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LE VOLTE FACE CULTURELLE ET MATÉRIELLE, JUSTE UN RAPPEL !

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1 homme, 4 femmes, 46 enfants

A Bobigny, Fanta Sangaré accompagne des familles polygames dans leurs démarches, longues et ardues, de "cohabitation".


Une volte-face culturelle et matérielle.

 

Avec ses quatre femmes et ses 46 enfants, Adama (1) était un homme heureux.

Ce quinquagénaire, capable de réciter dans l’ordre les prénoms de sa descendance, régnait sur son pavillon de banlieue.

 

Entre les cinq chambres de la maison, "la vie s’organisait comme elle pouvait", confie-t-il au téléphone.

D’abord agent d’entretien, il a cessé de travailler quand le montant des allocations familiales est devenu suffisant pour nourrir son monde (2).

Dans le village du nord du Mali où il a grandi, on parle de sa réussite avec admiration. Il voudrait que ça continue.

Il n’a donc pas donné d’écho particulier au bouleversement qu’il vient de connaître : deux de ses femmes ont déménagé, une troisième songe à les imiter.

 

Elles sont engagées dans une "décohabitation", le terme administratif qui désigne la sortie de la polygamie.

 

"Il nous a fallu dix ans pour en arriver là", raconte Fanta Sangaré, énergique présidente de l’Association des femmes relais de Bobigny, en Seine-Saint-Denis.

 

Sa première rencontre avec Adama a eu lieu à la demande des services sociaux.

Avec les autres ménages polygames qu’elle accompagne, le point de départ fut comparable: des enfants attirent l’attention d’une assistante sociale ou d’un enseignant ; mais leurs parents fuient les institutions et ont toutes les peines du monde à parler français.

Difficile de les aider.

 

Il se trouve que tous sont originaires du Mali. Fanta Sangaré aussi.

L’ancienne institutrice de brousse comprend les digressions en soninké, les confidences en bambara.

Elle discute, apprivoise. Entend la fierté du mari, les disputes des coépouses, la fatigue des enfants.

Les réveils à pas d’heure pour prendre une douche avant l’école. Le ballon d’eau chaude toujours vide.

La queue devant la porte des WC. Les repas pris chacun son tour. Les devoirs faits dans la cage d’escalier. Les lits partagés. Le bruit permanent. L’absence d’intimité. Fanta Sangaré écoute ces histoires qui se ressemblent toutes.

 

Puis elle rappelle la règle de la République : la nécessité de rompre avec la polygamie pour obtenir un renouvellement des titres de séjour.

Effroyable perspective pour ceux auxquels on a toujours enseigné que cette tradition était un idéal d’organisation sociale doublé d’une exigence divine.

Il s’agit de mariages traditionnels arrangés, célébrés un été « au pays », où l’amour ne s’est pas toujours installé, mais tout de même: "Quitter son mari est impur", rabâchent les femmes.

"Dieu n’a pas demandé que vos enfants soient entassés à vingt dans une même chambre", réplique alors Fanta Sangaré.

 

Semaine après semaine, l’idée fait son chemin. Jusqu’au jour où les femmes s’approprient le désir d’avoir leur propre logement.

En signe de bonne foi, elles doivent le chercher dans une autre commune. Les mains retenant son voile noir et violet, Aminata raconte les trois années de démarches qui lui ont été nécessaires pour régulariser sa situation.

 

Elle a quitté La Courneuve pour Bobigny avec ses quatre plus jeunes enfants.

Lorsqu’une épouse part, la honte s’abat sur son mari. "Sa femme a volé son pantalon, maintenant il porte le pagne!", entend-il dans son dos.

Adama préfère ne pas y penser. Il prend désormais le RER pour honorer les mères de ses enfants.

Une décohabitation hypocrite? "Bien sûr, admet Fanta Sangaré. On nous reproche aussi de créer des familles monoparentales. Mais si ça aide les enfants à s’épanouir et les femmes à devenir autonomes, ça vaut le coup."

Ces femmes, en effet, n’ont jamais vécu seules, n’ont jamais eu d’emploi ni géré de budget.

Elles ne savent pas se servir d’une carte bancaire ni remplir un chèque.

 

C’est leur mari qui touchait les allocations familiales, payait les factures et faisait les courses. "Elles ont toujours été infantilisées", insiste Fanta Sangaré. "C’était très compliqué au début de vivre chez moi", confirme Salli, jeune maman de huit enfants.

 

Elle a laissé son mari à sa coépouse et est devenue femme de ménage. Pour être tout à fait "comme les autres", elle essaye de perfectionner sa maîtrise du français.

 

Les mystérieux "couvre-lit", "hippocampe" et "igloo" qu’elle découvre au cours d’alphabétisation lui donnent l’impression d’être encore loin du but.

 

Mais ses amies lui connaissent un nouveau sourire.

 

(1) Les prénoms ont été modifiés.


(2) La Caisse d’allocations familiales verse 441,48 € par mois pour quatre enfants de moins de 20 ans, plus 158,78 € pour chaque enfant supplémentaire. Soit 1.394 € pour 10 enfants, 2.981 € pour 20 enfants, 4.569 € pour 30 enfants, 6.157 € pour 40 enfants.

Sans compter d’éventuelles aides au logement.

Mathieu Deslandes - Le Journal du Dimanche

samedi 12 juin 2010

 

 

 
 
 

2013: DES LENDEMAINS QUI CHANTENT ???

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Douce France ?

 

 Arnau Bach*, photographe freelance, a photographié le 93 entre 2006 et 2012.

 

Ne montrez pas ces images à des étrangers, le tourisme français en souffrirait.

 

 

C’est effrayant comment la chance pour la France peut tourner en calamité.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

 

* Bach a gagné le prix du RJI http://www.poyi.org/70/49/index.php

QUAND LA VÉRITÉ ÉCLATE ! LA HAINE " GAUCHO-BOBO " RESSORT .....

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Lundi 4 mars 2013

« C’est un manifeste raciste bourré de haine ! »


Aymeric Caron à propos de « La France, orange mécanique », classé 2è meilleure vente de livres sur Amazon (juste derrière S. Hessel)

Echange violent coupé au montage par France 2 :

- A. Caron : « Hitler se réclamait du darwinisme, comme vous ! »


- L. Obertone : « Il se réclamait aussi du socialisme, comme vous »

- Mustapha El Atrassi : « Est-ce que vous pensez que la société a besoin de vous ? J’en ai marre qu’on stigmatise les immigrés ! »


« Je vais le suivre pour savoir où il habite. » (après l’interview de L. Obertone)

 

NB : La journaliste et animatrice Anne-Élisabeth Lemoine, alors en couple avec l’animateur Mustapha El Atrassi, porta plainte contre lui en 2007 pour coups et blessures.

Ce dernier n’aurait pas accepté que l’animatrice veuille rompre avec lui.Wikipédia

Lire aussi : « Mustapha El Atrassi, voleur, racketeur, violent, ingrat, profiteur »
« Violent, Mustapha est viré par Ruquier »

 Twitter : #ONPC et #obertone

Addendum :

- Selon des témoignages en direct sur Facebook, « attaques violentes » d’Aymeric Caron et de l’humoriste Mustapha El Atrassi contre Laurent Obertone, « comparé à un monstre de l’Histoire », lors de l’enregistrement de l’émission jeudi soir…

 

Source   http://www.citoyens-et-francais.fr/article-laurent-obertone-compare-a-hitler-chez-ruquier-maj-115865645.html

 

 

Site : http://jean-marielebraud.hautetfort.com/
 
Blog : http://pdf.bretagne.over-blog.com/
 
Mail : pdfbretagne@orange.fr
 
Tel : 06 65 61 08 62

TRIBUNE LIBRE , POINT DE VUE ET CONSTAT ........

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Lundi 4 mars 2013
Rap anti-blancs : 10 ans de retard pour Copé et Nathalie Goulet
 

24/02/2013 – 12h30
PARIS (NOVOpress) - Il y a plus de dix ans, les militants des Jeunesses Identitaires avaient souhaité briser un tabou en montrant la réalité de cette haine antiblanche s’exprimant impunément dans notre pays.


Ils avaient, pour cela, cherché, compilé et diffusé une liste de textes de rap explicites, s’en prenant ouvertement aux Blancs et à la France.


 Succès garanti ! De multiples fois reproduites sur les blogs et forums, cette liste finira à l’Assemblée nationale en 2006 lorsque le député UMP François Grosdidier s’appuiera sur celle-ci pour proposer un texte de loi visant à condamner pénalement les auteurs de chansons incitant « à la discrimination, à la violence où à la haine” “anti-blancs ».


Sept ans plus tard, cette liste de textes de rap fait une entrée fracassante au Sénat avec la sénatrice de centre gauche, Nathalie Goulet, s’appuyant intégralement sur cette liste pour demander, lors des questions orales au gouvernement, au ministre de l’Intérieur Manuel Valls, d’agir contre « ces chansons, entendues sur les radios » appelant « à la violence et à la haine contre les autorités publiques et la police qui s’efforcent de faire respecter la loi, notamment dans ces zones grises où le risque de perte de contrôle n’est pas exclu, ce que la Représentation nationale ne peut tolérer. »

 

Moralité de l’histoire : bien avant Jean-François Copé, François Grosdidier ou Nathalie Goulet, les Jeunesses Identitaires avaient, déjà à l’époque, 10 ans d’avance sur les politiques de ce pays.


Dernier point pour les mauvais copieurs :  le nom exact du groupe de rap lyonnais n’est pas Smala mais Bougnoul Smala….


[cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

UN EXEMPLE À SUIVRE POUR LES COMMUNES DE FRANCE !

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Lundi 4 mars 2013

Le conseil communal d’Anvers a approuvé lundi soir, après un long débat, le règlement de rétribution pour les nouveaux arrivants d’origine étrangère par 34 voix pour et 19 contre.




La ville d’Anvers a donc décidé d’imposer le paiement d’une somme de 250 euros (contre 17 euros auparavant) pour tout ressortissant étranger désireux de s’inscrire auprès de l’administration communale.

Dans l’opposition, seul le Vlaams Belang a apporté son soutien à la majorité.

« Il s’agit d’une goutte d’eau dans la mer, mais toute mesure qui assure que moins d’étrangers viendront dans cette ville, est une bonne mesure », a estimé Filip Dewinter.

De son côté, la chef de groupe sp.a Yasmine Kherbache a notamment estimé qu’il existait de nombreuses objections juridiques à ce règlement.

« Selon une loi de 1968, il ne peut être fait de distinction entre Belges et non Belges pour une telle rétribution », a-t-elle déclaré.

Meyrem Almaci (Groen) a également avancé des contre-arguments moraux et juridiques. (…)

Source : Le Vif;

source

ISLAM: LES FIGURES DU SALAFISME CONTEMPORAIN .......

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03/03/2013

Les liens de la Grande mosquée de Lyon avec le salafiste pro lapidation Bouziane

bouziane.jpegLes médias lorsqu'ils parlent de l'islam ne manquent jamais d'établir une frontière imaginaire entre l'"islam" et "l'islamisme radical", une déviance qui serait forcément une dénaturation de l'islam originel, même si les islamologues de l'université affirment le contraire.


Un énième exemple de la fausseté de cette analyse se trouve dans la très institutionnelle Grande mosquée de Lyon, présentée comme un modèle d'islam modéré, bien que financée par l'Arabie Séoudite...


Dans son livre "le Salafisme aujourd'hui" (Michalon, 2011) qui a connu une belle couverture médiatique, le chercheur Samir Amghar présente dans ses annexes les principales figures du salafisme contemporain.


Surprise, Abdelkader Bouziane qui a défrayé la chronique pour avoir justifié la violence envers les femmes (et notamment la lapidation), était, bien qu'identifié salafiste dès 1991...conférencier en 2003 à la Grande Mosquée de Lyon !

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Le 26 février 2004, un arrêté d'expulsion, mentionnait que l'imam Bouziane portait « atteinte à l'ordre public, du fait de son activité doctrinale salafiste».


Cet arrêté pris par le ministère de l’Intérieur Nicolas Sarkozy invoquait « l’urgence absolue » et « la nécessité impérieuse pour la sûreté de l’État et la sécurité publique », pour faire usage de cette procédure qui permet de passer outre certaines règles de protection des étrangers, car l’imam, appelait « ouvertement à la violence et à la haine » et apparaissait comme le « principal vecteur de l’idéologie salafiste dans la région lyonnaise », en lien « avec des éléments très déterminés de la mouvance intégriste islamiste (…), en relation avec des organisations prônant des actes terroristes ».

Donc la Grande Mosquée de Lyon, malgré ses liens plus qu'étroits avec le salafisme -inviter Bouziane pour former les consciences musulmanes est fort de chicha- devrait être considérée comme le modèle de l'islam évidemment "de France" et évidemment "modéré".


Jusqu'où prendra-t-on les Français pour des imbéciles?

Observatoire de l'islamisation, mars 2013


ET AUSSI


LIVRES

 


Fascisme vert : peut-on parler de « nouveaux collaborateurs » ?...

 

 

 

 

 





Une enquête parue en librairie (Fnac, Virgin...) a démontré que des hautes personnalités politiques collaborent avec les Frères musulmans en France (incarnés par l'UOIF) en leur donnant des terrains publics pour des grandes mosquées ou en subventionnant leurs "associations culturelles".
 
 
Ce livre aux effets potentiellement ravageurs a été censuré par les grands médias. Des élus de tous bords sont gravement mis en cause par la révélation de documents inédits et irréfutables.
 
 
Il s'agit du livre «Ces Maires qui courtisent l'islamisme», paru aux éditions Tatamis en octobre 2010, dont aucun journaliste ou "expert" n'a pu contester les révélations.
 
 
La meilleure preuve est sans doute l'absence de procès intenté à son auteur, Joachim Véliocas. Des universitaires islamologues, tel le Palestinien Sami Aldeeb, considéré comme un des meilleurs spécialistes du droit musulman, ont félicité l'auteur pour la qualité de son rigoureux travail d'enquête.
 
D'autres universitaires se sont joints à l'auteur pour cosigner un appel à être ferme contre les Frères musulmans.
 
L'institut Hannah Arendt de l'université de Dresde, centre de recherche de référence en Allemagne sur l'analyse des totalitarismes, a commandé plusieurs exemplaires de l'ouvrage et va publier un compte-rendu dans sa revue officielle.
 
 
 
L'association Contribuables Associés (140 000 membres !) a consacré une page au livre dans son mensuel " Le Cri ". 
 

 

 

Source  http://www.metamag.fr/detail-bref-455-LIVRES-Fascisme-vert---peut-on-parler-de---nouveaux-collaborateurs----....html

 

LA FRANCE VA MAL .......( GRAPHIQUES ) ! TRIBUNE LIBRE !

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Les cinq graphiques qui montrent à quel point la France va mal

En France, la crise ne fait que commencer.

Depuis 30 ans, le coût du travail et l'explosion de l'endettement ont fait décrocher notre pays par rapport à ses voisins, notamment l'Allemagne.


Et la politique actuelle d'augmentation des impôts ne va rien arranger...



Thermomètre

Publié le 3 mars 2013
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La production industrielle française a perdu 25% face à la production allemande depuis 1992.

