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APRÈS LE MARIAGE POUR TOUS , L' EUTHANASIE POUR TOUS !

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Potence gratuite : merci du cadeau, par Pierre Pétrus

 

Nouveau droit des Français : après le mariage pour tous, l’euthanasie pour tous.

Quand vont-ils s’arrêter ?

 

Il y à des jours où l’on préfère ne s’être jamais levé, celui-là doit être l’un deux.


Déjà, quelle drôle d’idée de lire la propa… presse écrite de si bon matin ; c’est comme agoniser et demander un surplus de souffrance.


Surtout si c’est Le Point que l’on tient entre ses mains.

C’est le genre de magazine qui a le pouvoir de vous donner la nausée rien qu’en regardant sa couverture. [Magazine qui, au passage, a le mérite immense d'avoir Franz-Olivier Giesbert comme directeur de la publication.

Grand homme, fervent patriote pur souche et proche du peuple, comme chacun le sait...]

Dessin satirique

Bref. Quoi de beau au menu de l’actualité cette semaine ?

Un joli cadeau gouvernemental : l’euthanasie fait un pas de plus vers la légalité. Apparemment, ça serait un « progrès social », si si. C’est marqué dans Le Point, alors ça doit forcément être vrai.

Enfin, je parle d’euthanasie, mais officiellement il n’en est rien. Il s’agit de « proposer une sédation terminale aux personnes en fin de vie« .

 

Vous saisissez la nuance ? Non ? C’est normal, c’est juste qu’il n’y en a aucune. Mais ça fait toujours mieux dans les gros titres et ça permet de ne pas trop choquer le lecteur, tout en le préparant psychologiquement à accepter d’être mené à l’abattoir.

Et puis, de toute façon, le gouvernement socialiste essaye d’éviter les mots qui possèdent une terminaison en « -nasie », cela nous rappelle « lézeurléplussombredenotristoire ».

 

L’article en lui-même pourrait être un sketch de qualité exceptionnelle, mais gardez vos rictus pour vous, il est présenté comme une dépêche journalistique sérieuse.

On vous explique que les médecins vont bientôt pouvoir vous abattre comme un vieux cabot une fois identifié comme improductif, et que c’est un droit supplémentaire à notre disposition.

Jolie pirouette, n’est – ce – pas ? Car, dans la logique des cerveaux grippés du Capital, nous ne sommes plus êtres humains, mais des facteurs de production ! Nous ne sommes plus constitués de chair et d’os, mais de compétitivité et de rapport de production.

Conclusion : une fois la date de péremption dépassée, direction la poubelle !


Nous serions en droit d’espérer une vie meilleure, mais on nous offre qu’un droit à la mort ; maigre compensation. A moins que ce soit le gouvernement qui préfère nous voir aller sagement vers le cercueil, craignant que les désoeuvrés ne se rebellent dans les rues plutôt que dans les cliniques. Allez savoir …

 

Pourtant, Jacques Attali, autre grand humaniste prolétaire généreux ô combien respectable [NDLR : rayer les mentions inutiles], nous avait prévenu.

Essayez de ne pas pouffer de rire : « l’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figure.

Dans une logique socialiste, pour commencer, le problème se pose comme suit : la logique socialiste c’est la liberté et la liberté fondamentale c’est le suicide ; en conséquence, le droit au suicide direct ou indirect est donc une valeur absolue dans ce type de société.

Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. Je pense donc que l’euthanasie, qu’elle soit une valeur de liberté ou une marchandise, sera une des règles de la société future. » (1)

Jacques Attali, en plein dîner-débat

 

Défions ce visionnaire, né en 1943, et qui prévoyait l’euthanasie des personnes âgées de 60/65 ans, de mettre en pratique sur lui-même ses théories délirantes. Montre-nous la voie Jacques, chiche ?

 

(1) extrait de l’interview de M. Jacques Attali publié par Michel Salomon dans son livre « l’Avenir de la Vie » (Segher éd.). page 274-275


http://www.propagandes.info/blog/potence-gratuite-merci-du-cadeau-par-pierre-petrus/



MARSEILLE , PLUS BELLE LA VIE ???

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Altercation mortelle à Marseille : la famille de la victime appelle au calme

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 Le policier placé en garde en vue aujourd’hui après la mort d’un fumeur de cannabis de 19 ans au cours de la nuit à Marseille, était « en état alcoolisé », a affirmé le préfet de police, en précisant que l’IGPN était saisie.

 

Le gardien de la paix a été interpellé à son domicile vers 2h30 du matin, « avec un taux d’alcoolémie qui n’a pas encore été déterminé », a précisé Jean-Paul Bonnetain, au cours d’une conférence de presse à l’hôtel de police.

 

Les faits se sont déroulés aux environs de minuit dans une épicerie du quartier du port de commerce, où une altercation entre le policier et un groupe de jeunes fumeurs de cannabis a viré au drame.

 

Le fonctionnaire de 39 ans, qui travaille au sein, du groupe de soutien de proximité (GSP) mais n’était pas en service cette nuit, « avait fait l’objet de bonnes appréciations » mais avait eu « au cours de sa vie professionnelle des hauts et des bas en terme de santé », a souligné le préfet de police.

 

Il avait néanmoins été déclaré apte selon une appréciation médicale, a ajouté M. Bonnetain.

Le fonctionnaire avait le droit d’avoir son arme chez lui mais il n’était pas censé l’avoir au moment des faits puisqu’il n’était pas en service, a déclaré le directeur de la sécurité départementale de la Sécurité publique (DDSP), Pierre-Marie Bourniquel, au cours de la conférence de presse.

Interrogé sur le fait que le policier aurait été condamné dans les années 90 pour port illégal d’arme, le préfet de police a répondu qu’il n’avait « aucune information à donner ».

Le jeune homme décédé était quant à lui « défavorablement connu des des services de police », a ajouté M. Bourniquel.

Selon une source proche de l’enquête, la victime, originaire de la cité sensible Félix-Pyat, avait été condamnée notamment pour des vols et des infractions à la législation sur les stupéfiants.

 

L’enquête a été confiée à la PJ par le parquet de Marseille, le volet administratif ayant été transmis à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN).

 

 

Mise à jour : 11h02

Un fonctionnaire de police de 39 ans est en cours d’audition dans les locaux de la police judiciaire après le décès d’un homme de 19 ans cette nuit peu après minuit dans une épicerie de l’avenue Roger Salengro (13015).

Selon les premiers éléments de l’enquête, le policier, hors service, aurait eu une première altercation avec la victime à l’intérieur du commerce. Il aurait reproché au jeune homme de fumer un joint dans l’épicerie.

Vexé, le garçon est parti avant de revenir dans l’établissement avec deux autres personnes.

 

 

La victime connue des services de police

Se sentant menacé, le fonctionnaire aurait alors sorti son arme, avant de faire feu, touchant la victime à la fesse. Paniqués, les amis du jeune homme ont ensuite conduit le blessé à l’hôpital Desbief avec leur véhicule, où il a succombé d’un arrêt cardiaque.

 

Les causes précises de la mort ne sont pas établies pour l’instant. L’auteur du coup de feu, gardien de la paix, connaissait bien les lieux, étant domicilié à proximité. 


La victime était connue des services de police pour plusieurs délits, dont des vols.


Mise à jour 18h26.  Après le drame qui s’est déroulé la nuit dernière dans une épicerie de l’avenue Roger-Salengro à Marseille, où, à la suite d’une altercation, un policier en état d’ébriété a mortellement blessé un jeune de 19 ans originaire de la cité Félix-Pyat, la famille de la victime s’est indignée qu’un fonctionnaire « alcoolisé et en dehors de ses heures de service ait pu ainsi se servir de son arme ».

 

« Mon frère était quelqu’un de respectueux. Il n’était pas armé et n’avait rien demandé.

 

Il a juste réagi quand un homme visiblement saoul lui a ordonné d’éteindre sa cigarette alors que l’épicier ne demandait rien », s’insurge Karim, le frère du jeune homme décédé.

Et de demander que la justice « fasse honnêtement son travail » et que le policier « soit lourdement condamné ».

 

Avant d’appeler les jeunes de la cité « au calme ». « Il faut attendre la suite et ne pas faire n’importe quoi », a-t-il conclu.

http://www.laprovence.com/article/actualites/altercation-mortelle-a-marseille-la-famille-de-la-victime-appelle-au-calme

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gaïa pour www.Dreuz.info



mdr :)
 

L' UDCC EN ACTION.......

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A la suite de la réaction officielle de l’UDCC auprès du préfet du Val de Marne et du maire de Vitry sur Seine visant à faire interdire un salon musulman discriminatoire dénommé « un jour pour sœurs », la Mairie a fait fermer par la Préfecture la salle qui devait abriter l’évènement.

Renseignements pris, la Mairie, au lieu de faire son travail et d’interdire cette manifestation délictueuse (pour cause de discrimination sexuelle à l’entrée, règle de la charia oblige) et de poursuivre ses organisateurs au nom de l’article 225-1 et suivants du code pénal comme demandé par l’UDCC, a simplement fermé la salle de réception pour de vagues raisons de sécurité. 


Le même évènement ayant déjà lieu l’année dernière au même endroit, on reste un peu dubitatif sur la raison évoquée par la Mairie… qui ressemble beaucoup à une dérobade.

L’UDCC ayant précisé qu’elle avait l’intention de venir faire constater avec huissier de justice le caractère délictueux du « filtrage sexuel et religieux » de l’évènement, il est probable que la Mairie de Vitry a voulu éviter de se retrouver dans la situation embarrassante d’avoir toléré, alors que cela lui avait été signalé, un évènement violant ouvertement la loi.

L’organisation musulmane récidiviste a-t-elle reçu l’interdiction d’organiser l’édition 2013 de son salon discriminatoire interdit aux hommes pour cause de charia ?

Manifestement pas puisque le site Mejliss publie une mise à jour prévenantd’un simple changement de lieu .

Notons au passage la disparition de « l’entrainement militaire » présente sur la première affiche au profit de « sport intensif ».

Le caractère discriminatoire (« journée 100% féminine ») est par contre très clairement conservé. 

