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CACHER CETTE BOSSE ..........

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MessagePosté le: Lun 17 Déc 2012 13:33    Sujet du message: La bosse de la prière du musulman et le traumatisme 

La bosse de la prière du musulman et le traumatisme crânio-cérébral (*) 

 
A force de se frapper la tête sur le sol pendant la prière, certains musulmans ont une marque sur le front.

Signe de dévotion pour la communauté islamique, cet assommoir répété des dizaines de milliers de fois peut entrainer des conséquences sur le comportement et la santé mentale selon une étude de l’Université d’Oxford en Angleterre. 

Extrait : une hypothèse apparaissant dans l’étude des traumatismes neurologiques répétés est le dommage causé au cerveau par des blessures légères cérébrales traumatiques pouvant aboutir à un dysfonctionnement de la mémoire et de l’apprentissage.

Source : examiner.com 

(*) Par ailleurs, la définition d’un traumatisme crânio-cérébral (TCC) désigne toute atteinte cérébrale impliquant une destruction ou dysfonction (fonctionnement inadéquat) du tissu cérébral suite à un choc entre le cerveau et la boîte crânienne. 


Quelles peuvent être les conséquences neurologiques ? Des séquelles s'observent également au niveau comportemental.

En effet, un changement de caractère (agressivité, irritabilité, désinhibition, etc.) ainsi que des variations d'humeur, une diminution du contrôle émotif et une attitude dépressive peuvent être observées. 
Par ailleurs, une atteinte physique constitue un handicap visible.

L'atteinte physique est donc généralement plus facile à objectiver qu’une atteinte cognitive ou comportementale (handicap invisible) raison pour laquelle la victime de TCC peut avoir une apparence normale laissant penser qu’elle n’a aucune atteinte. Source : chuv.ch 

Quelques exemples de musulmans portant la bosse de la prière 

Essam el-Erianvice, président du parti Liberté et Justice des frères musulmans en Egypte 
 

Rashad Bayoumi, responsable égyptien de l'organisation des Frères Musulmans 
 

Mohamed Yunus, chef islamiste turc 
 
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VICHY ET LES HOMOSEXUELS, L' HISTOIRE À L' ENDROIT ?

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Mercredi 15 février 2012

http://s2.e-monsite.com/2010/02/07/60348928revolutionnationale-jpg.jpg

 

Après les sanctions décidées contre Christian Vanneste, qui a déclaré que la déportation des homos était une légende, voici un article qui passionnera toutes les vierges effarouchées, à commencer par M. Aliot, qui avec ce rictus si inimitable a déclaré dans l'émission Les Quatre Vérités que Vanneste devrait rouvrir ses livres d'histoire...


Que M. Aliot suive donc ses propre conseils !

 

Soulignons au passage la médiocrité de la réponse du membre d'un parti prétendument anti-système.

Médiocrité qui lui échappe certainement, car il croit faire la réponse du siècle : il se fait passer pour  un spécialiste de l'histoire contemporaine, tout en hurlant avec les loups.

D'où le sourire dégoulinant d'auto-satisfaction.

 

Pensez donc, cette affaire est du pain bénit pour Aliot et Cie ! Ils peuvent réaffirmer leur attachement à la version officilelle des HLPSNH et clamer haut et fort, s'il en était besoin, leur homophilie.


A quand le mariage homo dans le programme du FN? Bientôt, si l'on en croit cette interview de Collard.

 

Mais revenons à nos triangles roses avec cet article du site Observatoire du communautarisme :

 

Vichy et les homosexuels

Alors que les militants gay tentent d'obtenir une reconnaissance officielle des triangles roses par les autorités françaises, il est plus qu'utile de procéder à une mise au point sur les faits historiques en rappelant notamment qu'à l'exception des territoires annexés par l'Allemagne (Alsace-Lorraine) il n'y a pas eu de déportation homosexuelle en France.



Pierre Seel (avec Jean Le Bitoux), Moi, Pierre Seel, déporté homosexuel, Calmann-Lévy, 1994, réédition en mars 2005
Pierre Seel (avec Jean Le Bitoux),
Moi, Pierre Seel, déporté homosexuel,
Calmann-Lévy, 1994, réédition en mars 2005
 
 
 
Les militants gay se livrent à un lobbying forcené pour aboutir à une commémoration officielle par les autorités françaises de la déportation homosexuelle pendant la Seconde Guerre Mondiale.
 
Elu UMP d’Ile de France et président du mouvement "Aujourd’hui, Autrement", Jean-Luc Romero, a demandé au gouvernement que les associations homosexuelles soient officiellement autorisées à « commémorer partout en France les victimes homosexuelles de la barbarie nazie » à l’occasion de la Journée nationale de la Déportation, le 24 avril prochain (1).
 
A l’appui de cette revendication, Jean-Luc Romero affirme que « des homosexuels français ont été arrêtés, déportés, torturés ».
 
De leur côté, l'Inter-Centres LGBT, l’association Les «Oublié(e)s» de La Mémoire et le collectif Homoboulot ont été reçus au ministère délégué aux Anciens combattants -où ils ont leurs entrées (2)- pour relayer la même revendication (3).

Si la persécution des homosexuels par les nazis n’est pas contestable, il convient de préciser les faits en ce qui concerne la France occupée.
On lit souvent que le régime de Vichy a pénalisé l’homosexualité. Ce n’est pas tout à fait exact.
Connue comme la « loi Darlan », la loi n° 744 du 6 août 1942 interdisait les « actes contre-nature avec un mineur de son sexe âgé de moins de 21 ans ». Il s'agit ainsi davantage d'une définition discriminatoire -puisque, c'est un fait, il n’en allait pas de même pour les relations hétérosexuelles- de la protection des mineurs que d'une prohibition de l'homosexualité à proprement parler.
 
Quant à la déportation homosexuelle orchestrée par le régime nazi -en application du fameux paragraphe 175 du code pénal allemand de 1871 qui interdisait les relations sexuelles entre hommes-, elle n’a concerné en France que les homosexuels d’Alsace et de Moselle qui, après l’armistice de 1940, étaient sous le joug du reich allemand et non sous celui du gouvernement de Pétain.
 
En dépit de tous les crimes dont il s’est rendu complice, le régime de Vichy n’a pas déporté les homosexuels en tant que tels.

La confusion sur ce sujet a récemment été entretenue par la diffusion en prime-time du téléfilm Un amour à taire, une « fiction sur la déportation homosexuelle » qui, paraît-il, « a été occultée ». Il s’agit en réalité d’un téléfilm sur la descente aux enfers d’un jeune français amoureux d’un résistant qui, après avoir été dénoncé par son propre frère, est déporté comme prisonnier politique dans un camp de concentration (4).
 
Là-bas, son parcours croise celui de déportés homosexuels alsaciens avec lesquels il se solidarise comme le montre une scène où il revêt une tenue frappée du triangle rose, image qui sera opportunément retenue sur l’affiche du téléfilm paru en DVD le lendemain de sa diffusion sur France 2. Dans le même temps, on a réédité le livre Moi, Pierre Seel, déporté homosexuel, récit pathétique des mésaventures d’un jeune alsacien, interné six mois au camp de Schrimeck avant d’être libéré, renvoyé chez ses parents puis enrôlé dans la Wehrmacht comme tant d’autres « malgré-nous »(5).
 
Frappé du triangle bleu des « asociaux » -et non du triangle rose qui désignait les homosexuels- Pierre Seel était peut-être un homosexuel déporté à Schrimeck, mais pas un « déporté homosexuel ».Nuance
 
Son parcours qui, comme il le raconte lui-même, l’a conduit à combattre les partisans yougoslaves sous l’uniforme nazi, disqualifie Pierre Seel pour recevoir la Légion d’Honneur que réclament pour lui ses soutiens du mouvement gay (6) au nom de ces « oubliés de la mémoire » que seraient les homosexuels (7).

Seuls les ignorants ignoraient la déportation homosexuelle. L’existence des triangles roses est mentionnée dans de nombreux manuels scolaires ou livres sur la déportation. Un ouvrage d’Eugen Kogon soulignant le sort épouvantable réservé aux déportés homosexuels dans les camps, L’Etat SS, le système des camps de concentration allemands, a été publié en France dès 1947 !
 
C’est donc un faux « tabou de la déportation homosexuelle » que le téléfilm de France 2 et l’ouvrage de Pierre Seel prétendent briser. Derrière ces deux projets, on retrouve le même homme, Jean Le Bitoux, qui a tenu la plume de Pierre Seel et officié comme « conseiller historique » pour la production d’Un amour à taire(8). Ancien magnat du minitel rose et fondateur de Gai-Pied dans les années 1980, Jean Le Bitoux a fondé le Mémorial de la Déportation Homosexuelle avec Thierry Meyssan, l’auteur du livre qui prétendait qu’aucun avion ne s’était écrasé sur le Pentagone le 11 septembre 2001 (9)…
 
Avec de telles références, on comprend que ce Mémorial n’ait jamais été reconnu par les associations de déportés comme la FNDIRP (Fédération nationale des déportés et internés résistants et patriotes) et l'UNADIF (Union nationale des déportés et internés français) qui font valoir à juste titre que la commémoration de la déportation homosexuelle a du sens à Berlin ou à Strasbourg mais qu’elle est hors-sujet à Paris.

Les auteurs d’Un amour à taire ne cachent pas que ce téléfilm est le fruit d’une « volonté militante, partagée par tous les gens qui sont intervenus sur le film, du réalisateur aux acteurs en passant par le diffuseur » (10), ce qui ne l’a pas empêché d'obtenir un financement du CNC et un accord de diffusion de France 2 avant même l'écriture du scénario !
 
De même, Jean Le Bitoux a truffé le récit de Pierre Seel de considérations anachroniques sur la lutte contre l’homophobie et sur le mouvement gay (11). La question de la déportation est ainsi devenue un enjeu des revendications communautaires qui prennent en otage le devoir de mémoire.
 
Derrière les discours sur les « triangles roses français », on voit ainsi se développer un phénomène malsain de concurrence des victimes visant à disputer aux juifs l’héritage historique de l’extermination nazie dans le but de s’attribuer une part de la « dette imprescriptible de la France à l’égard des juifs » évoquée récemment par Jean-Pierre Raffarin.
Aussi importe-t-il de se baser sur les faits et de veiller à ce que la simplification de la vérité n’aboutisse pas à la travestir dans un but politique.
 
Comme le rappelait récemment l’historien Pierre Vidal-Naquet, « dire que Vichy a déporté les homosexuels n’est peut-être pas du révisionnisme, mais c’est un mensonge »(12).


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(1) Communiqué du 24 mars 2005 du parti Aujourd’hui Autrement : lire en ligne
(2) Laurent Bellini, l'ancien président de la « chorale gay » Melo’Men qui chante chaque année sur le site du Mémorial de la Déportation en souvenir des Triangles roses a été directeur du protocole au ministère des Anciens Combattants (le rôle actif qu'il a joué auprès des autorités pour faire reconnaître la déportation homosexuelle est expliqué sur le site : http://www.hexagonegay.com/TrianglesRoses/Paris2004-01.html)
(3) L’ensemble des revendications homosexuelles autour de la commémoration de la déportation figure sur le site des « Oublié(e)s » de La Mémoire (lire en ligne.
(4) Voir à ce sujet sur le site de l’Observatoire du Communautarisme : Manipulations autour de la déportation homosexuelle
(5) Pierre Seel (avec Jean Le Bitoux), Moi, Pierre Seel, déporté homosexuel, Calmann-Lévy, 1994, réédition en mars 2005.
(6) A la fin du mois de mars 2005, Jean Le Bitoux a écrit à la Grande Chancellerie de la Légion d'Honneur pour qu'une décoration soit remise à Pierre Seel.
(7) Jean Le Bitoux, Les oubliés de la mémoire, Hachette Littératures, 2002.
(8) Un bonus du DVD d’Un amour à taire est constitué d’une interview de Jean Le Bitoux.
(9) Voir l’entretien de Thierry Meyssan sur le site du Mémorial de la Déportation homosexuelle : lire en ligne
(10) E-llico : « La télé reconnaît les triangles roses » lire en ligne
(11) La réédition précipitée du livre de Pierre Seel dans la foulée de la diffusion du téléfilm Un amour à taire a omis de corriger les estimations fantaisistes de la déportation homosexuelle qu’il contenait :
« on estime à trois cent cinquante mille le nombre des homosexuels déportés. Parmi eux, bien peu en réchappèrent » (p. 179)
« il y a eu huit cent mille personnes massacrées pour fait d’homosexualité » (p. 191)
En réalité, les estimations du nombres de déportés au triangle rose varient entre 5.000 et 63.000, le nombre de morts dans les camps étant compris dans une fourchette de 5.000 à 15.000 (chiffres consultables à l'adresse internet suivante : lire en ligne
(12) Forum du 24 janvier 2005 du quotidien permanent du Nouvel Observateur : lire en ligne



http://rivarol.over-blog.com/article-vichy-et-les-homosexuels-99375034.html

LA SYRIE ET LES DJIHADISTES TUNISIENS !

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Des djihadistes salafistes tunisiens parmi les rebelles syriens

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salafistes tunisiens

Un réseau de salafistes tunisiens, également appelés djihadistes, envoie des jeunes tunisiens endoctrinés et entrainés combattre en Syrie.

 

« Ces jeunes salafistes partent faire le djihad en Syrie où ils combattent l’Etat et l’armée à la fois » selon Omyeh Ben Mohamad Noreddine, mère de l’un de ces terroristes. « Ce phénomène s’est amplifié en Tunisie.

Mon fils n’a que 25 ans et il est étudiant en troisième année d’histoire. il a quitté la maison le 3 décembre et il n’est plus revenu », poursuit-elle.

 

Selon l’ONU, 40% des terroristes en action en Syrie contre le régime de al Assad, dont ceux qui ont été officiellement reconnus comme représentants légitimes du peuple syrien par le gouvernement français, sont des non syriens.

 

Bien que la Tunisie a acquis de longue date la réputation d’être l’un des pays arabes les plus modéré et tolérant, le régime syrien s’était adressé à l’ONU en mai dernier pour leur donner les noms de 26 terroristes d’al Qaida qu’il avait capturé.

 

19 d’entre eux étaient tunisiens, confirmant que sous la surface des plages touristiques a toujours existé un fort courant d’islamistes radicaux.

 

« L’extrémisme est le fruit de la dictature », explique Sami Brahim, qui étudie les mouvements islamistes, et explique que beaucoup sont devenus très religieux et se sont tournés ver le djihad à la faveur des répressions de l’ancien régime. « Ces jeunes sont les victimes de la dictature », conclut-il.

 

Des documents découverts en Iraq par les américains indiquent que beaucoup de tunisiens étaient partis en Iraq pour combattre dans les rangs d’al Qaida.

