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SYRIE ( ALEP ) UN TERRORISTE SAOUDIEN LIQUIDÉ .......

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FRAPPES RUSSES. Syrie (Alep): L’armée liquide le terroriste saoudien lié à Daesh, Abou Salim al-Tabouki

 
 
 

image: http://www.mamafrika.tv/wp-content/uploads/2015/11/Abou-Salim-al-Tabouki-681x326.png

MamAfrika TV | Par Allain Jules

 

Hier, mardi, le Saoudien Adnan al-Atawi,  connu aussi sous le nom d’Abou Salim al-Tabouki, est mort. Il était un commandant important de Daesh, transfuge du groupe terroriste Al-Qaïda.

Il a été tué à Alep en Syrie.

Une nouvelle opération réussie par l’armée arabe syrienne dans la reconquête de son territoire.

 

Auparavant, Adnan al-Atawi était un membre éminent du groupe terroriste al-Qaïda, qui avait pris part à de nombreuses activités terroristes à l’étranger pour l’organisation terroriste, en Afghanistan, en Irak et en Syrie.

En 2011, al-Atawi a été arrêté par les autorités saoudiennes pour ses connexions avec al-Qaïda et envoyé à la prison d’Al-Salouliyah. Toutefois, il a ensuite été libéré, et a quitté d’al-Qaïda pour rejoindre le groupe terroriste Etat islamique aka Daesh.

image: http://cdn.stickyadstv.com/prime-time/intext-roll-ad-message-fr.png

Selon les médias arabes, ce Al-Atawi avait visité sa famille en Arabie saoudite, à plusieurs reprises, au cours des deux dernières années en dépit de son rôle dans le groupe terroriste en Syrie.

Ce qui s’explique aisément. Voyez-vous, on cherche toujours des Syriens dans la mouvance terroristes et/ou des modérés de l’Occident.

Ce sont presque tous des étrangers.

 

Pourquoi veulent-ils renverser le pouvoir syrien tout comme l’Occident ? Cherchez l’erreur !


En savoir plus sur http://www.mamafrika.tv/blog/frappes-russes-syrie-alep-larmee-liquide-le-terroriste-saoudien-lie-a-daesh-abou-salim-al-tabouki/#R3s8OUD3GcErZYlQ.99

SYRIE: L' ARMÉE BRISE LE SIÈGE D' ALEP !

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Syrie : l’armée brise le siège d’Alep et rentre au cœur de la Ghouta orientale

 
 
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Il a fallu 12 jours à l’armée syrienne pour reprendre la seule route menant aux quartiers loyalistes de la ville d’Alep, Ithriya-Khanacer et briser le siège imposé à cette ville depuis deux semaines par la milice wahhabite takfiriste Daesh.

« Nos unités de l’armée ont repris le contrôle total de la route Alep-Khanacer-Ithriya-Salmiyé après avoir éliminé un grand nombre de terroristes de Daesh », a indiqué la chaîne la télévision officielle, précisant que la route serait « rouverte demain (jeudi) ».

Cet axe qui est situé au sud-est de cette ville du nord de la Syrie, relie aussi la ville de Hama à celle d’Alep, coupée en deux depuis juillet 2012.

« Les opérations ont commencé mercredi à 04H00 (02H00 GMT) et se sont terminées à 11H00 (09H00 GMT). L’armée a chassé de la route tous les gens de Daesh », a affirmé un colonel à Khanacer (au sud-est d’Alep), interrogé par la télévision officielle.

Selon le correspondant de la télévision, l’armée est en train de terminer le déminage de la route. Une source militaire sur le terrain a indiqué que des camions d’approvisionnement avaient commencé à l’emprunter.

L’autoroute reliant Alep à Homs, la troisième ville du pays plus au sud, étant entre les mains des milices, les forces gouvernementales empruntaient depuis 2014 l’axe Alep-Khanacer-Ithriya-Salamiyé, située au sud-est d’Alep, la seule route possible pour ravitailler les quartiers gouvernementaux et y acheminer des renforts.

Mais cet axe avait été coupé le 24 octobre près de Khanacer par l’EI, qui a pris le contrôle d’une portion de plusieurs km.

Plusieurs avancées dans la province d’Alep

Cette exploit a été réalisé dans la foulée d’importantes progressions de l’armée syrienne dans la province d’Alep.

Mardi, elle a pris le contrôle d’un point de passage Al-Hadher au sud d’Alep. Il est considéré dès le début de cette bataille comme stratégique, car il se situe sur une intersection des routes de la région. Ce qui va permettre de bloquer le déplacement des groupes terroristes, mais également faciliter le mouvement des troupes vers la libération totale de la ville et de la région.

La ville est située non loin de la voie Alep/ Idleb, qui ouvre ensuite des perspectives vers Hama et Damas.

Sachant que les combats les plus significatifs pour l’armée syrienne se déroulent dans la campagne au sud ouest de Alep en partant des montagnes d’Azzan, où pas mal de territoire et de zones d’habitation furent récupérés.

Alors qu’à l’est d’Alep, l’armée syrienne a réalisé une avancée de 5 km en direction de l’aéroport militaire de Kwayrès, et ne se trouve plus qu’à deux km de cette base assiégé par les miliciens depuis au moins deux années.

Bientôt l’aéroport Marj al-Sultane

Dans la province de Damas, et plus précisément dans la Ghouta orientale occupée par la milice pro saoudienne Jaïch al-Islam, c’est un autre aéroport militaire, celui de Marj al-Sultane, qui est sur le point d’être récupérée par l’armée syrienne.

Cet aéroport a été l’un des premiers à tomber entre les mains de l’ASL en 2012. Le fait qu’il soit sous le contrôle de la milice wahhabite Jaïch al-Islam montre bien les réelles alliances de l’ASL, présentée comme étant un groupe laïc.

L’importance de l’avancée des forces régulières qui se trouvent non loin des remparts de cet aéroport est qu’elle s’est faite en franchissant l’une des lignes de défense les plus barricadées des miliciens, sachant que Marj al-Sultane se trouve au cœur de la Ghouta, non loin du nord de l’aéroport international de Damas.

Durant la bataille, l’un des chefs militaires de Jaïch al-Islam , connu sous le pseudonyme d’Abou Abdo a été tué ainsi qu’un certain nombre de ses hommes de la brigade Omar.

Plusieurs chefs de milices abattus

Ces 48 dernières heures ont été marquées par la mort de plusieurs chefs de milices :

Dans la province sud d’Alep, c’est un chef des Ahrar al-Cham, -allié de la branche d’Al-Qaïda en Syrie le front al-Nosra-, Abou Ali alNoemi qui est tué. Ainsi que l’un des chefs du bataillon Tawhid et du Jihad , Abou Moaz al-Chami, qui a été abattu durant les combats dans la localité Khan Toumane.

Dans la province nord de Hama, c’est l’un des chefs militaires de « Jabhat al-Cham » (Front du Levant), qui fait partie de l’Armée syrienne libre qui a été tué ainsi que son compagnon Ahmad Mohammad Nasrallah.

Il également question d’un autre chef de l’ASL, un certain Ammar Abou Maher, qui est le chef du bataillon « martyrs de l’Islam ». Il a été touché mortellement durant des combats dans la ville de Darayya, dans la Ghouta occidentale de Damas.

Selon al-Hadath news, ils s’ajoutent à six autres chefs de milices ayant péri auparavant.

Al-Qaïda dépêche son émissaire à Idleb

al qaida

En revanche, il est question selon le journal financé par le Qatar, al-Quds al-Arabi de l’arrivée dans la province d’Idleb d’un important dirigeant d’Al-Qaïda. Connu sous le pseudonyme Seïf al-Adl, c’est un ancien militaire égyptien dont l’identité est selon Wikipedia Mohammad Salaheddine Zeidane.

Il devrait rapprocher les points de vue entre les deux frères ennemis de cette milice wahhabite, le front al-Nosra et Daesh, ajoute le journal.

Des partisans de ce groupuscule ont indiqué sur les réseaux sociaux qu’il a été chargé par le numéro un d’Al-Qaïda, Ayman al-Zawahiri, de rectifier le parcours de cette milice.

Al Manar | 4 novembre 2015

Source: Almanar

http://arretsurinfo.ch/syrie-larmee-brise-le-siege-dalep-et-rentre-au-coeur-de-la-ghouta-orientale/

CE SOIR C' EST TV LIBERTÉ INFOS ....

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La lettre quotidienne des abonnés et donateurs de TVlibertés.


Journal du jeudi 5 novembre (à partir de 19h) :
CULTURE / R.GIRARD : DISPARITION D'UN GRAND PENSEUR
L’anthropologue et philosophe René Girard est mort mercredi à Stanford aux Etats-Unis à l’âge de 91 ans. Théoricien du "désir mimétique", il était l'une des plus grandes figures de la pensée française. Retour sur l'œuvre d'un intellectuel hors-pair.
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LE ZOOM DU JOUR : JEAN-LOUIS BUTRÉ : « LA COP21 EST BASÉE SUR UN MENSONGE GÉNÉRAL »


Jean-Louis Butré, président de la Fédération environnement durable, est venu évoquer avec nous l'imposture du sommet sur le climat, la COP21. Il également revenu sur le danger des éoliennes et sur les incohérence du gouvernement en matière d'énergies.

 

La PQRR ; retrouvez chaque jour notre sélection d'un article issu de la Presse Quotidienne de Réinformation Régionale .

La Chine découvre que les enfants sont l'avenir (Lesobservateurs.ch)


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SYRIE: LE DOUBLE JEUX DES USA ET DES OCCIDENTAUX ???

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Escalade en Syrie : les États-Unis envoient les Saoudiens contre les Russes sur les champs de bataille
La situation en Syrie pourrait dégénérer, par l’intervention du soutien de l’Arabie à des groupes de « rebelles ».

Les Américains envoient les Saoudiens contre les Russes sur les champs de bataille syriens : c’est ce que croit savoir le journal économique allemandDeutsche Wirtschafts Nachrichten. La situation en Syrie pourrait dégénérer, par l’intervention du soutien de l’Arabie à des groupes de « rebelles ». Des observateurs soupçonnent que les services secrets américains pourraient être derrière ces interventions, afin de gêner les Russes.

Pour les initiés, les avancées de l’armée syrienne, soutenues par les Russes, sont entravées, suite au soutien saoudien aux « rebelles ». L’agence Reuters rapporte que deux personnes proches du régime de Damas auraient déclaré : « Les Saoudiens sont devenus fous et font dégénérer la situation à l’extrême. »

Un initié observe que des missiles TOW de fabrication américaine ont été utilisés, afin d’arrêter la progression dans la région de Sahl al-Ghab. Un second initié fait remarquer que le soutien du royaume [saoudien] « se serait intensifié de manière sans précédent ». L’armée syrienne, avec l’aide de Moscou, de Téhéran et du Hezbollah, aurait lancé quelques offensives à l’ouest de la Syrie. Toutefois, les résultats ne sont pas très clairs.

L’Arabie saoudite est le partenaire le plus proche des Américains dans la région. Obama avait conclu avec Poutine de lutter ensemble contre l’État islamique. Cette décision rencontre des résistances auprès des militaires américains, des services secrets et des neocons ! Lesquels défendent la doctrine Wolfowitz (qui ne reculerait pas devant une guerre nucléaire). Ils essayent, dans l’ombre, de torpiller les succès russes. Obama, en fin de mandat, n’a plus d’autorité. Les services secrets jouent, en matière de politique étrangère, un rôle incontrôlé d’État dans l’État.

Même si l’Arabie prend part formellement à des négociations avec la Russie et les Américains, elle continue simultanément de financer les terroristes au Moyen-Orient depuis des années et vient d’intensifier son soutien à des « rebelles » non identifiés. Les Saoudiens veulent éviter à tout prix que l’influence de l’Iran ne se développe.

Dans ce contexte, la chute de l’avion russe au-dessus du Sinaï pose beaucoup de questions. Le président Poutine a déclaré vendredi qu’une bombe pourrait être la cause de la chute de l’avion. Il n’est pas établi à qui profiterait l’attentat. Cependant, dans cette situation opaque, plusieurs parties pourraient provoquer les Russes. Pourtant, le président russe a essayé d’intégrer les Saoudiens dans l’alliance. C’est dans cet esprit qu’il a rencontré récemment le ministre des Affaires étrangères, Adel Al Joubeir. Cependant, une lutte pour le pouvoir est engagée à Riyad. Les religieux radicaux appellent au djihad contre la Russie. En outre, la famille royale wahhabite vit des tensions générationnelles. Personne ne sait qui prendra le dessus.

Le président Poutine s’est entendu vendredi avec le général Sissi. Les deux hommes sont convenus de « renforcer leur coopération » pour la sécurité des touristes russes en Égypte. C’est dans ce contexte, et pour « effrayer » les Russes, que les Américains annoncent une modernisation massive de leur armement atomique, des drones et des avions de combat.

 
Bd Voltaire . fr

DES NOUVELLES DU DOMBASS !

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ERWAN CASTEL  facebook

XAVIER MOREAU

Sur le front vital et brûlant de l'information, après avoir évoqué successivement une agence de presse et un réseau social, j'aborde ici le travail réalisé par Xavier Moreau que j'ai eu le plaisir de rencontrer à Donetsk il y a quelques jours.

 

Xavier Moreau, qui vient de publier un livre sur la crise ukrainienne est devenu de par ses activités professionnelles et sa vie privée entre l'Eurasie et l'Occident, et d'autre part par sa formation initiale sa curiosité naturelle et son amour de la Vérité, un analystes incontournables , offrant une vision des événements servie par la profondeur d'une Histoire épurée des arguties propagandistes.

Ses analyses ne sont pas des visions limitées s’arrêtant aux frontières d'un domaine spécialisé, mais bien un regard transversal mettant en cohérence tous les enjeux, militaires politiques, économiques, sociaux, culturels et cultuels, démographiques etc...d'une crise donnée.

 

De plus Xavier Moreau, sans tomber dans la tentation d'un complotisme sans limite met avant l'existence d'une stratégie globale à travers les connexions, les intérêts communs dévoilés ou simplement des effets de causalité recherchées d'une région à l' autre du monde moderne.

 

Je le remercie de son infatigable et juste travail de réinformation réalisé.