A défaut de respecter la loi française, les règles de la charia sont strictement appliquées, c’est déjà ça…

Les organisateurs de la « Journée pour sœurs » qui n’ont manifestement pas étés contactés par la Préfecture – qui a pourtant reçu notre courrier avec AR demandant l’interdiction l’évènement – ont simplement décidé de changer de ville.

Adieu Vitry-sur-Seine, bonjour Villeneuve-le-roi !

Nous ne nous laisserons bien sur pas abuser par un déplacement de quelques kilomètres.

La loi française s’applique aussi à Villeneuve-le-Roi, n’en déplaise à nos amis les organisateurs.

Venir avec un huissier à Villeneuve-le-Roi visiter le Salons du Riyad ne nous pose aucun problème, pratiquer une discrimination pour raison sexuelle ou religieuse à l’entrée d’un lieu recevant du public reste puni de 75 000€ et de 5 ans de prison là bas aussi. 

Nous allons également demander à rencontrer en urgence le maire de la ville, M. Didier Gonzales afin de lui expliquer ce qui risque de se passer sur sa commune si aucune mesure de préservation de l’Ordre Public n’est prise.

 

 L’UDCC en coordination avec les Comités de Vigilance Républicaines (CVR) vous demande de participer à cette opération de prévention de la délinquance liée à une tentative d’application de la charia:

Nous vous invitons à demander, courtoisement,  à M. Didier Gonzales, maire de Villeneuve-le-Roi, s’il compte autoriser une tentative d’application (partielle) de la charia  dans sa commune au détriment de la loi française.

Mairie de Villeneuve-le-Roi : 01.49.61.42.42

 Vous pouvez aussi demander, de manière également courtoise,  à l’entreprise qui héberge l’évènement si il elle est avertie des conséquences de son éventuelle complicité à une violation des lois françaises sur la discrimination.

 

Arguments juridiques:

*art 40-1 du code de procédure pénale :

« Toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l’exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d’un crime ou d’un délit est tenu d’en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs »

** art 434-1 du code pénal :

« la non-dénonciation d’un crime dont il est encore possible de prévenir ou de limiter les effets constitue un délit »

 

Entreprise hébergeant « Une Journée pour Sœurs »

SALON LE RIYAD
52 rue Raoul Delattre
94290 VILLENEUVE LE ROI

Tel : 06.28.81.97.33 ou  01.45.97.35.06

 

 

Si vous désirez participer à de futures actions anti-charia près de chez vous, contactez-nous dès aujourd’hui :

 

Union de Défense des Citoyens et contribuables : udcc.fr@gmail.com

Comités de Vigilance Républicaine : secretariat@comites-vigilance-republique.fr



Source:    http://udcc.fr/2013/02/15/action-assos-salafiste-delogee-et-se-replie-enfoncons-le-clou/

DENIERS PUBLICS : LE MODÉLE ALLEMAND !

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Puisque la FRANCE , prend toujours l'Allemagne en exemple et que nos hommes politiques nous parlent sans cesse du modèle allemand,
QUELQUES PRÉCISIONS...
 
France
Allemagne
Gouvernement
1 Président de la République
+ 1 Premier Ministre
+ 25 Ministres
+ 9 Secrétaires d'état
> > > > > > > > > > >> 
> > >> TOTAL :36
1 Chancelier(e) + 8 ministres
TOTAL :9
Coût d’un ministre
17 millionsd'Euros par an
 
le soir après le" boulot"
A Paris, le 1er Ministre se détend dans son logis de fonction(310m²) à Matignon tandis que ses collègues regagnent en limousines les hôtels particuliers que la République met généreusement à leur disposition
Angela MERCKEL rentre dans son appartement, dont elle paie le loyer, les factures d'eau et d'électricité.. Comme chacun de ses 8 ministres
Personnel
906personnes travaillent
à la Présidence de la République
A peu près 300 personnes en Allemagne
Parc auto
Élysée :
121 véhicules
Chancellerie :
37 véhicules
Déplacements
1 «Airbus A330-200
2 « Falcon 7X
2 « Falcon 900 2 « Falcon 50
3 Hélicoptères  Super Puma  etc. ....
Systématiquement en train ou sur des lignes aériennes régulières
Salaire
Président de la République
21 026 €
Angela MERKEL 15 830 €
Budget
l’Élysée culmine à
113 000 000€.
Chancellerie
36 400 000 €
On commence...... quand... Messieurs les hommes politiques ?
Moi je suis pour qu'on copie les idées, surtout si elles sont bonnes....
(pour notre économie)
                           AU LIEU DE TAXER LES RETRAITÉS AYANT TRAVAILLÉ
PLUS DE 40 HEURES PAR SEMAINE ET COTISÉ PENDANT PLUS DE 40 ANS. 
 
 
Merci Jacques

JOHNNY : SUITE DU FEUILLETON " DANS MES YEUX "

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Le Point.fr - Publié le 15/02/2013 à 16:52 - Modifié le 16/02/2013 à 11:20

L'ancienne femme de Johnny, blessée par des passages de son autobiographie "Dans mes yeux", répond à l'auteur, Amanda Sthers.

Dignement, mais sans détour.

Adeline Blondieau, l'ex-femme de Johnny Hallyday, règle ses comptes avec Amanda Sthers, qui a écrit son autobiographie "Dans mes yeux".

Adeline Blondieau, l'ex-femme de Johnny Hallyday, règle ses comptes avec Amanda Sthers, qui a écrit son autobiographie "Dans mes yeux". © Montage Le Point.fr

 
 

Les femmes humiliées ne pardonnent jamais.

En lisant la biographie de Johnny Hallyday, son ex-mari, Adeline Blondieau est tombée de l'armoire ! Se faire traiter de "Marie couche-toi" devant toute laFrance, c'est un peu fort. Surtout quand la femme bafouée mène désormais une vie paisible et "bourgeoise" loin du star-système et de ses feux de paille. Respectueusement, sans rancune ni violence, Adeline expose à Amanda Sthers sa vérité, ses doutes et ses certitudes. Ses doutes quant à la paternité des propos qui sont prêtés à Johnny Hallyday, comme Le Point.fr s'en était enquis le jour de la sortie de Dans mes yeux. Ses certitudes, car, malgré deux mariages et deux divorces, l'histoire que le couple Adeline-Johnny a vécue est belle, pure et limpide. Qu'il est inutile de la dénaturer, de la caricaturer, de la dévoyer, de la ridiculiser vingt ans plus tard. Sa vérité dont il faut faire autant de cas que celle des auteurs du livre incriminé...

Cette lettre est celle qu'une mère de famille adresse à une autre mère de famille... C'est une belle missive raisonnable et bien écrite. Elle mérite attention et considération. Toutes les (demi-)vérités sont-elles bonnes à dire ou à écrire ? Pas sûr...


Chère Madame,

Jamais je n'aurais cru devoir un jour vous écrire publiquement pour parler littérature. Mais les circonstances en ont décidé autrement. Vous vous faites, aujourd'hui, d'une plume assez gracieuse d'ailleurs, la porte-parole des "souvenirs" de Johnny. Vous me donnez dans cet ouvrage une place particulière, tant par la violence des passages qui me sont consacrés que par l'espace que j'y occupe, presque deux pages édifiantes. Quant à ma place dans vos bonnes feuilles, j'y fais à mes yeux figure d'intrus parmi de grandes personnalités... C'est beaucoup d'importance, finalement. Mais ces mots, "ses mots" sont-ils la vérité ? Vous n'en avez manifestement cure. "Qu'importe", écrivez-vous d'ailleurs dans la préface de cet ouvrage. Qu'importe ? Avez-vous mesuré, Madame, en écrivant, la violence de la description que vous vous permettez de faire de moi ? Avez-vous réfléchi au mal qu'ils pouvaient nous faire, à mes enfants, à ma famille et à moi-même ?

Je reprends vos mots : "Elle débarquait chaque nuit pour jouer avec le feu que j'étais." Savez-vous, Madame, que vous évoquez ici une adolescente de 14 ans, qui naïvement avait pris pour un amour fou, un amour extraordinaire, le jeu d'un adulte de 43 ans. Vous êtes-vous demandé, qui de lui ou de moi rejoignait l'autre dans sa chambre, dans le silence de la nuit, quand l'alcool avait fait son effet ? Ce n'était pas moi. À 14 ans encore vierge, je ne représentais à mon avis pas un grand danger pour un homme ayant vécu sa vie. Dès cette époque, il me parlait de notre amour fou, et c'est parce qu'il ne pouvait en être autrement que quelques années plus tard, l'été de mes 18 ans, j'ai accepté sa demande en mariage. J'ai aimé cet homme plus que tout, au point de croire que je le sortirais du démon de la boisson. Naïve, oui vraiment ! Qui des deux, entre une star du rock telle que lui et une jeune bachelière qui se préparait à entrer à la Sorbonne devrait-on prendre pour le plus manipulateur ? C'est à la fois prêter une bien grande maturité à la jeune fille amoureuse que j'étais et un talent pour la manipulation que je ne pense pas avoir confirmé par la suite.

Pourtant, je reste persuadée encore aujourd'hui qu'il y a eu un amour réciproque, même si, hors norme, certainement. On n'épouse pas deux fois un serpent... Depuis mon second divorce d'avec Johnny, je me suis reconstruite. J'ai cicatrisé. J'ai mené une vie qui n'a pas fait trop de vagues. Je ne suis pas une habituée des scandales et préfère la discrétion. Je crois n'avoir jamais manqué de respect à mon ex-mari, ces histoires-là, à mon goût ne regardaient que nous.

Je sais, Madame, que vous écrivez aussi pour les enfants, vous leur avez consacré quelques ouvrages, traitant notamment des peines et douleurs comme la séparation des parents. Je sais, pour les avoir lus, que vous avez écrit ces textes en pensant à vos propres enfants. En écrirez-vous un, Madame, pour consoler les miens du mal que peut leur faire une telle salissure ? C'est donc à l'auteure, à la femme et à la mère de famille que je m'adresse ici.

