au sein de son conseil d’administration siège Michel Lelong, père blanc et pro-palestinien radical, témoin à décharge lors des procès du négationniste Roger Garaudy et de Maurice Papon. 

Les médias grand public et l’édition ont aussi leur contingent d’agents d’influence. Profil qu’incarne à merveille Richard Labévière. A coup sûr, cet ancien de Radio France internationale s’offusquera de figurer ici en si piètre compagnie.

Mais voilà: s’ils recourent à un argumentaire sophistiqué, adossé à une connaissance approfondie de la géopolitique arabe, les articles, ouvrages et rapports de l’intéressé tendent à avaliser les thèses du régime et dénotent a minima une fascination résiduelle pour la lignée des Assad. A preuve, ses écrits dans Afrique Asie, mensuel où l’on ose qualifier de « réforme majeure » le toilettage de la Constitution syrienne, plébiscité en février dernier à la faveur d’un référendum ubuesque, ou encore cet essai paru en 2011 chez Perrin intitulé Quand la Syrie s’éveillera, et préfacé par Alain Chouet, autrefois directeur de la DGSE.

Moins connu, Frédéric Domont, fondateur et patron d’une société de « média, production et communication » installée à Beyrouth et baptisée Median, jouit à Damas d’une aura flatteuse. Passé lui aussi par RFI, Domont a été congédié de la « radio mondiale » en 2008 pour avoir vendu à la chaîne TV5, avant de la livrer à son employeur, une interview du raïs Assad, conduite au côté de son ami Labévière » (fin des extraits adaptés de l’investigation publiée sur lexpress.fr par Vincent Hugeux et Hala Kodmani ; ci-dessous, lien vers source).

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Reproduction autorisée

Avec mention www.dreuz.info

Et le cas échéant les sources citées

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http://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-orient/syrie-la-legion-francaise-d-assad_1160179.html

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ANNIVERSAIRE : FREUD ET LA PSYCHANALYSE.......

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freud.jpgCe darwiniste forcené et cocaïnomane invétéré, génial fumiste, aura été le fondateur d’une pseudo-science psychologique : la psychanalyse, qui a la particularité de rendre névrosés ceux qui ne l’étaient pas avant de l’approcher.


Charlatanerie mêlant le vrai et l’absurde, le fatras monté par Freud et ses compères (presque uniquement ses coreligionnaires) tourne principalement autour du sexe – véritable obsession -, auquel tout est ramené.

 

La « théorie » fondamentale de la psychanalyse est basée sur le « complexe d’Œdipe » défini en l’occurence comme le désir inconscient qu’aurait tout enfant de tuer son père pour entretenir des rapports sexuels avec sa mère…

Pour Freud, « l’enfant est un pervers polymorphe »…


Il n’est pas précisé, dans la pourtant très copieuse fiche wikipedia de Freud, que ce dernier a lui-même connu l’inceste dans sa jeunesse. Ce « détail » capital amène pourtant à penser qu’il a probablement élaboré sa « science » en projetant universellement la névrose qui le rongeait suite à son traumatisme, afin de se déculpabiliser. Il disait pourtant lui-même avoir « découvert » le complexe d’Œdipe au cours de son « auto-analyse ».

 

nevrose.jpgLa « méthode psychanalytique » consistera, pour Freud et ses disciples, à s’efforcer de suggérer (sinon d’implanter) aux patients des pensées et des souvenirs à connotation sexuelle voire incestueuse, qui, sous l’apparence de les apaiser, vont véritablement les névroser.

 

On ne trouve pas non plus sur wikipedia certaines citations pourtant éloquentes de Freud, comme lorsqu’il exprimait sa peur du « danger de voir cette science devenir une affaire juive ».

Il écrivait aussi en 1908 :
« Nos amis [adeptes de sa théorie ; NDCI] aryens nous sont indispensables. Sans eux, la psychanalyse serait victime de l’antisémitisme ».

Et en 1912, il constatait amèrement :
« Mon intention de fondre ensemble juifs et goyim au service de la psychanalyse me semble un échec. Ils se séparent comme l’huile et l’eau ».

 

PAROLE D' IMAN .......

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Mercredi 19 septembre 2012

prosternationImam de la mosquée El Badr de Hydra à Alger, lieu de culte situé à quelques mètres de l’ambassade des Etats-Unis, n’a pas été tendre avec les fidèles.

 « Je vais émettre un commentaire même si je n’aime pas en faire.

Qui sont les premières personnes qui portent atteinte au Prophète ?

Qui sont les premières personnes qui offensent l’islam ? », s’interroge-t-il en s’adressant à l’assistance. «

C’est bien sûr nous, les musulmans.

Nous ne faisons rien pour donner une belle image de notre religion.

Que des Américains produisent des films contre l’islam, et alors ?

C’est à nous de réaliser des films défendant notre religion.

Laissez-les ! Nous ne faisons que commenter, alors que nous ne produisons rien.

Nous sommes les véritables hypocrites.

Personne de nous n’est éduqué.

Personne ne se conduit d’une manière civilisée.

Et après, on se lamente sur un film d’outre-mer », lance l’imam qui, avec sa franchise, a résumé la schizophrénie de la société.

 

Source

RAPPEL :UNE FEMME COURAGEUSE, OUI ! MAIS C' EST EN AUSTRALIE !!!

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Julia Gillard, Premier Ministre d'Australie
 
 
 

Les musulmans qui veulent vivre sous la charia islamique ont été priés de quitter l'Australie ! Le gouvernement a ciblé les radicaux dans le but de parer les attaques terroristes potentielles.
 
Par ailleurs, Mme Gillard a irrité certains musulmans australiens en déclarant mercredi qu'elle soutenait les agences d'espionnage qui surveillent les mosquées présentes sur le sol de la nation. 
 

Citation : 
« LES IMMIGRANTS DOIVENT S'ADAPTER.
 
C'est à prendre ou à laisser. Je suis fatiguée que cette nation s'inquiète de savoir si nous offensons certains individus ou leur culture. 
Notre culture s'est développée depuis plus de deux siècles, après tant de luttes, d'épreuves et de victoires par des millions d'hommes et de femmes qui ont recherché la liberté. 
Nous parlons l'anglais et non pas l'espagnol, le libanais, l'arabe, le chinois, le japonais, le russe ou autre langage. Donc, si vous voulez faire partie de notre société,
 

APPRENEZ NOTRE LANGUE !
La plupart des Australiens croient en Dieu. Il n'est pas question ici de "droit chrétien" ou d'une quelconque pression politique, c'est un FAIT, parce que les chrétiens, hommes et femmes, avec leurs principes chrétiens ont fondé cette nation. 
Il est parfaitement approprié de les afficher sur les murs de nos écoles ! Dieu vous offense, je vous suggère alors d'envisager une autre partie du monde pour y vivre, car Dieu fait partie de notre culture. 
Tout ce que nous vous demandons, c'est de respecter les nôtres, de vivre pacifiquement et en harmonie avec nous.
 
Ceci est NOTRE PAYS, NOTRE TERRE et NOTRE STYLE DE VIE et nous vous donnons l'occasion d'en profiter. Mais à partir du moment où vous vous mettez à vous plaindre, à gémir et à ronchonner à propos de notre drapeau, notre engagement, nos croyances chrétiennes ou notre style de vie, je vous encourage fortement à profiter d'une autre grande liberté australienne :

"LE DROIT DE PARTIR "

Si vous n'êtes pas heureux ici et bien partez ! Nous ne vous avons pas forcés à venir ! Vous êtes venus tout seuls, alors acceptez le pays qui vous a acceptés, tel qu'il est !
Peut-être que si nous diffusons ce discours à tous les pays se trouvant dans le même genre de situation avec ses émigrés, nous trouverons le courage de faire entendre nos voix pour exprimer les mêmes vérités ! »
 

Si vous êtes d'accord avec ce que le Premier ministre australien a dit, diffusez ce courriel autour de vous le plus largement possible ! Merci
 
 

NEW YORK: DES AFFICHES POLÉMIQUES CONTRE LES MUSULMANS !

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New York : dans le métro, des affiches polémiques contre les musulmans

 

Publié le 22.09.2012, 07h03 | Mise à jour : 07h33

Une campagne d'affiches assimilant les musulmans qui prêchent le djihad à des «sauvages» débutera lundi dans le métro de New York, à l'initiative d'un groupe conservateur américain opposé à l'islam.

Une campagne d'affiches assimilant les musulmans qui prêchent le djihad à des «sauvages» débutera lundi dans le métro de New York, à l'initiative d'un groupe conservateur américain opposé à l'islam. | DR

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Des «sauvages», les musulmans qui prêchent le djihad ? C'est ce qu'affirme une campagne d'affichage controversée qui débutera lundi dans le  de New York, financée par l'AFDI (Initiative américaine pour la défense de la liberté), une association conservatrice, et autorisée par la .

Elle intervient alors que le monde musulman est secoué depuis plusieurs jours par une vague de protestation et de manifestations contre «L'innocence des Musulmans», ce  américain diffusé sur internet qui tourne en ridicule l'islam et le prophète Mahomet. 

«Soutenez Israël, faites échouer le djihad»

«Dans toute guerre opposant l'homme civilisé au sauvage, soutenez l'homme civilisé. Soutenez Israël, faites échouer le djihad», est-il écrit sur les affiches. Pamela Geller, la responsable de l'association, qui dirige également un groupe baptisé «Halte à l'islamisation de l'Amérique», a défendu l'utilisation du mot «sauvage» lors d'une interview à la chaîne CNN. 
Selon elle, le djihad, dans le sens de guerre sainte, prend pour cible des innocents. «Je pense que toute guerre menée contre des civils innocents est une sauvagerie», a-t-elle estimé, convaincue par ailleurs que cette campagne d'affichage n'avait aucun caractère religieux, puisqu'elle n'utilise ni le mot «islam» ni celui de «musulman».

Une campagne autorisée au nom de la liberté d'expression

L'ADFI a obtenu de la justice qu'elle oblige l'autorité de tutelle du métro new-yorkais à accepter cette campagne d'affichage, au nom de la «liberté d'expression». Je ne renoncerai pas à ma (liberté de) parole juste pour ne pas offenser des sauvages", a-t-elle insisté.

Pamela Geller est considérée comme «la figure de proue la plus visible et la plus flamboyante du mouvement anti-musulman» américain, selon l'organisme spécialisé dans la surveillance des groupes extrémistes, le Southern Poverty Law Center.

Source et publication:  LeParisien.fr 

TRIBUNE LIBRE : LIBRE PROPOS ET CONSTAT !

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Philippe Torreton rappelle à MM. Moussaoui et Boubakeur ce qu’est la liberté d’expression

Prenant la suite de la brèche ouverte par Richard Millet et Véronique Genest, le comédien Philippe Torreton pénètre à son tour dans le cercle très fermé des mauvais diseurs qualifiés d’islamophobes.

Figure reconnue du PS, puisqu’on se souvient de son soutien à la candidate Royal en 2007 puis de celui à Delanoë en 2008, sa remise en place de MM. Moussaoui et Boubakeur n’en est que plus appréciable et méritoire.

Mohammed Moussaoui s’est en effet déclaré ces jours-ci « profondément consterné par les dessins insultants à l’égard du prophète de l’islam », ajoutant que « rien ne peut justifier l’insulte et l’incitation à la haine ». On appréciera le mobile de sa consternation quand dans le même temps les fidèles de la religion d’amour et de paix vocifèrent de toute leur ferveur aimante et pacifique leur souhait d’égorger les Juifs, de tuer les Américains et plus généralement tout ce qui ressemble de près ou de loin à un mécréant occidental.

