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COMMUNIQUE DE PRESSE DE CARL LANG

COMMUNIQUE DE PRESSE DU PARTI DE LA FRANCE

Le moins français et le plus sectaire des socialistes à Matignon

Manuel VALLS Premier Ministre de la FRANCE

 

En pleine déroute électorale, le Président de la République socialiste met en œuvre son slogan de campagne : « le changement c’est maintenant ».

Après le grand nettoyage de printemps des mairies socialistes réalisé par les électeurs, François Hollande se voit contraint de sacrifier Jean-Marc Ayrault sur l’autel de la débâcle.

Mais le tour de passe-passe du changement de Premier ministre n’est qu’un jeu de dupes : on change de gouvernement pour ne pas changer de politique.

Manuel Valls est chargé de constituer un « gouvernement de combat ».

La question est de savoir qui et quoi va-t-il combattre ?

En effet nous avons déjà mesuré les capacités de violence politique  de l’ancien ministre de l’Intérieur lors de la répression policière organisée à l’encontre des familles françaises qui manifestaient paisiblement contre le la loi sur le mariage homosexuel.

Nous avons aussi en mémoire les interdictions des spectacles et l’acharnement médiatico-politique orchestrés par Valls à l’encontre de l’humoriste Dieudonné.

Lorsqu’un ministre de l’Intérieur utilise tous les moyens de l’Etat pour porter atteinte avec autant de haine à la liberté d’expression le pire est à craindre.

Manuel Valls est sans nul doute avec Taubira le plus sectaire et le plus intolérant des socialistes.

Le Président de la République, lors de son allocution a indiqué que sa méthode était le dialogue et le respect, mais l’homme qu’il vient de choisir comme chef de gouvernement s’est illustré à l’occasion des grandes manifestations pour tous  par son refus du dialogue et son incroyable mépris des familles françaises attachées à nos valeurs de civilisation.

Carl Lang et le Parti de la France appellent donc à la vigilance et à la mobilisation des Français et en particulier des militants de la droite nationale face aux menaces qui pèsent sur nos valeurs, notre identité française et nos libertés.

 

Municipales : Bérézina pour la gauche, qui a perdu au minimum 155 villes de plus de 9000 habitants, dont plusieurs bastions historiques, le FN ravit 11 mairies.

Au moins 155 villes basculent à droite. «Le premier parti de France, c'est l'UMP», se félicite Jean-François Copé.

Au moins 155 communes de plus de 9000 habitants, dont des dizaines de villes de plus de 30.000 habitants, ont basculé de gauche à droite lors des élections municipales de dimanche. Certaines d'entre elles sont particulièrement symboliques, comme Toulouse, 4e ville de France, ou Limoges, capitale de la région Limousin et détenue par les socialistes depuis 1912.

Autres villes importantes ravies par l'UMP, principal parti de droite, Saint-Étienne et Reims ont elles aussi basculé à droite. A Quimper (Bretagne) , la défaite du socialiste Bernard Poignant, un des principaux conseillers du président François Hollande, est aussi très symbolique .

» Retrouvez tous les résultats du second tour

Jean-Marc Ayrault admet l'échec du gouvernement. Le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a déclaré dimanche, au soir du deuxième tour des municipales, que la responsabilité des mauvais résultats de la gauche était «collective» et qu'il y prenait «toute sa part». Maigre motif de satisfaction: Anne Hidalgo deviendra dans quelques jours première femme élue maire de Paris.

Surtout, il garde Strasbourg, où le combat était beaucoup plus serré, Villeneuve-sur-Lot, la ville de l'ex-ministre Jérôme Cahuzac et Cherbourg, ville du ministre Bernard Cazeneuve. Le PS remporte aussi Douai (Nord), à droite depuis plus de 30 ans.

Onze villes tombent aux mains du FN. Le parti d'extrême droite l'emporte notamment à Béziers avec Robert Ménard, à Fréjus, Villers-Cotterêts, Le Pontet, Beaucaire, le Luc, Hayange, Cogolin et dans le 7e secteur de Marseille. Avec la victoire de Steeve Briois à Hénin-Beaumont, au premier tour, la semaine dernière, cela porte à une quinzaine le nombre de mairies FN.  Le FN échoue toutefois à l'emporter à Forbach (Moselle) et à Perpignan, où deux de ses dirigeants, Florian Philippot et Louis Aliot se présentaient. 
Par ailleurs, les mairies d'Orange, de Camaret-sur-Aigues et de Bollène (Vaucluse) sont dirigées par des maires d'extrême-droite.

elections.lefigaro.fr/municipales-2014/2014/03/30/01052-20140330ARTFIG00191-municipales-2014-deferlante-pour-l-ump-le-ps-en-deroute.php

 

Mais qui est Carl Lang ?

