CES MÉDIAS ET FAUX INTELLECTUELS AMERICAINS DE LA GAUCHE BOBO QUI VEULENT DETRUIRE LE PRESIDENT DES ETATS-UNIS DONALD TRUMP
Pourquoi la popularité de Trump n’est-elle pas au plus haut alors que les impôts et le taux de chômage sont au plus bas ? Parce que les médias sont entrés en guerre totale pour détruire le Président Trump.
J’avais prévu d’écrire cet article il y a trois mois. Les événements se bousculent tellement que le temps m’a manqué. Avec le vote historique de la baisse fiscale, il est cependant d’une actualité brûlante.
Le Centre pour l’intégrité publique (6) a révélé que 19 dollars sur 20 donnés par les médias ont été remis à la campagne de Hillary Clinton en 2016, soit 96% de l’ensemble des dons. Tant que les médias n’emploieront pas dans la même proportion des journalistes de droite et des journalistes de gauche, il n’y aura aucune diversité dans la presse.
Le dernier sondage Gallup cité par AOL indique que le taux de popularité du Président Trump est au plus haut depuis juillet, mais le chiffre est faible : 39%.
Le sondage Rasmussen (5) annonce un taux de popularité à 46%.
- Ne soyez pas étonnés de lire que d’un côté le Président Trump a obtenu d’exceptionnelles réussites pour le peuple américain, et de l’autre qu’il obtient un faible taux d’opinion favorable dans les sondages : les sondages ne sont pas le reflet de l’opinion des gens sur Trump, mais de l’opinion que les médias leur donne.
- Ce que les gens pensent de Trump est le résultat de ce qu’ils lisent sur lui dans les médias. Le traitement par la presse de la présidence Trump étant largement négatif comme vous allez le lire plus bas, les sondages reflètent essentiellement le ton négatif des médias.
- 90% des Français ont une opinion négative de Trump. Normal, toute la presse traditionnelle est négative à son endroit.
- Les 10% qui ont une opinion positive sont des lecteurs de Dreuz, car il n’y a guère que Dreuz, Valeurs Actuelles et Causeur pour publier les accomplissements du président américain.
- Partout ailleurs, c’est censure et bouche cousue.
- Ne soyez pas étonnés que les mêmes organismes de sondage qui disaient que Trump ne se qualifierait jamais pour la course à la présidence en 2015, qui disaient qu’il n’avait aucune chance de gagner la primaire Républicaine en 2016, qu’il n’avait aucune chance de remporter l’élection en octobre 2016, qu’Hillary avait 75% de remporter la présidentielle en novembre, et qu’il échouerait dans toutes ses promesses en 2017 sont ceux qui lui accordent un taux de popularité à 35%.
- Ne soyez pas étonnés qu’ils appliquent les mêmes méthodes de sondage : ils interrogent le même échantillon constitué de plus de Démocrates que de Républicains, ils conduisent leurs sondages dans les mêmes grandes villes Démocrates de la côte Est et Ouest, et ils ignorent l’immensité de l’Amérique qui vote Trump.
- Les organismes de sondage suréchantillonnent les Démocrates : « ils utilisent 29 % plus de Démocrates que de Républicains, et les résultats favorisent les anti-Trump », expliquait le Washington Examiner en septembre 2017 (washingtonexaminer.com)
- Dans ses sondages, CNN interroge 26% de Républicains, 41% de Démocrates, et 33% d’indépendants, et arrive toujours, quelle surprise, à un taux de popularité négatif sur Trump !
- Et contrairement à la majorité des gens, si vous ne lisiez pas Dreuz info, vous ne seriez pas au courant des formidables accomplissements de Trump, car voici comment les médias parlent de Trump :
Media Research Center : « 91% de reportages anti-Trump dans les médias »
- Le 12 décembre, Media Research Center (1) concluait dans son étude que 91% de la couverture médiatique de Trump est négative.