On retiendra encore l’accusation d’incitation à la haine quand ce sont les forums islamophiles qui dégorgent de vraie haine et de racisme, quand des fanatiques dangereux incitent des analphabètes à se ranger à leur cause vengeresse, les appelant à occire l’épouvantail mécréant pour un film qu’ils n’ont pas vu, et dont l’extrait ne fait que narrer des faits attestés par des sources de savants musulmans et figurant pour la plupart dans les hadiths, pour des caricatures qui n’auraient jamais pris vie si ces mêmes fous furieux islamiques n’avaient été aussi diaboliquement tarés.

M. Moussaoui nous avait déjà fait le même coup en novembre dernier (1), lorsque Charlie Hebdo avait une première fois osé caricaturer l’intouchable prophète par qui les malheurs arrivent. Le bonhomme veut bien de la liberté d’expression mais à condition qu’elle s’arrête là où commence la charia, puisque la charia est au-dessus des lois de la République, au-dessus des droits humains, au-dessus des libertés.

On proteste que les caricatures auraient allumé le feu mais une caricature n’est qu’un dessin sur une feuille de papier, et techniquement aucune feuille de papier ne peut mettre le feu à quoi que ce soit. Les pyromanes sont bel et bien les islamistes, ce sont eux qui ont tué un ambassadeur qui était totalement étranger à ce film que personne n’a vu, simplement parce qu’il était occidental et que cela seul devait justifier son refroidissement.

Les protestataires nombreux réclamaient l’exception mahométane pour fouler du pied la liberté d’expression, tous arguant de la dangerosité des colériques musulmans qui pouvaient violemment s’énerver. Lorsqu’on compare les jets de boules puantes et d’œufs, furieusement jetés par des intégristes catholiques en colère après une pièce de théâtre avec la quinzaine de morts causés par l’ire des musulmans, on se dit que tout de même certaines colères sont plus hystériques et violentes que d’autres.

Philippe Torreton, dans une appréciable lucidité renvoie donc dans les cordes les deux acolytes modérés porte-étendards des musulmans « de France », et dénonce leur participation à la curée générale contre Charlie Hebdo, contre le pseudo film sur Mahomet, contre la liberté d’expression, enjoignant leur intellect à rejoindre un niveau supérieur.

Il rappelle à juste titre que la liberté d’expression ne se discute pas (elle constitue en effet l’élément le plus important de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen et de celle de 1948 que la France a signées, et il serait extrêmement dangereux pour notre démocratie et pour le peuple français de la remettre en question), et que si l’on est diffamé par une publication, il existe des recours judiciaires civilisés prévus à cet effet.

Concernant l’offense religieuse ce type de recours reste encore lettre morte, la liberté d’expression primant obligatoirement dessus. Sachant à l’avance la perte assurée du procès pour ce type de prétexte les futurs déboutés islamistes se réjouiront de leur défaite, qui leur offrira du coup l’occasion espérée de se poser une fois encore en victimes incomprises par les méchants mécréants à qui il sera ensuite demandé un traitement d’exception par rapport au reste des citoyens. Et le tour sera joué, ni vu ni connu, j’t'embrouille le mécréant ! On agite les pions catalogués comme « méchants » pour mieux faire passer par derrière les pions répertoriés comme « gentils », alors que très loin d’être gentils ils sont en réalité bien plus pernicieux et tout aussi dangereux, sinon plus. Le poison mortel dans un écrin de velours… Et au pays des aveugles et des gentils bisounours et autres endormis, ça passe…

Le fait est que si le prophète Mahomet se sent diffamé et offensé il n’a qu’à le faire savoir en se manifestant par les voies impénétrables d’Allah. Il est tout de même assez désobligeant pour lui d’avoir recours à des êtres ordinaires pour le défendre, alors que par son statut même il devrait être au-dessus de ces contingences si bassement humaines. Il est d’ailleurs fort étonnant que l’on déplore une quinzaine de morts au Pakistan au sein même de ses fidèles quand il n’y a qu’un seul mort côté occidental ! Monsieur Mahomet ne semble pas vraiment briller par la solidarité envers les siens…

Philippe Torreton s’émeut à juste titre de la désolidarisation des représentants de la communauté musulmane d’avec la liberté d’expression, si primordiale chez nous, si symboliquement porteuse de nos valeurs. C’est cette liberté-là qui nous permet la réflexion, le recul, le débat, l’autodérision, la créativité, le progrès. Ce sont ces valeurs-là qui distinguent une société civilisée d’une société enfermée dans une chape de préceptes figés et dénués de sens critique et d’humour salvateur. Le rire n’est-il pas le propre de l’homme et ce qui le distingue des autres êtres vivants ? Dans le Nom de la Rose, le fanatisme religieux de l’assassin lui faisait tuer ceux qui osaient rire. Ce roman d’Umberto Eco devient sous nos yeux une bien inquiétante réalité…

« …vous parlez monsieur Moussaoui d’acte islamophobe à propos de ces caricatures mais les dessinateurs de Charlie hebdo n’interdisent pas aux croyants de croire, ils s’en moquent. Les dessinateurs de Charlie hebdo ne rêvent pas de voir Israël réduite en cendre mais critiquent la politique israélienne, ils n’interdisent pas  l’accès à l’éducation aux jeunes filles, ils ne rêvent pas de voir les programmes scolaires passés au crible de la religion, ils ne détruisent pas des lieux de cultes à coups de lances-roquettes dédicacées à Allah. Moi je vous retourne le compliment, vos difficultés à vous situer par rapport aux violences islamistes participent à favoriser l’islamophobie. Si demain des excités vont détruire des choses dans les  rues de Paris ce sera à cause de vous et non de Charlie Hebdo, car Charlie Hebdo est dans son rôle contrairement à vous ».

On ne saurait mieux dire. Philippe Torreton enfonce le clou : l’islam n’a pas été assimilé en démocratie. Et pour cause, par nature il ne peut l’être.

Rappelant au passage leur devoir aux journalistes « CSP+ » hypocrites, il termine en priant les musulmans de cesser d’avoir peur de leur ombre, de s’émanciper de leur dogme sans pour autant renier leur croyance en un dieu, leur garantit que le ciel ne leur tombera pas sur la tête et que la terre ne s’arrêtera pas de tourner « Un jour des musulmans n’auront pas peur de dire qu’ils sont croyants et qu’ils mangent du porc et boivent de l’alcool, un jour des musulmans n’auront pas peur de dire que le ramadan est un souvenir lointain, que l’on peut croire sans bêler, que l’on peut croire sans rites et que personne n’a le pouvoir ni l’autorité de juger la foi de l’autre ».

Je vous encourage vivement à lire la totalité de sa lettre parue sur son blog et si la gratitude vous en dit, à le remercier par un petit commentaire, car du courage il en faut – surtout dans son milieu, professionnel et politique - pour oser clamer tout haut ce que tant d’autres ont déjà du mal à chuchoter.

Source et publication: Caroline Alamachère / R L

(1)  http://ripostelaique.com/ne-vous-en-deplaise-m-moussaoui-on-a-le-droit-de-caricaturer-votre-prophete.html (précision : ce courrier n’émane en aucun cas de Charlie Hebdo)

http://philippetorreton.wordpress.com/2012/09/19/de-lislamophobie-vous-dites/

CHOC DES CIVILISATIONS ? POINT DE VUE !

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DIMANCHE 23 SEPTEMBRE 2012

Very tea

 
Depuis plusieurs années, le sénateur Graham, ancien président de la Commission sur le renseignement du Sénat américain à l'époque du 911 et membre de la Commission parlementaire de 2004 ad hoc, dénonçait le caractère mensonger de la VO telle qu'elle fut édictée à l'abri de toute légalité par l'administration W., avec un article de Kissinger paru sur le site Internet du Washington Post et appelant, en réponse au traumatisme, à lancer la guerre contre le terrorisme.
La commission de 2004 a commencé par accréditer cette version scabreuse, puis la plupart de ses membres se sont rétractés pour des raisons diverses. 
La plus sérieuse autocritique émane de Graham depuis quelques années, sans qu'on ne la relaye en France, où tout contestataire de la VO se trouve apparenté à un complotiste; mais cette tribune dans le Huffington Post est d'autant plus éclairante qu'elle émane d'un organe de presse démocrate, dont la fondatrice a dénoncé la tiers-mondisation des États-Unis et la politique d'Obama au service de Wall Street et contre les classes moyennes (main street). Pourquoi les médias français ne relayent-ils pas les accusations de Graham, qui ne datent pas de cet article, remontent à plusieurs années et ont été sorties par des centaines de sources variées, abondamment calomniées sous le vocable stupide et incohérent de complotisme/conspirationnisme?
La réponse est évidente : les médias ne servent pas la vérité et ne sont pas un contre-pouvoir dénonçant les mensonges et les complots du pouvoir, mais des services de propagande soutenus par des actionnaires favorables à l'idéologie atlantiste.
Que dit Graham? Le point principal de sa critique se résume en une phrase : la VO du 911 est fausse.
Certains le savaient depuis plusieurs années, de plus en plus d'Occidentaux dénoncent l'imposture dans les sondages (il est plus attendu que les peuples victimes de l'impérialisme n'y aient adhéré, ce qui permet à certains médias de s'interroger doctement sur le complotisme de la rue arabo-musulmane et de participer à l'islamophobie propre au choc des civilisations des néo-conservateurs et de leurs mentors britanniques).
 