À l'auteure, parce que, à l'inverse du roman, les mémoires ne peuvent se permettre la désinvolture et l'approximation, surtout quand il s'agit de choses aussi graves. À la femme, car je crois savoir que l'adultère et la perversion ne sont pas des sujets qui vous font rire et qu'entre femmes, ou ex-femmes de personnes publiques, nous pouvions nous attendre à un peu plus de solidarité. À la mère enfin, car je ne peux croire qu'une mère ne soit pas sensible à la peine d'un enfant. Sachez, Madame, que les miens auront toujours du mal à subir un tel acharnement. Si comme le mien, vos fils rentraient un jour de l'école en vous disant qu'on les a traités de fils de pute, qu'on les a menacés et qu'ils ont peur d'y retourner, comment le vivriez-vous ? Pour ma part, je le vis mal. Comment expliquer à mon fils qu'il faut serrer les dents et attendre que cela passe ? Et que dirai-je à ma petite fille quand elle sera en âge de comprendre ? Qu'on a finalement le droit de bafouer l'honneur d'une mère sans se soucier des répercussions que cela aura sur ses enfants ?

Alors je leur dirai qu'il y a des rencontres merveilleuses et d'autres qui vous laissent un goût amer pour la vie. Je leur dirai encore qu'il faut se méfier des gens et que certaines malveillances sont tenaces et destructrices. Je leur dirai enfin que parfois les gens se réinventent leur histoire pour avoir le bon rôle. La notoriété donne un immense pouvoir (de nuisance en l'occurrence). Elle donne aussi des responsabilités. On ne peut impunément ignorer l'impact de tels propos (les insultes des fans qui prennent tous ses mots pour parole d'évangile, le regard de tous ces Français dont il est à jamais l'idole) et laisser ensuite les gens se débrouiller avec les conséquences de sa propre inconséquence.

Adeline Blondieau

 

 

ET AUSSI

 

Le Point.fr - Publié le12/02/2013 à 10:02

Face à la tempête médiatique, le rocker multiplie les interviews pour atténuer les attaques lancées dans son autobiographie. Pas sûr qu'il évite les procès.

Johnny Hallyday

Johnny Hallyday© AFP

Après avoir allumé le feu dans sa nouvelle autobiographie, Johnny Hallyday change de registre et joue désormais la modération en avançant deux types d'arguments classiques : tout cela n'est pas bien méchant, dit-il en substance et, surtout, ce sont les perfides journalistes qui attisent la polémique...

Première salve jeudi 7 février : le jour de la sortie de Dans mes yeux, le rocker donne une interview au Parisien/Aujourd'hui en France où il tente de s'expliquer et de désamorcer les critiques sur les proches et les ex-copains, relayées dans la presse depuis 24 heures. "C'est des réflexions sur des choses que je pense, des clins d'oeil, précise-t-il. C'est pas méchant." 

Henri Salvador qualifié de "vieux con" ? "Vous imaginez ce que peut ressentir un môme de 16 ans sur scène pour la première fois qui se fait insulter par une star comme Henri Salvador dans la salle ? J'étais en pleurs à la sortie. Vous croyez que c'est gentil, ça ?

C'est quelque chose que je ne ferai pas à des jeunes d'aujourd'hui." 

Michel Sardou traité de "vieux con réac" ? "Ce qu'il a dit sur ma fille ne m'a pas plu. Il ne faut surtout pas attaquer mes enfants." Quand on lui fait remarquer qu'il n'est pas vraiment tendre avec son propre fils, David, il précise que cela ne remet pas en cause son talent : "Il n'en a pas bavé, insiste-t-il.

Quand j'ai commencé, on dormait à cinq dans une chambre de 10 m2..." Des regrets ? "Non, parce que ce sont des choses que je pense", reconnaît-il.

Et tant pis s'il se fâche avec des proches : "S'ils ne sont pas assez intelligents pour comprendre, c'est que cela ne valait pas le coup d'être amis..."

"J'ai voulu être méchant avec personne "

Deuxième couche au journal de 20 heures sur France 2, samedi dernier. Le rocker prend tout cela avec recul, parfois à la rigolade. "Je ne suis pas méchant avec Cloclo, on était rivaux, mais au fond on s'aimait bien.

Il me piquait mes gonzesses, mais à 25 ans, qui n'a jamais piqué la gonzesse d'un copain ? C'est comme avec Eddy Mitchell, je lui ai piqué des vinyles à une surprise party, et c'est comme ça qu'on est devenus amis, tous les deux..." Rabaisser le livre à un simple règlement de comptes serait à ses yeux une erreur : "J'ai voulu être méchant avec personne. J'ai simplement fait le constat de certaines choses qui me sont arrivées, comme je les ai ressenties à l'époque." Et de fustiger les journalistes qui sortent les citations de leur contexte pour entretenir la polémique : "C'est facile, ils ne marquent que des petites phrases prises à droite et à gauche, mais ils ne vont pas sur toute la continuité de ce que je dis.

Ce n'est pas exactement la même chose..."

Les médias ont bon dos, mais les mots sont bien là, parfois blessants, écrits noir sur blanc, notamment sur Adeline Blondieau, son ex-épouse décrite, comme "un serpent" ou une "hystérique" pour ne citer que les critiques les plus soft.

Sur le sujet, motus. La star ne veut pas polémiquer ou en rajouter. "Il y a des gens qui m'ont fait du mal, d'autres du bien, j'avais cela au fond de moi et c'était important de le dire... C'est tombé comme ça." L'affaire est désormais aux mains des avocats de son ex qui devraient poursuivre le rocker en diffamation.

Adeline Blondieau, furieuse, a même écrit à Amanda Sthers, la co-auteur du livre, pour lui faire connaître ses sentiments dans une lettre qui pourrait être publiée prochainement... La jeune romancière, elle, reconnaît traverser en ce moment une véritable tempête médiatique dont elle n'aurait pas soupçonné la puissance, mais n'en continue pas moins à défendre le livre. "Si règlement de comptes il y a, c'est au bout d'une vie où il a été beaucoup trahi", remarque-t-elle dans Le Parisien.

De son côté, Johnny a préféré prendre le large en s'envolant pour Los Angeles en famille ce dimanche, avec le sentiment d'une promo accomplie.

La dernière couche sera donnée le 17 février prochain, lors d'un Vivement dimanche déjà enregistré.

Pour le reste, le rocker sait bien qu'une pointe de scandale n'a jamais nui aux ventes, bien au contraire...

 

Source et publication:  http://www.lepoint.fr/ces-gens-la/dans-mes-yeux-comment-johnny-tente-de-calmer-le-jeu-12-02-2013-1626576_264.php

TRIBUNE LIBRE ET POINT DE VUE .......

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Cholestérol : Une arnaque qui coûte plus de deux milliards d’euros par an à la sécurité sociale

Cholestérol : Une arnaque qui coûte plus de deux milliards d'euros par an à la sécurité socialeScandale. 

Selon le Pr Philippe Even, le cholestérol est« un ennemi imaginaire », ce qui en fait « la plus grande erreur médicale de tous les temps » en même temps que « la plus grande arnaque, escroquerie de l’industrie pharmaceutique ».

Ainsi, si nos artères se bouchent, ce n’est pas la faute du cholestérol tandis que ce dernier « est indispensables pour nos fonctions essentielles » (cardiaque, cérébrale, musculaire, etc.), « une molécule vitale » donc.

Aux États-Unis, 400 000 cas de diabètes ont été provoqués par les statines, ces médicaments remboursés par la Sécurité sociale (coût annuel : plus de 2 milliards d’euros).

 « C’est l’heure de leur belle mort » avec l’arrivée de génériques en juin 2013, explique toutefois l’auteur de La vérité sur le cholestérol (aux édition du Cherche-midi) sur BFM TV :

 

 

L' ISLAM DE FRANCE ? EST-IL SOUS INFLUENCE ÉTRANGÈRE ?

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Lundi 18 février 2013

Atlantico : Quelles sont les réalités de l’ingérence étrangère dans l’islam de France ?

Hassen Chalghoumi : Il est clair que la majorité des lieux de prière en France sont gérés par des ambassades.

La Grande Mosquée de Paris est gérée par l’Algérie, le RMF (rassemblement des musulmans de France) est géré par le Maroc et plusieurs mosquées sont directement dépendantes de la Turquie, de l’Egypte et du Qatar.

Nous réalisons très bien qu’il y a une grande ingérence.

Haoues Seniguer : L’inquiétude de Hassan Chalghoumi peut se comprendre dans la mesure où il a lui-même, par le passé, fréquenté des madrasas (écoles religieuses traditionnelles où l’on mémorise notamment le Coran) en Syrie, en Inde, au Pakistan, etc. à tel point qu’il a même été favorable, au moins un temps, au voile intégral. Ses prises de position récentes peuvent donc s’éclairer à la lumière de cette expérience peut-être traumatisante de ses premières années.

Maintenant, il faut être précis sur la nature des dites ingérences, réelles ou supposées.

Elle peut être de deux types : d’abord, au niveau théorique, du fait de la mondialisation il est vrai que les idéologies circulent facilement, se diffusent très largement d’un espace à un autre, avec,dans le paysage islamique français, la prééminence indubitable de l’idéologie des Frères musulm ans qui s’est très bien implantée toutes ces dernières années dans l’hexagone. (…)

Quels sont les principaux acteurs de cette ingérence ?

D’où viennent-ils et quelle est leur organisation ?

Hassen Chalghoumi : Les Frères Musulmans ont une influence notable qui est d’ailleurs connue de tous, même de l’Etat.

Il y a une centaine d’imams qui viennent d’Algérie avec un contrat de quatre ans, de même pour les imams Marocains et Turcs.

Haoues Seniguer : Outre les pays que je viens de mentionner, je montre très largement dans un article paru hier dans la revue scientifique Confluences méditerranée, que les pays tels que le Qatar, s’invitent de plus en plus dans l’islam, en dehors de leurs propres frontières.

D’ailleurs, le Qatar pourrait faire une percée au niveau de l’islam européen en général, et français en particulier, dans les prochaines années, en raison de la proximité de plus en plus grande entre nos deux pays, et de l’implantation de l’idéologie des Frères musulmans en Europe, laquelle est particulièrement prisée par la seconde épouse de l’Émir Hamad Ben Khalifa Al-Thani, la cheikha Moza bint Nasser Al-Misnad.

 

Ne perdons pas de vue également que cette dernière est proche de Yûsuf Al-Qaradhâwî, théologien islamiste de notoriété mondiale.