» Au cours des trois derniers mois, plus de 90 pour 100 de la couverture médiatique majeure du président Donald Trump par les médias a été négative » a expliqué Rich Noyer, directeur de recherche du centre.
- Selon l’étude, la couverture de Trump dans les journaux télévisés du soir d’ABC, de CBS et de NBC en septembre, octobre et novembre était négative à 91 %.
- En septembre, il n’y a eu que 31 interventions pro-Trump sur les trois chaînes réunies contre 359 déclarations négatives, selon l’enquête.
- En octobre, le nombre de déclarations positives est passé à 41, tandis que le nombre de déclarations négatives était de 435,
- En novembre, il y a 33 propos positifs contre 320 déclarations négatives.
Harvard Université : « La couverture de Trump pendant ses 100 premiers jours a établi une nouvelle norme de négativité »
- En mai dernier, Harvard Université concluait dans son étude (2) que pendant les trois premiers mois de la présidence Trump, 80% des reportages sur lui ont été négatifs, et« ils ne sont jamais descendus en dessous de 70% de négatif pendant une semaine consécutive, atteignant 90% en pointe ».
- Sur 6 des 7 chaînes de télévision câblées, les reportages sur Trump ont été négatifs à 13 contre 1.
- Les reportages négatifs concernant Trump sur CBS ont dépassé la barre des 90%.
- 87% de papiers sur Trump dans le New York Times sont négatifs.
- Washington Post : 83% d’articles négatifs.
- Wall Street Journal, 70% négatifs.
Et le record américain va à CNN, avec 93% de couverture négative ! (vous me direz, nous avons plus de chance que vous, car en Suisse, en France, au Québec et en Belgique, c’est près de 100% de la couverture médiatique qui est anti-Trump (98% sur la chaîne nationale allemande ARD), et cela explique pourquoi, avec ce matraquage, 90% de l’opinion sur Trump est négative en Europe).
Jimmy Carter en octobre 2017 :
«Je pense que les médias ont été plus durs avec Trump qu’avec n’importe quel autre président. A ce que je sache, je pense qu’ils se sentent libres d’affirmer que Trump est mentalement dérangé et tout le reste sans hésitation.»
⇒ Voici un rappel par le grand reporter Brit Hume de ce que devrait être le métier de journaliste :
« En fait, c’est le travail des journalistes – du moins ceux qui sont [encore] journalistes – de couvrir l’actualité sans crainte ni favoritisme, de renoncer à forcer le changement d’opinion des électeurs, et de leur laisser la tâche de ‘déplacer l’aiguille’ sur le cadran des élections. »
Et si le doute existe encore sur la malhonnêteté des journalistes, la récente étude du très sérieux Pew Research center enfonce le clou dans le cercueil de leur éthique.
Pew Research Center : « Les médias sont trois fois plus négatifs sur Trump que sur Obama »
« La couverture des débuts de Trump au pouvoir s’est éloignée de son programme et de ses actions politiques, et portait davantage sur une critique de sa personnalité »
- Selon l’institut de sondage non-partisan Pew Research (3), au début de sa présidence [donc avant qu’il ait pu accomplir quoi que ce soit de significativement critiquable ou louable] « la couverture médiatique de Trump était négative à 62%. En comparaison, la couverture médiatique d’Obama n’était que de 20% négative. »
- Seulement 5% des reportages étaient positifs durant les 3 premiers mois de la présidence Trump.
- Environ six articles sur dix sur les débuts de Trump au pouvoir ont eu une évaluation négative, environ trois fois plus qu’au début de la couverture médiatique d’Obama et environ deux fois plus que celle de Bush et Clinton.
- « La couverture des débuts de Trump au pouvoir s’est éloignée de son programme et de ses actions politiques, et portait davantage sur une critique de sa personnalité », a déclaré Pew dans un communiqué.