Mais Graham ne s'arrête pas à dénoncer l'implication des Saoudiens dans le 911. Il ne dit pas : ce sont les Saoudiens qui l'ont perpétré de A à Z, seuls, sans implication américaine sur le sol américain, sans complicité d'autres États - et de factions financières. Graham ne dit pas non plus : les Saoudiens ont fait le coup, comme il dirait : les Russes did it (par ces temps de russophobie complaisamment entretenue par les médias occidentaux, ce serait assez bien accepté, avec la résurgence des théories de l'arc de cercle; notamment propagées par Brzezinski depuis Carter, et avant lui par Lewis, vous savez, celui qui a lancé le choc des civilisations avant son élève Huntington). 
Graham dit : le rapport de la Commission de 2004 a été censuré de 28 pages cruciales qui mettent en lumière l'implication des Saoudiens et qui depuis ont toujours été couverts par les institutions américaines, de W. à Obama, en passant par le FBI et la CIA. La question fondamentale à poser est donc : pourquoi les officiels américains couvrent-ils les crimes saoudiens contre leur propre peuple? La réponse se situe dans l'article de Graham, qui ne se contente pas d'incriminer les Saoudiens.
1) Graham pose la question : "Les pirates de l'air ont-ils agi seuls ou ont-ils bénéficié du soutien d'autres puissances que celles connues des leaders d'Al-Qaïda - un réseau équivalent qui leur aurait fourni fonds, assistance et couverture ?" Si Graham parle au pluriel de "puissances", c'est qu'il n'incrimine pas seulement les Saoudiens, mais des cercles dont les Saoudiens ont fait partie. Par ailleurs, le choix de puissances en lieu et place d'Etats ou d'institutions montre que Graham incrimine des structures autres que des États. Je crains qu'il ne subodore lui-même l'implication de cercles financiers derrière la main saoudienne, comme l'accord al-Yamamah le montre.
2) Graham continue ses questions dévastatrices : "Si les terroristes disposaient alors d'un réseau de soutien, pourquoi devrions-nous penser qu'il a été démantelé ? Il est peut-être toujours actif, capable de soutenir Al-Qaïda ou l'un des nombreux groupes extrémistes haïssant les États-Unis." Le sénateur parle d'un enjeu de sécurité nationale : si le réseau n'a pas été démantelé, c'est qu'il est toujours actif sur le sol américain. Graham ne vise pas seulement des Saoudiens vivant en Arabie saoudite et ayant fomenté le complot du 911 il y a plus de dix ans maintenant. Par ailleurs, l'identité d'al Quaeda se trouve démystifié : il ne s'agit pas d'un groupe indépendant et hiérarchisé, mais de cellules qui furent créées par l'Arabie saoudite pour lutter avec les Afghans et contre les Soviétiques (officieusement, cette base de données servit à alimenter les finances du trafic de drogue dans la région, puis fut recyclé dans les différentes guerres menées par l'OTAN, comme en Yougoslavie, avec de multiples soubresauts stratégiques, al Quaeda servant les intérêts atlantistes, puis servant d'ennemi insaisissable, enfin se trouvant réhabilité dans les Printemps arabes Inc., des récupérations contre-révolutionnaires de colères autochtones contre les régimes dictatoriaux de la région).
3) Puis Graham attaque les accusations principales. A partir de son rappel des évidences de l'implication saoudienne sur le sol américain, il en vient à poser la question sans laquelle ses accusations ressortiraient du déni, voire couvriraient le mensonge islamophobe : sachant les connivences institutionnelles entre les États-Unis et l'Arabie saoudite, comment les agissements criminels des Saoudiens, ayant permis le 911, ont-ils pu demeurer couverts? Graham pointe du doigt la complicité des organes de sécurité des institutions américaines, qui n'ont pas seulement failli, comme s'ingénient à le clamer les béotiens, mais qui ont couvert sciemment le complot. Graham incrimine le FBI, le célèbre bureau de renseignements chargé des affaires intérieures, qui se trouvait en charge de l'enquête sur le 911 : "Quand l'affaire de Sarasota éclata en septembre 2011, le FBI produisit deux communiqués". La question du silence complice du FBI, qui a couvert la complicité active des Saoudiens, comme celle passive des Israéliens, recoupe d'autres collusions de même type : la CIA, d'autres services de renseignements, certains liés aux armées américaines ou au Pentagone.
Je profite de la mention de l'implication israélienne pour rappeler qu'elle se trouve mentionnée par le journal israélien de gauche Haaretz, peu soupçonnable d'antisémitisme (terme impropre de surcroit) et que le fait d'incriminer des factions sionistes et/ou israéliennes dans le 911 ne signifie en rien que l'on accuse les juifs, les Israéliens ou les sionistes d'avoir fomenté le 911, tant s'en faut. Comme de nombreux dénonciateurs de la VO mensongère du 911, j'ai du respect pour les juifs, qui sont pour moi des citoyens normaux, et j'éprouve de l'admiration pour certains aspects de la culture juive, qui recèlent de trésors d'intelligence et d'humanisme. Au lieu de craindre les calomnies, agissons avec les Israéliens comme avec les Saoudiens : si des implications officielles d'éléments saoudiens existent, que les coupables seuls soient condamnés - et que l'on désamalgame les islamistes, les musulmans et les Arabes de certains Saoudiens, comme l'on désamalgame les juifs, les sionistes ou les Israéliens de certains groupes soupçonnables à juste titre. Et qu'on en arrête avec l'accusation amalgamante d'antisémitisme, aussi peu cohérente que le créneau du complotisme/conspirationnisme.
4) Graham va plus loin. Il veut montrer qu'au-delà de l'inanité de la VO et de l'implication saoudienne, il serait réducteur et dangereux d'en rester à l'implication de certainesautorités américaines (minoritaires) contre leur propre population. Pour Graham, le slogan : "911 was an inside job" est terriblement réducteur. S'il est certain qu'au-delà du nominal FBI, les Saoudiens n'ont pu agir sans lien américain sur le sol américain, d'autant que les alliances solides entre Saoudiens et Américains remontent à la Seconde guerre mondiale, le problème est plus profond. Graham évoquait les puissances ayant soutenu al Quaeda et aidé les Saoudiens. Il va en nommer la partie la plus proéminente : "En juillet dernier, le sous-comité permanent aux investigations du Sénat, le Comité de la sécurité intérieure, a publié un rapport reprochant au géant de la banque HSBC d'avoir ignoré les liens de financement avec le terrorisme de Al Rahji Bank, la banque privée la plus importante d'Arabie Saoudite". L'accusation n'est pas innocente : suite au  rapport de la sous-commission d'enquête du Sénat américain, que Graham ne peut que très bien connaître, l'affaire HSBC a éclaté. HSBC se trouve accusée d'être l’une de principales lessiveuses d’argent sale des cartels de la drogue à l’échelle mondiale. En particulier, elle :
- a hérité des comptes en banque de personnalités saoudiennes lorsque fut fermée la banque Riggs de Washington, après les attentats du 911. Se trouve impliqué le prince Bandar "Bush" ben Sultan, qui serait mort dans un attentat en Arabie saoudite fin juillet. Il aurait reversé de l'argent à des agents saoudiens, qui à leur tour auraient aidé certains des présumés pirates de l'air du 911. 
a entretenu des connexions solides avec l'al Rahji Bank, connue pour soutenir al Qaeda et le terrorisme international avant et après le 911.
5) Graham accuse certains financiers saoudiens de premier plan de collusions via des organisations caritatives wahabbites avec le cerveau présumé des attentats du 911, le complaisant KSM, qui a reconnu sa culpabilité à Guantanamo suite à des pratiques de torture intensives. Le lien entre la HSBC et l'al Rahji Bank n'est pas anodin : de même que les banques saoudiennes sont liées aux banques américaines et britanniques via la City et Wall Street, de même l'implication dans le 911 des Saoudiens, notamment du prince Bandar, n'a pu s'effectuer sans la complicité d'Américains et surtout de Britanniques. A cet égard, il faudrait monter du doigt les factions anglophiles sur le sol américain, dont Wall Street constitue le meilleur terreau (mais les milieux de Chicago, dont Obama est issu, constituent une alternative solide). Le prince Bandar est au centre de l'affaire de financement du terrorisme international al-Yamamah, qui implique la multinationale britannique BAE. La collusion entre l'Empire britannique et l'Arabie saoudite intervient à ce niveau. Londres fut accusé par les services secrets français d'abriter le Londonistan, pépinière complaisante de foyers terroristes multiples, notamment islamistes, et notamment saoudiens. 

Conclusion : l'accusation de Graham visant les Saoudiens implique les Américains à différents niveaux (officiels comme financiers), mais surtout les Britanniques, via la HSBC. Si l'on ne comprend pas ce lien, l'on passe à côté de l'essentiel : le changement de stratégie politique qu'a permis le 911 a débouché sur la guerre contre le terrorisme, dont les effets ont encore gradé depuis l'assassinat ubuesque d'Oussama. Désormais, nous nous trouvons dans une spirale de chaos, dont les Libyens et les Syriens sont les victimes du moment, avec les mêmes mensonges (la promesse démocratique) et les même bailleurs (les Saoudiens & Cie.) L'effort de Graham pour obtenir la vérité derrière l'écran de fumée actuel (entre VO mensongère et dénonciations vagues) est d'autant plus salvateur qu'il intervient pour enrayer le processus de guerre nucléaire, dont le 911 fut l'étincelle symptomatique. Si nous persistons à couvrir les mensonges autour du 911, comme l'ingérence démocratique dans les Printemps arabes au nom de la R2P, l'Occident affrontera d'ici peu la Russie et la Chine dans des conflits dont les répercussions peuvent être dramatiques. Ce n'est pas moi qui le dis, c'est le chef d'Etat-major américain le général Dempsey, qui s'oppose à Obama et aux faucons Israéliens concernant l'intervention contre l'Iran et qui a peur de répercussions nucléaires contre la Russie et la Chine. 

Nous en sommes en train de voir pourquoi la provocation du 911, attentat médiatisé à outrance, fut intentée : pour légitimer le conflit qui survient, possiblement nucléaire, entre l'Occident et l'Asie. L'Occident en faillite, la City et ses paradis fiscaux, n'a d'autre choix pour prolonger sa domination que la guerre. Jamais les populations occidentales n'auraient accepté le choix s'il avait été livré franco (de porc). Par contre, le 911 a légitimé le changement de politique, au point que la plupart des Occidentaux condamnent confusément l'invasion de l'Irak en approuvant celle de l'Afghanistan, pourtant tout aussi illégale (mais oui).
L'intervention de Graham, figure du Parti démocrate, est un camouflet contre Obama, en pleine campagne de réélection. Obama a trahi tous ses idéaux, renflouant les financiers et ruinant encore plus les classes moyennes (prolongeant l'action de son prédécesseur républicain W.). Il avait promis aux familles des victimes du 911, qui pour beaucoup condamnent la VO inepte, de réouvrir l'enquête et de rendre public le rapport classifié de 28 pages sur les implications saoudiennes. Fidèle à ses mensonges éhontés, il a ordonné au procureur Kagan en mai 2009 d'empêcher toute poursuite contre les Saoudiens, comme il a étendu la pratique de la torture, notamment à Guantanamo, comme il a légalisé l'assassinat sans jugement sur décret présidentiel, comme il a autorisé les Etats-Unis à guerroyer contre la Libye sans autorisation démocratique du Congrès, comme il a permis l'assassinat de Kadahfi, chef d'Etat en exercice...
Espérons que l'intervention vertueuse de Graham n'est pas trop tardive. Il ne s'agit pas de limiter les accusations aux Saoudiens, commodes boucs émissaires, ou de couper les liens entre le prétexte du 911 et l'actuelle crise systémique mondiale, qui a poussé les financiers à changer de stratégie, passant des accords de souveraineté entre Etats-nations au chaos impérialiste. Il s'agit de démasquer les multiples rouages de l'Empire britannique.
Dans le 911, la principale connexion se situe entre Saoudiens et Britanniques. Elle n'exclut pas l'implication plus lointaine de certains cercles israéliens ou la participation suicidaire de certaines factions américaines sur leur propre sol. Au fond, tous croient tirer profit de leur participation à l'impérialisme dominant, pour des motifs divers et contradictoires, sans se rendre compte qu'ils servent une stratégie qui les dessert et les pousse au suicide.
Quand je dis : "les", je pourrais dire : "nous". Car nous sommes tous impliqués, au moins par intérêts mal compris, parfois par lâcheté (la guerre, ça fait peur, le complot, ça sent le roussi).
 

UNE FILIÈRE DJIHADISTE DE BRUXELLES À PARIS ........

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Une filière djihadiste conduisant de jeunes fanatiques musulmans vers la Somalie vient d’être démantelée par les autorités judiciaires.Sept arrestations ont eu lieu à Bruxelles et a Paris.L’un des suspects est un Algérien qui a obtenu le statut de réfugié politique en mai dernier.

C'est le fruit d'une enquête de près de deux ans menée par la police fédérale et qui a conduit à l'arrestation de sept personnes dont 4, le 12 et le 19 septembre dernier en Région bruxelloise.

"Il s’agit de personnes entre 20  et 30 ans qui s’apprêtaient à partir en Somalie ou revenaient déjà de certains voyages. Ce sont des djihadistes prêts à faire la guerre sainte en Somalie. Certaines d’entre-elles sont d’origine algérienne, certains étaient en séjour régulier, d’autres en séjour régulier dans notre pays", explique Lieve Pellens, porte-parole du parquet fédéral.

Aucun des quatre suspects interpellés chez nous n'a d'antécédent judiciaire. L'un d'eux était, par contre, sous surveillance de la sûreté de l'état.

De nationalité algérienne, il avait obtenu le statut de réfugié politique en mai dernier et c'est sans doute cela qui a précipité ces différentes arrestations en Belgique et en France.

Reste que l'enquête se poursuit car il s'agit maintenant de mettre la main sur le ou les commanditaires de cette filière terroriste à destination de la Somalie.

