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MOHAMED RENTRE CHEZ LUI ..........

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Vendredi 31 août 2012

Il a jusqu'ici bénéficié de la clémence de la justice, et avait un emploi tout en retournant dormir le soir au centre de semi-liberté d'Haubourdin.

Mohamed El Jarari, 27 ans, a tout gâché en ramenant au centre 40 g de cannabis.

Il admet avoir commis ce qu'il appelle une « grosse erreur ». Introduire du cannabis en prison, c'est un peu comme faire pénétrer un hippopotame dans un musée de vases chinois : c'est très risqué.

Mohamel El Jarari l'a fait. Mais il s'est fait attraper. « Vous aviez un emploi, une situation familiale stable, pourquoi avez-vous tout gâché comme ça ? », interroge le président d'audience, Jean-Marc Defossez.

Le jeune homme semble se poser lui-même la question. « C'est vrai, j'ai commis une énorme erreur et je risque de tout perdre aujourd'hui », répète-t-il.

À vrai dire, il a déjà tout perdu, puisqu'il comparaît détenu pour d'autres délits.

Condamné dix fois, dont plusieurs fois pour des faits de délinquance liés aux stupéfiants, il jure qu'il avait fini par arrêter de se droguer, parce que sa compagne, avec qui il vient d'avoir un enfant, le lui avait demandé.

Les limites de la clémence

La substitute du procureur parle de la « logique suicidaire » de cet homme qui a « bénéficié jusque-là de la clémence de la justice ». Sursis, bracelet électronique, travaux d'intérêt général, semi-liberté, toutes les alternatives à la détention classique ont été épuisées. « Vous êtes conscient que vous avez fragilisé votre situation, là ? Avec la récidive et la peine plancher, vous risquez quatre ans de prison ferme ! », l'avertit le président Defossez. Mais la substitute Virginie Girard écarte cette peine plancher et demande entre huit et dix mois de prison ferme.

Mohamed El Jarari, qui n'a pas souhaité d'avocat, se défend seul, et implore une dernière chance. « Je ne suis pas un criminel, juste un consommateur, soyez encore cléments une dernière fois avec moi ! »


C'était sans doute la goutte d'eau : le tribunal suit l'avis du parquet et le condamne à dix mois de prison ferme.

B.R.

http://www.nordeclair.fr
via http://www.defrancisation.com


L' U E, LES ROMS ET LA CRISE ÉCONOMIQUE ???

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27 milliards d’euros rien que pour eux ! L’argent coule à flots pour les Roms !
27 milliards d'euros rien que pour eux ! L’argent coule à flots pour les Roms !
 
 

Le gouvernement de Jean-Marc Ayrault a levé certaines restrictions pesant sur l’emploi des Roms en France, qui seraient aux alentours de 15 000, suscitant la joie de la Commission européenne.

Et pour cause : c’est elle qui l’exigeait !

Le plus ahurissant est encore ailleurs : dans les 27 milliards d’euros que l’Union européenne met à disposition des pays de l’UE pour « insérer » les Roms !

En pleine crise économique et financière, les Roms ont priorité sur « les non-Roms » !

27 milliards d'euros rien que pour eux ! L’argent coule à flots pour les Roms !La semaine dernière, en plein débat sur le démantèlement de campements sauvages de Roms, le quotidien « Sud Ouest » publie une interview de Viviane Reding (ci-contre), vice-présidente de la Commission européenne. La Luxembourgeoise, qui siège à Bruxelles depuis une bonne douzaine d’années, est commissaire « à la justice, aux droits fondamentaux et à citoyenneté ». C’est elle qui, alors que la France de Nicolas Sarkozy voulait accélérer les expulsions de Roms, avait finement déclaré : « Les circonstances donnent l’impression que des personnes sont renvoyées d’un Etat membre juste parce qu’elles appartiennent à une certaine minorité ethnique. Je pensais que l’Europe ne serait plus le témoin de ce genre de situation après la Deuxième Guerre mondiale. » Ce qui s’appelle déconner à pleins gaz mais ne lui a pas coûté sa place, au contraire.

Dans « Sud-Ouest » du mercredi 22 août donc, sous le titre : « Les Roms sont chez eux en Europe », il est demandé à Viviane Reding ce que « représentent les moyens financiers mis à disposition par l’Europe ». Réponse de la Luxembourgeoise : « Au niveau européen, 26,5 milliards d’euros ont été mis à la disposition des Etats membres pour soutenir leurs stratégies nationales d’intégration des Roms entre 2007 et 2013. » Tout d’abord, on croit à une coquille. Madame Reding a parlé de millions et, emporté par son bon cœur, « Sud-Ouest » les a transformés en milliards. On attend donc, dans l’édition du lendemain, l’erratum… qui ne vient pas. Et pour cause.

26,5 milliards maintenant, 53 milliards en 2020 ?

Renseignements pris auprès des aimables services de la Commission européenne, les sommes « mises à disposition » des vingt-sept pays de l’Union européenne pour « soutenir leurs stratégies nationales d’intégration des Roms » s’élèvent bien à 26,5 milliards d’euros sur la période 2007-2013 ! Et devant notre incrédulité, la Commission nous en adresse la preuve sous la forme d’un document intitulé « Stratégies nationales d’intégration des Roms : un premier pas dans la mise en œuvre du Cadre de l’UE ». Lequel a été très officiellement remis au Parlement européen et au Conseil (des ministres) de l’UE le 21 mai dernier.

Rapporté à la tête de Rom, ça ne fait jamais que 2 500 euros par individu. Mais, d’une part, les familles sont généralement nombreuses de sorte que ça fait un montant par foyer bien supérieur à nos allocations familiales et, d’autre part, il y a beaucoup de Roms en Europe… bien qu’on n’en connaisse pas exactement le nombre.

La Commission européenne elle-même parle d’une « population estimée entre dix et douze millions d’individus ». Soit 20 % de marge d’erreur, pour deux millions de plus ou de moins, ce qui devrait amener à se pencher sur le sérieux d’Eurostat, le service de statistiques de la Commission européenne qui a posé sa calculette… au Luxembourg. Décidément.

Dans le document du 21 mai, produit dans toutes les langues possibles – et dont on n’est pas prêts d’être débarrassés puisqu’il affiche pour fin de validité le « 99/99/9999 », signe au moins que la Commission européenne n’a pas programmé la fin du monde pour 2012… –, il est affirmé, dès la deuxième phrase, que les Roms « sont très souvent victimes de racisme, de discriminations et d’exclusion sociale », qu’ils sont « victimes de discriminations sur le marché de l’emploi », lesquelles constituent un « gaspillage de main-d’œuvre » (sic) rendant « encore plus difficiles les tentatives faites pour assurer la croissance » ! Authentique !

Et l’on comprend pourquoi il a été nécessaire de budgétiser 26,5 milliards d’euros quand on lit que « c’est aux Etats membres que reviennent en premier lieu la responsabilité et la compétence d’améliorer le sort de leurs populations marginalisées, et c’est donc à eux qu’il incombe d’abord et avant tout de prendre des mesures de soutien en faveur des Roms », tout ceci ayant été planifié pour une période courant jusqu’à 2020 (pour la première phase), ce qui amène à penser que les 26,5 milliards d’euros prévus pour 2007-2013 pourraient bien devenir le double, soit 53 milliards, pour financer ces bonnes oeuvres jusqu’en 2020…

Apprenez à reconnaître les Sintis, Kalés, Boyash, Ashkalis…

Le maître mot de l’Union européenne, c’est l’« inclusion » – l’opposé, on l’a compris, de la si détestable « exclusion ». Et une « inclusion » qui soit « durable », c’est-à-dire qui leur permettre de recevoir un enseignement de qualité, d’être bien soignés, d’avoir un travail digne de leurs compétences et de bénéficier d’un logement à la taille de leur progéniture. Sans que l’objectif de 80 % de réussite au Bac soit affiché, « une plus grande participation des Roms à l’enseignement supérieur » est quand même explicitement exigée et ne semble pas faire écho à l’occupation des campus universitaires par les caravanes lors de la période estivale.

Hélas, trois fois hélas, comme Viviane Reding, la « communication 2012/0226 final »de la Commission européenne relève que les Etats ne montrent pas beaucoup de zèle à utiliser ces 26,5 milliards. Aussi a-telle décidé d’« évaluer les stratégies nationales » afin de rappeler à l’ordre les récalcitrants. En commençant par leur rappeler qu’il n’y a pas différentes sortes de Roms, les propres sur eux qui auraient droit à leur bienveillance et un lumpenprolétariat que l’on pourrait abandonner à son triste sort, mais une seule catégorie, « Rom » étant utilisé pour désigner aussi bien les Roms en tant que tels que les « Sintis, Kalés, Tsiganes, Romanichels, Boyash, Ashkalis, Egyptiens, Yéniches, Doms, Loms, etc. » ainsi que « les Gens du voyage, tout en reconnaissant les spécificités et la diversité des modes et conditions de vie de ces groupes » que chaque Etat de l’UE se doit évidemment de connaître…

Avec 26,5 milliards d’euros, il y a de quoi faire et la Commission de Bruxelles ne manque pas d’idées. Comme d’« améliorer la formation des enseignants » pour qu’ils puissent dispenser leur savoir aux petits Roms, comme si la priorité, en Europe et particulièrement en Fran ce, n’était pas d’améliorer la formation des enseignants pour qu’ils apprennent quelque chose à nos enfants ! La Commission donne en modèle les Etats qui vont encore plus loin que ses préconisations, en proposant « des mesures de soutien supplémentaires, comme des programmes d’enseignement et d’apprentissage en langue romani » – pour l’« inclusion », on repassera –, ou la Slovénie, qui a fait appel à des « médiateurs roms » afin de faciliter le dialogue entre enseignants et élèves. Ou encore la Finlande, où, de la petite enfance à l’entrée sur le marché du travail, chaque Rom est accompagné en un service personnalisé digne de nos précepteurs d’autrefois afin de leur éviter « l’orientation inappropriée vers l’enseignement spécialisé ».

Plus les Roms travailleront, mieux ce sera pour l’économie !

Car le Rom, s’il est souvent plus sale que d’autres – à son corps défendant si l’on peut dire, car c’est rarement de sa faute –, n’est pas plus bête que nous autres, ceux que les services de Viviane Reding appellent « les non-Roms » ! On se croit français, italien, finlandais voire luxembourgeois, bref, européen, eh bien non, on n’est qu’un « non- Rom ». Ça en bouche un coin en même temps que ça rabat le caquet et conduit à une saine modestie…

Mais comment aider les Roms à moins connaître le chômage que les non-Roms ? En les aidant, par exemple, à faire garder leurs enfants, ce qui va nécessiter un sacré déploiement de crèches – remarque, précisons-le, qui ne relève pas d’une malsaine pensée malthusienne mais résulte d’une simple observation du groupe étudié. Car comme le dit le rapport : « Une augmentation de la participation des Roms au marché du travail dans les Etats membres comptant une importante population rom apportera des avantages économiques évidents, et plus encore en ces temps de difficultés économiques. » A regretter, donc, qu’il n’y en ait pas plus en France, d’autant qu’il est une main-d’œuvre qui a droit, elle aussi, à faire son entrée sur le marché du travail : la Rom, la femme rom, qui ne doit plus être cantonnée à la caravane, pardon, au foyer.

Dans le domaine de la santé, ce qui préoccupe en premier lieu les services de Viviane Reding est le bien-être des Roms, chose certes louable, mais on aurait quand même apprécié de savoir quelles sont les conséquences sanitaires, sur les non-Roms, de la dissémination des Roms jusqu’aux confins les plus occidentaux et les plus septentrionaux de l’Europe. De cela, il n’est pas question. Pour la « préparation » des personnels de santé « à travailler avec des personnes d’origines socioculturelles différentes » en revanche, il y a des sous, notamment pour « prévenir les comportements dictés par les préjugés chez les professionnels de la santé », sorte de présomption de culpabilité discriminatoire qui fera plaisir aux médecins de nos campagnes qui se tapent des Roms sous CMU matin midi et soir sans se poser de question en vertu du serment d’Hippocrate qu’ils ont prêté : « Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me le demandera. »

Le Fonds européen agricole à disposition pour les Roms !

Ce n’est pas l’Ordre français des médecins mais l’Irlande que la Commission cite en exemple, pour sa propension à faire appel à des femmes roms afin que celles-ci proposent aux Roms « des soins de santé primaires qui tiennent compte des valeurs de cette communauté ». Quelles « valeurs » ? Ce n’est pas dit. Mais comme disait une femme de ménage de notre connaissance, qui n’était pas rom mais n’en avait pas moins des valeurs : « Ce n’est pas sale, c’est de la poussière ! »

Une surprise est que la France, tant décriée en ce moment pour le démantèlement des camps de Roms, est citée comme modèle pour sa politique de logement en leur faveur ! Du moins ces « autorités locales [qui] ont aménagé des “villages d’insertion“ afin de répondre aux besoins des personnes défavorisées et notamment des Roms qui vivent dans des campements illégaux »« D’autres autorités locales, promet la Commission, reproduiront ce type de projet, avec le soutien du Fonds européen de développement régional », le Feader, dont on pensait jusque-là qu’il aidait au développement des régions d’Europe et pas à ceux qui ont entrepris de s’y installer… Telle est pourtant sa nouvelle mission, en partenariat avec le Fonds de cohésion et le Fonds social européen, lequel a aussi vocation à « renforcer la capacité d’action des organisations roms ».

On aurait pu penser que ce texte visait en premier lieu, voire exclusivement, les pays à forte concentration de Roms, comme la Roumanie ou la Bulgarie. Que nenni. Tous les pays de l’Union européenne – y compris le Luxembourg ? – sont sommés par la Commission de consacrer « aux mesures d’inclusion des Roms un financement suffisant à charge de leur budget national, à compléter le cas échéant par des fonds de l’UE et par un financement international ». Et de faire appel, si besoin est, aux ressources du Fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER), dont on croyait bêtement qu’il était là pour aider ce qu’il reste de notre paysannerie ! Que les services de Madame Reding comparent les taux de suicide chez les Roms et chez les paysans français, et ils comprendront peut-être qui a le plus besoin d’être aidé !

Parce que franchement, ce n’est pas pour aider « les Etats membres à combler les écarts entre les Roms et la population majoritaire » que l’on a bâti l’Europe. Mais pour la paix et la prospérité de ladite « population majoritaire ». Vous savez, « les non- Roms »

Antoine Vouillazère

Article de l’hebdomadaire “Minute” du 29 aout 2012 reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.

27 milliards d'euros rien que pour eux ! L’argent coule à flots pour les Roms !

[cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine [http://fr.novopress.info/]
 
Il faut bien financer les ROMS, le nouveau contrat aidé destinés aux jeunes sans qualification issus des banlieues défavorisées, les associations du PS comme SOS Racisme etc.....

TRIBUNE LIBRE : LIBRE PROPOS ET CONSTAT !

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parGilbert Spagnolo dit P@py(son site)vendredi 31 août 2012 -  
   

 
 
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Cumuls des mandats,... bienvenue au bal des faux-derches !

Actuellement le lanterneau politique est braqué sur la guéguerre Aubry/ Rebsamen et Gérard Collomb, pour le non cumul des mandats.

En effet la patronne des socialistes entend mettre fin aux cumuls des mandats.

 

Petit retour en arrière !