Erwan Castel

http://alawata-rebellion.blogspot.fr/2015/11/les-soldats-de-la-verite-3.html

 


Soutien à la rébellion du Donbass: Les soldats de la Vérité ( 3 )


alawata-rebellion.blogspot.com

SYRIE: LES FORCES RÉGULIÈRES VONT DE VICTOIRES EN VICTOIRES........

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Grâce aux frappes aériennes des Russes, la ville de Kuweires et son aéroport est entre les mains de l’armée régulière Syrienne !!

Près de 200 islamistes auraient perdu la vie dans les combats..


Ces sales cafards avaient enfermé des femmes dans des cages tout autour de leurs positions pour empêcher les Russes de les bombarder...

Quelle honte ! on voit la toute la lâcheté des islamistes qui montrent au grand jour que la femme ne vaut pas plus qu'une merde de chien pour eux !

Bien sur aucun relais dans les journaux télé, ni même dans les journaux de presse écrite !

Précision importante, cela faisait 2 ans, que la coalition américaine tentait (soit disant) de libérer cette ville et son aéroport.. que ceux qui n'ont toujours pas compris le jeu des américains ouvrent enfin les yeux !!

 

 

Cette victoire est très importante car elle ouvre la voie à l'armée syrienne en direction de la plus grande ville de Syrie, Alep, qui se trouve peuplée en majorité de chrétiens.. (dont beaucoup ont été massacré, avec la bienveillance de la Turquie, la France, l'Angleterre et des USA !)

 

Plus que jamais aujourd'hui il faut être fier des Russes car ils sont notre seul et unique rempart contre les barbus !!

 
Photo de Francois Montdemarsan.
 

FRANCE /SYRIE : LA DRÔLE DE GUERRE ! TRIBUNE LIBRE

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Pilonutol    facebook 

Vont suivre les grands bâtiments terroristes comme le « Charles de Gaulle » avec tout ce qu’il y a dedans si on ne modère pas ou change pas le gouvernement.

 

Lisez plutôt :

« Le Charles de Gaulle pris pour cible en Syrie (et pris en faute) dans une guerre déclarée sans le dire »

L’un des hauts commandants de l’armée syrienne, le Général, Mohammad Issa, le Mardi 10 novembre:

« L’annonce faite par la France de faire participer son porte-avions, Charles de Gaule, aux opérations militaires en Syrie, obligera l’armée du pays à prendre directement pour cible ce porte-avions. »

 

S’attardant sur les frappes aériennes françaises en Syrie, Issa a déclaré:

« Ces frappes [du Charles de Gaulle] visent les puits pétroliers syriens et tout cela s’effectue sans l’aval du gouvernement de Damas, ce qui signifie pour nous la violation de notre souveraineté » a-t-il dit.

« La coalition occidentale n’a visé jusqu’à présent aucune position ou camp de Daech ou d’autres groupes terroristes.

De par ses frappes la France cherche à bombarder nos puits pétroliers et à se venger de Damas qui ne lui a pas donné de concessions pétrolières. » a insisté le général syrien Mohammad Issa.

Ces régimes trop indépendants des USA et méfiants vis-à-vis du dollar, qui maintenaient un équilibre pluri-ethnique au grand déplaisir des pays sunnites de la région, qui détenaient une partie, comme la Russie, de la puissance énergétique du monde, devaient disparaître.

Sans le contrôle de l’énergie les USA ne détiennent pas le pouvoir absolu et messianique sur le monde vers lequel ils ne cessent de tendre

En dépit des atermoiements, des chauds et froids, des poignées de mains et des sourires de façade, chaque camp affûte ses armes et resserre ses alliances, nous sommes dans une période incertaine de Drôle de guerre où tout peut arriver.

 

http://www.medias-presse.info/le-charles-de-gaulle-pris-pour-cible-en-syrie-dans-une-guerre-bloc-contre-bloc-aujourdhui-declaree-sans-le-dire/43064


En savoir plus sur http://www.mamafrika.tv/blog/frappes-russes-syrie-hama-hecatombe-chez-le-terroristes-deux-grands-chefs-tues/#5rm9YXhuTIe34cpj.99

PALMYRE BIENTÔT LIBÉRÉ ?

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IRIB-Le ministère russe de la Défense a annoncé que les chasseurs russes ont visé un convoi des véhicules blindés du groupe terroriste Daech au Sud de Palmyre.

 

Le ministère russe de la Défense a annoncé, dans un communiqué, que les avions de combat russes, ont fait au cours des dernières 48 heures, 85 sorties et ont attaqué 277 positions des terroristes dans la banlieue d’Alep, à Damas, Lattaquié, Hama, Homs et Idleb.

Selon ce communiqué les chasseurs russes ont effectué 137 sorties pendant ces trois derniers jours et ont visé 448 positions de Daech.

Le ministre russe de la Défense, le général Igor Konachenkov a annoncé que l’aviation russe a attaqué à Raqqa un dépôt d’armes du groupe Daech, plein de roquettes non-téléguidés.
 
Aux dires d’un responsable militaire russe, les terroristes de Daech auraient utilisé de ces armes pour pilonner les zones résidentielles à Damas.
 
 
 
 

FRAPPES RUSSES EN SYRIE ( ALEP )!

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FRAPPES RUSSES.

 

Syrie (Alep): chute d’Al-Hadher, le bastion du Front al-Nosra et des terroristes

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image: http://www.mamafrika.tv/wp-content/uploads/2015/11/zep.jpg

MamAfrika TV | Par Allain Jules

 

Depuis les bombardements russes en Syrie, les jours se suivent et se ressemblent. L’armée syrienne et le Hezbollah, ainsi que les résistants syriens, ont encore fait, ce jour, d’énormes progrès dans le sud-ouest de la campagne d’Alep. Un fait majeur ce matin: la chute d’Al-Hadher, le bastion du Front al-Nusra dans la région Sud-Ouest d’Alep.

 

Al-Hadher était le principal bastion d’al-Nosra à Alep, région prise aux kurdes par les terroristes. On y trouve des sites militaires et des aéroports. Son effondrement sonne le glas des terroristes dans la région. Est-on vers un effet domino sur d’autres parties du sud-ouest de la province du Nord de la Syrie, c’est à dire Alep ?

Les forces syriennes et leurs alliés ont, entre autres, libérés les villages de Musharfah Al-Murayj, Tal Al-Arba’een, Kherbet al-Mazare, Kherbet Nazha et Kherbet Mshaweh, tous situés dans le sud-ouest de la campagne d’Alep. Ces opérations ont laissé sur le carreau des dizaines de terroristes…

Après l’offensive sur  l’aéroport militaire Kuweires, les choses se précisent comme nous l’indiquions. Les opérations ne sont ralenties que parce que les terroristes qui ont la vie sauve, dans leur fuite, posent des mines. Il est donc amusant de lire la dépêche de l’AFP qui dit tout:

ALERTE – Syrie: les forces du régime s’empare d’un fief des rebelles au sud d’Alep
(©AFP / 12 novembre 2015 13h55)

 

image: http://s.romandie.com/news/nbread.php?news=648042

Si c’est le fief des rebelles, alors, les choses sont de plus en plus claires: rebelles = terroristes.


En savoir plus sur http://www.mamafrika.tv/blog/frappes-russes-syrie-alep-chute-dal-hadher-le-bastion-du-front-al-nosra-et-des-terroristes/#d067ecIXSEqS879f.99

DOSSIER: CES FRANCAIS PARTIS EN IRAK .....;

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"Je rentrerai en France quand on en aura fini avec l’Etat islamique"

 

"Je rentrerai en France quand on en aura fini avec l’Etat islamique"
Hannibal, 25 ans, engagé en Irak contre l'Etat islamique. © DR

De plus en plus de Français s’engagent en Irak pour combattre l’Etat islamique au sein de la Légion Française Assyrienne, comme Hannibal qui témoigne en exclusivité pour Europe 1.

 

 

DOCUMENT EUROPE 1 - Réticent à l'idée d'être présenté comme un héros, il aura mis du temps à accepter de nous confier son témoignage.

 

Originaire des Pyrénées-Orientales et âgé de 25 ans, celui qui se fait appeler Hannibal est en Irak depuis deux mois.

 

Son objectif : combattre l'Etat islamique. Cet ancien sapeur-pompier a tout quitté, sa famille et ses amis, vendu ses biens, pour se retrouver en zone de guerre. 

 

 

"Ne pas rester les bras croisés". Hannibal appartient à l'AFL pour Assyrian French Legion (Légion Française Assyrienne), un groupe composé essentiellement d’ex-militaires qui travaille avec les Peshmergas kurdes et les milices chrétiennes.

En septembre, Hannibal fait partie des premiers Français du groupe à poser le pied sur le sol irakien.

Sa motivation est simple : "c’est important de le faire, de ne pas rester en France et de regarder les bras croisés (ce qui s'y passe)". Hannibal prépare son voyage pendant sept mois et n’a d’autre choix que de s’auto-financer :

"j'ai tout vendu, que ce soit mes meubles, mes affaires, mon véhicule… J’ai tout quitté en France pour venir ici".

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Hannibal lors d'une patrouille dans la tourelle du véhicule. Crédit : DR


"L'Etat islamique en visuel tous les matins et tous les soirs".

En deux mois, Hannibal a été trois fois sur la ligne de front. Avec ses compagnons irakiens chrétiens et les autres engagés occidentaux, il occupe une caserne "à 600 mètres de la ligne de front". "

On a l'Etat islamique en visuel, tous les matins et tous les soirs, on reçoit des tirs de mortiers, des tirs de missiles russes en permanence".

Le jeune homme donne aussi une vision plus précise des combats qui se jouent dans la région. "Les combats ici, c’est vraiment des lignes fixes, c’est pas des combats de villes entre villes, c’est deux villages qui s’affrontent.

 

Entre chaque village, il y a entre 1 kilomètre et 600 mètres de distance, c’est des tranchées tout le long".

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Une maison pillée par Daesh avant que l'armée irakienne ne chasse les djihadistes. Crédit : DR


La coalition ? "C’est pas grâce à eux que la guerre sera gagnée".

Hannibal a l’occasion de voir très souvent les djihadistes de l’Etat islamique : "ils viennent, ils tirent quelques missiles et puis ils s’en vont, ils n'osent pas venir au contact".

"C'est très loin des vidéos de propagande sur Internet", poursuit-il, avant d’ajouter : "il y a largement moyen de les vaincre".

Mais pour Hannibal, la reconquête de l’Irak et de la Syrie, ne viendra pas des frappes de la coalition.

"C’est pas grâce à eux que la guerre sera gagnée", assène-t-il, avant d’expliquer que les frappes sont très insuffisantes.

"Dans une soirée il y a peut-être une cinquantaine d’avions qui vous passent au-dessus et qui ne font rien".

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Un mortier russe encore intact. Crédit : DR


"Je suis venu pour rester jusqu’au bout".

Dans ce contexte, difficile pour Hannibal de communiquer régulièrement avec ses proches mais explique-t-il, "je suis issu d’une famille de militaires et de pompiers donc ils comprennent, ils savent pourquoi je suis là".

 

"Après, poursuit-il, "ils approuvent sans approuver car ils ont peur qu’il m’arrive quelque chose". Lui-même ne leur raconte pas tout : "on ne peut pas dire à sa famille : 'aujourd’hui, j’ai reçu un mortier à 10 mètres de moi'".

Pour autant, Hannibal n’a pas de date de retour. "Je suis venu pour rester jusqu’au bout".

Il conclut : "quand on en aura fini avec l’Etat islamique, à ce moment-là, je rentrerai en France".

 

 

En décembre, Hannibal devrait être rejoint par d’autres Français qui sont entraînés en ce moment par Philippe, l’un des chefs de l’organisation.

 

Il confie à Europe 1 avoir en ce moment "un réservoir potentiel énorme de gens de qualité prêts avec un budget plus ou moins important que nous allons essayer d’aider".

 

Le groupe a ainsi mis en ligne une cagnotte Letchi pour aider les volontaires à financer leur voyage.

 

 

D’ici janvier, Philippe espère que ces hommes qu’il entraîne partout en France iront rejoindre la petite dizaine de combattants sur le terrain, comme Hannibal.

 

Selon ses estimations, ils devraient être alors quatre fois plus.

 

 

AIDE AUX CHRÉTIENS D' ORIENT ET AUX FRENCH LEGION !

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Aide aux Chretiens d'Orient

 

Bonjour a tous, nous avons besoin de vous et vos dons pour aidé les chretiens d'orient opprimé .

Vos dons servirons a équipé des volontaires francais au départ et pas que :nourriture, medicaments, matériel medical, matériel de vision jumelle nocturne , de vue, de visé etc...

Tous cela coute chère est n'avons pas les moyens car nous finançons nous même notre départ en laissant famille, femme et enfants derrière nous.

Assyrian/French Legion vous remercie de votre gentillesse. 

 

  • Chacun participe du montant qu'il souhaite.
  • Tous les paiements sont sécurisés

 

Merci à tous

L' ISLAM ET LES NARCO-JIHADISTES ???

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13 NOVEMBRE 2015  GAÏAISLAM

Quand les Narco-jihadistes souillent les symboles vestimentaire de l’Islam :

Quelles conséquences sur le port du «Hijab» et de la «Burqa» au Sénégal ?

Quelle que soit la modestie de sa culture religieuse, tout musulman sait que la plus grande déconvenue – du moins en apparence – que le Prophète Mouhamed (psl) ait eu à subir fut son exil forcé de la Mecque vers Médine, à l’entame de sa mission prophétique.

Lorsque, douze ans plus tard, il reçut commandement divin de retourner à la Mecque, il se heurta aux Païens qui lui posèrent un certain nombre de conditions, consignées dans le fameux «Pacte de Hudaybiya», que certains de ces partisans n’hésitèrent pas à considérer comme une humiliation, et où il dû accepter, stratégiquement, de faire un certain nombre de concessions.

L’on notera surtout que dans l’acceptation de ces concessions (et non des « reniements »), le Prophète était allé jusqu’à satisfaire une exigence qui tenait à cœur ses protagonistes – qui ne lui reconnaissaient pas son statut de Messager d’Allah : il dû signer, en lieu et place de «Mouhamad rassouloulah» (Mouhamed envoyé de Dieu), «Mouhamed ibn Abdallah» (Mouhamed fils de Abdallah). Son objectif majeur étant de reprendre pied à la Mecque, d’entrer dans la Kaaba, pour y détruire les 360 idoles de cette localité où le paganisme régnait en maître absolu, en ces âges obscures. Non seulement, grâce à ce stratagème, il y réussit admirablement, mais cela s’avéra sans préjudice aucun à la bonne poursuite de sa mission prophétique qui, bien au contraire, fut couronnée de succès, avec aujourd’hui pas moins de 1,6 milliards de musulmans, répartis dans les 57 pays de l’OCI. Et au-delà !

