Procès Filio-Roudier : Les basses œuvres du régime Hollande-Valls-Taubira
Ce mercredi 9 avril, à 13 heures 20, se tiendra, au tribunal de Grande Instance de Carcassonne*, le procès de Josiane Filio, rédactrice àRiposte Laïque, et de Richard Roudier, président de Réseau Identités. Dans un article très complet, Martine Chapouton a résumé l’ensemble de l’affaire, et le côté grotesque de la plainte du préfet de Manuel Valls, Bernard Boucault, à leur encontre.
Faut-il rappeler que les deux accusés, âgés tous deux de 67 ans, ont toujours été des Français respectables. Ils ont travaillé toute leur vie, ont cotisé, ont toujours payé leurs impôts, et respecté au mieux les lois de leur pays. Ils n’ont jamais sollicité l’assistanat. Ils n’ont jamais appelé à la violence contre quiconque, n’ont jamais agressé les forces de l’ordre. Qu’on partage ou pas l’ensemble de leurs écrits ou de leurs engagements n’est pas la question. Ce procès se résume à cette simple question : a-t-on encore le droit, en France, de qualifier un préfet d’incompétent, quand on estime qu’il ne fait pas efficacement son travail ? Est-il encore possible, dans notre pays, de s’interroger sur son impartialité, quand on constate, de manière évidente, le deux poids deux mesures de certaines de ses décisions (Josiane Filio) ? Peut-on encore, dans notre France, excédé par certaines décisions du représentant de Manuel Valls à Paris, dans la meilleure tradition gauloise, de faire une allusion humoristique sur le nom de famille de ce brave homme (Richard Roudier) ?
Nous faisons confiance à Nicolas Gardères, avocat de gauche, qui, bien que ne partageant absolument pas les engagements de Richard et Josiane, expliquera au tribunal, de manière respectueuse, que ces deux clients n’ont rien à faire dans un tel lieu, et qu’il convient de les acquitter au plus vite.
Rappelons qu’au lendemain de ce procès grotesque, nous saurons si Renaud Camus et Jacques Philarchein, poursuivis par le Mrap, seront acquittés, suite à leurs prises de parole, aux Assises sur l’islamisation, ou bien s’ils seront sanctionnés.
N’oublions pas que Pierre Cassen et Pascal Hilout apprendront, le 5 juin prochain, si, en appel, ils seront à nouveau condamnés, ou bien acquittés, suite à une plainte de la LDH, relayée par tous les vautours d’un prétendu anti-racisme.
Le 2 juillet prochain, Christine Tasin devra s’expliquer, au tribunal de Belfort, suite à des plaintes d’associations musulmanes, qui, souhaitant réintroduire le délit de blasphème en France, entendent faire condamner les propos tenus par la présidente de Résistance républicaine, lors de la fête d’Aïd et ses égorgements rituels barbares : l’islam est une saloperie ! Vraie question posée par ce nouveau procès en sorcellerie : peut-on dire que le catholicisme, avec la virginité de Marie, est une connerie, peut-on dire que le communisme est une hérésie, peut-on dire que l’athéisme est une gangrène, et peut-on dire que l’islam est une saloperie ?
Tous ces procès sont une illustration de la politique Hollande-Valls-Taubira. L’interview du premier avril de Manuel Valls, réalisée par Lucette Jeanpierre, est autre chose qu’un simple poisson d’avril. Sur le fond, elle fait dire au nouveau premier ministre la réalité de son programme, et la nécessaire agression contre les libertés publiques que devra opérer ce régime, pour rester en place.
http://ripostelaique.com/manuel-valls-je-vais-nettoyer-le-gouvernement-ayrault-au-karcher.html
Ceux qui traînent devant les tribunaux nos amis exécutent les basses œuvres de ce régime. Ils sont les complices, gavés de subvention, d’une gauche qui les paie pour réduire nos compatriotes au silence, et leur imposer une société multiculturelle, quand 74 % d’entre eux constatent qu’il y a trop d’immigrés dans notre pays, et le même pourcentage que l’islam est incompatible avec la République.