Le non-cumul était le 48e des 60 engagements pris par François Hollande lors de sa campagne présidentielle. Le 14 juillet, le président de la République avait indiqué qu'une commission sur la moralisation de la vie politique, dont la présidence a été confiée à l'ancien premier ministre Lionel Jospin, serait chargée de faire des propositions portant notamment sur le non-cumul « pour que les parlementaires soient pleinement impliqués dans la vie législative ». Le texte, qui doit voir le jour cet automne, après la fin des travaux de la commission Jospin, devrait faire l'objet d'âpres négociations.source.

 

A l'université d'été de La Rochelle, Martine Aubry rappelle la 48éme promesse de François Hollande !

Martine Aubry a profitée de l'Université d'été du P.S. à La Rochelle pour rappeler la 48éme promesse de François Hollande lors de sa campagne présidentielle ( sur ce site, vous pouvez accéder aux engagements de François Hollande vidéo :. )

 

Au cours de cette université, la patronne du P.S. à notamment déclarée :

« Quand on appartient à un parti et que 90 % des militants votent pour le non-cumul, on le respecte ou on quitte le parti », prévenait vendredi la maire de Lille. Le message avait le mérite d'être clair. : source.... et rendons lui hommage pour le courage de cette déclaration .

Mais hélas sur ce beau principe quelques ténors du P.S. sont vent debout parmi les opposants citons les Sénateurs François Rebsamen : et Gérard Collomb.

 

Indemnité mensuelle d'un Sénateur.

Indemnité mensuelle : 7 100,15 € bruts par mois qui comprend une indemnité de base (5 514,68 €), une indemnité de résidence (165,44 €) et une indemnité de fonction non imposable (1 420,03 €). Cela représente 5 388,72 € nets par mois. Le président du Sénat perçoit, quant à lui, une indemnité de fonction de 7 057,55 euros.

Indemnité représentative de frais de mandat : 6 240,18 € bruts par mois pour faire face aux diverses dépenses liées à l'exercice de leur mandat (voiture, loyer, frais de réception, d'habillement...).

Avantages : 7 548 € mis à disposition pour rémunérer ses collaborateurs, dotation micro-informatique, accès gratuit à l'ensemble du réseau SNCF en 1re classe, forfait global de communications téléphoniques. Le président du Sénat jouit d'une indemnité propre de plus de 14 000 €.

Cumul : possible. Un sénateur ne peut cumuler son indemnité parlementaire et les indemnités d'autres mandats électifs que dans la limite d'une fois et demie le montant brut de l'indemnité parlementaire de base, soit 8 272,02 €. Un parlementaire ne peut donc percevoir plus de 2 757,34 € au titre de ses mandats locaux :source.

 

Le hic,... le François de Dijon, et le Gérard de Lyon ne sont pas d'accord !

Petit rappel sur l'ensemble des sommes que touche François Rebsamen.

François Rebsamen touche 3.536,51 euros au titre de la présidence du Grand Dijon.

 Comme conseiller général de Côté d'Or, il a le droit une indemnité de 2233,58 euros. Comme la loi interdit aux élus locaux de cumuler plus de 8.100 euros par mois, il ne peut gagner plus 2330 euros par mois pour remplir sa fonction de premier magistrat de la capitale bourguignonne. 

Maire de Dijon : 2.733 €

Président de la CA Dijonaise : 3.537 €

Conseiller général de Côte d'Or : NC

Total : 8.100 € maximum : source....ben oui, le François de Dijon, ne veut tout simplement pas abandonner ses 2330 euros mensuels.

 

Petit rappel sur l'ensemble des sommes que touche Gérard Collomb !

En plus de ce que touche Gérard Collomb pour diriger les affaires de la ville, ses fonctions de président de la communauté urbaine et de sénateur porteraient théoriquement ses revenus mensuels à plus de 17.000 euros. Mais, comme tous les élus de France, le cumul de ses indemnités ne peut dépasser 8.100 euros. Ses fonctions locales sont donc plafonnées à 2.700 euros. 

Maire de Lyon : NC

Président de la CU de Lyon : NC

Sénateur : 5.400 €

Total : 8.100 € maximum (La mairie n'a pas donné suite à nos demandes de précisions) source. .. à l’instar de son collègue sénateur François Rebsamen, Gérard Collomb n'a pas envie de perdre quelques milliers d'euros !

 

Le Credo des cumulards politiques !

Lorsque l'on évoque le cumul des mandats, le Crédo des politiques ( majorité et opposition ) qui le pratique est de dire que pour eux le cumul des mandats leur permet un meilleur ancrage sur le terrain, une meilleure connaissance des problèmes locaux, et une plus grande proximité avec les citoyens. Cumul des mandats wikipédia. Pour info, il est bon de signaler que le cumul des mandats est une exception française :.

 

Le bénévolat, .. la solution !

Nous l'avons vu plus haut, les cumulards évoquent un meilleur ancrage sur le terrain, une meilleure connaissance des problèmes locaux, et une plus grande proximité avec les citoyens, .. alors la situation est très très simple, pour ces cumulards, ...il suffit tout simplement pour eux d'exercer leurs mandats annexes en tant que bénévoles, de ce fait, ils iront grossir le nombre des 12 à 14 millions, de Français qui pratique le bénévolat ,...simple non ! … mais comme dit l'autre ,... faut pas trop rêver !

En attendant méditons sur ce nouveau adage politique :.

 

Lien en annexe  :

Lettre de Martine Aubry aux parlementaires sur le non-cumul.

 

source et publication: Gilbert Spagnolo dit P@py :/http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/cumuls-des-mandats-bienvenue-au-121920

 

Source des deux images qui illustrent mon article :.

APRÈS LE FN 35, LE FN 51 TENSION MAXIMUM ......

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FN: le secrétaire départemental, Cédric Abdilla, rejoint Debout la République

Politiquemardi 04 septembre 2012
 

 

Cédric Abdilla, secrétaire départemental du Front National, qui s'était mis en retrait du parti en juillet dernier, a décidé de réjoindre Nicolas Dupont-Aignan et son parti Debout la République (DLR).

Dans un communiqué, il estime qu «il y a sur le fond beaucoup de similitudes entre le programme de DLR et celui du FN mais je sens dans ses propos une plus grande sincérité politique chez Nicolas Dupont Aignan.

Il y a aussi probablement dans mon choix une grande déception vis-à-vis de Marine Le Pen mais peu importe, là n’est pas le sujet aujourd’hui.

Le temps servira à me donner raison».

http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-FN-le-secretaire-departemental-Cedric-Abdilla-rejoint-Debout-la-Republique_40771-2109583-pere-bre_filDMA.Htm



Tension maximum au FN 51

Publié le jeudi 06 septembre 2012 à 10H35 - Vu 298 fois


 
Edith Erre à son arrivée, peu encline à s'exprimer.

Edith Erre à son arrivée, peu encline à s'exprimer.


 

 

Il n'est pas content du tout. Alors il a haussé le ton. 15 h 30, dans un hôtel proche du parc des expositions de Reims, Steeve Briois, le secrétaire général du Front national, convoque plusieurs militants.

Les « agitateurs » ressortent de la salle cinq minutes après, un brin amusés. « Il nous a engueulés parce qu'on a parlé à la presse », racontent-ils, à peine surpris.


Depuis l'arrivée du secrétaire général le matin, les auditions des militants s'enchaînent.

Les problèmes de la fédération marnaise sont déballés les uns après les autres. Certains adhérents seront écoutés, d'autres écartés. Plusieurs ignorent même s'ils sont juste suspendus ou exclus, pour avoir trop parlé.

Peu importe. « Les militants sont venus dénoncer le népotisme, le despotisme et l'opacité qui règnent dans cette fédération », annonce Thierry Maillard, l'« indésirable ». En cause, le couple Pascal et Edith Erre, « qui gère la fédération depuis 13 ans » jusqu'à l'écœurement d'un certain nombre d'adhérents.


Edith Erre justement arrive sur le parking. Moment de flottement. « On ne veut pas parler tant qu'elle sera là… » L'ex-candidate aux législatives s'engouffre dans le hall de l'hôtel, marquant juste une pause pour interdire aux journalistes de la filmer.

Elle aussi est venue s'exprimer. Mais au secrétaire général du Front national seulement. « Je n'ai rien à dire », martèle l'épouse de Pascal Erre, lâchant juste que « ce qu'ils disent, c'est de la m… ! » La guerre des clans est à son comble.

« système Erre », l'affaire du tatouage nazi, les candidats fantômes, les évictions à répétition, tout aura été évoqué dans la confidentialité des entretiens.

Ensuite… Une synthèse sera transmise à Marine Le Pen sur le cas de cette fédération marnaise en pleine implosion. Affaire à suivre.


J.G.-A.

BOBO DE GAUCHE CONTRE ÉCOLOGIE DE DROITE .......

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Boboïsme de gauche contre écologie de droite

Tribune libre de « Super Résistant »

L’ennemi principal, on ne le répétera jamais assez, est la droite de gauche. Postures, discours, vocabulaire, valeurs, etc… Tout en eux est de gauche. Un exemple éloquent de cette famille hégémonique dans les instances dirigeantes de l’UMP est Chantal Jouanno : “En tant que candidate, je pense qu’il faut peut-être un candidat un petit peu plus décalé pour Paris, un peu plus bobo, je m’affirme écolo-bobo et je le supporte très très bien” L’idée que pour conquérir une capitale il faudrait impérativement être « écolo-bobo » est une idée fausse, preuve en est l’excellent Boris Johnson, maire de Londres, qui cultive certes son image« décalée », mais qui est clairement positionné à l’aile droite du Parti conservateur. Il est certain que Jouanno est bobo, pour autant elle n’est pas « écolo ». Il y a eu en France une confusion entre le Parti bobo, véhiculant l’idéologie libéral-libertaire classique et simple excroissance de Mai 68, et le souci écologique. Les Verts sont devenus plutôt un parti bobo qu’un parti écolo. Du fait que Jouanno manifeste une opposition courageuse à la« droitisation », que dis-je à la pétainisation  de l’UMP, et qu’elle lutte ardemment contre le très maurrassien conseiller de Sarkozy en égorgement d’enfants Patrick Buisson, elle s’apparente aux clans des bobos mais n’a rien d’une écologiste sincère. Cette formule d’ « écolo-bobo » est la preuve de la malheureuse confusion qui existe entre le boboïsme et l’écologisme. Tout cela tendrait à nous faire croire que l’on ne peut penser l’écologie que si l’on est un bourgeois de gauche – ou un bourgeois de gauche votant pour une droite de gauche.

Philippe de Villiers nous prouve qu’il n’est pas indispensable d’être un bobo pour être un ami de la nature et des terroirs, qu’une politique écologique se base d’abord sur la coexistence pacifique entre l’homme et son milieu.

Mais s’il existe une écologie gauchiste, peut-il exister une écologie enracinée à droite ? C’est évident, et la figure qui vient immédiatement à l’esprit est celle de Philippe de Villiers qui nous prouve qu’il n’est pas indispensable d’être un bobo pour être un ami de la nature et des terroirs, mais qu’une politique écologique se base d’abord sur la coexistence pacifique entre l’homme et son milieu.  Et tandis qu’à gauche, écolo rime avec bobo, à droite, combat écologiste se conjugue avec combat souverainiste. Car Villiers a été, dans le cadre de sa lutte contre l’ogre bruxellois, à la pointe du combat pour la préservation des abeilles, a lancé l’alerte sur leur disparition alarmante (1), contre les OGMs, contre les fongicides ultra-puissants Gaucho et Régentsur le dossier du Prestigede l’Erika,… Une écologie de droite, c’est aussi une écologie de la ruralité et des paysages. Soutien à la viticulture, soutien à la chasse, à la pêche traditionnelle, opposition à la réintroduction sauvage des loups et des ours… Rappelons également qu’aux temps glorieux du Rassemblement pour la France, on applaudissait le nom de José Bové, pour sa lutte contre l’américanisation de nos contrées et la malbouffe, lors des meetings  de la formation souverainiste.

Le conservatisme est une doctrine qui pose l’homme comme avant tout un héritier, il ne cherche donc pas à faire table rase du passé mais souhaite le préserver et le faire fructifier. Il n’a pas la fascination de la nouveauté qui est la maladie orpheline de la gauche. L’écologisme est donc avant tout un conservatisme, voilà comment s’explique la schizophrénie de la gauche coincée entre la doctrine verdâtre et la religion du progrès.

La droite sera-t-elle apte à refonder une nouvelle écologie de droite, conservatrice et réaliste, sur les bases énoncéessupra, ou restera-t-elle enfermée dans le carcan de cette écologie superficielle et libertaire ?

> le blog de Super Résistant

http://www.ndf.fr/poing-de-vue/06-09-2012/boboisme-de-gauche-contre-ecologie-de-droite

MARSEILLE ET LA LIBANISATION DE LA FRANCE !!! SUITE .....

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Ayrault : Marseille, une «question d'intérêt national»

 

Mis à jour le 07/09/2012 à 11:27 | publié le 06/09/2012 à 19:58 
 
Jean-Marc Ayrault, entouré d'une quinzaine de ministres, a présidé, jeudi, le comité interministériel à Matignon. Crédits photo : Gerard Roussel/Gerard Roussel / PANORAMIC
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VIDÉO - Le premier ministre a annoncé un renfort de 205 policiers et gendarmes dans la Cité phocéenne.

Une réponse globale. C'est ce que le gouvernement entend donner pour sortirMarseille de la spirale de violence dans laquelle la ville sombre depuis plusieurs mois. Certes, Manuel Valls était présent pour rappeler les impératifs d'une présence policière renforcée, mais Jean-Marc Ayrault a voulu placer le comité interministériel sur la criminalité qu'il avait convoqué à Matignon pour jeudi après-midi sous le signe de la collaboration gouvernementale avec aussi bien les ministres régaliens (Justice, Intérieur) que ceux chargés de l'Éducation nationale, du Redressement productif, du Logement, de la Ville ou de l'Écologie.

Nouveauté institutionnelle, il s'agit du premier comité interministériel consacré à une ville. Jean-Marc Ayrault a tenu à le rappeler lors de son discours à l'issue du comité.

 

 

Le premier ministre a rappelé que son message était celui «de la confiance et de la détermination» ; «le destin de l'agglomération de Marseille est d'intérêt national. Sortir Marseille de ses difficultés est un impératif»

La réponse que le gouvernement souhaite apporter porte aussi bien sur le plan sécuritaire qu'institutionnel. Jean-Marc Ayrault annonce ainsi le renfort de 205 nouveaux policiers et gendarmes sur la ville, l'arrivée de nouveaux magistrats, qui recevront selon Ayrault «de nouvelles directives pénales», la création d'un centre d'éducation fermé mais également la création d'ici au début de l'année prochaine d'une nouvelle zone de sécurité prioritaire dans les quartiers sud. Cette ZSP fait suite à celle déjà annoncée sur les quartiers nord. La réponse sera également institutionnelle. Le gouvernement entend faire de Marseille une seule grande agglomération regroupant plusieurs pôles. Le premier ministre a d'ailleurs annoncé l'arrivée d'un préfet chargé de veiller à la nouvelle organisation administrative.

Et pour marquer son intérêt pour la ville, Jean-Marc Ayrault a fait part de son intention de passer les prochains lundi et mardi dans la ville pour aller à la rencontre des élus et des habitants.