Des listes détaillées montrent que sur environ 600 djihadistes repérés dans la région de Sinjar en Iraq, les tunisiens représentaient le plus grand nombre derrière les jeunes libyens et saoudiens.

Nourreddine Jebnoun, expert tunisien au centre pour les études arabes de Georgetown, tire la sonnette d’alarme et explique que la menace tunisienne risque de devenir très sérieuse lorsque les tunisiens qui se livrent au jihad en Syrie rentreront chez eux.

 

« Comme pour les arabes afghans, la Tunisie (et les pays comme la France qui accueillent des tunisiens sur leur sol) doit s’attendre à une vague de combattants terroristes qui rentreront chez eux dans quelques années en possessions de « talents » terroristes nouveaux. 

 

Alors que le pays est toujours en train de négocier sa transition, il faut s’attendre à un gros cauchemar », écrivait-il récemment dans un article.

 

Les médias internationaux sont encore très silencieux sur le sujet.

 

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

 

 
 
 
 

5 Réponses à Des djihadistes salafistes tunisiens parmi les rebelles syriens

  1. « L’extrémisme est le fruit de la dictature » pas d’accord du tout avec cette these.au contraire la tendance extremiste et haineuse a toujours existee en tunisie et au contraire la « dictature » menait une lutte contre tous ces extremistes (de niveau universitaire:les pauvres n’ont pas le temps de faire du djiad.c’est comme les fils a papa saoudiens du 09/11/2001 aux twins towers).
    les musulmans ont la haine en eux et des qu’ils peuvent ils la font sortir.ben ali empechait l’exportation des djihadistes.c’est aussi une facon de se debarasser de bouches a nourrir….surtout que la nouriture commence a manquer apres le printemps arabe, la revolution du jasmin’ le gay pride europeen et les « colonies » juive en judee…..

    hagay 
    20 décembre 2012 at 11:37
    Répondre

     
  2. C’est énorme: la Syrie, au régime ô combien critiquable, est littéralement envahie… Et l’Occident encourage ces fous! A qui le tour, après?

    boucheseiche 
    20 décembre 2012 at 12:35
    Répondre

     
  3. Et après, ils viendront se reposer en France dans les HLM que Delanoë mettra à leur disposition. Ils pourront faire alors le djihad en France.

    poulakia 
    20 décembre 2012 at 12:56
    Répondre

     
  4. Le déclin de l’empire romain n’est pas venu tout seul . Les dirigeants d’alors se sont fait idiots , pusillanimes , mous , ouverts à tous les changements , et l’empire s’est dissout dans les brumes du temps .
    Ils avaient pourtant tenu tout le bassin méditerranéen et imposé les lois de la république puis de l’empire .

    Nous ( terme collectif ) sommes mûrs à notre tour , nous qui ne savons même plus distinguer une menace .

    buzz 
    20 décembre 2012 at 14:10
    Répondre

     
  5. l’europe aura affaire tot ou tard a tout ces dangeureux islamistes

    vegeta 
    20 décembre 2012 at 14:26
    Répondre

     

EGYPTE: L'IDEOLOGIE DES FRÈRES MUSULMANS........

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L’idéologie des Frères musulmans n’a rien à envier au nazisme

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Dans un reportage diffusé sur la chaîne allemande ZDF, qui ternit l’image édulcorée des “vénérables et très modérés” Frères musulmans, si respectés par nos gouvernements occidentaux, tout montre que leur idéologie n’a rien à envier au nazisme.

Les Frères ont volé les révolutions des jeunes, qui rêvaient à plus de démocratie, de liberté, de justice, avec l’aide des gouvernements Occidentaux, toujours prêts à soutenir les dictatures laïques ou théocratiques à l’iranienne, au nom de la démocratie …

 

Leur devise:  »Allah est notre but, le prophète notre chef, le Coran notre constitution, le djihad notre voie, le martyre notre plus grande espérance”.

 

Leur logo: un modèle de douceur, de paix, de fraternité !

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[Le logo des Frères Musulmans comporte la couleur verte, couleur de l’islam, le Coran, deux glaives et en dessous, le mot « Préparez », premier mot du verset coranique (Le butin, al-Anfal 8-60) : « Et préparez (pour lutter) contre eux tout ce que vous pouvez comme force »]

 

Reportage diffusé sur la chaîne publique allemande ZDF. “L’idéologie des Frères musulmans se compare au communisme ou à l’expansionnisme nazi” :

 

Morsi n’est qu’une marionnette des Frères musulmans, pour qui chaque musulman doit être un coran sur deux jambes !

 

[Claud Kleber] : Notre prochain reportage ne montre aucune barbarie extraordinaire, mais pourrait induire quelques nuits agitées, surtout pour les gens intéressés à des événements dans des contrées lointaines.

En Égypte, il semble que Frères musulmans vont gagner le référendum sur une nouvelle constitution. Ce n’est pas une victoire écrasante, et dans les grandes villes du Caire et d’Alexandrie la majorité a voté non, mais dans l’ensemble du pays plus de 50% des gens voteront oui samedi prochain. Notre grand reporter Dietmar Ossenberg trace un portrait des futurs dirigeants du pays.

Et c’est ce qui m’empêche de dormir la nuit, quand je pense à une Egypte nocturne :

[Dietmar Ossenberg] : Peu après la fermeture des bars hier soir, une foule islamique traverse le quartier Dooki du Caire en criant des slogans contre l’opposition : « Nous défendrons nos mosquées contre ces mécréants ». Les islamistes ont pris d’assaut le siège du Wadf, un parti libéral ayant toujours milité pour l’harmonie entre chrétiens et musulmans.

La violence éclate, il y a des blessés, et le chef du parti est sous le choc : « Je tiens le Président Morsi pour directement responsables de cette violence. »

Mais dans les trois derniers jours, le Président a seulement été responsable d’une conférence de chefs de file islamistes. Ils sont convaincus d’accomplir l’œuvre d’allah. Ils donnent libre cours à la haine de l’opposition, poussant le pays vers la guerre. « Nous avons des millions de partisans, des martyrs prêts à sacrifier leur vie pour l’islam ».

Khairat El-Shater, étroitement associé aux plus radicaux des radicaux, est l’homme le plus puissant des Frères musulmans et par conséquent l’homme le plus puissant en Egypte.

[Hamdy Risk] : Khairat el-Shater dirige la planification et les finances. Les Frères musulmans sont une entreprise internationale : ils possèdent des mégas chaînes de supermarchés, des pétroliers, des opérations commerciales en Allemagne, en Angleterre et aux Etats-Unis.

[Dietmar Ossenberg] : Khairat al-Shater, un multi-millionnaire vénéré comme un saint par ses partisans, a transformé les Frères musulmans en organisation de combat. Voici un document vidéo (2 :29) rarement diffusé : des jeunes combattants des Frères musulmans s’entraînent au Caire.

 

Cette soi-disant Brigade Al-Aqsa a été fondée par Khairat Al-Shatar en 2006, ce qui lui a valu d’être emprisonné par Moubarak, mais le but est resté le même.

[Hamdy Risk] : Il ne s’agit pas seulement des Égyptiens. Les Frères musulmans veulent établir un Califat mondial. Leur idéologie se compare au communisme ou aux visées expansionnistes d’Hitler.
[Dietmar Ossenberg] : Un fait est évident pour la plupart des Égyptiens : le Président Morsi n’est rien d’autre qu’une marionnette de la Confrérie car il obéit aveuglément à leurs ordres.

[Hamdy Risk] : Le Code de conduite des Frères musulmans est fondé sur deux principes : écouter et obéir. Pour plusieurs Frères musulmans, le rêve semble se réaliser: la domination islamique de l’Egypte, et ensuite la domination du reste du monde.”

Pour les Frères, chaque personne dans la société doit être un islam, un coran sur deux jambes, ses actes doivent être le coran ; sa foi, son culte, ses mœurs, ses relations, tout son comportement, ses pensées et ses émotions doivent être conformes à l’islam révélé à Mahomet par le Tout Puissant.

Partout, les Frères musulmans travaillent à rétablir l’islam dans sa conception qui régit la vie des gens en toutes choses, et ils croient que cela ne peut se réaliser que par une société forte.

Notre mission est claire :

le rétablissement de l’islam dans sa conception englobante ; la soumission du peuple à Allah ; l’établissement de la religion d’Allah ; l’islamisation de la vie ; le règne de la religion d’Allah ; le développement de la Oumma sur la base de l’islam. Toutes ces phrases sont des synonymes décrivant la signification, l’intention et la définition de la mission globale à laquelle nous oeuvrons en tant que Frères musulmans.(Khairat al-Shater)

Bel avenir d’esclave en perspective pour le peuple égyptien.

Le seul point positif : les Frères musulmans montrent leur véritable visage, et cela doit perturber quelque peu tous les idiots utiles occidentaux qui voyaient en eux des musulmans “modérés”, dont le très médiatique et pervers Tarik Ramadan, ou encore Alain Juppé.

 

« L’expression ‘islam modéré’ est laide et offensante, il n’y a pas d’islam modéré. L’Islam est l’Islam” disait Erdogan, islamiste “modéré”, cité en exemple par les islamophiles de salon.

 

 

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour www.Dreuz.info

Source : http://www.mrctv.org/videos/muslim-brotherhood-nazis-communists-german-state-tv

IMMIGRÉS: UN PETIT FLUX D' IMMIGRATION ???

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Vendredi 21 décembre 2012

Maxime Tandonnet, ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, revient sur les propos «tout simplement hallucinants» tenus lors d’un débat télévisé consacré à l’immigration, sur France 3 le 5 décembre 2012, en particulier ceux de Philippe Manière, ancien directeur général de l’Institut Montaigne.

Des propos qui exprime, selon lui, «le fossé entre les élites protégées et la réalité quotidienne des Français».

Le flux migratoire, en provenance de pays non-européens, de culture, de mode de vie, et de traditions profondément différentes des nôtres, nourrit ainsi la pauvreté, l’exclusion, le repli identitaire, la révolte.

Il déclarait ainsi : «le petit flux d’immigration qu’on a est non significatif» , parlant de «flux migratoire extrêmement ténu, le plus ténu des pays de l’OCDE», enfin décrivant la France comme «un pays incroyablement fermé».

Les faits parlent pourtant d’eux-mêmes : notre pays délivre environ 200 000 «premiers titres de séjour» à des nouveaux migrants chaque année. Il est, de plus, le second au monde, après les Etats-Unis par le nombre de demandeurs d’asile qu’il accueille : 40 à 50 000 annuellement.

Ces arrivées se produisent dans un contexte où il n’y a pas de travail disponible, avec plus de trois millions de chômeurs, dont un quart des jeunes. […]

Atlantico

EXPLOITER LE GAZ DE SCHISTE ? TRIBUNE LIBRE ,POINT DE VUE !

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Le gaz de schiste, l’exploiter ou casquer !

gaz de schiste

Le 29 novembre 2012 débutait le débat national sur la transition énergétique devant aboutir à une loi de programmation, courant septembre 2013. Nucléaire, sobriété énergétique …

Autant de sujets sensibles seront traités durant ces concertations, mais l’un d’eux devrait supplanter tous les autres : le gaz de schiste et l’épineuse question de son exploitation, la fracturation hydraulique.

 

Fracture hydraulique : le mot est lâché. Il voue aux gémonies ceux qui souhaitent perfectionner cette pratique pour la rendre moins nuisible mais aussi ceux qui désirent continuer la recherche pour trouver une autre technique d’extraction.

 

Rappelez-vous d’ailleurs en 2010, l’État avait pourtant délivré des permis de recherche. Mais la pression, exercée par certains élus locaux et personnalités « écologistes » d’Europe Écologie les Verts, amena à l’adoption d’une loi, le 13 juillet 2011, interdisant la fracturation hydraulique et permettant l’abrogation des permis de ceux qui s’y adonnaient. 

Ce sacro-saint « principe de précaution », poussé à son paroxysme, est insupportable dans notre pays.



Mais parlons technique quelques instants avant de continuer. Qu’est-ce que la fracturation hydraulique ? Explication.

Dès lors que la foreuse a pénétré la roche, il faut établir une jonction entre les pores de la roche, espaces microscopiques remplis de méthane.

La technique consiste donc à injecter, à l’horizontal, des milliers de litres d’eau sous haute-pression pour fracturer la roche ; eau qui est additionnée à du sable et à des produits chimiques permettant aux plaques de schiste de rester ébréchées et, par la suite, de pomper l’eau pour laisser la voie libre au gaz qui remonte par un tube de forage jusqu’à la surface.

Il est vrai que cette manière de faire peut amener certains problèmes, comme par exemple de légères secousses sismiques constatées en Grande-Bretagne, ou encore une possible pollution de la nappe phréatique due aux produits chimiques utilisés. 

Mais la période de crise que nous vivons aujourd’hui permet-elle de se passer de la manne du gaz de schiste, que la France l’exploite ou non via cette technique controversée ? 

Pour ma part, la réponse est non.

 

reserves gaz de schiste

Les réserves mondiales de gaz de schiste

 

Aujourd’hui, près de 98% de la demande française de gaz naturel est satisfaite grâce aux importations. De plus, comme le prix du gaz est lié à celui du pétrole – ce qui est une aberration soit dit en passant – celui-ci augmente donc considérablement.

Selon Arnaud Montebourg, la France posséderait environ une centaine d’années de consommation actuelle de gaz dans son sous-sol, et les capacités de production électrique de la France offriraient des avantages compétitifs évidents. C’est donc une folie de ne pas se pencher sur le sujet d’une manière approfondie.

 

Enfin, la société américaine « Chimera Energy Corp » a mis au point une technologie qui pourrait débloquer les choses en matière d’exploitation des gaz de schiste.

 En effet, cette technique, appelée Extraction Exothermique Non hydraulique, permettrait d’extraire le gaz sans utiliser la fracturation, c’est à dire sans user de produits chimiques ajoutés à l’eau.

La perforation serait pneumatique et recourrait à des gaz chauds plutôt que du liquide. Le gaz en question serait l’hélium.

Ce dernier serait dans la capacité d’augmenter 700 fois son volume quand il passe du stade liquide au stade gazeux, ce qui donnerait à l’extraction exothermique toute sa puissance. L’hélium est donc injecté dans le puits sous forme liquide pour ensuite être réchauffé naturellement par la chaleur du sous-sol, le transformant en gaz capable de fracturer la roche mère.

 

Nous avons donc en main quelques éléments pour alimenter un débat qui serait salutaire pour la France et les français. 

Encore faut-il que nos politiques aient le courage de s’emparer du sujet et de l’imposer, comme le Général de Gaulle l’avait fait pour le nucléaire en son temps !

 

Source et publication :Mathieu Aymar 


http://www.lebreviairedespatriotes.fr/2012/12/18/le-gaz-de-schiste-lexploiter-ou-casquer/

TRIBUNE LIBRE ET LIBRE PROPOS .......