À ce propos, il n’est pas inutile de rappeler que Tariq Ramadan, qui jouit d’un grand prestige auprès du public musulman francophone, et qui est souvent invité en France par différentes associations ou organisations musulmanes, a inauguré, en mars 2012, à Doha, le CILE (Centre de Recherche sur la Législation Islamique) dont il est depuis lors le directeur.

 

Ce centre est justement financé et est largement soutenu par la seconde épouse de l’Émir du Qatar. (…)

Atlantico

VERS UN VOTE OBLIGATOIRE ?

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L’oligarchie veut forcer le peuple à l’adouber

Tribune libre de David Bescond

L'oligarchie veut forcer le peuple à l'adouberConnaissez-vous Thierry Lazaro ? Non ? Et si je vous dis qu’il est député depuis 20 ans ? Sans doute pas davantage. Et c’est bien le problème mais je reviendrai là-dessus un peu plus tard.

Thierry Lazaro est ce député UMP anonyme qui a eu l’idée saugrenue de déposer une proposition de loi afin de rendre obligatoire le vote des Français.

Mais il ne s’arrête pas là. Si jamais vous ne deviez pas obtempérer vous seriez passible d’une amende de 15 euros passant à 45 euros en cas de récidive dans les cinq ans. Rien que ça.

Il est encore trop tôt pour savoir si cette escroquerie sera approuvée par l’oligarchie qui dirige ce pays.

Car celle-ci plutôt que de se poser la seule question qui vaille,« pourquoi une part toujours plus importante des citoyens se détournent des urnes ? », préfère éluder le sujet afin de ne pas se remettre en cause.

Cette oligarchie incompétente, arrogante, inutile est l’unique responsable de la désaffection des urnes par les Français.

Trente ans de mensonges, d’incuries, et de trahisons cela laisse forcément des traces. Non contente de nous avoir mené à la ruine, elle s’apprête à livrer une féroce bataille afin de ne rien céder de ses privilèges comme le prouve le report ad vitam aeternam de la loi sur la fin du cumul des mandats.

Consciente de la colère qui gronde dans le pays elle tente par cette manœuvre peu subtile de sauvegarder le peu de légitimité qui lui reste en voulant se faire adouber de force par le peuple.

Thierry Lazaro contrôleur des impôts jusqu’en 1992, député depuis 1993 à l’âge de 32 ans, maire depuis l’an 2000, on sent le gars qui a du souffrir dans la vie et qui a partagé les problèmes quotidiens de ses compatriotes, exige du peuple français qu’il soit exemplaire.

Mais qu’en est-il de sa propre exemplarité ? Prenons comme référence la dernière législature qui a commencé depuis huit mois.

On s’aperçoit que notre député cumule 13 semaines d’activité ce qui le place parmi les 150… derniers députés.

Peut-être qu’avant de vouloir rendre le vote obligatoire faudrait-il d’abord songer à rendre obligatoire la présence de nos députés dans l’hémicycle.

On s’aperçoit également que notre député, membre de la commission permanente aux affaires économiques, y a fait acte de présence 17 fois.

Ce qui le range parmi les 150… derniers députés. Décidément !

En revanche, notre député a manifestement le sens des grands enjeux pour notre pays puisqu’il a déposé deux propositions de loi écrites.

Celle sur le vote obligatoire et… une proposition de loi visant à commercialiser les oeufs dans des boîtes génériques !!! Cette activité débordante et indispensable le classe parmi les 150… premiers députés.

Ce qui donne une idée du travail harassant de nos parlementaires comme on a pu le voir lors des parties de scrabble de certains députés en scéance.

Puisque Thierry Lazaro, à l’image de ses collègues, semble loin d’être irréprochable je propose aux citoyens français de le mettre sous surveillance afin de voir si cet élu qui veut obliger et sanctionner les Français ne mériterait pas de l’être avant eux.

À l’ère d’internet l’oligarchie doit comprendre que son arrogance et son impunité s’achèvent.

Du même auteur :
Mali : Une aventure coûteuse et inutile

 

Source : http://www.ndf.fr/poing-de-vue/17-02-2013/loligarchie-veut-forcer-le-peuple-a-ladouber#.USHiN67TZIA


ESCLAVAGE ET COLONISATION: LES LOIS MÉMORIELLES......

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Lundi 18 février 2013

repentance esclavage chardAtlantico : Du 16 février au 3 mars 2013 se déroule la Semaine anti-coloniale où sont consacrées les luttes anti-coloniales, d’hier et d’aujourd’hui.




Rosita Destival, une Française d’origine guadeloupéenne, descendante d’esclaves, a assigné l’Etat pour crime contre l’humanité.



Elle est soutenue par le Conseil représentatif des associations noires (Cran) qui estime que le gouvernement n’a pas tenu les promesses faites en matière de réparations.


Dans ces cas-là, comment faire la part des choses entre ce qui relève de la juste reconnaissance du passé et de la repentance ?


casali dimitriDimitri Casali : Ces associations communautaires et groupes de pression sèment une fois de plus un sentiment de haine et de suspicion entre tous les Français, creusant encore plus le fossé qui les sépare.

 

 

Nous sommes le seul peuple au monde (à l’exception des Allemands pour les raisons que nous connaissons tous) à cultiver la repentance à un tel niveau. Si on écoutait ces associations, on condamnerait bientôt Périclès ou Jules César pour crime contre l’Humanité pour avoir pratiqué, institutionnalisé et défendu l’esclavage dans leurs cités. 



On oublie sans cesse de replacer l’Histoire dans le contexte général et de rappeler, simplement, que depuis la plus haute Antiquité, l’esclavage était pratiqué par toutes les sociétés et ne scandalisait pas.

Cela paraît fou, mais c’était alors la loi du vainqueur.

 

 Bien sûr, il faut dire et redire combien la traite négrière fut un commerce abominable et injustifiable, et que cette époque est à jamais Esclavage repentance Angleterrerévolue.

 

 

Il faut condamner, mais préciser aussi que l’esclavage n’a pas été le fait des seules nations occidentales, mais bien du monde entier. Il faut condamner, mais sans occulter un fait fondamental : les première nations au monde à avoir aboli et interdit l’esclavage sont l’Angleterre (1833), le Danemark (1847) puis la France (1848).

 

 

Donc au lieu de distiller ces idées de haine, il faudrait plutôt célébrer le fait positif que les nations européennes ont été les premières au monde à y mettre fin.

 

 

Ou alors, exigeons que le monde entier fasse son mea culpa (aussi bien les pays européens qu’arabes, africains et asiatiques).

 

Ces associations feraient mieux de s’occuper de ce qui se passe aujourd’hui puisque l’esclavage persiste encore de nos jours.


La Mauritanie n’a Christian slaves, Muslim mastersadopté une loi qui réprime la détention d’esclave qu’en 2007, le Mali et le Niger pratiquaient l’esclavage jusque dans les années 1980. 

 

En ce moment même, le combat contre l’esclavage perd du terrain au Soudan, au Congo, mais aussi au Yémen ou à Oman. Le nombre de pays ne respectant pas les standards internationaux pour lutter contre ce fléau a doublé, atteignant un total de vingt-trois selon rapport annuel du Département d’État américain. Le travail forcé, la traite sexuelle, l’exploitation des travailleurs émigrés concerneraient 27 millions d’individus en 2012.

Pourtant, rien ne justifie, et surtout pas le droit international, que les Français aient, cent soixante huit ans après, à endosser collectivement la marque des malheurs et des sévices de l’Histoire.

 

 «  Le mal n’est pas une maladie collectivement transmissible et le passé n’est pas une fatalité », a écrit justement l’historien Jean-Pierre Rioux.

 

Mais depuis une dizaine années les lois mémorielles et en particulier la loi Taubira (2001) ont incité ces groupes communautaires à se définir comme des victimes de crime contre l’Humanité dont ils aiment se présenter comme des descendants directs. (…)

 

Source

RAPPEL: DOSSIER :LA DÉRIVE FINANCIÈRE DE LA MAIRIE DE PARIS

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L’incroyable dérive financière de la mairie de Paris

 

Source : Capital

http://www.capital.fr/enquetes/derapages/l-incroyable-derive-financiere-de-la-mairie-de-paris-549730

29/11/2010 à 07:30 / Mis à jour le 29/11/2010 à 09:22
 
 
 
 
 
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Au fil des ans, Bertrand Delanoë est parvenu à se ciseler une réputation de gestionnaire avisé. Pourtant, derrière la façade, les gaspillages s’amoncellent.

A Paris, les emplois fictifs sont un peu comme les bateaux-mouches : ils font partie du paysage. Lorsqu’il régnait sur l’Hôtel de Ville, on le sait, Jacques Chirac y appointait discrètement 21 camarades, qui travaillaient en réalité pour le RPR – il vient d’ailleurs de rembourser (avec l’UMP) 2,2 millions d’euros à la mairie, ce qui est la moindre des choses. Eh bien, selon nos informations, Bertrand Delanoë fait mieux encore.

Voilà neuf ans que ce cachottier salarie avec l’argent du contribuable une bonne trentaine de permanents CGT, planqués dans l’une des mutuelles de la ville, la MCVAP. Dans un rapport au vitriol, l’Inspection générale de la capitale chiffre à 1,2 million par an le coût de ce petit cadeau, consenti «sans aucun fondement juridique» à l’organisation de Bernard Thibault. On peut donc estimer que plus de 10 millions d’euros ont été consacrés depuis 2001 à cette œuvre charitable. Cinq fois plus que les frasques de Jacques Chirac.

Ne dramatisons pas : au regard des 7,4 milliards d’euros du budget annuel de la capitale (à la fois ville et département, Paris est la plus importante collectivité locale de France), cette petite entourloupe ne pèse pas bien lourd. Mais elle suffit à éclairer d’un jour nouveau l’image de transparence et de rigueur qu’était jusqu’à présent parvenu à se polir le premier magistrat socialiste de la Ville lumière. «Si l’argent public est gaspillé, ce sont les plus modestes qui en pâtissent les premiers», aime-t-il à répéter.