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http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/09/06/01016-20120906ARTFIG00713-ayrault-marseille-une-question-d-interet-national.php?m_i=w%2BvwZb%2BZlj0M1ZvfRgESxvOSQdwILM%2BjGbqpQ7CR4QXjKimwf

 

Communiqué de Louis Aliot, vice-président du Front National

L’immobilisme du pouvoir socialiste a franchi une nouvelle étape.

Pour régler le terrifiant problème de la violence à Marseille, le Premier ministre a choisi la « réunionite » avec effet d’annonce comme aux plus belles heures du « karcher » sarkozyste.

Cette violence ne se jugulera pas dans les salons douillets des ministères, mais sur le terrain avec dans des directives claires, le soutien et l’appui à nos forces de police et de gendarmerie.

Au-delà de l’anarchie migratoire qui conduit à un communautarisme militant destructeur de l’Etat-Nation républicain, le problème réside dans le développement et le commerce illicite de la drogue qui prend une ampleur dramatique dans ces quartiers, dans les écoles et qui nuisent directement à notre jeunesse. Cette explosion du trafic de drogue s’ajoute à d’autres trafics clandestins, armes, contrefaçons, les uns dépendant le plus souvent des autres.

Le Front National déplore l’absence de volonté politique en cette matière et s’interroge sur le silence des autorités en cette matière. Il est vrai qu’un certain nombre de ministres, de députés et de hiérarques socialistes, verts ou communistes n’hésitent plus à faire la promotion de la consommation de certains stupéfiants au mépris de la loi. Cette complicité objective avec le fléau que représente la drogue est un scandale.

Dans un souci de santé et de sécurité publique, le FN demande à ce que la lutte contre les stupéfiants devienne une priorité nationale et qu’un plan d’information, de prévention et de répression soit mis en place dans les plus brefs délais afin de protéger la société des dérives mafieuses qui gangrènent nos villes et nos quartiers.

 

MARSEILLE: PLUS BELLE LA VIE ???

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Vendredi 7 septembre 2012

Le procureur du tribunal correctionnel de Marseille a requis ce jeudi six mois de prison avec sursis à l'encontre d'une jeune femme de 18 ans, intégralement voilée, qui avait mordu une policière lors d'un contrôle d'identité fin juillet.


Le tribunal a mis sa décision en délibéré au 20 septembre.

Louise-Marie Suisse, qui s'est présentée à l'audience vêtue d'un voile niqab noir, et gantée, mais le visage découvert, comparaissait pour «violence en réunion sur personne dépositaire de l'autorité publique», aux côtés de deux hommes poursuivis pour le même motif.


Le procureur a requis une peine identique à l'encontre des trois prévenus, arguant du fait que son devoir était «outre les violences, de rappeler qu'il y a des éléments de subversion désagréables dans ce dossier».

Dans la nuit du 25 au 26 juillet, alors qu'elle se trouvait à proximité d'une mosquée dans le centre de Marseille, la jeune femme, entièrement voilée sur la voie publique, avait été contrôlée par deux gardiens de la paix dans le cadre de la législation interdisant le port du voile intégral. Elle avait refusé d'obtempérer en affirmant aux policiers qu'elle ne respectait pas les lois de la République, ni leur autorité.

L'intervention d'un premier homme, puis un attroupement sur les lieux, avaient provoqué une émeute dans laquelle une fonctionnaire de la BAC, arrivée en renfort, avait été mordue par la prévenue.

"Je ne pouvais plus respirer alors oui, je l'ai mordue"

A l'audience, Louise-Marie Suisse a affirmé que les policiers l'avaient «agressée»: «ils m'ont dit "enlève ta merde, on va t'amener au poste",» a-t-elle raconté.

A la présidente du tribunal qui lui demandait pourquoi elle n'avait pas obtempéré, la jeune femme, défendue par Me Yaëlle Cohen, a répondu qu'elle «avait laissé son sac avec ses papiers dans la voiture» de l'un des autres prévenus.

Interrogée sur la morsure infligée à la policière, elle a expliqué avoir été «en panique»: «ils m'ont mise par terre, m'ont violentée, ils m'ont mis la main sur la bouche», a-t-elle affirmé.

"Je ne pouvais plus respirer alors oui, je l'ai mordue", a ajouté la jeune femme, mère d'un garçonnet, qui a par ailleurs été convoquée chez le procureur pour un rappel à la loi concernant son infraction à la législation sur le voile intégral.

Une enquête administrative auprès de l'instance disciplinaire de la direction départementale de la Sécurité publique (DDSP) a parallèlement été ouverte sur ces faits, en raison de violences présumées de la part des policiers.

L'avocat des parties civiles, Me Laurent Lévy, a réclamé pour la policière mordue, qui n'était pas présente à l'audience, 2.500 euros de dommages et intérêts.

http://www.leparisien.fr

MARSEILLE: PLUS BELLE LA VIE ???

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Vendredi 7 septembre 2012

Le procureur du tribunal correctionnel de Marseille a requis ce jeudi six mois de prison avec sursis à l'encontre d'une jeune femme de 18 ans, intégralement voilée, qui avait mordu une policière lors d'un contrôle d'identité fin juillet.


Le tribunal a mis sa décision en délibéré au 20 septembre.

Louise-Marie Suisse, qui s'est présentée à l'audience vêtue d'un voile niqab noir, et gantée, mais le visage découvert, comparaissait pour «violence en réunion sur personne dépositaire de l'autorité publique», aux côtés de deux hommes poursuivis pour le même motif.


Le procureur a requis une peine identique à l'encontre des trois prévenus, arguant du fait que son devoir était «outre les violences, de rappeler qu'il y a des éléments de subversion désagréables dans ce dossier».

Dans la nuit du 25 au 26 juillet, alors qu'elle se trouvait à proximité d'une mosquée dans le centre de Marseille, la jeune femme, entièrement voilée sur la voie publique, avait été contrôlée par deux gardiens de la paix dans le cadre de la législation interdisant le port du voile intégral. Elle avait refusé d'obtempérer en affirmant aux policiers qu'elle ne respectait pas les lois de la République, ni leur autorité.

L'intervention d'un premier homme, puis un attroupement sur les lieux, avaient provoqué une émeute dans laquelle une fonctionnaire de la BAC, arrivée en renfort, avait été mordue par la prévenue.

"Je ne pouvais plus respirer alors oui, je l'ai mordue"

A l'audience, Louise-Marie Suisse a affirmé que les policiers l'avaient «agressée»: «ils m'ont dit "enlève ta merde, on va t'amener au poste",» a-t-elle raconté.

A la présidente du tribunal qui lui demandait pourquoi elle n'avait pas obtempéré, la jeune femme, défendue par Me Yaëlle Cohen, a répondu qu'elle «avait laissé son sac avec ses papiers dans la voiture» de l'un des autres prévenus.

Interrogée sur la morsure infligée à la policière, elle a expliqué avoir été «en panique»: «ils m'ont mise par terre, m'ont violentée, ils m'ont mis la main sur la bouche», a-t-elle affirmé.

"Je ne pouvais plus respirer alors oui, je l'ai mordue", a ajouté la jeune femme, mère d'un garçonnet, qui a par ailleurs été convoquée chez le procureur pour un rappel à la loi concernant son infraction à la législation sur le voile intégral.

Une enquête administrative auprès de l'instance disciplinaire de la direction départementale de la Sécurité publique (DDSP) a parallèlement été ouverte sur ces faits, en raison de violences présumées de la part des policiers.

L'avocat des parties civiles, Me Laurent Lévy, a réclamé pour la policière mordue, qui n'était pas présente à l'audience, 2.500 euros de dommages et intérêts.

http://www.leparisien.fr


SCÈNE DE VIE QUOTIDIENNE EN FRANCE !

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Strasbourg : scènes de la vie quotidienne d’une Française en France

Ceci n’est qu’un témoignage, il n’a pas les qualités d’une analyse sociologique documentée, mais il est illustratif, je pense, du climat qui règne actuellement dans de nombreuses régions de notre pays

En 2006, j’achète un appartement dans ma ville, Strasbourg.

Toute joyeuse lorsque je me gare pour la première fois devant mon nouvel immeuble, me voici immédiatement prise à partie et invectivée par un jeune homme d’origine maghrébine, qui m’accuse d’être stationnée « sur sa place » dans la rue !! « Bon début », me dis-je…

Il s’avère que ledit personnage est un algérien musulman qui habite la résidence, et que je vais avoir à subir une année durant une vie de cauchemar : munsters déposés sous mon paillasson, ketchup et mayonnaise versés dans ma boîte aux lettres, insultes racistes et sexistes diverses (« sale chrétienne », « vieille pute » etc.), menaces de mort, menaces d’agression physique.

Il se trouve que je suis une femme seule, donc illégitime puisque non « protégée » par un mâle, et de surcroît détentrice d’une once d’autorité puisque devenue conseillère syndicale de la copropriété. Il peut donc s’en donner à cœur joie. Je dépose plainte.

L’affaire est classée sans suite. Sans doute parce que le monsieur, dont les sept frères, connus de la police, vivent dans la cité « sensible » voisine, risquent de créer une émeute. Mieux vaut sacrifier une quinquagénaire seule et sans défense….

J’ai revendu au bout d’un an.

En 2010, en voiture dans une avenue de Strasbourg en pleine journée, je m’arrête au feu rouge. C’est alors qu’un scooter me double par la droite à pleine vitesse et brûle le feu. Je donne un petit coup de klaxon réprobateur à l’intention du scooter dangereux. Demi-tour instantané du conducteur, un jeune d’origine maghrébine, qui fonce sur mon véhicule et tente d’ouvrir la portière.

Heureusement, j’ai le réflexe salvateur de déclencher la fermeture centralisée, et j’en serai quitte pour un crachat et un coup de poing sur la vitre avant que fort à propos le feu ne repasse au vert. Je redémarre en tremblant encore de cette violence…..

En 2011, dans l’après-midi, je traverse un centre commercial de Strasbourg pour me rendre au cinéma voisin. A un certain endroit, la galerie se rétrécit légèrement et là, arrivant en face de moi, un jeune homme très barbu, qui avait décidé que j’étais dans son chemin, m’a envoyé un violent coup d’épaule pour me pousser hors de sa route, me projetant contre la vitrine d’un magasin. Je me suis retournée pour lui dire qu’il aurait pu s’excuser. Il fait brutalement demi-tour et revenant vers moi, m’insulte de manière insupportable (« Sale pute, va te prostituer ailleurs !, etc. ») devant de nombreux témoins Je précise que suite à un cancer du sein, j’ai bénéficié d’une reconstruction et que si le coup d’épaule m’avait atteint 10 cm plus bas, ma prothèse mammaire aurait explosé. Dépôt de plainte et affaire classée sans suite, malgré les témoignages et les caméras du centre commercial qui ont filmé la scène….J’ai appris que ce personnage était connu des commerçants, sa femme porte le niqab et il refuse d’être servi par des vendeuses.

En 2012, de retour d’un déplacement en train, j’embarque vers 23 heures dans le taxi en tête de file à la gare de Strasbourg. Dans le véhicule, rap à fond. Le conducteur, un jeune maghrébin, pendu à son portable, commence par partir dans la mauvaise direction. Après rectification, et dans le bruit de ses  conversations personnelles tenues à tue-tête pour dominer les décibels, le chauffeur me demande à un carrefour s’il doit continuer tout droit ou tourner à droite. Comme nous étions sur une voie fléchée « virage à droite », je lui réponds qu’il convenait de tourner à droite. Le feu passe au vert- et le chauffeur fonce tout droit. Agacée depuis le départ, je lui fais remarquer qu’il ne respectait pas le code de la route. Crissement de pneus, le type s’arrête net et me débarque en pleine nuit, jetant ma valise sur le trottoir. J’attends toujours des nouvelles de ma réclamation auprès des services de la Préfecture…..

En 2012 enfin, bénévole dans une association d’aide aux malades, je dois aller distribuer dans les pharmacies des quartiers défavorisés une brochure multilingue(en arabe, turc, etc.) de sensibilisation à l’importance du dépistage face au risque du cancer.

Je me gare donc devant la pharmacie qui jouxte le supermarché halal d’une cité de Strasbourg pour y déposer le document. Il ne m’a pas fallu trois minutes pour accomplir cette mission que déjà, regagnant ma voiture, je l’ai trouvée cernée par une dizaine de jeunes hommes d’origine immigrée, que j’ai dû prier humblement, la boule au ventre, d’avoir l’amabilité bien vouloir consentir à s’écarter pour me laisser accéder à mon véhicule. Ça donne envie d’aider…

Je passe sur l’anxiété quand je croise des bandes de jeunes casquettés/cagoulés, déambulant de ce pas primaire dit « pimp walk » ‘(« démarche des macs ») héritée des prisons américaines et qui vous dévisagent avec arrogance et mépris jusqu’à ce que vous détourniez les yeux, sur la multiplication insensée, quasi-exponentielle, du nombre des femmes voilées ou niquabées dans le centre ville de Strasbourg, des mosquées qui s’érigent un peu partout, financées à 25% sur nos impôts…

Voilà, ce témoignage vaut ce qu’il vaut, peut-être trouvera-t-on qu’il y a des problèmes plus graves dans la vie.

Mais moi, à 60 ans, je ne supporte plus de vivre cela et envisage de quitter ma région.

Valérie Louvet

http://ripostelaique.com/strasbourg-scenes-de-la-vie-quotidienne-dune-francaise-en-france.html

ISLAMISATION ET COMMUNAUTARISME !

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Vendredi 7 septembre 2012

C’est l’évènement islamiste de la rentrée : les communautaristes mahométans, tendance Frères musulmans, lancent le « Salon musulman du Val d’Oise« . Prévu les samedi 15 et dimanche 16 septembre au Parc des expositions de Pontoise (95), ce rassemblement qui est présenté comme « la première rencontre des musulmans d’Ile-de-France » espère voir affluer plusieurs milliers de visiteurs, et attend plus de 150 exposants. Si telle est la volonté d’Allah !

Une dizaine de conférences sur les thèmes de « l’islam », de « l’éducation des enfants », ou encore de « la finance islamique », sont prévues de même qu’un « concours de mémorisation et de récitation de Coran », en partenariat avec l’Institut européen de formation continue et l’Institut coranique Abi ‘Amr de la Mosquée de Pontoise.

Sont attendus des intervenants pour le moins très orientés idéologiquement comme le célèbre et très controversé Tariq Ramadan, « prédicateur des banlieues » petit-fils du fondateur des Frères musulmans, de même que d’autres tous aussi sulfureux comme le Cheikh Abdallah Boukhari, Mohamed Sawi, Mosaad Anouar, le Cheikh Mohamed Patel, Ahmed Jaballah, le Cheikh Salah, Youssef Baouendi, Anass Patel, etc.

L’initiateur de cette manifestation n’est autre que la Mosquée de Cergy-Pontoise, inaugurée en juin dernier par Manuel Valls, le ministre de l’Intérieur.

 http://www.nationspresse.info

LA JUSTICE ET CE PAUVRE MUSULMAN.........

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  Acharnement de la justice contre un pauvre musulman qui avait bloqué le périphérique

 

Classé dans: Brève du jour,France,Société | 

Un musulman de 28 ans, impossible de ne pas stigmatiser, a bloqué, le 29 juin dernier, la circulation du périphérique avec le cortège du mariage maghrébin composé de voitures de pauvres immigrés: une Range Rover, une Mercedes SLS AMG, une Lamborghini etc… quelle vie d’exploités.