La production industrielle française a perdu 25% face à la production allemande depuis 1992. Crédit Reuters

Je vais me livrer à un exercice quelque peu inhabituel : je vais remonter dans le temps pour essayer d’expliquer pourquoi la France est dans une situation très difficile.

 

Pour y arriver, je vais limiter au maximum les commentaires, présentant mon diagnostique sous forme de graphiques.

Graphique Numéro 1 : Ce qu'il faut regarder et ce qui ne sert à rien

Les thuriféraires de l’économie officielle (du type Insee) nous enjoignent de regarder l’évolution du PIB.

La ligne noire ci-dessus donne l’évolution relative du PIB Français par rapport au PIB Allemand depuis 1992, tandis que la ligne rouge donne l’évolution relative des productions industrielles.

A en croire les économistes « officiels » qui regardent le PIB, la France a fait 5 % de mieux que l’Allemagne depuis 1993 (qui peut croire une telle ânerie ?).

Par contre, si l’on en croit le ratio des productions industrielles elle a fait 25 % moins bien.

Que croire ?

Bien sûr, c’est le ratio des productions industrielles qui reflète la réalité puisque le PIB ne prend en compte ni la détérioration du bilan de l’Etat ni la hausse du poids de ce même Etat dans l’économie : si les pouvoirs publics embauchent des dizaines de milliers de fonctionnaires et les payent en empruntant de l’argent, le PIB monte.

On voit la stupidité d’une telle mesure statistique qui ne peut satisfaire qu’un Etatiste acharné du style Mélenchon.

Par contre, la production industrielle mesure ce qui se passe dans une partie de l’économie non étatique, celle qui produit des biens.

Dans cette partie là, l’économie Française a reculé par rapport à sa concurrente outre-Rhin d’environ 25% en 20 ans

.Depuis 20 ans, la France s’est désindustrialisée comme jamais depuis deux siècles et cela est incontestable. 

Que le lecteur me comprenne bien : je ne dis pas que l’économie Française a reculé de 25 % par rapport à l’économie Allemande depuis vingt ans.

Je dis que le secteur privé en France a reculé par rapport au secteur privé Allemand et que, dans l’industrie, ce recul atteint 25 %.

Ce n’est probablement pas le cas dans les services ou le tourisme, mais c’est la tendance qui compte ici, pas les chiffres absolus. 


Le secteur privé a reculé en France depuis 20 ans tandis qu’il augmentait en Allemagne, voila la vérité .

La question que graphique amène à se poser est bien entendu la suivante : pourquoi ce recul français, qui a commencé aux alentours de l’an 2000 ? Avant cette date et depuis 1960, les productions industrielles dans les deux pays avaient exactement le même taux de croissance.

La réponse est simple : à infrastructures égales, un investissement industriel dépend des coûts relatifs du capital et du travail par rapport aux pays concurrents.

Compte tenu du fait que le coût du capital a été le même en France et en Allemagne pendant longtemps, la responsabilité doit sans doute être recherchée du coté du coût du travail.

Vérifions.

Graphique Numéro 2 : Coût du travail et Compétitivité.

 


En savoir plus sur Jhttp://www.atlantico.fr/decryptage/cinq-graphiques-qui-montrent-quel-point-france-va-mal-charles-gave-656273.html#LcA8qmE11ezIULDg.99 

MALI : CES JOURNALISTES " COLLABO " DES ISLAMISTES! TRIBUNE LIBRE !

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Mali : Le Monde et l’Humanité se comportent en agents des islamistes

« Impasse malienne » (Le « Monde » du 1er mars 2013)

Du crypto-stalinisme politique et journalistique jusqu’aux débris putrides du stalinisme soi-même, (du quotidien le « monde » jusqu’à l’organe PCF « l’Humanité »), on se retrouve sur une même longueur d’onde : on s’interroge, en réalité, on feint de s’interroger.

 

On pointe les faiblesses et les erreurs, on met en avant les contradictions gouvernementales et l’impotence de Fabius, pour nourrir les arguties concernant « la sale guerre » au Mali.

Bien évidemment que ce gouvernement se prend les pieds dans ses incohérences et ses petites et grandes lâchetés, sur ce sujet comme sur beaucoup d’autres. Ce n’est pas moi qui le nierai.

Mais dans l’affaire malienne, il s’agit de toute autre chose que l’affaire Goodyear ou des injustices fiscales sortant d’une prétendue recherche de l’égalité et de l’équité.

Ce qui sourd  des reproches, ce qui suinte des articles de l’Humanité et du « Monde », c’est un pus moral, si tant est que du pus puisse être moral.

Ce qui suinte, disais-je, et que ce petit monde fait reprendre d’une manière ou d’une autre par le mouvement ouvrier syndical, c’est cette antienne : « la sale guerre », la sale guerre, au Mali comme en Afghanistan, comme en Irak… Le Mali, ce serait un guêpier.

A écouter ces Circée pro-islamistes, Bamako va devenir Saigon sur Niger ; le massif des Ifoghas va devenir la plaine des joncs- sur Afrique pour les forces françaises et africaines engagées sur le terrain malien.

Le sirop empoisonné sublimé par les critiques des gens dont nous parlons, ce n’est pas une critique positive.

Ce n’est pas : nous croyons que le gouvernement français devrait faire ceci, ne devrait pas faire cela, pour aider les populations du Mali et leurs forces armées.

Non, c’est même tout le contraire. C’est : comment ne pas aider, comment ne rien faire face à la contre-attaque des fanatiques totalitaires, ces bandes armées de la charia.

En d’autres termes, nous sommes confrontés à une politique néo-munichoise, une politique diversifiée de « kollaborationnisme », sous la répétition à outrance du slogan « la sale guerre », et du vers de Jacques Prévert : « quelle connerie la guerre ».

Pour dire les choses telles qu’elles sont, sous ces faux-nez, en creusant d’à peine un centimètre sous le camouflage on trouve l’immondice politique suivant : la légitimité n’est pas du côté des hommes et des femmes qui refusent qu’on enlève leurs enfants ou qu’on les achète pour les envoyer djihader et se faire exploser.

Elle n’est pas du côté des femmes qui ne veulent pas se revêtir du linceul qui leur rappelle toute la journée qu’elles ne doivent pas chanter, ni jouer de la musique, et moins encore danser, et surtout, qu’elles ne doivent se livrer à aucune activités productives indépendantes.

La légitimité ne serait pas du côté des hommes et des femmes qui refusent de se laisser fouetter en public, qui refusent d’aller lapider tel couple de voisins ou telle voisine, qui refusent que l’on coupe les pieds et les mains…

En 1936, les pères politiques de nos personnages, -ceux qualifiant de « sale guerre » l’aide aux Maliens-, protestaient à juste titre contre la politique dite de non-intervention en Espagne.

Pour cela, ils continuent de critiquer Léon Blum (qui n’en était pas responsable et n’était d’ailleurs pas d’accord (organisant ou faisant organiser la contrebande des armes et des munitions), ceux qui éructent présentement : « Mali, la sale guerre ».

 

Ces schizophrènes politiques sont ceux-là même qui écoutent, avec une abondante larme à l’œil, les chants de la révolution espagnole trahie par la répression stalinienne -fusillant les militants du POUM, les anarcho-syndicalistes- qui accompagnera la politique officielle dite de non-intervention.

Quelle connerie la guerre ?

Et la passivité face aux talibans retranchés dans les Ifoghas, c’est quoi ?

N’est-ce qu’une connerie grossière, n’est-ce qu’une stupidité sans nom, ou n’est-ce pas plutôt une trahison éhontée de la démocratie et de la défense des libertés individuelles et collectives – sous sa forme des libertés de base des personnes, assaillies par les fanatiques forcenés de la charia armée- qui au Mali subissent un assaut qui peut s’avérer mortel ?

 

Comme nous n’avons pas vocation à nous revêtir par nous-mêmes de chaînes, morales autant que physiques – nous voulons dénoncer cette impuissance théorisée

A l’inverse, nous soutenons la demande, somme toute modeste, adressée au gouvernement français par des démocrates et des syndicalistes maliens : que le gouvernement français ouvre des centres de recrutement militaire pour les enfants de l’émigration malienne, pour former des soldats, des sous-officiers et des officiers pour l’armée nationale malienne, pour qu’elle trouve ses Saint-Just, ces Lazare Carnot, ses petits tambours Bara, lesquels qui lui donneront les moyens humains nécessaires pour terrasser et vaincre la lèpre morale de la dictature fanatique.

source et publication: Alain Rubin    http://ripostelaique.com/mali-le-monde-et-lhumanite-se-comportent-en-agents-des-islamistes.html


RATP: ENCORE PLUS DE DIVERSITÉ .....

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RATP : trop de machinistes ont choisi l’islam contre la laïcité

J’ai envie de m’adresser à nombre de mes collègues musulmans, machinistes à la RATP.

Je suis désolée les gars mais je ne comprends toujours pas pourquoi vous vous sentez visés par la vidéo de nos collègues femmes qui ont eu l’audace, en réalité le courage, de dénoncer les dérives communautaires religieuses dont elles sont les premières victimes.

 

Dès les premiers instants de la vidéo nous pouvons lire : « depuis quelques années, des femmes travaillant à la RATP souffrent de maltraitances de la part de certains de leurs collègues masculins fanatiques religieux sexistes ».

Certes, très vite nous comprenons qu’il s’agit de la religion musulmane, mais c’est le seul point commun que vous avez avec ces gens-là.

Je vous ai toujours entendu dire que les barbus étaient des illuminés et qu’il ne fallait pas s’en inquiéter.

Que leurs pratiques ne correspondaient pas aux doctrines de votre religion.

Vous preniez même partie pour celles qui se plaignaient à vous de ces différences de traitement.

Puis, plus tard, toujours dans la vidéo, elles expriment les atteintes à la laïcité, les prières clandestines, les signes ostentatoires, les relèves non effectuées parce qu’elles sont des femmes… et la direction qui ferme les yeux.

Si vous respectez la laïcité en quoi vous sentez-vous concernés par ce qu’elles dénoncent ?

Vous savez aussi que vous êtes le fruit de « la discrimination positive » adoptée par la direction.

La plupart des nouvelles recrues du dépôt de Nanterre sont issues de l’immigration. Oseriez-vous le contester ?

Cela aurait pu être une chance pour la France, le seul problème est que certains d’entre vous ne respectent pas les lois, ni le règlement de la régie et la grande majorité de votre communauté n’accepte pas lorsque des personnes osent le dénoncer.

On entend partout que votre religion ne prône pas la violence, ce n’est pas ce que nous avons constaté lors des jours qui ont suivi la diffusion de la vidéo de Guy Sauvage (qui, ne vous en déplaise, vient de dépasser les 100.000 visiteurs).

Vous vous êtes comportés, pour trop d’entre vous, en racailles. Vos réactions ont été totalement disproportionnées vis-à-vis de vos collègues et de ceux qui les soutiennent. 

Vous les avez insultés et menacés d’un tas de choses, en occultant totalement leurs souffrances. Peu d’entre vous se remettent en question malgré les témoignages qui se multiplient.

Certains d’entre vous ont même encouragé une action en justice d’un machiniste se réclamant musulman contre le site qui a accueilli la vidéo, et avez signé une pétition communautariste, avec le soutien de syndicalistes de Sud, qui ne vous honore pas.

Que doit-on comprendre dans votre attitude ?

Vous souhaitez que les non-musulmans ne fassent pas d’amalgame, mais vous ne vous prononcez pas contre les agissements de la poignée d’intégristes qui sévissent au sein de la RATP, pire vous les défendez ou les justifiez, par un réflexe communautariste qui s’oppose aux principes laïques !

 

Ce dont je suis sûre, c’est que si des intégristes catholiques avaient voulu faire la loi à la RATP, je les aurais combattus et rejetés avec la même force, même si cette religion fait partie  de la culture française, ce qui n’est pas le cas de l’islam.

 

Maud Orcel     http://ripostelaique.com/ratp-trop-de-machinistes-ont-choisi-lislam-contre-la-laicite.html


ET AUSSI


Marc Knobel et les siens veulent obliger la RATP à embaucher encore davantage de diversité !

Il est à noter que c’est sous Jacques Chirac que c’est mis en place les outils de coercition contre les mauvais penseurs à savoir, ceux qui refuse la mixité obligatoire, le multiculturalisme forcené, le nécessaire « vivre ensemble » et tout cet attirail de la pensée correcte qui nous vient de la gauche américaine.

Vous vous croyez libre? Vous ne l’êtes pas! Vous croyez penser ce que vous voulez? Vous ne le pouvez plus! Encore moins de le dire.

Tout est fait désormais pour vous interdire la pensée critique!

Oh ce n’est pas fait avec le fouet et les menottes, on ne va pas vous torturer! Il suffira que l’on glisse dans votre esprit des interdits dans l’entreprise, sur les radios-télévisions, à travers l’éducation scolaire de vos enfants, etc.

 

On vous impose des chartes à l’embauche et également, par le truchement de la télévision, cet instrument d’éveil à l’origine, devenu un instrument de surveillance, sous l’image bonhomme d’animateurs sympathiques, sous le feux de jeux débiles et d’un vocabulaire appauvrit au maximum, le plus faible possible au service d’une culture a minima, la plus simpliste possible: « ce n’est pas de ma génération » étant l’excuse finale!

Le verbe étant le pouvoir, il convient de réduire celui-ci, au point que souvent, nous écoutons sur nos télévisions et radios des propos entiers d’invités, d’animateurs et de spécialistes qui ne signifient rien ou si peu.

Remplissage et enfumage, un match de foot et au lit !

L’essentiel étant que le discours paraisse libre. L’animateur souriant, les invités contents si ce n’est heureux. La claque dans les travées faisant applaudir ou non le public présent.

L’essentiel étant que vous ne remettiez pas en cause les fondamentaux du « bien vivre ensemble »!

Pas de race, pas de couleurs, pas d’origines, pas de cultures, pas de religions… rien qui puisse troubler le lac tranquille de la France anesthésiée dans cette Europe de la dictature.

Tout le monde il est beau et bien sûr, tout le monde il est gentil! Sinon gare! Gentil le monsieur, gentil la madame! Un frétillement sur la joue, un doute dans le regard et tous vous regarderont comme un extrémiste dangereux. Tout doux le monsieur, tout doux la madame! Mais non, tout va bien… cesser de bouger, vous êtes sous perfusion!

La police veille dans les entreprises, les bureaux, les salles publiques. En douceur mais en profondeur…

Nous sommes en lutte contre Big Brother mais déjà, big brother est dans notre esprit et souhaite nous interdire la réflexion simple: pourquoi ne puis-je pas penser librement que je ne suis pas en phase avec l’immigration, que l’islam est dangereux pour nos sociétés judéo-chrétiennes, que l’Europe nous tue, et massacre nos cultures, que cette Europe refuse le libre arbitre, la démocratie, la voix des peuples et qu’elle a trouvé des supplétifs dans le personnel politique de droite comme de gauche.

C’est « extrémiste » nous dit la doxa de la bien-pensance en fronçant les sourcils !