A l’entendre, lui, donc, ne gaspille pas : il gère au plus serré, fait la guerre aux petits-fours, garrotte les dépenses, reste intraitable sur les embauches. Grâce à quoi, en dépit d’un ambitieux programme d’investissements (1,5 milliard par an) et de dépenses sociales généreuses, il serait parvenu à tenir la maison «sans augmenter les impôts» durant sa première mandature (2001-2008). Et en ne les ajustant que «modérément» depuis. Chapeau l’artiste !

Le problème, c’est que ce discours huilé comme un Vélib’ ne reflète pas la réalité : en fait de gestion rigoureuse et de modestie budgétaire, Bertrand Delanoë fait chauffer depuis neuf ans les finances de la ville comme jamais dans son histoire. «Jean Tiberi nous a laissé une situation financière tellement exceptionnelle que, pendant des années, nous n’avons eu qu’à nous baisser pour ramasser l’argent», reconnaît un ancien hiérarque en rupture de mairie.

De fait, jusqu’en 2008, la municipalité s’en est sortie en dévorant discrètement une bonne partie des 600 millions d’euros de réserves, en s’endettant massivement (l’ardoise municipale a gonflé de 1 à 2,8 milliards d’euros) et en happant au passage les monstrueuses plus-values des droits de mutation (passés de 350 millions en 2001 à 939 millions en 2008, du fait de l’envol de l’immobilier).

Du billard.

 

 
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FONCTIONNAIRES DE L' ASSEMBLÉE ET PRIVILÈGES ???

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Les fonctionnaires de l’Assemblée nationales gagnent en moyenne 7 800 euros par mois !

Les fonctionnaires de l'Assemblée nationales gagnent en moyenne 7 800 euros par mois !Les 1 250 fonctionnaires de l’Assemblée nationale ne connaissent pas l’austérité.

Avec, en moyenne, 7 800 euros brut mensuels, grâce aux primes de nuit (qui bénéficient aussi à ceux qui ne travaillent que le jour…), leur rémunération est trois fois supérieure à celle de la fonction publique.

Les 24 plus hauts revenus émargent (en moyenne) à 17 500 euros par mois.

Deux dépassent même 20 000 euros par mois contre 15 000 euros pour le Président de la République, 14 000 euros pour le Président de l’Assemblée et 10 000 euros pour un ministre.

Le contribuable est trop bon ! Mais a-t-il seulement le choix ?

La dernière fois que la Cour des comptes a été appelée pour auditer la chambre basse – c’était en 2008, « ça s’était très mal fini (puisqu’elle) avait quasiment été chassée » explique le journaliste Bruno Botella…

 

 

  Réponses à "Les fonctionnaires de l’Assemblée nationales gagnent en moyenne 7 800 euros par mois !"

  1. Bernard

    Cette nouvelle est scandaleuse ! Seront heureux de cette nouvelle les intéressés (naturellement) et les amis des intéressés, c’est tout ! 99% du Peuple, lui, trouvera cette annonce dégoutante ! Ces larbins de la République nommés de manière élégante « fonctionnaire de l’Assemblée » ne méritent par leur salaire (surtout pas ces presque 8 000 Euros…). En attendant, des millions de gens, des millions de bons Français gagnent environ 1000 Euros par mois et en moyenne les Français gagnent 1500 ou 1600 Euros ! Cette petite classe prétentieuse n’a aucun mérite, n’a pas de sueur sur le front, ne souffre pas vraiment ! Vive les travailleurs, les vrais ! Je ne suis pas du tout populiste, j’ai toujours voté UMP car seul Sarkozy défendait les petites gens !
    Bernard, Strasbourg, 1300 Euros / mois depuis 10 ans, 2 enfants et fier de bosser pour ma famille et de suer !

    • Petite correction : le salaire mensuel moyen est à un peu plus de 2000€ net.

    • domremy

      AH BON ?? SARKO défendait les petites gens, je ne m en suis jamais rendu compte, !!
      les assistés peut être qu il a fait rentrer d afrique ou de mayotte,, pour avoir des voix, pas les petits français qui ne demandaient rien, et qu il prenait pour des POV C…..
      pour les fonctionnaires c est vrai qu ils gagnent trop et ils sont trop nombreux, toute cette classe politique se croit supérieur et vie dans une bulle et ne travaille et vote que pour garder ses avantages

  2. Morny

    Un beau condensé de démagogie… Les administrateurs titulaires, fonctionnaires parmi les mieux rémunérés de l’Assemblée Nationale, commencent leur carrière à 3600 € bruts mensuels. 

    Ces serviteurs de l’État sont sélectionnés sur la base d’un concours à peu près aussi sélectif que celui de l’ENA. Avec ce capital culturel inestimable, ils auraient pu choisir de « faire du fric » dans le privé, à l’instar de nombreux énarques. Nous ne serions plus en train de parler de 7800 € mensuels. 

    Ils ont choisi de servir leur pays, ne comptent pas leurs heures, et sont très souvent moins bien payés que la plupart des cadres supérieurs du privé ayant atteint leur niveau de formation. 

    J’invite l’auteur à mener une étude plus approfondie des conditions de travail des fonctionnaires de l’Assemblée, en diversifiant ses sources (le JT de Pujadas, quel beau travail d’investigation…), et à nous épargner ce populisme outrancier.

    • Les 3 600 euros bruts mensuels, c’est sans compter les différentes primes. Qu’ils fassent « du fric » dans le privé n’implique pas le contribuable donc ne pose aucun problème. Une moyenne de 7 800 euros par mois, c’est tout simplement indécent par rapport aux cadres supérieurs dont vous parlez (4 000 euros net en moyenne soit moins de 5 000 brut). À ce niveau-là, ce n’est plus servir mais se servir…


      Source et publication:      http://www.ndf.fr/nos-breves/18-02-2013/les-fonctionnaires-de-lassemblee-nationales-gagnent-en-moyenne-7-800-euros-par-mois#.USM8I650HnQ

SYRIE: LES SOUTIENS À BACHAR EL-ASSAD .........

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Le Point.fr - Publié le 19/02/2013 à 07:09

S'il accuse l'opposition d'être manoeuvrée par l'Occident et le Golfe, le président syrien profite pour sa part de l'aide militaire de pays étrangers.

 
 

Si Bachar el-Assad accuse à souhait l'opposition syrienne de n'être composée que de groupes terroristes armés par l'Occident, ce qui, dans les faits, ne se limite pourtant qu'à des livraisons d'armes en faible quantité, son régime profite pour sa part de soutiens étrangers.

C'est ce que vient de rappeler l'annonce à l'Agence France-Presse par un responsable du Hezbollah du décès, samedi, de trois Libanais chiites dans la région syrienne de Qousseir, non loin de la frontière libanaise, dans des combats avec les rebelles. 

D'après le responsable, qui évoque un "acte d'auto-défense", 14 autres combattants chiites auraient été blessés dans les affrontements. Il refuse pourtant de préciser si les victimes sont de simples civils ou des membres du Parti de Dieu, allié du régime de Bachar el-Assad. "Il ne s'agit pas de combattants du Hezbollah", affirme au Point.fr Rami Abdel Rahmane, directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'homme, qui s'appuie sur un vaste réseau de militants sur le terrain.

"Pas de preuve" de la présence du Hezbollah

"De tels combats ont déjà eu lieu par le passé, précise-t-il. Ils opposent des rebelles syriens à des citoyens libanais vivant en Syrie depuis des années, qui se battent pour protéger les villages à majorité chiite situés près de la frontière libanaise."Étonnamment, la nouvelle est survenue seulement quelques heures après que l'opposition syrienne a accusé le Hezbollah d'intervenir militairement en Syrie.

Les soupçons sont nés en octobre 2012, après la diffusion par la chaîne al-Manar des funérailles de plusieurs combattants du Hezbollah morts en Syrie en "accomplissant leur devoir de djihadiste", comme le rapportait à l'époque France 24.

Pour se justifier, le chef du Parti de Dieu, Hassan Nasrallah, avait à l'époque expliqué que des membres de son parti combattaient les rebelles syriens, mais uniquement à titre personnel. "En dépit de nombreuses rumeurs autour de la présence en Syrie de combattants du Hezbollah, nous n'avons recueilli pour l'heure aucune preuve tangible en deux ans de conflit", assure Rami Abdel Rahmane. 

Le rôle trouble des Gardiens de la révolution

Même son de cloche du côté du spécialiste du Liban Daniel Meier (1). "Si la possible chute du régime de Bachar el-Assad constituerait certainement un coup dur pour le Hezbollah, indique le chercheur associé au Center for Middle East Studies à Oxford, son autonomie lui permettrait de survivre, même en cas de renversement du régime syrien." C'est donc bien un agenda local qui semble avoir motivé les combattants libanais décédés samedi. "La frontière entre Syrie et Liban a été tracée arbitrairement il y a 90 ans, sans que les populations locales aient été consultées, rappelle-t-il.

Ainsi, des deux côtés, les habitants ont continué à cultiver de nombreux échanges, et certains au Nord-Liban, se considèrent aujourd'hui plus syriens que libanais."

Un autre décès survenu mercredi dernier a rappelé le rôle, si ce n'est l'ingérence, d'un autre pays étranger en Syrie. Tout d'abord décrit par l'ambassade d'Iran au Liban comme le président de la Commission iranienne de la reconstruction au Liban, le dénommé Hessam Khoshnevis, mort dans la nuit de mercredi à jeudi dans une embuscade sur la route entre Damas et Beyrouth, s'est révélé être en réalité Hassan Shateri, un des commandants au Liban des Gardiens de la révolution (pasdarans), la garde prétorienne du régime de Téhéran.

Les armes de la Russie

Ce n'est pas la première fois que l'armée idéologique de la République islamique fait parler d'elle en territoire syrien.

En septembre dernier, Mohammad Ali Jafari, plus haut gradé des pasdarans, avait admis pour la première fois que des "conseillers" iraniens se trouvaient en Syrie, tout en soulignant que cela ne signifiait pas "une présence militaire" iranienne. Cette annonce suivait l'enlèvement par les rebelles syriens, au mois d'août, de 48 "pèlerins" iraniens. 