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Samedi 22 décembre 2012

Il n’existe nulle part au monde des exemples de lieux de culte devenus des caisses de résonance et des amplificateurs aux revendications sociales et politiques et pire encore d’exaltation de la pédophilie, du racisme, de l’antisémitisme et de la violence comme chez les musulmans.

Quand bien même cela pourrait exister chez les autres, nul ne peut nier que les musulmans excellent en la matière, ils ont de plus en plus tendance à confondre prière et excitation de la bête immonde qui sommeille en eux. les mosquées ressemblent à des stades de football où l’on vient pour libérer ses pulsions violentes, exorciser le démon qui est en soi, elles sont un défouloir pour les nombreux frustrés de la vie qui pullulent dans le monde musulman, qui fait écho aux maux qui les rongent et gangrènent leur société.

Elles ne sont que l’expression du désarroi des populations avachies par le poids insupportable de la religion  et symptomatiques de leur souffrance et de leur grave mal-être à s’arrimer au train de l’humanité.

Les musulmans sont comme ces coureurs cyclistes du dimanche largués par le peloton qui au lieu de doubler d’efforts et d’énergie pour refaire leur handicap, ils se mettent à vociférer, à maugréer, à vitupérer, à s’agiter comme des forcenés, à stigmatiser et couvrir leurs devanciers d’un torrent de boues d’insultes et d’invectives comme s’ils étaient responsables de leur retard irréversible.

Toujours la faute à l’autre, érigeant l’autre en bouc-émissaire de tous leurs échecs pathétiques, se donnant bonne conscience en brandissant l’étendard du religieux pour masquer leur propre insuffisance et se regarder de leur propre miroir. (…)

source     http://www.citoyens-et-francais.fr/article-appel-aux-musulmans-ne-faites-pas-de-vos-pays-une-nouvelle-allemagne-nazie-tunisie-news-113595973.html

TRIBUNE LIBRE, POINT DE VUE !

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VENDREDI 21 DÉCEMBRE 2012

La création destructrice

 
Petit intermède stratégique dans mon programme philosophique. Je voudrais revenir au 911, pas par monomanie, mais parce que cet événement catalyseur est le prétexte légitimant le changement de stratégie lancée par l'Occident.
Ce qui s'est passé ce jour est facile à résumer : les stratèges atlantistes ont lancé la guerre contre le terrorisme, prélude au chaos oligarchique, perçu par ses thuriféraires comme constructeur, alors qu'il est autodestructeur.
 
Mine de rien, le 11 septembre 2012, il s'est produit un événement considérable pour la compréhension de notre actualité marquée par la crise (je ne pense pas à l'horrible assassinat de l'ambassadeur américain en Libye). Auparavant, les contestataires de la VO, injustement affublés du sobriquet de complotistes, pouvaient se réclamer d'interventions prestigieuses en provenance d'anciens officiels dans le monde. Désormais, celui qui parle se situe au coeur du système stratégique.
Bob Graham est un sénateur américain démocrate, président de la Commission sur le renseignement à l'époque des faits, en cette qualité membre de la Commission parlementaire sur le 911 de 2004.
Une huile de la politique américaine, et l'un des élus les mieux placés pour parler de la stratégie américaine. Graham avait déjà haussé le ton durant les mois précédents, il a résumé cette fois de manière fort symbolique (le 11 septembre 2012) les accusations fort autorisées qu'il avait à énoncer en un article cristallin, publié par le Huffington Post, l'antre de la contestation démocrate contre la politique oligarchique et traîtresse d'Obama.
 
Avec al charge de Graham, c'est le coeur de l'appareil stratégique américain qui s'est levé et qui a lâché une bombe, que tant de bien-pensants faisaient mine de ne pas entendre, pour continuer à vivre dans l'illusion et le déni : la VO du 911, propagée par les institutionnels américains, reprise par leurs alliés dans le monde et par les médias dominants, est fausse.
Elle l'a toujours été, de manière grossière et grotesque, mais cette fois, la vérité de bon sens passe du statut de contestation subversive et avant-gardiste à la reconnaissance officielle.
 
Que s'est-il passé? Alors que le 911 a été intenté pour conjurer la crise, il n'a servi qu'à l'accélérer. On savait que les plans du 911 n'avaient pas été tenus en ce jour de conspiration désespérée. C'est pourtant le destin de tout complot que de rater sa cible. Face à l'effondrement des Etats-Unis et à l'échec de la stratégie lancée le 911, des officiels dans le Parti démocrate se mettent à hausser la voix. Lors de chaque changement de paradigme, les contestataires commencent en minorité, puis finissent rétrospectivement par être tenus pour des héros - des voix qui à défaut d'être majoritaires comptent.
Graham a inauguré l'impulsion aux Etats-Unis, selon lequel il est catastrophique et chaotique de vivre dans le mensonge. Le 911 est l'arbre qui cache la forêt, au sens où la forêt désigne le libéralisme (que ce soit de facture keynésienne ou néo-classique/ultralibérale).
Le cadavre dans le placard ne peut que putréfier de plus en plus la chambre. Le cacher est un leurre.
De même, cautionner la stratégie de d'oligarchie terroriste par la VO mensongère du 911, et les mensonges qui s'en suivent (comme ces guerres démocratiques qui d'Irak en Libye ont tué plus d'un million d'innocents), est contre-productif.
Graham s'en aperçoit au sens où des officiels lucides, dans une époque d'oligarchie en proie au chaos, tentent de sauver ce qui peut l'être et se rendent compte qu'il est vain de pactiser avec le monstre : l'hydre que Hobbes nomma le Léviathan.
Du coup, Graham parle. Sa révélation est peu relayée, ne serait-ce que parce que les médias dominants d'Occident, loin d'être comme ils s'en targuent des contre-pouvoirs de la démocratie libérale, sont des propagandistes qui reprennent les miasmes fétides de la voix de leur maître.
 
Également parce que la plupart des observateurs n'ont pas intérêt à ce que leurs postions se trouvent discréditées depuis dix ans et qu'on découvre qu'ils servaient, derrière leurs masques, la loi du plus fort.
L'intervention salvatrice de Graham n'est pas la voix d'un juste qui a toujours claironné son opposition au mensonge officiel, mais celle d'un officiel qui n'en peut plus de couvrir le mensonge oligarchique et de se rendre complice des crimes qu'il implique.
Graham est un des ces officiels qui oscillent entre le monde du renseignement et le monde politique. A cet égard, il relève de l'oligarchie par mode de vie. Oligarque signifie qu'on relève d'une mentalité, dans laquelle tant qu'on n'est pas confronté au chaos, on peut ne rien discerner d'affolant, et même considérer que le mordicus que le système que l'on sert n'est pas oligarchique.
Graham devait se sentir démocrate, progressiste, intelligent, au service de l'Amérique. Il devait être fier de ses prérogatives d'officiel de haut rang, au service de l'intérêt général. Il devait considérer normal son niveau de vie élitiste et le risque de caste qu'il implique. Quand il reçoit le général pakistanais Ahmad, responsable de l'ISI (les services pakistanais) le 11 septembre, est-il au courant de ce qui se trame? L'oligarchie n'est pas un cénacle clos, dans lequel tous les membres débattent dans la transparence des (et notamment avec de l'avance) problèmes qui se posent à eux. C'est un marigot dans lequel rien n'est clair, ni stable, ni prévisible, fort du modèle de la contradiction : les alliances se font et se défont selon la loi de l'instabilité maximale, corolaire de la loi du plus fort.
Le général Ahmad était en voyage la semaine du 11 septembre et rencontrait des officiels du renseignement américain - dont Graham? Est-ce la preuve que tous ces officiels étaient au courant que le complot du 911 allait survenir? Le bureau de Graham avait reçu des rapports (de la part d'un agent du FBI) mettant en garde contre la menace d'attentats contre le WTC trois mois environ avant le 911. Mais cet agent avait seulement connaissance de menaces potentielles; Graham est complice d'aveuglement.
Sans sombrer dans le psychologisme, il appert que Graham n'était pas un comploteur initié à la trame (même partielle) du 911, bien qu'il soit plausible qu'il ait pu rencontrer un initié en la personne d'Ahmad. L'autre officiel mentionné lors de ces rencontres, rétrospectivement si lourdes de sens, Porter Gross, pourrait aussi être au courant de la machination, mais il semble plus raisonnable de considérer que le fonctionnement destructeur de l'oligarchie est autodestructeur au final : pour réussir dans l'immédiat, il faut que peu soient au courant au sein des cercles oligarchiques et que la majorité soit manipulée.
C'est ce qui s'est produit pour la plupart des officiels américains travaillant dans le renseignement : ils furent manipulés, au nom de procédures coutumières et ils se trouvent d'autant plus furieux rétrospectivement qu'ils ont le sentiment d'avoir été trahis. C'est ce qui s'est produit avec Graham, qui était au parfum des alliances entre l'ISI, les services secrets saoudiens et américains, sans pour autant avoir participé aux préparatifs du complot 911.
S'il n'a pas réagi aux mises en garde qui lui ont été transmises, c'est qu'il a dû les interpréter dans le cadre des magouilles que supposait depuis quinze ans al Quaeda, en intégrant le rôle d'allié ambigu que jouait l'ISI dans la région.
Graham était complice d'un mode de fonctionnement illégal et manipulateur : de ce fait, il a été le complice en manipulation manipulé. On comprend son dépit par la suite, bien qu'il ait mis du temps à réagir. Le colonel Shaffer, autre exemple de manipulé dans le renseignement, a vite dénoncé la manipulation dont il a été victime, lui qui était chargé d'un programme d'anti-terrorisme incluant des pigeons (Able Danger), dont certains des futurs pirates de l'air (accusés sans preuves), et notamment le chef présumé Atta!
 
Si l'on se souvient de la couardise de la plupart des fonctionnaires en période de crise, et de la tradition de secret dans les opérations de renseignement, opérations militaires voire administratives, on peut considérer que la plupart de ceux qui ont été impliqués à leur insu dans le 911 ont préféré se taire et que seuls quelques agents ont dénoncé la supercherie, en vain pour l'instant, parce que les oligarques qui sont au pouvoir couvrent par peur des résultats (ainsi de l'administration Obama). Il est probable que la plupart de ceux qui cautionnent le complot du 911 ne le font pas parce qu'ils ont été complices avertis de la machination, mais parce qu'ils préfèrent ne pas avoir d'histoires de carrière.

Ceux qui parlent sont plus poussés par les pressions engendrées par la crise que par la quête de la vérité. Ce pourrait être le cas de Graham qui, avec ses fonctions de haut niveau, a conseillé la politique de renseignement américaine pendant des années, sans avoir accepté le 911, qui est un acte de trahison meurtrier contre ses propres compatriotes. Il est possible que Graham fasse partie de courants oligarchiques favorables à certaines manipulations à l'extérieur du sol américain, en particulier dans des régions troubles de longue date comme l'Afghanistan, sans pour autant se montrer favorable à la ligne ultraconservatrice des complotistes du 911.

Graham serait un oligarque progressiste, favorable à cette conduite de démocrate éclairé (liberal au sens de Rawls?) dans le camp du renseignement, tandis qu'il aurait été trahi par des factions de réactionnaires de son propre camp, qui considéraient que seul un complot pouvait résoudre une situation de crise. Graham n'était pas au courant de cette problématique. Ce qui fait qu'il a participé à la Commission parlementaire du 911 avec la même conviction qu'il recevait le général Ahmad. Par la suite seulement, il s'est rendu compte de la supercherie à laquelle il avait été mêlé, non par lucidité soudaine, mais parce que les conséquences du terrible effondrement qui frappe les Américains (et dont les médias français ne parlent pas, sauf en les expurgeant) lui ont décillé le regard.
Graham se rend compte qu'il a été roulé dans la farine, et que s'il ne régit pas, il passera pour un complice de l'échec. Du coup, il parle pour témoigner : la Commission parlementaire n'a pu effectuer ses investigations correctement, tout comme lui-même avait été manipulé. C'est ainsi que les comploteurs agissent : ils ne tiennent pas au courant leurs alter égos de la machination qu'ils ourdissent, mais ils comptent sur leur silence, du fait de leurs intérêts à se taire et de leur peur à parler.
La vérité est le principal ennemi de l'oligarchie. C'est reconnaître sa faiblesse, tandis que la loi du plus fort fait croire que les plus forts du moment (provisoires) sont en mesure de décider des directions à prendre pour que le réel leur soit favorable. Ce leurre, Graham est en train de s'en aviser. Non seulement il assiste à l'échec des comploteurs du 911, qui ont ourdi le complot pour garder la main et qui la perdent (effondrement des États-Unis, effondrement des cercles financiers de Wall Street et de la City), mais il assiste à la faillite de son propre milieu et de sa propre mentalité.
Eperdu et désemparé, Graham finit par se rendre compte de ce qu'il ne voulait pas dire et de ce qu'il préférait taire : la culpabilité effarante des Saoudiens, en particulier des cercles autour du mort-vivant Bandar.
Si on les a couvés, qui voulait-on protéger? Leurs complices américains sur le sol américain? Si ces militaires de haut rang, certains extrémistes patentés, ont été protégé, c'est qu'ils sont couverts par des intérêts autrement plus puissants que des Etats étrangers.