Entrave à la circulation, mise en danger de la vie d’autrui, il risquait deux ans de prison et 15.000€ d’amende. Comme il conduisait une voiture qui ne s’achète pas en travaillant 35 heures par semaine, le tribunal de grande instance de Paris, qui n’a pas compris qu’il s’agissait, en fait, d’un symbole de prise de possession du territoire Français, l’a condamné à 1400€ d’amende et 4 mois de suspension de permis. Quelle fermeté, il doit encore en rire.

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Le musulman, qui n’en finit pas d’être considéré comme victime de la société, était au volant de ce qui ressemble fort à un Mercedes SLS AMG portes papillon à 200.000€. Il avait ensuite fait des embardées avec sa voiture.

Le juge n’a pas osé lui demander comment il a payé la voiture – il ne faut pas stignamiter nos minorités, et le fisc n’a pas dans l’idée de déclencher un contrôle fiscal : mieux vaut s’en prendre aux patrons de petites entreprises, c’est moins dangereux et tellement plus politiquement correct.

Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

http://www.charentelibre.fr/2012/08/30/amende-et-permis-suspendu-pour-un-conducteur-qui-avait-bloque-le-peripherique,1111888.php?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter

MALI : INTERVENTION AFRICAINE ET EUROPÉENNE ......

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Le Point.fr - Publié le 06/09/2012 à 16:05 - Modifié le 07/09/2012 à 12:58

Des conseillers militaires européens préparent des forces armées africaines afin de reconquérir l'intégrité territoriale du Mali.

 
 

Fin août, 75 conseillers militaires européens sont arrivés au Nigerpour entraîner des soldats nigériens, maliens, mauritaniens.

Objectif ? Préparer des forces armées à l'éventuelle reconquête du nord du Mali, tombé sous la coupe de trois groupes islamistes il y a cinq mois, dont Aqmi (al-Qaida au Maghreb islamique).

Des informations font aussi état de drones survolant le massif montagneux où Aqmi, formée de djihadistes algériens, a installé son repaire, au nord du Mali, il y a une dizaine d'années.

Un drone aurait été abattu il y a quelques semaines, tandis qu'à Tamanrasset, l'Algérie, qui craint l'arrivée de troupes étrangères à l'Afrique sur sa frontière sud, renforce son dispositif militaire.

La reconquête militaire du nord du Mali serait-elle programmée ? Un obstacle politique vient d'être levé : le 4 septembre, le président par intérim du Mali, Diacounda Traoré, a demandé à la Cedeao (Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest) de l'aider à remettre sur pied une armée malienne déliquescente afin de reconquérir l'intégrité territoriale de son pays. La Cedeao pourra désormais demander une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU pour obtenir le feu vert à une intervention. 

Intervention africaine

L'initiative du président malien ne semble pas faire l'unanimité. Le Premier ministre et le capitaine Sanogo, auteur du putsch du 22 mars et faiseur de rois à Bamako, se taisent. Sanogo continue à tirer les ficelles d'une classe politique déchirée entre les pro et les anti-coups d'État, les pro et les anti-interventions militaires africaines, les pro et les anti-négociations avec les islamistes. Le tout sur fond de rivalités pour le pouvoir.

Le président Traoré est, lui, soutenu par la Cedeao (qui propose d'envoyer 3 300 hommes) et les Occidentaux.

Même s'il n'est pas question, en particulier pour la France, d'envoyer des hommes sur le terrain. Les pays du Sahel sont d'ailleurs opposés à une intervention militaire non africaine. Mais Paris, comme l'UE et les États-Unis, est prêt à fournir une aide logistique aux pays de la Cedeao si l'intervention se fait à la demande de l'ONU, car les armées de la région, à l'exception de celle du Nigeria, manquent de moyens militaires et financiers.

En outre, reconquérir le nord du Mali ne sera pas une partie de plaisir pour des soldats peu habitués au désert face à des djihadistes qui y sont nés. 

6 000 combattants djihadistes

Or, le temps presse. Pour plusieurs raisons. La première : les islamistes poursuivent leur conquête sans trouver de résistance. Le 2 septembre, le Mujao (Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest) a conquis Douentza, au centre du pays, sans que l'armée malienne tire un coup de fusil. Le même jour, le Mujao, qui n'est probablement qu'un faux-nez d'Aqmi, a revendiqué l'assassinat du vice-consul algérien à Gao, enlevé avec six autres diplomates algériens avant l'été. Alger a refusé (c'est un principe) de payer la rançon demandée (15 millions d'euros) et de libérer trois djihadistes d'Aqmi.

Deuxième raison : les djihadistes se renforcent. Si 230 000 Maliens ont quitté leur pays pour se réfugier en Mauritanie, au Niger, en Algérie, afin d'échapper à l'ordre moral et aux exactions des islamistes, ceux-ci recrutent parmi la jeunesse. Aqmi disposait de 500 combattants il y a quelques années, les trois groupes (Aqmi, Mujao et Ansar Eddine) disposeraient aujourd'hui de 6 000 hommes. Ansar Eddine, surtout, a le vent en poupe. Dirigé par un Touareg, Iyad ag Ghali, il a récupéré la majorité des Touareg du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) pour des raisons claniques et financières. Les Occidentaux espéraient que le MNLA, officiellement laïque, serait le fer de lance de la reconquête du Nord contre les djihadistes. C'est lui qui a cédé la place et il n'a plus guère d'existence sur le terrain. 

Financés par le Qatar, la drogue, les rançons

Troisième raison : les djihadistes ont des soutiens financiers. Aqmi et le Mujao disposent de l'argent des rançons (énormes) payées pour libérer les Occidentaux enlevés, même si celles-ci n'existent pas officiellement. Ansar Eddine reçoit aussi des fonds et de l'aide humanitaire du Qatar. Il s'achète ainsi des fidélités dans ces régions très pauvres. Et les trois mouvements bénéficient des nombreux trafics de drogue qui pullulent dans la région (haschich qui arrive du Maroc et cocaïne d'Amérique centrale et latine) et brassent des millions de dollars.

Pour les Européens, il faut réagir avant que djihadistes et mafias de la drogue ne gangrènent la région. Sinon, elle deviendra un nouvel Afghanistan, où les uns pourront s'entraîner et préparer des attentats en Afrique et en Europe, et les autres, développant leur trafic de drogue en toute impunité, pourront, dans ces pays fragiles, acheter les hommes politiques et les élections.

 

Source: Le Point.fr       http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/mireille-duteil/la-reconquete-du-mali-est-elle-lancee-06-09-2012-1503361_239.php?xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20120907

LE JIHAD MONDIAL ET LA FRANCE ???

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La France, nouvelle plaque tournante du Jihad mondial, inspiré par Mohamed Merah

Classé dans: Eurabia,France,Islam,Syrie,VIDEOS | 

 

C’est des banlieues françaises qu’arrivent des jihadistes qui combattent Bashar al Assad pour instaurer un régime islamique en Syrie.

Jacques Bérès, un médecin français de Médecins sans frontière, revient d’Aleppo en Syrie, où il a passé quinze jours dans la clandestinité pour soigner les blessés, a rapporté ce témoigne à Reuters.

Environ 60% des personnes que j’ai traité cette fois sont des guerriers, et au moins la moitié d’entre eux sont des étrangers. C’est quelque chose d’étrange à voir. Ils annoncent franchement qu’ils ne sont pas intéressés par la chute d’Assad, mais par la façon de prendre le pouvoir après sa chute, et d’instaurer un état islamique qui appliquera la sharia afin d’appartenir au Califat mondial.

 

Parmi les jihadistes étrangers, explique le docteur, se trouvent de jeunes Français qui disent avoir été inspirés par Mohamed Merah.

Lors de son dernier voyage, en mars et en mai, Bérès explique qu’il ne pensait pas que les rebelles étaient principalement des combattants islamistes, mais, dit-il, il a été obligé de se rendre à l’évidence et de changer de point de vue.

La lutte contre Assad attire un nombre de plus en plus grand de musulmans venus pour faire la guerre sainte, le djihad, et qui sont prêts à mourir pour l’islam. Et à coté de jihadistes « professionnels » venus d’Iraq, d’Afghanistan, de Tchétchénie ou de Libye, et qui apportent leur savoir faire en matière de combat de fabrication de bombes, se trouvent de nombreux musulmans de banlieue, qui ne connaissent du Jihad que les voitures brûlées et les autobus caillassés.

Dans un reportage diffusé à la télévision israélienne, un journaliste infiltré dans les réseaux islamiques européens a recueilli le témoignage d’un jeune musulman, au chômage comme 50% de ses copains, et lui a demandé comment il voyait son avenir. « En jihadiste » lui a répondu le jeune musulman, le sourire aux lèvres.

 

Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

http://www.reuters.com/article/2012/09/08/syria-crisis-jihad-idUSL6E8K80WG20120908


Syrie : Jacques Bérès a soigné des djihadistes… by FranceInfo




ET AUSSI


 

Breaking News: débauche de violence en Allemagne/ 80 policiers blessés/ 500 musulmans Français suspectés

 

Classé dans: Allemagne,Eurabia,France,Terrorisme | 

 

 

80 policiers ont été blessés par des jeunes musulmans modérés lors d’une scène d’émeute, à Mannheim dans le sud-ouest de l’Allemagne.

 

40.000 kurdes étaient réunis pour une « fête culturelle », lorsqu’un enfant de 14 ans est arrivé brandissant un drapeau du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), classé comme organisation terroriste par l’Allemagne. Les organisateurs, ne sachant pas quoi faire, ont demandé à la police d’intervenir, et là, une meute islamique s’est presque immédiatement déchainée sur eux, sous les tonnerres d’applaudissement et d’encouragement de la foule qui hurlait des slogans de haine.

 

« On a pas eu la moindre chance », a indiqué un porte-parole de la police. Après plusieurs heures de guerre civile, 80 policiers ont été blessés, dont un grièvement, par des jets de pierres comme en Judée-Samarie et à Amiens, des cocktails Molotov, des bouteilles et des briques. 13 véhicules de la police ont été détruits.

 

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La police a arrêté 31 jeunes musulmans, et a saisi des couteaux, ainsi que des centaines de drapeaux et t-shirt du PKK interdit par la loi.

 

 

L’Allemagne a été choquée par la façon dont ce festival culturel a tourné à l’émeute. Le quotidien Die Welt évoque même « une orgie de violence ».

 

Selon le maire de Mannheim, Peter Short (SPD), cité par Die Welt,les premiers éléments de l’enquête semblent indiquer que les violences ont été provoquées par quelques 500 jeunes musulmans qui étaient venus de France pour assister au festival(1).

 

Le ministre de l’Intérieur Reinhold Gall (SPD) a visité Mannheim dans la soirée et a été choqué par le spectacle. « Ce fut de la violence gratuite contre la police. Quelque chose ne va pas dans notre pays », at-il dit.

 

Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous : © Jean-Patrick Grumberg pourwww.Dreuz.info

 

(1)http://www.welt.de/politik/deutschland/article109110732/Kurdische-Gewaltorgie-erwischt-Polizei-eiskalt.html

 

http://www.rtbf.be/info/societe/detail_allemagne-80-policiers-blesses-lors-d-une-fete-kurde-a-mannheim?id=7835530

 

ISLAM ET MARIAGES DE FILLETTES DE 12 ANS ???

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Des milliers de fillettes mariées par des imâms en Grande-Bretagne

Child bride: An Imam at the Husaini Islamic Centre in Peterborough agreed to the marriage of a 12-year-old girl - but only if she consented to the nuptials

Une information largement commentée dans la presse britannique, évidemment censurée en France.

Une enquête a révélée la banalité des mariages impliquant des jeunes filles de 12 ans, fondés sur la charia.
Deux imams interrogés en caméra cachée ont dit qu'ils seraient prêts à officier lors du mariage d'une jeune fille mineure à un homme dans la vingtaine.
Ces révélations ont conduit le ministère de l'Intérieur (Home Office) à confirmer que ces cérémonies seront examinées dans le projet de loi à venir du gouvernement à interdire les mariages forcés.
Plus de 1.000 des 8.000 mariages forcés de Britanniques chaque année concernent des filles âgées de 15 ans ou moins, avec un cas l'année dernière impliquant une jeune fille de cinq ans.

L'imâm Mohammed Kassamali du très officiel Centre islamique Husaini de Peterborough (photo) a précisé que le mariage devait se faire dans le secret. Il a affirmé:

"Si le mariage n'était pas possible, je vous aurais dit de passer votre chemin, mais j'aimerais que votre fille rentre au plus tôt dans la maison de son prochain mari"

L'imâm Abu Haq d'une mosquée de l'est de Londres à Shoreditch a prévenu pour une même demande: "présentez-ça comme un engagement, mais ce sera bien un mariage. En islam, c'est possible dès la puberté. Mais personne ne doit être au courant. Si elle en parle à l'école,  les travailleurs sociaux vont se saisir de l'affaire. Et on aura des problèmes."

Un autre imâm bien intégré a confirmé : "Dans la loi islamique, la charia, marier une fille de 12 ans n’est pas un problème ".


Source et publication:http://www.islamisation.fr/archive/2012/09/10/des-milliers-de-fillettes-mariees-par-des-imams-en-grande-br.html

TRIBUNE LIBRE A CHRISTIAN VANNESTE !

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Christian Vanneste : « Ceux qui refusent de parler d’identité nationale sont les premiers à dénoncer le manque de patriotisme des Français qui cherchent à tirer un avantage fiscal de cette double nationalité si chère à leurs yeux »

Tribune libre de Christian Vanneste*

Bernard Arnault, première fortune française et quatrième mondiale voudrait, comme Johnny Hallyday naguère, devenir belge. Après notre « idole des jeunes », le patron de la plus grande entreprise française du luxe, quel symbole ! Quelle aubaine aussi pour notre sport favori, la guerre civile froide, avec ses deux camps, et ses discours toujours prêts à la réchauffer. La balle de la nation était à droite sur l’immigration et le vote des étrangers. La voilà qui passe à gauche avec l’émigration et la trahison des milliardaires. L’histoire est riche de ces amputations appauvrissantes : la révocation de l’Édit de Nantes par Louis XIV chasse les Huguenots, la révolution fait fuir les royalistes, la République radicale expulse les congrégations. Quel bonheur pour l’Allemagne, l’Afrique du Sud, ou la Belgique, déjà, mais qui n’a en rien diffusé notre culture ou notre puissance. De ce point de vue, les Anglo-Saxons ont eu plus de chance puisque les cavaliers de Charles Ier et les puritains de Cromwell ont, en émigrant, contribué à l’essor de la Virginie ou du Massachusetts. Des vaincus de nos guerres civiles, il ne reste rien, mais la guerre demeure.