Après leur libération le 9 janvier 2013, au moins sept d'entre eux se sont révélés être des membres des Gardiens de la révolution, comme le rapportait à l'époque le blog Nouvelles d'Iran du Monde.fr."Le régime syrien n'a pas besoin de davantage de soldats sur le terrain, concède Rami Abdel Rahmane, mais il bénéficie du soutien de l'Iran et du Hezbollah en matière d'entraînement."

Un soutien de poids au moment où la Russie annonce qu'elle continuera de livrer des armes à la Syrie, qui viennent s'ajouter aux cargaisons déjà nombreuses en provenance de Téhéran.

Le "drame" de Téhéran

"La Syrie compte un grand nombre d'Iraniens et de Libanais du Hezbollah qui fournissent leur expertise à l'armée et les services spéciaux de Bachar el-Assad", affirme Mohammad-Reza Djalili (2), professeur émérite à l'Institut de hautes études internationales et du développement. 

Pour Téhéran, tout renversement du régime alaouite (secte issue du chiisme, en vigueur à Téhéran, NDLR) à Damas serait synonyme d'un véritable drame, car il briserait l'axe stratégique Téhéran-Damas-Beyrouth, fruit de trente ans de diplomatie en direction du Levant.

"Si la République islamique est prête à tout pour sauver Bachar el-Assad, ce soutien risque de lui coûter très cher, souligne Mohammad-Reza Djalili. En soutenant jusqu'au bout Damas, Téhéran s'est mis à dos les Frères musulmans, ce qui lui sera préjudiciable pour l'avenir."

Retrouvez notre dossier La tragédie syrienne

Click here to find out more!
Par 

 

(1) Daniel Meier, auteur de Le Liban : idées reçues (éditions Cavalier bleu).

(2) Mohammad-Reza Djalili, vient de publier avec Thierry Kellner L'Iran et la Turquie face au "Printemps arabe" (éditions Grip).

 

 

Le Point.fr - Publié le 18/02/2013 à 17:05 - Modifié le 18/02/2013 à 17:26

Deux ans après le début d'un conflit qui a fait plus de 70 000 morts, la situation est toujours bloquée en Syrie.

État des lieux des forces en présence.

Des soldats de l'armée syrienne dans le quartier de Yalda, à Damas, en août dernier.

Des soldats de l'armée syrienne dans le quartier de Yalda, à Damas, en août dernier. © Tieying / Chine nouvelle / Sipa

 
     

La Syrie est engluée dans la guerre civile. Le régime bombarde systématiquement les zones prises par la rébellion. Malgré tout, les forces de l'opposition armée semblent gagner du terrain. Une avancée qui risque de ne pas être décisive avant des mois, voire des années, compte tenu des rapports de force sur le terrain.

État des lieux.

Les forces loyalistes tiennent le choc 

L'époque où les médiatiques défections laissaient entrevoir un délitement de l'armée régulière syrienne est loin.

Il y a bien eu des désertions, certains ont rejoint l'Armée syrienne libre (ASL), mais jamais le gros de troupes n'a été emporté. "À l'automne, l'armée régulière a mobilisé ses réservistes, soit la majorité des hommes entre 25 et 40 ans, dans les régions qui sont favorables au pouvoir", précise Fabrice Balanche, maître de conférences à l'université Lyon 2, et directeur du groupe de recherches et d'études sur la Méditerranée et le Moyen-Orient à la Maison de l'Orient.

Selon lui, "l'armée est solide et a quasiment multiplié par deux son effectif. Elle est encore cohérente et hiérarchisée.

D'autant qu'elle a le soutien des services de renseignements, les fameux moukhabarat, et des Chabiha, des milices très violentes." Des milices de village ou de quartier ont aussi été formées récemment par le pouvoir et ses affidés, afin de lutter contre la rébellion.

Le tout constituerait une force d'au moins 300 000 hommes, même si les estimations sont approximatives et difficiles.

L'opposition armée progresse mais est divisée

Elle multiplie les annonces : prise d'un village, d'une ville, d'un barrage. Pour autant, la situation de l'opposition syrienne est paradoxale.

L'ASL ne représente pas la totalité des forces engagées dans le bras de fer sanglant avec Bachar el-Assad, loin de là. "Il n'y a pas de véritable armée de l'opposition en Syrie, mais plutôt de nouvelles structures qui cherchent à englober un maximum de monde", décrypte Ignace Leverrier, ancien diplomate français en Syrie, fin connaisseur de la situation dans le pays. "Il faut aussi garder en tête qu'un haut commandement a été créé en décembre, mais qu'il n'inclut pas certains groupes ou structures proches d'al-Qaida.

Ces derniers se sont donc regroupés et font de l'ombre à l'ASL."

Les groupes djihadistes, souvent mieux armés et mieux entraînés que leurs compagnons d'armes, font également beaucoup parler d'eux. Mais tous ces acteurs poursuivent des objectifs différents.

Certains se battent pour une République laïque, d'autres pour une République islamique, voire un califat où la charia serait appliquée. Leur calendrier et leurs méthodes divergentes ne les aident pas à écraser les forces loyalistes.

Les Kurdes mènent un jeu trouble

Ils sont peu souvent évoqués dans les médias occidentaux mais pèsent un poids considérable dans l'évolution du conflit. Les Kurdes occupent une position paradoxale en Syrie, eux qui représentent 15 % de la population.

Cette minorité, qui revendique de longue date un État distinct (qui recouvrirait une partie de la Turquie, de l'Irak, de l'Iran et de la Syrie), a vu dans cette guerre une occasion de faire avancer sa lutte. 

Épargnée par le régime, qui n'a pas souhaité se battre sur tous les fronts, la branche armée du combat politique kurde s'est rangée du côté du pouvoir. Ce dernier lui offrait des concessions inédites. Jusqu'à administrer des zones entières du pays. "Ce sont des supplétifs du régime, qui contrôlent certains postes-frontières, occupent des zones laissées vides par les troupes régulières et forment des milices populaires", explique Ignace Leverrier.

Malgré tout, la population kurde est dans sa majorité favorable à un changement de régime. Contrairement aux militants du PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan) : c'est ce dernier qui a choisi de combattre aux côtés de Bachar el-Assad. Avec ou sans le clan au pouvoir, ces velléités autonomistes ne sont pas du goût du voisin turc, qui a fort à faire avec la répression du PKK sur son propre sol.

REGARDEZ la carte des forces en présence en Syrie :


 

 

Source et publication:    http://www.lepoint.fr/monde/syrie-ces-etrangers-qui-soutiennent-bachar-el-assad-19-02-2013-1629249_24.php?xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20130219

RECONQUISTA OU LA MORT DE L' EUROPE ! ( RENÉ MARCHAND )

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Lundi 18 février 2013

 

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  Voici un livre-phare, un livre-choc (excellent complément de notre campagne sur l'islamophobie), mais aussi, un livre-programme : pourquoi l'islam est-il incompatible avec la République et avec les valeurs de la civilisation européenne mais aussi, et surtout, comment chasser l'islam de France ?

Tel est le défi tenu par René Marchand dans son troisième livre,Reconquista ou Mort de l'Europe, qui sera disponible à partir du 15 mars.

Je vous invite à écouter l'auteur dans ce petit montage fait à partir d'une interview qu'il m'a accordée et que vous pourrez découvrir le 25 février (première partie) et le   4 mars (seconde partie).

Je vous invite également, pour ceux qui seront sur Paris le 16 mars, à réserver votre après-midi pour une rencontre avec René Marchand et une séance de dédicace des livres que vous pourrez acheter sur place au prix de 19 euros.

Le lieu est encore indéterminé et vous sera précisé ultérieurement.   

 

 

POUR COMMANDER RECONQUISTA OU MORT DE L’EUROPE

Vous pouvez adresser un chèque de 19 euros, frais de port compris, (promotion de lancement jusqu’au 15 mars) à l’ordre deRiposte Laïque, à l’adresse suivante : Riposte Laïque, BP 10001, 78570 Chanteloup-les-Vignes.

Vous pouvez également le commander par paypal, en cliquant sur le lien suivant :

http://ripostelaique.com/acheter-nos-livres/



Tribune Libre , QUESTION

 

Olivier Lecocq Eradiquer l'islam, je veux bien, mais comment lutter à partir du moment où on assiste à un remplacement de population? La plupart des musulmans sont.... français, enfin, ont des papiers français. Leurs enfants sont nés en France..... Comment chasser une population qui est "française"? 


Avec la quantité de mosquées déjà construites, avec leur démographie galopante, j'ai beau réfléchir, je ne vois pas comment chasser l'islam de France et d'Europe. 


Dans 30 ans, j'aurai un pied dans la tombe, mais ma fille en aura à peine 40. Que pouvons-nous concrètement faire pour lutter?


Beugler sur facebook, acheter des livres qui dénoncent l'horreur qui se prépare, rassembler des opinions virtuelles, tout ça c'est bien beau, mais on AGIT comment? Concrètement? Il n'y a aucune volonté politique.

Ce sont tous des dhimmis. 90% des gens que je connais pensent que l'islam est une religion de paix, mais qu'il y a comme partout des extrémistes et qu'il ne faut pas généraliser.... Dès que vous attaquez l'islam, on vous taxe de raciste xénophobe néo-nazi..... 


QUE FAIRE?

JUSTE UN RAPPEL, POUR NE PAS OUBLIER ......

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Crime d’honneur à Mantes la Jolie, Mohamed* défonce le crâne de sa femme parce qu’elle a été violée

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Femme adultère décapitée

La nuit dernière, vers 3 h 30 du matin, Mohamed*, 29 ans, s’est présenté au commissariat de Versailles avec ses quatre enfants de 1 à 5 ans, pour avouer le meurtre de sa femme.

 

Exactement comme pour tous les crimes d’honneurs pratiqués dans les pays arabes.

Selon Le Point qui diffuse l’information, la femme a révélé à son époux avoir été violée. Ne supportant pas cet aveu, l’homme la roue de coups et l’achève en lui défonçant le crâne, comme dans les pays arabes.

Le tout bien entendu sous les yeux des quatre enfants afin qu’ils apprennent de leur père cette belle tradition de l’islam qu’ils appellent un crime d’honneur, un des apports culturels de l’islam à la France.