Graham montre du doigt les commanditaires du 911 : non l'obscur complexe militaro-industriel, dont Meyssan ne cesse d'évoquer l'existence, sans éclaircir les individus impliqués physiquement et juridiquement derrière cette nébuleuse, mais ceux qui ont actionné certains des rouages de ce ténébreux complexe, parmi les milieux du renseignement, de l'aviation, des ressources militaires, pour satisfaire des mobiles autrement plus stratégiques et urgents que des considérations nationalistes ou commerciales.
Certes, quand Graham dénonce l'impunité des Saoudiens dans le 911, il pointe du doigt l'accord al Yamamah, et donc la BAE, l'un des principaux contractants du Pentagone. Mais peut-on considérer que le milieu militaro-industriel est le commanditaire des attentats, au motif que certains de ses membres y ont participé d'une manière ou d'une autre (le plus souvent de façon parcellaire)? Graham a cheminé depuis 2004 - depuis qu'il s'est rendu compte que le FBI et d'autres instances américaines lui avaient caché l'implication cruciale des Saoudiens dans le 911, notamment sur le sol américain.
Au passage, les officiels américains dix ans après couvrent plus qu'ils n'ont ourdi eux-même. Graham évoque le lien entre une banque saoudienne accusée de soutien au terrorisme, notamment d'al Quaeda, et l'une des principales banques de la City de Londres, la HSBC, qui est la principale banque chargée du blanchiment de l'argent de l'Empire britannique (notamment dans les guerres de l'opium contre la Chine), et qui récemment a accepté de payer presque 2 milliards de dollars pour ne pas être poursuivie dans d'actuels crimes de blanchiment (qu'elle niait avec indignation).
Il serait tout aussi illusoire et complotiste d'accuser des membres des oligarchies politiciennes de tout savoir du fonctionnement de l'oligarchie et de ses institutions (clairement de connaître in fine la suprématie de la City sur les marchés financiers), grâce à une forme d'omniscience claire, que de considérer que le fonctionnement de l'oligarchie est transparent de l'intérieur, pour les membres de l'oligarchie.
Graham s'est rendu compte qu'il avait été trahi par ses collègues-oligarques. Il s'est peut-être aussi rendu compte qu'il relevait de l'oligarchie malgré sa bien-pensance. Il a décidé de dénoncer la supercherie, comme le colonel Wilkerson dans l'affaire Powell, qui implique plus largement, dans les mensonges menant à la seconde guerre d'Irak, le cabinet de l'un des dirigeants actuels de l'Empire britannique financier et officieux, ce Blair conseiller spécial pour la paix au Proche-Orient, responsable indirectement des opérations israéliennes, des ingérences en Libye ou en Syrie, des déstabilisations au Liban, en Egypte ou en Jordanie. Blair est l'émissaire spécial de l'Empire britannique, derrière l'UE ou l'OTAN, pour plonger la région dans le chaos (ce que les propagandistes nomment la paix ou la démocratie).
L'oligarchie n'est pas un milieu protégeant ses membres et travaillant dans la transparence (selon l'exigence utilitariste des libéraux). Il est usuel que des oligarques dissidents s'opposent à l'injustice de la loi du plus fort, comme à l'époque de la Révolution française, quand certains aristocrates comprennent que la monarchie est condamnée et qu'il faut encourager une république démocratique plutôt que le chaos. De même, l'oligarchie n'est pas ce que certains complotistes décrivent : des structures maléfiques et omniscientes, capables de prévoir des décennies voire des siècles à l'avance les réactions des sociétés qu'elles asservissent.
Elles se révèlent faibles, destinées à disparaître parce qu'elles opèrent selon un fonctionnement opaque, trouble et contradictoire. L'oligarchie, loin de proposer un système pérenne, l'alternative politique à la république, renvoie à la régression, l'état qui fascinait tant Nietzsche et que certains économistes du vingtième siècle ont promu (comme Schumpeter). Elle ne peut proposer de système viable, puisqu'elle se condamne à rétablir le système morcelé des divisions entre factions rivales.
C'est le modèle du chaos, dont on voit une illustration en Libye. Si l'oligarchie se réclame du chaos, avec des arguties comme le chaos créateur (il faut du chaos pour rétablir l'ordre dans une situation de violence), c'est parce qu'elle en revient à cet état de fait et qu'elle ne peut échapper au fatum (comme dirait Nietzsche) de sa propre destruction. Ce qui est engendré par le chaos retourne au chaos. C'est ce que Graham essaye d'empêcher, non par vertu républicaine, lui qui a tant trempé dans les manipulationsstratégiques des États-Unis, mais par utilitarisme modéré.
L'expression d'utilitarisme lucide relève de l'oxymore, sauf à court terme : c'est pour pallier à l'effondrement accéléré des États-Unis que Graham dénonce l'imposture de la VO du 911. A ce rythme, s'il se tait, son pays sera un champ de ruines, comme l'Afghanistan. S'il parle, il rejoint la cohorte des membres de l'oligarchie déclinante, qui en s'apercevant qu'elle va disparaître essayent de tenter une réaction pour empêcher la catastrophe. Graham ne sait pas bien où il va, ni quel bord choisir. Sa désorganisation découle des manière de penser inhérentes à la loi du plus fort.
Il est un oligarque qui entend s'opposer aux opinions les plus dures parmi les oligarques, mais qui ne sait quelle alternative proposer. Contrairement à ce que prônait Carl Schmitt, le juriste du Troisième Reich, la politique ne s'instaure pas contre un ennemi, mais pour une alternative. Ce n'est qu'en disposant de cette alternative que l'on peut, de manière inférieure, lui identifier des ennemis. L'ennemi n'est pas la fin d'un objectif politique, mais son moyen.
Schmitt a eu une influence notable sur les néo-conservateurs straussiens, qui se réclament indirectement de lui, via leur maître à penser Bloom.
Mais l'influence de ce genre de théories, que l'on pourrait faire remonter à l'Antiquité, dépasse tel ou tel clivage. Le milieu de l'oligarchie est divisé : sa contradiction prouve qu'elle ne repose pas sur la possibilité de la pérennité. Elle ne peut prévoir un processus sur le terme.
Toute oligarchie débouche sur l'autodestruction. L'oligarque à la Graham vit dans la double contradiction : contradiction de sa mentalité; contradiction d'en vouloir sortir. Du coup, l'expression qui a fait florès de destruction créatrice est fausse.
Elle découvre la mentalité nihiliste, qui dépasse les débats économiques ou l'histoire de la philosophie, pour connoter l'ensemble de la pensée.
 
Loin d'aboutir à une quelconque destruction créatrice, la mentalité oligarchique aboutit à une création destructrice : une anticréation.
 

RATP, SYNDICAT, Mme BELKACEM ET " BARBUS " ?

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TRIBUNE LIBRE, LIBRE PROPOS !


Mourad Ghazli, un curieux syndicaliste qui roule pour les « barbus » de la RATP

Dans l’un de ses articles, le site islamique oumma.com reprend notre vidéo dénonçant le scandale sexiste des « barbus » à la RATP.

Mais pour en détourner tout le sens et la faire passer pour une vidéo « raciste » et anti-musulmane.

Oumma.com nous apprend que « Mourad Ghazli, syndicaliste, connu des Oummanautes pour avoir animé plusieurs chroniques sur OummaTV, a immédiatement réagi en adressant un courrier au sommet de la hiérarchie du groupe des transports publics parisiens, dans lequel il exige la condamnation officielle de ce film nauséeux et indigne, qui « tombe sous le coup de la loi pour propos racistes à partir de l’appartenance religieuse ». »

Mais qui est Mourad Ghazli, plus connu pour ses vidéos sur oumma.com que pour défendre les salariés ?

Dans son autobiographie parue sur son blog, nous découvrons qu’il a une double profession : « Gestionnaire de biens immobiliers » et… « Responsable syndical SAT RATP », après avoir un peu grenouillé en politique (RPR, UMP, Parti radical valoisien).

Je me souviens d’une interview de Mourad Ghazi au journal Le Point, où il déclarait tout de go refuser de louer ses biens immobiliers (c’est sa profession de « gestionnaire de biens »…) à des Africains.

Et il ose venir donner des leçons de « racisme » ?

Dans cette interview, on comprend donc que Mourad Ghazi est un riche propriétaire (21.000 euros d’impôts fonciers en 2005 selon ses propres déclarations), et qu’il vit donc principalement de la « gestion » de ses propres « biens ».

Il y a une autre contradiction dans le personnage.

Mourad Ghazli s’était illustré en dénonçant dans la presse un supposé sexisme à la RATP, ce sexisme connu sous le nom de « promotion canapé ».

Il est intervenu en particulier sur M6 (« Zone interdite ») et France 2 (« Envoyé spécial »).

Mais quand le sexisme est dû à certains fondamentalistes musulmans comme le montre notre vidéo, alors ce n’est plus du sexisme pour Mourad Ghazli, mais des « propos racistes à partir de l’appartenance religieuse ».

On peut donc en conclure que non seulement Mourad Ghazli procède très sélectivement dans sa condamnation du sexisme, mais qu’en plus il assimile tous les musulmans travaillant à la RATP aux intégristes dont sont victimes les employées témoignant dans notre vidéo.

Si l’on suit la logique de Mourad Ghazli et d’oumma.com, il faudrait poursuivre Messieurs Obin et Denécé pour leurs rapports respectifs sur les revendications fondamentalistes religieuses, respectivement dans les écoles et les entreprises.

Troisième contradiction : on nous accuse de confondre « musulmans modérés » et radicaux, alors que l’accusation portée par oumma.com et Mourad Ghazli fait elle-même cet amalgame en défendant l’indéfendable, c’est-à-dire le harcèlement, les insultes, les discriminations que subissent les femmes qui témoignent dans notre vidéo.

Oumma.com nous présente donc une fois de plus l’inversion totale des victimes et des responsables.

Quelle aubaine pour les islamistes, qui sauront se prévaloir d’oumma.com et de Mourad Ghazli pour exercer leur terrorisme soft (et de plus en plus hard) dans les entreprises !

Et après cet article, peut-on encore parler de « musulmans modérés » ? Je le pense, mais à condition qu’ils se démarquent de Mourad Ghazli et d’oumma.com prenant fait et cause pour les « barbus » et leurs exactions sexistes à la RATP.

Nous pouvons cependant remercier oumma.com et Mourad Ghazli sur trois points :

1. Ils apportent une publicité à notre vidéo sur ce scandale à la RATP.

2. Ils affichent au grand jour leurs contradictions, refusant de condamner tout dérive radicale de l’islam.

3. En inversant victimes et responsables, ils se font complices de ceux qui harcèlent les femmes à la RATP ou ailleurs au nom d’une « loi » islamique, anti-laïque, sexiste et à l’opposé de notre culture occidentale féministe.

Source et publication :  Roger Heurtebise


Madame Belkacem, vous devez soutenir les femmes de la RATP maltraitées par des islamistes

Lettre à la ministre des droits de la femme, Najat Vallaud Belkacem, 35 rue Saint Dominique, 75700 SP 07 (ou par courriel : http://www.najat-vallaud-belkacem.com/contact/)

Madame le ministre des droits de la femme,

Après la journée contre la violence faite aux femmes, une grande campagne d’information est annoncé début 2013.

Dans ce cadre, nous souhaitons vous informer des conditions de travail scandaleuses, subies par de très nombreuses femmes conductrices à la RATP depuis plusieurs années, mais qui prennent aujourd’hui une ampleur inquiétante.

Une vidéo impressionnante et visionnée par nombre d’internautes choqués circule sur la toile.


En effet, grâce aux témoignages de femmes courageuses, cette vidéo montre les MALTRAITANCES graves qu’elles subissent au quotidien:

http://www.youtube.com/watch?v=O_-ENQrnlDU

Insultes sexistes, humiliations, refus de main tendue, menaces physiques, refus de conduire APRES une collègue, etc.., et ce, sous couvert RELIGIEUX!..

Malgré les plaintes réitérées, leur hiérarchie se montre passive, sous prétexte de sauvegarde de la « paix sociale » (au prix de la souffrance de ces femmes !), argument de surcroît dérisoire devant l’aggravation de la violence et du harcèlement , dans une escalade sans fin.

Nous faisons donc appel aux responsables de la RATP, à son PDG, aux syndicats trop timides dans la gestion de ces situations, au ministre des transports, et surtout à vous, première défenseure des droits de la femme, afin d’assurer la sécurité, la mixité, la laïcité et le respect dus aux femmes de la RATP, voire de sanctionner et pénaliser fermement la poursuite de ces pratiques INDIGNES, d’un autre âge.

Avec tout mon respect,

Guy Sauvage


http://ripostelaique.com/madame-belkacem-vous-devez-soutenir-les-femmes-de-la-ratp-maltraitees-par-des-islamistes.html


G.DEPARDIEU ET L' ÉCHEC CUISANT DE LA POLITIQUE FISCAL.....

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Et si Depardieu en avait marre de payer pour des profiteurs venus d’ailleurs ?

Cette fin d’année 2012, un tantinet cahotante sur la route incertaine d’une fin du monde qui doit rapporter gros à certains, nous aura valut en prime un épisode peu glorieux de la « Guerre des Etoiles », en l’occurrence limitées à des naines blanches.

Il s’agit, bien sur, de l’affaire Depardieu.

Cet incident navrant montre encore un plus, si besoin était, l’état de déliquescence et d’incompétence de notre monde politique face aux problèmes qu’il a lui même généré.

En effet, l’accroissement ahurissant des taxes en France, nous permettra de figurer sur le podium des Olympiades fiscales; mais  dans les sphères du pouvoir, toutes couleurs confondues, personne n’aura le courage de dire qu’une politique basée sur une surfiscalisation des citoyens et des entreprises, ne sert qu’à dissimuler l’échec de la politique tout court.

Si les politiques étaient capables de faire tourner le pays, en favorisant correctement l’emploi et la création d’entreprises, plutôt que de privilégier indéfiniment la taxation, cela permettrait à l’immense majorité de vivre décemment d’un travail et non  de mal-vivre dans sous-emplois sous-payés.

La politique fiscale n’est que l’aveu d’un échec cuisant, qui prélude peut-être à une dégringolade générale.

En effet, si les riches s’en vont, les classes moyennes ne pourront payer indéfiniment pour tout le pays, à cause de la politique incohérente du gouvernement, d’autant plus que les français tentent d’économiser d’arrache-pied en vue des problèmes à venir.

Je ne crois pas que Gérard Depardieu s’exile pour l’idyllique village de Néchin en Belgique car on s’y amuse plus qu’à Paris. Mais je crois que nos gouvernants feraient mieux de poser publiquement la question de savoir le pourquoi de cet exil fiscal.

Cependant la question contenant la réponse, il est peu probable que les énarques qui squattent le monde économique et politique depuis bien trop longtemps désormais, aient le courage de la fournir au bon peuple de France.

Je ne crois pas que Gérard Depardieu soit un mauvais français, issu du croisement malheureux d’un auvergnat et d’un écossais, accessoirement arrosé par des piscines de vin rouge.

Il a payé tous ses impôts pendant des années, et ceux-ci ont certainement contribué à l’achat de lits d’hôpitaux et au paiement du salaire d’un certain nombre de fonctionnaires.

Mais il serait  instructif de poser la question à l’intéressé, pour savoir ce qu’il pense de l’utilisation que l’on aurait fait de ses impôts à mesure que ceux-ci augmentaient toujours plus.

Je m’avance sans doute, mais peut-être que si monsieur Depardieu savait que l’argent de ses impôts va réellement contribuer au bon fonctionnement du pays, peut-être aurait-il consenti au sacrifice suprême? On peut rêver.

Savoir que nos impôts vont servir à financer la régularisation de sans papiers, ce qui va d’ailleurs créer un appel d’air pour d’autres illégaux, au détriment de gens qui cherchent légalement du travail et un logement, cela ne peut motiver personne.

Savoir que nos impôts subventionnent des associations nébuleuses qui entretiennent le climat de révolte et de rejet contre la France chez certaines populations et  qu’elles financent les études de gens qui viennent en France pour y installer une idéologie régressive, cela ne peut motiver aucun citoyen normal.

Savoir que nos impôts permettent à des populations de venir profiter des avantages sociaux de la France, sans faire le moindre effort pour s’intégrer à la Nation et ses valeurs, qui peut vouloir payer  pour cela?