Une religion digne de ce nom n’opère pas par contrainte. On ne force pas quelqu’un à embrasser l’Islam, Religion de Tolérance, de Fraternité et de Paix par excellence. On y entre par conviction. « Laa ikhraaha fiddiin » (Il n’y a pas de contrainte en religion), nous rappelle la sourate 2, «Al Bakhara», verset 256. Cette prêche retrouve d’ailleurs toute la plénitude de son sens dans la sourate 14, «Abrahm», verset 44 où le Seigneur magnifie la «Da’wa», qui désigne l’invite faite par Dieu et Son Prophète aux non-musulmans à s’ouvrir au message de l’Islam.

C’est l’approche de prédilection prônée pour appeler pacifiquement les gens à la religion musulmane et à professer ce serment d’allégeance qu’est la «Shahada», qui donne l’occasion à l’aspirant d’attester qu’«Il n’y a de Dieu qu’Allah et que Mouhamed et Son Messager».

Celui-ci, grand pédagogue, se donnant lui-même en exemple dans ses enseignements, tolérait dans la métropole religieuse de Médine la présence de juifs et de païens, alors identifiés sous le vocable de «Ahlou dhimma», désignant cette communauté non-musulmane liée à la Cité-Etat de Médine par un «pacte de protection», leur assurant sécurité physique ainsi que celle de leurs biens.

De nos jours, 1.400 ans après l’avènement du Prophète (psl), les ennemis modernes de l’Islam semblent adopter une stratégie plus pernicieuse que celle des «Qureich» d’antan, pourfendeurs devant l’Eternel de cette sublime religion, qui ne comptait alors pas plus de 40 adeptes ! Les «Qureich» contemporains ont réussi à mettre en œuvre une subtile stratégie de diabolisation de l’Islam : l’infiltration. Ils se réclament des nôtres et prônent un extrémisme religieux violent et sanguinaire, exercé indifféremment sur des non-musulmans comme sur des musulmans!

Ces nouveaux «Qureich» – dont les ancêtres avaient proposé en vain au Messager d’Allah argent, pouvoir, femme, s’il renonçait à sa mission – entreprennent aujourd’hui d’utiliser les symboles vestimentaires de l’Islam, notamment la «Burqa» (voile intégral), pour dissimuler des ceintures d’explosifs en vue de commettre des meurtres de masse… au nom de l’Islam !

Depuis le début de l’année, il se passe rarement un mois sans que la presse ne se fasse l’écho des exploits de ces «mantes religieuses», porteuses d’engins de mort, dissimulés dans des «Burqa», pour mieux se fondre dans les foules des marchés et autres places publiques afin d’y tuer le maximum d’innocents.

Toujours au nom de l’Islam. Après le Nigéria, qui pleurent toujours ses 17.000 morts, à l’actif de la secte islamo-fanatique de Boko Haram, c’est présentement au tour du Cameroun et du Tchad de souffrir de ce douloureux calvaire infligés par ces «tueuses à la Burqa».

Le port du voile est loin d’être une fantaisie vestimentaire. C’est un commandement religieux que le Tout-Puissant a expressément prescrit dans le Livre Saint : «Ô Prophète, dis à tes épouses, à tes filles et aux femmes des croyants de ramener sur elles leurs grands voiles : Elles en seront plus vite reconnues et éviteront d’être offensées. Allah est Pardonneur et Miséricordieux» (Sourate «Al Ahzâb», Les Coalisés, verset 59).

Après avoir rendu un hommage mérité à nos vaillantes sœurs qui se sont toujours attachées au respect de ce commandement divin, il convient de les inviter à s’inspirer du Référentiel de tout Musulman, Seydina Mouhamed (psl) qui, au besoin, usait volontiers de stratégies pour déjouer les plans des ennemis de l’Islam.

Ainsi, à l’instar du Prophète (psl), et face aux multiples agressions/usurpations dont l’Islam est présentement l’objet, nos sœurs musulmanes seraient bien inspirées, dans le droit fil de la posture du chef de l’Etat M. Macky Sall, de renoncer provisoirement à leurs «Burqa», pour se confiner dans le port du «Hijab» (qui n’a pas moins de mérite). Ce qui coupera radicalement l’herbe sous les pieds à ceux ou celles qui, lâchement camouflé(es) sous ce symbole religieux vestimentaire, tuent et versent du sang innocent, au nom de l’Islam!

Et le chef de l’Etat ne perdrait assurément rien au change s’il associait sans délai à la réflexion les autorités religieuses du pays, notamment les Oulémas et les Khalifes généraux, afin de s’entourer de meilleures garanties consensuelles concernant cette importante décision, qui s’avère certes un mal nécessaire mais touchant un symbole religieux.

http://www.dakaractu.com/QUAND-LES-NARCO-JIHADISTES-SOUILLENT-LES-SYMBOLES-VESTIMENTAIRES-DE-L-ISLAM-Quelles-consequences-sur-le-port-du-Hijab-et_a100644.html

© Gaïa pour www.Dreuz.info

COMMUNIQUÉ DU PARTI DE LA FRANCE !

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Le Parti de la France

 

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Samedi 14 Novembre 201514:29


LA TUERIE, LE DRAME, LE DEUIL… ET MAINTENANT, QUE FAIT-ON ?


Les tueurs islamistes viennent de frapper une fois de plus et sauvagement la France et les Français. Ce n’est pas la première fois et ce ne sera malheureusement pas la dernière.

 

Carl Lang et le Parti de la France adressent tout d’abord leurs condoléances, leur soutien et leur affection aux familles des victimes de cette tuerie et font part de leur tristesse et de leur colère.


La tristesse devant le prix du sang payé par les victimes et la colère à l’égard d’un pouvoir politique au mieux irresponsable, sourd et aveugle et au pire responsable d’une politique ayant facilité et permis cette tuerie.
Le Parti de la France ne cesse d’alerter l’opinion et de mettre en garde les Français sur la véritable nature de ces actions terroristes : Il s’agit clairement d’un processus de guerre révolutionnaire, d’une guerre politique, psychologique et religieuse, d’une guerre totale dont l’objectif final est l’établissement d’un califat mondial et d’un ordre islamique basé sur la charia.


Il s’agit d’une guerre de domination et de conquête menée par une internationale révolutionnaire islamique pour laquelle le terrorisme est un instrument d’action classique au service d’un projet politique et religieux.
La colonisation migratoire de peuplement qui submerge la France, idéologiquement et politiquement organisée par la gauche française depuis plus de trente ans, permet aujourd’hui aux organisations révolutionnaires islamistes de recruter, de former et d’armer des militants djihadistes qui se déplacent et agissent en France comme des poissons dans l’eau et, pour certains, partent faire le djihad en Syrie, en Irak ou ailleurs.


Dans le même temps la bien pensance de gauche, les donneurs de leçons de morale républicaine et droit de l’hommiste, de citoyenneté du monde ouverte à l’étranger et à l’islam ainsi que les extrémistes du droit des minorités étrangères en France n’ont cesse de réduire les moyens de nos forces armées et de nos forces de sécurité intérieure de police et de gendarmerie.

 

La victime habituelle et expiatoire des budgets de l’Etat socialiste est toujours de budget de la défense nationale.
Le Parti de la France a alerté aussi l’opinion sur les risques des déclarations guerrières et tonitruantes de messieurs Hollande et Valls annonçant l’engagement des six avions rafale francais en Syrie et indiquant que la France faisait la guerre au terrorisme.
Il se trouve que dans le même temps la diplomatie francaise n’a cesse d’agir contre le gouvernement légal syrien et de demander le départ de Bachar El Assad dont l’armée est pourtant la seule à combattre au sol les milices internationales de l’Etat islamique.

 

Il se trouve aussi que la diplomatie française ne cesse de s’opposer à la politique étrangère russe qui soutient militairement le gouvernement Syrien et que la gauche française est bien plus hostile aujourd’hui à Vladimir Poutine qu’elle ne l’était en son temps à l’égard de la dictature soviétique et du camarade Staline. Où est donc l’intérêt de la France et des Français dans tout cela ?


Ce n’est pas la première fois dans notre histoire contemporaine que des politiciens démagogues et irresponsables déclarent des guerres sans avoir donné à la France et à son armée les moyens de les mener et de les gagner...


Le Parti de la France adresse à nos forces armées et à nos forces de police et de gendarmerie un message de soutien, de confiance et de solidarité nationale au moment où elles sont en première ligne pour assurer la sécurité intérieure de notre pays alors qu’elles ne disposent, du fait d’un pouvoir politique irresponsable, ni des moyens ni des effectifs suffisants.


Le temps est venu d’en finir avec des politiques qui menacent la France, l’affaiblissent, la détruisent de l’intérieur et brisent l’identité et l’unité nationales.


Une nouvelle fois nous réclamons l’inversion du courant migratoire, la mise en oeuvre du patriotisme social, la préférence nationale, le rétablissement du contrôle aux frontières nationales, la création dans les délais les plus brefs d’une garde nationale permettant à des dizaines de milliers de jeunes Français de participer à l’effort de sécurité intérieure, des moyens décuplés affectés à nos services de renseignement ainsi que plus de pouvoir à notre police avec notamment une réforme urgente de la législation sur la légitime défense afin que nos forces de police puissent agir plus sereinement et plus efficacement.

 


Enfin, une coopération diplomatique et politique active avec la Russie et le gouvernement légal syrien sont, plus que jamais, une nécessité et un devoir pour contrer les assassins fanatiques de l’Etat islamique et des groupes islamistes qui pulullent en Europe et dans le monde.

 


Pour nos libertés et notre sécurité, nous devons reprendre notre destin en mains.
Carl LANG

14/11/2015

Directeur de la publication : Carl Lang
Le Parti de la France. 6 Allée des Templiers.
F78860 Saint Nom La Bretèche

COMITÉ DE SOUTIEN À MAGALIE .....

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> BONJOUR A TOUTES & A TOUS

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> « Ce courrier est un appel à votre générosité patriotique. »

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> Lors de la réunion FN du 23 juin 2015 à Vannes en Morbihan ,une de nos candidates, Magali Gambert ,a été victime d'une sévère agression par le nouveau secrétaire adjoint en la personne de Franck Leroy ,agissant selon ses dires, et devant témoins sous les ordres du nouveau secrétaire départemental : Bertrand Iragne ,tête de liste pour les prochaines élections !

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> Origine de l'agression ?: Le soit disant non encartage de Magali Gambert qui est, bien sur, adhérente sociétaire FN antérieurement à cette agression .

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> La victime,consécutivement à une « clef de bras « a été gravement blessée à l'épaule occasionnant un endommagement des tendons supra épineux et de l'acromion ,écope, pour le moment de 138 jours d'ITT ( 172 jours fixés ).

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> Tous les traitements médicaux dispensés se sont hélas, révélés infructueux face aux douleurs :

> ( traitements oraux , infiltrations ), Magali Gambert se trouve dans l'obligation de subir une intervention chirurgicale sous anesthésie générale le 11 janvier 2016.

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> Absents aux moments des faits, Messieurs Gilles Pennelle ( tête de liste région Bretagne ) et Nicolas Bay inauguraient la permanence de la Fédération du Morbihan, et à leurs arrivées dans la salle ont été immédiatement informés de l'agression. La soirée se déroulant,plusieurs sympathisant(e)s,choqué(e)s,n'ont pas manqué(e)s de les interpeller sur la gravité des faits , mais ont décidés de l'occulter.

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> Qui est M Leroy ? Ex militaire spécialisé dans l'art de combattre ( circonstance aggravante ) ami intime et compagnon d'armes de M Iragne ex militaire nullement inquiété par Nanterre.

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> Bertrand iragne ? Idem ! Mieux que çà ! Bertrand Iragne,à l'issue de cette agression qu'il aurait commandité ( Dixit Franck leroy devant plusieurs témoins) a été promu tête de liste FN du Morbihan aux régionales !

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> Une tête de liste irréprochable ? NON !

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> Opportuniste , déchu de l'UMP, à peine deux années d 'encartage, impliqué dans diverses agressions à autrui , donc récidiviste, de plus sa présentation sur le site de campagne est mensongère ,à commencer par sa profession de chef d'entreprise alors que le bilan de sa société a été déposé juste avant les dernières élections, Bertrand Iragne ne pouvait se constituer mandataire financier lors des départementales .Une Fédération ,depuis qu'il la dirige devenue en quelques mois bancale et divisée : démission du nouveau trésorier laissant la chaise vide, difficultés pour trouver des responsables de circonscriptions, les départs impromptus de nombreux adhérents ,entre autres : Mad Arlette Piriou conseillère municipale de lorient , laquelle fut menacée par Bertrand Iragne.

> Et la démission du maire adjoint de Gourin, M Jean luc Calminovici ,etc …

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> A l'évidence, Bertrand Iragne ne fédère pas ,mais divise…

> Bertrand Iragne ne demande pas : il ordonne !

> Incontrôlable lors de ses colères redondantes il n'hésite pas à lancer un téléphone sensé atteindre la personne (un adhérent) qui l'agace !

> Bertrand Iragne, lors d'une réunion au « café de la mairie « à Vannes insulte les adhérent(e)s en les comparant à « des chèvres » et plus récemment lors d'une journée de manifestation à Ploermel mégaphone en main, il aura l'audace d adresser un « les gauchos au poteau » ! devant un parterre de monde issu de tous partis confondus et devant des journalistes médusés qui n ont pas manqué de relater cette invective dans leurs articles.

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> Gesticulateur au conseil municipal de Vannes il est la risée de nos représentants et là également de nombreuses parutions en font foi.

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> Nous sommes excédés par le comportement de ces personnes ( protégées ? ) qui sont sensées nous représenter sur les listes électorales.

> Des personnes sans potentiels, aux dents trop longues que seul la soif du pouvoir anime, des futur(e)s candidat(e)s pour lesquels il nous est impossible de voter tant leurs comportements et leurs modes de vies sont aux antipodes des nôtres.

> Des barbouzes qui pour leurs besoins alimentaires sont prêts à tout,piétinant les candidat(e)s, les adhérent(e)s, pouvant leur faire l'once d'une ombre !