« C’est d’une telle violence. On est face à un véritable acte de barbarie. Comment les jeunes enfants vont-ils pouvoir se reconstruire après un tel drame », s’insurge une source proche du dossier qui semble ignorer que l’acte du père est une pratique tolérée, en Egypte et ailleurs au Moyen Orient, au point que la loi ne prévoit aucune peine pour le meurtrier.

 

Les enfants, qui étaient présents, « sont sous le choc », souligne un policier, mais nous avons, à Dreuz, publié plusieurs vidéos d’initiation d’enfants musulmans à l’égorgement et à la lapidation, cela fait partie intégrante de la Sharia dont beaucoup de musulmans demandent l’application.

 

La journaliste Armel Méhani conclut qu’il s’agit d’un acte de barbarie. Je dis qu’il va falloir s’y habituer, car le peuple arabe importé ne renoncera pas à ses habitudes.

Ce n’est qu’un début, et il faut s’attendre, dans les années qui viennent et au fur et à mesure que la république recule, à des lapidations, des corps décapités, des chasses aux homosexuels, bref, des actes très banals pour les musulmans.

 

Reproduction autorisée et vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

* le nom a été remplacé


http://www.lepoint.fr/societe/il-ne-supporte-pas-le-viol-de-sa-femme-et-la-tue-24-07-2012-1488701_23.php

LE " BLA BLA " DE L' IMPLOSION SOCIALE ???

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Naïma Charaï (PS) : « Des enfants boycottent la cantine parce qu’elle n’est pas halal »

19 février 2013

Naïma Charaï (PS) : <em>« Des enfants boycottent la cantine parce qu’elle n’est pas halal »</em>

 

 

19/02/2013 – 10h00


PARIS (via Infos Bordeaux) - En octobre dernier, la socialiste Naïma Charaï a été nommée à la tête du conseil d’administration de l’Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances.

Née au Maroc, cette conseillère régionale d’Aquitaine, élue sur la liste d’Alain Rousset, gère donc un budget de 376 millions d’euros déversés en pure perte dans les banlieues à forte proportion d’immigrés, dans le but « d’éviter l’explosion sociale ».

Interrogée dimanche matin  dans les colonnes de Sud-Ouest (ci-dessus), celle-ci se déclare : « Abasourdie par ce que je vois en banlieue ».

Semblant découvrir l’étendue des problèmes qui minent nos centres urbains, Naïma Charaï souhaite alerter l’opinion publique : « Sur la question de la laïcité, par exemple lorsqu’un préfet m’indique que des fillettes de 7 ou 8 ans portent parfois le voile, que des enfants boycottent la cantine parce qu’elle n’est pas halal. Ce sont des choses que l’on ne voyait pas il y a vingt ans ».

Crédit photo : Capture d’écran

[cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]


SÉGOLÈNE ROYAL ENFIN CASÉE ........

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20/02/2013 à 11:33

Ségolène Royal devrait être nommée à la vice-présidence de la BPI

La présidente de la région Poitou-Charentes Ségolène Royal devrait être désignée jeudi vice-présidente de la Banque publique d'investissement (BPI), lors de la première réunion du conseil d'administration, selon le patron de la Caisse des dépôts, Jean-Pierre Jouyet. 

 

L'ex-candidate PS à la présidentielle a été nommée par un décret du 18 février au conseil d'administration de la BPI en tant que représentante des régions, au même titre que Jean-Paul Huchon, président PS de la région Ile-de-France. Louis Gallois, commissaire général à l'investissement, siégera aussi au conseil.

Mme Royal "sera vice-présidente de la BPI. Je le proposerai au premier conseil d'administration qui se tiendra demain à Dijon", a déclaré sur France Inter Jean-Pierre Jouyet, directeur général de la Caisse des dépôts et à ce titre président de la BPI.

"Compte tenu de ses capacités en terme de communication, elle pourra jouer un rôle important en tant que porte-parole de la BPI", a-t-il estimé.

"Comme c'est un conseil paritaire, le fait qu'il y ait un président homme et une vice-présidente femme est une bonne chose.

Et puis c'est un tandem entre un haut fonctionnaire et une grande responsable politique", a poursuivi M. Jouyet.

 
 

"C'est une responsable politique de premier plan.

Elle a porté ce projet depuis très longtemps", a relevé M. Jouyet.

Lancée au début de l'année, la BPI regroupe les moyens de la Banque publique Oseo, du Fonds stratégique d'investissement (FSI) et de CDC Entreprises, filiale de la Caisse des dépôts.

 

La structure doit disposer d'une capacité d'engagement de l'ordre de 35 à 40 milliards d'euros, selon les déclarations d'une source gouvernementale à l'AFP mi-octobre, pour proposer des financements aux entreprises ainsi que des prises de participation au capital.

"Lorsqu'il y aura des difficultés conjoncturelles, nous ne nous interdisons pas d'intervenir pour (les) résoudre à partir du moment où nous aurons des repreneurs à nos côtés", a indiqué M. Jouyet.

 

Il avait provoqué un certain émoi en octobre lorsque, interrogé sur une éventuelle intervention de la BPI pour sauver l'usine de Florange (Moselle) d'ArcelorMittal, il avait répondu que "la BPI aura(it) vocation à maintenir l'activité et non pas à aider les canards boiteux".

 

"La BPI n'est pas l'Etat et l'Etat dispose d'autres structures qui peuvent justement servir en gros d'hôpital pour les entreprises qui sont les plus malades.

Mais ce n'est pas la vocation de la BPI", a expliqué M. Jouyet, ajoutant qu'elle pourrait également participer à des lancements d'entreprises ou encore les aider en matière de trésorerie.

M. Jouyet a précisé que "tous les outils (de la Banque publique d'investissement) fonctionnent déjà" mais "deux éléments sont nécessaires", dont "la mise en oeuvre des apports, leur valorisation" et l'obtention des autorisations nécessaires au niveau européen pour la création de l'établissement bancaire.

 

 

http://actu.orange.fr/economie/segolene-royal-devrait-etre-nommee-a-la-vice-presidence-de-la-bpi-afp_1366314.html

RÉVOLUTIONS ARABES, LA FACE CACHÉE......TRIBUNE LIBRE !

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La face cachée des révolutions arabes  - Un livre qui fait tomber les masques

LA FACE CACHÉE DES RÉVOLUTIONS ARABES 


Un livre qui fait tomber les masques



Walid Aït Saïd 
le 12/02/2013 
Cet ouvrage révèle les manipulations médiatiques et politiques qui sont les ingrédients principaux d'une révolution préméditée...
 
Montrer le vrai visage des révolutions arabes, tel est l'objectif de ce livre, présenté dernièrement à la presse parisienne.
 
Intitulé « La face cachée des Révolutions arabes», cet ouvrage dévoile «les  manipulations et traitements politiques et médiatiques abusifs des mouvements sociaux qui ont secoué les régions du Maghreb et Proche-Orient durant l'année 2011, ainsi que leurs retombées négatives», ont expliqué les co-auteurs de ce livre qui sont un groupe de 23 politiques et experts internationaux de nationalités différentes. 
 
 
Dirigé par le Centre français de recherche sur le renseignement, sous la direction d'Eric Denécé, l'ouvrage a pour volonté de mettre la lumière sur les évènements qui ont touché le monde arabe.
 
 
Son écriture est le résultat de deux missions d'évaluations, au cours de la même année, des conflits qui se sont produits dans le cadre du Printemps arabe en Libye et en Syrie.
 
Suite à ces deux travaux d'évaluations, les auteurs ont ensuite jugé important d'élargir leur prospection par des témoignages et des analyses sur ce qu'a été le Printemps arabe dans d'autres pays (Egypte et Tunisie).
 
 
 
Ce qui ressort de ces évaluations sont des positions claires qui dénoncent «la pensée dominante qui tend à faire de ces mouvements sociaux un événement spontané et positif pour les pays d'Afrique du Nord et du Proche-Orient», ont-ils expliqué.
 
Ce travail leur a ainsi permis d'aller à l'origine de ces «mouvements sociaux et de décrypter le jeu des acteurs nationaux qui ont participé à ces événements». Il s'agit aussi selon les auteurs, de décoder le jeu des acteurs internationaux qui ont contribué à faire éclore ces Printemps arabes, tout en s'intéressant aux conséquences prévisibles à venir.
 
Le directeur du Centre français de recherche sur le renseignement, Eric Denécé, qui a été l'un des experts à faire la présentation de ce livre a insisté sur le fait que l'analyse approfondie de ces événements a permis aux auteurs de cet ouvrage de dégager des éléments qui rendent possible la compréhension de la réalité du phénomène derrière la vision «fabriquée» qui a été livrée à l'opinion internationale.
 

M. Labévière 
 
Parmi ces éléments, il a notamment cité l'existence d'un malaise social réel mais instrumentalisé et la présence de révolutions pilotées et mises en œuvre par l'étranger afin de promouvoir des intérêts nationaux.
 
Eric Denécé a également précisé que l'analyse à laquelle ont abouti les auteurs de cet ouvrage a dévoilé la mise en œuvre de techniques éprouvées de manipulation des foules et de déstabilisation des régimes et révélé les conséquences néfastes de ces «Révolutions arabes» qui ne semblent pas, a-t-il estimé, être à la hauteur des espérances suscitées.
 

Eric Bénécé, Directeur du Centre français de recherches sur le renseignement 
 
Cet expert, a également révélé que les évènements qui ont secoué le monde arabe étaient prémédités depuis déjà quelques années. « Les événements auxquels l'opinion internationale a assisté étaient en préparation depuis plusieurs années, bien que leur déclenchement n'ait pas été précisément planifié», a-t-il assuré.
Intervenant dans le débat, Richard Labévière, expert du Proche-Orient, a pour sa part, indiqué que ce qui a rassemblé l'entreprise de ce livre «est le concept de déconstruction».
 
C'est dans ce sens qu'il a critiqué la couverture médiatique de ces événements. «Nous n'étions pas satisfaits par les couvertures médiatiques de ces évènements par la presse française et occidentale ainsi que par des chaînes de télévision satellitaires arabes comme El Jazeera, Al Arabia ou autres médias», a-t-il souligné. « Il y avait donc, non seulement une urgence mais un intérêt à déconstruire ces accélérations de l'histoire, de mouvements sociaux, qui étaient très anciens, en Tunisie, en Egypte ou dans d'autres pays du Proche et du Moyen-Orient», a-t-il ajouté. «Il s'agissait, par conséquent, d'essayer d'aller au-delà des affirmations de morale, souvent d'une presse trop pressée qui a qualifié trop hâtivement des mouvements sociaux de révolutions», a-t-il fait savoir.
 