Avec le soutien de nos collègues à l’étranger on espère pouvoir continuer fructueusement cette enquête

Sur les sept personnes actuellement inculpées dans ce dossier, trois arrêtés à Paris seront extradés vers la Belgique.

Ils devraient être présentés la semaine prochaine devant la chambre du Conseil.

 

F. Gérard  :    http://www.rtbf.be/info/belgique/detail_filiere-djihadiste-demantelee-un-des-suspects-avait-obtenu-le-statut-de-refugie?id=7843352


LA BAULE : CHEZ LE PEN: CHACUN SES TERMES ......

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Discours musclé de JMLP: sa fille le désavoue encore!

Rivarol blog:

« Torrents migratoires », « marée », « immigration invasion », propos sur les races: Jean-Marie Le Pen a tenu un discours radical samedi sur le thème fétiche du FN, sous les yeux de sa fille Marine, à l’université d’été du Front national à La Baule.

Pour évoquer ce « sujet principal de l’avenir français », l’ancien leader du parti, 84 ans, a commencé par filer la métaphore maritime, prenant l’image d’une « marée » qui « monte » et lançant un avertissement: « Le temps nous est compté ».

Evoquant des « torrents migratoires », il a estimé qu’ »au sud de la méditerranée, à nos portes, 200 millions de musulmans sont volens nolens (qu’on le veuille ou non, ndr) une menace sérieuse ».

Discourant assis, il a aussi parlé de « violences sauvages dont sont capables les émeutiers musulmans », référence aux troubles suscités par le film islamophobe « Innocence of muslims ». Des violences qui feraient selon lui peser « une menace sur nos libertés et notre sécurité et établissent une véritable censure comparable à celle de la loi Gayssot au bénéfice des minorités immigrées ». La loi Gayssot réprime la contestation des crimes contre l’humanité.

« L’immigration-invasion (…) altère la substance même de l’identité de notre peuple, que de Gaulle définissait comme, je le cite: +avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne+ », a ajouté Jean-Marie Le Pen, reprenant-là une phrase de Charles de Gaulle, citée par Alain Peyrefitte dans son ouvrage « C’était de Gaulle » (tome 1), et datée selon l’écrivain du 5 mars 1959.

 

Evoquant les migrants entrant en Europe du sud, Jean-Marie Le Pen a ensuite ajouté que « la plupart » d’entre eux « sont de race, de religion, de moeurs souvent très différents de ceux des Français de souche ». Moquant les Roms, il a suscité rires et applaudissements nourris en leur attribuant cette phrase: « Nous, nous sommes comme les oiseaux, nous volons naturellement ».

 

« La vraie question qui se pose aujourd’hui au peuple français est celle de sa liberté et même, à moyen terme, de son existence », a-t-il lancé, exhortant les Français à « s’opposer pour survivre ».

 

« Les services des maladies tropicales autrefois destinés aux métropolitains de retour des colonies soignent désormais les nouveaux colonisateurs », a-t-il ajouté.

 

Parmi ses propositions, supprimer le droit du sol, « une disposition qui fait qu’une chèvre née dans une écurie serait un cheval », a-t-il dit, comparant ainsi les nationalités à des races d’animaux. Il a aussi appelé à « scinder les caisses d’assurance sociale entre assurés de nationalité française et les autres ».

 

 

A l’issue de ce discours, longuement applaudi par une standing ovation et clôturé par une marseillaise, Marine Le Pen a indiqué qu’elle ne pourrait « jamais prononcer (un tel discours, ndlr) dans les mêmes termes, car », a-t-elle dit, « ce sont les siens et que j’ai les miens et qu’encore une fois nous n’avons pas le même âge ».

DOSSIER: QUI FINANCE LES PUSSY RIOTS ? ( MICHEL GARROTÉ )

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Qui finance et manipule les Pussy Riots ?

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Michel Garroté, réd en chef – Le 21 août dernier, dans mon analyse intitulée « Pussy Riot – L’émeute des chattes » (voir lien vers source en bas de page), j’ai tenté de démontrer que les médias européens, notamment français, nous racontaient n’importe quoi, sur ces nanas hurlant dans les cathédrales, nanas pas si innocentes que ça.

Les lectrices et lecteurs trouveront, ci-dessous, une série d’informations très éclairantes, sur la face cachée des Pussy Riots, et, sur leur financement.

A vrai dire, je ne suis pas du tout surpris. Je n’ai pas cru une seule seconde que des gamines russes et ukrainiennes, mono-neurones et complètement fauchées, finançaient elles-mêmes, leurs déplacements, voyages, logements, frais de bouche (désolé mais c’est comme ça qu’on dit), contacts avec les médias, relations publiques, communication, publicité, relations avec le show-biz, exhibitionnismes, danses du ventre et des nichons, hurlements, etc.

Des ONG américaines de gauche financées par l’administration Obama ont utilisé les Pussy Riot.

 Lu ici : L’ancien maire de New York, Ed Koch, a publié ses commentaires sur l’affaire « Pussy Riot », dans lesquels il approuve la décision du tribunal moscovite.

Extraits adaptés de ces commentaires : L’élite culturelle occidentale se mobilise pour la défense des perturbateurs dans la cathédrale de Moscou. Certains approuvent l’attaque verbale contre Poutine. D’autres soutiennent la dénonciation de la direction de l’Église orthodoxe russe ainsi que les désordres dans l’édifice en raison du soutien que celle-ci fournit à Poutine. Tous ceux qui ont été cités caractérisent le problème comme étant celui de la liberté de parole. Ce n’est pas mon cas. Je suppose que bien des partisans des Pussy Riots adopteraient une position différente, et à juste titre, si ici, aux États-Unis, une église afro-américaine était envahie par trois hommes ou femmes se conduisant de la même façon, en profanant les endroits sacrés de l’église et en insultant le pasteur.

Je me rappelle que lorsque j’étais maire en 1989, le groupe de militants du mouvement « Act up » (association de lutte contre le SIDA), injustement en colère contre le cardinal John O’Connor, a envahi la cathédrale Saint-Patrick et interrompu la messe, jetant par terre les hosties consacrées – qui, pour les catholiques, sont le véritable corps du Christ. Certains furent arrêtés.

Pour autant que je puisse m’en rappeler, aucun n’a été puni. Je pense que la décision du tribunal russe de punir un délit de haine est juste et doit être applaudi, plutôt que condamné et ridiculisé.

On peut certes discuter concernant le degré de sanction, se demander si des amendes n’auraient pas été plus opportunes que des peines de prison, mais cela est du ressort des procédures pénales russes, conclut Ed Koch.

L’ancien conseiller du président américain Ronald Reagan, économiste et écrivain, Paul Craig Roberts,déclare, quant à lui, que ce sont des ONG financées par Washington qui ont utilisé Pussy Riots pour nuire au gouvernement russe et même, selon son expression,  pour le diaboliser.

Sur le financement des Pussy Riot, cet article révèle (extraits adaptés) : On sait désormais que l’oligarque en exil Boris Berezovski aurait visiblement prémédité cette opération de communication en se servant des Pussy Riot pour porter un coup médiatique au Kremlin.

L’ancien bras droit de ce dernier, Alex Goldfarb aurait selon ses propres dires collecté des fonds via la fondation internationale pour les droits civils, qu’il dirige mais qui a été créé par Boris Berezovski, et transféré ces mêmes fonds au projet Voice qui gère la défense des Pussy Riot à l’international.

Mieux, des bruits courent, selon lesquels des fonds auraient aussi été levés afin qu’une grosse agence de communication anglaise puisse payer des stars du Show business à l’ouest, et ce afin de leur faire prendre position en faveur des Pussy Riot.

 

Les naïfs qui pensaient  peut être que des stars courageuses pouvaient prendre position en faveur des punkettes doivent être bien déçus, la prise de position en faveur des Pussy Riot serait rétribuée près de 100.000 euros.

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Reproduction autorisée

Avec mention www.dreuz.info

TRIBUNE LIBRE : LIBRE PROPOS..........

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Russie: Danger immediat
Posted on 02/06/2012 by Жан Фуше [Jean Fouché]

Aussitôt que Medvedev et Poutine avaient annoncé leur accord concernant l’élection présidentielle, un déferlement de violence verbale s’est abattu en Russie. Et depuis la large victoire de Vladimir Poutine, c’est un défilé ininterrompu de critiques, mensonges, calomnie, et d’appels à la violence.

Il a été établi que les leaders de l’opposition recoivent des fonds d’organisations américaines, et il est notoire que certains citoyens étrangers, en particulier britanniques, ont de fréquents contacts avec eux. Toutefois jusqu’à récemment les véritables manipulateurs restaient invisibles, on utilisait les potiches comme Navaly, et de nombreux “idiots utiles” qui se faisaient un plaisir de relayer la bonne parole, par exemple sur internet.

On trouve ainsi, sur les forum d’expatriés en Russie un petit nombre de citoyens très actifs se chargeant de poster à intervalles réguliers des messages destinés à faire réagir CONTRE le gouvernement russe. Americains et britanniques, mais aussi hollandais et francais. De quel droit ces étrangers prennent-ils ainsi position en appellant à combattre un régime légitimement élu?

Quelques expatriés à Moscou se sont d’ailleurs fait rappeler à l’ordre par les services russes après qu’ils aient appelé à plusieurs reprises à manifester pour faire tomber le gouvernement, trois d’entre eux ont d’ailleurs été priés de quitter la Russie.

Depuis quelques semaines on assiste à un nouveau niveau de subversion: Les officiels des Etats Unis ne se cachent plus, et attaquent ouvertement le gouvernement russe. C’est ainsi que l’ambassadeur américain à Moscou MacFaul, “spécialiste des droits de l’homme”, a rencontré les leaders de l’opposition russe à l’ambassade americaine. Manque de décence évident, et inadmissible ingérence dans la politique intérieure d’un pays souverain! Imagine t-on l’amabassadeur russe a Washignton rencontrer le leader des Panthères Noires ou des Minuttemen?

Une nouvelle étape a été franchie la semaine dernière, par à nouveau MacFaul, qui s’est vanté d’avoir participé à l’établissement d’une liste d’officiels russes ayant parait-il “violé les droits de l’homme” et étant interdits d’entrée aux Etats Unis. C’est me semble t-il sans précédent, et totalement inadmissible! Imaginons-nous l’amabassadeur russe à Washington déclarer que tel ou tel ministre américain est interdit d’entrée en Russie car il a ordonné un bombardement massif où des civils ont été tués, dans un pays du Proche Orient?

Le but est de pousser à un soulevement populaire contre le gouvernement russe, avec pour conséquence espérée la prise du pouvoir par des éléments favorables aux Etats-Unis. Pas question bien sur qu’Udaltsov ou Navany entrent au Kremlin, mais les USA considèrent avec une grande bienveillance des hommes comme Kassyanov ou Iavlinsky.

La méthode employée pour arriver au but est simple: On finance quelques leaders qui organisent des manifestations, ces manifestations sont amplifiées par les media occidentaux (on a parle de “milliards” de manifestants à Moscou!!), on truque des images pour faire croire à une répression massive, et on arrose massivement les réseaux sociaux de propagande anti Poutine.

Le fait que très peu de russes se reconnaissent dans l’opposition n’a aucune importance, toutes les révolutions se sont faites par une MINORITE, et la majorité est mise devant le fait accompli. C’est pour cela que la très faible participation aux dernières manifestations n’a aucune conséquence pour l’opposition, qui l’a d’ailleurs très probablement prévu.

Dans une seconde étape qui ne devrait pas tarder à commencer, les manipulateurs étrangers vont créer de graves troubles lors des “manifestations pacifiques”. Il est probable que des provocations seront organisées pour faire croire à une violence aveugle de la police. On a déjà vu d’importantes manipulations d’images les dernières semaines, et dans une prochaine etape il sera très facile de payer quelques criminels pour tirer dans la foule, le budget des USA et de leurs complices étant sans limite pour mettre la main sur la Russie! Les bonnes consciences occidentales auront alors l’occasion de se déchaîner plus encore contre le gouvernement russe.