Conclusion
Avec 90% de couverture négative comme seul moyen de former son opinion, il n’est pas possible qu’une personne moyennement informée (la quasi-totalité des citoyens) pense autre chose que du mal du Président Trump.
En fait, lorsqu’aucune information positive n’est relayée par les médias (qui a entendu dire que Trump a écrasé ISIS ?), lorsque les bons résultats de sa politique ne sont pas publiés, le contraire serait humainement impossible.
Avec 90% de couverture négative aux Etats-Unis, le taux de popularité de Trump varie donc de 35% à 45%. Ce que les médias ne vous disent pas, c’est que c’est le taux le plus élevé de toute la classe politique !
Avec 54% d’opinions négatives et seulement 37% d’opinions positives, le parti Démocrate atteint son plus faible score depuis 25 ans, tandis que le Congrès traîne à 21% de taux de satisfaction.
Au-delà des sondages d’opinion, un chiffre compte pour moi. Nous avons un proverbe aux Etats-Unis : « Money talks, bullshit walks », que l’on peut traduire par « les actions parlent, les belles paroles s’envolent », qui ressemble de loin à : « les mots s’envolent les écrits restent ».
Et l’argent a parlé : en octobre dernier, le Parti Républicain a indiqué que ses caisses n’ont jamais été aussi pleines des petits dons (4).
« Le Parti Républicain est sur la bonne voie de collecter plus d’argent des petits contributeurs qu’il n’en a collecté depuis plus d’une décennie » disait le GOP dans un communiqué le 6 octobre dernier – avant l’importante réforme des impôts qui va enrichir la majorité des Américains.
SOURCE : Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pourDreuz.info.
(1) https://www.newsmax.com/politics/fake-news-abc-nbc-cbs/2017/12/12/id/831367/
(2) https://shorensteincenter.org/news-coverage-donald-trumps-first-100-days/
(5) http://www.rasmussenreports.com/public_content/current_events/
(6) http://www.trumpscorecard.com/fake-news-biased-media.html
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Juste quelques heures.
Il n’aura fallu que quelques heures pour que les grandes entreprises américaines commencent à réagir à la baisse d’impôts historique de 1500 milliards de dollars promis par Donald Trump.
Et leur réaction n’est pas exactement celle que les experts et les médias ont annoncée…
- Pendant que Macron annonce qu’il va prendre dans votre poche 4,5 milliards d’impôts supplémentaires, 85% des Américains vont conserver un peu plus de l’argent qu’ils gagnent.
- Les Américains vont également voir dès janvier une baisse des prélèvements sur leurs chèques de salaire.
- Une famille typique de 4 personnes qui déclare un salaire de 73 000 dollars par an donnera à l’Etat près de 2100 dollars de moins d’impôts sur une année.
Mais la grosse surprise est arrivée mercredi, quelques heures après le vote historique de réduction des taxes promises par le Président Trump.
Dans Le Monde, qui décidément ne comprend pas grand-chose non plus à l’économie, Arnaud Leparmentier se fait l’écho des critiques exprimées par les médias, qui agissent surtout comme porte-parole du parti Démocrate.
Il explique que la réforme est « surtout favorable aux multinationales », sans comprendre la simple logique de cause à effet : lorsque dans un environnement capitaliste et libéral, l’entreprise gagne, ce sont les salariés et l’ensemble du pays qui encaissent.
Et c’est exactement ce qui vient de se produire non pas dans les mises en garde de la gauche, non pas dans la propagande socialiste, ou dans les spéculations anti-Trump, mais dans le monde de la réalité pour lequel les idéologues ont un tel mépris.
Plusieurs géants viennent d’annoncer qu’ils vont verser des primes exceptionnelles et des hausses du salaire minimum aux employés à la suite de l’adoption du projet de loi républicain de réforme fiscale en raison des réductions d’impôt importantes dont ils vont bénéficier du fait de la baisse de 15% du taux d’imposition des sociétés à 21%.