M.Labévière a ainsi déploré la perte de crédibilité considérable de certains grands journaux qui envoient en mission des journalistes généralistes qui ne font aucune lecture de ce qui se passe réellement, tout en précisant que cela est lié à des phénomènes économiques. 
 
 
Ce livre aura donc montré la face cachée du printemps arabe.
 
Les événements qui se passent en Tunisie ou en Egypte sont là pour confirmer les dires de ses auteurs...
 
« La face cachée des Révolutions arabes » sous la direction d'Eric Denécé, Ed Ellipse
Les illustrations sont de la rédaction


Source et publication : http://metamag.fr/metamag-1165-La-face-cachee-des-revolutions-arabes--Un-livre-qui-fait-tomber-les-masques.html

TRIBUNE LIBRE À GÉRARD DEPARDIEU.........

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Depardieu voit en François Hollande un « fils à papa »

DepardieuRépondant aux questions du magazine France culture Papiers,Gérard Depardieu a confié ses états d’âmes sur les hommes politiques actuels. I

Il a notamment dénoncé « tous les intellos » qui lui« en veulent ».

À Nicolas Sarkozy, l’acteur réaffirme son soutien : « J’aimais Sarkozy. Au début, je ne l’aimais pas trop. (…) Sarkozyne m’était pas du tout sympathique puis après, il l’est devenu, parce que tout le monde était contre lui.

Je me suis demandé ce qu’ils avaient après lui, car ce n’était pas que nul. (…) J’ai soutenu Sarkozy à Villepinte, je suis monté tout seul sans que personne n’ait rien demandé.

J’ai regardé ce grand rassemblement et j’ai trouvé qu’il parlait bien. »

Concernant François Hollande, Gérard Depardieu ne mâche pas ses mots. Il « n’accroche pas » avec le Président qu’il traite de « fils à papa ».

L’acteur semble n’avoir pas digéré « ce putain d’impôt de 75% et plus », estimant qu’il y a« un moment où n’a plus envie de travailler. »

Le Président russe Vladimir Poutine semble, en revanche, avoir davantage les faveurs du comédien : « J’ai beaucoup d’amis russes, Poutine par exemple.

Tous les intellos m’en veulent, ils pensent que c’est un tueur. (…) I

l faut un type comme Poutine à la tête de l’État russe, avec un tempérament russe.

Poutine essaie de rendre un peu de dignité aux gens. Il prend des initiatives », a-t-il déclaré.

 

http://www.ndf.fr/nos-breves/19-02-2013/depardieu-voit-en-francois-hollande-un-fils-a-papa#.USTGza50HnQ

LU SUR OUEST-FRANCE: MALI , UNE GUERRE JUSTE !

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Mali : une guerre juste ?

mercredi 20 février 2013 
 

 

Alors que la France vient de connaître son 2e soldat tué au Mali, cette intervention militaire nous ramène à une question qui se pose depuis l'Antiquité : qu'est-ce qu'une guerre juste ?
 
 
Au XIIIe siècle, Saint-Thomas-d'Aquin pensait qu'une guerre pouvait être qualifiée de juste à trois conditions : relever de la puissance publique, être guidée par une cause juste (causa justa) et viser le triomphe du bien commun (intentio recta).
 
 
Pour le penseur catholique, la légitimité passait donc avant la légalité de la guerre, cette deuxième notion s'imposant plus tard avec l'invention de l'État moderne et du droit international.

 

L'intervention militaire au Mali réunit sans nul doute de forts éléments de légitimité. Le principal était d'empêcher que les groupes armés contrôlant le nord investissent la capitale, Bamako, et imposent une loi islamique refusée par la majorité des Maliens.

Le repli des groupes islamistes a été aussi le moyen de stopper l'exil des populations locales et de protéger les sanctuaires musulmans menacés de destruction par les salafistes.

Enfin, la protection de 6 000 ressortissants français, résidant pour la plupart à Bamako, est également un objectif légitime de la part d'un État.

 

La légalité de l'intervention militaire française, au regard du droit international public, est plus contestable.

Malgré le soutien quasi unanime que la France a reçu des grands pays de ce monde, la résolution 2085 du Conseil de sécurité de l'Onu autorisait l'intervention « d'une force internationale, sous conduite africaine, afin de rétablir la souveraineté malienne sur l'ensemble du territoire ».

De même, la Charte des Nations Unies ne prévoit aucun dispositif déployé par un État contre l'agression des groupes rebelles dans un autre État.

Enfin, le président malien par intérim, Dioncounda Traoré, qui a fait appel à Paris, est arrivé au pouvoir en 2012 à la suite d'un coup d'État.

Définir une véritable stratégie de long terme

Dès lors, l'intervention française permet de souligner plusieurs caractéristiques des relations internationales contemporaines.

D'une part, la légitimité est devenue le critère essentiel de jugement des guerres. Les partisans de la suprématie du droit international objecteront que cette situation n'est pas satisfaisante, car tout État peut donc se prévaloir de la légitimité (critère politique subjectif) pour user de la force.

Deuxième remarque : le droit international ne sait toujours pas comment encadrer la réaction aux agressions de groupes armés qui ne sont pas des États.

La Charte des Nations Unies est l'héritage d'une histoire où la guerre se faisait quasi exclusivement entre États.

Or, la réalité de 2013 est tout autre : de plus en plus de guerres sont menées soit par des groupes armés à l'intérieur même des États, soit par des acteurs transnationaux, comme les groupes terroristes.

Reste à espérer que l'intervention française au Mali n'ait pas été simplement un acte chirurgical visant à éviter que les djihadistes s'emparent de Bamako.

La France n'a guère d'autre choix que d'inscrire son action dans un scénario d'établissement d'une paix durable.

Pour ce faire, elle doit définir une véritable stratégie de long terme destinée à sécuriser la région sahélienne. Il serait préférable que les autres Européens y travaillent avec elle.

 

(*) Directeur du Céri (Centre d'études et de recherches internationales à Sciences Po Paris. Vient de publier La politique étrangère de Jacques Chirac, Riveneuve Éditions.

 

Source et publication:  http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Mali-une-guerre-juste-_3632-2165805_actu.Htm?xtor=EPR-3002-%5bMail%20FDJ%5d-20130220-%5bMali%C2%A0:%20une%20guerre%20juste%C2%A0?%20%5d 

Christian Lequesne (*)

SYNDICATS: GOODYEAR, QUAND LA VÉRITÉ FAIT MAL..........

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 Modifié le 20/02/2013 à 14:04

Le P-DG du groupe, qui a renoncé à sauver l'usine d'Amiens-Nord, a envoyé une lettre  au ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg.

 
 

Le P-DG de Titan international, qui a renoncé à reprendre l'usine de pneus Goodyear d'Amiens-Nord, raille "les soi-disant ouvriers" qui "ne travaillent que trois heures", dans un courrier adressé au ministre du Redressement productif, dont Les Échos publient une copie.

La lettre en anglais datée du 8 février est adressée à Arnaud Montebourg et dit répondre à un courrier du 31 janvier du ministre demandant à Titan d'entamer des discussions pour une reprise de l'usine d'Amiens menacée de fermeture.

"Goodyear a essayé pendant plus de quatre ans de sauver une partie des emplois à Amiens, qui sont parmi les mieux payés, mais les syndicats et le gouvernement français n'ont fait rien d'autre que de discuter", écrit le P-DG, Maurice M. Taylor.

"J'ai visité cette usine plusieurs fois.

Les salariés français touchent des salaires élevés, mais ne travaillent que trois heures.

Ils ont une heure pour leurs pauses et leur déjeuner, discutent pendant trois heures et travaillent trois heures", écrit encore Maurice M. Taylor. "Je l'ai dit en face aux syndicalistes français.

Ils m'ont répondu que c'était comme ça en France !" affirme-t-il, selon le fac-similé de la lettre lisible sur le site. 

Avenir sombre 

"Monsieur, votre lettre signale que vous voulez que Titan démarre une discussion. Vous pensez que nous sommes si stupides que ça ?" lance Maurice M. Taylor.

"Titan est celui qui a l'argent et le savoir-faire pour produire des pneus. Qu'a le syndicat fou ? Il a le gouvernement français", ironise-t-il.

"Le fermier français veut des pneus pas chers. Il se moque de savoir s'ils viennent de Chine ou d'Inde.""Titan va acheter un fabricant de pneus chinois ou indien, payer moins d'un euro l'heure de salaire et exporter tous les pneus dont la France a besoin", menace-t-il.

 

"Vous pouvez garder les soi-disant ouvriers", se moque le P-DG américain. "Titan n'est pas intéressé par l'usine d'Amiens-Nord", conclut sa lettre.

Interrogé mercredi soir, Arnaud Montebourg a refusé de commenter cette lettre. "Je ne veux pas nuire aux intérêts de la France", a-t-il dit.

Au passage, dans sa missive, le P-DG du groupe américain prévoit un avenir sombre aux activités du géant français du pneumatique Michelin en France.

"Dans cinq ans, Michelin ne pourra plus produire de pneus en France", dit-il.

Goodyear a annoncé fin janvier que l'usine d'Amiens Nord allait fermer, menaçant 1 173 postes et provoquant un tollé politique en France, où plusieurs sites industriels sont promis à la fermeture, mettant le gouvernement en difficulté.

Arnaud Montebourg avait annoncé le 12 février que Titan, société américaine spécialisée dans la fabrication des pneus agricoles notamment, ne reviendrait pas à la table des négociations pour une reprise de l'usine.

De premières négociations entre le groupe et Titan International avaient déjà échoué l'automne dernier. 

 
 
 
Source et publication: http://www.lepoint.fr/auto-addict/actualites/goodyear-titan-raille-les-soi-disant-ouvriers-qui-ne-travaillent-que-trois-heures-20-02-2013-1629825_683.php?xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20130220
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