> Des candidat(e)s qui ne représentes en rien les valeurs du Front national !

> Quel parti peut cautionner ce genre d'agissements ?

> Quel parti se rendra complice de l'agression d'une femme quadragénaire qui a servi de son mieux durant la campagne et les élections départementales en se positionnant candidate dans le seul quartier sensible de Vannes ?

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> Quel remerciement !

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> Et nous autres, ses collègues, ses ami(e)s, nous serions prêts à mettre dans l'urne des bulletins qui permettraient à des voyous de siéger au Parlement de Bretagne ?

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> IMPOSSIBLE !!

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> Nous sommes adhérent(e)s et ancien(nes) candidat(e)s et à ce titre nous aimons notre parti ,

> Nous sommes nombreux et tous, nous voulons la victoire de Mad Marine Le Pen et autant que faire se peut! Nous ferons tout pour que cette victoire soit accessible et méritée mais les agissements qui viennent d'être évoqués révèlent des comportements despotes pour ne pas dire totalitaires qui sèment le chaos et une grande confusion.

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>

> Nos élus et nos futur(e)s élu(e)s se doivent être dignes, crédibles, et irréprochables, notamment les têtes de liste !

> Notre justice fera que Betrand Iragne (et peut être d'autres) soient rendus inéligibles à court terme !

> Quelle image, quelle publicité médiatique pour notre parti !

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> Nous sommes persuadés que Mad Marine Le Pen n'est en aucun cas informée de l'agression de Magali Gambert parce que, en tant que femme elle ne pourrait tolérer qu'une candidate lui portant admiration et dévouement se fasse lyncher en public.

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> Aujourd'hui , Magali Gambert rencontre des difficultés financières puisqu'elle est dans l'incapacité d'exercer sa profession libérale et avant qu'elle n'en retrouve la possibilité, un temps considérable se sera écoulé : intervention chirurgicale ,convalescence, rééducation .

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> Vivant seule avec deux enfants, son quotidien devient très délicat. Il faut agir !

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> Bien évidement la justice est saisie…. Mais en attendant que les auteurs soient condamnés ….

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> Nanterre semble se désolidariser sciemment de cette lamentable affaire . Pourquoi ?

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> Toute fédération se devant de contracter une assurance en vue de l'organisation de réunion ou rassemblement de personnes, nous n'avons à ce jour aucunement été contactés par la fédération du 56...On comprend pourquoi !

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> Toutes les personnes scandalisées par l'inertie et le manque d'empathie se sont réunies et ont créé « le comité de soutien A Magali ».

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> Pour Info : des dons morbihannais nous sont déjà parvenus et ont permis à Magali de faire l'avance d'une part des frais médicaux et d'avocat mais l'effort n'est pas suffisant ..

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> Nous vous en appelons à votre Générosité…

> Toutes marques de sympathie, de soutien et autres sauront bien immanquablement lui remonter le moral…

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> MERCI à TOUTES et à TOUS !

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Délégué du « comité de soutien pour Magalie »

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Monsieur Alain Lyon

Graneguy

56250 Sulniac

EUROPE 1 : INTERVIEW DE BACHAR AL ASSAD !

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EXCLUSIF - Ses prises de parole sont rares mais, samedi, Bachar El-Assad a souhaité réagir en exclusivité au micro d'Europe 1 sur les attentats qui endeuillent la France depuis vendredi soir.

 

Le président syrien venait de recevoir une délégation d'élus Français, à qui il a présenté ses condoléances pour les 128 personnes qui ont trouvé la mortà Paris, frappées dans des attaques coordonnées.

 

"Ne prenez pas ce qui se passe en Syrie à la légère". 

Pour Bachar El-Assad, ce qui vient de se produire dans notre pays était prévisible. "On n'a pas d'informations sur ce qu'il s'est passé, mais la question n'est pas de savoir qui ! On avait averti sur ce qui allait se passer en Europe, il y a trois ans.

 

On avait dit : "Ne prenez pas ce qui se passe en Syrie à la légère, ça va être comme un tremblement de terre qui va se répandre autour du monde".

Malheureusement, les responsables européens n'ont pas écouté ce que nous disions ! Ils ont pensé que nous les menacions !", déclare le président syrien.

 

"Faire des déclarations ne sert à rien !" Dans la suite de sa déclaration, Bachar El-Assad critique l'action de François Hollande et Manuel Valls qui, selon lui, n'ont "pas appris de ce qui s'est passé" lors des attentats de Charlie Hebdo en janvier dernier.

Selon le leader syrien, les dirigeants français se contentent de parler, sans agir.

"Faire seulement des déclarations contre le terrorisme ne sert à rien : il faut le combattre et mettre en place les bonnes politiques", réclame celui qui est à la tête de la Syrie depuis quinze ans. 

 

Bachar El-Assad se dit prêt à coopérer, mais en échange de "sérieux" et de volonté active de la part des Français. "Ils n'ont pas besoin de le demander ! Il faut seulement être sérieux ! Là, nous sommes prêts à combattre le terrorisme avec eux, avec ceux qui le veulent vraiment !", fait savoir Bachar, qui conclut : "jusqu'ici le gouvernement français n'est pas sérieux."

 

"Travaillez dans l'intérêt de votre peuple !" Dans la suite de l'entretien, Bachar El-Assad adresse, à la demande du journaliste, un message à François Hollande.

Bachar El-Assad, honni par l'Occident, considéré comme responsable de la guerre en Syrie, appelle François Hollandeà "travailler dans l'intérêt du peuple" français.

"La question que se pose tout Français aujourd'hui, c'est : Est-ce que la politique de la France depuis cinq ans était bonne pour les Français ?

La réponse est non !", poursuit Bachar, qui appelle dans la foulée François Hollande à revoir ses positions.

"Veut-il agir dans l'intérêt de la France ? S'il veut faire ça, il doit changer de politique."

 

Quant à la question d'une coopération avec le gouvernement et les services secrets tricolores, Bachar El-Assad met dans la balance une condition sine qua non : la coopération politique.

"On ne peut pas faire de la coopération des services secrets sans coopération politique !

On ne peut pas affronter le terrorisme avec le renseignement quand, dans le même temps, les politiques du même gouvernement ne nous soutiennent pas." 

 

Source: Europe1.fr


DOSSIER ATTENTATS: APRÈS L' ÉMOTION ! QUI SONT LE COUPABLES ? TRIBUNE LIBRE !

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Attaques terroristes à Paris : après l’émotion, dénonçons TOUS les coupables


Bachar al-Assad sur les attaques terroristes à Paris : la France récolte ce qu'elle a semé (VOSTFR)

 

Hassan Nasrallah : le Hezbollah condamne les attaques terroristes à Paris (VOSTFR)

 

 

 

Attaques terroristes à Paris : après l’émotion, dénonçons TOUS les coupables

 

 

Condoléances et solidarité avec toutes les victimes de la barbarie terroriste, quelle que soit leur nationalité (une vie égale une vie, même si celle du concitoyen touche naturellement plus), quel que soit son visage, depuis 13 ans (invasion de l’Irak) et bien plus et pas seulement depuis le 13 novembre : Syrie, Irak, Afghanistan, Pakistan, Yémen, Palestine, Libye, Nigeria, etc., etc., jusqu’à Beyrouth et Paris, les morts innocents se comptent en centaines de milliers et même en millions.

 

Condamnation de tous les terroristes, de tous leurs alliés, de tous leurs soutiens, en particulier les gouvernements, contre lesquels une justice « impitoyable » devrait effectivement être exercée (sans oublier leurs médias apologistes) : USA, UK, Israël, France, Arabie Saoudite, Turquie, Qatar... Rappelons que Laurent Fabius déclarait à propos d’Al-Nosra, branche d’Al-Qaïda, qu’ils « font du bon boulot en Syrie », et que François Hollande a reconnu armer les « égorgeurs modérés » de l’opposition anti-Assad. Ces attaques sont la conséquence directe, prévisible et prévue de longue date de leur politique irresponsable, criminelle et apatride qui a suivi les pas de Nicolas Sarkozy en Libye.

 

Rejet de tout amalgame : ces attentats ne sont pas le fait de l’Islam ni même de l’ « islamisme » mais du Wahhabisme, doctrine fanatique et hérétique dont le monde islamique avait emprisonné et ostracisé le précurseur, Ibn Taymiyya, mais que l’Occident a installée en Arabie Saoudite pour contrôler le Moyen-Orient et ses ressources, permettant son enracinement et son exportation. Les musulmans constituent plus de 90% des victimes de cette idéologie destructrice à laquelle les bombes « démocratistes » et « républicanistes » américaines ont rouvert la voie depuis 2003.

 

Soutien aux Etats et forces combattant authentiquement le terrorisme de Daech et autres : Armée Arabe Syrienne, Hezbollah, Iran, Russie, forces irakiennes, armée et résistance yéménite, etc., à qui il convient de rendre honneur, car ils combattent pour leur liberté et pour leur sécurité mais également pour la nôtre. Donnons-leur longuement la parole, après un rappel nécessaire, hélas, en cette France post-9 janvier qui ne peut devenir que plus schizophrénique et liberticide : « Je ne suis pas Charlie ».

 

Salah Lamrani

 

 

 

 

 

 

 

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Bachar Al-Assad, Président de la République Arabe Syrienne,

 

« Nous nous sommes opposés à l’invasion de l’Irak parce que nous l’avons considérée comme le début de la division et du sectarisme. Notre position était due à une préoccupation réelle vis-à-vis d’une situation dangereuse qui, nous en étions convaincus, en résulterait inévitablement. Aujourd’hui, nous pouvons voir qu’elle est devenue une réalité et nous sommes ceux qui en paient le prix élevé. Nous avons également mis en garde, dès le début, tous nos interlocuteurs quant au fait que ce qui se passait ne s’arrêterait pas aux frontières de la Syrie mais se propagerait, parce que le terrorisme ne reconnaît pas les frontières nationales. On m’avait alors accusé de menacer la communauté internationale.


Ce que nous voyons aujourd’hui en Irak, au Liban, en Syrie et dans tous les pays qui ont été frappés par le virus du faux « Printemps » (arabe) ne constitue-t-il pas des preuves tangibles de la crédibilité de nos avertissements répétés ? Bientôt, nous verrons les pays arabes et régionaux qui ont soutenu le terrorisme payer eux aussi un prix douloureux. Beaucoup d’entre eux vont comprendre, mais trop tard, que les batailles livrées par le peuple syrien pour la défense de sa patrie transcende nos frontières nationales. Cette lutte est en réalité une défense de nombreuses autres nations qui, tôt ou tard, vont souffrir du même terrorisme, que ce soit du manque de clairvoyance de leurs dirigeants et de leur ignorance absolue des véritables intérêts de leurs nations, ou en raison de leur manque de compréhension de notre région et de bienséance dans leurs interactions avec ses peuples.


La question qu’il faut poser est celle-ci : si l’Occident et leurs alliés ne tirent les leçons des erreurs de leurs expériences passées qu’une fois qu’il est trop tard, allons-nous aussi attendre qu’il soit trop retard dans notre compréhension des événements et des problématiques qui nous concernent dans notre région ? Fallait-il d’attendre trois ans et de payer pour le manque de clairvoyance de certains, en sacrifiant le sang de nos enfants, nos vies, notre économie, notre sécurité et notre réputation afin de nous rendre compte que ce qui se passait était en fait un complot contre notre patrie, et non le soi-disant « Printemps » de la liberté ou de la démocratie ? Fallait-il payer un prix si élevé, et continuer encore à le faire, afin que ces gens se rendent compte que la conséquence de leur ignorance est que nous avons maintenant des incubateurs pour le terrorisme et un tremplin pour l’agression ? Fallait-il attendre douze ans pour comprendre que l’invasion de l’Irak n’apporterait que le terrorisme et la division dans notre région ? (Discours d’investiture, 16 juillet 2014) [...]


Je répète [que l’Occident et leurs alliés au Moyen-Orient qui soutiennent le terrorisme] n’en ont pas tiré la leçon, pas plus qu’ils n’ont réagi au nom de valeurs morales. C’est pourquoi je dis que ces évolutions ne sont pas fiables et que tant qu’ils auront deux poids deux mesures, nous considérerons que ces évolutions sont temporaires et ne pourrons pas compter sur eux. Ils sont susceptibles de revenir vers leurs politiques colonisatrices et soutenir le terrorisme à n’importe quel moment, en mesure de l’évolution de leur situation interne et électorale.

 

Et, alors que ces dernières années c’était notre région qui était censée exporter le terrorisme au monde et à l’Occident, aujourd’hui c’est l’Occident qui est devenu son incubateur et son exportateur vers notre région. Ceci, en plus de tous les autres incubateurs déjà présents au Moyen-Orient, notamment dans les pays du Golfe, et des pays entrés plus récemment en scène, tels la Tunisie et la Libye, depuis les événements de 2010-2011 ; tous ces incubateurs ayant commencé à interagir et à exporter le terrorisme partout ailleurs.

 

Pourtant, nous leur avons expliqué à maintes reprises, avant et pendant l’agression contre la Syrie, que le terrorisme ne connaît pas de frontières et ne recule pas devant les déclarations et les dénonciations. Nous les avons prévenus qu’on ne peut l’arrêter par des guerres ni l’éliminer par des avions, comme procède leur coalition d’aujourd’hui.

 

Le terrorisme est une pensée malade, une doctrine pervertie, une pratique déviante qui est née et qui a grandi dans un environnement d’ignorance et d’arriération, auxquelles se sont ajoutés le mépris du droit des peuples et les privations. Ce n’est un secret pour personne que le colonialisme a jeté les bases de tous ces facteurs réunis, les a enracinés, et continue à y contribuer. Comment est-il possible que celui qui a semé les graines du terrorisme veuille le combattre ?

 

Celui qui veut combattre le terrorisme doit appliquer des politiques rationnelles, fondées sur la justice et le respect de la volonté des peuples de décider de leur avenir, de gérer leurs affaires et de récupérer leurs droits ; fondées sur la diffusion de la connaissance et la lutte contre l’ignorance, sur l’optimisation de l’économie, l’éducation de la société et son développement.