Dans le même temps, la chute de l’euro et la débâcle économique en Europe auront des répercussions importantes sur l’économie russe, et l’opposition en rejettera la responsabilité sur le gouvernement, appellant alors à de nouvelles manifestations. On constate déjà aujourd’hui une chute du rouble sur le dollar, mais aussi sur l’euro, qui pourtant est lui aussi en chute libre!

Alors que faire? Il me semble que, vu que ce n’est qu’une petite minorité, qui plus est financée et manipulée par des puissances étrangères, tente de déstabiliser le pays, la réponse des autorités doit être sans faiblesse. Des premières mesures judiciaires ont été prises, en mettant en place des peines dissuasives pour les manifestations non autorisées. Il convient également de mettre hors d’état de nuire les leaders de l’opposition appellant à utiliser d’autres méthodes que les méthodes légales.

Par exemple Navalny menacait de prendre le Kremlin par la force, ceci est une raison suffisante pour le faire juger et condamner à une lourde peine. En fait il me semble plus simplement souhaitable d’interdire les manifestations de l’opposition. Ceci entrainera bien sur des protestations indignées des “démocrates” occidentaux, eh bien laissons-les s’indigner, ils se calmeront.

Bien entendu les citoyens étrangers incitant la population russe à la révolte doivent être immédiatement expulsés et bannis de Russie. Ceci s’applique également aux officiels étrangers, par exemple à Mac Faul qui devrait être déclaré personna non grata en Russie. Les Etats-Unis ont sans doute des diplomates de haut niveau beaucoup plus modérés que MacFaul, qui pourraient être envoyés à Moscou! Une expulsion de l’ambassadeur americain serait un message extrêmement fort établissant clairement les limites à ne pas dépasser.

Il est également nécessaire de contrôler l’origine des fonds des organisations appelant à manifester, et celles-ci doivent être sévèrement sanctionnées en cas de ressources ne pouvant être justifiées.

Tout ceci doit être encadré juridiquement, et la Douma devrait donc voter quelques lois complémentaires, ce qui ne devrait pas poser de problèmes.

Ceci aura le double mérite d’une part sur le plan interne en empêchant de serieux troubles, d’autre part de montrer aux pays étrangers que nous n’acceptons pas leur ingérence dans nos affaires intérieures. Et à l’heure où une nouvelle crise financière va frapper l’Europe, à l’heure où les USA sont sur le point d’intervenir en Syrie malgré l’opposition de l’ONU, il est vital pour la Russie de montrer clairement qu’elle n’est pas décidée à se laisser dicter sa conduite.

Autrement, et faute de décisions rapides et énergiques, il est à craindre que de sérieux troubles ne surviennent en Russie.

UN FILM ET LA CAPITULATION DE L' OCCIDENT ???

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Un film anti-islam et les réactions du monde musulman : Une nouvelle capitulation de l’Occident ?

Tribune libre de François Préval*

Ça y est, le scénario semble bien reparti. Je parle bien sûr du scénario des caricatures du prophète Mahomet parues dans un quotidien danois à la fin de l’année 2005. Il y a à peine sept ans, autant dire hier, souvenez-vous : suite à ces dessins passés relativement inaperçus dans un premier temps et qui n’aurait probablement jamais été connus du grand public sans les évènements ultérieurs, de violentes manifestations anti-occidentales avaient secoué les pays arabo-musulmans en vue de condamner l’œuvre et ses auteurs (lesquels se retrouvaient d‘ailleurs sous protection policière). Résultat : Quelques dizaines de morts, davantage de blessés, beaucoup de dégâts matériels. Aujourd’hui rebelote. De la Tunisie à l’Indonésie en passant par l’Égypte, le Soudan, la Palestine et le Pakistan, c’est l’ensemble du monde arabo-musulman qui s’embrase. Nous en sommes déjà à une trentaine de morts et plusieurs dizaines de blessés, sans compter l’assassinat de quatre officiels Américains à tripoli, dont l’ambassadeur des États-Unis John Christopher Stevens, de nombreuses attaques contre des légations occidentales et un climat de haine et de tensions palpable.

Cette fois, le prétexte est un film indépendant à petit budget réalisé en Californie par un chrétien copte qui avait agit sous le pseudonyme de Sam Bacille. On sait aujourd’hui que l’homme s’appelle en réalité Nakoula Bessely Nakoula, qu’il est un Égyptien copte réfugié aux États-Unis et qu’il est très impliqué par dans le combat contre l’islam qu’il décrit comme le mal absolu et un cancer. Il aurait notamment été aidé par Steve Klein, un vétéran du Vietnam, chrétien conservateur et lui aussi anti-islam, et par Joseph Nassralla, également copte, à la production. Il est décrit comme un fondamentaliste proche de l’extrême-droite. Autrement dit, un patriote proche de ses valeurs. Tous deux seraient liés au prêtre copte Zacharias Botros, figure de prou du combat des Coptes contre l’islam. Enfin, ils ont été soutenus par le pasteur Terry Jones, bien connu pour avoir organisé l’autodafé d’un Coran aux États-Unis. Et c’est tout, car l’ensemble des réactions officielles en Occident, des médias, des politiques, des élites, les condamnent nettement. Le film serait médiocre (ce qui est par ailleurs fort possible au vu du budget et de ses conditions de tournage), ridicule, répugnant et en tous cas parfaitement condamnable. Pas un mot pour défendre l’auteur du film, ne serait-ce que dans le cadre de sa liberté d’expression, et peut importe que ce dernier soit d’emblée condamné à mort par les islamistes du monde entier et contraint de se cacher pour vivre. De plus, on tente de lui coller un passé peu reluisant, l’homme ayant été condamné à de la fraude bancaire. Voila en effet un redoutable délinquant, un digne héritier deJacques Mesrine ! En fait, les condamnations de son initiative semblent même plus importantes que celles visant les violences islamistes, qui ont quand même tué à plusieurs reprises. Là encore, on retrouve exactement le déroulé du scénario des caricatures danoises. Notre homme est donc menacée dans sa vie par ses ennemis directs, les fanatiques musulmans, conspué unanimement par tout ce que l’Occident compte d’autorités morales et politiques, il ne dispose d’aucun réseau important et de bien peu de moyens. Son film, plutôt que de le couvrir de gloire et d’argent, risque plutôt de ruiner sa vie. Et cet homme bien démuni est finalement présenté comme le vrai fautif de l’ensemble des violences qui ont découlé de cette affaire, comme un minable provocateur irresponsable et haineux. On tente par ailleurs de le distinguer nettement de sa communauté d’origine, les Coptes, dont on dit qu’ils seraient majoritairement modérés (notamment la US Copts Association, plus grosse instance représentative aux États-Unis). Pour sûr, les Coptes sont des êtres modérés, on ne peut d’ailleurs pas dire que cela leur ait tellement réussi jusqu’à présent vis-à-vis des musulmans. Or que relatait son film ? D’abord la persécution des Coptes par les autorités politiques et islamistes en Égypte. Cette situation est parfaitement avérée par des témoignages et n’est d’ailleurs plus guère contestée depuis les violentes ratonnades anti-Coptes de 2010 et l’attentat meurtrier perpétré contre l’église des saints Marc et Pierre d’Alexandrie le Nouvel An 2011. Ensuite, le film se livre à un critique en règle du prophète Mahomet et de son évolution, le présentant comme un menteur, un manipulateur, un détraqué sexuel et un pervers. Il s’agit là d’une thèse plus délicate, mais que son auteur a parfaitement le droit de soutenir si les principes de liberté d’expression et de critique des religions s’appliquent à tous. Quant au fait de représenter le prophète Mahomet dans un film, considéré comme sacrilège par l’islam, ce principe ne peut s’appliquer puisque le film fut conçu en Occident qui n’applique pas et n’a pas à appliquer les préceptes islamiques. De plus, réalisé avec peu de moyens, par des amateurs, très probablement redoublés à la va-vite et avec de très faibles chances de sortie, le film était-il si dangeureux pour l’islam et les musulmans ? Cerise confite sur le gâteau indigeste, il s’avère désormais que l’existence même du film est plus que douteuse, personne, à Hollywood ou ailleurs, n’ayant pu le visionner en entier et seule la compilation d’extraits d’un quart d’heure étant visible sur YouTube. Les vertueux défenseurs du prophète semblent donc s’être énervés pour rien. Hasard du calendrier, dans le même temps, on apprend que la prime pour l’exécution de la condamnation à mort de Salman Rushdie pour les Versets sataniques, en vigueur depuis 1989, a été augmentée de 500 000 dollars, ce qui la monte à 3,3 millions. Rappelons que même le film plus ancien Le prophète de Mustapha Akkad relatant l’ascension de Mahomet, mais de manière sérieuse, avait lui aussi subi des condamnations de la part d’islamistes des Émirats Arabes Unis, alors même que le film était très respectueux du personnage et ne le montrait jamais à l’écran. Il semble donc bien inutile de chercher à satisfaire les islamistes en leur donnant des gages.

À titre de comparaison, remontons quelques années en arrière. En 2006, sortait un film turc La vallée des loups, adapté d’un roman populaire, qui rencontra un fort succès en Turquie, sans connaître de grande diffusion hors du pays. Ce film était notoirement anti-Américains, anti-Occidentaux et antisémite. Mieux pourvu en moyens que le film de Nakoula (dix millions de dollars de budget, ce qui en fit le film le plus cher du cinéma turc) et comptant au casting les acteurs américains has-been Billy Zane et Gary Busey (qui devaient avoir de sérieux arriérés d’impôts ou bien être les victimes d’un mauvais pari…), le film était une pure œuvre de propagande islamo-nationaliste comme on n’en voyait plus depuis la Guerre froide (et encore, Rambo III était plus subtil). A-t-on assisté à des démonstrations de colère des foules américaines et israéliennes, tellement visées dans le film ? Les a-t-on vu assiéger les ambassades de Turquie à Washington et Jérusalem pour y bouter le feu, menacer la vie de ressortissants turcs, lancer une fatwa sur le réalisateur et son équipe ? Que nenni, rien de tout cela ne se produisit, les médias occidentaux répondirent massivement par l’ignorance la plus totale et tout se passa tranquillement dans ces deux États de droit démocratiques que sont les États-Unis et Israël. Autre fait : en 2006, sort le film Da Vinci code, navet à gros budget de Ron Howard où sont allés se compromettre notamment Tom Hanks et Jean Reno, adapté du roman homonyme de Dan Brown. Le film comme le roman sont nettement anti-catholiques et sans guère de nuance. On aurait pu s’attendre, puisqu’il paraît que tous les fanatismes se valent, à ce que les catholiques organisent des manifestations meurtrières, tentent de mettre le feu à l’ambassade américaine ou aux cinémas qui diffuseraient le film, lancent une fatwa sur Howard et Brown. Et bien là encore, choux blanc ! Les seules réactions furent des protestations verbales mesurées, des séances explicatives par le biais de brochures papiers ou d’internet, l’Église catholique rejetant l’idée même du boycott. Et pour le coup, aucune autorité politique ou morale d’Occident n’a conspué la médiocrité ou l’aspect répugnant du film. Les seules mesures d’interdiction ou de censure contre le film furent prises par des pays à majorité non-chrétienne comme l’Azerbaidjan ou la Thaïlande. On voit donc bien que le prétexte de la provocation ou de l’œuvre répugnante ne tient donc pas vraiment sauf à promouvoir ouvertement le deux poids deux mesures. Enfin, il serait également bon de rappeler le grand nombre de films islamophiles réalisés en Occident ces dernières années, et cette fois-ci, de grosses productions : Kingdom of heaven de Ridley Scott, Munich de Steven Spielberg, Détention secrète de Gavin Hood, Hors-la-loi de Rachid Bouchareb, Des hommes libres d’Ismael Ferroukhi. Et je ne parle même pas du traitement largement privilégié des musulmans présents en Occident par rapport aux chrétiens vivant dans des pays musulmans : construction de mosquées, commerce du hallal sans entrave, prières de rue collective protégées par la police… Il n’est donc pas exagéré de dire que l’Occident a été meilleur avec l’islam ces dernières années (et même ces dernières décennies), mais précisément, cette attitude n’a aucunement été payée de retour, bien au contraire. L’hostilité et la haine contre l’Occident (avec les États-Unis et Israël en premier lieu) n’a cessé d’augmenter. Cette situation rejoint également la politique extérieure de Barack Obama, essentiellement basée sur la conciliation et la main tendue vis-à-vis de l’islam qui a été, on peut le constater à présent, un échec total, comme l’a bien rappelé Bill O’Reilly sur Fox News.