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Carl Lang
Carl Lang lors d'un repas militant, en septembre 2010.
Carl Lang lors d'un repas militant, en septembre 2010.
Fonctions
Député européen
20 juillet 1994 – 20 juillet 2009
Élection12 juin 1994
Réélection13 juin 1999
13 juin 2004
LégislatureIVeVe et VIe Parlements européens
Conseiller régional de Haute-Normandie
20 mars 1986 – 21 mars 1992
Élection16 mars 1986
Biographie
Date de naissance20 septembre 1957 (56 ans)
Lieu de naissanceVernon (Eure)
NationalitéFrançaise
Parti politiqueFront national (1978-2008)
Parti de la France (depuis 2009)
ProfessionMasseur kinésithérapeute

Carl Lang, né le 20 septembre 1957 à Vernon1 (Eure), est un homme politique français. Après avoir milité au Front national pendant trente ans (de 1978 à 2008), il crée en février 2009 le Parti de la France (PDF).

 Biographie

Au Front national

Carl Lang est titulaire d'un diplôme d'État de masseur kinésithérapeute.

Carl Lang est durant trois mandats député européen du Front national de 1994 à 2009, membre du groupe Identité, tradition, souveraineté (ITS) auParlement européen.

Candidat à la députation dans la 20e circonscription du Nord en 2002, il recueille 18,66 % des voix au premier tour, mais ne peut se maintenir au second2. Lors des élections législatives de 2007, il obtient 11,60 % des voix dans la 23e circonscription du Nord3.

Le 17 novembre 2008, Carl Lang est suspendu du FN par le bureau exécutif4.

Au Parti de la France

Le 23 février 2009, il crée le Parti de la France (PDF), ralliant à lui des historiques du Front national comme Martial BildMartine LehideuxBernard Antony, Pierre Descaves, Jean-Claude Martinez, Jean Verdon, Fernand Le Rachinel, Myriam Baeckeroot, Christian Baeckeroot, ainsi qu'une quarantaine de conseillers régionaux. En vue des élections européennes de 2009, il décide de conduire une liste dissidente au FN, en réaction à la désignation de Marine Le Pen comme tête de liste pour la circonscription Nord-Ouest, dont il est le député sortant. Le 7 juin 2009, sa liste réalise 1,52 % des suffrages.

Carl Lang devant FR3 Limousin en novembre 2011.

Lors des élections régionales de mars 2010, le Parti de la France présentait des listes dans quatre régions : Haute Normandie (1,46 %), Basse Normandie (3,71 %), Picardie (2,02 %) et Centre (3,55 %). Il s'est associé dans deux autres régions, la Lorraine (3 %) et la Franche-Comté (2,46 %), aux listes « Non aux minarets » présentées par le Mouvement national républicain et la Nouvelle droite populaire. Le PdF a aussi soutenu la liste d'union des nationaux et des identitaires, la Ligue du Sud, de Jacques Bompard en PACA (2,69 %).

Le Parti de la France enregistre donc une moyenne approximative de 2,70 % des voix dans les quatre régions où il se présentait.

Le 13 septembre 2011, il annonce sa candidature à l'élection présidentielle de 20125, celle-ci présentée dans le cadre d'une coalition de partis de droite national, l'Union de la droite nationale (UDN), associant des membres duParti de la France (PDF), du Mouvement national républicain (MNR), de laNouvelle droite populaire (NDP), et soutenue par l'hebdomadaire Rivarol, de même que l'organisation des Jeunesses nationalistes (JN, groupement non électoral) et de l' Œuvre française. Il ne parvient pas à recueillir les 500 présentations d'élus nécessaires.

Dans le cadre des élections législatives de 2012, Carl Lang est candidat dans la cinquième circonscription de l'Eure, où il obtient 1,10 % des suffrages exprimés. Lors du second congrès du Parti de la France en février 2013, Carl Lang a été réélu président à l'unanimité.

Vie privée

Il est marié et a quatre enfants.

Synthèse des mandats

Responsabilités politiques au sein du Front national
  • Adhésion au Front national en 1978, après l'assassinat de François Duprat
  • Secrétaire fédéral du département de l’Eure (1978-1983)
  • Directeur de campagne de Jean-Marie Le Pen en 1983 pour l’élection municipale du 20e arrondissement de Paris
  • Directeur national du Front national de la jeunesse (FNJ) (1983-1986)
  • Secrétaire général du FN (1988-1995)
  • Vice-président chargé des Affaires sociales depuis 1995
  • Délégué général du FN de décembre 1998 à novembre 1999
  • Secrétaire général du FN de novembre 1999 à octobre 2005
  • Vice-président du FN, membre du bureau exécutif
  • Élu au comité central en 1982
  • Réélu en 1985, 1990, 1994, 1997, 2000, 2003
  • Coopté au bureau politique en 1984
  • Élu au bureau politique en 1985, réélu en 1990, 1994, 1997, 2000, 2003
  • Membre du bureau exécutif du Front national

Aujourd'hui

Notes et références

Liens externes

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