 

Quant à la guerre militaire contre le terrorisme, elle est telle la cautérisation, le dernier des remèdes. Et si jamais elle devient inévitable pour la défense de la patrie, elle ne peut en aucun cas remplacer les politiques visant à cerner et à éradiquer les facteurs favorisant sa naissance et son développement, ni se contenter de lui limer les ongles, comme ils font, car ils repousseront plus durs et plus meurtriers. Mais, ils n’avaient pas prévu que le terrorisme frapperait au cœur du continent européen, et plus précisément à l’Ouest [la France], car leur courte vue leur a fait croire qu’ils resteraient à distance de ses étincelles volant d’un endroit à un autre, brûlant des pays entiers de notre monde arabe et du Moyen-Orient fondamentalement déstabilisés.

 

Ce qui n’implique pas qu’ils en aient tiré les leçons, car leur comportement face à ce phénomène est toujours aussi hypocrite. Il s’agit de terrorisme quand il les frappe, mais de révolution, de liberté, de démocratie et de droits humains, quand il nous frappe. Ses auteurs sont des terroristes chez eux, mais des révolutionnaires et des opposants modérés chez nous. Ils emplissent le monde de leurs cris quand ils sont piqués par une étincelle, mais adoptent le silence des tombes quand nous brûlons de son feu… Maintenant, s’ils se mettaient à déclarer que les révolutionnaires qu’ils ont soutenus ne sont que des terroristes et que leur prétendue opposition syrienne est un ramassis de petits agents qui n’ont rien à voir avec la quête de la liberté ; ou à l’inverse, s’ils permettaient aux opposants de leurs pays de prendre les armes, de tuer et de détruire, en continuant à les ranger dans l’opposition nationale, s’ils acceptaient que leur opposition travaille pour l’étranger ; s’ils toléraient que des États étrangers décident de leur système de gouvernement et de leur dirigeant ; nous croirons alors que leurs normes sont devenues fixes et impartiales. Nous croirons alors que l’Europe occidentale ou que l’Occident a changé. Alors, nous accepterons les vieilles recettes qu’ils ont toujours utilisées pour justifier toutes leurs agressions et ingérences dans les Affaires des États sous de nobles prétextes, tels les droits de l’homme, la liberté, la démocratie.

 

Le comble de l’hypocrisie est qu’ils prétendent combattre le monstre qu’ils ont créé mais qu’ils ne peuvent plus contrôler, alors que leur objectif est juste de le dompter. Leurs campagnes militaires, politiques et médiatiques, ne sont destinées qu’à jeter de la poudre aux yeux et n’ont abouti qu’à développer le terrorisme au lieu de l’éliminer. C’est une réalité confirmée par les faits, non le résultat de mon analyse. Le territoire du terrorisme s’est élargi, ses ressources matérielles et ses effectifs ont augmenté.

 

Par conséquent, pouvons-nous en attendre une coopération honnête avec notre combat contre le terrorisme ? Il s’agit d’Etats historiquement colonialistes. Est-il possible pour des colonisateurs dont l’Histoire s’est écrite sur des pages d’occupations, de meurtres, de destructions, de terrorisme brûlant les peuples et les asservissant, de soutien à des organisations terroristes dissimulées sous couverture religieuse comme les Frères Hypocrites puis Al-Qaïda et ses sœurs, de combattre le terrorisme ? C’est impossible, parce que le colonialisme a pour synonymes : terrorisme, amoralité et inhumanité. (Adresse à la Nation, 26 juillet 2015) »

 

Vladimir Poutine, Président de la Fédération de Russie

 

« Demandons-nous à quel point nous sommes à l’aise avec tout cela, à quel point nous sommes en sécurité, combien nous sommes heureux de vivre dans ce monde, à quel degré de justice et de rationalité il est parvenu. Peut-être n’avons-nous pas de véritables raisons de nous inquiéter, de discuter et de poser des questions embarrassantes ? Peut-être que la position exceptionnelle des États-Unis et la façon dont ils mènent leur leadership est vraiment une bénédiction pour nous tous, et que leur ingérence dans les événements du monde entier apporte la paix, la prospérité, le progrès, la croissance et la démocratie, et nous devrions peut-être seulement nous détendre et profiter de tout cela ?


Permettez-moi de dire que ce n’est pas le cas, absolument pas le cas.

 

Un diktat unilatéral et le fait d’imposer ses propres modèles aux autres produisent le résultat inverse. Au lieu de régler les conflits, cela conduit à leur escalade ; à la place d’États souverains et stables, nous voyons la propagation croissante du chaos ; et à la place de la démocratie, il y a un soutien pour un public très douteux allant de néo-fascistes avoués à des islamistes radicaux.


Pourquoi soutiennent-ils de tels individus ? Ils le font parce qu’ils décident de les utiliser comme instruments dans la voie de la réalisation de leurs objectifs, mais ensuite, ils se brûlent les doigts et font marche arrière. Je ne cesse jamais d’être étonné par la façon dont nos partenaires ne cessent de marcher sur le même râteau, comme on dit ici en Russie, c’est-à-dire de faire les mêmes erreurs encore et encore.


Ils ont jadis parrainé des mouvements islamistes extrémistes pour combattre l’Union soviétique. Ces groupes se sont formés au combat et aguerris en Afghanistan, et ont plus tard donné naissance aux Talibans et à Al-Qaïda. L’Occident les a sinon soutenus, du moins a fermé les yeux sur cela, et, je dirais, a fourni des informations et un soutien politique et financier à l’invasion de la Russie et des pays de la région d’Asie centrale par les terroristes internationaux (nous ne l’avons pas oublié). C’est seulement après que des attaques terroristes horribles aient été commises sur le sol américain lui-même que les États-Unis ont pris conscience de la menace collective du terrorisme. Permettez-moi de vous rappeler que nous avons été le premier pays à soutenir le peuple américain à l’époque, le premier à réagir comme des amis et partenaires après la terrible tragédie du 11 septembre.


Au cours de mes conversations avec les dirigeants américains et européens, je parlais toujours de la nécessité de lutter ensemble contre le terrorisme, de le considérer comme un défi à l’échelle mondiale. Nous ne pouvons pas nous résigner et accepter cette menace, nous ne pouvons pas la couper en morceaux séparés à l’aide du deux poids deux mesures. Nos partenaires ont exprimé leur accord, mais après quelques temps, nous nous sommes retrouvés au point de départ. Ce fut d’abord l’opération militaire en Irak, puis en Libye, qui a été poussée au bord du gouffre. Pourquoi la Libye a-t-elle été réduite à cette situation ? Aujourd’hui, c’est un pays en danger de démantèlement et qui est devenu un terrain d’entraînement pour les terroristes.


Seule la détermination et la sagesse de la direction égyptienne actuelle a sauvé ce pays arabe clé du chaos et de l’emprise des terroristes. En Syrie, comme par le passé, les États-Unis et leurs alliés ont commencé à financer et armer directement les rebelles et leur ont permis de remplir leurs rangs de mercenaires provenant de divers pays. Permettez-moi de vous demander où ces rebelles obtiennent leur argent, leurs armes et leurs spécialistes militaires ? D’où tout cela vient-il ? Comment l’Etat Islamique notoire a-t-il réussi à devenir un groupe aussi puissant, de fait une véritable force armée ?


Quant aux sources de financement, aujourd’hui, l’argent ne vient plus seulement de la drogue, dont la production a augmenté non pas de quelques points de pourcentage mais dans des proportions considérables depuis que les forces de la coalition internationale sont intervenues en Afghanistan. Vous êtes au courant de cela. Les terroristes obtiennent également de l’argent en vendant du pétrole. Le pétrole est produit dans le territoire contrôlé par les terroristes, qui le vendent à des prix de dumping, le produisent et le transportent. Mais d’autres achètent ce pétrole, le revendent, et font du profit, sans penser au fait qu’ils financent ainsi les terroristes qui pourraient venir tôt ou tard sur leur propre sol et semer la destruction dans leur propre pays.


Où trouvent-ils les nouvelles recrues ? En Irak, après que Saddam Hussein ait été renversé, les institutions de l’État, y compris l’armée, ont été laissés en ruines. Nous avons dit, à l’époque, soyez très, très prudents. Vous mettez les gens à la rue, et que vont-ils y faire ? N’oubliez pas que légitimement ou non, ils faisaient partie de la direction d’une grande puissance régionale, et en quoi est-ce que vous les transformez maintenant ?


Quel fut le résultat ? Des dizaines de milliers de soldats, d’officiers et d’anciens militants du parti Baas se sont retrouvé à la rue et ont aujourd’hui rejoint les rangs des rebelles. Peut-être cela explique-t-il pourquoi l’Etat islamique s’est avéré si efficace. En termes militaires, il agit très efficacement et il a certains cadres très compétents. La Russie a mis en garde à plusieurs reprises sur les dangers des actions militaires unilatérales, des interventions dans les affaires des Etats souverains, et des flirts avec les extrémistes et les radicaux. Nous avons insisté pour que les groupes luttant contre le gouvernement syrien central, surtout l’Etat islamique, soient inscrits sur les listes des organisations terroristes. Mais avons-nous vu le moindre résultat ? Nous avons lancé des appels en vain.


Nous avons parfois l’impression que nos collègues et amis sont constamment aux prises avec les conséquences de leurs propres politiques, et qu’ils dépensent tous leurs efforts dans le traitement des risques qu’ils ont eux-mêmes créés, en payant un prix de plus en plus élevé. (Discours au forum de Valdaï, 24 octobre 2014) […]

 

Cependant, personne, semble-t-il, n’apprend des erreurs d’autrui, qui ne cessent d’être répétées. Et l’exportation de ce qu’on appelle désormais les révolutions « démocratiques » se poursuit.

 

Il suffit d’examiner la situation au Proche-Orient et en Afrique du Nord, dont a parlé le précédent intervenant. Cela fait évidemment longtemps que les problèmes socio-politiques couvaient dans cette région et que les populations aspiraient à des changements. Mais qu’ont-elles obtenu en réalité ? L’intervention extérieure agressive a entraîné, au lieu de réformes, la destruction pure et simple des institutions étatiques et du mode de vie lui-même. En lieu et place du triomphe de la démocratie et du progrès règnent la violence, la misère et les catastrophes sociales, tandis que les droits de l’homme, y compris le droit à la vie, ne sont appliqués nulle part.

 

J’aimerais demander aux responsables de cette situation : « Avez-vous au moins conscience de ce que vous avez fait ? » Mais je crains que cette question ne reste en suspens, parce que ces gens n’ont pas renoncé à leur politique basée sur l’arrogance, l’exceptionnalisme et l’impunité.

 

Il est déjà manifeste que l’absence de pouvoir constatée dans une série de pays du Proche-Orient et d’Afrique du Nord a conduit à la formation de zones anarchiques, rapidement envahies par des extrémistes et des terroristes. Des dizaines de milliers de combattants se battent déjà sous les drapeaux de l’ainsi nommé « État islamique ». On trouve parmi eux d’anciens soldats irakiens jetés à la rue suite à l’invasion de l’Irak en 2003. Un autre pays fournisseur de recrues est la Libye, dont la structure étatique a été détruite après la violation grave de la résolution n°1973 du Conseil de Sécurité de l’ONU. Aujourd’hui, des membres de ce qu’on appelle l’opposition syrienne modérée, soutenue par l’Occident, viennent également grossir les rangs des radicaux.

 

Une fois armés et formés, ceux-ci passent du côté de l’État islamique. Ce dernier n’a lui-même pas surgi de nulle part : il a également été dans un premier temps choyé en tant qu’instrument de lutte contre des régimes laïques indésirables. Après avoir créé une tête de pont en Syrie et en Irak, l’État islamique poursuit activement son expansion dans d’autres régions et cherche à dominer le monde islamique – mais pas seulement. Il est clair que ses plans ne se limiteront pas à cette région. La situation est on ne peut plus dangereuse.

 

Dans ce contexte, il est hypocrite et irresponsable de faire de grandes déclarations sur la menace du terrorisme international tout en fermant les yeux sur les flux de financement et de soutien des terroristes, notamment le trafic de drogues, de pétrole et d’armes, ou d’essayer de manipuler des groupes extrémistes, de les utiliser pour atteindre ses propres objectifs politiques dans l’espoir de s’en débarrasser ensuite ou, plus simplement, de les éliminer.

 

J’aimerais dire à ceux qui agissent et pensent réellement ainsi : « Messieurs, vous avez bien sûr affaire à des individus extrêmement cruels, mais ceux-ci ne sont absolument pas idiots ni primitifs, ils ne sont pas plus bêtes que vous et on ne sait pas encore qui utilise qui. » Les dernières informations sur le transfert d’armes aux terroristes par cette même opposition modérée ne font que le confirmer.

 

Nous considérons que toute tentative visant à flirter avec les terroristes, et qui plus est à les armer, est non seulement irréfléchie mais également dangereuse. La menace terroriste mondiale pourrait s’en voir extrêmement accrue et peser sur de nouvelles régions de la planète. D’autant plus que des combattants de nombreux pays, y compris européens, sont formés et aguerris dans les camps de l’État islamique.

 

Malheureusement je dois reconnaître que la Russie n’est pas ici une exception. Il est inadmissible que ces coupe-jarrets qui ont déjà senti l’odeur du sang retournent ensuite chez eux et y poursuivent leur sale besogne. Nous ne le voulons pas. Personne ne le veut, n’est-ce pas ? La Russie s’est toujours opposée avec fermeté et constance au terrorisme sous toutes ses formes.

 

Aujourd’hui, nous apportons une aide militaro-technique à l’Irak, la Syrie et d’autres pays de la région qui luttent contre les groupes terroristes. Nous estimons que refuser de coopérer avec les autorités syriennes, avec l’armée gouvernementale, avec ceux qui affrontent courageusement le terrorisme, est une grave erreur. Il faut enfin reconnaître qu’hormis les troupes gouvernementales du président Bachar el-Assad et les milices kurdes en Syrie, personne ne se bat réellement contre l’État islamique et les autres organisations terroristes. Nous connaissons tous les problèmes de la région, toutes ses contradictions, mais nous devons tout de même nous fonder sur la réalité du terrain. (Discours à la 70e session de l’Assemblée générale de l’ONU, 28 septembre 2015) [...]

 


Une organisation terroriste, le soi-disant « Etat Islamique », a pris le contrôle d’énormes territoires. Rendez-vous bien compte : s’ils parvenaient à occuper Damas ou à Bagdad, les gangs terroristes pourraient pratiquement atteindre le statut d’une puissance officielle, et ils en feraient un bastion pour leur expansion mondiale. A-t-on bien pris conscience de cela ? Il est temps que l’ensemble de la communauté internationale se rende compte que de fait, nous avons affaire à un ennemi de la civilisation et de la culture mondiale qui porte en elle une idéologie de haine et de barbarie, foulant aux pieds la morale et les valeurs religieuses du monde, y compris celles de Islam qu’il salit.