Il serait donc utile de se poser la question d’une nouvelle attitude vis-à-vis des islamistes et même du monde musulman en général. Une attitude plus ferme, plus courageuse, qui permettrait la dénonciation directe des fautes et crimes de ce monde, les persécutions sanglantes contre les chrétiens, les juifs, les incroyants, les apostats, les discriminations contre les minorités ethniques et les femmes, l’intrusion à peine masquée dans la vie interne des pays occidentaux, le financement de réseaux terroristes meurtriers, les attitudes agressives et haineuses vis-à-vis de l’Occident. En clair, plutôt que de se laisser culpabiliser par le monde musulman, renvoyons-leur leurs propres accusations de racisme et d’intolérance et dénonçons clairement leurs tares. Et surtout, il est grand temps de changer l’attitude à adopter face aux quelques dissidents qui osent tenir un langage différent face à l’islam. Autrement dit, nous devons, en tant que chrétiens et occidentaux démocrates, soutenir pleinement Nakoula Besseley Nakoula, quel que soit la qualité de son film et même si ce dernier n’existe finalement pas, quels que soient ses antécédents judiciaires, quels que soient ses sympathies idéologiques.

Cela est un devoir impératif d’ordre moral mais aussi une simple question de bon sens. Hélas, l’Occident est en train d’y manquer, tout comme elle y avait manqué avec les caricaturistes danois, avec Robert Redeker, avec Théo Van Gogh, ce dernier payant de sa vie son engagement anti-islam, déjà un film !

De cette manière, l’Occident n’est-elle pas en train, tout simplement, de manquer son rendez-vous avec l’histoire, la sienne ?

*François Préval est docteur en Histoire.

 

http://www.ndf.fr/poing-de-vue/23-09-2012/un-film-anti-islam-et-les-reactions-du-monde-musulman-une-nouvelle-capitulation-de-loccident?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+ndf-fr+%28Nouvelles+de+France%29

UNE FRANCE GÉNÉREUSE..........

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Lundi 24 septembre 2012

L'Union européenne et la France ont signé avec le gouvernement égyptien un contrat d'un montant de 940 millions d'euros pour financer l'extension du métro du Caire.


La mission européenne au Caire a annoncé dimanche dans un communiqué que l'Union européenne et la France ont signé avec le gouvernement égyptien un contrat d'un montant de 940 millions d'euros pour financer l'extension du métro du Caire.


Par cet accord ratifié samedi par Bruxelles et l'Agence française de développement (AFD), le gouvernement français honore près de la moitié des engagements qu'il avait pris envers l'Egypte en 2011 au sommet de Deauville, organisé pour lever des fonds en soutien au Printemps arabe, a précisé l’Union européenne. La France a déjà fourni à l'Egypte un soutien financier et technique pour les deux lignes de métro existantes du Caire, construites dans les années 1980.

1,8 millions de passagers transportés par jour

L'AFD versera 300 millions d'euros et la Banque européenne d'investissement (BEI) 600 millions, sous la forme d'un prêt d’une durée de 25 ans et à un taux d'intérêt inférieur à 2%.

La troisième ligne ainsi financée, dont un premier tronçon est opérationnel depuis mars, transportera jusqu'à 1,8 millions de passagers par jour.

Des appels d'offres internationaux seront lancés début 2013 pour la finalisation du projet, qui devrait prendre huit ans, selon Bruxelles.

Selon des médias officiels égyptiens, une quatrième ligne devrait être construite d'ici à 2019.

http://www.latribune.fr
via http://www.fdesouche.com

 

 

ET L' EUROPE !

 

Quand l’UE finance le développement de pays riches concurrents

La moitié de l’aide européenne au développement est distribuée à des nations riches ou en passe de le devenir. Par exemple, l’argent du contribuable européen sert à la promotion touristique d’un parc national islandais et d’une série télévisée pro-UE en Turquie. 1,8 million d’euros ont également récemment été distribués à la Barbade (40e PIB par habitant du monde, devant le Portugal ou la Pologne) pour construire un hôtel et un complexe de loisirs où 200 jeunes seront formés chaque année en « gestion de l’hospitalité »

Si, en France, une telle gabegie n’émeut pas la classe politique, des députés anglais tirent la sonnette d’alarme et se demandent pourquoi l’aide britannique à l’international (bientôt 0,7% de leur PIB et dont 15% va au programme d’aide européenne au développement) est distribuée à des pays comme le Brésil – dont le PIB vient de dépasser celui du Royaume-Uni, à l’Islande – qui doit 2,3 milliards de livres à la Perfide Albion depuis la crise bancaire de 2008 ou encore à l’Argentine, membre du G20 qui n’a jamais cessé de revendiquer les Îles Malouines.

Une « farce » qui consiste à financer un laboratoire de police scientifique, un centre de langues ou à payer pour soutenir le secteur financier de la Barbade, une île où les femmes vivent en moyenne 80 ans et où le taux d’alphabétisation dépasse les 99% !

Cité par le Daily Mail, le député conservateur Dominic Raab juge « ridicule que le contribuable britannique dépense près d’un milliard de livres, donc une proportion importante de l’aide internationale, en faveur de pays intermédiaires ». Il accuse l’Union européenne de « mauvaise administration » des fonds destinés en théorie à des pays pauvres et même de « fraude ».

Comme d’autres collègues, il n’accepte pas que son pays finance le développement de la Chine, nation que leDépartement du développement international du Royaume-Uni a cessé d’aider il y a un an. Car Bruxelles prend en charge là-bas 22 projets pour un total qui dépasse les 35 millions d’euros alors que le Soleil levant compte plus de 150 milliardaires !

Les élus anglais britanniques pointent aussi du doigt la Turquie, +8,5% de croissance en 2011 (la deuxième meilleure croissance du globe), qui a reçu 775 millions d’euros d’aides la même année, en vue de son adhésion (même pas souhaitée, 84% des Français interrogés par l’Ifop pour Le Figaro en septembre 2012 y sont hostiles).

UN " JEUNE " IMMATURE ??? : BANDE DE CHIENS, SALES FRANCAIS

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Lundi 24 septembre 2012

Il voulait devenir célèbre. Pour cela, il postait des vidéos de lui sur Youtube, se disant le meilleur hacker du monde ou le plus beau, ou le meilleur boxeur…


« Un petit caïd qui se prend pour un membre de la Mafia », commente la présidente du tribunal correctionnel de Limoges, devant lequel le prévenu de 23 ans était jugé en comparution immédiate, hier.


Il n’aura finalement réussi qu’à alarmer les autorités françaises par les menaces qu’il profère, muni d’une arme de poing, dans deux de ses clips. « J’ai un gun à gaz.


Ceux qui ont un problème, c’est facile à le régler, je tire quelques coups sur les gens pour les handicaper à vie ».


Inquiétant. Mais il y a plus. Le jeune homme a envoyé un courriel au consulat de France à Ankara en Turquie, le 9 août dernier, avec des menaces de mort. « Je vais vous mettre six balles, je vais tuer vos enfants et sodomiser vos mères, bande de chiens, sales français », entre autres réjouissances. Ces menaces, dans le contexte politique actuel, sont prises très au sérieux et l’ambassade porte plainte.

Les enquêteurs remontent jusqu’au jeune homme, domicilié à Limoges.

Il est interpellé par la police le 19 septembre et poursuivi pour menaces de mort matérialisées par un écrit en raison de l’appartenance à une nation, une race ou une ethnie déterminée. Il risque cinq ans de prison.

Devant la police, le prévenu, français d’origine turque, explique avoir envoyé les menaces au consulat par colère, à cause d’un problème administratif mal réglé…

Contrairement à ce qu’ils craignaient, les enquêteurs ne se trouvent pas face à un terroriste potentiel, mais face à un jeune « immature ».

Le tribunal suivra les réquisitions du ministère public : 5 mois avec sursis mise à l’épreuve pendant 18 mois avec l’obligation d’effectuer un travail d’intérêt général de 160 heures.

Et bien sûr, l’interdiction de détenir une arme pendant cinq ans.

Coralie Zarb

http://www.lamontagne.fr



ET AUSSI



Lundi 24 septembre 2012

Un homme de 23 ans a été interpellé par la police pour avoir volontairement blessé une policière du commissariat de Limoges et l’avoir menacée de mort.

Il est environ 6 heures du matin, ce samedi matin, quand les policiers interviennent avenue de Lattre-de-Tassigny. Une bagarre vient d’éclater en pleine rue.

La police arrive à calmer les différents protagonistes, leur dit de monter sur le trottoir et commencent à quitter les lieux. Mais ils voient que les jeunes gens reviennent sur la chaussée et se parlent vivement. Finalement, les fonctionnaires décident de ramener au commissariat l’homme le plus nerveux, le plus alcoolisé… mais aussi le plus costaud de tous. Même à 4 fonctionnaires, il s’avère extrêmement difficile de lui passer les menottes.

 

Les insultes pleuvent. « T’es qui toi, je vais te buter », lance-t-il à la policière. Il se débat mais une menotte lui est finalement passée. Reste la seconde… Le jeune homme se jette alors volontairement dans la vitrine du magasin le Coup d’Fil en entraînant la policière avec lui dans sa chute.

Celle-ci est légèrement blessée au visage. L’auteur est enfin maîtrisé. Les policiers pensent l’histoire terminée.

Mais une fois dans le véhicule de police, l’auteur insulte à nouveau les fonctionnaires, leur crache dessus. En cellule, il déchire un drap puis son jean et tend de mettre fin à ses jours par pendaison. Un médecin diagnostique un état de délire et décide de l’hospitaliser d’office au centre Esquirol. Il serait porteur du virus du Sida. Des analyses ont été demandées à l’hôpital pour vérifier qu’il n’a pas été transmis aux fonctionnaires de police. Le jeune homme devrait être poursuivi ultérieurement pour menaces de mort et rebellion

http://www.lepopulaire.fr
via http://www.defrancisation.com

VIOLENCES ET ISLAM ! POINT DE VUE .........

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La violence est inhérente à l’islam

 


La violence est inhérente à l’islam. Le moindre prétexte suffit à susciter la colère de nombreux musulmans, même s’ils ne sont pas pratiquants. Immédiatement, obéissant à un réflex pavlovien, ils se placent en victimes, se sentent stigmatisés, humiliés, et envahis par la soif d’en découdre avec les occidentaux, ces mécréants, dont ils détestent la prétendue arrogance et auxquels ils reprochent le sens de supériorité à leur égard, la défense de Mahomet n’étant qu’une excuse.

La sacralisation de la violence par le coran a pour but d’exonérer le musulman de tout reproche et de supprimer toutes les barrières morales qui pourraient le rendre plus humain, quand il combat l’infidèle.