Pour financer une ‘Contre-éducation nationale’, qui détruit notre histoire et notre culture? Pour inciter des femelles empaquetées à l’engrossage, qui peut leur rapporter gros en termes allocatifs, mais coûtera cher à la France en termes de civilisation?  Ad nauséam!….Non merci, on donne tous bien assez!

Alors monsieur Depardieu, pour toutes ses raisons et bien d’autres, je peux comprendre que vous n’ayez plus envie d’entretenir des gens qui ne se veulent ni ne se pensent français!

Enfin un aspect de cette navrante histoire retient l’attention. Les politiques de gauche se sont répandus en invectives et déblatérations sur le ‘pauvre’ Gégé en appellant même à la déchéance de la nationalité. Ils auraient mieux fait de se taire sur ce chapitre bouillant.

En effet, avant de retirer la nationalité à Depardieu, qui a toujours payé ses impôts et  qui a le courage (et le droit) de partir, la gauche ferait mieux de balayer devant sa porte.

Il y a autant de riches de gauche que de droite qui mettent de l’argent au chaud à l’étranger.

Quand à certains, au plus niveau, il savent utiliser les joyeuses subtilités de la SCI pour mettre leur patrimoine à l’abri!

Quand on connaît les réseaux de la gauche caviar, on y trouve fort peu de petits français moyens!

S’il fallait vraiment retirer la nationalité, la liste est longue de ceux qui constituent de véritables menaces pour nos libertés fondamentales, pour la sécurité du territoire, et pour le respect de la Constitution et de la République. J’évoque bien sur les dangereux terroristes représentés par la famille des Barbapapa.

Combien de gens ayant  déjà franchi la barrière de l’atteinte à la liberté et la sécurité du peuple français ne devraient pas être immédiatement déchus de la nationalité et expédiés gratuitement (soyons bons princes) dans les pays dont ils révèrent les coutumes barbares?

Enfin un dernier constat, plutôt désabusé, vient à l’esprit : depuis des années, ‘on’ vilipende  littéralement, tout ce qui de près ou de loin incarne la nation, l’identité, la francité.

On crache avec mépris et ignorance sur un pays qui fut un phare politique, culturel, philosophique et artistique  parmi les nations.

Or, étrangement, dés qu’il s’agit de fisc, il faut redevenir de ‘bons français’! Si l’on a de l’argent et qu’on se laisse étrangler par les impôts pour entretenir des populations qui détestent la France, alors on mériterait le label ‘bon français’ Si l’on n’est pas sage, on perdrait la nationalité?

La gauche est bien stupide d’agiter un tel épouvantail alors qu’elle travaille chaque jour à dénier et dévaloriser davantage l’idée  de la France.

Mais cette stupidité nous en avons tous l’habitude, il est juste navrant qu’elle écrase notre pays.

Puisque la Gauche veut tellement donner des leçons de citoyenneté à la France, que la Gauche commence donc par faire des ‘bons français’ de toutes ces franges de populations qu’elle courtise veulement à  des fins électoralistes.

A bon électeur, salut!

Source et publication:  Lucie CLAVIJO    http://ripostelaique.com/et-si-depardieu-en-ait-marre-de-payer-pour-des-profiteurs-venus-dailleurs.html

TRIBUNE LIBRE, LIBRE PROPOS ET CONSTAT ........

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Le gouvernement français s’effondrera sur lui-même

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Michel Garroté, réd en chef – Le journaliste américain Tom Purcell, dans The Pittsburgh Tribune, écrit (adaptation) : Les Français qui réussissent ne sont décidément pas en odeur de sainteté alors que le président Hollande a décidé d’imposer à 75% les foyers déclarant plus d’un million d’euros de revenus.

Le chef de l’Etat estime que les riches sont assez riches avec un million d’euros et n’ont besoin que des 25% restants. Ce à quoi les riches lui répliquent qu’il peut toujours courir. L’acteur Gérard Depardieu aurait mis en vente sa maison en France pour aller s’installer dans un petit village de Belgique.

Là-bas, les gens comme Depardieu sont encore taxés à hauteur de 50%, mais même les imbéciles comme moi savent que cela fait déjà 25% de moins qu’en France.

En outre, la Belgique n’applique pas d’impôt sur la fortune comme en France. Résultat, 2’800 Français bien argentés ont choisi de s’installer là-bas.

La politique fiscale du président français génère toutefois une intense activité économique sur le marché de l’immobilier. Alors qu’ils restent habituellement en dehors du marché, le nombre de biens mis en vente par de riches propriétaires a explosé. Et leur valeur a considérablement baissé.

Hollande a un sérieux problème sur les bras. La France est la prochaine bombe à retardement de l’Europe.

Le gouvernement dépense bien plus qu’il ne perçoit et la dette publique est passée de 22% à 90% du PIB en vingt ans. L’économie est sclérosée. L’investissement en berne.

Mais pour qui se prennent les Français ? L’imposition à 75% des riches devrait rapporter 200 millions d’euros dans les caisses de l’Etat – une goutte d’eau dans un océan de dettes – et ce sont les riches qui devraient payer l’addition.

Bon nombre d’entre eux ont décidé de voter avec leurs pieds et de partir pour des contrées fiscalement plus clémentes.

Cela contrarie fort le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, pour qui ces exilés sont de mauvais patriotes pathétiques.

Au contraire, ce qui est antipatriotique, c’est de diviser son peuple et de dresser les pauvres contre les riches.

Ce qui est antipatriotique, c’est de penser que l’on a le droit d’utiliser les leviers du pouvoir pour se tailler la part du lion dans les revenus de ceux qui les méritent pour la redistribuer à des gens (de l’appareil de l’Etat) qui ne le méritent pas, pour gagner leurs suffrages.


L’avarice est un vieil attribut du gouvernement.

Tôt ou tard, vous ne pourrez plus emprunter ou prendre suffisamment d’argent aux autres et tout l’appareil du gouvernement s’effondrera sur lui-même, conclut Tom Purcell, dans The Pittsburgh Tribune.

Reproduction autorisée

Avec mention www.dreuz.info

Et source :

http://triblive.com/opinion/tompurcell/3131257-74/rich-france-percent#axzz1sHzaJyo4




 Qui restera pour payer les fameux 75 % d’impôts ! 
  
Ils sont déjà partis !


  La liste de 44 familles françaises dans les plus riches exilées (avec estimation de leur fortune en euros, selon le mensuel suisse Bilan) 

 


> > > - Famille Wertheimer (Chanel) : de 3,2 à 4 milliards 
> > > - Famille Castel (vins et spiritueux) : de 3,2 à 4 milliards 
> > > - Famille Primat (Schlumberger) : de 1,6 à 2,5 milliards 
> > > - Benjamin de Rothschild (Groupe Rothschild) : de 1,6 à 2,5 milliards. 
> > > - Famille Peugeot (PSA) : de 1,2 à 1,6 milliard 
> > > - Famille Lescure (Seb, Tefal, Rowenta, Krups, Moulinex, Calor) : de 1,2 à 1,6 milliard 
> > > - Famille Bich (Bic) : de 1,2 à 1,6 milliard 
> > > - Famille Mimran (Compagnie sucrière sénégalaise) : de1,2 à 1,6 milliard 
> > > - Héritiers Louis-Dreyfus (Groupe Louis-Dreyfus, OM) : de 815 millions à 1,2 milliard 
> > > -Claude Berda (fondateur d’AB Prod) : de 815 millions à 1,2 milliard 
> > > - Paul-Georges Despature (Damart) : de 815 millions à 1,2 milliard 
> > > - Famille Murray : de 815 millions à 1,2 milliard 
> > > - Nicolas Puech (Hermès) : de 815 millions à 1,2 milliard 
> > > - Familles Defforey et Fournier (Carrefour) : de 650 à 730 millions 
> > > - Famille Zorbibe (Lancel) : de 400 à 490 millions 
> > > - Roger Zannier (Z, Kenzo, Kookaï, Oxbow, Chipie) : de 400 à 490 millions 
> > > - Famille Lejeune (Seita) : de 325 à 400 millions 
> > > - Philippe Jabre (Jabre Capital Partners) : de 325 à 400 millions
> > > - Famille Harari : de 325 à 400 millions 
> > > - Famille Taittinger (champagne) : de 325 à 400 millions 
> > > - Alexandra Pereyre de Nonancourt (champagne Laurent-Perrier) : de 245 à 325 millions 
> > > - Denis Dumont (Grand Frais) : de 245 à 325 millions 
> > > - Michel Lacoste (Lacoste) : de 245 à 325 millions 
> > > - Georges Cohen (Groupe Sogeti) : de 245 à 325 millions 
> > > - Nicole Bru-Magniez (laboratoires UPSA) : de 165 à 245 millions 
> > > - Michel Reybier (Cochonou, Aoste, Justin Bridou) : de 165 à 245 millions 
> > > - Alain Duménil (Acanthe Développement) : de 165 à 245 millions 
> > > - Serge Kampf (Capgemini) : de 165 à 245 millions 
> > > - Bruno Moineville (Réseaux câblés de France) : de 165 à 245 millions -

> > > > - Antoine Zacharias (Vinci) : de 165 à 245 millions 
> > > - Hugues de Montfalcon de Flaxieu (Maxiris) : de 165 à 245 millions 
> > > - Christian Picart (Buffalo Grill) : de 165 à 245 millions 
> > > - Jean Pigozzi (Simca) : de 165 à 245 millions 
> > > - Michèle Bleustein-Blanchet (Publicis) : de 165 à 245 millions 
> > > - Thierry Roussel (?) : de 165 à 245 millions 
> > > - Daniel Hechter (Hechter) : de 80 à 165 millions 
> > > - Philippe Hersant (groupe Hersant Média) : de 80 à 165 millions 
> > > - Paul Dubrule (Accor) : de 80 à 165 millions 
> > > - Jean Louis David (Coiffure) : de 80 à 165 millions
> > > - Maurice et David Giraud (Pierre & Vacances) : de 80 à 165 millions 
> > > - Eric Guerlain (Christian Dior) : de 80 à 165 millions
> > > - Famille Ducros (Ducros) : de 80 à 165 millions 
> > > - Jérôme DeWitt (horlogerie) : de 80 à 165 millions 
> > > - Dominique Frémont (Mauboussin) : de 80 à 165 millions 


> > > 
> > > 
Sportifs 
> > > 
> > > - Jean Alesi, réside en Suisse 
> > > - Marion Bartoli, réside en Suisse 
> > > - Julien Benneteau, réside en Suisse 
> > > - Arnaud Boetsch, réside en Suisse 
> > > - Arnaud Clement, réside en Suisse 
> > > - Nicolas Escudé, réside en Suisse 
> > > - Guy Forget, réside en Suisse
> > > - Richard Gasquet, réside en Suisse 
> > > - Jean-Claude Killy, réside en Suisse 
> > > - Henri Leconte, réside en Suisse 
> > > - Sébastien Loeb, réside en Suisse 
> > > - Paul-Henri Mathieu, réside en Suisse

> > > > - Gaël Monfils, réside en Suisse 
> > > - Christophe Moreau, réside en Suisse 
> > > - Amélie Mauresmo, réside à Genêve en Suisse 
> > > - Stéphane Peterhansel, réside en Suisse 
> > > - Cédric Pioline, réside en Suisse 
> > > - Alain Prost, réside en Suisse 
> > > - Fabrice Santoro, réside en Suisse 
> > > - Florent Serra, réside en Suisse 
> > > - Gilles Simon, réside en Suisse 
> > > - Jo-Wilfried Tsonga, réside en Suisse 
> > > - Vincent Rives, réside en Irlande 
> > > - Jean-Philippe Gatien, réside au Delaware aux Etats Unis 



> > > 
Artistes : Chanteurs 
> > > 
> > > - Charles Aznavour, réside en Suisse 
> > > - David Hallyday, réside en Suisse 
> > > - Johnny Hallyday, réside à Gstaad en Suisse 
> > > - Patricia Kaas, réside en Suisse 
> > > - Florent Pagny, réside en Patagonie (Argentine) 
> > > - Michel Polnareff, réside aux Etats-Unis 
> > > - Marie Laforêt, résidente et citoyenne suisse 
> > >    Et Yannick Noah le donneur de leçons de morale socialiste qui doit X millions au fisc 
> > > 
Acteurs 
> > > 
> > > - Daniel Auteuil, réside en Belgique 
> > > - Emmanuelle Béart réside en Belgique 
> > > - Laetitia Casta, réside au Royaume-Uni 
> > > - José Garcia, réside en Belgique 
> > > - David Habibi, réside au Canada 
> > > - Alain Delon, résident et citoyen Suisse 
> > > - Christian Clavier en Angleterre (tout dernièrement) 
> > > - Gérard Depardieu en Belgique (tout dernièrement) 



> > >  
Auteurs 
> > > - Christian Jacq, réside en Suisse 
> > > - Marc Levy, réside au Royaume-Uni 
> > > - Michel Houellebecq, réside en Espagne (en Irlande auparavant) 
> > > 
> > > 
Patrons & actionnaires 
> > >  
> > > - Jacques Badin (Carrefour) réside à Bruxelles en Belgique 
> > > - Thomas Bata (marque de chaussures Bata) réside en Suisse 
> > > - F amille Baud (dont Jean Baud), (marques Franprix et Leader Price, 2 à 3 milliards de CHF), résident en Suisse 
> > > - Lotfi Belhassine, président d’Air Liberté, réside en Belgique. Il a fui la France car l’ISF représentait 93% de ses revenus 
> > > - Claude Berda, AB Groupe, réside à Cologny en Suisse 
> > > - Des membres de la famille Bich (Groupe Bic) résident en Suisse 
> > > - Michêle Bleustein Blanchet, une des héritiêres de Publicis, réside à Cologny en Suisse 
> > > - Corinne Bouygues, réside à Gen è ve en Suisse 
> > > - Pierre Castel, PDG du groupe Castel Frêres propriétaire des eaux Cristalline, Vichy Célestins et Saint-Yorre, réside pr ès du Lac Léman en Suisse 
> > > - Des membres de la famille Mulliez (propriétaire de Auchan, Décathlon, Mondial Moquette, Norauto et Kiabi), résident en Belgique 
> > > - Georges Cohen, informatique et armement, réside en Suisse 
> > > - Bernard Darty, fondateur de Darty, réside en Belgique 
> > > - Jean-Louis David, fondateur des salons de coiffure éponyme, réside en Suisse 
> > > - Des membres de la famille Defforey, à l’origine de la société Carrefour, résident en Belgique 
> > > - Des membres de la famille Despature (dont Paul-Georges Despature), propriétaire des marques Damart et Somfy, résident en Suisse et en Belgique.
> > > - Paul Dubrulle, co-créateur du Groupe Accor et ancien sénateur-maire de Fontainebleau, réside à cologny en Suisse 
> > > - Des membres de la famille Ducros résident à Cologny en Suisse 
> > > - Pierre-François Grimaldi (iBazar), réside en Belgique 
> > > - Eric Guerlain réside en Grande-Bretagne 
> > > - Daniel Hechter, créateur réside en Suisse 
> > > - Philippe Hersant, groupe Hersant réside en Belgique 
> > > - Philippe Jaffré, ancien président d’Elf 
> > > - Robert Louis-Dreyfus réside à Zurich en Suisse. 
> > > - Des membres de la famille Mimram (dontJean-Claude Mimram), résident à Gstaad en Suisse. 
> > > - Des membres de la famille Nonancourt, propriétaire des champagnes Laurent-Perrier, résident en Suisse. 
> > > - Denis Payre, fondateur de Business Objects, réside en Belgique ou il a démarré une nouvelle société, Kiala, qui a embauché 100 personnes 
> > > - Des membres de la famille Peugeot (entre 5 et 6 milliards de CHF), résident en Suisse. 
> > > - Jean Pigozzi, héritier des voitures Simca, réside en Suisse. 
> > > - Michel Reybier, ancien PDG de Justin Bridou, réside en Suisse 
> > > 
Jacques Tajan, ancien premier commissaire-priseur de France, réside en Belgique 
> > > - Des membres de la famille Wertheimer, héritiers de Chanel, résident à Cologny en Suisse 
> > > - Antoine Zacharias, ancien PDG de Vinci, réside à Genêve en Suisse 
> > > - Roger Zannier, à la tête de Kookaï ou Absorba, réside à Cologny en Suisse 
> > > - Alain Ducasse, cuisinier, a troqué sa nationalité française pour rejoindre Monaco 
  
  
Nous préférons accueillir ceux qui ne bossent pas et qui cassent tout, mais il paraît qu'il y a plein de POTENTIEL dans les banlieues ! Ceux là on les garde et on en veut toujours plus... Ils sont sans doute plus patriotes que ceux qui partent, si l'on écoute les propos du Premier ministre et du Président sur le départ de Depardieu... 
 > 
Finalement, cela ne me déplairait pas de figurer sur cette longue liste... Ils font connaître la France en dehors de nos frontières...