 

Nous ne devons pas jouer avec les mots ici ; nous ne devrions pas diviser les terroristes en modérés et immodérés. Il serait bon de connaître la différence. Probablement, de l’avis de certains experts, réside-t-elle dans le fait que les militants dits modérés décapitent les gens en nombre limité ou avec délicatesse.

 

En fait, nous voyons maintenant un véritable agrégat de groupes terroristes. Il est vrai que parfois, des militants de l’ « État Islamique », Jabhat al-Nusra et d’autres héritiers et épigones d’Al-Qaïda se battent entre eux, mais ils se battent pour de l’argent, pour le contrôle des zones d’alimentation, voilà pourquoi ils se battent. Ils ne se battent pas pour des raisons idéologiques, car leur essence et leurs méthodes restent les mêmes : la terreur, l’assassinat, le fait de transformer les gens en une masse timide, terrorisée et obéissante.

 

Au cours des dernières années, la situation s’est détériorée, l’infrastructure des terroristes s’est améliorée, ainsi que leur nombre, tandis que les armes fournies à l’opposition dite modérée finissaient en fin de compte dans les mains d’organisations terroristes. En outre, des bandes entières rejoignent parfois leurs rangs, avec armes et bagage, comme on dit.

 

Pourquoi est-ce que les efforts de nos partenaires américains et de leurs alliés dans leur lutte contre l’Etat islamique n’ont-ils pas produit de résultats tangibles ? Manifestement, cela n’est pas dû à un manque de matériel ou de potentiel militaires. De toute évidence, les États-Unis ont un potentiel énorme, le plus grand potentiel militaire au monde, mais jouer un double jeu n’est jamais facile. Vous déclarez la guerre contre les terroristes et, simultanément, vous essayez d’utiliser certains d’entre eux afin de réorganiser les données de la carte du Moyen-Orient dans votre propre intérêt, comme vous pensez pouvoir le faire.

 

Il est impossible de lutter contre le terrorisme en général, si certains terroristes sont utilisés comme un bélier pour renverser les régimes qui ne sont pas à votre goût. Vous ne pouvez pas vous débarrasser de ces terroristes, et ce n’est qu’une illusion que de croire que vous pourrez vous débarrasser d’eux plus tard, leur reprendre le pouvoir ou parvenir à un accord avec eux. La situation en Libye en est la meilleure illustration.

 

Espérons que le nouveau gouvernement parviendra à stabiliser la situation, bien que ce ne soit pas encore une réalité. Cependant, nous avons besoin de contribuer à cette stabilisation.

Nous comprenons très bien que les militants qui combattent au Moyen-Orient représentent une menace pour tout le monde, y compris la Russie. Les gens de notre pays savent ce que signifie l’agression terroriste et savent ce que ces criminels ont fait dans le Caucase du Nord. Nous nous souvenons des attaques terroristes sanglantes à Budennovsk, Moscou, Beslan, Volgograd et dans d’autres villes russes. La Russie a toujours combattu le terrorisme sous toutes ses formes, plaidant continuellement pour l’unification véritable des efforts de la communauté mondiale pour lutter contre ce mal. Voilà pourquoi nous avons suggéré de créer une vaste coalition anti-terroriste, ce que j’ai récemment exprimé dans mon discours à l’ONU.

 

Après que les autorités officielles de la Syrie nous aient contactés pour nous demander notre soutien, nous avons pris la décision de lancer une opération militaire russe dans ce pays. Je le souligne encore une fois : celle-ci est tout à fait légitime et son seul but est d’aider à rétablir la paix. Je suis sûr que les actions des membres des services russes auront l’effet positif nécessaire sur la situation, aidant les autorités officielles syriennes à créer les conditions pour des actions ultérieures visant à un règlement politique, et menant des frappes préventives contre les terroristes qui menacent notre pays, la Russie. Ainsi, nous aidons toutes les nations et tous les peuples qui sont certainement en danger si ces terroristes rentrent chez eux.


Voici ce que nous croyons devoir faire pour parvenir à un règlement des conflits à long terme dans la région, et à son renouveau social, économique et politique. Tout d’abord, libérer la Syrie et les territoires d’Irak des terroristes et ne pas les laisser les déplacer leurs activités vers d’autres régions. Et pour ce faire, nous devons unir toutes les forces – les armées régulières irakiennes et syriennes, la milice kurde, divers groupes d’opposition qui ont effectivement apporté une contribution réelle à la lutte contre les terroristes – et coordonner les actions des pays à l’intérieur et à l’extérieur de la région contre le terrorisme. Dans le même temps, l’action anti-terroriste conjointe doit bien sûr être fondée sur le droit international.

 

Deuxièmement, il est évident qu’une simple victoire militaire sur les militants ne résoudra pas tous les problèmes, mais qu’elle va créer les conditions pour l’essentiel : le début d’un processus politique avec la participation de toutes les forces patriotiques et saines de la société syrienne. Ce sont les Syriens qui doivent décider de leur avenir avec une participation exclusivement civile et respectueuse de la communauté internationale, et non sous la pression externe par des ultimatums, du chantage ou des menaces.

 

L’effondrement des autorités officielles de la Syrie ne ferait que renforcer les terroristes. À l’heure actuelle, au lieu de les affaiblir, nous devons les revigorer, et renforcer les institutions de l’Etat dans les zones de conflit. (Discours au forum de Valdaï, 22 octobre 2015) »

 

 

Sayed Ali Khamenei, Guide Suprême de la République Islamique d’Iran

 

« Il est de notre responsabilité de mener à bien des tâches de la plus haute importance. Durant ce Congrès de deux jours, vous, honorables participants, avez élaboré et proposé certaines solutions et spécifié certaines responsabilités. Je tiens également à mentionner deux ou trois tâches qui ne doivent pas être négligées.

 

L’une est la formation par les théologiens de l’Islam d’un mouvement savant, rationnel et global, incluant toutes les écoles islamiques et avec pour objectif de couper les racines du courant takfiri.Ce mouvement ne devra pas être limité à certaines écoles de pensée (islamiques). Tous les courants de l’Islam qui croient en cette religion et la considèrent avec bienveillance partagent cette responsabilité. Un grand mouvement intellectuel doit être lancé par les savants (de l’Islam).

 

[L’Etat Islamique] est entré en scène avec la fausse prétention de suivre « les pieux prédécesseurs » [al-Salafu al-Saleh]. Nous devons prouver que les pieux prédécesseurs étaient radicalement opposés aux actes qu’ils perpètrent et au mouvement qu’ils ont lancé. Cela doit être réalisé en recourant au langage de la religion, du savoir et de la raison.

 

Vous devez sauver les jeunes gens. Certaines personnes sont influencées par ces pensées déviantes et égarées. Ces pauvres gens pensent qu’ils réalisent de bonnes actions. Ils sont l’incarnation de ces saints versets du Coran : « Dis : ‘Vous informerai-je au sujet de ceux qui sont les plus grands perdants quant à leurs actions ? Ceux dont les efforts ont été vains dans cette vie, alors même qu’ils pensaient que leurs actions étaient bonnes et leur étaient bénéfiques ?’ » [Coran, 18, 103-104].

 

Ils sont l’incarnation de ces versets coraniques. Ils pensent à tort qu’ils combattent dans la voie de Dieu. Ce sont ceux-là même qui diront à Dieu, le Jour du Jugement Dernier : « O Seigneur, nous avons suivi nos chefs et nos dirigeants, et ils nous ont égaré du droit chemin. Seigneur, châtie-les d’un châtiment double et maudis-les d’une malédiction terrible. » [Coran, 33, 67-68].

 

[Les combattants de l’Etat Islamique] sont ces misérables-là. Ceux qui ont assassiné un grand savant dans la mosquée de Damas comptent parmi ces gens-là. Ceux qui décapitent des musulmans en les accusant d’apostasie comptent parmi ces gens-là. Ceux qui versent, par des attentats, le sang d’innocents au Pakistan, en Afghanistan, à Bagdad et dans différentes villes d’Irak, de Syrie et du Liban comptent parmi ces gens qui s’écrieront au Jour du Jugement Dernier : « O Seigneur, nous avons suivi nos chefs et nos dirigeants, et ils nous ont égaré du droit chemin. Seigneur, châtie-les d’un châtiment double. »

 

Dans une autre partie du Saint Coran, Dieu dit : « Ils seront tous châtiés d’un châtiment double. » [Coran, 7, 38]. Vous serez tous châtiés, à la fois les meneurs et les suiveurs. « Ce n’est là que justice, et telles sont en vérité les querelles des gens du Feu. » [Coran, 38, 64]

 

Ce jour-là, ces gens-là seront opposés et s’affronteront. C’est pourquoi ils doivent être sauvés (de cet égarement). Ces jeunes gens doivent être sauvés, et c’est là la responsabilité des savants car ils sont en contact à la fois avec les intellectuels et avec les masses. Ils devraient s’efforcer de les sauver. Dieu le Très-Haut interrogera les savants au Jour Dernier : « Qu’avez-vous fait ? » Les savants devraient agir (dès maintenant). C’est une première tâche à mener à bien.

 

La seconde tâche extrêmement urgente qui doit être menée à bien est de souligner le rôle des politiques arrogantes des Etats-Unis d’Amérique et de l’Angleterre. Leur rôle doit être souligné et expliqué. Chaque personne du monde musulman doit connaître le rôle et la responsabilité des politiques des Etats-Unis à ce sujet [l’Etat Islamique]. Tout le monde doit connaître le rôle des services secrets américains, britanniques et ceux du régime sioniste dans les actes de ce mouvement takfiri. Tout le monde doit savoir que l’Etat Islamique travaille pour eux, que ce complot a été fomenté par l’Arrogance [l’Impérialisme occidental] et que ces courants takfiris sont aidés et financés par ces puissances.

 

Ils reçoivent de l’argent des régimes fantoches de la région. Ce sont ces régimes fantoches qui leur fournissent de l’argent, mais le complot est fomenté par l’Arrogance et le résultat est (notamment) qu’ils détruisent ces misérables jeunes takfiris. Ils créent des problèmes sans précédent pour le monde de l’Islam. C’est là une autre tâche indispensable qui doit être menée à bien. (Discours à l’occasion du Congrès International sur les mouvements takfiris, 25 novembre 2014) »

 

 

 

Sayed Hassan Nasrallah, Secrétaire Général du Hezbollah

 

« Notre devoir est, premièrement, de considérer tout conflit ou combat au Liban ou dans tout autre pays – que ce soit la Syrie, l’Iraq, le Bahreïn, le Yémen, l’Egypte, la Tunisie ou la Libye – et pas seulement entre sunnites et chi’ites : entre musulmans, chrétiens, sunnites, chi’ites ou d’autres courants islamiques ou nationalistes, etc., nous devons les considérer dans une perspective politique, et non dans une perspective religieuse. Cela impose de rejeter tout discours sectaire ou confessionnel ainsi que tout recours à la mobilisation sectaire ou confessionnelle.

 

Car certaines personnes peuvent être à même de faire sortir le génie de la lampe mais elles sont incapables de l’y faire retourner. Il y a bien des preuves de cela. Vous pouvez transformer votre discours sectaire et factionnel en un véritable serpent, mais après cela, vous ne serez plus capables de le contrôler et il vous frappera vous-mêmes. C’est pourquoi nous devons être très prudents. C’est pourquoi aujourd’hui, tout discours sectaire ou confessionnel est comme une parole malfaisante qui peut tout détruire et tout dévaster. (Discours commémorant la naissance du Prophète, 25 janvier 2013) [...]

 

L’Occident, les Arabes, les services de renseignement, les médias, vous et moi connaissons tous la vérité suivante : actuellement, la force la plus importante et le courant dominant au sein des groupes armés qui contrôlent le terrain (en Syrie) est le mouvement takfiri. Ceux qui sont basés à l’étranger n’ont aucune influence sur eux. Aucun d’entre eux n’a le moindre pouvoir sur ces groupes. En tout cas, j’ai déjà précisé qu’ils ont été amenés en Syrie pour servir comme combattants, mais que ce sont eux-mêmes qui finiront par payer le prix : quelle que soit l’issue et la résolution de ce conflit en Syrie, ils seront sacrifiés. La réalité est tellement hors de contrôle que les pays occidentaux (qui ont créé et soutenu ces groupes terroristes) sont confus et dépassés face à la rapidité de ces développements au sein des groupes armés en Syrie, ils en deviennent gênés face à leurs propres peuples, face à l’opinion publique, qui leur demandent : « Comment pouvez-vous armer des individus de cette nature, de tels criminels ? » Et cette composante extrémiste a commencé à prévaloir sur la scène de l’opposition armée intérieure et à bénéficier du financement et de l’armement de la part d’un certain nombre de pays arabes et régionaux (et de l’Occident), et ces pays veulent se débarrasser à la fois du régime syrien et de ces groupes armés eux-mêmes. Ils leur facilitent donc la sortie de leur pays d’origine, mais ils n’ont pas pensé au jour où ils reviendront dans leur pays, ayant obtenu une expérience au combat, un appétit pour le meurtre et la guerre, prêts à tout type de confrontation. Telle est la réalité actuelle du terrain en Syrie. Aujourd'hui, le problème syrien n'est plus celui du soulèvement d'un peuple contre un régime. Ce n’est plus une question de réformes – le Président syrien est prêt à faire des réformes, venez donc vous asseoir à la table du dialogue. Maintenant, il s’agit de tout autre chose.