Aujourd’hui, c’est donc la guerre des riches et des moins riches qui est à l’ordre du jour. Par démagogie, le Président a annoncé la taxation à 75% des hauts revenus qui s’ajoutera à l’imposition sur la fortune. Touchant peu de personnes et celles qui ont le plus de moyens d’y échapper, cette politique fiscale est absurde : confiscatoire et répulsive, elle décourage et fait fuir ceux que notre pays de cocagne devrait le plus attirer. La France est LE pays du luxe, comme en témoigne précisément une firme comme LVMH et il devrait s’attacher à cultiver cette image, à attirer le plus grand nombre de grosses fortunes dont la consommation avec une TVA scandinave à 25% serait la bienvenue en plus des emplois créés et de l’activité développée. On s’acharne au contraire par une taxation excessive du travail et de la propriété à faire partir l’une et l’autre au-delà de nos frontières, au nom d’une justice sociale, qui veut que les parts du gâteau soient égales, mais dans un gâteau de plus en plus petit. Le mandat présidentiel précédent a joué un rôle calamiteux dans ce débat : au lieu de participer à des repas, d’arpenter le pont des bateaux, de biaiser avec des dispositifs hypocrites comme le bouclier fiscal, il fallait, dès le début, supprimer l’ISF et instaurer la TVA sociale, et faire de la pédagogie : plus il y a de riches en France, plus la solidarité à l’égard des pauvres peut s’exercer avec une assiette fiscale plus large et des taux moins élevés. C’est Lincoln qui disait : « Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche ». La Suisse l’a bien compris qui est première au classement du Forum Économique Mondial.

« La France comme quelques autres nations, finalement peu nombreuses, n’est pas une construction artificielle et récente, mais une histoire riche et ancienne, inséparable d’une langue et d’une culture. »

Faute de solution intelligente, notre pays en est donc réduit à l’affrontement des discours et des impuissances. L’extrême-gauche exige qu’on punisse les exilés. Marat n’est pas mort ! Les yeux brillants de leurs propres espérances, les ténors de la droite « bourgeoise », comme diraient les Suédois, évoquent le mauvais signal donné à ceux qui réussissent. Comme si la sanction fiscale d’un multimilliardaire pouvait émouvoir les jeunes qui ont, certes, envie de réussir, mais ne s’identifient pas à ce type et à ce niveau de succès. Alors, certains sauvent l’honneur de la « droite » et parlent de fidélité à la nation. C’est le cas d’Henri Guaino que je soutiendrais sans doute, si je n’avais pas quitté l’UMP.

Car la vraie question est là : la nationalité ne vaut-elle pas plus aujourd’hui qu’une carte de crédit ? Ceux qui sont prêts à accueillir toute la misère du monde, à subventionner l’immigration sans limite, à accorder le droit de vote aux étrangers, avec le double avantage de gagner des électeurs et d’en procurer au Front national, ceux qui refusent de parler d’identité nationale sont les premiers à dénoncer le manque de patriotisme des Français qui cherchent à tirer un avantage fiscal de cette double nationalité si chère à leurs yeux. Leur attitude est, cependant, la même : elle consiste à prôner l’individualisme et à ramener la nation à une dimension purement juridique. La France, un papier et des droits ! Monaco, les Bahamas, d’autres papiers, d’autres droits…

À celui qui a la grande naïveté ou l’extrême ringardise de considérer la nationalité comme une appartenance affective et la nation, comme « un principe spirituel »« un riche legs de souvenirs » et « un désir de vivre ensemble » , pour reprendre les termes de Renan, faut-il jeter un regard plein de commisération ? Non ! Parce que ce serait insulter ceux qui ont donné leur vie pour elle. Non ! Parce que la France comme quelques autres nations, finalement peu nombreuses, n’est pas une construction artificielle et récente, mais une histoire riche et ancienne, inséparable d’une langue et d’une culture. Non ! Parce que son destin tourmenté est indissociable des choix politiques des dirigeants de son État, et cet aspect est éclairé d’un jour nouveau alors que la flotte européenne se trouve désemparée. Non ! Parce que celle qui fut la Fille  aînée de l’Église sait qu’elle est une communauté naturelle indispensable à la réalisation du Bien Commun. Non ! Parce qu’enfin, la patrie, cette « grande solidarité », est le seul bien de celui qui n’a rien, comme le disait Jaurès et les politiciens des deux camps en lutte feraient bien de s’en souvenir.

*Christian Vanneste est un ancien député UMP du Nord.

 

Source et publication: http://www.ndf.fr/identite/10-09-2012/christian-vanneste-ceux-qui-refusent-de-parler-didentite-nationale-sont-les-premiers-a-denoncer-le-manque-de-patriotisme-des-francais-qui-cherchent-a-tirer-un-avantage-fiscal-de-cett?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+ndf-fr+%28Nouvelles+de+France%29


TRIBUNE LIBRE A ROBERT MÉNARD !

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Les hallucinations de BHL

Tribune libre de Robert Ménard*

Vingt morts de plus le week-end dernier en Syrie.

Tous les jours, la liste des victimes s’allonge. De part et d’autre. Combattants et civils.

Le régime de Bachar Al-Assad est une horreur… qui ne date pas d’hier, certains devraient s’en souvenir.J’ai encore en tête de m’être trouvé bien seul quand, avec une poignée de militants de Reporters sans frontières, nous nous faisions arrêter sans ménagement sur les Champs Élysées.

Nous étions le 14 juillet 2008 et le potentat syrien était l’invité de Nicolas Sarkozy pour le défilé de notre fête nationale…

Un dictateur, Bachar Al-Assad ? Il n’y a pas de doute et rien ne saurait justifier de le taire. Mais de là à dire n’importe quoi…

Les journalistes Marc de Miramon et Antonin Amado le rappellent avec justesse dans la dernière livraison du Monde diplomatique.

On y lit, par exemple, que le site de Bernard-Henri Lévy affirmait, dès septembre 2011, que « des tueurs d’Assad [ont] lancé dans la région d’Al Rastan, non loin de la ville rebelle de Homs, des opérations aériennes avec utilisation de gaz toxiques ». Rien que ça ! Mais sans aucune preuve, souligne l’Agence France-Presse.

Qu’importe : la fin justifie les moyens. Comme les fameuses« armes de destruction massive » de Saddam Hussein, inventées de toutes pièces par l’administration Bush, histoire de justifier l’invasion de l’Irak.

Autre grande figure de notre intelligentsia, l’inénarrable Caroline Fourest. Cette fois, c’est dans Le Monde qu’on peut lire sous sa plume : « D’après Al-Arabiya, des opposants au régime iranien affirment que leur gouvernement a fourni un four crématoire à son allié syrien. Installé dans la zone industrielle d’Alep, il tournerait à plein régime… Pour brûler les cadavres des opposants ? » Hitler est de retour !

Mais notre écrivaine se garde bien de préciser que la chaîne satellitaire, qui diffuse la « nouvelle », appartient à l’Arabie saoudite, comme chacun sait un modèle de probité en matière d’information et, surtout, le véritable « parrain » de l’opposition syrienne.

On ne va quand même pas se compliquer la vie avec ce genre de détails…

Nos va-t-en-guerre sont décidément prêts à tout pour nous pousser à intervenir dans la guerre civile qui ravage la Syrie.

Comme déjà en Libye, avec les conséquences que l’on sait… Des faucons à qui notre droite ferait bien de ne pas emboiter le pas. Tous les arguments ne sont pas bons pour critiquer la gauche.

Cette fois, la prudence de François Hollande a du bon. Il faut savoir le reconnaître.

*Robert Ménard est journaliste et fondateur de l’association Reporters sans frontières.

> Son blog : robertmenard.fr

MAHOMET: POUR EN SAVOIR UN PEU PLUS .........

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Les combats de Mahomet: escarmouches, grandes batailles et... crimes de guerre?

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  Présentation synthétique des combats menés ou planifiés par Mahomet, proposée par l' Observatoire de l'islamisation d’après la biographie « Mahomet, contre-enquête » (éd.de l’Echiquier) de l’arabisant René Marchand, se basant sur la Sîra (biographie islamique officielle) et la Sunna.

Destinée à vulgariser la personnalité de Mahomet de manière  pédagogique, elle est librement utilisable en classe.


 

1) Bataille de Nakhla

 

Date : janvier 624 

Contexte : Mahomet et ses fidèles sont établis à Médine. La bataille se déroule pendant le mois de rajab, c’est à dire un mois sacré durant lequel le sang ne doit pas être versé. Idéal pour un effet de surprise… 

Protagonistes : Huit à douze (selon les sources) musulmans, grimés en pèlerins (la Mekke est un haut lieu de pèlerinage), contre quatre commerçants Mekkois désarmés. 

Cause du déclenchement du conflit : Mahomet a donné à son cousin ibn Jahsh, lors du départ de son convoi de Médine pour la Mekke, un pli cacheté à n’ouvrir qu’à deux jours de marche de la Mekke. Le pli ordonne de prendre direction vers Nakhla et d’y attendre le passage d’une caravane afin de dresser une embuscade. 

Le conflit : les commerçants Mekkois victimes de la razzia n’avaient aucune chance. Pris par surprise, le lendemain d’un contact amical avec les Mahométans (la ruse est une constante), c’est seulement à l’aube au moment de repartir que les musulmans attaquent. Un Mekkois est tué, un autre réussi à s’enfuir, deux autres sont faits prisonniers et ramenés à Médine avec le butin. 

Répercussions socio-politiques : Scandale à Médine, les autres tribus médinoises non musulmanes savent qu’elles peuvent être assimilées aux «  nouveaux médinois », les immigrés accompagnant Mahomet lors de l'hégire, qui ont commis un grave précédent : une attaque gratuite contre une caravane des puissants Qurayshites de la Mekke, en pleine trêve sacrée ! A la Mekke, heureusement, on amalgame pas la bande de Mahomet aux commerçants Médinois…préserver la paix pour ne pas troubler les affaires est prioritaire, on rachète même un des prisonniers. Affaire classée.

 

 

2) Bataille de Badr 

 

Date : mars 624 

Cause du déclenchement du conflit : L’idée du Prophète est d’attaquer une grosse caravane qui revient de Gaza. 

Protagonistes : Mahomet a levé une bande de plus de 300 hommes (selon le biographe officiel Ibn Hishâm), composés des immigrés mekkois (muharijun), les premiers fidèles de Mahomet, plus des ralliés Aws et Khazraj de Médine. Les victimes, commerçants Mekkois sur la route du retour, ne sont pas accompagnés de gardes armés, la route étant réputée sûre. 

Le conflit : Les Médinois s’embusquent à proximité du puits de Badr, au sud-ouest de Médine. Les commerçants, alertés sur cette présence suspecte par une source non historiquement identifiée, envoient un cavalier à la Mekke demander du renfort. Abû Jahl, le chef de la cité commerçante, dépêche 900 hommes pour secourir la caravane. Le danger écarté, la caravane une fois en lieu sûr, le gros de la troupe mekkoise retourne à la Mekke, les autres se dirigent vers un point d’eau. Or ce même point d’eau est occupé par les Mahométans…la bataille est inévitable. 

Issue du conflit : Les Mahométans s’ils perdent 15 hommes, prennent largement l’avantage de la courte bataille se déroulant entre l’aube et le midi. Les Mekkois subissent des pertes beaucoup plus importantes, de trois à cinq fois plus. 70 prisonniers seront rendus contre rançon, 2 sont exécutés sur le champ. 

Répercussions socio-politiques : Mahomet ressort galvanisé d’un conflit où il prétend avoir vu des légions d’anges menées par Gabriel…un des nombreux emprunts chrétiens du Prophète. Il revient à Médine en héros, victorieux et riche, et devient l’homme le plus puissant chez les arabes de Médine. Trois mois après Badr, quelques centaines de Mekkois lancent une opération éclair contre Médine, mais leur faible nombre rendra l'escarmouche symbolique, les Médinois perdront 2 hommes avant que le groupe ne se replit. 

 

3) Expulsion de la tribu juive des Banu-Qaynuquâ’

 

date : 624 

Contexte : Mahomet est le nouvel homme fort de Médine. Il souhaite s’affirmer par la terreur. Il ordonne l’exécution d’une femme poètesse, Asmâ’bint Marwân, puis d’un vieux poète centenaire, donc inoffensif, Abû’Afak. Les deux seront exécutés durant leur sommeil. Quel est l’objectif de Mahomet ? Asmâ’bint Marwan fait partie de la tribu des Aws, qui contrôlent encore la cité, et le vieillard était un protégé de la tribu juive des Banu Nadir. Ces assassinats sont destinés à montrer aux non-musulmans qu’il faut mieux prêter allégeance ou se convertir.

Les Juifs, auxquels Mahomet a emprunté -entre autre- la pratique des ablutions, sont les commerçants et artisans de la cité…autant de raisons pour trouver un prétexte permettant de soumettre une population aux richesses convoitées. La tribu juive des Banu-Qaynuqâ’, composée d’artisans travaillant la forge, la joaillerie et d’autres métiers de manufacture, est à ce titre une cible privilégiée. 

Cause du déclenchement du conflit : Sur le marché de la tribu juive des Banu-Qaynuqâ’, un jeune juif soulève la robe d’une jeune musulmane, dévoilant ses fesses. L’honneur des musulmans étant atteint, le jeune est tué. Faute d’arbitrage, les deux communautés vont se battre violemment. 

Issue du conflit : Les Qaynuqâ’ se réfugient dans leurs fortins mais ne peuvent supporter le siège mené par les Mahométans. Au bout de quinze jours, ils se rendent. Mahomet décide de tous les tuer, soit 700 hommes et leurs familles. C’est sans compter avec l’intervention d’un certain Ibn Ubayy, jouissant d’un certain poids chez les musulmans, qui obtient de Mahomet un compromis moins sanglant : les juifs doivent quitter Médine sous trois jours laissant la totalité de leurs biens.

 

 

4) Une nouvelle caravane mekkoise attaquée

 

date: 624 

Contexte : Des marchands Mekkois partent pour la Syrie en empruntant une voie passant par le Nadj et l’Irak, à l’est. Aucune escorte armée pour limiter les coûts. Les Médinois, ayant des informateurs à la Mekke, apprennent l’existence du convoi. Mahomet, avide d'un gain facile, confie l’organisation d’une razzia à son affranchi Zayd. 

Le conflit : Les musulmans attendent la caravane aux abords d’un point d’eau, à al-Qarada, point de passage obligé. Les Mekkois n’ont aucune chance, ils s’enfuient et laissent 100 000 dirhams aux jihadistes. 

Répercussions politiques : Abû Sufyân, un des responsables de la ville de la Mekke, gérée par un conseil nommé mala, prend acte de la déclaration de guerre ouverte. Il s'attèle à lever une armée afin de pacifier Médine. 3000 hommes sont réquisitionnés.

 

 

5) La bataille d’Uhûd : la revanche légitime des Mekkois

 

Date: mars 625 

Protagonistes: 3000 Mekkois dressent un siège dans la localité d'Uhud, à quatre kilomètres au nord de Médine. Côté Médinois, les partisans de Mahomet réunissent seulement 1000 hommes, les juifs de Médine ne se sentant pas concernés, et une partie de la population arabe ne s'estime pas tenue de se solidariser avec Mahomet, leurs accords se limitant à un engagement en cas d'assaut sur la ville seulement. Or, les Mekkois adoptent une stratégie attentiste et ce sont les Mahométans qui décident de lancer l'assaut. 

Le conflit: les médinois se laissent attirer en plaine et sont en butte à l'importante cavalerie Mekkoise, dirigée par Khâlid Ibn al Walîd (futur rallié qui servira Mahomet sous le nom de « Sabre de l'islam »). Le rapport est inégal. Les Médinois perdent 70 hommes, Mahomet manque d'être tué et son oncle, Abou Hamza n'a pas cette chance.