Avoir nommé à Matignon un ministre qui, à l’Intérieur, s’est distingué en faisant arrêter par milliers des paisibles manifestants qui n’étaient pas de son bord, et en faisant preuve d’un incroyable laxisme avec les racailles et les gauchistes antifas est un autre signal fort. N’oublions pas que ce ministre a promis d’encadrer la liberté Internet, et qu’à cause de lui, 87 % des twitts censurés dans le monde viennent de France. Manuel Valls est de la graine de ceux qui, en Tchécoslovaquie en 1968 ou au Chili en 1973, brisèrent les libertés publiques pour imposer une dictature à son pays, au nom d’intérêts supérieurs. Hier le maintien du communisme à Prague, la lutte contre le socialisme à Santiago, aujourd’hui la dictature mondialiste et européiste de Bruxelles, dont Valls et les écolo-socialistes ne sont que de misérables exécutants et des larbins zélés.
Avoir laissé Taubira à Vendôme est un autre message fort envoyé par ce régime. Comment les policiers, que Valls, leur ancien ministre, n’a jamais défendus, peuvent-ils interpréter la nomination d’une femme qui n’a jamais caché son désir de revanche contre notre pays ? Comment comprendre la reconduction d’une militante haineuse, dont toutes les décisions sont empreintes d’une idéologie antirépublicaine au service des coupables, souvent enfants de colonisés, contre les victimes, vues comme des descendants de colonisateurs ? Forcément comme un désavoeu, et un message fort envoyé aux racailles et aux multirécidivistes, que cette ministre, soutenue par le syndicat de la Magistrature et trop de juges politisés, fait remettre en liberté, mettant délibérément nos policiers et les Français en grave danger.
Nous ne devons pas nous tromper, ce régime, massivement désavoué, totalement discrédité, ne pourra se maintenir qu’en menant une guerre impitoyable à notre peuple. Il empêchera par tous les moyens une alternative démocratique. La multiplications des manifestations violentes et d’intimidations, à Fréjus, Beaucaire, Mantes-la-Ville, Béziers, Hayange, et ailleurs, de la part de ses milices, gauchistes alliés aux racailles islamisées, est révélatrice. Le fait que Mélenchon, en service commandé, demande, devant un tribunal, l’inéligibilité de Marine Le Pen, seule alternative crédible, à ce jour, des duettistes UMPS, est un autre signal. Que des Boutih ou Mélenchon, encore lui, osent affirmer que jamais ils ne respecteraient le suffrage universel si les patriotes (comprenez le FN) arrivaient au pouvoir est une déclaration de guerre à ce qu’il reste de souveraineté à notre peuple. Nous voyons le dispositif qui se met en place. Violences de rue orchestrées par les milices du pouvoir et harcèlement juridique organisé par les cerbères du politiquement correct, pour intimider et faire taire ceux qui osent se réclamer de l’amour de la France, de ses traditions et de ses valeurs. Le nouvel ordre mondial ne veut pas d’alternative patriotique à sa dictature.
Faut-il rappeler que Philippe Vardon, leader identitaire de la région niçoise, a frôlé la mort, ce dimanche, à Fréjus, agressé au couteau et au démonte-pneu par quatre racailles issues de l’immigration, et qu’il ne doit d’être encore vivant qu’à ses réflexes de combattant ? Faut-il rappeler le silence médiatique qui a couvert cette tentative de meurtre, et est-il utile de préciser que le pouvoir sera ravi de pouvoir compter sur ces assassins en puissance pour mettre au pas les patriotes ?
Dans ce contexte, on ne peut comprendre le procès de Carcassonne, et les grotesques plaintes du préfet Boucault, que comme celles d’un fidèle compagnon des socialistes qui, en service commandé, sert au mieux les intérêts de ses patrons, fut-ce en sacrifiant la liberté d’expression de nos compatriotes. Il y a eu historiquement, dans tous les régimes totalitaires, des milliers de ces fonctionnaires zélés qui ont appliqué, sans état d’âme, des ordres liberticides, et, fort heureusement, quelques autres qui ont écouté leur conscience, et refusé d’obéir à l’inacceptable.