Je crains fort que si nous voulons retrouver notre liberté de penser et de dire, il nous faille passer par ce qu’ils appellent l’extrémisme qui ne serait au fond qu’un réflexe de survie.

Nous le devons à tous ceux qui se sont battus pour nos libertés essentielles à commencer par celle de la libre expression.

Je ne sais pas ce que vous en pensez mais j’en ai assez de ces discours raisonnables ou justement il y a plus aucune raison autre que d’abêtir les peuples pour mieux les manipuler.

Au nom des libertés, de l’humanisme, des droits de l’homme, de la lutte contre le racisme. C’est une dictature qui s’installe de fait !

 

Voici un extrait de cette machinerie qui est en place depuis 2003!

Synthèse des propositions du Comité interministériel de lutte contre le racisme et l’antisémitisme (CILRA) par Marc Knobel, chercheur au Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF).

Une réflexion d’ensemble a été lancée par le Ministre de l’Éducation Nationale afin d’établir une progression et une cohérence depuis l’école primaire jusqu’au lycée de toutes les actions qui contribuent à la construction du respect, du vivre ensemble et de la liberté.

Comme c’est joliment dit n’est-ce pas! Mais poursuivons cet extrait:

Le Comité interministériel de lutte contre le racisme et l’antisémitisme (C.I.L.R.A.) a été créé par décret du Président de la République en date du 8 décembre 2003.(Jacques Chirac fût élu à l’Africaine avec 82% des voix.Il a vocation à être l’instance principale de réflexion et de décision concernant cette politique. Présidé par le Premier ministre, il réunit les ministres de l’Intérieur, de la Justice, des Affaires étrangères, des Affaires sociales, de l’Éducation nationale, de la jeunesse et de la ville.

Les autres ministres intéressés par les questions inscrites à l’ordre du jour sont invités à siéger au Comité. […]

Le gouvernement (socialiste) veut créer un module de formation initiale, ou de prise de poste, commun à tous les nouveaux agents de l’État et obligatoire, portant d’une part sur les valeurs de la République, les Droits de l’Homme, la lutte contre les préjugés, d’autre part sur les comportements qui seront attendus d’eux à cet égard dans l’exercice de leurs fonctions. […]

Les initiatives prises par le réseau des 1200 musées de France en matière de lutte contre les préjugés seront répertoriées et utilisées pour favoriser le développement d’actions pédagogiques locales à l’intention des populations d’âge scolaire, en particulier dans les régions manquant de lieux de mémoire. […] 

Des pauvres gosses vont être systématiquement abrutis par un même discours. Quel sera la place des parents dans ce discours « humaniste » et « droit-de-l’hommiste?

(…)

Inciter les établissements d’enseignement supérieur à adhérer à la Charte de la diversité et à s’engager ensuite pour obtenir leur labellisation afin que les étudiants d’aujourd’hui, qui sont les dirigeants de demain, soient formés par l’exemple à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie. […]   Source Fdesouche

Pour mémoire, la RATP a signé cette charte de la diversité et elle se retrouve en plein marasme et ne sait plus comment gérer l’affaire de l’intégrisme musulman de certains de ses salariés embauchés pour justement favoriser la diversité dans ses Centre-Bus.

 

Aujourd’hui, c’est la femme qui est déconsidérée, insultée et accusée.

Gérard Brazon   (Puteaux-Libre)

Qui est Marc Knobel  : source:CRIF http://www.crif.org/fr/auteur/marc-knobel/29883

AVEC L' AMNISTIE DES DÉLITS , DEMAIN, JE SUIS SYNDICALISTE ......

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La dernière de Taubira : amnistie des délits sociaux… de gôche !

On peut se poser la question, tant les décisions de la ministre de la « Justice » ont l’air d’aller à l’encontre du bon sens.

Après sa splendide idée de vider nos prisons (qui étaient déjà, à la base, bien vides, par rapport au nombre de criminels), après son entêtement pour le mariage gay, sa dernière trouvaille est…

L’amnistie des délits, rien de moins !

http://www.rmc.fr/editorial/353742/manifestations-le-senat-adopte-une-proposition-de-loi-damnistie-des-delits/

Attention, pas de tout les délits, nous dit-on, seulement lors des manifestations sociales !

Une nuance qui a l’air importante, mais en réalité, qui ne vaut rien.

C’est quoi, une manifestation sociale ? Grève des fonctionnaires ?

Marche blanche après qu’un criminel se soit fait tué, ou tué lui-même ?

Grève des étudiants, avec des « jeunes » qui s’y mêlent et cassent tout ?

Manifestation contre la tenue d’un colloque du FN ?

Manifestation contre l’ambassade de France pour une raison ou une autre ?

TOUS ces mouvements peuvent être considérés comme sociaux, alors, ou se trouve la limite ? Il n’y en a pas, ou plutôt, il n’y en aura plus. Ah, pardon, si, en réalité, la limite est déjà fixée : cette loi n’aura de valeur que pour les gauchistes, soyons en sur.

 

Car pour tout ce qui concerne « l’extrême droite », vu que, pour nos amis gauchos, ils appellent forcément à la haine, point d’autorisations morales et donc, très certainement, point d’amnistie.

Eh oui, l’amnistie pour les petits délits routiers, c’est fini !

 

Place aux amnisties des casseurs, dealers, voleurs, violeurs et j’en passe !

Vous risquez plus en brûlant un feu rouge (même celui du carrefour vide, la nuit) qu’en brûlant une voiture. Voilà ou nous en sommes.

« Il s’agit, ici, de faire œuvre de justice » nous dit la ministre. Elle se trompe lourdement : elle oublié le mot « ma » dans sa phrase, reprenons : « il s’agit, ici, de faire œuvre de ma justice.  »

Ahhh, c’est déjà mieux, n’est-ce pas ?

Car, honnêtement, qui peut fermer les yeux lors de ces manifestations violentes ? Il est tout à fait possible de manifester sans rien casser ni frapper personne, preuve en est avec de nombreuses manifestations,  dont celle du mariage gay.

 

A l’inverse, quand on voit des salariés prêts à faire sauter l’entreprise

http://www.francetvinfo.fr/video-des-salaries-d-une-fonderie-veulent-faire-exploser-leur-usine_250077.html

ou des agriculteurs causer plus de 200000€ de dégâts

http://www.citizenside.com/fr/photos/politique/2013-02-20/75273/manifestation-d-agriculteurs-250-000-euro-de-degats-a-quimper.html#f=0/665916

Ou menacer de polluer des rivières

http://www.usinenouvelle.com/article/menace-de-pollution-toxique-par-les-salaries-de-l-usine-serta-pres-de-rouen.N116021

Comment peut-on ne pas vouloir les condamner ?

Comment, en toute âme et conscience, prétendre que ces dégâts sont pour une bonne cause ?

C’est absurde. Et va encore plus légitimer les actes des plus en plus nombreux vandales de toute la France.

Car, après les remises de peine, qui nous dit que, lors d’évènements divers et variés, les casseurs n’entrent pas dans le domaine de cette amnistie absurde ?

Que les voitures brûlées seront désormais considérées comme une manifestation sociale et légitime ?

Déjà actuellement, nous faisons face à une recrudescence des délits de toute part, alors, avec cette « loi » en plus…

Le changement, c’est maintenant ! Un slogan, finalement, très vrai. Changement de civilisation, mais aussi, changement des valeurs.

Allez hop, on inverse tout !

Ne nous reste qu’à nous adapter, tiens, je vais de ce pas m’inscrire à la CGT, comme ça, je pourrais me défouler sans crainte pour la prochaine manifestation.

 

Et vive la France orange mécanique ! 

 

Source :      Olivier Pfister       http://ripostelaique.com/la-derniere-de-taubira-amnistie-des-delits-sociaux-de-goche.html

MARSEILLE , PLUS BELLE LA VIE ???

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Marseille : mis en joue à la kalachnikov des policiers répliquent

by jpbacman

Des policiers ont fait feu à plusieurs reprises lundi matin lors d'une intervention sur un cambriolage près de Marseille, après avoir été mis en joue par des malfaiteurs avec une kalachnikov, a indiqué une source proche de l'enquête.

 

L'un des cambrioleurs, âgé d'une vingtaine d'années, originaire des quartiers nord de Marseille et connu de la justice, a été arrêté. 

SUR LE MÊME SUJET :Marseille : écroué pour tentative de meurtre pour avoir foncé sur un policierMarseille : un policier percuté par la voiture d'un malfaiteurMarseille : 800 kg de cannabis et 5 kalachnikov saisis par les policiersIl a été placé en garde à vue à la brigade de répression du banditisme (BRB) de la PJ de Marseille, co-saisie de l'affaire avec la Sûreté départementale.

Les policiers sont intervenus alors qu'une équipe de trois cambrioleurs étaient en train de s'attaquer à l'aide d'une disqueuse thermique à un magasin de meubles sur la commune de Septèmes-les-Vallons (Bouches-du-Rhône).

L'alerte avait été donnée par un fonctionnaire de la BAC de Marseille qui a entendu l'alarme du magasin, selon une source policière.

Une patrouille de la bac d'Aix-en-Provence, qui se trouvait à proximité après plusieurs affaires de magasins attaqués à la disqueuse, est intervenue rapidement.

Deux hommes en fuite, un troisième interpelléLorsqu'ils sont arrivés, un individu masqué et armé d'une kalachnikov a fait mine de tirer sur les forces de l'ordre, entraînant une riposte de deux des policiers, qui ont fait plusieurs fois usage de leur arme.

Après avoir jeté la kalachnikov par terre, le tireur est parvenu à s'enfuir avec un complice à bord d'une berline volée, retrouvée incendiée un peu plus tard avec la disqueuse.

Un troisième homme, qui prenait la fuite à pied, a été interpellé «en douceur», selon la source proche de l'enquête.

Un important dispositif de recherche a été mis en place sous l'autorité du parquet d'Aix.

 

Un automobiliste a peu après été menacé par un individu, soupçonné d'être l'un des fuyards, selon la source policière.

Près du magasin, les policiers ont retrouvé un utilitaire de location utilisé par les malfaiteurs et contenant un canapé.

LE PARISIEN

AVEC " JEUNE BRETAGNE " LE 23 MARS ......

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23 mars 2013 : demandez le programme !

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Dans un peu moins d’un mois maintenant se tiendra à Chartres de Bretagne (à côté de Rennes) un évènement à ne pas rater : le meeting-débat organisé par Jeune Bretagne sur le thème “que faire face à la crise sociale européenne ?”

Pour vous y inscrire, deux solutions : 

Par chèque, à l’ordre de Jeune Bretagne à : jeune bretagne, lieu dit milin coz, 29650 Guerlesquin(bulletin d’inscription ici )

Par Internet, via notre billetterie en ligne , à l’adresse suivante : http://www.weezevent.com/meeting-dbat-que-faire-face-la-crise-sociale-en-europe

Toute personne non inscrite et identifiée au préalable pourra se voir refuser l’entrée. 
Les journalistes souhaitant couvrir l’évènement doivent en faire la demande en nous contactant par téléphone au 06 01 06 08 58 ou par mail : jeune.bretagne@gmail.com

Découvrez en exclusivité ci-dessous le programme de la journée :

Ouverture des portes à 14h.

Début des débats à 14h30.

- Présentation de la journée par Yann Vallerie, de Jeune Bretagne
- Intervention de Padrig Montauzier, de la revue War Raok
- Intervention de Guillaume Faye : “la nouvelle lutte des classes”
- Table ronde “quel syndicalisme pour le 21eme siècle” ? Avec Serge Ayoub, Laurent Legros (syndicaliste breton) et le Mouvement d’Action Sociale (MAS)/


- Présentation du NSV, le syndicat nationaliste flamand

Pause entre 16h30 et 17h

- Présentation de l’association “Entraide Solidarité”
- Présentation du combat de Casapound Italia et de l’ONG “SOLID”, par Xavier Eman
- Table ronde “Europe, France, Bretagne, quel cadre face à la crise sociale” ,avec Ronan Le Gall (Adsav), Pierre Cassen (Riposte Laïque) et Thomas Ferrier (PSUNE)
- Intervention de Richard Roudier, pour le Réseau identités

Synthèse et conclusion de la journée.
Questions-réponses en compagnie de tous les orateurs participants.

19h30 : apéritif et soirée cochon grillé, avec animation musicale

Fermeture des portes à Minuit.

Toute la journée, une buvette ainsi que de nombreux stands seront mis à disposition des participants.

Les enfants auront également le plaisir de découvrir ou redécouvrir les joies de la vie à la campagne.




Site : http://jean-marielebraud.hautetfort.com/
 
Blog : http://pdf.bretagne.over-blog.com/
Mail : pdfbretagne@orange.fr
Tel : 06 65 61 08 62
 

LES " FEMEN " ET LA COHÉRENCE ???

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Une Femen ukrainienne vit de l’écriture d’icônes religieuses !

Une Femen peint des icônes religieuses !Bonjour la cohérence.

 

 Dans le documentaire orienté « Nos seins, nos armes » co-réalisé par Caroline Fourest (elle a le temps vu qu’elle a presque abandonné Prochoix) et diffusé mercredi soir par France 2, Oksana Shachko, une Femen ukrainienne qui projetait auparavant d’entrer au couvent, explique :

« À 15 ans, j’ai quitté mes parents pour m’installer dans un atelier.

Aujourd’hui, je peins toujours des icônes, mais… pour gagner ma vie.

Ce dont je suis fier, ce que je fais pour le bien de mon âme et de ma conscience, pour mon développement personnel, pour m’épanouir, c’est bien sûr mon activité comme activiste Femen. »

Quand on sait qu’une icône est censée être préparée dans le jeûne et la prière, on croit juste rêver.

 

La jolie Oksana Shachko a notamment participé à l’attaque de la manifestation de Civitas le 18 novembre 2012.

Sur son corps, on pouvait lire : « Fuck God »…

Une Femen vit de l'écriture d'icônes religieuses !

Lire aussi :
Femen et prostituée de luxe !

DOSSIER: LE JOURNAL D' UN BONAPARTISTE ........

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Bonaparte, vainqueur de Rousseau et des Bourbons

Coup d'État du 18 Brumaire

Lorsqu’on songe qu’en 1789 il ne s’agissait de rien moins que de donner enfin satisfaction à la longue suite des vœux populaires qui depuis près de huit siècles demandaient, de plus en plus instamment, l’égalité politique à la centralisation du pouvoir, on commence par s’étonner que l’opinion publique, pendant la seconde moitié du XVIII siècle, soit si loin d’appartenir tout entière aux préoccupations politiques.

 

Ce serait en effet une grande erreur de prendre pour de la politique toute la métaphysique humanitaire des philosophes du XVIIIe siècle, quoique cette métaphysique ait en réalité, en fait, gouverné chez nous tous les pouvoirs publics depuis 1789 jusqu’au Consulat.

 

 

Le caractère de la politique est de se modifier et de progresser suivant les circonstances, de tenir compte, avant tout, des lieux et des temps, tandis que c’est le propre de la métaphysique de ne tenir compte ni des temps ni des lieux, de prendre l’idéal d’une époque et d’un pays pour la loi de l’espèce, et de se donner pour absolue.