Merci Sam 

   

LES BAUMETTES SE VIDENT: LA " DÉRATISATION " EST EN COURS ???

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Le Conseil d'Etat ordonne la dératisation de la prison des Baumettes

Mis à jour le 22/12/2012 | 16:40 , publié le 22/12/2012 | 12:22 

 

 

Le Conseil d'Etat a ordonné la dératisation de la prison des Baumettes à Marseille samedi 22 décembre. 

Après des décisions de justice jugées décevantes pour la remise en état de cet établissement pénitentiaire, l'Organisation internationale des prisons (OIP) avait fait appel devant le Conseil d'Etat.

Le tribunal administratif de Marseille avait ordonné à l'administration pénitentiaire le 14 décembre de remettre en état les cellules de la prison, dont l'état a été vivement dénoncé le 6 décembre par le contrôleur général des lieux de privation de liberté.

 Dans son ordonnance, la justice demandait que chaque cellule "dispose d'un éclairage artificiel et d'une fenêtre en état de fonctionnement".

L'administration doit également "faire procéder à l'enlèvement des détritus" dans les cellules et les parties communes, et veiller à ce que les repas des détenus ne soient plus "entreposés sur le sol ni à proximité des bennes à ordures", comme on peut le voir dans notre diaporama et dans cette vidéo.

 

Un délai de dix jours

Des injonctions jugées insuffisantes par l'OIP et d'autres organisations, qui ont saisi le Conseil d'Etat.

La plus haute juridiction administrative, qui a étudié en référé (urgence) leurs requêtes, a ainsi ordonné samedi la mise en oeuvre d'une "opération d'envergure" de dératisation et de désinsectisation de la prison, dans un délai de dix jours.

Le Conseil d'Etat a relevé que "la carence de l'administration dans l'entretien de la prison avait porté une atteinte grave et manifestement illégale" aux libertés fondamentales des détenus. 

Le juge des référés du Conseil d'Etat a en revanche estimé qu'il "n'y avait pas lieu de prescrire une inspection de l'ensemble des cellule individuelles" car les mesures entreprises par l'administration pénitentiaire à la suite des recommandations du contrôleur général des prisons "rendaient cette mesure inutile".

 

Source et publication:      Francetv info avec AFP      http://www.francetvinfo.fr/le-conseil-d-etat-ordonne-la-deratisation-de-la-prison-des-baumettes-a-marseille_191747.html#xtor=EPR-51-[alerteinfo]-20121222-[bouton]-[]

MORTALITÉ ET ESPÉRANCE DE VIE, TRIBUNE LIBRE !

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L’obésité tue trois fois plus que la faim dans le monde
Par Janlou Chaput,   Futura-Sciences
 
  
 

Une très vaste étude sur la mortalité et l’espérance de vie à travers le monde vient d’être publiée.

Si les existences se sont globalement allongées de plus de 10 ans dans le monde depuis 1970, les causes de décès ont beaucoup évolué.

Ainsi, l’obésité tue aujourd’hui trois fois plus que la malnutrition dans le monde…

Pour vivre vieux, vivons en moins bonne santé. C’est à peu près le constat d’une étude de très grande ampleur publiée dans le journal dédié à la santéThe Lancet.

 

Mobilisant près de 500 spécialistes répartis dans une cinquantaine de pays, elle révèle que l’humanité a gagné plus de 10 ans d’espérance de vie en moyenne sur les 40 dernières années.

En contrepartie, l’augmentation notable des maladies liées à la vieillesse et au mode de vie (maladies cardiovasculaires, cancersdiabètes) réduit le confort et la qualité de vie.

Ce travail compare les données sur la mortalité émanant de 187 pays en 1970, 1990 et 2010. Sur l’ensemble de cette période, les hommes ont gagné 11,1 années d’espérance de vie (de 56,4 ans à 67,5 ans), quand lesfemmes ont fait encore mieux, l’âge moyen à la mort passant de 61,2 ans à 73,3 ans.

Les Japonaises sont en tête avec une espérance de vie à la naissance de 85,9 ans quand, pour la gent masculine, les Islandais sont les mieux placés, avec 80 ans en moyenne.

En queue de peloton, Haïti, victime en 2010 d’un terrible séisme meurtrier abaissant l’espérance de vie à 32,5 ans pour les hommes et 43,6 ans pour les femmes.

Le mode de vie, principal facteur de décès prématurés

En 2010, 52,8 millions de personnes sont mortes dans le monde, soit 13,5 % de plus qu’en 1990 (46,5 millions) et 21,9 % de plus qu’en 1970 (43,3 millions). Le taux de mortalité augmente-t-il pour autant ? Pas si on se fie aux proportions, la population mondiale ayant presque doublé ces 40 dernières années.

On vit globalement de plus en plus vieux. Pour 179 des 187 pays étudiés, l'espérance de vie a augmenté. Cependant, les écarts entre les territoires où l'on meurt le plus tôt et ceux où l'on vit le plus longtemps restent les mêmes...
On vit globalement de plus en plus vieux. Pour 179 des 187 pays étudiés, l'espérance de vie a augmenté.
Cependant, les écarts entre les territoires où l'on meurt le plus tôt et ceux où l'on vit le plus longtemps restent les mêmes... © marmotte73, Flickr, cc by nc sa 2.0

Les causes de la mortalité mondiale ont beaucoup évolué durant ce laps de temps. Ainsi, les maladies liées à la vieillesse ou aux habitudes de vie sont responsables d’environ deux tiers des décès prématurés, loin devant les maladies infectieuses, qui représentaient une part plus importante dans les décès en 1990.

L’hypertension artérielle, souvent due à une mauvaise alimentation, le tabagisme et l’alcool ont tué plus de 20 millions de personnes en 2010.

L’obésité était responsable de la mort de 3 millions d’êtres humains, tandis que la malnutrition et la sous-nutrition ont causé 1 million de décès cette année-là.

Les enfants s’en sortent mieux, pas les jeunes adultes

En net progrès en revanche : une baisse de 60 % de la mortalité infantile(16,4 millions de victimes en 1970, 6,8 millions en 2010). Certains pays comme la Sierra Leone y ont fortement contribué (-68,3 %).

Une telle réussite est due au recul de la malnutrition, à l’amélioration des soins, à une meilleure protection contre les maladies (notamment grâce aux campagnes de vaccinations) ainsi qu’à une meilleure éducation des personnes, améliorant les conditions d’hygiène.

De tels efforts ont été couronnés de succès dans la mesure où les maladies infectieuses ont globalement reculé.

Les plus meurtrières, à savoir le Sida, la tuberculose et le paludisme, tuent malgré tout plusieurs millions de personnes chaque année.

Plus inquiétant en revanche, la tranche d’âge entre 15 et 49 ans a vu sa mortalité augmenter de 44 % sur cette période. La faute principalement à trois facteurs : la hausse des homicides, le nombre plus important d’accidents de la circulation du fait de l’explosion du nombre d’automobiles, mais aussi le Sida, qui a commencé ses ravages au début des années 1980.

Pour cette catégorie de la population, les dégâts ont été immenses au Botswana, en Afrique du Sud, en Zambie ou au Zimbabwe, avec une mortalité augmentée de plus de 500 %.

Les experts appellent donc à concentrer les efforts sur cette classe d’âge.

 

 

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/medecine/d/laobacsitac-tue-trois-fois-plus-que-la-faim-dans-le-monde_43574/#xtor=RSS-8

DOSSIER : QUI SE CACHE DERRIÈRE L' UNION EUROPÉENNE ?

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TRIBUNE LIBRE 


Qui se cache derrière l’Union européenne ?

 
20.12.2012, 18:41, heure de Moscou
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2012 июль коллаж европа евросоюз ес

 
Collage : La Voix de la Russie

« La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort … apparemment.

Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le Monde …

 

C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une Guerre à mort » !


 Ces mots n’appartiennent pas à un recru du FN.

 

Ils n’appartiennent pas à un retraité adepte du gaullisme, écœuré par les nouveaux maîtres de la France.

Détrompez-vous ! Ces mots sont ceux de François Mitterrand. Il les a prononcés quelques semaines avant de s’éteindre. Une guerre sans mort (apparemment !) – je doute qu’il aurait conservé la même formule aujourd’hui, alors qu’UE et OTAN ne sont que très difficilement dissociables, alors que l’OTAN est justement cet instrument vorace, incontrôlable, par le truchement duquel les USA exerce une emprise qui par sa force n’a rien à envier à l’hégémonie pluridimensionnelle de l’Empire romain.

Lorsqu’un certain David Mascré, que j’ai eu l’honneur d’avoir au téléphone la veille, déclare que la crise de l’Europe n’est pas « une crise de crédit, mais une crise de credo », son calambour n’a rien de fortuit.

 

Bien au contraire, il fait remonter à la surface ce malaise inextricable qu’éprouve un corps, une âme, un être vivant dans son ensemble suite à un greffe qui lui est incompatible.

On nous rince régulièrement le cerveau en évoquant des valeurs unionistes européennes.

Mais ces valeurs, si l’on se pose rigoureusement la question, peuvent-elles s’accorder si les nations qui tendent à s’entendre oublient leur propre visage, se livrent à un devoir d’amnésie qui rappelle un peu le travail du deuil … situation où l’on veut oublier sans tout de suite pouvoir le faire ?

Je me souviens encore de cette réaction si naturelle, si humaine au moment où la France avait tiré sa révérence à la monnaie nationale. Je me souviens encore de cette mode idiote au cosmopolitisme fondé sur des idées vaguement philanthropes et, dans le fond, en oxymores saillantes, profondément intolérantes. Jamais, au grand jamais, je n’ai entendu parler de patriotisme à l’école.

En revanche, j’ai plus d’une fois – ma génération a plus d’une fois – entendu dire que le patriotisme était l’apanage de gens arriérés, rétrogrades, voire fascisants.

Quelqu’un entretenait adroitement cet amalgame.

Qui ? Pourquoi ? C’est là qu’on rentre dans le vif du sujet, qu’on force le côté caché de la construction européenne.

Adressons-nous aux faits.

Des documents déclassifiés du gouvernement américain, économiquement rassasié par la défaite et les ruines de l’Europe après la fin de la II GM, montrent que la communauté du renseignement des USA a mené une campagne dans les années 1950 et 1960 visant à favoriser l’unification de l’Europe.

Une large campagne de financement est alors lancée qui fera de M. Robert Schumann et de Paul-Henri Spaak, premier ministre belge de l’époque, les bras armés d’une politique démarrée par le gouvernement Truman.

Il se fait que les USA voulaient à tout prix intégrer la Grande-Bretagne à une entité qui n’existait pas encore mais que le monde anglo-saxon devait prendre sous sa tutelle idéologique.

Le 26 juillet 1950, un document est signé par le Général William J. Donovan, chef du Bureau américain des services stratégiques en temps de guerre qui stipule la fondation d’un parlement à l’échelle européenne. Le projet ne pouvait être cimenté que par un système conceptuel soi-disant universalisable partant du fait que l’idée de nation, le concept d’identité en tant que tel constituait une impasse civilisationnelle dont il fallait se débarrasser au profit de la construction d’un espace sans frontières.

Deux moyens avaient donc étaient mis en œuvre :

- Exploitation d’une très vieille contradiction marquant l’Europe depuis le début des Guerres de religion : contradiction entre le supranationalisme de l’entité catholique qui se veut universelle (katholikos = universel) et au souverainisme étatique très terre-à-terre du protestantisme. Il faut en outre tenir compte de l’extrême loyauté de l’entité protestante à l’idéologie anglo-saxonne.

- Lancement d’une opération de vassalisation de la vieille Europe appuyée sur la thèse de son essoufflement après les deux guerres mondiales.

Se prenant pour le nouvel Empire romain, les USA ont fait de l’Europe ce que Jules César a fait de la Gaule. Il lui a volé son âme. Il lui a fait croire que le seul avenir auquel il pouvait aspirer ne pouvait se concevoir en dehors de l’influence bienfaitrice d’un Empire a priori invulnérable.

Cela étant, l’Europe n’étant pas la Gaule, il a fallu lui donner l’illusion d’une certaine souveraineté à travers cet organisme fédéral qu’est l’UE.

Ce jalon du problème introduit, je donne la parole à M. David Mascré que j’avais cité plus haut. Docteur en philosophie et en histoire des sciences, politologue, chargé de mission au ministère des Affaires étrangères, M. Mascré n’hésite pas à remonter l’histoire …

 

La VdlR. Comment voyez-vous la nature et l’avenir de l’UE ? S’agit-il d’une entité qui a encore des chances de s’en sortit ou d’un organisme en phase agonale ?