 

Eh bien, vis-à-vis de la situation actuelle en Syrie, nous estimons – je vais maintenant parler clairement de notre vision, sur laquelle nous basons nos actions et notre engagement aux côtés de l’Armée Arabe Syrienne : nous considérons que le contrôle de la Syrie par ces groupes ou de certaines provinces syriennes, surtout celles qui sont à la frontière du Liban, constituerait un grand danger pour le Liban et pour tous les Libanais. Ce n’est pas un danger seulement pour le Hezbollah ou pour les chiites, c’est un danger pour le Liban, les Libanais, l’Etat libanais, la résistance libanaise et la coexistence au Liban. Et il y a maintes preuves de tout cela… Ces groupes ont une mentalité qui ne tolère pas le dialogue, qui ne n’a ni la négociation ni le compromis dans son vocabulaire. Ils n’ont pas la notion de priorités, pas plus que celle de valeurs communes. Ils n’ont rien, sinon l’accusation d’apostasie pour les raisons les plus futiles, ce qui entraine la violation de vos biens et de votre vie. Quel serait l’avenir de la Syrie si elle était livrée à ces groupes ? Quel serait l’avenir du Liban, de la Palestine, des peuples de la région ? Pour l’amour de Dieu, répondez-moi. C’est un véritable danger. C’est un véritable danger qui pèse sur tous. Nous ne réfléchissons pas dans un esprit confessionnel, sectaire ou de faction, mais parce que nous voyons que tous les musulmans, tous les chrétiens, tout le monde est menacé par cette mentalité, ce mouvement, cette pensée, ce projet takfiris qui dévastent cette région. Et je vous le dis, ce mouvement est financé et soutenu par les Etats-Unis, car c’est la seule option qui leur reste pour détruire la région et réinstaurer son hégémonie sur elle face au réveil, au soulèvement et à la volonté des peuples. Je ne veux faire peur à personne, je ne fais que décrire la réalité… Nous faisons maintenant face à deux côtés distincts dans ce conflit. Le premier côté est celui des Etats-Unis, d’Israël, de l’Occident, des pays arabes régionaux, qui est incarné sur le terrain par les mouvements terroristes takfiris qui dépècent les poitrines, coupent les têtes, profanent les tombes et détruisent le passé – ce passé de 1400 ou 1500 ans à travers lequel les peuples de différentes religions ont coexisté, et les églises, les mosquées, les mausolées et les tombes ont été préservés, de même que la diversité, même sous les régimes qui étaient le plus souvent sunnites ; mais aujourd’hui, ces groupes détruisent le passé, le présent et le futur, ils rejettent tout dialogue et toute solution politique, et ne prônent que la guerre. Et de l’autre côté, il y a un Etat ou régime qui a une position claire vis-à-vis de la question palestinienne, des mouvements de Résistance et du projet sioniste, qui a toujours garanti la coexistence des confessions, et qui annonce en même temps sa disposition au dialogue et aux réformes. Que quiconque choisisse le camp qui bon lui semble. Mais quant au Hezbollah, il lui est absolument impossible d’être d’un côté qui inclut les Etats-Unis, Israël, les profanateurs de tombes, les dépeceurs de poitrine et les coupeurs de tête. Soyez du côté que vous voulez, mais quant au Hezbollah, il ne peut pas être du côté qui veut détruire tous les accomplissements et rendre vains tous les sacrifices, faisant de nous une nouvelle fois les esclaves des Etats-Unis et d’Israël, dans un nouveau projet de remodelage du Moyen-Orient. Notre indépendance a été garantie par le sang de milliers de martyrs, et nous la préserverons quel qu’en soit le prix… Aujourd’hui, par notre prise de position, nous considérons que nous défendons le Liban, la Palestine, la Syrie, et l’ensemble de la région, voire au-delà. (Discours commémorant la Libération du Liban, 25 mai 2013) [...]

 

 

Je ne vais pas considérer les événements depuis le début, mais depuis la fin. Considérons donc les derniers développements... Quelles sont les nouvelles données au niveau régional et international ? Aujourd’hui, nous découvrons que la plupart des pays du monde qui ont financé, assisté, donné des visas et ouvert les frontières, ces pays qui ont encouragé, soutenu, et aidé les combattants étrangers – c’est-à-dire les non-Syriens – à parvenir en Syrie, la plupart de ces pays expriment maintenant leur peur, leurs craintes et leurs inquiétudes à l’égard des dangers sécuritaires que poserait la victoire de ces combattants en Syrie, et par conséquent le danger que poserait leur retour dans leurs pays d’origine, surtout les pays voisins, et tous les risques auxquels ces pays et ces sociétés seront conséquemment exposés.N’est-ce pas là la vérité ? Est-ce que j’invente tout ça, ou est-ce bien la réalité actuelle ?

 

Aujourd’hui, des réunions se tiennent entre des agences de renseignement occidentales, régionales et autres, afin de voir comment ils peuvent faire face à la situation. Eh bien, se disent-ils, si ces groupes – Dieu nous en préserve – devenaient victorieux, ils disposeraient alors d’une base énorme. La Syrie deviendrait alors pire que l’Afghanistan, et ces combattants jihadistes reviendraient à nous. Qu’est-ce qu’on peut faire ? Ou bien, s’ils étaient vaincus et qu’ils commençaient à reculer et à se retirer de la Syrie et à revenir à nous, que ferions-nous ? C’est une catastrophe qu’ils ont façonnée de leurs propres mains. C’est le serpent qu’ils ont nourri dans leur sein.Aujourd’hui, ce débat a-t-il lieu à travers le monde, oui ou non ? C’est une réalité indiscutable. (Commémoration des martyrs, 16 février 2014) »

 

 

 

Voir également :

 

Vendredi noir : au-delà de l’émotion, des questions vitales, par Fausto Giudice

 

Hassan Nasrallah : le Hezbollah condamne les attaques terroristes à Paris (VOSTFR)

 

Bachar al-Assad sur les attaques terroristes à Paris : la France récolte ce qu'elle a semé (VOSTFR)

 

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Bachar al-Assad sur les attaques terroristes à Paris : la France récolte ce qu'elle a semé (VOSTFR)

 

 

 

Interview de Bachar al-Assad, Président de la République Arabe Syrienne, le 14 novembre 2015.

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=pxzk3H7vewI

 

 

Journaliste : Quelle est votre réaction à ce qui s'est passé hier à Paris ?

 

Bachar al-Assad : Tout d'abord, nous présentons nos condoléances aux familles françaises qui ont perdu leurs proches hier. Nous sommes les personnes les plus à même de comprendre leur situation car nous avons souffert de ce type de terrorisme durant les 5 dernières années en Syrie.

 

Et il n'est pas possible de dissocier ce qui s'est passé hier en France de ce qui s'est produit à Beyrouth il y a deux jours, car le terrorisme reste le terrorisme. Il ne faut pas le considérer comme frappant dans des lieux différents, le terrain syrien, le terrain yéménite, le terrain libyen ou le terrain français : en réalité, c'est un seul et même terrain mondial.

 

Journaliste : Vos services de renseignement ont-ils des informations sur les personnes qui ont commis cette opération terroriste, étaient-ils Syriens ou en relation avec des gens en Syrie ?

 

Bachar al-Assad : Non, nous n'avons aucune information sur ce qui s'est passé. Mais la question n'est pas de connaître le nom des terroristes ou de savoir d'où ils venaient. Cela fait 3 ans que nous avons averti que de telles choses allaient se produire en Europe. Nous avons dit : ne participez pas à ces événements cataclysmiques en Syrie, car les conséquences de cela s'étendront à toutes les régions du monde.

 

Malheureusement, les responsables européens n'ont pas accordé d'importance à nos déclarations, mais ils ont pensé que nous les menacions, de même qu'ils n'ont pas tiré les leçons des événements de janvier à Charlie Hebdo.

 

Leurs déclarations selon lesquelles ils sont contre le terrorisme n'ont aucune valeur. Ils doivent combattre sérieusement le terrorisme, et appliquer les bonnes politiques.

 

Journaliste : Les services de renseignement français ont-ils demandé l'assistance des vôtres, et êtes-vous prêts à les aider à combattre le terrorisme ?

 

Bachar al-Assad : La question n'est pas de demander de l'aide. Ils n'ont qu'une chose à faire, c'est d'être sérieux (dans leur lutte contre le terrorisme), et nous serons alors prêts à combattre le terrorisme à leurs côtés. Nous sommes prêts à combattre le terrorisme aux côtés de tout partenaire sérieux dans cette lutte, mais le gouvernement français n'est pas sérieux jusqu'à présent.

 

Journaliste : Avez-vous un message à adresser au Président Hollande ?

 

Bachar al-Assad : Agissez dans l'intérêt de votre peuple. La première question que pose tout citoyen français aujourd'hui est celle-ci : est-ce que la politique (extérieure) française de ces cinq dernières années a apporté le moindre bénéfice au peuple français ?

 

Et de fait, la réponse est non.

 

Donc ce que je lui demande est d'agir dans l'intérêt du peuple français. Et s'il veut faire cela, il doit changer sa politique.

 

Journaliste : Quelle est la condition pour que le gouvernement syrien puisse collaborer avec le gouvernement français, ou les services de renseignement syrien avec leurs homologues français ?

 

Bachar al-Assad : Il n'est pas possible d'envisager une coopération sur le plan du renseignement avant qu'il y aie une coopération politique. Il n'est pas possible d'avoir une coopération des services de renseignement pour la lutte contre le terrorisme tant que la politique française continuera à soutenir le terrorisme. Voilà ce que j'ai appelé le sérieux (dans la lutte contre le terrorisme).

 

Journaliste : Merci beaucoup.

 

 

 

Voir également :

 

Attaques terroristes à Paris : après l’émotion, dénonçons TOUS les coupables

 

Hassan Nasrallah : le Hezbollah condamne les attaques terroristes à Paris (VOSTFR)

 

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Hassan Nasrallah : le Hezbollah condamne les attaques terroristes à Paris (VOSTFR)


Discours du Secrétaire Général du Hezbollah, Sayed Hassan Nasrallah, le 14 novembre 2015, suite aux attentats de l'Etat Islamique contre la banlieue sud de Beyrouth le 12/11.

 

Traduction : Salah Lamrani

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=xzZNFRzXvv8

 

 

Transcription

 

« Mon propos de ce soir sera entièrement consacré à la double attaque terroriste qui a eu lieu il y a quelques jours dans la région de Bordj-al-Barajneh (Beyrouth), et a causé des dizaines de martyrs et de blessés. Mais permettez-moi d'abord, eu égard à ce qui s'est produit la nuit dernière, de faire part de notre condamnation, la condamation et la dénonciation véhémentes par le Hezbollah des attaques terroristes perpétrées par les criminels de Daech à Paris, en France, et de ce qu'ils ont commis en fait de crimes, de meurtres, d'atrocités et de terrorisme.

 

 

Les peuples de notre région qui endure actuellement le cataclysme de Daech dans plus d'un pays arabe et islamique dont le Liban, qui a subi il y a quelques jours une telle attaque, sont le plus à même de comprendre et de ressentir la terrible tragédie qui a frappé le peuple français la nuit dernière.

 

Nous exprimons nos condoléances et notre solidarité sur les plans de l'humanité, de la compassion et de la morale avec tous ces malheureux innocents qui ont été ciblés par les chefs sanguinaires de Daech et ses criminels. »

 

 

Voir également :

 

 

Attaques terroristes à Paris : après l’émotion, dénonçons TOUS les coupables


Vendredi noir : au-delà de l’émotion, des questions vitales, par Fausto Giudice

 

MERCI   Sayed Hasan <7asan.saleh@gmail.com>

CETTE GUERRE QUE LE PEUPLE NE L' A JAMAIS SOUHAITÉE !!!

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Cette guerre, le peuple français ne l’a jamais souhaitée !
Le peuple l'a vue, la montée de l'islamisme partout dans son pays, même qu'il la crie aussi, quand on ne lui interdit pas de manifester.

À cette heure de la journée, il est question de 128 morts, de 250 blessés dont près d’une centaine gravement : c’est le terrible bilan provisoire des attentats commis à Paris à sept endroits différents. Des hommes à visage découvert – tirant soit en balayage à l’arme lourde (fusils d’assauts et kalachnikov), soit méthodiquement sur des clients de restaurants, dans la rue, près du stade de France, ou encore à l’intérieur de la salle de spectacle du Bataclan aux cris d’Allah Ouakbar.

François Hollande vient donc de qualifier ces tueries d' »acte de guerre qui a été préparé, planifié de l’extérieur (…) ».

Une guerre ? Une drôle de guerre, en effet, qui est menée, au grand jour, contre notre pays, et de façon sanglante, depuis les attentats de janvier. Une guerre à un seul participant, déclaré et armé à l’encontre d’une population désarmée. Au sens propre comme au figuré. Une guerre dont les combattants peuvent tout aussi bien être des Français, ou non, n’ayant pas quitté notre sol, comme des Français, ou non, faisant partie des 100 à 150 djihadistes rentrés de Syrie ou d’Irak mais jamais judiciarisés, c’est ce que révèle Marc Trévidic, ancien juge contre le terrorisme, invité de BFMTV. Ou, autre éventualité, des combattants venant des pays susnommés ou d’ailleurs, infiltrés parmi les dizaines de milliers de réfugiés accueillis par les gouvernements français et européens…

Cette guerre, le peuple français ne l’a jamais souhaitée, jamais cherchée. Pire : le peuple français a eu à entendre un Bernard Cazeneuve clamer que « prôner le djihad n’est pas un délit ». Il a dû encaisser un Manuel Valls le prévenir qu’il allait falloir « vivre avec la menace terroriste ». Il doit encore, aujourd’hui, subir un Juppé annoncer, sans état d’âme, que « la lutte sera longue et rude ». Et, le procureur chargé de l’enquête de lui apprendre, à cette heure de la journée, qu’ il y a peut-être « des complices et coauteurs dans la nature ».

Des individus fichés S, peut-être bien ? Selon Laurent Wauquiez, ils seraient environ 4.000 de cette envergure, à vivre donc tout près de nous. Et de rappeler que tous les auteurs d’attaques terroristes sans exception portent cette étiquette. Preuve, s’il en fallait, de l’impuissance manifeste du gouvernement Valls non seulement de les surveiller mais de les neutraliser.

Des fichés S prêts à tuer, n’importe où et n’importe quand, pour combien d’individus non encore repérés mais tout aussi dangereux ? « On a laissé un groupe terroriste se créer à partir de pas grand-chose et devenir hyper puissant, je veux parler de l’État islamique », constate Marc Trévividic, parce qu’« on n’a  pas vu la menace se consolider ». Pardon, mais le peuple l’a vue, la montée de l’islamisme partout dans son pays, même qu’il la crie aussi, quand on ne lui interdit pas de manifester.

« (…) Face à la guerre, le pays doit prendre des décisions », dit François Hollande. S’il parle de nous aussi, alors chiche.

 
http://www.bvoltaire.fr/

CETTE GUERRE DÉCLARÉE À LA FRANCE ?