De nouveaux investissements sont également prévus, lesquels auront un effet boule de neige sur la bonne santé économique.
AT&T
- AT&T a déclaré qu’elle va offrir une prime de 1 000 $ à plus de 200 000 employés dès que la réforme fiscale sera promulguée,
- Elle a promis d’investir un milliard de dollars supplémentaires aux États-Unis en 2018.
- Le PDG, Randall Stephenson a fait l’éloge de la législation fiscale comme étant « une mesure monumentale pour aligner les impôts payés par les entreprises américaines sur ceux du reste du monde industrialisé ».
Boeing
- Boeing a annoncé qu’il va consacrer 300 millions de dollars à des « placements liés aux employés et à des organismes de bienfaisance » en raison de la baisse de la fiscalité.
- » Les réformes nous permettent d’être plus compétitifs sur la scène mondiale et nous donnent une base plus solide pour investir dans l’innovation, les installations et les compétences qui soutiendront notre croissance à long terme », a déclaré le PDG Dennis Muilenburg dans un communiqué.
Comcast
- Comcast (pour les non-Américains, Comcast est surtout connue comme le géant qui propose son réseau câblé et internet dans nos résidences) a décidé de verser des primes de 1 000 $ à 100 000 employés non cadres, en raison du démantèlement des règles de neutralité du Net décidé par Obama et l’adoption de la réforme fiscale.
- Le chef de la direction, Brian Roberts, a également déclaré que l’entreprise prévoit de dépenser « bien plus de 50 milliards de dollars en investissements dans l’infrastructure au cours des cinq prochaines années ».
Fifth Third Bankcorp
La Bancorp a déclaré qu’elle augmente le salaire minimum horaire à 15 $ pour ses employés américains.
Wells Fargo
- Wells Fargo a déclaré qu’elle augmente le salaire minimum pour les employés américains de 13,50 $ à 15,50 $,
- Elle annonce également qu’elle va verser 400 millions de dollars de dons à des organismes communautaires et sans but lucratif en 2018.
Et ce n’est qu’un début…
Conclusion
L’esprit de la réforme fiscale est simple à comprendre pour nous, mais pour un Français, il s’agit d’un concept abstrait, presque de la science-fiction : en un mot, c’est un projet anti-Etat social, car « l’Etat social » crée surtout le chômage, l’appauvrissement des ménages, et une certaine misère morale.
C’est une réforme qui considère que ce n’est pas l’Etat qui s’occupe de nous et nous prend en charge, mais nous qui nous occupons de nous-même et qui nous prenons en charge.
La réforme ne vise à aucune redistribution des revenus des uns qui travaillent dur pour les donner aux autres qui se roulent les pouces, une idée que nous considérons comme immorale.
Elle ne consiste pas, comme la nouvelle hausse que vous, en France, allez subir, à ce que l’Etat vous prenne votre argent et le donne à d’autres, mais à laisser à ceux qui triment le résultat de leurs efforts.
C’est le mérite contre la « générosité » sous la contrainte. Avec cette baisse, l’Etat va nous laisser garder un peu notre argent.
La réforme ne cherche pas à « corriger les inégalités » par le biais de l’impôt, car nous considérons que les inégalités font partie inhérente de la vie et ne doivent pas être niées par des gens qui ne produisent pas de richesse.
Nous avons de nombreuses lois sociales, mais nous considérons que c’est en créant des emplois et permettant aux salaires de progresser, en libérant les entreprises de la pression fiscale et réglementaire de l’Etat, que les inégalités sont corrigées par le marché, et non par un décideur étatique qui la plupart du temps ne comprend pas ce qu’il fait.
La réforme est donc résolument anti-Etat et surtout anti-Etat social.
Ce sont les milliardaires, les Bill Gates, qui font dans le social avec leur fortune.
SOURCE : Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pourDreuz.info.