 

David Mascré. « C’est une entité qui est en situation de crise institutionnelle et politique grave qui s’enracine dans une histoire longue.

La crise politique est évidemment aggravée par la crise économique et monétaire que traverse la zone euro, puisque, en réalité, l’euro était le subterfuge, le prétexte dans la conception des européistes à la construction d’une entité générale dont il devait être la préfiguration et le facteur d’accélération forcé.

Donc, si l’euro est remis en cause, c’est un risque majeur pour la conception des européistes par rapport à la marche en avant vers une entité fédérale.

C’est un premier point qu’il faut avoir en tête et qui aide à comprendre pourquoi, en réalité, les acteurs de l’UE feront tout, y compris le plus déraisonnable, pour sauver l’euro, n’hésitant pas à rajouter plan de rigueur sur plan de rigueur, imposant sacrifice sur sacrifice aux peuples européens, parce que, en réalité, la mécanique unioniste ne peut pas tolérer une remise en question de l’euro, en tout cas dans sa forme centrale, c’est-à-dire comme monnaie unique permettant l’intensification d’un marché et la constitution d’un glacis qui est à la fois militaire, économique et politique, notamment contre la Russie.

 

Mais la question en soi est bien plus ancienne. Ce qui se cache derrière la création de l’UE depuis son commencement en 1950 avec la Déclaration Schumann ou le Congrès de la Haye de 1948, c’est une volonté évidente de consacrer en fait la partition de l’Europe et d’empêcher son unification continentale.

Cela rejoint des projets beaucoup plus anciens qui ont toujours été soutenus par les anglo-saxons. La hantise de Londres de l’époque napoléonienne, c’était de voir une alliance se constituer entre, notamment, la France et la Russie, entre Napoléon et le Tsar.

C’est la raison pour laquelle les anglais, surtout par l’intermédiaire de la Prusse et des financiers de la haute banque allemande, ont systématiquement mis en place, avec tout un réseau d’espions, des mesures qui ont permis de noyauter et de détruire de l’intérieur le projet napoléonien, à partir du moment où Napoléon avait en tête de conquérir l’Angleterre, de contourner l’Empire anglo-saxon, soit par la campagne d’Egypte en bloquant la route des Indes, soit directement en conquérant les provinces unies, donc en faisant ce que lui-même a appelé un « revolver pointé sur la tempe de l’Angleterre ».

Et bien, les Anglais n’ont eu de cesse de noyauter les grandes chancelleries européennes pour détricoter de l’intérieur ce rêve d’unité continentale qui était celui dont Napoléon était porteur.

C’est la raison pour laquelle ils ont poussé une attaque de rosaire de la Prusse contre la France en 1807, au moment où Napoléon s’apprêtait à attaquer la Grande-Bretagne à partir du Camp de Boulogne, reconstituant un vieux projet de Jules César.

Donc, c’est une entreprise très ancienne, dont tous les acteurs politiques – Bonaparte, Napoléon III, Guillaume II ou bien les différents phares qui ont voulu œuvrer dans une logique de paix et d’unification du continent européen – se sont heurtés à cette volonté anglo-saxonne de division, le divide et impera étant une constante de la politique anglo-saxonne.

L’Europe de 1950, s’étant constitué sur les ruines de la II GM, était un moyen d’entériner cette division géopolitique de l’Europe durable et cette sorte de paralysie institutionnelle qui était ancrée dans l’ADN même de l’UE dès sa fondation, dès sa conception ».

On aime aujourd’hui à s’interroger sur le bien ou le mal-fondé de l’eurooptimisme.

Il me semble pourtant que, connaissant la vérité, comprenant que l’euro est bien plus la pierre de touche que l’adversaire du dollar, on ne saurait se montrer bien optimiste quant au sort ultérieur d’une entité qui a été fondée à des fins étrangères à ses intérêts, qui, somme toute, a été conçue comme une immense illusion asservie aux USA et détournée d’un allié eurasique prometteur.

Eurooptimisme et américanisme, à ce moment-là, vont parfaitement de pair.

 

Source:  http://french.ruvr.ru/2012_12_20/Qui-se-cache-derriere-l-Union-europeenne/

SÉCURITÉ : AÈROPORT DE SAN FRANCISCO ET LE " PAQUET " SUSPECT .....

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Jonah Falcon semblait bien avoir un paquet suspect glissé dans son pantalon...

Les agents de sécurité de l'aéroport de San Francisco voulaient simplement faire leur travail...

Car Jonah Falcon semblait bien avoir un paquet suspect glissé dans son pantalon le 9 juillet dernier.

Mais ce New-yorkais de 41 ans ne transportait ni drogue, ni arme de destruction massive... Il a du expliquer aux agents qu'il possède simplement le record du plus grand pénis du monde.

Dans une interview exclusive pour le Huffington Post, Falcon a décrit l'anecdote qui l'a opposé aux agents de la sécurité suspicieux devant le "paquet" apparemment caché dans son pantalon : "J'avais mon "truc" rangé sur la gauche. Il n'était pas en érection à ce moment là", précise Falcon, dont le membre mesure 23 centimètres à l'état flaccide, et 34 en érection.

Il a senti que son interrogatoire allait devenir tactile lorsqu'on l'a passé aux scanners à rayons X et au détecteur de métaux : "Un agent m'a arrête et m'a demandé si j'avais une sorte d'excroissance", plaisante-t-il.

De fait, oui, il possède une excroissance.

Depuis l'âge de 18 ans, âge auquel son membre viril a atteint 30 centimètres, Falcon sait qu'il n'est pas comme tout le monde.

Son pénis a été élevé au rang de record du monde suite à un documentaire de la chaîne HBO dont il a été la vedette en 1999.

Lu sur le Huffington Post


AU MALI LES ISLAMISTES FONT LE MÉNAGE......

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Mali. Des islamistes détruisent les derniers mausolées de Tombouctou

Mis à jour le 23/12/2012 | 13:40 , publié le 23/12/2012 | 12:57
 
 

Elle est surnommée "la cité des 333 saints". Mais la ville de Tombouctou, au Mali, voit ses mausolées détruits un à un par les islamistes du groupe Ansar Dine, qui contrôlent le nord du pays depuis début avril.

 

Des témoins affirment que les islamistes ont commencé à détruire, dimanche 23 décembre, à coups de pioche les derniers mausolées qui avaient jusqu'alors été épargnés.

Des informations confirmées par les islamistes eux-mêmes. "Il ne va pas rester un seul mausolée à Tombouctou, Dieu n'aime pas ca, nous sommes en train de casser tous les mausolées cachés dans les quartiers", a déclaré Abou Dardar, un responsable d'Ansar Dine. Mohamed Alfoul, qui se présente comme un membre d'Aqmi à Tombouctou, a de son côté justifié ces destructions en affirmant que tout ce qui ne relève pas de l'islam,"ce n'est pas bien, l'homme doit vénérer seulement Allah".

 

Outre les cimetières et les mosquées, plusieurs ruelles et des habitations privées de la ville abritent également des mausolées, vénérés par la population.

 

En juillet et en octobre, les islamistes d'Ansar Dine et d'Aqmi, qui considèrent la vénération des saints comme "de l'idolâtrie", avaient suscité un tollé général en détruisant des mausolées en terre dans l'enceinte de la plus grande mosquée de la ville, classée patrimoine mondial en péril.

 

Source et publication:   francetv info avec AFP     http://www.francetvinfo.fr/mali-des-islamistes-detruisent-les-derniers-mausolees-de-tombouctou_192149.html#xtor=EPR-51-[alerteinfo]-20121223-[bouton]-[]

 

SYRIE : LE NOÊL SERA CHAUD .......PAR MICHEL LHOMME

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Syrie - Noël sera chaud …

SYRIE


Noël sera chaud …



Michel Lhomme 
le 21/12/2012 
Ils refont, en somme, le même coup qu’en 2003 puisqu’il avait si bien marché ! Le compte Twitter del’Eucom (le média des forces américaines en Europe) s’est fait l’écho, ce week-end, d’informations sur les armes chimiques de Damas, véhiculées par Fox News, la machine de propagande américaine conservatrice reconnue pour ses positions bellicistes, qui avaient participé à la diffusion des mensonges du gouvernement Bush pour justifier la seconde guerre d’Irak. 
 
Ainsi, le service de communication de l’Eucom nous est-il apparu, cette fin de semaine, comme une annexe surprenante de Fox News et Fox News, à son tour, le relais médiatique des faucons du Pentagone.
 
En tout cas, tout cela paraît bien délibéré et surtout calculé. L’arrivée du porte-avions américain Eisenhower en Méditerranée laisse supposer, de plus en plus clairement, que les Etats-Unis préparent une intervention armée en Syrie.
 
Une perspective accréditée, la semaine dernière, par la guerre psychologique insistante de l’administration américaine à propos de prétendus préparatifs de l’armée syrienne quant à l’utilisation éventuelle d’armes chimiques.
 

porte-avions américain Eisenhower en Méditerranée
 
Plusieurs sources concordantes, rapportent que l’USS Eisenhower qui compte, à son bord, 70 chasseurs-bombardiers et 8 000 marines et membres d’équipage, aurait rejoint le porte-hélicoptères américain Iwo Jima, qui patrouillait déjà le long des côtes syriennes avec 2 500 marines à bord.
 
Ce mouvement de la flotte militaire étasunienne intervient alors que la chaîne NBC, citant « des responsables américains » s’exprimant sous couvert d’anonymat, indique que l’armée syrienne aurait chargé avec du gaz sarin des bombes destinées à être larguées par avion. Cette information a été qualifiée de « mensongère » par le gouvernement syrien.
 
 
Il n’est pas impossible et même fort probable qu’une manipulation soit orchestrée par l’administration américaine afin de permettre une opération militaire en Syrie sans avoir à passer par une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU.
 
Reste à savoir quelle sera alors la réaction russe (et chinoise), la Russie ne pouvant se permettre un tel affront.
 
La Syrie sera-t-elle, finalement, «notre» prochaine guerre, et peut-être la guerre de trop? 
 
 
 
Les Français comme force d’appoint
 
Du côté français, tout est prêt, en tout cas, pour que nos forces spéciales mènent des opérations ciblées afin de se saisir des stocks chimiques.
 
Discrètement, les Français se prépareraient à intervenir militairement en Syrie. Selon Jean Guisnel (spécialiste défense du Point), seules les forces spéciales sont concernées à ce stade.
 
Le schéma qui prévaut actuellement consisterait en une intervention française, relativement modeste, (faute de réels moyens ?), intégrée à celle d'une coalition multinationale. Laquelle ? Celle qui est mise en place sur le porte-avion Eisenhower.
Les Français seraient donc encore sous commandement  américain. 
 
La nouvelle coalition occidentale compterait au moins les États-Unis, le Royaume-Uni et la France, entre autres membres de l'Otan, dont la Turquie sans doute, auxquels seraient associés la Jordanie et peut-être d'autres pays arabes (on imagine les pays sunnites, Qatar et Arabie saoudite).
 
Les troupes présentes maintenant sur les navires américains et stationnées dans la région permettent maintenant un vrai débarquement terrestre au cas où.
Mais on peut douter que les Américains, en réalité, en prennent le risque. 
 
Y-a-t-il vraiment des armes chimiques en Syrie ?
 
En fait, dans les Etats-majors occidentaux pour l’instant, il ne serait pas question d'une intervention terrestre ou aérienne massive ou durable, mais plutôt d'une série de coups de main solidement appuyés par des avions et des hélicoptères, destinés à mettre la main sur le stock d'armes chimiques.
Bien sûr, on peut se demander si ce stock existe vraiment dans les proportions indiquées. 
 

nous restons très vigilants
 
Ces dernières heures, les propos du Ministère français des Affaires étrangères ont été de plus en plus explicites. Selon son porte-parole adjoint, Vincent Floreani, "Tout emploi des armes chimiques par Bachar el-Assad serait inacceptable".
 
Et d'ajouter : "Les dirigeants de Damas doivent savoir que la communauté internationale les observe et ne restera pas sans réaction s'ils venaient à utiliser ces armes." C'est aussi ce qu'a dit, lundi dernier, le président américain Barack Obama en déclarant : "Le recours à des armes chimiques est et serait totalement inacceptable."
 
Ces propos millimétrés, de part et d’autre, illustrent les conditions qui déclencheraient une intervention militaire, au cas où le régime se servirait de son arsenal toxique.
 
L’intervention occidentale prendrait la forme de frappes sur des cibles "L" (pour Leadership) par des missiles de croisière, concomitantes à une prise de contrôle des stocks chimiques, avant leur sécurisation puis leur transfert.
 
C’est sans doute dans ce type d’opération de contrôle et de sécurisation que nos excellents commandos de marine pourraient intervenir. 
 
Pourquoi l’intervention paraît-elle imminente ? 
 
En fait, les Occidentaux ne seraient plus dupes non plus des opposants au régime et de leur volonté « démocratique » et, ces derniers jours, il y a eu, dans certaines chancelleries européennes, la hantise d’un ethnocide à venir, d’un génocide programmé des minorités syriennes dans le style du Rwanda.
 
Finalement, les dirigeants occidentaux ne craignent peut-être pas l'utilisation improbable des armes toxiques par le régime mais en réalité, même si médiatiquement, ils le cachent et le taisent, ils ne veulent surtout pas que les opposants syriens, notamment djihadistes, puissent mettre la main dessus et s'en servir. 
 
D'où cette petite phrase du porte-parole français, une petite phrase qui ne doit pas être prise à la légère, quand il évoque la volonté internationale de "prévenir toute utilisation de ces armes si la tentation en venait soit au régime, soit à d'autres" (c’est nous qui soulignons).
 
On note que le Quai d'Orsay ne parle plus là d'utilisation, mais bien de "tentation". Cela change beaucoup de choses. Cela indique bien, en tout cas, que l’on a confiance en aucune des deux parties ! 
 
Pourtant, cela n’empêche pas certains philosophes français confortablement installés dans leurs chaires américaines - nous pensons à Jean-Baptiste Jeangène Vilmer et à son article « Il faut armer les rebelles syriens », publié dans Le Monde  du 8 décembre - d’en appeler, au nom de l’humanitarisme kantien , à fournir, sans vergogne, des armes à la rébellion !  
 
Du côté de Bachar El Assad, les propos publics de Washington indiqueraient que les dirigeants américains auraient pris connaissance par leurs moyens de renseignement - ou ceux de leurs alliés - de la mise en œuvre de mesures préparatoires à l'utilisation de ces armes en cas de dernier recours (face à un génocide alaouite, ce serait hautement probable par exemple).
 
Et, Paris qui est loin d’être, en retard dans cette affaire et connaît bien les Syriens, l'aurait confirmé aux Américains qui auraient ainsi, en quelque sorte, lancé un ultime avertissement à Bachar el-Assad. 
 