Faisait-on de la politique à l’Assemblée constituante ? Faisait-on et allait-on faire autre chose que de la métaphysique, quand cette Assemblée préluda aux réformes qu’elle avait à accomplir par la déclaration si connue des droits de l’Homme ?

La politique se fût tout simplement occupée des droits des Français au XVIIIe siècle. Elle n’eût pensé qu’à constater afin de les organiser les aptitudes modernes à l’égalité politique que la France devait à sa préoccupation séculaire de l’autorité centrale.

Quand on voit chez une nation, où depuis près de huit cents ans l’autorité se forme et grandit par et pour la centralisation, les diverses constitutions républicaines, jusqu’au Consulat, s’obstiner cependant à demander les conditions de l’administration du pays, la justice, tout enfin, uniquement à l’initiative électorale de circonscriptions politiques nouvellement établies, c’est-à-dire, à une nouvelle sorte d’esprit de localité, et quand, dans ce système inopinément et si brusquement créé d’une décentralisation en négation de tous les précédents de la patrie, l’autorité centrale, lorsqu’elle est représentée, l’est à peine par quelques envoyés dont le droit se réduit au droit de donner des conseils, les divers auteurs de ces diverses constitutions ne sont-ils pas purement et simplement des métaphysiciens ? En quoi tiennent-ils compte du temps et du lieu ? En quoi cherchent-ils à se faire une force du caractère national et des progrès de notre passé ? Leur espérance, leur foi, est toute entière dans cette doctrine absolue et humanitaire, prêchée dans tous les écrits de l’époque, suivant laquelle la nature tiendrait toujours et partout le citoyen parfait à la disposition de l’homme d‘Etat philosophe qui a besoin de créer une grande nation.

Malheureusement il y a certaines époques où l’inintelligence trop longtemps prolongée des gouvernants finit par créer dans le peuple une telle impatience des droits justement acquis et méconnus, que tous les auxiliaires qui lui viennent en aide, jusqu’aux plus insensés, en arrivent à trouver la popularité et la puissance dans l’impopularité même du pouvoir. Car les doctrines humanitaires de la philosophie du XVIIIème siècle n’ont assurément point trouvé en elles-mêmes la cause et l’origine de leur toute-puissance dans le dernier quart de ce siècle.

Si les Bourbons ne s’étaient obstinés à vouloir maintenir sans aucune raison sérieuse — sans qu’il soit possible de leur trouver une excuse —, les anciennes inégalités féodales dans les privilèges nobiliaires, privilèges désormais sans fonction et sans but, si les Bourbons n’avaient ainsi, à la fois, déshonoré les privilégiés et irrité ceux qui vivaient dans le droit commun, il n’eût à coup sûr point suffi, pendant la seconde moitié du XVIIIème siècle, de prononcer le mot d’égalité pour soulever le peuple contre toute espèce d’autorité, contre toute sorte de classification. D’un autre côté, l’état des esprits ne nous prouve-t-il pas également qu’en 1789 l’opinion publique poursuivait bien moins, dans l’ancienne institution du clergé français, le prêtre catholique, le représentant d’un certain état religieux, du pays, qu’elle ne poursuivait l’un des représentants, l’un des membres de la société féodale ou nobiliaire.

jean jacques rousseau

Jean-Jacques Rousseau

Ce fut donc un spectacle surprenant, que de voir bon nombre d’esprits, parmi ceux qui s’effrayaient le plus des funestes influences des doctrines du XVIIIème siècle, chercher un refuge contre ces doctrines dans le retour des Bourbons, comme si la toute-puissance et la popularité accidentelle des idées de Rousseau et de son école n’avaient pas pour principale origine l’impuissance politique des Bourbons et leur impopularité, dès lors, comme si c’était la cause qui pouvait détruire l’effet !

Quelle que soit, en tout cas, l’origine ou la cause de l’influence exercée par les doctrines humanitaires à la fin du XVIIIème siècle , quel que soit, d’autre part, le plus ou moins d’intelligence et de bon sens pratique des hommes qui veulent, et avec raison, s’opposer à l’action anarchique et dissolvante de ces doctrines, on ne saurait mettre en doute que l’influence des doctrines humanitaires, depuis 1789 jusqu’au Consulat, n’ait été toute-puissante. Ce qui est plus certain encore, c’est que la toute-puissance, sur la politique, de l’école philosophique de Rousseau et des écoles semblables est, pendant dix années, le véritable obstacle au rétablissement de l’ordre, la principale cause de cette anarchie permanente, qui, pour se manifester, tantôt par les violences et les excès, tantôt par l’apathie et le découragement, n’en reste, au fond, pas moins la même sous toutes les constitutions qui précèdent le Consulat.

Par exemple, quand chaque constitution républicaine charge les différentes circonscriptions politiques, récemment instituées, de nommer à tous les emplois des divers degrés de l’administration et de la justice, — c’est-à-dire d’administrer elles-mêmes moralement et matériellement le pays, — qui s’inquiète si ces nouvelles circonscriptions politiques, parfaitement et fort à propos établies pour faire disparaître les derniers restes de l’ancien régime, de l’ancien esprit de localité, réunissent en elles le principe d’une vie nouvelle pour cet autre esprit de localité auquel on va redemander tout ce qui constitue le gouvernement intérieur du pays ? Qui s’était inquiété si le nouvel édifice politique trouvait ou ne trouvait pas un point d’appui dans nos moeurs, en d’autres termes, dans notre passé. Si la manière dont nous avions été gouvernés jusque-là avait pu nous rendre gouvernables pour de pareilles constitutions ? Personne ne songeait à examiner si ces nouvelles circonscriptions politiques, par cela seul qu’elles ne ressortaient pas de notre passé et de l’éducation préalable et indispensable de nos précédents, n’étaient pas radicalement incapables de faire partir l’ordre d’en bas, et seulement propres à le recevoir d’en haut ? Mais, dès lors, comment s’étonnerait-on qu’un système de gouvernement qui se soucie si peu de la réalité des faits, qu’un système de gouvernement par conséquent d’une nature si évidemment métaphysique, nous ait conduit à l’anarchie, à l’absence de toute espèce de gouvernement ?

C’est que tout édifice politique qui est bâti en dehors des précédents d’une nationalité, en dehors de son passé, n’est bâti que sur le vide, bâti pour l’anarchie !

Et, quand chaque constituant était convaincu, comme l’étaient alors , par malheur, tant d’esprits, qu’on n’avait qu’à demander la base de l’ordre aux aptitudes générales de la nature humaine, à nous ne savons quelle sorte de sociabilité absolue où l’on ne trouve point de trace de la patrie, pouvait-on s’attendre à ce que les conditions de l’ordre fussent demandées aux, précédents historiques de la France ? Dans un tel état des esprits, il n’était que trop naturel qu’on crût pouvoir improviser le présent, sans tenir compte du passé. Dans les assemblées d’où sortent les diverses constitutions républicaines, le nom de Rousseau et de Mably est dans toutes les bouches, celui de Montesquieu est à peine prononcé. C’est, en effet, le propre et le caractère distinctif de toutes les tentatives de reconstruction politique de ce temps, de ne demander aucune préparation à nos antiques habitudes de gouvernement. De là, la débilité inhérente à toutes ces constitutions, et leurs chutes successives.

Plus on examine de près la nature des institutions tentées par la République sous ses diverses formes avant le Consulat,—qu’on les envisage dans leur ensemble ou qu’on les étudie dans leurs détails, —plus on s’aperçoit que les divers constituants républicains n’ont pas mieux compris le problème que la Révolution leur avait donné à résoudre, que les Bourbons n’avaient compris ce même problème que leur avaient déjà légué les Valois : organiser la centralisation.

Les Bourbons ont cru qu’ils n’avaient qu’à jouir de la centralisation qui s’était formée sous leurs prédécesseurs, et non à en généraliser et à en régulariser l’action, afin de la rendre de plus en plus juste et féconde. Les constituants républicains se sont imaginés de ressusciter une décentralisation morte depuis deux siècles, sans songer, bien entendu, à lui rendre ce qui l’avait fait vivre de la vie féodale, mais sans songer davantage s’il était possible de faire vivre la décentralisation de la vie de notre démocratie. L’erreur est égale des deux côtés, et même elle allait devenir plus grande du côté de la République, si elle avait duré davantage, si le génie d’un homme extraordinaire n’était venu mettre brusquement fin à un égarement de l’esprit public dont rien de général, avant lui, ne faisait pressentir le terme; car la République avait pour s’instruire l’exemple de la chute des Bourbons, et cela eût été sa condamnation de n’en avoir pas compris la cause.

La Convention et tous les pouvoirs essayés par la Révolution, avant le Consulat, n’ont point, en réalité, eu de politique intérieure. On peut assurer avec la plus grande rigueur que tous ces pouvoirs républicains ne sont grands, et la Convention à leur tète, que par leur politique étrangère. Quand ils empêchent les anciens partis de s’opposer plus longtemps, par leurs tentatives de révolte, à l’avènement de la société nouvelle, ils ne font réellement encore que de la politique étrangère. Par rapport à la société nouvelle, les émigrés et leurs partisans étaient des étrangers. Même sur le sol de la patrie, ce n’était pas là du gouvernement : c’était encore de la guerre ! Et c’est un singulier rapprochement politique que la République et les Bourbons, également inintelligents des besoins nouveaux, n’aient eu ainsi que la même espèce, de grandeur, une grandeur de politique étrangère !

Qu’on remarque bien que l’oeuvre que la Révolution avait à accomplir n’a été comprise, pas même entrevue, d’aucun des hommes politiques qui ont précédé le premier Consul. Dans le nouvel état de choses qui triomphe avec la Révolution, l’ordre devait désormais descendre de l’autorité centrale et cependant, jusqu’à Bonaparte, rien n’est essayé pour organiser l’action de l’autorité centrale, pour en faire descendre la vie nouvelle de la société. Il n’y a réellement de centralisé que la résistance aux étrangers et, à l’intérieur, que la compression des derniers restes de vie de l’ancien régime. On ne demandait donc à la centralisation, c’est-à-dire à tous les précédents de notre histoire comme aux nécessités du présent, que la force dans la lutte et dans la guerre, que le côté accidentel de la situation, et non la vie future dans la paix, l’état permanent de la société nouvelle de la démocratie.

Avant le Consulat, on a combattu la contre-révolution, mais personne n’a gouverné la Révolution, personne n’avait même pensé à se demander ce qu’était la Révolution. Mais comment trouver à cet oubli incroyable de toutes les données historiques du problème qu’on avait à résoudre une autre raison que l’absorption de toute la pensée du XVIIIème siècle par toutes ces considérations de métaphysique absolue, de philosophie humanitaire ? Les doctrines humanitaires ont empêché de voir non-seulement le présent, mais l’histoire de France.

 

Louis XVI

Louis XVI, Roi de France

Nous allons mieux faire comprendre toute la place immense qu’a tenue la philosophie du XVIIIème siècle parmi les causes de trouble jusqu’au Consulat, en montrant comment et pourquoi quelques mois ont pu suffire au Premier Consul pour substituer l’ordre le plus parfait à dix ans de l’anarchie la plus profonde.

En effet, quand Bonaparte, à peine chargé du gouvernement du pays, enlève tout à coup à l’initiative des diverses circonscriptions électorales ce droit dont ces circonscriptions n’avaient su que faire, le droit de nommer à tous les emplois de l’administration comme de la justice et de l’enseignement, Bonaparte  a reconnu combien il suffit peu de tracer sur une carte des circonscriptions politiques d’une certaine grandeur, de réunir un certain nombre d’hommes sur diverses places publiques en face d’une urne électorale, pour qu’il en sorte subitement un nouveau système d’aptitudes politiques.

 

Mais, en reconnaissant qu’il faut des précédents à ces réunions d’hommes pour en faire des assemblées de citoyens, Bonaparte n’a-t-il pas, par cela même, écarté la métaphysique gouvernementale du XVIIIème siècle, mis de côté toutes les illusions trompeuses de la politique de l’homme ?

Et, quand le premier Consul détermine, limite et combine les différentes attributions de ces divers emplois, auxquels va désormais nommer le chef de l’État, quand il harmonise et équilibre leur mode d’action réciproque de façon à créer cette puissante unité française,  Bonaparte ne donne-t-il pas au gouvernement du pays par l’autorité centrale cette organisation, source de justice et de l’égalité moderne, attendue depuis les Valois ?

Mais alors Bonaparte fait-il autre chose que de reprendre l’antique tradition de la politique intérieure de la France, également méconnue par les Bourbons et par la République ? C’est le caractère distinctif de l’action exercée par le futur Empereur, et là est le double secret de la toute-puissance de son génie, que d’écarter ainsi la politique de l’homme pour rentrer dans la politique de la France. Bonaparte gouverne la France comme elle a appris à être gouvernée : voilà pourquoi il la trouve si facile à gouverner.

Mais montrer ainsi comment l’ordre se refait en quelques mois avec une si prodigieuse facilité, n’est ce pas, à un autre point de vue, montrer comment et pourquoi le désordre et l’anarchie s’étaient maintenus pendant dix ans ? Parce que l’on n’a pas séparé avec assez de netteté le côté humanitaire et métaphysique de la Révolution de 89 du côté politique et français de cette Révolution. L’accident dans l’histoire de France, c’est la philosophie humanitaire imposée par les hommes du XVIIIème siècle aux premières institutions que la société-moderne demande à la République, que c’est, au contraire, la loi permanente de l’histoire de France, la vraie tradition nationale, que cette politique de la centralisation que le premier Consul et le futur Empereur relève, alors que depuis deux siècles cette politique est également abandonnée par les Bourbons et par la République.

Mettant à la fois fin à la double impuissance des Bourbons et de la République, le Consulat et l’Empire, la politique napoléonienne, c’est le soleil, après les longs mois d’obscurité d’une nuit polaire, qui reparaît enfin et se remontre le même. C’est la lumière sur le passé et le jour pour l’avenir !

 

Il est bon de rapprocher les trois jugements divers qu’ont portés sur la Révolution française trois hommes, M. de Maistre, Mirabeau, Napoléon. Ces trois jugements contiennent et résument, et surtout peuvent servir à classer, non seulement ce qui a été dit ou écrit, mais tout ce qui peut l’être, sur la Révolution française.

M. de Maistre, dans chaque page qu’il écrit, à la Révolution française constamment en vue pour la combattre, même quand il n’en parle pas. Dans une pittoresque et grandiose expression empruntée aux préoccupations habituelles de sa pensée, et où se reflète tout son génie, M. de Maistre déclare satanique la Révolution française. Il est temps de remarquer que l’illustre écrivain prend pour la Révolution un accident de la Révolution.

Et, en effet, pour qui, se plaçant plus haut que la grande transformation de la fin du XVIIIème siècle et la manière dont elle s’est accomplie, en recherche les causes dans les siècles précédents, il est évident que la Révolution française est tout entière dans ces grandes réformes politiques qui devenaient depuis deux cents ans chaque jour plus indispensables, et qui ont, en quelques mois, substitué avec tant de facilité un ordre nouveau non point au désordre, mais à l’ancienne société. Il n’y a que les esprits superficiels qui croient que l’Empire a trouvé une force passagère à remplacer l’anarchie, qui ne s’aperçoivent pas, au contraire, que la véritable force de l’Empire est une force permanente et qui consiste à remplacer l’ancien régime.