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La guerre déclarée à la France

 

, écrit par : Henri Temple
 

des-rescapes-de-l-attaque-et-de-la-prise-d-otage-de-la-salle-de-concert-du-bataclan-a-paris-le-14-novembre-2015_5463170

 

En janvier dernier le terrorisme islamique organisé a tué en France. Il s’en est pris à des journalistes et à des juifs, la police. Ce funeste 13 novembre,48 heures après le Jour Souvenir de la Grande Guerre, c’est le Peuple de France que l’on a voulu assassiner en visant des simples passants, et des spectateurs à des concerts ou des événements sportifs.
Il ne s’agit plus d’un terrorisme ordinaire. Un état, l’état islamique, certes non reconnu mais qui règne par la terreur sur un vaste territoire, a déclaré la guerre à la France, aux non-islamistes en général, aux chrétiens en particulier. Ce sont six ou sept attaques qui ont été commises hier sur le sol français, planifiées et concentrées sur la capitale : près de 200 morts et blessés très graves à Paris.
Face à une situation de guerre, l’état d’urgence de M. Hollande ne suffira pas. C’est l’état de siège de l’article 36 de la constitution (et les articles L.2121-1 et suivants du code la défense) que l’on doit proclamer. Car il s’agit ou d’une attaque étrangère ou du début d’une insurrection armée ; et non plus d’un attentat terroriste  »ordinaire ».
C’est l’armée française, désormais, qui doit prendre en mains la sécurité nationale. Nos casques bleus doivent revenir en métropole, et la Réserve (art. L.4211-4 CD) doit être sollicitée. Il restera alors à déterminer l’origine des assaillants. Qu’ils soient venus sur le sol de notre nation en profitant des flux migratoires illégaux, ou qu’ils soient résidents et nationaux, des mesures radicales devront être prises.
Ce gouvernement inconscient et incapable a rendu possible ce drame. Mais il hérite des graves félonies perpétrées contre la nation depuis plus de 25 ans par les derniers présidents, en dépit des mises en garde lancées par les patriotes, souvent méprisés ou moqués. Les victimes et la Nation solidaire leur demanderont de répondre de leurs forfaitures.
A cette guerre qui est déclarée à nous, Français, les politiciens stupides, lâches et connivents qui nous ont mené où nous en sommes, ne sauront riposter comme cela se devrait. En attendant que soit mise en cause leur responsabilité, il faudra les écarter de la responsabilité et de l’honneur de nous défendre et de défendre nos enfants.

Source:   http://reveil-francais.fr/2015/11

Henri_Temple_DLR_2009-06-02

VAINCRE LE TERRORISME ! TRIBUNE LIBRE

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VAINCRE LE TERRORISME

« L’expérience des dernières générations me convainc pleinement que, seule l’inflexibilité de l’esprit humain, fermement dressé sur le front mouvant des violences qui le menacent, et prêt au sacrifice et à la mort en proclamant : « Pas un pas de plus ! » Seule, cette inflexibilité de l’esprit assure la véritable défense de la paix de l’individu, la paix de tous et de toute l’humanité. » (Alexandre Soljenitsyne)

Qu’ils soient intégristes, fanatiques religieux ou anarchistes, les terroristes prêchent le viol de la société, et, par conséquent, ils ne sauraient être traités comme des adversaires réguliers. Car « vouloir donner aux choses le sens de ses désirs est la pire forme de dérèglements de l’esprit ». Ainsi s’est exprimé Bossuet dans une de ses prédictions au souffle lyrique de ses visions grandioses.


Le caractère d’extrême gravité que revêt le terrorisme international a fait de la France l’une de ses plaques tournantes et nous met dans l’obligation de réagir avec fermeté contre tous ceux qui tentent de faire de notre pays un « champ de tir » du terrorisme, son refuge ou son « laboratoire d’expériences » révolutionnaires… d’autant plus que ces actions terroristes impliquent nécessairement une chaine de connivence et d’appui logistique sur notre sol et une préparation minutieuse…


Cependant, notre juridiction actuelle est mal adaptée à l’action répressive que la société doit exercer contre les criminels qui mettent en cause sa légitimité. Devant pareil danger, la réaction doit non seulement s’adapter à l’adversaire en retournant contre les terroristes le conseil de Lénine : « Ne laissez jamais se constituer de Vendées », mais conduire aussi à une prise de conscience populaire. A la stratégie de déstabilisation des terroristes, la Nation doit répondre par une « stratégie de répulsion ».

Cette stratégie implique en premier lieu le contrôle étroit des communautés étrangères dans le pays, afin de prévenir le prolongement sur notre territoire de luttes extérieures, partant : se protéger d’un terrorisme par « vases communicants » ou par osmose.

 


La mise en œuvre du plan « Sentinelle » qui mobilise actuellement 10 000 hommes sur le territoire national (et cela pour « aussi longtemps que la situation l’exigera (sic) » a précisé le ministre de la Défense -ce qui peut se traduire, comme ce fut déjà le cas pour le plan Vigipirate, par le maintien définitif du dispositif- ne saurait être la solution idéale car envisager la mobilisation de nos soldats (hébergés de surcroît dans des conditions précaires alors que les « sans papiers » bénéficient de chambres d’hôtels) dans la durée n’est pas la mission des armées. Un soldat est préparé à faire la guerre ; il n’a aucune formation de police et ce n’est pas sa vocation. On ne pourra donc, indéfiniment, le maintenir dans des missions statiques en limitant sa tâche à un rôle de vigile ou de « supplétif des forces de police » sous peine de l’« user », de le démotiver et d’éroder son potentiel de combat.
A la guerre révolutionnaire ou « guerre sainte » prônée par les islamistes, nous devons opposer la guerre populaire totale ou guerre de libération nationale. Face à une menace terroriste, il faut faire le choix majeur qui s’impose et en tirer toutes les conséquences ; agir sans oublier la foi formulée par Engels : « Ne jamais jouer avec l’insurrection armée et, quand on la commence, la mener jusqu’au bout ».

 

La France est aux yeux de l’islam une aire de guerre, « dâr al-harb », et elle se doit de traiter ce dernier de la même manière qu’il la traite.


Nous n’arriverons probablement jamais -en dépit de toute fermeté- à réduire totalement les actions criminelles mais il serait possible d’en limiter le nombre par l’instauration d’une juridiction et de tribunaux d’exception identiques à ceux créés par le régime gaulliste durant la guerre d’Algérie afin d’éradiquer l’OAS… et qui menèrent sans le moindre état d’âme au poteau d’exécution quatre soldats français dont deux officiers.


Puisque cela fut accompli contre des patriotes dont le seul crime fut de vouloir conserver l’Algérie française, pourquoi cette juridiction ne serait-elle pas reconduite contre les ennemis de la France reconnus coupables d’avoir sacrifié des victimes innocentes ? Dès lors, le rétablissement et la mise en application immédiate de la peine de mort seraient prononcés à leur endroit. Qui a tué doit être tué ! L’horreur du mal est le principe même de la justice. Elle doit s’imposer comme une règle impérative, car elle est notre propre raison. « La loi, en général, est la raison humaine –disait Montesquieu- en tant qu’elle gouverne tous les peuples de la terre »…

 

Les demi-mesures, comme c’est le cas actuellement, ne mènent à rien car les vices impunis s’accroissent à l’infini. Mais châtier les coupables, les condamner à mort ou leur infliger une sanction à la hauteur de leurs crimes, ne ferait -dans notre société émolliente, indifférente, conservatrice- que révolter les consciences de la « bien-pensance », des associations « humanistes » et provoquer la colère des islamo-compatibles issus de la gauche bobo-caviar et de la droite capitularde et louvoyante toujours prompts à brandir le carton rouge au nom de leur angélisme républicain.

 


Dostoïevski écrivait déjà, dans la « légende du Grand Inquisiteur » : « Qui aime trop l’humanité en général est en grande partie incapable d’aimer l’homme en particulier. Qui plaint trop le malfaiteur est fort souvent incapable de plaindre la victime ». Et le drame actuel c’est que nos sociétés vieillottes s’interdisent tout moyen coercitif. Elles ont lentement accumulé pendant une longue procession de siècles, les règles, les précautions et les interdits destinés à protéger l’idée qu’elles se faisaient de la civilisation.`

Elles ont imaginé couler la sagesse dans des lois… codifier l’indulgence et la mesure, pour défendre l’homme contre lui-même. Préoccupées d’exorciser la violence qui bouillonne toujours confusément dans des instincts mal maîtrisés, elles ont naturellement été conduites à interdire la seule forme de violence sur laquelle elles pouvaient peser : la cruelle mais indispensable gamme des châtiments qui prétendent moins punir le crime, que décourager le criminel.


Négligeant cette suprême mise en garde d’Aristote « Tolérance et apathie sont les dernières vertus d'une société mourante », elles ont inventé un arsenal de répression humain conçu à l’exacte mesure de coupables considérés comme des « égarés » ou des « déséquilibrés ». Or, on ne combat pas des terroristes avec de simples lois. On doit adopter une riposte appropriée afin de les arrêter dans leur élan velléitaire et agressif. « Plus l’Etat est corrompu, plus les lois se multiplient » clamait Tacite, cet historien et sénateur de l’antique Rome.


La France vit sous des menaces de plus en plus récurrentes que l’on ne peut contenir par la seule force de la loi. « Les français vont devoir s’habituer non à la menace des attentats, mais à la réalité des attentats qui vont, à mes yeux, immanquablement survenir.

 

 

Nous sommes désormais dans l’œil du cyclone, le pire et devant nous » a déclaré dans « Ouest France », le 14 novembre 2015, le juge Marc Trévidic.

 


En effet, la France est confrontée à l’un des plus graves périls de son histoire et ne doit pas s’embarrasser de préjugés pour prendre les mesures appropriées afin d’assurer sa propre survie. « Celui qui s’incline devant des règles établies par l’ennemi ne vaincra jamais » soutenait Léon Trotski.
Quand la liberté est frêle, en péril, alors on ne transige pas et Saint-Just d’annoncer en ces termes la répression sanglante des mouvements contre-révolutionnaires et royalistes pendant la Révolution : «

 

 

Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ! ». C’était, certes, La Terreur mais cette célèbre citation revient en pleine actualité.


Aujourd’hui, empêtrée dans ses règles, ses décrets et ses scrupules, voilà la civilisation paralysée par les dogmes qui la fondent et les lois qui la défendent, qui ne peut transgresser sans se renier. Et voici les barbares –forts de cette assurance- qui répandent leur terreur en voulant tout détruire, tout raser pour tout recommencer sur les décombres d’un passé qu’ils haïssent parce qu’ils ne le comprennent pas. Et ils tentent d’imposer leur loi par l’assassinat et la terreur à des sociétés qui ont su dissiper ces cauchemars depuis si longtemps qu’elles n’en imaginent plus l’éventuel retour.

 

Voici qu’enchaînées par les règles qu’elles ont accumulées pour se prémunir contres les excès de leur propre colère, les sociétés stupéfaites s’abandonnent aux coups que leur portent des colères inconnues… Et voici que s’écroule la civilisation parce que les barbares puisent dans son raffinement, ses complications et son indulgence, la seule force qui rend leurs débordements irrésistibles. Ils retrouvent naturellement le plaisir d’égorger sachant combien timide sera la répression. Jamais les passions déchaînées n’ont fait autant de ravages… semé autant de morts… Jamais on n’a assassiné autant d’hommes au nom du bonheur de l’humanité… Jamais le mot de Malaparte n’a été plus juste : « Jamais on n’a couché autant de Christs dans les charniers du monde ».


Et nous, pauvres occidentaux, sommes en passe de perdre cette ultime guerre qui nous est imposée parce qu’irrémédiablement condamnés à capituler… au nom de la défense de la civilisation qui n’est autre qu’un suicide devant un assaut qui en nie l’essentiel.

 


Soljenitsyne a écrit : « Toute notre vie là-bas nous a appris qu’il existe un seul moyen de résister à la violence : c’est la fermeté ! »

 


Dans la lutte contre la subversion et le terrorisme, rien n’est plus important que l’application d’une politique de défense préventive ferme et impitoyable à l’égard des adversaires de la Nation. Celui qui sème le vent doit récolter la tempête.

José CASTANO
e-mail : joseph.castano0508@orange.fr

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« Ce qui se passe est terrible. La France ne pourra pas lutter contre le terrorisme tant qu'elle sera alliée au Qatar ou à l'Arabie saoudite » (Bachar el-Assad - Interview à « Valeurs actuelles » du samedi 14 novembre 2015)

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« Notre patrie est en danger de mort… »

Editorial prémonitoire de Roger Holeindre, président du Cercle National des Combattants, à paraître dans le prochain « Etre et Durer », organe du CNC :

Cliquez : http://popodoran.canalblog.com/archives/2015/11/14/32926674.html

Courriel : cerclenationalcombattants@orange.fr

Site : http://www.cncombattants.org/

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Ma biographie, cliquer sur : - Ma Biographie –

Mon blog : http://jose.castano.over-blog.com/

SYRIE: LA FRANCE BOMBARDE RAQQA , FIEF DE L' EI !

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Syrie:laFrancefrappeunfiefdel'EI,àRacca

© Flickr/ Alexander Babashov
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Les chasseurs français ont largué 20 bombes dimanche sur le fief de l'organisation Etat islamique à Racca, dans l'est de la Syrie, détruisant un poste de commandement et un camp d'entraînement, a annoncé le ministère français de la Défense, cité par l'AFP.

 

"Le premier objectif détruit était utilisé par Daesh comme poste de commandement, centre de recrutement jihadiste et dépôt d'armes et de munitions. Le deuxième objectif abritait un camp d'entraînement terroriste", a précisé le ministère dans un communiqué.

Douze appareils, dont dix chasseurs, ont été engagés simultanément à partir des Emirats arabes unis et de la Jordanie et ont largué 20 bombes.

"Planifiée sur des sites préalablement identifiés lors des missions de reconnaissance réalisées par la France, cette opération a été conduite en coordination avec les forces américaines", précise le ministère.

L'EI a revendiqué la vague d'attentats du 13 novembre à Paris, qui ont fait 132 morts et 349 blessés, selon le bilan de dimanche.

"C'est un acte de guerre commis par une armée terroriste, Daesh, une armée jihadiste", avait déclaré le président français François Hollande, en avertissant que son pays serait impitoyable" sur tous les terrains, "intérieur comme extérieur".

 

Source:  Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20151115/1019546763/syrie-france-bombardement-racca.html#ixzz3rdoPXOKO

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