Alors qu'il avait là une occasion d'en finir définitivement avec les musulmans, en « terminant le travail » Abû Sûfyan, satisfait de sa victoire, décide ne ne pas aller soumettre Médine, ne fait pas de prisonniers, et laisse en fuite Mahomet. 

Conséquences socio-politiques: La perte de prestige de Mahomet est un désastre. Point d'avantage n'en faut pour compromettre les alliances avec des tribus juives dubitatives, et la partie arabe de Médine non ralliée. D'ailleurs cette dernière, par la voix de son représentant Ibn Ubayy, émet de sérieuses critiques quant à celui qui se disait porté à Badr par une main divine...alors que son échec cuisant à Uhud montre que son soutien surnaturel n'est pas si évident. 

Mahomet trouve cependant un soutien de poids qui va jusqu'à justifier la défaite: le Coran, qui dans sa Sourate 3, explique: « Ce qui vous a atteints, à la journée où les deux troupes se sont rencontrées, s'est produit avec la permission d'Allah, afin que celui-ci reconnaisse les croyants et qu'il reconnaisse ceux qui ont été hypocrites...(3.159-160)

Ne vous abandonnez pas, ne vous attristez pas, alors que vous êtes les plus hauts, si vous êtes croyants...(3.134.) Allah vous a fait reculer devant les Infidèles pour vous éprouver...(3.146) 

Ainsi, l'honneur est sauf, cette défaite n'est qu'une épreuve-test voulue par Dieu pour reconnaitre les vrais fidèles! Il suffisait d' y penser.

 

 

6) Expulsion d'une deuxième tribu juive: les Banû Nadir

 

Date: 625 

Contexte: l'épisode se situe juste après la défaite d'Uhud (pour lesquels les Banû Nadir n'ont aucune responsabilité). A ce moment, des émissaires musulmans en charge de rallier des tribus bédouines sont violemment pris à partie par l'une d'elle, et perdent beaucoup d'hommes. Un des survivants musulmans, sur la route du retour, tue deux hommes qu'il prend pour des membres de la tribu bédouine en question. Or, ces deux hommes appartiennent à une autre, et le prix du sang exige réparation. Toute la cité médinoise est solidaire de l'erreur, et même les Banû Nadîr, alors qu'ils n'ont aucune responsabilités, acceptent par la voix de leur chef de participer à la collecte d'argent.

 

Cause de déclenchement du conflitAlors que le conseil des Banû Nadir est réuni pour délibérer des affaires courantes et donc également de la collecte de réparation, Mahomet accompagné de ses Compagnons, restés dehors faute d'autorisation, prétend entendre Allah lui révéler le contenu des discussions. Les juifs seraient entrain de comploter contre lui. Mahomet tient alors un prétexte pour chasser cette tribu d'agriculteurs, les terres reviendront aux immigrés mekkois (muharijun), fidèles de la première heure. 

Conséquences socio-politiques: Mahomet renforce un peu plus son hégémonie sur Médine mais attise le ressentiment chez les autochtones dû à son favoritisme envers la répartition des biens juifs aux muharijun.

 

 

 

7) La bataille du fossé: l' Austerlitz de Mahomet 

 

Date: mars 627 

Contexte: Mahomet sème toujours la zizanie dans le commerce Mekkois. Lors du grand marché de Badr d'avril 626, il parvient à en interdire l'accès aux commerçants Mekkois. Exaspéré, désireux de sécuriser les routes marchandes, Abû Sûfyan lance la plus importante offensive contre Médine jamais décidée.

Protagonistes: Les Mekkois, forts des alliances passées avec les Gathafân et les Juifs de Khaybar, réunissent 10 000 hommes, avec une logistique de 600 chameaux. De son côté, Mahomet réuni 3000 hommes environ. 

Le conflit: Les Mekkois dressent un siège aux abords de Médine, mais l'importance du contingent pose des difficultés en matière de ravitaillement, et le milieu est désertique. De plus l'utilisation de la cavalerie est inopérante à cause de la surface basaltique du terrain. De leur côté, les Médinois usent d'un stratagème: le creusement d'un fossé aux abords de l'oasis. Le chantier s'étend sur trois jours, et il faut noter la participation de la dernière tribu juive des Banû Qurayza...qui ne seront quelques jours plus tard pas vraiment récompensés. Les positions se campent et les semaines passent sans que l'une ou l'autre des parties engagent l'assaut. Le temps se fait long côté Mekkois, l'épuisement décourage certains qui retournent dans la cité de la Kaaba. Seules des escarmouches ça et là rythment le quotidien, et les Mekkois lèvent le camp après n'avoir perdu qu'une vingtaine d'homme.

Succès pour Mahomet. 

Conséquences socio-politiques: Galvanisé par ce succès, Mahomet est le chef incontesté de Médine. Il va s'efforcer dorénavant de mettre au pas toute la cité, et ne va à cette fin guère faire preuve de magnanimité.

 

 

 

8) Médine : la dernière tribu juive victime d'un pogrom.

 

Date: mars 627 

Cause de déclenchement du conflit: Selon la biographie officielle (la Sîra) rapportée par Ibn Ishâm, c'est une fois de plus une injonction divine qui a décidé du sort des Banû Qurayzah, dernière tribu juive restante après l'expulsion des Kaynuquâ' et des Nadir. 

« Vers midi, l'archange Gabriel [...] dit à l'Envoyé d'Allah: « As-tu déposé les armes? » L'envoyé d'Allah lui répondit « Oui ». Gabriel dit : « Mais les anges n'ont pas encore déposés les armes. Je reviens maintenant après avoir poursuivi ces gens (Quraysh Mekkois et Ghatafân). Dieu-Très Haut- t'ordonne, ô Muhammad de marcher contre Banû Qurayzah, moi je me dirige vers eux et je secouerai leurs fortins » 

Le conflit: Le siège dressé contre les fortins juifs dure 25 jours. Conciliants, les juifs réclament un émissaire musulman pour parlementer et négocier une reddition. L'émissaire en question leur promet la mort. A la différences des autres tribus juives contraintes à l'exil, le sort des Qurayzah est moins enviable: les femmes et les enfants sont vendus comme esclaves, tous les hommes -entre 600 et 900- sont décapités devant la foule. Cette pratique barbare n'était pourtant pas dans les habitudes arabes. 

Conséquences socio-politiques: Mahomet est devenu le maitre absolu de Médine. Il va dorénavant s'atteler à échafauder un projet d'expansion hors de Médine: le germe du concept impérial, dont la satiété territoriale ne connait de frontières, est en marche. Des points stratégiques sur les axes commerciaux sont à prendre : au nord, Khaybar, refuge des juifs de la région, qui se situe à 200kilmsde Médine, est un passage obligé pour se diriger vers Tabuk et plus encore vers les Ghassanides. Au sud, la Mekke, évidemment.

   L'effervescence expansionniste est en marche: Ali conduit une razzia dans le nord contre une tribu arabe suceptible de s'allier à Khaybar. Sans coup férir, le jeune homme s'empare de 500 chameaux et de 2000 tête de bétail. L'autre fils adoptif de Mahomet, Zayd, attaque, avec 170 hommes, une caravane mekkoise. Une grosse expédition-700 hommes- est dirigée, toujours vers le nord, contre Dûmat al-Jandal. La tribu chrétienne des Kalb, qui domine la ville, se soumet sans opposition et son chef donne sa fille en mariage à un chef médinois proche de Mahomet, ibn'Auf. 

 

 

9) La prise de Khaybar

 

Date: mars 628

 

Contexte: La prise de Khaybar se déroule juste après un accord inattendu entre Mahomet et l'émissaire du Conseil « Mala') gouvernant la Mecque (février 628). Un songe révélant à Mahomet son entrée dans Médine muni des clés de la ville, va le pousser à préparer un pèlerinage dans la cité sainte. Les Médinois, méfiants quant aux intentions pacifiques de leur meilleur ennemi tentent l'apaisement par la conclusion du traité de Hudayybya, assez avantageux pour les musulmans: les mekkois pourront se rendre moyennant autorisation préalable à Médine, alors que les médinois séjourneront librement à la Mecque.L'année suivant le traité, les médinois pourront se rendre à la Mekke et dans l'enceinte de la Kaaba y accomplir le pélerinage. Surtout, le traité prévoit une trêve de dix ans entre les deux villes rivales. 

Khaybar est une cité importante et stratégique au nord de Médine, protégée par des fortins. Peuplée de tribus juives et d'arabes hebraisés, rejoins par les déportés juifs de Médine, la ville est réputé pour ses richesses, en particulier ses plantations dû à son climat humide et ses ...banques.

 

Le conflit: Les musulmans lancent l'offensive, les assiégés sont reclus dans les fortins. Au bout d'un mois, les fortins capitulent les uns après les autres. Les musulmans saisissent un important butin, s'approprient les terres agricoles et réduisent la population en esclavage.

Mahomet remarque une jeune habitante de 17 ans, Safiyya, qu'il s'autorise à « acheter » pour 10 têtes de bétail. La jeune femme se cachant, il torture son mari pour qu'il révèle sa cache, et liquide le malheureux en lui coupant le cou. Le prophète des musulmans marie de force la jeune veuve (Mahomet est déjà marié à Aisha, qu'il maria de force à 7 ans et consommera à 9) et la viole le soir même.

 

Conséquences socio-politiques: Les autres cités juives se soumettent dans les jours qui suivent, guère disposées à tenir tête au maître du Hedjaz. Ainsi, Fadak, Wâdîl-Qurâ, Tayma' se soumettront à Mahomet et livreront biens et esclaves. 

note de René Marchand: « Des Juifs demeureront en Arabie jusqu'à l'arrivée au pouvoir suprême de Omar', en 632. Le terrible calife leur interdira l'exercice de leur culte, puis, assurant réaliser la dernière volonté exprimée par le Prophète sur son lit de mort, les chassera ».

 

 

10) Première sortie hors d' Arabie : Mu'ta, territoire Byzantin.

 

Date: septembre 629 

Contexte: Mahomet bénéficie de transfuges médinois de poids: le commandant de la cavalerie Mekkoise, Khâlid ibn al-Walîd et un autre officier de valeurs, 'Amr ibn al-As. En 629, comme prévu, les Médinois effectuent le pèlerinage de la Mekke, ville ouverte pour l'occasion. 

Cause de déclenchement du conflit: D'après les sources Abbassides, Mahomet veut se venger du meurtre d'un de ses émissaires par un Ghassanîde, alors qu'il allait à la rencontre du Prince de Bosra. 

Protagonistes: 3000 hommes sont mobilisés par Mahomet. L'empereur Byzantin Héraclius l' lève des dizaines de milliers d'hommes (source sujette à caution). Héraclius réagit à l'investissement de son territoire par les troupes de Mahomet qui longent la mer morte. 

Le conflit: Les musulmans souffrent une douzaine de morts, dont Zayd (fils adoptif de Mahomet). Ibn al-Walîd décide de battre en retraite. 

Conséquences: Cette défaite est très mal accueillie à Médine, les combattants sont hués et même molestés à leur retour.

 

 

11) La prise pacifique de la Mecque : comme un fruit mûr.

 

Date: Janvier 629 

Contexte: les deux cités rivales sont au bord de la guerre, la trêve étant compromise par un conflit entre deux tribus alliées chacune à une ville différente. A l'origine du différent, un membre de la tribu des Banû Khuzâ'a a eu la mauvaise idée de composer un poème hostile à Mahomet: l'impudent est tué, le principe du « prix du sang » fera le reste. 

Abû Sufyan, conscient que la Mekke n'a aucune chance, prend les devants et part pour Médine et commence à nouer des contacts. C'est un premier pas vers la collaboration.

Mahomet lance un mouvement de troupe d'envergure vers la Mekke: 2000 cavaliers se dirigent vers la ville et campent à quelques encablures avant l'assaut. C'est alors que Abû Sufyan et son oncle 'Abbâs viennent à la rencontre des musulmans pour leur prêter allégeance: le ralliement du principal chef de guerre médinois permet aux musulmans de cueillir la ville sans effusion de sang. 

Conséquences socio-politiques: Le conseil collégial de la Mekke, le mala'embryon de démocratie, est supprimé. Les idoles du sanctuaire de la Kaaba' sont détruites, les païens n'auront jamais l'autorisation d'y remettre les pieds. Les mekkois se rallient en masse, une première bataille contre une tribu d'ennemis héréditaires, les Hawâzin, leur permet de faire leur preuves. Les Hawâzin sont défaits et laissent la totalité de leurs biens aux vainqueurs. Les Hawâzin eux-mêmes se rallient et sont immédiatement embauchés pour organiser des razzias sur la ville de Ta'if. Les habitants de cette dernière, accablés, viendront demander leur statut de dhimmi « protégés », préférant payer plutôt que d'être persécutés. 

 

 

12) Les territoires byzantins: un épilogue pour Mahomet, un départ pour l'islamisation du monde. 

Date: octobre 630 

Contexte: Après avoir soumis les Chrétiens et Juifs du Yémen, notamment les Chrétiens de Najrân, en utilisant des Yéménites ralliés, Mahomet contrôle la péninsule arabique et peut maintenant regarder vers le nord, vers les territoires sous le contrôle de Héraclius, l'empereur Byzantin. 

Le conflit: L'objectif est la prise de Tabûk, en territoire byzantin, à 600 kilms au nord de la Mekke. Les chefs militaires musulmans ne sont pas rassurés quant à l'idée de se frotter à la puissance d'une Byzance à son apogée, après ses victoires sur les Avars, sur les Perses, et la prise de Jérusalem. 

Une vague de désertions marquera l'avancée de la troupe, mais ces derniers n'avaient pas de quoi s'inquiéter : c'est dans un Tabûk vide de Byzantins que pénètreront les musulmans. 

Conséquences socio-politiques: Médine est en proie à des querelles intestines entre les Médinois, qui s'estiment lésés car beaucoup plus sollicités que les Mekkois pour accomplir le « sale boulot » dans l'armée. Mahomet remet rétablit l'odre avrc une poigne de fer. 

En mars 632, il accomplit le premier Grand Pélerinage à la Mekke, le hajj. 

Le 8 juin 632, il meurt dans les bras de Aisha. A sa mort, il laisse 7 sabres, 3 lances, 3cuirasses, un bouclier...mais pas de bâton de pèlerin.

 

Pour une vision détaillée et couvrant la période Mecquoise, lire l'excellente biographie « Mahomet: contre enquête » de René Marchand, éditions de l'Echiquier. Disponible sur Amazon.fr 

Observatoire de l'islamisation, juin 2007. Reproduction autorisée avec mention de la source.

DOSSIER : LA FRANCE ET LA DISCRIMINATION POSITIVE .

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La rentrée de la discrimination positive - La France gérée comme une immense Seine-St Denis

LA RENTRÉE DE LA DISCRIMINATION POSITIVE


La France gérée comme une immense Seine-St Denis



Raoul Fougax 
le 05/09/2012 
La diversité de la population française est devenue une réalité. On peut la juger définitive et  "positive" ou au contraire fruit d’une erreur des gouvernements de droite comme de gauche, qu’il faut faire refluer. Mais la diversité, nom politiquement correct pour désigner l’immigration, si elle doit être prise en compte ne peut être l’étalon unique de la politique française.
 
C’est pourtant la réalité. Une discrimination positive qui n’ose pas dire son nom est mise en place. Comme si les problèmes de la France et des français pouvaient se réduire aux problèmes des populations issues de l’immigration dans nos banlieues  dites sensibles. Ils ont des problèmes certes mais sont-ils les seuls ?
 