M. de Maistre ne voit dans la Révolution française que les doctrines humanitaires et leur anarchique puissance, jamais le côté politique.

Ce n’est donc pas la Révolution qu’attaque M. de Maistre, ce n’est que son alliée dangereuse, car nous avons déjà fait observer que la philosophie du XVIIIème siècle n’est à la Révolution française qu’une auxiliaire, et une auxiliaire qui pouvait lui porter malheur.

Ce qu’on n’a pas compris et ce qui sera la gloire de M. de Maistre, c’est que M. de Maistre a servi la Révolution et a été utile aux temps nouveaux, en contribuant puissamment à perdre dans l’opinion ce qui n’était pas la Révolution elle-même, et ce qui, loin de là, lui faisait obstacle. Ce côté politique dont ne s’occupe pas M. de Maistre et qu’il semble ne pas soupçonner, Mirabeau lui l’avait vu et jugé avec netteté et supériorité.

Cet homme d’État vit que la Révolution française avait pour but l’alliance de la monarchie et de la démocratie, la centralisation assise sur l’égalité politique de tous. Mais, si aucun des contemporains de Mirabeau ne s’est rendu compte comme lui du but politique de la Révolution, il n’en est pas non plus qui ait confondu plus que lui la politique avec les agitations stériles de la métaphysique. Tous ses discours, tous ses écrits, sont pleins de l’idéologie humanitaire que Bonaparte écarte, tout d’abord, quand il fait l’ordre.

Le jour où les événements auraient mis l’homme d’État à l’oeuvre, ce qui constituait la force de la Révolution et ce qui, pendant dix ans, fit son impuissance, se fût inévitablement livré combat en cette vaste et énergique nature, et l’on se demande qui l’eût emporté de la politique ou de la métaphysique. Une mort prématurée a fait un mystère de l’issue de cette grande lutte.

Voyant le bien, et résolu à en être le serviteur, mais cependant, jusqu’à sa mort, resté l’esclave du mal, Mirabeau avait compris la nécessité de la Révolution française et jugé sa toute-puissance, mais il ne sépare la toute puissance de la Révolution d’aucune de ses faiblesses. M. de Maistre, lui, ne voit que sa faiblesse et ne s’aperçoit pas qu’elle n’est que passagère.

Tout d’abord, ce qui sépare Bonaparte des hommes du XVIIIème siècle, — des plus forts aussi bien que des plus faibles, — ce qui dès les premiers jours révèle Napoléon, c’est que, dès les premiers jours, il traite la Révolution française comme si elle fût toujours restée politique et qu’elle ne se fût jamais mésalliée avec les doctrines humanitaires.

Bonaparte ne combat pas l’idéologie, il l’écarte  et pour le Premier Consul, comme, pour le futur Empereur, il n’y a jamais eu à résoudre que le problème déjà posé depuis deux cents ans, et qui, disait Mirabeau, n’eût pas déplu à Richelieu : organiser l’autorité centrale sur l’égalité politique. La société française apparaît à Napoléon la même, et avec les mêmes besoins politiques, qu’au sortir des Valois.

Car Bonaparte, non-seulement a reconnu l’obstacle, mais il a compris son impuissance et vu qu’il n’était qu’un accident. Quelques jours lui suffisent pour que la société moderne naisse organisée de son gouvernement.

Peu importe que Napoléon réservât aux derniers jours de sa vie, — aux jours de la paix, — ou qu’il voulût laisser à son successeur le soin de fonder ou de compléter les dernières institutions du moderne édifice politique ! On ne comprend point Bonaparte si on ne s’aperçoit pas que la politique étant débarrassée de la métaphysique, en d’autres termes, l’obstacle étant enlevé, le bien est désormais devenu nécessaire, si on ne comprend pas que l’œuvre est commencée de façon à ne pouvoir être détruite, et, dût-elle quelque temps se trouver interrompue, à devoir, tôt ou tard, s’achever.

 

En ne voyant dans 1789 et la Révolution que l’avènement de la cause éternellement française, mais enfin triomphante, de la centralisation du pouvoir et de l’égalité politique de tous, Bonaparte a réuni chacun des progrès de notre passé pour en faire et constituer la force de la société moderne. Il donne, pour mieux dire, il rend à la Révolution l’irrésistible toute-puissance de la nationalité, faisant à la fois aussi vains, dans leur résistance, les métaphysiciens que les émigrés.

Il semble que Bonaparte descend de l’histoire de France et n’a point vécu de son temps, à tel point il est étranger à tous les égarements de l’opinion contemporaine ! On rend mal aussi ce que l’on sent en présence de cette grande figure inattendue, quand on le dit plus grand que son siècle et que ses contemporains.

On dirait plutôt qu’il est d’une autre nature. Mirabeau, M. de Maistre, quand on les oppose, s’éclairent mutuellement. Le premier montre ce qu’il y a d’incomplet dans le second, le second ce qui est resté confus dans le premier.

Quand on les réunit, M. de Maistre et Mirabeau nous apprennent à comprendre Napoléon et la Révolution.

 

David Saforcada

 

 

A propos de l'auteur :

Président de France Bonapartiste, j’ai choisi il y a maintenant 13 ans, de participer à la défense d’une certaine idée de la France en m’engageant en politique et en portant les couleurs du bonapartisme.
Les raisons de cet engagement sont doubles : il y a d’une part l’immense déception de voir mon pays perdre peu à peu ses repères, ses valeurs, s’abandonner sur le chemin du renoncement.
Mais il y a surtout la conviction qu’un engagement politique ne doit jamais perdre de vue qu’il est, avant toute chose, un combat d’idée, une expérience, un sentiment de vie.
 
Source     http://www.lebreviairedespatriotes.fr/2013/03/06/bonaparte-vainqueur-de-rousseau-et-des-bourbons/
 

MARTINE AUBRY SUR LE RASSEMBLEMENT DE L' UOIF À LILLE ???

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06/03/2013

Martine Aubry retourne sa veste sur le rassemblement de l'UOIF à Lille après 10 ans d'amitié

Martine Aubry et Amar Lasfar de l'UOIF, chaque année, c'était ça : 

 "Sans le soutien de Madame Martine AUBRY Maire de LILLE, le lycée[islamique] AVERROES n’aurait pas ouvert ses portes en septembre 2003." Amar Lasfar, communiqué du 13 janvier 2007


3426633133.jpgLe lycée, qui a obtenu son autorisation d'ouverture du Conseil Supérieur de l’Education Nationale le 10 juillet 2003, se trouve au premier étage de la mosquée !  


Lasfar  annonçait alors à la presse « C’est un grand jour pour l’islam de France et la communauté musulmane qui ont fait un grand chemin pour la réussite de ce projet.

Ce lycée est aussi une vitrine, un laboratoire pour l’UOIF. ».L'hebdomadaire Marianne avait enquêté dans son n° 352 (janvier 2004) sur les enseignements dispensés dans l'institution, et avait recueilli des témoignages d'élèves dépités dénonçant le bourrage de crâne qu'ils ont à subir : "Ici, on ne nous parle que du coran et de l'islam à longueur de journée, c'est vrai que je suis musulman mais pas au point de devenir Imâm". 


La journaliste, Ait Aoudia Djaffer, dénonçait dans son article l'état d'esprit de la direction ne cachant pas vouloir faire régner la charia ! 

Enfin, Amar Lasfar fut le principal moteur des manifestations lilloises de janvier 2004 contre la loi sur les port du voile à l'école...

Lire notre article de février 2010: "Hani et Tariq Ramadan dans le Palais municipal de Martine Aubry"

2013

Depuis que nous avons révélé les propos et écrits des conférenciers du rassemblement annuel, dont les orientations radicales de Lasfar, Martine Aubry est obligée de retourner sa veste à cause de la médiatisation de nos révélations:

"Demain au Zénith à Lille, se tient la septième rencontre des musulmans du Nord, organisée par la Ligue islamique du Nord. Martine Aubry, choquée par la présence d’un invité sulfureux qui milite pour le jihad en Israël, ne s’y rendra finalement pas" 


sourceLa Voix du Nord 1er mars2013       http://www.islamisation.fr/archive/2013/03/06/martine-aubry-retourne-sa-veste-sur-le-rassemblement-de-l-uo.html



MALI: LA CONTRE - OFFENSIVE DES ISLAMISTES ....

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Mali. Après le 4e soldat tué, "il faut s'attendre à des mois de combats très durs et à des morts"

Mis à jour le 06/03/2013 | 19:04 , publié le 06/03/2013 | 13:59
Des soldats français patrouillent dans les montagnes de l'Adrar des Ifoghas, dans le nord-est du Mali, le 1er mars 2013.

Des soldats français patrouillent dans les montagnes de l'Adrar des Ifoghas, dans le nord-est du Mali, le 1er mars 2013.

(GHISLAIN MARIETTE / ECPAD)
 
 

Un quatrième soldat français a été tué au Mali

 

Ce brigadier-chef du 68e régiment d’artillerie d’Afrique de La Valbonne (Ain) est mort dans la matinée, mercredi 6 mars,"dans un accrochage avec des groupes terroristes locaux". Il participait à une opération de sécurisation dans l'est du pays, à 100 km de Gao. Son décès a été annoncé par l'Elysée dans un communiqué.

 

Selon l'état-major, quatre militaires maliens ont aussi été blessés au cours de cet accrochage.

François Hollande a "rend[u] hommage au sacrifice de ce militaire qui a accompli avec courage et dévouement sa mission pour libérer le Mali des groupes terroristes." Il a"adress[é] à sa famille et ses proches ses très sincères condoléances et les [a] assur[é] de la pleine solidarité de la Nation".

 

Avant ce soldat, trois autres militaires français ont été tués depuis le début de l'opération Serval au Mali, le 11 janvier : un pilote d'hélicoptère le premier jour de l'intervention, un sous-officier le 19 février et un caporal le 2 mars.

 

Qu'est-ce que ces morts révèlent de la situation sur le terrain ?

 

Francetv info a posé la question à Jean-Marc Tanguy, rédacteur en chef de la revue Raids Aviation et blogueur.

 

 

Francetv info : Le soldat français tué aujourd'hui au Mali est le quatrième depuis le début de l'opération, et le deuxième en moins d'une semaine.

Peut-on dire que le conflit est en train de se durcir ? 

Jean-Marc Tanguy : Il n'y a pas véritablement de nouvelle phase depuis le 17 février et le début de l'offensive dans l'Adrar des Ifoghas [massif montagneux situé dans l'extrême nord-est du Mali].

Il faut bien se rappeler des circonstances des autres militaires français tués, le 11 janvier puis le 19 février et le 2 mars.

A chaque fois, c'est lors de combats durs contre les forces jihadistes que les militaires ont trouvé la mort. Et on ne parle pas des blessés. 

 

 

L'armée française a-t-elle été surprise par cette violence ? Etait-elle bien préparée ? 

L'armée a été plus surprise de progresser aussi vite que par les violences. Elle était bien préparée : elle a pris un mois pour faire venir le matériel avant d'attaquer la phase de combats.

De plus, le mode opératoire des jihadistes n'est pas novateur.

 

C'est un combat de type guérilla, avec des IED, c'est-à-dire des explosifs improvisés.

On assiste à un conflit asymétrique avec, d'un côté, des équipements ultra modernes, et de l'autre, du matériel plus grossier ou parfois pas d'équipement. 

 

 

Selon vous, doit-on s'attendre à des combats plus durs à l'avenir ?

Pour moi, nous ne sommes qu'au début d'un conflit qui va durer des mois. On n'a pas encore neutralisé le tiers des jihadistes situés sur Gao et Tombouctou.

 

Il faut s'attendre à des mois de combats très durs et à des morts, évidemment.

 Le mois de février a été symptomatique car il n'y a pas eu de combats en janvier.

Les jihadistes ont usé de tous les types d'attaques possibles : IED, mines, échange de tirs... 

Surtout, la distance entre les combattants n'a cessé de décroître en février.

Alors qu'il n'y avait pas d'adversaire jusque-là, on est passé à des confrontations sur une centaine de mètres puis à des combats sur une dizaine de mètres seulement.

Mais on n'en est pas encore au corps-à-corps.


A ce moment-là, ce sera bien plus violent que maintenant. 


Propos recueillis par Julie Rasplus

 

Suivez l'évolution de la situation en direct

Source et publication: http://www.francetvinfo.fr/un-quatrieme-soldat-francais-a-ete-tue-au-mali_275199.html

POLÉMIQUE: L' ÉTAT CRITIQUE DE L' ARMÉE FRANCAISE .....

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Info Francetv info : de jeunes officiers dénoncent une gabegie au sein de l'armée

Mis à jour le 06/03/2013 | 15:24 , publié le 06/03/2013 | 12:04
  
 

"Nous, jeunes officiers du mouvement Marc Bloch". Mercredi 6 mars, francetv infopublie une tribune dans laquelle plusieurs officiers de l’armée française, normalement soumis au devoir de réserve, épinglent sévèrement la gestion de la Grande Muette.

Explications.

Qui sont-ils ?

Une dizaine de jeunes lieutenants de l’armée française, issus de divers recrutements et appartenant à différents corps. Ils restent anonymes, car parler de leur métier et de l’armée leur est interdit, devoir de réserve oblige.

 

Mais ils souhaitent interpeller sur "l’état critique de l’armée française", qu’ils ont intégrée il y a en moyenne trois ans.

Ils se réclament de Marc Bloch, historien et gradé de l’armée française qui a écrit en 1940 L’Etrange Défaite, où il décortique les raisons de l’échec français durant la Seconde Guerre mondiale.

Défaite qu’il impute à des dysfonctionnements au plus haut niveau de l’armée.

Que dénoncent-ils ?

De mauvais choix budgétaires

"Aujourd’hui, l’armée française est menacée de déclin", attaquent d’emblée ces jeunes officiers dans leur tribune.

Ils pointent particulièrement la négligence de l’équipement individuel des soldats au profit de grands programmes d’armement.

Et de citer le programme Félin, "censé faire du soldat une sorte de Robocop ou d’inspecteur Gadget", mais qui a "alourdi  d’une dizaine de kilos" les équipements. "Un parachutiste dépense en moyenne 1 600 euros pour son équipement individuel, c’est près d’un mois de salaire",confient-ils à francetv info pour appuyer leur propos. Car le matériel de base fourni par l’armée est loin d’être optimal, comme le révèle ce témoignage publié sur le blog Secret défense.

 

Mais ils épinglent aussi le lobby "du complexe militaro-industriel", qu'ils accusent d'être responsable de certaines des orientations budgétaires qu'ils dénoncent, et auquel le Parlement doit "imposer des choix stratégiques".  


La "gabegie du pyramidage des officiers"

"Des officiers supérieurs sont entretenus dans une inactivité de petits fours", assène le mouvement Marc Bloch.

Dans le viseur : 5  500 généraux officiellement à la retraite, mais maintenus en "2e section".