Les manifestations violentes contre le navet « offensant » et/ou les caricatures ne sont que des prétextes pour utiliser la violence afin d’intimider l’Occident, le terroriser et l’obliger à se plier aux desiderata des islamistes.

Et apparemment, la violence du monde musulman porte ses fruits :

. L’administration Obama réagit et condamne Charlie Hebdo (1)

. Le pervers « Processus d’Istanbul » remonte à la surface et se renforce :

« La Secrétaire général de la Ligue arabe, Nabil al-Araby, a déclaré mercredi que la Ligue, ainsi que l’Organisation de la Conférence islamique, l’Union européenne et l’Union africaine sont sur le point d’élaborer une Convention internationale pénalisant le blasphème et les insultes aux figures religieuses. »

. Les producteurs de « L’Innocence des musulmans » ont « abusé » de la liberté d’expression (Ban Ki-moon) (Lu sur Poste de Veille)

 

Les foules musulmanes manifestent violemment, détruisent, tuent et s’entretuent pour protester contre les « attaques » contre leur idéologie, mais selon l’ONU, la clique Obama et l’OCI & Co, ce sont les Occidentaux qui sont intolérants, qui abusent de la liberté d’expression, pour offenser l’islam, son prophète et ses adeptes.

La liberté d’expression est la bienvenue quand elle est utilisée par les islamistes pour appeler à la haine de l’Occident, à sa conquête, à la suppression de la démocratie contraire à l’islam, à l’éradication d’Israël, à la haine du Juif, au massacre des minorités non musulmanes en terre d’islam, mais doit être limitée, voire censurée, avant de la supprimer (si cela est possible) quand l’Occident fait appel à ce droit fondamental pour défendre ses libertés.

L’islam n’est qu’une idéologie politico-religieuse, d’une violence intrinsèque épouvantable, d’une profonde vacuité spirituelle, dont la sharia est la constitution. Tous les efforts pour nous vendre ce totalitarisme tyrannique comme une « religion » de paix, de tolérance et d’amour ne sont que duplicité et mensonge.

Reproduction autorisée, avec la mention suivante :
© Rosaly pour www.Dreuz.info

(1) http://dailycaller.com/2012/09/19/white-house-slams-french-cartoon-amid-election-time-threats-from-islamists/#ixzz26wvGm0Rp


 

ET AUSSI

 

Adel Bikri, racaille musulman, trafiquant de drogue en liberté, multirécidiviste, tue un policier de 27 ans

 

Voiture de la police après l’accident

Adel Bikri, c’est le nom du musulman qui, dans la nuit de vendredi à samedi 22 septembre, au volant d’une grosse Mercedes cabriolet de location, a percuté, à Cannes, une voiture de police, lui faisant faire plusieurs tonneaux et tuant un jeune policier de 27 ans, ainsi qu’une femme qui était à bord de la Mercedes, et blessant grièvement un autre policier.

Selon le procureur de la République de Grasse Jean-Michel Cailliau, cette racaille de Bikri, dont on se demande ce qu’il faisait en liberté, était imbibé d’alcool, drogué, et il possède « un casier judiciaire très chargé ».

Il roulait à vive allure en sens interdit lorsqu’il a heurté de plein fouet une voiture de police qui venait de démarrer, alors qu’elle effectuait des recherches pour retrouver le chauffard, qui avait plus tôt heurté deux voitures.

Selon la loi, il mérite jusqu’à dix ans de prison et 150.000 euros d’amende.

Selon la loi… mais c’est sans tenir compte de la clémence de la justice pour ces pauvres victimes de la société, ni de celle de Christine Taubira. il écopera peut-être de deux ans  - avec sursis.

 

Par crainte d’émeutes, et pour apaiser la communauté musulmane, la police a cru devoir préciser que l’accident n’est pas intervenu lors d’une course-poursuite.

Après l’accident, l’ordure Adel Bikri a encore tenté de prendre la fuite à pied.

Nous présentons nos sincères condoléances à la famille de ce policier mort si jeune pour protéger les Français de cette « délinchance » pour la France.

Aucune information sur les autres occupants de la Mercedes : sont-ils aussi des ennemis publics laissés en liberté ? Vont-ils vouloir « venger » la capture du petit caïd ?

 

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pourwww.Dreuz.info

Mercedes de la racaille

 

IMMIGRATION ET DÉSINFORMATION ( PIERRE MILLOZ )

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“La désinformation autour de l’immigration”- La préface de Pierre Milloz

24 septembre 2012

“La désinformation autour de l’immigration”- La préface de Pierre Milloz
 
 

Article reproduit avec l’aimable accord donné à Novopress par Pierre Milloz et la Fondation Polémia.

La première édition de La désinformation autour de l’immigration, parue en 2009, a déjà connu, compte tenu de son succès, cinq rééditions depuis cette date ! Aujourd’hui, la situation décrite et analysée dans cet ouvrage n’a fait que s’aggraver, d’où une nouvelle édition largement augmentée et actualisée.
C’est avec l’aimable autorisation de son rédacteur, Pierre Milloz, que Polémia en publie ci-après la nouvelle préface. Pierre Milloz, à qui rien de ce dramatique sujet n’est étranger, veut ne pas désespérer : « Si l’on s’en tient à une froide analyse de la situation présente, on n’est certes pas porté à l’optimisme. Pourtant le sentiment national, l’attachement à la patrie sont si répandus, si étroitement liés à la nature humaine qu’il faut croire qu’ils retrouveront leur force en France et susciteront un sursaut des Français.» Acceptons-en l’augure.
Polémia


 


Le titre même de son livre le prouve : M. Arnaud Raffard de Brienne veut aller au-delà du réquisitoire classique contre le phénomène migratoire. Car les ouvrages ne manquent pas qui dénoncent les méfaits d’une immigration incontrôlée et l’auteur ici ne s’est pas borné à un travail de plus sur ce thème. Il a en outre voulu susciter une réflexion sur une question clef : comment un peuple comme le nôtre, fort d’une histoire millénaire, peut-il accepter passivement de se laisser ainsi submerger ?

 

Répondant à cette question, Arnaud Raffard de Brienne montre, dans un style aisé et incisif, comment une propagande d’esprit totalitaire, menée avec persévérance depuis une quarantaine d’années aussi bien par les gouvernements de droite et de gauche que par les médias, s’applique à anesthésier l’opinion publique française et l’empêche de prendre conscience du drame qui se joue aujourd’hui.

Tous les procédés sont magistralement démontés et le lecteur bénéficie d’une analyse très claire et convaincante qui va jusqu’au cœur du système : trucage du langage, silence officiel et médiatique sur des nuisances imputables aux immigrés, mensonges répétés (quelle qu’en soit l’invraisemblance), assertions défiant le bon sens sur les conséquences économiques de l’afflux migratoire, désinformation sur les chiffres etc. etc.

A lire cette description, on se dit avec l’auteur, qu’une telle convergence d’efforts pour endormir l’opinion est sans doute la marque d’une volonté appliquée à atteindre un objectif plus large que la seule immigration.

Et il est vrai que celle-ci n’est qu’une partie d’une évolution de type cosmopolite qui menace l’existence des nations européennes. En France cette évolution prit corps quelques mois après la mort du général De Gaulle, sous la forme d’une loi : la loi Pleven du 1er juillet 1972. Née d’un projet gouvernemental (Georges Pompidou étant président de la République), elle est sans doute le premier texte normatif d’inspiration cosmopolite de l’histoire de France et fut votée à l’unanimité par l’Assemblée nationale (celle-ci, élue en juin 1968, était très majoritairement de droite, la gauche n’y atteignait pas 19% des sièges).

Ce texte est capital. Il va bien au-delà de ce qu’annonce son intitulé (lutter contre le racisme) : il prohibe toute discrimination qui serait fondée sur l’appartenance à une nation, et par conséquent sur l’appartenance à la nation française. Ainsi était posé le principe selon lequel un Français et un étranger doivent être traités identiquement.

L’esprit cosmopolite d’indifférenciation universelle venait de s’affirmer par la loi et, devenu dominant, il allait orienter la politique française. Les gouvernements français ne considéreraient plus de la même façon l’impératif qui, pour tous leurs prédécesseurs, avait été l’alpha et l’oméga de la politique : affirmer et défendre la spécificité et l’identité françaises dans le monde. Au contraire : tout allait se passer comme si la défense de cette identité constituait à leurs yeux une discrimination immorale et comme si la seule politique valable, celle qui s’attache à ce qu’ils nomment les valeurs « humanistes », ne pouvait que tendre à l’effacer. « Sublimation idéologique d’un grand naufrage », écrit brillamment M. Arnaud Raffard de Brienne.

C’est dans ce cadre doctrinal qu’est intervenue une mesure particulièrement néfaste. Au moment même où l’immigration de travail était suspendue (et M. Arnaud Raffard de Brienne insiste à juste titre sur l’étrangeté de la coïncidence), il était décidé de faire appel à une immigration de peuplement, propre à modifier l’identité française. Ce fut l’œuvre du décret du 29 avril 1976 sur le regroupement familial, signé du Premier ministre M. Jacques Chirac. La volonté, constamment affirmée (et encore par le récent plan contre l’antiracisme adopté en Conseil des ministres le 15 février 2012) de réserver à cette immigration un accueil encourageant, confirme a posteriori l’importance de ce décret.

Celui-ci s’inscrit bien dans une série de mesures et d’initiatives de même sens. La multiplication des naturalisations notamment sous la présidence de M. Chirac, la loi du 3 janvier 1973 interdisant les avances de la Banque de France à l’Etat, les successives négociations multilatérales qui ont supprimé nos frontières économiques, le traité de Maastricht par lequel la France renonçait à sa souveraineté monétaire, le traité de Lisbonne qui validait des dispositions institutionnelles de l’Union Européenne pourtant déjà rejetées par référendum, le retour dans le commandement américain de l’OTAN relèvent de la même évolution : notre pays se voit ôter méthodiquement, un par un, tous les moyens de s’affirmer.

Reste évidemment à savoir quel est le motif ultime de cette mise en œuvre de l’idéologie cosmopolite. C’est en invoquant les deux guerres du XXe siècle que ses partisans ont pu faire recevoir par les peuples une doctrine qui heurte le sentiment naturel d’appartenance à une nation. Mais ce simple argument n’aurait pas suffi si des forces puissantes et plus matérielles n’avaient appuyé la propagande cosmopolite mondiale. Au premier rang, il y a l’hégémonie des Etats-Unis qui donnent à leur tentative impériale le masque d’une idéologie universaliste. Parallèlement, se mêle la conception économique propre à ce que certains appellent une superclasse mondiale : celle-ci voit dans l’effacement des particularités nationales et l’uniformisation de la planète les moyens de renforcer la vigueur de l’économie. M. de Rothschild n’écrivait-il pas dès juillet 1970 : « La structure qui doit disparaître, le verrou qui doit sauter, c’est la nation » ?

Faut-il désespérer ? Si l’on s’en tient à une froide analyse de la situation présente, on n’est certes pas porté à l’optimisme. Pourtant le sentiment national, l’attachement à la patrie sont si répandus, si étroitement liés à la nature humaine qu’il faut croire qu’ils retrouveront leur force en France et susciteront un sursaut des Français.

Pierre Milloz

- Pierre Milloz, préface de l’ouvrage de Arnaud Raffard de Brienne, La Désinformation autour de l’immigration(Nouvelle édition, augmentée et actualisée, juillet 2012), éditeur Atelier Fol’Fer, collection L’Etoile du Berger, juillet 2012, 266 pages.

Source :  Polémia.

[cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

MARSEILLE: PLUS BELLE LA VIE ???