A chacun son libre arbitre. Nous serions curieux de savoir ce qui se passera dans la tête d’un préfet de la République de 66 ans, ce mercredi 9 avril au matin, quand il se regardera dans une glace et pensera que, suite à son action, dans quelques heures, un homme et une femme de 67 ans passeront devant un tribunal, comme des malfrats, et, modestes retraités, devront, à cause de lui, payer des frais de justice, énormes pour des budgets modestes comme le leur.
Mais il y a bien longtemps que les socialistes et leurs complices ont abandonné les classes populaires, auxquels appartiennent Josiane et Richard, qui ont travaillé toute leur vie pour avoir droit à une retraite de plus en plus modeste, quand de nouveaux arrivants, même en situation irrégulière, touchent des aides qui ne vont pas dans la poche de nos compatriotes.
Ce sont pourtant ces classes populaires, dans une ville comme Hayange (vote à 57 % pour Hollande, il y a deux ans), qui ont porté à la mairie, au grand dam de la gôche et des racailles islamisées, un ouvrier, Fabien Engelmann, porteur d’un discours social et républicain, au service du peuple, que ceux qui gouvernent notre pays ne sont plus capables de tenir. Il a fallu un dispositif policier important, ce dimanche, à Hayange, pour que la passation des pouvoirs et l’élection du nouveau maire puissent se tenir. Tout un symbole.
Dans le livre « Du gauchisme au patriotisme, itinéraire d’un ouvrier élu maire d’Hayange », édité par Riposte Laique, Fabien raconte, de manière touchante, ses premiers engagements, ses espoirs dans la gauche et l’extrême gauche, et les raisons pour lesquelles, syndicaliste CGT, il a rejoint le parti de Marine Le Pen, avec les conséquences qu’on connaît aujourd’hui.
Achetez massivement ce livre, écrit par un esprit libre, qui, contrairement au préfet Boucault, a gardé cette devise : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai pour que vous puissiez le dire ».
Et faites le lire à un maximum de personnes, et surtout aux derniers électeurs qui restent à la gôche, avant les prochaines européennes…
*Tribunal de Grande Instance, 28, boulevard Jean Jaurès, Carcassonne
COMMANDER LE LIVRE DE FABIEN ENGELMANN
Du gauchisme au patriotisme, itinéraire d’un ouvrier élu maire d’Hayange, par Fabien Engelmann
Préface : Itinéraire d’un esprit libre, par Pierre Cassen
Chapitre 1 : La prise de conscience de la souffrance animale
Chapitre 2 : Ma découverte de Lutte ouvrière et d’Arlette Laguiller
Chapitre 3 : La candidate voilée de NPA et ma rencontre avec Riposte Laïque
Chapitre 4 : Exclu de la CGT pour crime de patriotisme
Chapitre 5 : Le monde ouvrier, les abandonnés de la gauche
Chapitre 6 : Mon premier bureau politique au Front national
Chapitre 7 : Tour d’horizon de l’actualité
Chapitre 8 : La campagne municipale d’Hayange
Epilogue : La victoire du 30 mars, par Caroline Alamachère
Livre disponible le 16 avril. Promotion jusqu’au 15 avril : 15 euros, frais de port compris :
Paypal : http://ripostelaique.com/acheter-nos-livres/
Chèque à l’ordre de Riposte Laïque, BP 10001, 78570 Chanteloup
Lundi 14 avril, à 19 heures 30
Radio Courtoisie : « Libre journal du soir » dirigé par Henry de Lesquen :
« L’union des croyants : miroir aux alouettes ?« , avec René Marchand et Elisabeth Lalesart.
1926, au Mexique. Le président Calles, un socialiste « humaniste », fait voter des lois portant atteinte au libre exercice du culte catholique. Pour répondre à ces mesures, la Ligue Nationale de Défense de la Liberté Religieuse organise des actions de désobéissance civile. 