 Mobilisables par l’armée, ils perçoivent à ce titre "une solde de réserve, dont le montant est équivalent à celui de la pension de retraite, mais qui est fiscalement considérée comme un revenu d'activité". 

Ce qui permet notamment de bénéficier de la déduction de 10% pour frais professionnels dans le calcul de l'impôt sur le revenu selon la loi.

Seule une petite centaine sont rappelés chaque année, tandis que les autres "sont jamais à la retraite, mais tranquilles"note Rue89, qui rappelle que la solde moyenne de ces généraux, hors prime, est de 5 850 euros mensuels.

 

De plus, nombre d’entre eux se reconvertissent dans le privé, et l’Association de défense des droits des militaires dénonçait déjà en 2008 le fait qu’"au mépris de la règlementation et à l’heure des restrictions budgétaires, des généraux cumulent soldes de réserve et solde d’activité".  "Dans le même temps, 35 000 emplois de militaires et sous-officiers sont supprimés, et aucun d’officier", déplorent les signataires de la tribune.

 

Selon une étude de la Cour des comptes reprise par la Fondation iFrap (un think tank français ultralibéral), sur les 22 000 postes supprimés entre 2008 et 2011, seulement six postes d’officiers généraux (toutes armées confondues) étaient concernés.

Ils épinglent également le système de primes, notamment attribuées aux parachutistes, mais dont l’organisation est en passe d’être revue.

 

 Pourquoi parlent-ils ?

S’ils manquent à leur devoir de réserve, "c’est parce que la hiérarchie n’a pas intérêt à dénoncer les abus dont elle bénéficie", confient-ils à francetv info.

Ils assurent dénoncer uniquement des faits qui sont dans le "domaine public", mais sur lesquels l’attention n’est, à leur sens, pas assez portée. Ils s’appuient notamment sur des chiffres de la Cour des comptes, du Conseil supérieur de la fonction militaire ou encore des données largement relayées sur les blogs et forum militaires.

 

Par cette tribune, publiée avant la sortie du Livre blanc de la Défense pour 2014-2019, qui doit être rendu fin mars ou début avril, selon Marianne, ils souhaitent  "interpeller l’opinion publique pour éviter que le recueil ne se trompe, délibérément ou non, de constat"


"Ce sont des faits qui scandalisent toute l’armée", soulignent ces jeunes chefs qui se veulent porte-paroles de leurs troupes.

Que veulent-ils ?

Attirer l’attention de l’opinion publique

"Nous n’avons pas la prétention de tout bouleverser ", affirment-ils.

 

Mais ils cherchent à prendre toute leur place dans un "débat national" qu’ils jugent nécessaire.

Le mouvement Marc Bloch réclame également la création d’une commission parlementaire indépendante afin de réfléchir à toutes les questions qu’il soulève et notamment àrévision des primes et indemnités des militaires.

En guise de signal d’alarme, ils rappellent que le moral de l’armée "est en seuil d’alerte",  selon les mots du chef d’état-major des armées, l’amiral Edouard Guillaud, le 11 juillet 2012.

Montrer que les efforts peuvent venir de l’intérieur

Ils aimeraient "que les pouvoirs publics montrent qu’ils s’intéressent à l’armée en augmentant son budget et en s’occupant de ceux qui la plombent de l’intérieur". Car l’autre objectif de ces jeunes cadres de l’armée est de "montrer que des efforts de l’intérieur sont également possibles".

En effet, au-delà du "manque de moyens donnés à l’armée par l’Etat", ils souhaitent mettre en lumière "le conservatisme des officiers qui empêchent toute réforme d’ampleur".

 

Source et publication : Salomé Legrand       http://www.francetvinfo.fr/info-francetv-info-de-jeunes-officiers-sortent-de-leur-silence-et-denoncent-une-gabegie-au-sein-de-l-armee_274945.html#xtor=EPR-2-[newsletterquotidienne]-20130307-[lesplusenvoyes/titre1]-[]

TRIBUNE LIBRE , LIBRE PROPOS ET POINT DE VUE .......

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MERCREDI 6 MARS 2013

La publicisation d'Internet

 
L'éditeur change de condition avec Internet.
Il passe du médium social, du filtre, vigie des normes de l'édition Gutenberg, au progrès technique, qui rend plus accessible l'édition innovante Internet et technicise l'édition.

Si les réactionnaires de ce milieu, comme Beigbeder en France, se piquent de figer l'édition à son standard donné, en condamnant l'inutilité d'Internet dans ce processus installé, la révolution d'Internet dévoue l'homme aux fonctions typiques de la création, tandis que ses actions mécanistes, propres à l'édition, et que Gutenberg valorise faussement et avec réaction, sont de plus en plus occupées par la machinisation, dont le prototype à venir est le robot, ainsi que l'annonce Asimov. 

L'édition avec Internet se technicise, dans la mesure où la figure de l'éditeur Gutenberg disparaît, en particulier celle qui depuis un siècle a pris une importance prépondérante et paradoxale (parasitaire) sur l'écrivain dans l'écriture.
 L'auteur devient secondaire en ce qu'il est le créateur qui a besoin du choix de l'éditeur; ce qui compte le plus selon les critères oligarchiques, c'est la prééminence sociale, dans laquelle l'importance de l'éditeur prend toute sa valeur.
La technique se trouve au service des fonctions créatrices de l'homme : elle délivre l'écrivain de la fonction professionnelle de l'éditeur et rend l'écriture accessible à tous en potentiel. 
Heidegger est loué par les historiens de la philosophie pour avoir défini la technique comme le royaume de l'étant dénué d'Etre; tandis que la philosophie permettrait de s'adonner à l'activité supérieure de la pensée en contactant la question de l'Etre. Qu'est-ce que l'Etre? Si notre Mohican métaphysique n'a jamais réussi à le définir, il a proposé l'innovation (relative) du Dasein, qui serait l'Etre-là entouré de Néant, une adaptation de l'être fini d'Aristote et de l'Etre miraculeux de Descartes. 

La définition ne lève pas tous les mystères, mais elle permet de rendre compte que Heidegger propose une vision de l'Etre qui détruit le progrès contenu dans la technique, sous prétexte de restaurer l'Etre, conçu comme anti-progressif, au sens où il permane - politiquement anti-progressiste, au sens où Heidegger put un temps louer l'attachement à la terre comme le thème de l'incarnation de l'Etre dans la politique.
Les oligarques de tous poils tentent d'arrêter le progrès à leur stade, pour mieux l'annexer à leur profit. Heidegger ne fait que reprendre le parti d'Aristote, qui voulait stopper le progrès scientifique et technique à son propre stade, en annonçant la fin de la philosophie et des savoirs. Heidegger entend l'Etre comme l'aspect figé du Dasein. Si on voit mal pourquoi il serait nimbé de Néant, il est entendu comme Être figé - d'autant plus Être qu'il est figé. 

Dans cette logique, l'étant est inférieur à l'Etre, en ce qu'il est soumis au progrès et au changement : ce qui importe est la permanence, constante tant des transcendantalistes que des nihilistes.
 La proximité provisoire de Heidegger avec le nazisme s'explique parce que sa pensée rejoint l'idéologie nazie quant au refus du progrès technique - chez Heidegger, dans une vision de l'Etre qui ne peut être permanent que parce qu'il affronte la violence, qu'il perdure grâce à cette violence.
L'oligarchie conçoit le réel comme le lieu du miracle ultrasélectif et élitiste de l'être, qui légitime la domination comme l'expression du miracle provisoire et chancelant, foncièrement inexplicable.
L'écrivain devient à partir du monothéisme le relais individué de la parole prophétique. Son annexion par l'éditeur est prévisible, à partir du moment où l'on considère en termes sociaux cette relation. Selon les critères religieux, l'éditeur est le passeur, le médium de l'écrivain, et l'écrivain est le bras - écrit - de l'homme religieux, pas seulement du prophète, en particulier depuis la Renaissance et l'apparition d'Internet. L'inversion du régime éditorial dans le schéma actuel ne peut qu'établir la prise de pouvoir oligarchique, selon laquelle la voix qui compte est celle de l'éditeur, au point que beaucoup des écrivains qui brillent occupent des fonctions éditoriales.
Le stade Gutenberg se trouve figé selon cette mentalité, comme s'il incarnait la fin de l'édition, tandis que le progrès d'Internet se trouve dénié :
- au nom de ses défauts, nombreux dans tout progrès; 
- dans le refus de considérer Internet autrement que comme le prolongement de Gutenberg.
Le progrès que permet Internet par rapport à Gutenberg consiste à simplifier l'opération de l'édition, de la transformer en fonction technique, rendant obsolète l'importance professionnelle et sociale qu'avait prise la personne de l'éditeur de la fin du vingtième siècle.

On assiste à la révolution Internet comme changement paradigmatique de l'édition, qui affecte l'écriture : celle-ci devient la voix plus importante que l'individu qui la porte, l'écrivain.
Le format de Gutenberg se révèle dès le départ élitiste, quoique progressiste par rapport au passé, lui de plus en plus anonyme, bientôt oligarchique et au service de la voix des plus forts.
Dans le format Gutenberg, l'individu est plus important que les idées qu'il porte, bien que l'individuation permet de mieux porter les idées et de mieux les relayer. Il tourne en principe pervers de l'individualisme avec l'évolution prévisible de Gutenberg, selon laquelle l'individu vaut plus que les idées, jusqu'à devenir la norme dominante, quasi exclusive. Internet rend possible le passage à l'écrivain secondaire, anonyme, dont la personne est normale, alors qu'il peut porter des idées qui elles auront une valeur importante, passant à la postérité. 
 

Le romantisme n'est pas qu'un mouvement qui prend la pose et exprime le sentimentalisme (le beau étant placé au service du snobisme). Il exprime la dégradation de l'idée, qui ne peut avoir de valeur que si elle est portée par un individu éminent, non plus en tant qu'il serait doté de grande intelligence, mais en tant qu'il sombre dans le maniérisme, à la manière des snobs et des dandys. L'individualisme implique la dégradation qualitative de la création chez l'individu, dans le moment où l'individualisme fait décroître l'individualisation. 

L'auteur Internet change de l'auteur fin de cycle Gutenberg, en ce qu'au dandy imbus de lui-même, frivole, qu'un Beigbeder pourrait incarner, succède l'écrivain qui est garant du progrès contenu dans Internet. L'écrivain de mouture Internet n'est pas un individu éminent, au sens social.
Ce n'est pas davantage quelqu'un qui aurait connu une gloire sociale, dont le médiatique incarnerait la réactualisation technique. On observe une rupture en ce moment : l'écrivain Gutenberg fin de cycle devient une star, un people, avec ce que ces termes de franglais comportent d'oligarchique et de mièvre, tandis que l'émergence de l'écrivain Internet porte des valeurs plus tournées vers la valeur durative.
L'écrivain Gutenberg fin de cycle accorde d'autant moins d'importance à la durée de ses idées (leur valeur) qu'il vit dans le culte de son individualité, tourné vers la précellence de l'individualisme. Si l'on continue à interpréter l'image de l'artiste porteur de la création des valeurs depuis la Renaissance, l'artiste remplace le prophète, avec l'avènement de valeurs comme l'humanisme, qui placent l'homme au centre de l'agencement social, plus encore que culturel ou artistique.
L'individualité est tenue de rencontrer le succès pour vérifier que ses idées présentent de la valeur. 
Dans la littérature, on finit par adouber la décrépitude, telle qu'elle se produit à l'heure actuelle, dans la mesure où l'artiste accéderait dans l'inégalitarisme à son rang, social, de précellence, en envisageant la finalité de la littérature dans sa personne, via le désir d'inspiration et de définition spinozistes, avec en point final l'autofiction, pour remplacer le vide identitaire et théorique par la narration du désir. Les éditeurs influents essayent de promouvoir cette Renaissance 2.0, qui accentuerait le processus initial d'individuation par la promotion accrue du désir (jusqu'à l'individualisme). 
Le changement instillé par Internet dépasse cette conception de l'artiste en fin d'ère Gutenberg. La rupture entre Gutenberg et Internet pourrait passer, selon les critères de Gutenberg, pour de la dépréciation qualitative (c'est le point de vue émis par les éditeurs influents, comme Beigbeder, d'où leur critique réactionnaire et dépassée d'Internet) : l'individu compris comme individualisme perd en importance dans l'expression Internet (dont l'écriture). Avec la technicisation du vecteur éditorial, avec la disparition de l'éditeur Gutenberg de la fonction éditoriale, l'auteur subit une transformation qui lui est bénéfique, dans la mesure où il perd ses rêves de glorification élitiste et où il gagne en lieu et place la promotion des idées qu'il porte. 
L'individu gagne, parce que les idées sont prises en compte. Dans lapeoplisation et la starification de l'artiste, ce dernier, comblé d'honneurs, pourrait sembler s'y retrouver. Sous prétexte de se voir rétribué pour ses mérites insignes de créateur méritant en cas de succès la reconnaissance sociale et financière, il verse dans la mentalité libérale la plus ultra/néo, qui consiste à adouber l'oligarchie du fait de l'élitisme dont il est le produit. Les Beigbeder et consorts ne sont plus grand chose d'un point de vue littéraire, parce qu'ils jouent un jeu social et qu'ils tiennent la domination sociale en tant que fin de l'existence, devant la littérature (en attestent leur soutien de principe à la VO, qui est la version des plus forts, et leur rapport à l'autofiction).
La frivolité se transforme en vacuité fondamentale : les écrivains de l'ère fin Gutenberg constituent les représentants de leur(s) éditeur(s), au sens où la création est inférieure à la domination intellectuelle. L'artiste Internet gagne à se départir de la gloriole individualiste en faisant de son individualité le héraut des idées qu'il contribue à charrier et dont il n'est pas l'auteur, mais le relais. Les idées sont des processus, dépassant les corps qui les promeuvent et qui n'atteignent ce statut que si les individus (au sens corporel entendu par Spinoza) perdent la glorification sociale à laquelle les meilleurs sont promis dans le statut Gutenberg. 
Pour échapper à la dégénérescence finale, l'artiste détient la solution : le progrès Internet. Les idées deviennent plus riches et pérennes si elles perdent en individualisme : sans quoi, l'individu qui les porte se sert au passage et les prive de leur qualité transpersonnelleL'individualisation des idées depuis le monothéisme, avec son renforcement depuis la Renaissance, aboutit à la paupérisation des idées individualistes lors de la fin de course du modèle, du fait qu'elles se trouvent rattachées à tel ou tel auteur. 
Un grand écrivain porte de nouvelles idées en lui. Dans le moment où il apporte ces nouvelles idées à ses contemporains et à ceux qui suivent, il aboutit à ce que leur portée soit ralentie par le prisme de sa personnalité : la déperdition qualitative est importante. Internet la résout, en proposant des idées prioritaires aux auteurs, en faisant en sorte que les énonciateurs soient au service des idées, tandis que dans le format Gutenberg, les idées se trouvent au service des artistes, et finissent, en particulier dans une connotation financière, par se trouver confisquées par les éditeurs, dont l'objectif est de les accorder aux modes dominantes et à la loi du plus fort intellectuelle. 
Les idées valent plus que les individus qui les portent. Elles sont viables sur le long terme si elles épousent un format supérieur à Gutenberg, qui leur accorde une profondeur supérieure, comme l'invention technique délivre une puissance supérieure. L'éditeur constitue le parasite principal de la création, notamment dans l'écriture, à partir du moment où il commercialise l'activité artistique - et où il en fait autant une source de revenus qu'un prestige social et un instrument de domination.
Alors que la décrépitude de Gutenberg manifeste dans ce domaine significatif et central la crise par la privatisation du domaine public, l'avènement d'Internet signale le changement de l'expression le plus important depuis le transcendantalisme : le domaine privé devient public. La crise est résolue par le dépassement de Gutenberg - vers Internet. La transformation du statut de l'écrivain favorise l'amélioration des idées. Loin du génie de la Renaissance, élitiste et vigoureux à ses débuts, loin de son successeur romantique, angoissé portant des idées trop lourdes à assumer, l'artiste peut vivre dans la normalité existentielle tout en se confrontant à des idées qui ne lui appartiennent plus. 
Le recours aux drogues et les comportements pathologiques aboutissent à la caricature de l'artiste, selon laquelle un génie est un égotiste excentrique, décalé et bizarre, qui accoucherait de ses oeuvres dans des transes et qui manifesterait un comportement inexplicable, voire condamnable. Mozart symbolise cette propension à définir le génie depuis un demi siècle, tout comme Rimbaud. 
La publicisation d'Internet s'oppose à la publicité. Elle tend à faire de tout individu le porteur potentiel des idées, dont la portée est publique, tout en rendant à l'individu usuellement créatif et enfin reconnu comme tel, loin de l'élitisme Gutenberg, sa normalité privée/individuelle. La distinction empêche que se développe le déséquilibre personnel. Si le privé n'existe plus dans le statut contemporain, avec des germes contemporains, ce n'est pas pour verser dans le voyeurisme typique de la téléréalité, selon lequel le privé s'exhibe, grâce au truchement technique des médias Gutenberg.
La publicité s'opposerait à la publicisation, comme modification du statut de l'individu et des lignes privé/public. On mesure l'importance de l'innovation Internet à ce constat : l'individu perd son rôle d'individualité finaliste, sur la fin individualiste, portant des idées trop lourdes pour son corps et son désir; il devient un individu, dont le but créatif est de transmettre l'idée, pas de l'incarner et de la bloquer.
L'idée vaut plus que l'individu : le processus dépasse l'incarnation physique. Voilà qui empêche les utopies d'idée-fin, le rêve fixe de la métaphysique depuis Aristote d'arrêter la pensée à son stade.