Les conditions politiques d'une intervention de nos forces spéciales, sont à la seule appréciation de François Hollande, chef des armées.
 
Or, déjà, lors de la conférence des Ambassadeurs, le 27 août dernier, François Hollande avait clairement indiqué que la France réagirait militairement si le régime de Bachar el-Assad utilisait les armes chimiques : "Je le dis avec la solennité qui convient : nous restons très vigilants avec nos alliés pour prévenir l'emploi d'armes chimiques par le régime, qui serait pour la communauté internationale une cause légitime d'intervention directe".
 
Quelques jours plus tard, le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius enfonçait le clou. 
 
Nous ne dirons rien sur les réactions probables dans le cas d’une intervention occidentale militaire en Syrie mais  les ripostes chinoises ou russes peuvent ne pas forcément être militaires.
 
Elles seront plutôt économiques ou cybernétiques et faire ainsi subrepticement beaucoup plus de dégâts en Occident. Comment expliquer, en effet, le regain d’attaques cybernétiques, ces dernières semaines, dans certaines grandes entreprises y compris françaises, voire sur certains marchés comme celui de l’or et de l’argent (la journée curieuse du 28 novembre) ?
 
 
Source et publication :     http://www.metamag.fr/metamag-1094-Syrie-Noël-sera-chaud-….html

" PROPOS HOMOPHOBES " SUR TWITTER ?

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Le Point.fr - Publié le 23/12/2012 à 12:46

Le parti socialiste enjoint aux responsables du réseau social de faire respecter la loi française sur le site.

Manifestation pour le mariage gay, le 16 décembre 2012 à Paris.

Manifestation pour le mariage gay, le 16 décembre 2012 à Paris. © Christophe Petit Tesson / Maxppp

 
 

Le Parti socialiste a interpellé dimanche les responsables de Twitterau sujet du "déferlement de propos homophobes" qu'a entraîné l'ouverture sur le réseau social d'un mot clef   #SiMonFilsEstGay.

Ce hashtag, qui figurait parmi les plus utilisés samedi, a suscité immédiatement une vague de tweets très violemment hostiles aux homosexuels, puis, rapidement, un nombre tout aussi important d'autres tweets s'indignant de cette homophobie.

Dimanche midi, le hashtag  #SiMaFilleRamèneUnNoir, avait pris le relais dans les tendances les plus populaires répertoriées sur le réseau social.

Situation "préoccupante"

"Cette situation est préoccupante : il y a quelques semaines déjà, une grande émotion avait été suscitée par un flot de propos antisémites tenus autour du hashtag #unbonjuif.

Ces propos ne sont pas seulement choquants et odieux, ils sont interdits par la loi", écrivent dans un communiqué les secrétaires nationaux du PS aux médias et aux questions de société, Philippe Buisson et Marc Coatanéa.

"Nous demandons donc à Twitter de faire respecter la loi française sur son site.

Les discriminations, le racisme, l'antisémitisme, l'homophobie et les appels à la haine sont illégaux et punis par la loi : leur expression sur Internet ne fait pas exception à cette règle", ajoutent les deux responsables socialistes.

 

"Les réseaux sociaux dédiés à la convivialité et au débat ne doivent pas être dévoyés par ceux qui veulent libérer la parole discriminatoire ou raciste.

Le PS rappelle son engagement déterminé contre toutes les discriminations qui doivent être combattues par la loi, mais aussi par l'éducation et par le partage des valeurs républicaines", conclut le communiqué.

 

Source et publication:  http://www.lepoint.fr/societe/le-ps-scandalise-par-le-deferlement-de-propos-homophobes-sur-twitter-23-12-2012-1605466_23.php?xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20121223

RN7. BIDONVILLE ET LE NOÊL " ROMS " ???

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 Des ballons multicolores égaient les baraques de ce bidonville rom au bord de la RN7, à Ris-Orangis: c'est Noël, célébré au son de l'accordéon dans une salle des fêtes de fortune, construite en dix jours, malgré une interdiction de la mairie pour raison de sécurité.

Des ballons multicolores égaient les baraques de ce bidonville rom au bord de la RN7, à Ris-Orangis: c'est Noël, célébré au son de l'accordéon dans une salle des fêtes de fortune, construite en dix jours, malgré une interdiction de la mairie pour raison de sécurité.

Des ballons multicolores égaient les baraques de ce bidonville rom au bord de la RN7, à Ris-Orangis: c'est Noël, célébré au son de l'accordéon dans une salle des fêtes de fortune, construite en dix jours, malgré une interdiction de la mairie pour raison de sécurité.

"Ici, c'est le centre-ville de Ris-Orangis aujourd'hui", lance Sébastien Thiery, fondateur de l'association Pérou (Pôle d'exploration des ressources urbaines), à l'origine de la construction de cette salle en bois.

Quelques dizaines de personnes sont venues passer l'après-midi avec ces familles roms.

Des enfants offrent bonbons et gâteaux, un Père Noël leur distribue des cadeaux, des hommes jouent de la musique et les femmes font visiter leurs baraques à des visiteurs, souvent issus du milieu associatif.

Le sol du bidonville, dans lequel vivent entre 150 et 200 personnes, a été recouvert de copeaux de bois, pour éviter la boue. Cinq toilettes sèches ont été construites.

La fête de samedi était pourtant interdite: le maire (PS) de la commune Stéphane Raffali a pris un arrêté pour que la manifestation n'ait pas lieu et qu'il soit mis un terme aux constructions illégales.

"En quelques jours, on a monté des cabanes en bois et mis des copeaux de bois par terre. Mais l'insalubrité existe toujours et la dangerosité est accentuée par le bois. Il y a une part de totale irresponsabilité", dénonce l'élu, qui dit avoir pris un arrêté d'interdiction pour dégager sa responsabilité.

Le nouveau bâtiment a été monté là où, il y a encore dix jours, s'élevait un tas d'ordures haut de deux mètres.

Sous le toit en tôle transparente ondulée, sur l'une des façades en contreplaqué, "être" est écrit en lettres blanches.

Préparer le départ du bidonville

Les habitants du bidonville, aidés d'une quarantaine de bénévoles, ont construit cette salle, qui a coûté "moins de 10.000 euros", financés par les associations, selon l'architecte Julien Beller, qui explique chercher "des solutions alternatives pour les très précaires, même si c'est éphémère".

"Les élus nous disent +on ne sait pas faire+. On sait que ça n'est pas simple.

Mais il faut prendre appui sur les savoir-faire pour construire autre chose", appuie Serge Guichard, de l'association de solidarité en Essonne aux familles roms, roumaines.

Nommé "ambassade du Pérou", cette salle de 35m2 doit, "à partir de demain, préparer le départ" du bidonville, explique Sébastien Thiery.

Et donc, notamment, faire la classe aux enfants, qui ne sont pas scolarisés.

Mais aussi être "un sas entre l'intérieur et l'extérieur, mobiliser tous les acteurs", explique cet ancien militant des Enfants de Don Quichotte.

Angela Melo, 27 ans, qui habite Montreuil (Seine-Saint-Denis), explique ne faire partie d'aucune association, mais avoir suivi une amie.

Les bras chargés de sacs de vieux vêtements, elle mettait pour la première fois les pieds dans un bidonville. "Quand on pense au mot +bidonville+, on voit ça.

C'est bien de faire la liaison entre gens en situations différentes", commente-t-elle.

Adela Covaci, 25 ans, a trois enfants, et vit ici depuis un an.

 

Cette salle, elle "espère que ça va changer beaucoup de choses J'ai jamais été à l'école, et j'aime pas que mes enfants soient comme ça".

"Les Français en général ils disent +bah les Roumains qui sont sales, les voleurs+.

C'est bien déjà que quelqu'un qui nous connaît pas trop ait confiance en nous", ajoute-t-elle.

Pendant la fête, deux policiers municipaux ont pris place devant le bidonville, mais sans intervenir.

 

source et publication:  afp / http://www.lepoint.fr/societe/un-bidonville-rom-brave-une-interdiction-de-la-mairie-pour-feter-noel-23-12-2012-1605484_23.php

LA RUSSIE DE POUTINE , TRIBUNE LIBRE DE CLAUDE BOURRINET !

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Poutine et la place de la Russie

vladimir-poutine.jpg

La fin du monde n’a pas eu lieu.

Quoiqu’il ne faille pas exclure, qu’à terme, ne se produise la fin d’un monde, celui, américano-centré, unilatéral et formidablement dangereux pour la paix, que l’on voudrait, ici, en Occident, voir s’installer durablement.

Pourquoi pas pour mille ans !

La récente conférence de presse de Vladimir Poutine, s’adressant durant quatre heures trente à plus de mille journalistes de toutes nations, le jeudi 20 décembre, a rappelé cette vérité qui dérange : la Russie est toujours là.


Mieux : elle incarne, par sa volonté de ne pas se plier à l’hégémonie étatsunienne, la perspective d’un monde multipolaire, pluri-civilisationnel, pour l’avènement duquel d’autres nations luttent, celles notamment représentées par le BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, République Sud-africaine), mais aussi l’ALBA, en Amérique latine, ce qui démontre, à l’encontre de ce que la presse mainstreams prétend, que les Russes sont loin d’être « isolés ».

C’est une rengaine qui révèle, chez les journalistes liés à l’Otan, une réelle absence d’imagination.

Il est vrai qu’en général, l’activité propagandiste ne demande comme aptitude que celle qui consiste à se répéter pour faire pénétrer dans le cerveau assoupi des masses des « vérités » infaillibles. Encore que l’imagination soit un ingrédient indispensable pour donner du sel aux scénarios susceptibles de remplacer la réalité.
Il est vrai que le matraquage manichéen a réussi avec l’Irak, la Serbie, la Libye, et que la légende d’une démocratie militante et internationaliste éradiquant le Mal dictatorial de la planète a plutôt bien marché ; ce qui révèle, pour ceux qui croient encore aux lendemains qui chantent, combien les peuples occidentaux ont vendu leur liberté pour un plat de lentilles, qui s'avèrent, par ces temps de crise, plutôt passablement avariés.
Et pour le coup, ils ont abandonné aussi leur droit d’aînesse.

Une chansonnette qui a les faveurs des salles de rédaction, en ce moment, est que la Russie serait sur le point d’abandonner « le régime de Bachar al Assad » (dixit).

On s’appuie, pour étayer ce qui ressemble furieusement à des lubies arrosées d’après dîner (du Siècle ou du crif, comme vous voulez), sur de soi-disant déclarations, d’un sous-ministre ou d’un ambassadeur russes, voire de Poutine lui-même.

En vérité, la position russe n’a jamais changé : la Russie n’appuie pas un homme, mais un Etat légitime, la nature du régime et la composition du gouvernement syrien doivent résulter du choix du peuple syrien lui-même, une conférence de conciliation doit avoir lieu, et les forces étrangères n’ont pas à intervenir dans le conflit. Rien de nouveau sous le soleil, donc !

Contre toute évidence, nos braves Tintins de comptoirs (désirant sans doute redonner de l'espoir à des « rebelles » singulièrement étrillés) entonnent le refrain bien appris de l’armée syrienne qui perd du terrain, du régime qui s’effrite, avant de s’effondrer, de l’isolement de ses partisans, de son encerclement etc.

Que les « rebelles », dont la majorité sont des membres d’Al-Qaeda, des salafistes takfriristes, des frères musulmans, des Talibans, des Tchétchènes, des Turcs, Irakiens, Libyens, Tunisiens, Marocains, des Yéménites djihadistes, qui n’ont rien à voir avec les Syriens de souche, et qui sont payés par le Qatar, soutenus pas les USA, Israël, l’Angleterre et la France, pays qui prétendent, par ailleurs, combattre le fléau islamiste, soient exterminés par la valeureuse armée républicaine syrienne, cela semble leur échapper.


Ils en restent à une explication fort simple, digne d’une cour de récréation de collège : Bachar étant un méchant, les Russes, ayant une propension à la méchanceté, comme chacun sait, sont naturellement portés à lui porter leur aide. Mais, surtout, la Russie s’accrocherait à la base de Tartous, afin de maintenir sa présence en Méditerranée orientale, mais serait bien obligée de tenir compte du rapport de force défavorable. 

Autrement dit, la presse raisonne comme si elle jouait aux dames avec un damier singulièrement étriqué, alors qu'il s’agit d’un jeu d’échecs à l’échelle asiatique, voire mondiale. Quand le sage montre la lune, dit un proverbe chinois, l’idiot regarde le doigt.

Au lieu de prendre des vessies pour des lanternes, la presse collaboratrice devrait plutôt abandonner ses vains espoirs.
D’abord parce que le « régime » syrien tient, tout simplement pour des raisons faciles à comprendre : si les fanatiques islamistes l’emportent, ce sera un génocide, les minorités ethniques et confessionnelles seront exterminées, les femmes retourneront en esclavage, et une chape de plomb s’abattra sur un pays encore indépendant et libre.

D’autre part, la Russie possède largement de quoi tenir tête aux puissances militaires locales et internationales, qui se mêlent de semer la zizanie dans cette région. Non, l’ours n’est pas affaibli !

Surtout, il est évident que si la Russie laisse le terrain à l’Occident, c’en est fini de ses rêves d’indépendance, et même de sa volonté de survie. L'ours joue ici sa peau, et il est prématuré de vouloir d’ores et déjà la vendre !

Pourquoi ? Il n’est qu’à regarder une carte pour comprendre. Qui contrôle cette région, où aboutissent, aboutiront, des terminaux gaziers et pétroliers, lesquels sont vitaux pour des pays comme l’Iran, partant la Chine, ceux d’Asie centrale, la Russie même, qui aurait voix au chapitre en Europe occidentale, région maritime où baignent des Etats déstabilisés ou stratégiquement essentiels, parfois surarmés, où l’on a trouvé des réserves immenses de gaz, cette énergie du XXIe siècle, qui la contrôle, donc, contrôle l’avenir.

La Russie sait aussi que, comme dans un jeu de dominos, perdre la partie ici entraînerait un déplacement du conflit tout près de ses frontières, dans cette Asie centrale où s’agitent déjà des intégristes musulmans. Qui occupe l'Eurasie tient les rênes de la planète.

C’est pourquoi il est réjouissant de voir revenir, sur le théâtre international des nations, une Russie forte, fière et digne. La conférence de presse du président Poutine nous rappelle, nous, Français, celles du général de Gaulle, qui soutenait que la place de la France devait être au premier rang. La noblesse de notre histoire ne laissait pas d’autre alternative.


C’était compter sans la trahison de nos « élites », qu’il pressentait néanmoins, lesquelles ont vendu notre indépendance, celle de l’Europe aussi, à ceux que Mitterrand, qui les avait portant bien installé dans notre culture, considéraient comme nos pires ennemis, les Etats-Unis d’Amérique.

 Claude Bourrinet

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