Une population prioritaire

La priorité du président Hollande, c’est la jeunesse. Mais c’est une jeunesse bien spécifique, celle issue de l’immigration. L’effort dans l’éducation c’est pour les «  jeunes » , les emplois aidés c’est pour les «  jeunes », les zones prioritaires de sécurité aussi, la politique de logement social c’est pour leurs familles.
 

Ministres différents, même idéologie 
 
Il y a dans cette soumission de la politique gouvernementale aux intérêts des immigrés une dérive politique grave et finalement un abandon de la majorité des français au profit des minorités. Ce qui est le contraire du contrat social et national où la volonté de la majorité doit être celle de tous en tant que volonté générale transcendant les intérêts particuliers et aujourd’hui communautaires. Il n’est pas mauvais parfois de relire Rousseau.
 
On veut assurer la paix sociale dans des quartiers où l’économie parallèle fait rouler en Ferrari des incultes sans travail. Cherchez l’erreur ! Que peut-on leur offrir de mieux ? Rien.
La France n’est pas seulement une immense banlieue immigrée où il faut supprimer les notes pour ne pas traumatiser les analphabètes qui font des études. Il faut imposer l’éducation à tous mais pas par l’abaissement du niveau scolaire mais par le retour de l’ordre, du respect et de la discipline. Bon courage. Quand Vincent Peillon parle de morale à l'école ,on ne sait pas très bien ce que cela veut dire. C’est l’auberge espagnole.
 
Et revoilà Pétain

On sait que le sujet est délicat. Surtout avec notre classe politique toujours figée à la seconde guerre mondiale. Un exemple consternant : la polémique  Chatel- Peillon. Lundi dernier, un message sur le compte Twitter de Luc Chatel a mis le feu aux poudres. « Effarante interview de Vincent Peillon dans le JDD : "redressement intellectuel et moral », mot pour mot l'appel du maréchal Pétain le 25 juin 1940 », a écrit celui qui soutient Jean-François Copé pour la présidence de l'Ump. « Ce sont les propos d'une déclaration du maréchal Pétain. Alors naturellement, j'y vois une maladresse fâcheuse», a ensuite expliqué devant le tollé l'ex-ministre Ump.
 
Et revoilà Pétain

« Je ne sais pas quoi vous dire, je suis un peu désolé qu'il ait fait ça, pour lui... Toute ma tradition est le Conseil national de la Résistance », a rétorqué Vincent Peillon. On n’en sort pas... "La morale laïque à instaurer dans l'enseignement ne doit s'apparenter ni à l'« ordre moral » ni à l'« instruction civique  », a-t-il au contraire assuré. On respire.
 
Le porte-parole du Ps, David Assouline a jugé « désolants » les propos de l'ancien ministre Ump. Selon lui, Luc Chatel « n'a pas dû mesurer l'ampleur de ces mots qui (...) doivent certainement atteindre ceux qui ont vécu dans leur chair ce qu'a signifié les pages sombres de l'Histoire de France et du pétainisme ». Au moins il ne créera pas de polémique.
 
Une rentrée sous le signe de la discrimination
 
Le politiquement correct appuyé sur l’historiquement  correct ne permet pas un  débat critique en toute liberté. Il faudrait au contraire instaurer à l’école un cours sur l’esprit critique, pour avoir le droit de faire soi-même son opinion,  par la connaissance des opinions diverses mais présentées objectivement par des professeurs compétents. On peut rêver.
 
Ce n’est  pas la « morale » de Vincent Peillon, le "nouveau pétainiste " sans doute bien surpris de l’être qui y parviendra. Luc Chatel, le « gaulliste » qui accepte la suppression des cours d 'histoire à l’école, devrait tout de même passer à autre chose qu’à l’épuration permanente des idées en se référant à une période ignorée de la plupart des jeunes.
 
Le rôle des médias

Le malaise de l’éducation nationale concerne tous les français et pas seulement les enfants respectables de maliens en difficultés. Les médias, grand vecteur de la discrimination  positive devraient comprendre que les usagers africains ne sont pas les seules victimes des grève de trains. Pourquoi leur donner quasi exclusivement la parole ? 
 
Mais c’est sans doute beaucoup leur demander. Ils font de la discrimination positive au quotidien par idéologie, une idéologie largement partagée par les gouvernements quels qu’ils soient.
 
Celui de François Hollande et Jean-Marc Ayrault n’y fait pas exception  comme le prouvent les initiatives de la rentrée.
 
Source et publication:http://metamag.fr/metamag-940-La-rentree-de-la-discrimination-positive-La-France-geree-comme-une-immense-Seine-St-Denis.html

MARSEILLE: PLUS BELLE LA VIE ???

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14 septembre 2012

Les activites d'un hôpital militaire à Marseille

A découvrir sur le site de l'hôpital d’instruction des armées Laveran, lequel a "pour mission le soutien aux forces, notamment celles participant aux missions extérieures":

"Campagne de vaccination des pèlerins de La Mecque

LLa vaccination contre les quatre souches A, C, Y et W135 est obligatoire pour le pèlerinage et nécessaire pour l’obtention du visa pour l’Arabie Saoudite dans le cadre du pèlerinage. Elle doit avoir été effectuée depuis moins de 3 ans et plus de 10 jours avant le départ. L’Hôpital LAVERAN de Marseille organise des séances de vaccination contre la méningite (A, C, Y, W135) au profit des pèlerins de la Mecque. Ils pourront s’y faire vacciner du 10 septembre au 09 octobre 2012 sans rendez-vous de 10 heures à 12 heures tous les jours sauf le vendredi. Il est demandé de venir avec sa carte Vitale et son carnet de vaccinations. Le vaccin administré à l’hôpital LAVERAN est le Menveo ® (36 euros et 15 cts, non remboursable par la sécurité sociale). Centre de vaccinations internationales Hôpital d’instruction des Armées LAVERAN (hôpital public ouvert à tous, militaires et civils) Boulevard LAVERAN, Marseille 13ème"

Posté le 14 septembre 2012 à 09h04 par Michel Janva | Catégorie(s): France : L'Islam en France 
 

Commentaires

Je l'avais déjà vu l'année dernière lorsque j'avais fais des examens. Il y avait des affiches placardées dans le hall. Heureusement que ce n'est pas remboursé par la sécu. Quoiqu'avec la CMU ?

De plus, le Ministère de l'intérieur a publié deux notes d'information sur le sus-dit pélerinage, disponibles en français et en ARABE car il est vrai que l'arabe est une des langues officielles de l'Etat :http://www.interieur.gouv.fr/sections/a_la_une/toute_l_actualite/cultes/pelerinage-mecque-2012/view

 

ET AUSSI

 

 

Marseille, c’est Naples, Palerme ou Beyrouth ?

 

 

Leonardo Sciascia, le grand écrivain sicilien, spécialiste des mentalités et traits de civilisation du sud de l’Italie avait eu cette expression dans « Il giorno della civetta» (1956) : « Peut-être que toute l’Italie est en train de devenir comme la Sicile. (…) » Et bien qu’on ne parlât pas encore de réchauffement climatique : « Laligne du palmierne cesse de remonter tout au long de la péninsule italienne. Elle est déjà bien au delà de Rome ». Paroles prémonitoires : il y a trente ans en effet la gangrène mafieuse avait déjà atteint les régions du nord et en particulier Milan et la Vénétie. Aujourdhui, grâce aux louables efforts de dérégulation de l’UE, grâce à la suppression des frontières interétatiques, au laisser faire laissez passer, on doit bien reconnaître que les métastases de la « criminalità organizzata » ont prospéré bien au delà des rivages qui l’ont le mieux illustrée. Une belle success story transnationale.

Marseille était toute désignée pour tomber rapidement sous sa coupe , elle avait des prédispositions en terme de faits divers, d’histoire et de sociologie, avec des problèmes économiques, une classe politique en connexion avec « la malavita » (Guerini à Marseille, Bassolino à Naples, même combat !), des mafiosi ou des camorristi immigrés qui poursuivaient leur carrière ou qui venaient se mettre au frais, pour échapper aux pools anti-mafia, mais aussi une immigration maghrébine de masse, emmenant dans ses bagages à la fois une culture pré politique (féodale, viriliste, machiste, prédatrice, « kleptocratique » comme dit El Watan, clientélaire, rompue à l’ »économie informelle », toujours El Watan, habituée à un état corrompu et absentéiste, qui ne doit exister que pour des pratiques assistantielles toujours renouvelées, …etc…etc) et….. l’islam pour qui tendantiellement l’état laïque est un concept incompréhensible et superfétatoire .

Naturellement personne n’a voulu considérer que l’on avait là à faire avec un cocktail humain et « civique » spécifique, de nature à rendre l’assimilation au système français et à l’Europe problématique. On ne voulait que raisonner d’après les vagues d’immigration antérieures (polonais, italiens, espagnols…etc), qui, elles, étaient porteuses d’une culture politique et d’un backgraound civilisationnel proche de la France : à savoir une relative laïcisation du politique, des aspirations démocratiques, l’appartenance à une nation, la compréhension de ce qu’est le fonctionnement d’un état national, le B à Ba de la citoyenneté…etc. Non, il ne fallait pas voir ce qui s’annonçait avec le regroupement familial, il fallait raisonner par simple analogie – ils s’intègreront comme les autres, ce serait automatique, par le simple franchissement du sésame méditerranée, qui valait comme passeport d’entrée immédiate dans la « démocratie libérale avancée ». Et puis il ne fallait pas «  désespérer » la porte d’Aix, 2° arrondissement de Marseille. Ne pas faire de peine à toutes ces victimes de nos exactions coloniales, ce « camps des saints » qui arrivait sur nos rivages. D’ailleurs ne fallait-il pas se racheter quelque peu ?

Là dessus deux facteurs historiques supplémentaires et structurels ont constitué un frein non pas à une assimilation mais même à une relative intégration comme celle des travailleurs immigrés maghrébins des années 60. La montée de l’Islam international et de la propagande gauchiste sur les questions de l’immigration et du racisme. 1 / Il y a eu dès les années 80 la conjonction délétère de la reprise d’un islam missionnaire et conquérant à partir des monarchies du golfe. 2 / Il y a eu une machine de propagande gaucho-mondialiste très prégnante (voir le fait inouï que le PS se dote bientôt de secrétaires nationaux comme Désir, fondateur de SOS Racisme, et Cambadélis, un strausskhanien pur sucre !), une machine idéologique qui allait amener la France  à une vision négative et pénitentielle de son histoire et d’elle-même. Qui donc présentait le pays d’adoption comme un d’anti – modèle auquel il devenait répulsif de s’assimiler ou même de tout simplement s’adapter. Le gauchisme hégémonique non seulement confortait les réflexes différentialistes et alter-identitaires mais aussi inoculait dans l’esprit de ces populations, cultivait devrait-on dire, toutes sorte de ressentiments (social, culturel, historique) contre le pays. Joli travail !

Le résultat est sous les yeux. Sur le site algerie-dz.com une blogueuse algérienne décrit ses premières impressions de voyage sous le titre « Une virée dans les quartiers arabes de Marseille » «En sillonnant les ruelles de Marseille, nous sommes tombés sur un quartier typiquement algérois. «Wach, nous sommes à Alger, c’est la place des Martyrs!», commente un confrère d’un air étonné. »(…)«C’est la rue de la Lyre à Alger», nous déclare une jeune dame, croisée sur place. Portant un hidjab moderne aux couleurs chamarrées, cette Algéroise native d’El- Biar dit qu’elle ne se sent pas du tout dépaysée. «Il n’y a que les parents qui nous manquent ici, sinon machi ghorba», remarque-t-elle le sourire en coin. » On a bien là une population qui s’est installé en stand by, sans s’intégrer ni s’assimiler (d’ailleurs sans incitation explicite à le faire de la part d’aucun pouvoir), ni vouloir revenir au Maghreb. Opportuniste, allocataire et revancharde.

Rien d’étonnant à ce que ces populations, pourtant installées à l’étranger, communient sur leurs valeurs, refluent sur leurs bases religieuses, culturelles, appréhendent la vie en commun sur le registre politico-culturel archaïque avec lequel elles entretiennent une familiarité atavique et que d’ailleurs elles transmettent à leurs enfants. C’est ainsi qu’elles entament une dérive séparatiste qui petit à petit les amène à former une « contre société », à côté du modèle républicain et du système étatique. Une société parallèle, juxtaposée à la société française et qui se constitue en pouvoir, selon la logique des choses. Deux sociétés sur le même territoire, deux sociétés qui dans un premier temps s’ignorent. Mais qui ne tardent pas d’entrer en opposition dès qu’il s’agit pour l’état de se prévaloir de sa légitimité et de ses règles, pour ne pas laisser ce « modèle algérien » désormais solidifié par l’habitude, la tradition, l’écoute des TV satellitaires, trop déborder sur l’espace public local. On aboutit ainsi à Marseille à une véritable concurrence de pouvoirs aux objectifs diamétralement opposés.

Face à cette situation, un état velléitaire (car empétré dans l’idéologie européo/altérophile/altermondialiste, désormais vulgate commune de toute la classe politique)  ou un état en état de fuite. La gestion à courte vue, les économies de fonctionnement, le contre la montre, la démagogie, ont conduit à une désertion des ces quartiers par les forces de l’ordre. Et lorsqu’il faut malgré tout intervenir, ce ne peut être qu’avec des opérations commando, nocturnes et qui mobilisent des dizaines voire des centaines de policiers quand il ne faut pas l’appui d’hélicos ! Lesquelles opérations approfondissent la rupture avec l’état et le pays d’accueil, car ce sont de belles occasions pour la propagande, (souvenons nous des expressions : « les forces d’occupation », « les cow boy de la bac »…etc) de creuser, surcreuser le fossé entre pouvoirs, entre populations. Chaque fait divers en « quartier » est une formidable opportunité de continuer et d’approfondir une  « solidarisationde masse » sur une base ethnique, ethno religieuse plus exactement, eu égard aux affiliations des participants. On assiste ainsi à une véritable extra-territorialisation irréversible des différents quartiers de Marseille où déjà le « monopole de la violence légitime » n’appartient plus à l’état,  où les rapports de force se sont inversés au profit de « cosche » mafieuses,  de micro-états pourvoyeurs de fonds pour des groupes sociaux réduits à « s’intégrer », pour survivre, à une criminalité de masse.

L’objectif clairement poursuivi est de desserrer le corset institutionnelà la française. Dans un premier temps pour des raisons de bizness, le bizness étant l’outil le plus opératoire dans l’immédiat. A terme, pour d’autres affirmations que l’on voit se profiler sous forme culturo/cultuelles. Il s’agit bien de se défaire (on pourrait dire de s’affranchir, et c’est là où la revendication rejoint celle de la gauche anti-nationale et européiste), se défaire donc, territoire après territoire, quartier après quartier, de la loi, de la légalité, de l’état, de la société française au sens large. Dans la perspective d’une autonomisation lente mais systématique de ces nouvelles populations. A ce titre, ne doit-on pas considérer les « jeunes » comme une « avant garde » ?

Une dérive donc par rapport à un système politique autochtone que tout le monde s’obstine à croire toujours en place alors qu’il n’est plus d’actualité depuis longtemps. Et une situation à la napolitaine !