Le progrès émet l'idée novatrice selon laquelle le réel est un tissu malléable et extensible, qui se trouve réduit, voire caricaturé, quand il est assimilé à un point, un stade, une arrivée.


 

L' ÉDITO DE CYRANO !LA NÉCESSAIRE DÉSISLAMISATION DE LA FRANCE !

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EDITO DE CYRANO

Osons envisager la nécessaire désislamisation de la France

Couverture reconquista V2En deux articles, Christine Tasin a déchaîné les passions, surBoulevard Voltaire. Elle a commencé à expliquer pourquoi, selon elle, la France ne pourrait pas faire autrement que d’interdire un jour le Coran sur son territoire.

http://www.bvoltaire.fr/christinetasin/il-va-falloir-interdire-le-coran-en-france,12768

Sommée amicalement d’expliquer, dans ce cas, ce qu’elle ferait des musulmans, la présidente de Résistance républicaine n’a pas fui la question, et a proposé un deuxième texte, complétant le premier.

Résumé : ils doivent choisir entre la République et l’Islam, et, s’ils préfèrent le second, aller vivre dans un des 57 pays musulmans où la charia s’applique au quotidien.

L’article a fait un véritable malheur, et figure aujourd’hui dans les trois premiers papiers les plus lus de l’histoire de Boulevard Voltaire.

http://www.bvoltaire.fr/christinetasin/que-faire-des-musulmans-une-fois-le-coran-interdit,13185

René Marchand, dans la conclusion de son dernier livre édité parRiposte LaïqueReconquista ou Mort de l’Europe, pose les véritables enjeux : « Aux Européens de prendre les dispositions au plus tôt pour éviter que la tragédie ne se déclenche ou, si elle survenait, qu’elle ne se conclue pas à leur détriment ». 

 

C’est ni plus ni moins ce qu’il explique dans cette deuxième partie d’interview accordée à Christine Tasin.

http://www.youtube.com/watch?v=Wve6WFf2ymg

Les derniers sondages publiés montrent que, majoritairement, notre peuple a compris la nature du péril qui nous guette… même si cela n’empêche pas nombre de Français de voter pour ceux qui favorisent l’implantation de l’islam sur notre territoire.

C’est pourquoi le pleutre Valls n’a qu’une réponse : montrer que l’islam est compatible avec la République, la preuve, Chalghoumi !

Quant au servile Pujadas, il a décidé qu’il fallait montrer les égorgeurs sous un angle plus sympathique, à la télévision, et que finalement ses confrères étaient responsables du rejet massif de l’islam par nos compatriotes.

Pourtant, les choses sont de plus en plus évidentes : il ne peut y avoir de cohabitation harmonieuse entre un islam expansionniste et notre République laïque. L’un devra vaincre l’autre.

C’est ce qu’explique Christine Tasin, sur Boulevard Voltaire, et René Marchand, dans son dernier livre de 390 pages. C’est ce que développaient les authentiques marxistes, quand ils affirmaient que le pouvoir révolutionnaire et le pouvoir bourgeois, qui se faisaient face lors d’affrontements sociaux, ne pouvaient cohabiter durablement, et que l’un devrait vaincre l’autre.

Bref, quand c’est Besancenot qui le dit, c’est la lutte des classes, quand c’est Riposte Laïque, c’est de l’incitation à la haine ! Pourtant, osons faire l’effort d’imaginer ce que serait une France sans la présence menaçante de l’islam.

- Nous ne serions plus agressés par la vue des voiles, parfois intégraux malgré la loi, qui sont un uniforme de guerre des petites soldates de l’islam contre nos valeurs occidentales, et notamment l’égalité hommes-femmes.

Le silence des collabos féministes (à l’exception d’Anne Zelensky et de trop rares résistantes) devant cette tenue sexiste et raciste est accablant.

- Nous ne serions plus agressés par les barbes islamistes, et les kamis, qui sont une autre manière de porter un uniforme de guerre, et de pérorer, souvent d’une manière menaçante, sur notre territoire.

- Nous ne subirions plus la colonisation alimentaire, par le halal, qui a imposé ses rituels barbares dans plus de la moitié des abattoirs français, faisant courir à nos populations un risque sanitaire autrement plus important que l’histoire du cheval roumain, sans minimiser l’ampleur de ce dernier scandale alimentaire.

Nous n’aurions plus à faire face, dans les entreprises et les écoles, aux éternelles revendications communautaristes sur le halal, dans nos cantines.

- Nous ne subirions plus l’offensive quotidienne, dans des milliers de villes, d’organisations musulmanes multipliant menaces et intimidations auprès d’élus pour obtenir leur mosquée.

 

Faut-il rappeler aux naïfs qui comparent mosquées et églises les propos du premier ministre turc Erdogan : Les mosquées sont nos casernes, les coupoles nos casques, les minarets nos baïonnettes et les croyants nos soldats.

- Nous ne subirions pas, dans nos entreprises et notre quotidien, durant un mois dans l’année, le stupide et obscurantiste ramadan, qui, au-delà des risques médicaux, perturbe gravement la vie de nos entreprises, et de certains quartiers, sans parler des écoles.

A la RATP et dans nombre d’entreprises où on pratique la discrimination positive, nous ne verrions plus des fanatiques insulter et menacer leurs collègues femmes.

- Nous ne verrions plus, dans nos hôpitaux, des médecins se faire agresser parce qu’hommes osant examiner une femme. Nous ne verrions plus, comme à La Salpétrière, des menus affichés sans porc.

- Nous ne subirions plus les insultes des rappeurs haineux prônant ouvertement le meurtre de nos policiers, et pas davantage les propos racistes d’Houria Bouteldja et de ses Indigènes, admirateurs d’un Hamas qui ne cache pas sa volonté d’anéantir Israël et d’exterminer les Juifs, ce que justifie le Coran.

- Nous ne verrions plus les remarquables Malika Sorel, Pascal Hilout, Hamdane Ammar, Salem Bennamar, Ahmed Ghlamallah, Leila Syam et des milliers de nés-musulmans, émancipés de l’islam, vivre sous la menace des agents de l’étranger que sont les Ramadan, Moussaoui et autres Boubakeur.

 

Que dire de cette description quotidienne de la vie sous la charia, dans cette nouvelle vidéo exclusive où Guy Sauvage interroge un responsable de la Ligue Tunisienne des Droits de l’Homme ?

https://www.youtube.com/watch?v=fxwxS1Pv_3k

Mais surtout, nous ne connaîtrions plus la peur quotidienne d’une agression gratuite, souvent violente, parfois mortelle, de voyous racistes que l’islamophile Alain Soral appelle lui-même les islamo-racailles, que toute la clique politico-médiatique cherche à nier, alors qu’elles constituent quotidiennement des actes de guerre contre la France et nos compatriotes.

Certes, tous les délinquants ne sont pas musulmans, et, fort heureusement, tous les musulmans ne sont pas délinquants.

Mais il suffit de passer un après-midi au tribunal, pour vérifier, malgré l’interdiction des statistiques ethniques, que l’islam est majoritaire dans les prisons, et que, alors qu’ils ne représentent que 10 à 15 % de la population française, ses ressortissants sont ceux qui agressent sauvagement et gratuitement, dans la majorité des cas, des ressortissants au profil européen.

Cela n’a-t-il vraiment aucun rapport avec le jihad que doit mener tout musulman digne de ce nom sur un territoire qui n’est pas encore terre d’islam (dar el islam) mais terre de guerre (dar el harb) ? Bien sûr que si.

Bien évidemment, tout est bon pour empêcher de proférer ces évidences.

Le succès du livre « France Orange Mécanique » est un camouflet pour la clique politico-médiatique.

Les commissaires politiques gauchos de Médiapart, déguisés en journalistes, cherchent à faire passer Laurent Obertone pour un racialiste d’extrême droite.

On ne juge même pas le contenu de son livre, on cherche à salir l’auteur, par des moyens de basse police qui ont fait la spécificité de Plenel.

 Caroline Alamachère démontre, avec une plume qui lui vaut nombre d’admirateurs, le lynchage dont fut victime ce jeune journaliste de 28 ans sur le plateau de Ruquier, et le conditionnement du public contre le « méchant ».

Cela ne change rien, son livre est de plus en plus lu, car il correspond à une vérité.

De même, les islamo-collabos faussaires de l’anti-racisme ont beau multiplier menaces et procédures juridiques, cela ne change rien, notre site, et d’autres qui osent parler de l’islam avec des mots justes, sont de plus en plus lus. A ce sujet, nous communiquerons dans les prochains jours sur la situation des procès en cours, quand des dernières incertitudes auront été levées.

Nous osons dire que ce double drame que connaît notre pays,ensauvagement et islamisation, n’est possible qu’à cause des traitres, de droite et surtout de gauche, islamo-collabos et immigrationnistes fous qui, en trente ans, ont, par une implantation massive d’une nouvelle population sans intégration, en période de chômage de masse, gravement menacé la vie quotidienne de millions de nos compatriotes, dans un pays où il y avait tout pour être heureux.

Nous osons dire de ces traitres qu’ils sont les héritiers de ceux qui, il y a soixante-dix ans, ont livré la France à un autre type d’occupant, comme le rappellent férocement Eric Zemmour ou Michel Onfray, et ont collaboré avec lui sans vergogne, avant de jouer ensuite les grands résistants.

Dans le dernier chapitre, René propose, concernant ceux-ci : « Les collabos de l’islam pendant la guerre par la taqiyya où à l’occasion d’actions violentes auront à rendre des comptes devant la justice.

La suppression des droits civiques, la déchéance de la nationalité, la saisie des biens, figureront au nombre des sanctions prévues par la loi. »

Concernant les nés-musulmans, là aussi, le discours est très clair : « Les biens acquis avec le concours de fonds étrangers pendant la période de guerre seront nationalisés ».

 Eh oui, il n’y a pas que Montebourg qui parle de nationalisation, un terme que l’islamo-collabo européiste Mélenchon n’ose même plus utiliser !

René et Christine proposent une stratégie qui a le mérite de la clarté. Ils expliquent, sans haine, pourquoi il faudra interdire l’islam sur notre territoire, et imposer aux nés-musulmans un choix clair, entre la France et l’Islam.

Et, quitte à faire hurler les bien-pensants, ils affirment qu’on ne peut être musulman et Français.

Mais n’est-ce pas Hassan II lui-même qui, devant Anne Sinclair héberluée, affirmait déjà la même chose ? Donc, soyons clair, ceux qui voudront rester musulmans devront rejoindre un des 57 pays de l’OCI.

Christine, à la fin de son article, se permettait un petit rappel historique : « Bien sûr enfin, on nous dira qu’il y a trop de citoyens concernés.

Et qu’on ne peut expulser des gens présents depuis si longtemps en France, avec la nationalité du pays.

À ceux-là, nous répondrons qu’en 1962, on a fait partir d’Algérie plus de 10 % de sa population, dont la plus grande partie n’avait plus aucun contact avec la France depuis plusieurs générations.

À notre connaissance, c’est loin d’être le cas de nombreux musulmans qui vont en vacances, tous les ans, « au pays ».

Nous pensons que ces questions, posées par l’ouvrage de René Marchand et les articles de Christine, sont incontournables.

Elles doivent être tranchées par le débat démocratique, et par le peuple de France, et certainement devant les tribunaux. Zemmour, Naulleau et Ruquier oseront-ils inviter l’auteur sur leurs plateaux de télévision, eux qui ont fait venir Laurent Obertone ?

Les chroniqueurs du Tout-Paris qui se sont déchirés sur l’histoire de cul entre DSK et Iacub oseront-ils parler de ce livre, eux qui ont tu la première marche contre le fascisme islamique du 10 novembre dernier ?

Marine Le Pen, qui a fait courageusement la promotion de France Orange Mécanique, et qui a repris les campagnes sur les prières de rue et la halalisation de la France, recommandera-t-elle cet ouvrage aux Français et à ses militants ?…

En tout cas, René Marchand est prêt à répondre à toutes les sollicitations… mais, lucides, nous comptons d’abord sur nos réseaux pour faire en sorte que ce livre, de salubrité publique, ait le succès qu’il mérite.

 

Nous sollicitons avant tout sur nos militants de province pour organiser toutes les conférences, apéros saucisson-pinard, banquets républicains ou autres permettant à nos compatriotes d’écouter l’auteur.

 

Première étape, le samedi 16 mars, à Paris, à 16 heures…

POUR COMMANDER RECONQUISTA OU MORT DE L’EUROPE

Vous pouvez adresser un chèque de 19 euros, frais de port compris, (promotion de lancement jusqu’au 10 mars) à l’ordre de Riposte Laïque, à l’adresse suivante : Riposte Laïque, BP 10001, 78570 Chanteloup-les-Vignes.