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zone_interdite.jpgUne guerre quotidienne au cœur de Marseille où des jeunes branleurs enrichis par les trafiquants ouvrent des kebabs partout pour blanchir leur fric (tout en imposant une junk-food orientale à nos obèses à nous, les Français) où les zones de non droit (les zones interdites) s'étendent toujours plus ne laissant plus comme ultime solution que "la guerre contre la drogue" pour sortir de cette merde marseillaise.
M6 nous a servi du bon gros cliché aux relents Sarkozistes (sinon racistes) dimanche soir, une mise en images subtile (si! si!) de la fantasmagorie populiste sur Marseille, cette ville pleine d'immigrés.

APRÈS LE MALI ( AQMI ) , LE QATAR SOUTIENT NOS BANLIEUES ???

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Le Qatar considère que les banlieues françaises sont suffisamment islamiques pour y investir 100 millions d’euros

Classé dans: Eurabia,France,Qatar | 

Le Qatar a reçu l’agrément du ministre Arnaud Montebourg, pour créer un premier fond islamique d’investissement d’au moins 100 millions d’euros dans les banlieues françaises de non droit.

Le Qatar a pris pied depuis plus plusieurs années dans l’économie française, en rachetant le plus formidable outil de propagande subliminal : le foot, au travers du Paris Saint-Germain.


Au Qatar, toute forme de manifestation ou de signe extérieur religieux non musulman est strictement interdite et sévèrement punie.

La première église chrétienne à voir le jour au Qatar depuis qu’il a été envahi par les islamistes, et destiné pour une part à servir les travailleurs étrangers et pour une autre à obtenir l’agrément d’accueillir les jeux olympiques de 2016, a été construite en 2008 à Doha.

 

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
http://vaticaninsider.lastampa.it/en/homepage/world-news/detail/articolo/bahrain-crisitani-christians-cristianos-17927/



Quelque chose a déraillé dans la tête de François Hollande avec l’aide du Qatar

Classé dans: Eurabia,France,Présidence Hollande,Qatar | 

RTL a cité Dreuz, en avouant ne pas bien comprendre ce que nous écrivons, dans son émission d’hier ‘On refait le monde’, au sujet de notre article sur l’investissement du Qatar dans les banlieues musulmanes françaises.

Je reviens un instant sur cet investissement qui me travaille et voici pourquoi :

Le gouvernement Ayrault vient d’accepter les 100 millions d’euros d’aide du Qatar aux banlieues.

En même temps, la France va verser une aide de 10 millions d’euros à l’Autorité palestinienne, qui représente la seconde tranche de l’aide budgétaire française à l’Autorité palestinienne pour 2012.

Et en même temps, la France va accorder à l’Égypte une aide de 300 millions d’euros pour la construction de la nouvelle ligne du métro.

 

 Je pose une simple question :

 

est-ce bien cohérent que la France investisse dans les banlieues égyptiennes et palestiniennes, et laisse le Qatar investir dans les banlieues françaises ?

N’eut-il pas été de bonne gestion que la France refuse l’ingérence du Qatar dans sa politique intérieure, refuse ces 100 millions, qu’elle investisse 100 millions de moins dans les banlieues égyptiennes et palestiniennes, et mette cet argent dans ses propres banlieues ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info



QATAR ! NON MERCI !

JUSTE UN RAPPEL !!!

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CECI EXPLIQUE POURQUOI IL N'Y AURA PLUS JAMAIS D'ATTENTATS ISLAMISTES EN FRANCE, MAIS UN JOUR,

DANS CE QUI NE SERA PLUS " CHEZ NOUS ", NOUS CONNAÎTRONS CE QUI S'EST PASSÉ EN TUNISIE OU EN ÉGYPTE, 
>

Vous vous souvenez de l’ancien ministre Michel Poniatowski ?

Lisez bien attentivement les lignes qui suivent : elles sont de lui......


> > > > >  

 

Visionnaire?? ( écrit en 1991 )

 

L’ancien ministre giscardien, Michel Poniatowski, écrivait dans son livre-testament une conclusion dont on ne voit pas quelle ligne on  pourrait changer 21 ans plus tard :

 

« Cette âme, la France est en train de la perdre, non seulement à cause de la mondialisation, mais aussi, et surtout, à cause de la société à la fois pluriethnique et pluriculturelle que l’on s’acharne avec de fausses idées et de vrais mensonges, à lui imposer.  Si cet essai a permis à quelques-uns de mesurer devant quels périls nous nous trouvons placés, il aura déjà atteint son but. (…) Ces pages peuvent apparaître cruelles. Mais elles correspondent à un sentiment très profond. Le moment est venu de traiter énergiquement le problème de l’immigration africaine et notamment musulmane.

Si tel n’est pas le cas, la France aura deux visages : celui du « cher et vieux pays » dont parle le général de Gaulle et celui du campement avancé du tiers monde africain. Si nous désirons voir les choses dégénérer ainsi, il suffit de leur laisser suivre leur cours.


Le campement africain toujours plus grand, plus vaste, plus illégal, grignotera d’abord, puis rongera, avant de faire disparaître tout entier le cher vieux pays, dont la défaite sera annoncée du haut des minarets de nos nombreuses mosquées. Nos temps sont assez graves pour ne pas faire appel à de médiocres facilités politiciennes. Nous allons vers des Saint-Barthélemy si l’immigration africaine n’est pas strictement contrôlée, limitée, réduite et expurgée de ses éléments négatifs et dangereux, si un effort d’intégration ne vient pas aussi compléter cette nécessaire répression.
> > > > > Les mesures à prendre sont sévères et il ne faudra pas que le vieux pays frémisse de réprobation chaque fois qu’un charter rapatriera des envahisseurs illégaux. Il faut donc ainsi que ce cher vieux pays restitue à l’état sa place normale. 
Les libéraux l’ont affaibli, les socialistes l’ont détruit. 
  Où sont les grandes tâches dévolues à l’État ?
  La Justice, l’Armée, l’Éducation nationale, la Sécurité, la Police, notre place en Europe ? En miettes.
  La France est à l’abandon 
et en décomposition à travers le Monde. 
  Sa recomposition est dans un retour énergique à l’unité et à la cohérence, et de la Nation et de l’État. »

ALARME : ARRÊTER L' IMMIGRATION !!!

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Mercredi 10 octobre 2012

Les descendants d'immigrés d'Afrique sont trois fois plus au chômage que les Français de souche, un écart largement dû au niveau de diplôme, à l'origine sociale et au lieu de vie mais dont une part reste "inexpliquée", selon un rapport de l'Insee rendu public mercredi.

Cinq ans après leur sortie du système scolaire, 11% des Français ayant des parents natifs de France sont au chômage, contre 29% des descendants d'immigrés d'Afrique, notent les auteurs de l'étude "Immigrés et descendants d'immigrés en France".

Parmi ceux ayant un emploi, 74% des Français de souche ont un contrat à durée indéterminée (CDI) contre 67% des fils et filles d'Africains.

La première raison est liée au diplôme: 30% des descendants d'immigrés d'Afrique sortent du système scolaire sans diplôme, ou avec au mieux le brevet des collèges, deux fois plus que les enfants de natifs.

Les difficultés à l'école s'expliquent par "leurs origines sociales nettement plus populaires": 58% d'entre eux ont un père ouvrier (contre 26% pour les descendants de natifs).

Mais "quand l'origine sociale, le niveau de diplôme des parents, la structure familiale et la taille de la fratrie sont pris en compte, la réussite dans le secondaire des enfants d'immigrés n'est pas moins bonne que celle des descendants de natifs", soulignent les auteurs du rapport.

Au contraire, les filles d'origine tunisienne ou marocaine décrochent davantage le baccalauréat que les Françaises de souche.

En revanche, les critères sociaux n'expliquent que partiellement la différence dans l'accès à l'emploi. Le niveau de diplôme, l'origine sociale et le lieu de résidence "expliquent au moins 61% de l'écart entre le taux d'emploi des descendants d'immigrés d'Afrique" et les autres.

Mieux que les parents, moins bien que les Français de souche

Reste une part "inexpliquée" que les chercheurs de l'Insee se gardent bien d'attribuer à un quelconque racisme de la société. "Si les discriminations existent, leur influence est difficile à mesurer", écrivent-ils prudemment.

Pour leur part, les descendants d'immigrés invoquent sans fard les discriminations liées à l'origine ou la couleur de peau. Sur la seule région Ile-de-France, 18% des descendants d'immigrés -soit autant que les immigrés - rapportent avoir subi des discriminations dans l'emploi, contre 12% de la population majoritaire, selon l'Insee.

En septembre, la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) notait que les enfants d'immigrés maghrébins déclaraient plus souvent "un refus injuste de promotion" (15% contre 7%).

Au delà de l'emploi, le rapport de l'Insee souligne que les descendants d'immigrés se trouvent dans une "situation intermédiaire": ils vivent mieux que leurs parents mais moins bien que les Français de souche.

Par exemple, le taux de pauvreté est de 13,5% sur l'ensemble de la population, de 20% pour les descendants d'immigrés et de 37% pour les immigrés, relève l'Insee.

Définissant un immigré comme une personne née étrangère à l'étranger et résidant en France, l'Insee évalue à 5,3 millions leur nombre en France, dont 41% ont acquis la nationalité française.

Deux tiers sont originaires de pays hors Union européenne (UE).

Les descendants directs d'immigrés sont 6,7 millions soit 11% de la population globale. "La France est parmi les pays où la deuxième génération est la plus présente", souligne l'Insee, expliquant cette particularité par l'ancienneté des migrations de travail et les liens avec les anciennes colonies.

http://www.liberation.fr
via http://www.fdesouche.com


LES POMPES ASPIRANTES: ATA, AME , ETC....



Principe

L'allocation temporaire d'attente (Ata) est une allocation versée par Pôle emploi aux demandeurs d'asile pendant la durée d'instruction de leur demande d'asile, à certaines catégories de ressortissants étrangers et à des personnes en attente de réinsertion.

Bénéficiaires

Les personnes pouvant bénéficier de l'Ata sont :

  • les étrangers, âgés de plus de 18 ans, demandeurs d'asile, 

  • les étrangers bénéficiaires de la protection temporaire ou de laprotection subsidiaire,  

  • les étrangers bénéficiaires d'une carte de séjour "vie privée et familiale" ayant déposé plainte ou témoigné dans une affaire de proxénétisme ou de traite des êtres humains,  

  • les apatrides,

  • les anciens détenus, lorsque la durée de leur détention a été supérieure à 2 mois,

  • les travailleurs salariés expatriés non couverts par le régime d'assurance chômage qui, lors de leur retour en France, justifient d'une durée de travail de 182 jours (6 mois) au cours des 12 mois précédant la fin de leur contrat de travail.

Conditions d'attribution

Condition de ressources

Pour pouvoir bénéficier de l'Ata, le demandeur doit justifier de revenus inférieurs au montant forfaitaire servant de base au calcul du RSA.

Condition de recherche d'emploi

Les apatrides, les anciens détenus et les travailleurs salariés expatriés doivent être inscrits en tant que demandeurs d'emploi.

Dépôt de la demande

La demande d'Ata doit être déposée auprès de l'agence Pôle emploi dont dépend le domicile du demandeur.

Le dossier du demandeur doit contenir :

  • le questionnaire fourni par Pôle emploi complété,

  • ses justificatifs de ressources,

  • ses coordonnées bancaires,

  • les pièces permettant de justifier du statut au titre duquel il demande l'Ata (demandeur d'asile, bénéficiaire de la protection temporaire ou subsidiaire, apatride, ancien détenu, etc.)

Montant

11,01 € par jour, soit 330,30 € pour un mois de 30 jours.

L'Ata est incessible et insaisissable.

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