Selon le modèle non pas de la Cosa Nostra sicilienne, très hiérarchisée, mais selon celui d’une criminalité horizontale, effervescente, polyvalente, continuellement renouvelée au fil des mises à l’ombre par la police qui se contente de faire quelques coups ponctuels, mais rien de structurel faute de volonté politique et de moyens.

Une sorte d’hydre de Lerne dont on peut bien couper quelques tentacules, mais qui repousseront immédiatement après.

Oui, à Marseille c’est bien la Mafia, sous sa forme « Camorra », qui s’est emparée de bien des quartiers de la ville ! Une mafia naturellement, inévitablement en guerre contre l’état central, un état qui par idéologie antiraciste ne veut pas se rendre à cette évidence (voir les paroles de Valls ) qu’il a à faire à un ennemi et un ennemi déclaré.

Et tant que cette situation ne sera vue que sous l’angle des » incivilités », du folklore « caïds » et du « social », tant qu’elle ne sera  pas traduite en mots, décrite, objectivée, analysée à la lumière de tout l’apport culturel de la pensée politique italienne, de la jurisprudence italienne (pourquoi la France n’adopterait pas les lois anti-mafia italiennes ?), tant que l’état avec ce recul théorique, ne dénoncera avec force et dans la clarté  cette situation, on ne saurait aller vers la moindre solution, mais au contraire vers une dégradation constante, une histoire qui bégaye, maintenant depuis 30 ans. On ne peut soigner un patient sans identifier sa maladie ! Impossible !

Et si on fait un peu de prospective, est-on d’ailleurs sûr que le curseur va s’arrêter sur l’hypothèse napolitaine ? On connaît les affiliations de ces quartiers, leurs allégeances en progression constante (voiles, niqabs, etc). Après le « nettoyage étatique » (sauf pour l’accès aux guichets), ne verrons-nous pas,  (la nature a horreur du vide), comme par hasard, d’autres pouvoirs s’installer explicitement sur une base identitaire, culturelle et religieuse ?

Bref, un modèle Beyrouthin. Avec une « ligne du palmier » qui irait bien au delà d’un pénétration de toute la société italienne ou européenne par la mafia, come l’avait prévu Sciascia.

On irait en direction d’un modèle où l’ensemble de « notre » société, en plus d’une corruption endémique et d’un illégalisme militant,  serait reformaté selon ce  brillant et envié laboratoire politico-religieux qu’est le pays du cèdre.

 

Source et publication: André Bordes / RL

L' ÉDITO DE CYRANO........

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EDITO DE CYRANO

Les nouveaux khmers de la clique anti-raciste veulent censurer les patriotes

Certains de nos lecteurs pourraient se demander si Riposte Laïque n’en fait pas trop pour soutenir Richard Millet. En quelques jours, notre journal a en effet publié pas moins de six articles, signés parAlain DubosLucette JeanpierreMarcus Graven et Charles Demassieux, pour prendre la défense de l’écrivain, persécuté par la meute des lyncheurs.

Lors d’un échange rédactionnel, Pierre Cassen nous expliquait les raisons pour lesquelles, selon lui, il convenait de mener cette bataille, et surtout pourquoi il n’était pas question, histoire de paraître se border, d’émettre la moindre réserve quant à l’opportunité de certains titres, ou de certains propos tenus par l’écrivain. Il nous rappela un épisode vieux de six ans, l’affaire Redeker, et une pétition qu’il avait impulsée pour soutenir le philosophe, menacé de mort suite à un article publié dans Le Figaro. Pierre, alors soutenu par deux philosophes de l’Ufal, Catherine Kintzler et Marie Perret, entendait proposer un texte où le soutien à Robert Redeker ne pourrait qu’être inconditionnel. D’autres, francs-maçons de gôche, de peur de heurter le politiquement correct, ne voulaient signer que s’ils pouvaient prendre leurs distances avec des propos trop violemment hostiles à l’islam, selon eux. Toujours la peur de heurter la bien-pensance…

http://www.gaucherepublicaine.org/_archive_respublica/index.php?idPage=15/?petition=2

Ce qui était en jeu dans cette affaire était la liberté d’expression, et le droit à la libre critique de tous les dogmes, donc de toutes les religions, donc de l’islam. Toute réserve, tout désaccord publiquement exprimé à ce moment aurait atténué la démarche, n’en déplaise aux « frères ». La pétition fut lancée comme le voulaient leurs initiateurs, Pierre Cassen, Catherine Kintzler et Marie Perret, et elle remporta un franc succès, obtenant les signatures de Michel Onfray, Corinne Lepage, Yvette Roudy, Alain Finkielkraut, Pierre-André Taguieff, Michèle Tribalat, et de milliers de défenseurs de la liberté d’expression… quant la presque totalité de la gôche, les associations dites laïques et les syndicats enseignants se planquaient, et étaient aux abonnés absents. Que depuis des distances aient été prises entre les principaux initiateurs de cette pétition n’est pas l’essentiel.

Six années plus tard, la situation se radicalise, mais ce sont les mêmes enjeux qui sont à l’ordre du jour, dans ce qu’il est convenu d’appeler l’affaire Richard Millet. L’hebdomadaire « Valeurs actuelles » a, dans sa couverture, parfaitement résumé la situation :« Les lyncheurs, ils veulent faire taire ceux qui parlent islam et immigration ».

Richard Millet, qui, par ailleurs, se défend remarquablement bien, face à des maître-censeurs qui nous font irrésistiblement penser à ces khmers rouges cambodgiens, maltraitant et assassinant un peuple qu’ils entendaient rééduquer par tous les moyens. Il suffit de lire le règlement intérieur du plus grand camp de rééducation, le S21, à Phnom Penh, sous Pol Pot, et d’écouter les propos haineux et totalitaires des maîtres-censeurs pour voir, dans un contexte différent, une grande convergence idéologique.

Ceux qui veulent faire taire l’écrivain, à l’instar du pantin BHL, sont du même moule que les commissaires politiques de Pol Pot, qu’ils ont d’ailleurs soutenu dans leur jeunesse pour nombre d’entre eux. Nul doute que s’ils en avaient les moyens, ils enverraient l’écrivain, et bien d’autres, dans des camps de rééducation de type S21. Ce sont eux qui hurlent contre la présence médiatique des Eric Zemmour, Robert Ménard, Alain Finkielkraut, Elisabeth Levy, Ivan Rioufol et autres mal-pensants. Ce sont ceux qui ont poursuivi devant les tribunaux, et souvent fait condamner, des Michel Houellebecq, Brigitte Bardot, Eric Zemmour, Fanny Truchelut, Pierre Cassen, Pascal Hilout, Renaud Camus, Jacques Philarchein et combien d’autres, moins connus, mais tout autant persécutés par les « vopos » de l’anti-racisme. Ce sont eux qui, ayant pris le pouvoir dans ce monstre qu’est devenu l’Education nationale, nous imposent,  dans le moule des disciples de Pol Pot, une nouvelle Histoire de France, véritable rééducation forcée de tout un peuple, niant la réalité de notre passé. Interdit d’évoquer la France, rappelant l’époque des Etats-nations, place à la vision du village mondialisé dans une Union fédérale européenne. Ils ont trouvé, comme le démontre Christine Tasin, en Aurélie Filippetti, ministre de la Culture, qui ose s’opposer à la construction de la maison de l’Histoire de France, un relais supplémentaire dans le gouvernement Hollande-Ayrault.

C’est à un véribable holocauste de la mémoire, comme l’expliquait Alain Dubos, épinglant le sinistre stalino-mélenchonien Corbière, que se livrent ceux qui veulent façonner les prochaines générations dans une véritable réécriture de notre Histoire. C’est pourquoi Christine Tasin a décidé de modifier son Journal des Résistants, et nous proposera, dès ce vendredi, tous les quinze jours, une Histoire de France que nos élites ne veulent plus que nos enfants apprennent, qui reparlera de Charles Martel, Vercingétorix, Clovis, Jeanne d’Arc, Louis XIV, Napoléon…

Ce sont encore les nouveaux khmers qui, relayés par l’hystérique ministre du Logement, que Paul Le Poulpe a appelé la feld-maréchale Cécile Duflot, veulent contraindre les classes populaires à une cohabitation obligatoire, au nom du vivre ensemble et de leur société multi-culturelle, avec des populations qui veulent nous imposer leur culture, leur religion et leurs mœurs, en reniant totalement la nôtre.

Dans la presse, à l’école ou dans notre quotidien, ils veulent nous imposer un gigantesque lavage de cerveau, dans le plus pur esprit des khmers rouges de Pol Pot et de l’homme nouveau, qui devait faire fi de toute histoire, toute référence à un passé qui devait disparaître des esprits, de gré et plutôt de force. Hier, au Cambodge, on traquait le petit-bourgeois ennemi de la Révolution, aujourd’hui, en France, on pourchasse le patriote ennemi du multiculturalisme et d’une immigration islamique.

Richard Millet, et tous ceux qui, à l’image de notre journal, et de nombre de sites Internet, résistent à ce rouleau compresseur, remettent gravement en cause cette propagande, digne des pires régimes totalitaires. La caste médiatique et la clique anti-raciste, au service des puissants, doit donc les faire taire au plus vite, et par tous les moyens. La semaine dernière, le commissaire politique Joffrinappelait le gouvernement à davantage réglementer Internet, et même les échanges courriels.

Cette semaine, le président de la Licra, Alain Jakubowicz, lâchait le morceau, dans une interview à L’Express.

« La réglementation se met progressivement en place, mais il faut bien comprendre qu’Internet est encore un nouveau média et évolue à une telle vitesse qu’il faut sans cesse s’adapter. Aujourd’hui, nous n’avons aucun souci pour faire supprimer des sites hébergés en France. En revanche, les choses deviennent très compliquées lorsque cela se passe hors de nos frontières. C’est par exemple très difficile de lutter contre le racisme sur Facebook. Ce réseau social répond de la loi américaine et les utilisateurs peuvent faire jouer le 1er amendement [ndlr: la liberté de parole] pour poster des propos racistes. C’est d’ailleurs pour cela que nous souhaitons que la France organise une conférence internationale pour tenter de trouver une solution globale à cette question. »

Tout est dit. Hier critiquer l’Union soviétique, c’était, selon la propagande de l’Internationale communiste, être fasciste. Aujourd’hui, refuser la poursuite d’une immigration qui renforce l’islamisation de nos pays, c’est, bien évidemment, selon Joffrin-Jakubowicz, l’ineffable médiocre écrivain Christine Angot et tous les disciples de Pol Pot, être raciste et attiser la haine.

http://www.dailymotion.com/video/xeibo_christine-angot-craque-apres-zemmou_news

Que dire du discours de la nouvelle présidente de Sos Racisme, Cindy Leoni, qui, à son tour, appelle à la répression contre Internet (au bout de 3 minutes) ? Que dire de sa vision incroyablement raciste contre nos compatriotes, quand elle évoque William et Monique, d’Aigues-Mortes, sans dire un mot sur les agressions racistes de nombre de Vladimir… Ira-t-elle jusqu’à accuser les parachutistes de Castres, agressés ce dimanche par des « jeunes », comme dirait l’AFP ?

http://www.dailymotion.com/video/xtf20t_internet-le-principal-outil-de-diffusion-de-haine-raciale_news

Il faut donc, selon le catéchisme de la clique anti-raciste, d’abord interdire d’expression ceux qui osent émettre un autre son de cloche que la propagande officielle, non seulement fermer leurs sites au plus vite, mais les traîner devant les tribunaux. Ils se préparent sans doute à, comme lors des célèbres procès de Moscou, exiger une auto-critique publique des déviants !

C’est donc ni plus ni moins notre modèle civilisationnel, notre liberté de penser, notre droit de croire ou de ne pas croire, l’esprit frondeur gaulois, qui sont aujourd’hui dans la ligne de mire. C’est de la France, et toute la culture occidentale, dont ils veulent se débarrasser. Pour les khmers rouges-roses-verts, tous les Richard Millet et les sites Internet qui osent continuer à défendre le pays et sa culture sont d’insupportables grains de sable qu’il convient de broyer par tous les moyens.

Lors des assassinats de Merah, ils se sont déchaînés, pendant 48 heures, contre « l’extrême droite raciste », avant de constater, la queue entre les jambes, que l’assassin s’appelait Mohamed… Ils n’attendent qu’une chose : qu’un Gaulois de type Breivik, excédé par la situation, ne passe à l’action, pour exiger la fermeture de nos sites, et la censure de tous les Millet de France et de Navarre.

C’est pourquoi, face au monstre totalitaire qui se met en place, derrière le sourire niais de Normal 1er, la défense de Richard Millet, comme celle hier de Robert Redeker, et celle aujourd’hui de tous les internautes patriotes, doit être inconditionnelle.

AGENDA RL

Dimanche 16 septembre, à 14 heures. A Florence, Hôtel Méditerranéo, Hommage à Oriana Fallaci, intervention de Pierre Cassen, à l’invitation de l’association « Una via per Oriana Fallaci ».

50, Lungarno del Tempio, Florence

Samedi 6 octobre, à 12 heures, à Nîmes, à l’invitation de Résistance Républicaine Languedoc-Roussillon, banquet républicain sur le thème : défense de notre école et lutte contre la généralisation du halal. Inscriptions avant le 29 septembre :resistancerepublicaine@hotmail.fr

Samedi 20 octobre, à Hayange (57), à partir de 18 h 30. A l’invitation de Résistance Républicaine Lorraine, Réunion publique, suivie d’un apéro saucisson-pinard, sur le thème : Tout ce qu’il faut savoir sur la viande halal, avec Christine Tasin.

Café du Centre, 44, rue Foch 57 Hayange

(Participation aux frais 5 euros).

COMMANDER LES LIVRES DE RIPOSTE LAÏQUE

D’abord, bien les connaître, ce que permet cette présentation.

Commande d’un exemplaire de La faute du bobo Jocelyn, 19 euros pour un exemplaire, 30 euros pour deux exemplaires, 50 euros pour 4 exemplaires, frais de port compris (pensez à vos cadeaux de Noël mais pensez aussi que c’est peut-être l’occasion ou jamais d’offrir autour de vous, à tous ceux qui n’ont pas encore compris ce qui se passait, un roman qui peut les éclairer en douceur, par le biais de la fiction).

Commande de notre dernier livre, Apéro saucisson-pinard (édition Xénia), 21 euros.

Découvrez également le site web dédié à cet ouvrage :http://www.saucisson-pinard.com Ainsi que la page Facebook :http://www.facebook.com/pages/Ap%C3%A9ro-Saucisson-Pinard/289441557769069

Autres ouvrages de Riposte Laïque : Les dessous du voile, La colère d’un Français, Résistance républicaine, Les Assises sur l’islamisation de nos pays : 10 € pour 1 livre, 16 € pour 2 livres, 20 € pour 3 livres (frais de port compris).

Autre ouvrage à vendre : Vérités sur l’islam, de David Vaucher, 19 euros, frais de port compris.

Le plus facile est de payer directement sur notre compte paypal (en haut à droite de notre site, cliquez sur « faire un don » et précisez la commande effectuée.

Sinon, merci d’envoyer les commandes accompagnées des chèques correspondants libellés à l’ordre de Riposte Laïque, BP 10001, 78570 Chanteloup-les-Vignes.

Vous pouvez aussi les commander par Amazon :

http://www.amazon.fr/Faute-du-Bobo-Jocelyn/dp/2953604235

 

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