Vous pouvez également le commander par paypal, en cliquant sur le lien suivant :

http://ripostelaique.com/acheter-nos-livres/

AGENDA DE RL

Samedi 16 mars, à 16 heures, à Paris : conférence-dédicace de René Marchand (adresse à venir).

 

Samedi 23 mars : Que faire face à la crise sociale européenne ?

Journée-débat organisée par Jeune Bretagne, à Chartres de Bretagne (Rennes).

A 17 heures, intervention de Pierre Cassen, dans un débat : « Europe, France, Bretagne, que faire face à la crise sociale ? », avec Ronan Le Gall (Adsav) et Thomas Ferrier (PSUNE).

 

Samedi 6 avril : Banquet républicain en Corse, avec Christine Tasinet Pierre Cassen. Pour les détails, menu et inscription, cliquer ici.

Samedi 20 avril : apéro saucisson-pinard, en Aquitaine, dans les Pyrénées Atlantiques.

Rendez-vous à quelques kilomètres d’Orthez à 17 heures pour une conférence-débat animée par Pierre Cassen et Christine Tasin, suivie d’un apéro saucisson-pinard.

Le thème de la conférence sera précisé ultérieurement, en fonction de l’actualité et de l’évolution de la Résistance.

Inscription obligatoire, merci d’envoyer un chèque de 10 euros (5 euros pour les chômeurs et étudiants) à Résistance républicaine, 101 Avenue du Général Leclerc, 75685 Paris Cedex 14 , en spécifiant bien courriel et téléphone pour communication de l’adresse, avant le 31 mars.

 

LA MARMITE VA PÉTER ! TRIBUNE LIBRE ,LIBRE PROPOS ......

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C'est à lire, pour ne jamais dire je ne savais pas.



La marmite va péter

Dans un style très peu littéraire mais d'autant plus réaliste voici un cri du coeur de Michel Samissoff ancien compère de Jean Roucasse :


Des erreurs, on en fait tous.

Moi, ma dernière, c'est d'écrire cet article.


Avant se fut de mettre une vidéo sur les massacres des chrétiens partout dans le monde sur Facebook (vidéo prise d'ailleurs sur un autre « mur »).

Cette vidéo suscite plusieurs commentaires, mais aucun ne passe. Censure !


Alors, comme toute cette hypocrisie ambiante me semble de plus en plus insupportable, je vais vous faire part de mes réflexions.


Je vais vous parler des Arabes et des noirs ... Deux erreurs fatales !


Dans notre monde "politiquement correct " (c'est-à-dire complètement faux cul), il ne faut pas dire "Arabe", ou "noir": ce sont des gros mots, des mots interdits qui sont pourtant dans le dictionnaire . Mais on préfère "black", ou "beur", ou "maghrébin".


Attention à " reubeu", Florent Pagny s'en souvient... Bref: on ne doit pas appeler un chat un chat, c'est tabou, même si on ne sait pas trop pourquoi.


Il n'y a pas que dans ce sujet que l'imbécillité brille. Vous savez bien, Coluche nous a fait rire en disant les choses ... On ne dit pas une "caissière", mais une hôtesse de caisse !

On ne dit pas un infirme, mais un handicapé (ensuite on est passé à "personne à mobilité réduite") et il ajoutait: " On ne va plus dire un con, on va dire un non-comprenant".


La société civile s'est complètement embourbée dans son pseudo humanisme à deux balles. Je reviens une seconde à Florent Pagny.

Je le connais assez bien, on se croise de temps en temps, on a fait plusieurs émissions et déplacements ensemble. Je ne crois pas qu'il soit raciste, il a juste exprimé un ressentiment ambiant. Il a dit en gros : " Mes enfants vont étudier à Miami, je n'ai pas envie qu'ils viennent en France pour parler "reubeu"". Après tout, c'est un avis et il devrait avoir le droit de l exprimer.

Mais non ! Aussitôt, plainte de "SOS racisme", plainte de la Licra , menaces physiques téléphoniques, boycott de Pagny sur plusieurs radios, etc. C'est curieux, non ?


Dans le même temps, des humoristes font passer le Pape pour un demeuré, pour un légume ou même, quand ils ne sont pas trop bien renseignés sur sa biographie, pour un nazi.
Taper sur le Pape, sur l'église, sur les Juifs (un peu plus prudemment quand même), Tout cela est de bon ton. Mais oser émettre une critique sur un Arabe ou un noir, c'est tabou. Celui qui ose se fait massacrer immédiatement.


A l'époque, Bernard Tapie avait dit de son goal Joseph-Antoine Bell que c'était un con.

Bell avait répondu : "Tapie dit cela parce qu'il est raciste et que je suis noir"... Tapie avait conclu: " je ne dis pas qu'il est con parce qu'il est noir, je dis qu'il est con parce qu'il est con."


Je vais tenter de vous démontrer aussi comment on "truque" les statistiques .

Actuellement, dans les prisons françaises, huit détenus sur dix sont des Ara ....

Pardon des maghrébins. Tout le monde le sait, enfin, si vous ne le saviez pas, c'est fait. Et le Ministère de l'Intérieur le sait encore mieux que les autres. Pourtant (suivez-moi bien), les statistiques officielles d'état parlent de moins de 2% d'étrangers détenus.Pourquoi ?

Et bien pour une raison toute simple (et vraie en plus) : ces arabes qui remplissent les prisons ont tous une carte d'identité Française, donc ils sont Français comme les autres, donc ils n'apparaissent pas dans les statistiques, et voilà !

Alors après cela, si je dis que dans nos prisons c'est comme au bled, qu'ils exigent leur nourriture "hallal" etc.. Que les détenus (rares) Français doivent raser les murs et sont en réel danger physique, je suppose que je suis un horrible facho...


Tenez: un autre scoop pendant que j'y suis, dont personne n'a été informé : le 11 novembre, sur le plateau du Larzac, des militaires qui gardaient un dépôt de munitions ont été attaqués à balles réelles par des ... Oui, vous avez deviné. Il y a eu un blessé parmi ces gens, un soldat a pris un impact sur son gilet pare-balles.

Vous n'en saurez rien. Pourquoi ? Parce que tout le monde sait, nos politiques en tête, que la marmite va péter, mais il faut que ce soit le plus tard possible.

Alors on repousse l'échéance en espérant que ça tombera sur la gueule de nos enfants.



Il y a quelques années, un économiste avait avancé la drôle d'idée : supprimer le RMI, devenu RSA : les experts ont répondu très vite : en cas de suppression du RMI, les banlieues descendent dans la rue, c'est la guerre civile. On a rangé cette idée. Je parle des banlieues: ce sont maintenant des zones de non-droits. La police n'y pénètre plus : il est plus facile de verbaliser avec des radars au bord des routes.


Une anecdote : tous les ascenseurs d'une cité étaient détruits ; les vieilles maghrébines montaient 5 ou 6 étages à pied avec leur panier. Les ascenseurs détruits par leurs propres enfants ou petits enfants. La compagnie d'ascenseurs a changé tous leurs appareils, flambants neufs.

Quatre heures après leur livraison, ils étaient détruits et les mères et grand-mères de ces "djeun's" baissent la tête et prennent comme d'hab les escaliers avec leur panier plein ...
J'en vois déjà qui vont me répondre: "Oui, mais ces pauvres petits jeunes gens sympathiques, il faudrait leur trouver un travail, ce serait formidable pour eux !" Jusqu'où peut-on être aussi aveugle !

L'intégration !! Je vois à la télé des émissions d'une impudeur incroyable.

Pour parler d'intégration, on invite en général, comme je l'ai vu dernièrement, un brillant chirurgien d'origine algérienne, un sénégalais polytechnicien et une française femme de ménage (je vous jure que c'est vrai!) et on vous dit: L'intégration est complètement réussie.


Mais enfin, qui va dire que pour un brillant chirurgien ou un excellent ingénieur il y a des millions d'autres inadaptables, inadaptés à notre système social. Pourquoi cette malhonnêteté intellectuelle ? Pourquoi ? Parce que, rappelez-vous: la marmite...Il ne faut pas soulever le couvercle sinon elle va péter.


Cela dit, il y a des musulmans intégrés, c'est vrai, et je les respecte. Mais ils ne sont pas nombreux car la plupart ne le veulent pas.

J ai vécu dans beaucoup d'endroits. J'ai recompté : j'ai fait 43 déménagements dans des villes de France et dans quelques autres pays. Je suis né au Maroc, j'ai grandi un peu en Afrique, j'étais en Algérie pendant la "guerre" (enfant), à Djibouti, à La Réunion , à Miami, bref... j'ai pas mal bougé et je crois avoir quelques notions de géopolitique.

Pour rester dans la France "intra-muros", j'ai habité le nord (Lens, Hénin-Liétard devenu Hénin-Beaumont) où j'ai vu l'immigration polonaise, russe, slave en général.

Ces populations se sont parfaitement intégrées en une demi - génération. Au sud, j'ai habité Saint-Raphaël et Marseille, j'y ai vécu l'immigration des espagnols, des portugais, des italiens...Parfaitement intégrés, fiers d'être français et reconnaissants envers leur pays d accueil.
Les " Noirs " s'intègrent, mais plus difficilement.


Mais où veux-je en venir? A la phrase qui tue: les musulmans ne s'intègrent pas.

On peut hurler, vitupérer, critiquer, me traiter de ce que vous voudrez mais voilà : les musulmans, donc grosso modo les arabes ne s'intègrent pas.

Comme je l'ai dit plus haut, ils ne le veulent pas; ils veulent apporter leur civilisation moyenâgeuse ici. Oh! Je sais bien la réponse de certains. "Cet amalgame n'est pas supportable"


C'est si facile de ne pas se mouiller. Pour ceux qui s 'intéressent à l'histoire, rappelez- vous du retour de Chamberlain de son entrevue avec Hitler, agitant son traité de paix avec l'Allemagne. Pathétique, il n'avait rien vu venir. Ou le retour au Bourget de Daladier, lui avait compris qui disait : "Ah les cons !" alors qu'il se faisait ovationner par une foule de Français qui, eux, n'avaient rien compris à ce qui allait leur tomber sur la tête...

L'histoire se répète invariablement avec les mêmes niaiseries.


On pourra aussi me dire que la civilisation arabe a été une grande civilisation. C'est pas tout à fait exact: ils ont amené au monde une part (modeste) des mathématiques, une certaine poésie et un peu de médecine. Mais il y a un sacré bémol : cette civilisation n'a plus évolué depuis le 12ème siècle et nous sommes au 21ème. Le compteur est resté bloqué depuis. Qu'on me montre une voiture de marque Arabe !


Autre chose: on peut me dire que ces gens sont venus surtout à la fin des années 60 et que ce sont aussi eux qui ont reconstruits la France d'après-guerre, qu'ils ont aussi contribué à construire nos maisons, nos rues, nos immeubles... C'est exact. Mais quand un pays a besoin de main d'oeuvre, il la prend, quand il n'en n'a plus besoin, il la renvoie. Ne bondissez pas, cela a un nom: ça s'appelle la raison d'état.


La raison d'état, ce n'est pas une personne avec un coeur, c'est un protocole. On ne fait pas un pays avec des assistantes sociales, on le fait par la raison d'état, c'est d'ailleurs étudié dans toutes les facs.


Je vais vous parler quelques instants du système de protection sociale et de santé. Bien entendu, je vais commencer par dire ce qu'il ne faut pas dire: 80% des consultations hospitalières sont le fait de maghrébins.


Un plaisantin pourrait me dire que c'est parce qu'ils n'ont pas les moyens d'aller dans des cliniques privées. Pourquoi pas ? N'empêche que si vous allez par curiosité dans les urgences vous serez effarés. Pourquoi ? Parce que c'est gratuit. Elles sont ainsi devenues, non pas un endroit d'urgence mais un banal lieu de consultation. Alors si le petit Mohamed tousse, au urgences.
Vous savez, je parle des choses quand je connais. Quand je ne connais pas, je me tais. Il se trouve que je suis (entre autre) kiné et que j'ai fait quelques années en hosto. Ce que je vous décris, je l'ai vu et revu et tous les mois, ça s'amplifie.


Pour aller vite, je vous passe bien sûr les médecins qui se font tabasser parce qu'ils "touchent" une femme musulmane, que ces gens font des scandales à répétition quand ils doivent attendre trop longtemps, etc... Les autres attendent stoïquement, eux ils foutent le bordel partout, c'est comme ça...


  Alors me direz- vous, où ça va tout ça? Il faut se risquer à faire de la prospective. Au point où j'en suis! Je pense que cela va aller très mal (la marmite !). Je suis pessimiste, mais lucide: ça compensera avec ceux qui se cachent les yeux.


  On a vu les Balkans, la Serbie chrétienne asservie par l' islam. C'est le chaudron central de l'Europe, vous verrez qu'on va encore en entendre parler.


  La Grande-Bretagne envahie par les intégristes musulmans, la Belgique submergée. La France compte 10 millions de musulmans (et non pas 4,5). Savez- vous quel est le prénom le plus donné dans les maternités ? C'est Kévin, Mohamed n'est que le deuxième.
Quand la fameuse marmite va sauter, ce sera une guerre civile, entre « français ». Les banlieues qui descendent dans les villes, les gardes mobiles qui chargent, l'armée, les morts par milliers ...


Je vois encore bondir quelques-uns d'entre vous : quel défaitiste ! La France , terre d'accueil, des droits de l'homme . Je connais: ça fait 25 ans que vous vous gargarisez d'utopie.
Pourtant, comme vous, je préférerais décrire un monde fraternel, d'égalité, où tout le monde s'aime et patati et patata. Vous avez su vous en contenter depuis trente ans, il n'y a pas de raison de ne pas continuer, pas vrai?


Et puis on peut me dire aussi : « Eh bien puisque tu es si fort, dis-nous comment il faut faire, malin ?... Et oui, c'est embêtant: je n'ai pas de réponse.
Je suppose qu'il aurait fallu stopper net cette immigration dès les années 60/70 Un peu tard maintenant, hein ?
Pour tout vous dire, je pense que nous allons vers la fin de notre civilisation. L'histoire du monde est un balancier : à toi, à moi.


Comme les Romains à Capoue, nous nous vautrons dans notre confort et nous n'entendons pas les Barbares à nos portes ou pis encore, à l'intérieur même de notre pays.
Si vous saviez comme j'aimerais me tromper ! Nos enfants nous jugeront. "Ils n'ont rien vu venir, ces cons!".


Pour conclure, je vous dirai bien sûr comme tous les bons fachos que j'ai de bons copains arabes, juifs, noirs, athées, homos et tout ce que vous voudrez.

Soyez gentils d'avoir l'intelligence de penser que je ne veux tuer personne.

Je ne suis pas nazi, ni SS, ni ultra ce que vous voudrez.


Mon métier c'est de soigner tous mes frères humains

. A mon avis, cet article ne va pas rester bien longtemps sur mon mur.

Voilà: à vous de juger... Suis-je un horrible raciste?

C'est vous qui voyez.


Merci de m'avoir lu...


Merci Monsieur SAMISSOFF

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